Par Sarel (Sarel) le vendredi 10 mars 2006 - 11h42: |
Mr Bazooka J'ai lu ce qu'a ecrit Mr Levy
Il dit qu;il ne comprend pas les "hemiplegiques "qui pensent qu;on ne peut defendre la cause des palestiniens sans hair Isael ??
Que pensent les palestiniens a ce sujet ?
Il y a plusieurs mois dans un reportage dans FRANCE 2 'le grand journaliste ELKABACH avait
dit "je voudrai etre le premier a declarer la cration de l';etat palestinien 'de suite mr Levy leve la main et annonce "moi je serais le second !!
Je le comprend mais vu ce qui se passe il doit etre en partie decu Le probleme chez ces personnes tres instruites est de ne pas prendre en consideration suffisante les debuts.Ils pensent qu;ils peuvent creer une nouvelle philosophie detachee du passe.
Cela n'a pas donne les solutions esperees .
Alors on cherche une autre route .Mais pour le juif c'est plus complique car il est garant malgre lui a son peuple .
Donc il ne faut pas s;etonner pour le retard a la replique de sa part .
j'espere que j'ai ete clair
Chabbat Chalom sarel
Par Girelle (Girelle) le vendredi 10 mars 2006 - 11h32: |
Bazooka,
L'intérêt "médiatico commercial" de BHL ne me parait pas menacé.
Vous avez raison de souligner qu'il s'exprime un mois après, ce qui, bien sûr change le ton, mais pas le fond.
Ce n'est pas toujours en criant que l'on communique le mieux.
La véhémence ne rallie pas toujours le plus grand nombre et BHL s'adresse aux lecteurs de l'éditorial du Point.
Gageons qu'il soit mieux compris en utilisant un langage dépassionné, ce qui permet quelquefois de toucher les esprits en évitant les réactions viscérales.
Communiquer, ce n'est pas déverser ce que l'on a sur le coeur, ça on peut le faire "en famille",
mais c'est évaluer le public auquel on s'adresse et trouver les mots justes qui vont atteindre ce public.
Par Sarel (Sarel) le vendredi 10 mars 2006 - 11h07: |
Cher mr Millieres J'ai lu votre article sur votre visite en Amerique
Vous insistez avec le terme "JUDEO CHRETIEN
pour demontrer la difference des rapports entre L'europe et les Etats Unis.
J'imagine que vous voulez parler de morale et
de liberte relative. Mais le probleme n'est pas sur la facon de s'habiller ni de se conduire. Il concerne une philosophie de vie sur tous ses aspects. SAvez vous qu;il est defendu pour un juif d'entrer dans une eglise a l'instar d'une mosquee qu;il lui est permis de visiter
Vus les circonstances les rapports peuvent changer superficiellement. Les bases et intentions n'ont pas change .
Car tout se passe et se trouve au debut.
Je vous remercie pour votre attention
sarel
Par Pauline (Pauline) le vendredi 10 mars 2006 - 08h54: |
PETITION Pour Déclarer le Président Iranien Persona Non Grata Ad Personam sur le Territoire Européen
Nous, soussignés, Citoyens Européens, sommes profondément inquiets des appels du Président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, à " rayer Israël de la carte" et de ses déclaration incessantes niant la réalité de la Shoah.
Plusieurs Etats Membres de l’Union Européenne ont promulgué des lois interdisant le déni de la Shoah, assorties de lourdes peines pour délit de révisionnisme.
C’est pourquoi, nous appelons l’Union Européenne et ses Etats Membres à déclarer le Président iranien "persona non grata ad personam" sur tout le territoire des Etats Membres européens, pour violation des lois en vigueur dans les pays européens.
Au moment où le régime iranien commence à enrichir de l’uranium, se préparant ainsi à développer l’arme nucléaire, il est impératif que la communauté internationale se mobilise et agisse contre l’antisémitisme d’Etat de Téhéran et contre ses incitations au meurtre.
Pour signer la pétition, connectez-vous sur le lien suivant :
http://www.eurojewcong.org/ejc/DOC/petition/petition_f.htm
Merci de diffuser cette pétition, le plus largement possible.
Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 10 mars 2006 - 09h26: |
Presque un mois apres le rapt d'Ilan et les consequences ignobles que l'on sait, la reaction de BHL se faisait desirer.
Elle s'est enfin manifestee aujourd'hui via son Bloc Notes:
http://www.lepoint.fr/edito/document.html?did=175435
De la meme facon qu'il reproche aux socialos leurs atermoiements face a l'affaire "sous-homme" Freche/Harkis, en tant que fringuant intellectuel-penseur-philosophe juif qui se respecte, ses atermoiements face a l'affaire Ilan sont douteux.
Il eut connu des periodes beaucoup plus fougueuses et passionnelles en matiere de defense des droits et des idees (voir les Bosniaques, Sartre, Levinas et autres ...)
Cette facon qu'il a de denoncer l'origine du mal a demi-mots avec un mois de retard et la place qu'il lui accorde dans son edito ne me satisfont pas du tout, a en croire que cette demi-teinte et ce "temps de reflexion" dissimulent une crainte et un interet mediatico-commercial personnel.
Le personnage est decevant par son manque de passion.
La forme (la lenteur de sa reaction) laissait donc subodorer le fond (tres peu haut en couleur).
J'espere lire votre avis la dessus.
Shabbath Shalom
Par Mena (Mena) le vendredi 10 mars 2006 - 07h35: |
Un Français à Washington (info # 010903/6) [analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency
Je reviens d’un périple peu ordinaire aux Etats-Unis. Plus qu'au cours de tous mes précédents voyages depuis près de trente ans, j’ai, cette fois, pu cerner de près ce qui distingue tant ce pays de la France et de l'Europe, ce qui le rend fort, vigoureux, toujours tourné vers l'avenir, ce qui en fait, sinon une société meilleure, du moins une société moins mauvaise, sur laquelle repose essentiellement l'avenir de la civilisation occidentale.
1. D'abord, et cela reste une surprise et une source d'incompréhension pour Français et Européens, les institutions américaines sont respectées et prises au sérieux. Vraiment. Profondément. J’avais reçu une invitation officielle du Président et du Congrès, et les officiers du service de l'immigration que j’ai vus à mon arrivée semblaient émus de l'apprendre, fiers de quelque chose qui les dépassait, fraternels parce que, quoi qu'on pense par ailleurs, le Président des Etats-Unis d’Amérique est celui de tous les Américains et, au-delà de sa personne, il représente la fonction présidentielle, un symbole, tout comme le Congrès. Ceux qui m'ont accueilli plus tard à Washington témoignèrent d'une émotion et d'une fraternité identiques. Aux Etats-Unis, le Président n'est pas au-dessus des lois : il est un citoyen que l'honneur de la fonction doit conduire à respecter davantage encore les lois. Il est l'honneur du pays ; et il est respecté pour cela. Son déshonneur serait celui de tout le pays. Les Etats-Unis sont nés d'une révolution démocratique porteuse d'un idéal. Les institutions américaines en sont la concrétisation, et ceux qui incarnent ces institutions en sont la personnification au présent. Sans la référence constante à l'idéal fondateur, sans identification profonde de l’immense majorité des Américains à cet idéal, les Etats-Unis perdraient leur légitimité et leur raison d'être. Si l’on ne discerne pas cela, on ne peut se prétendre capable de déchiffrer la société américaine.
2. Ensuite, et cela surprend également les Français et les Européens, les Etats-Unis sont un pays imprégné encore profondément des valeurs éthiques et religieuses du judéo-christianisme. Les 1er et 2 février derniers, j'étais convié à un événement traditionnel : le National Prayer Breakfast [le Petit-déjeuner national de la prière. Ndlr]. Pendant deux jours, des rencontres sont organisées entre personnalités de haut rang dans les milieux intellectuel, politique, économique et culturel, qui ont comme point commun l'amour de l'Amérique et le respect des valeurs judéo-chrétiennes. Savoir que je me rendais au National Prayer Breakfast m'a valu, tout au long de mes pérégrinations aux Etats-Unis, des marques de sympathie réelle, comme si j'étais le messager d’une grande épopée, comme si je venais accomplir une éminente mission.
Lors de la journée préliminaire au Breakfast, j'ai rencontré des ambassadeurs venus des cinq continents, des chefs d'Etats ou de gouvernements de plus de trente contrées. Tous étaient là parce qu'ils se reconnaissaient dans les valeurs judéo-chrétiennes ou qu'ils se pensaient en convergence avec elles et voulaient œuvrer dans un esprit de synergie. Tous discernaient dans les Etats-Unis la puissance essentielle, primordiale permettant cette dynamique et le rayonnement de ces valeurs sur la planète. Tous se voulaient au service d'un esprit de tolérance, d'ouverture, d'amour, de compassion, de respect pour l'être humain, de liberté de parole et d'action, de refus du mal et de ses incarnations totalitaires ou terroristes. Il y avait là des gens venus d'Europe (Grande-Bretagne, Irlande, Scandinavie, Pologne, Hongrie), d'Asie (Corée du Sud, Philippines, Indonésie, Taïwan, Inde), d'Amérique du Sud, d'Afrique sub-saharienne, d'Israël. Il y avait aussi des gens venus du monde musulman (Turquie, Jordanie, Liban, Afghanistan, Pakistan), porteurs d'un discours d'ouverture et de paix envers l'Amérique, Israël et le peuple juif. Lors du Breakfast proprement dit, le matin du 2 février, l'esprit présent dans les rencontres de la veille s'est concrétisé.
Seuls les Etats-Unis étaient capables de réunir à une même tribune des démocrates et des républicains, des juifs, des musulmans et des chrétiens, et obtenir qu'ils parlent d'une même voix : la voix d'une communion au service des mêmes valeurs. Car ces valeurs judéo-chrétiennes sont au cœur vivant et irradiant de la puissance américaine. Ainsi, ceux qui agissent politiquement à son service peuvent trouver des interlocuteurs de bonne volonté ouverts à ces valeurs.
Un vaste courant relie, traversant les Etats-Unis, les cinq continents autour de ces valeurs et permet des avancées fertiles dans le monde. Les paroles d'amitié envers Israël et le peuple juif prononcées lors du Breakfast sont ancrées dans ce courant et prouvent que jamais les Etats-Unis ne leur tourneront le dos et que, au contraire, ils ne cesseront de porter le message de l'essentielle légitimité d'Israël sur la planète et de l’inacceptable ignominie de l'antisémitisme. Les propos tenus au cours du petit-déjeuner par divers représentants du monde musulman, et tout particulièrement par le roi Abdallah de Jordanie, laissent entrevoir la possibilité d’une issue vers un islam modéré et ouvert, qu'incarnent des hommes de bonne volonté tels que ceux réunis à Washington en ce début du mois de février.
3. Le reste de mon voyage m'a conduit à diverses rencontres qui n'ont fait que confirmer mes constatations. A Philadelphie, j’ai abordé avec Daniel Pipes la question de la guerre mondiale contre le totalitarisme islamique ainsi que l'incapacité européenne à discerner la situation dans laquelle nous nous trouvons. Ce, parce que la plupart des Européens ne parvient plus à avoir une vision planétaire des choses. Que les valeurs qui font l'essence de la civilisation européenne se perdent et que, dans le vide ainsi créé, s'engouffre l'islam radical.
J’ai rencontré à Washington D.C. Laurent Murawiec, Ken Weinstein et Barry Rubin, avec lesquels j'ai discuté des blocages de l'islam, du djihadisme, ainsi que du dur combat des musulmans modérés contre la vague totalitaire islamiste. Pat Robertson, à Virginia Beach, m'a expliqué l'attachement profond et sincère des évangélistes américains au peuple juif et à Israël, et s'est employé à dissiper tous les malentendus disséminés par des esprits malveillants visant à égarer ou à séparer ceux qu'imprègnent les idéaux nés du judaïsme et qui œuvrent pour le bien sur terre. Dans sa maison de Calabassas, au Nord de Los Angeles, tout au bout de Topanga Canyon, David Horowitz m'a exposé ses combats contre ceux qui tentent de détruire de l'intérieur l'idéal américain parce qu'ils savent que, sans cet idéal maintenu vivant et fort, le chaos et la barbarie dont ses ennemis rêvent pourraient s'installer dans le monde. Il m'a parlé d'Israël avec bien davantage que de la sympathie. De l'Europe aussi, de son déclin, de son crépuscule, de la déchéance morale qui la gagne. Tout ce qui rend aujourd'hui encore les Etats-Unis vigoureux et qui incarne l'avenir de la civilisation occidentale se délite en Europe ; c'est un fait, et je n’ai pu que le constater avec mes interlocuteurs.
Dans l’Hexagone, les institutions ne sont guère prises au sérieux et subissent une crise de légitimité. Nul idéal fondateur n'est discernable, et les invocations de la « république », de l'« esprit citoyen » et de la « laïcité » semblent très insuffisantes pour susciter un élan et une cohésion. Ailleurs, le plus souvent, ce n'est guère mieux, et les institutions européennes sont elles-mêmes en panne, édifices artificiels construits au-dessus de la réalité et indépendamment de celle-ci.
Esprit de « laïcité » oblige, en France, les valeurs du judéo-christianisme sont en voie de disparition. Les églises se vident. Les juifs craignent de s'afficher tant l'antisémitisme, sous diverses formes, refait surface. Parler d'éthique, de transcendance, de bien, de mal, implique des notions qu'on ne comprend plus ou qui vous valent l'étiquette d'horrible réactionnaire. De ce côté-ci de l’Océan, le relativisme est omniprésent. On parle de « cycle de la violence » ou de « tensions communautaires », des bulles sémantiquement vides, juste pour n’avoir à nommer ni coupable ni victime. Le plus souvent, c’est par clientélisme préélectoral que les irresponsables politiques évitent de dire quoi que ce soit de significatif afin de ne pas risquer de heurter et de perdre des fractions intéressées du corps électoral. L'Europe tout entière fait du relativisme sa valeur matricielle. Certes, mais qui ne désigne pas les problèmes n’a, bien entendu, aucune chance de les résoudre, ni même d’améliorer l’état des choses ! Dans ces circonstances, il ne peut évidemment plus y avoir ni empathie, ni compréhension pour les Etats-Unis ou Israël, sociétés qui, pour exister, excluent ce relativisme.
La France et l’Europe ne vivent pas en synergie autour des valeurs judéo-chrétiennes ou transcendantes. Rien ne leur permet vraiment, dans ces conditions, de contribuer à des percées fécondes, telles celles que j'ai vu s'esquisser à Washington. Et si un islam modéré et ouvert aux valeurs judéo-chrétiennes voit le jour, la France et l'Europe n'y seront pas pour grand-chose.
L’Europe ne comprend pas qu’elle est prise au cœur d’une guerre mondiale, car elle n’a plus de vision planétaire. J'aimerais ne pas penser, comme David Horowitz, que nous sommes au crépuscule, et me dire qu'un sursaut, une aube, est encore possible. Mais j'ai passé depuis longtemps l'âge des illusions.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 10 mars 2006 - 00h32: |
Enfin voila un débat intéressant. Wafa Sultan et ses arguments. Ce sujet a permis à nos meilleurs harissiens de démontrer comment chacun avait saisi ce débat. Je suis enchanté de voir notre cher Slim, que plusieurs d’entre nous le trouvent objectif et il mérite notre respect. Puis notre harissien Tun, qui pour la première fois expose sa perception de ce que Madame Sultan avait dit et nous démontre comment il voit les choses du point de vue des Musulmans, alors que nous, les Juifs, bien Tunes que nous sommes, nous n’avons pas les expériences et le savoir de nos collègues musulmans puisque nous ne connaissons pas la langue Arabe et religieuse écrite. Nous avons très peu d’aperçu sur la vie des musulmans et des Arabes de l’intérieur. Nous nous basons presque tous sur la traduction de l’Arabe aux langues occidentales et ceux qui connaissent un peu l’Arabe savent bien que la traduction n’est pas toujours exacte.
Je crois que le débat entre Wafa et le religieux n’est pas équitable, il est égale a une compétition de course entre des candidats de différents niveaux et de différentes conditions. Je ne crois pas que pointer du doigt sur les Musulmans extrémistes peut les rendre dociles. C’est comme dire à un soûlard qu’il est soûl. Ceci n’avancera pas les choses.
Comme le dit Slim : “Les grandes civilisations du proche orient ne sont pas celles du désert d’Arabie, mais de Mésopotamie, de Syrie, des Phéniciens, des Assyriens, des Israélites, des Perses, des Egyptiens, et des Grecs.” Chaque religion et chaque nation passe des hauts et des bas. Le Monde Arabe passe actuellement des bas et doit trouver lui-même la direction vers les hauteurs qu’il avait une fois connues grâce justement a son ouverture vers le monde et pas s’enfermer comme le fait l’Arabie Saoudite qui ne tolère pas la présence d’une autre religion dans son royaume.
Il n’est pas de mon ressort de montrer les bonnes et les mauvaises qualités de l’Islam, ni de le critiquer parce que certains groupes avaient kidnappé la religion et veulent changer le monde par la force de l’épée et de la terreur et non pas par le mérite. Ils veulent tirer avantage contre tous les Musulmans du monde.
Malgré tout je reste optimiste et je me range parmi ceux qui croient que la majorité des Musulmans sont d’une bonne culture et sont de nature bons. Il ne faut surtout pas généraliser mais croire en l’avenir. La nature finira tôt ou tard par l’emporter. Les Arabes finiront par rattraper les siècles perdus dans le sommeil des rêves et des mirages et rentrerons dans les rangs du monde paisible.
Il faut voir ce débat comme un bon pas qui ne peut qu’améliorer la perception que le monde a de l’Islam. Madame Sultan n’est pas la seule Musulmane qui voudrait voir justement le retour de l’apogée du Monde Arabe. Elle est parmi les rares Musulmans qui osent s’exposer en publique. Avec plusieurs bons Musulmans et Arabes Madame Sultan représente l’avant-garde du Monde Arabe.
Par Sarel (Sarel) le jeudi 09 mars 2006 - 21h28: |
CHer Mr Nahum Vous dites que vous etiez des exiles il y a 60 ans et vous posez la question "est ce qu'il faut s;exiler de nouveau"
Je respecte tout a fait votre choix sur la route de votre vie. Je suis etonne du choix du mot "''exil"
EXil d'ou ?? Exil actuel! et s'exiler vers ou ?
Cela demande differentes explications
Cette situation est alarmante et je vous comprend. La France n'y est pas responsable a votre egard Le probleme est dans lechoix du "terme exile" qui vous sert de rempart mais sur lequel on ne peut y compter
Aujourd'hui pour un juif etre "EXIL" est un choix et non une obligation
Je serai toujours votre garant dans le cadre du peuple juif
Chalom sarel
Par Albert (Albert) le jeudi 09 mars 2006 - 21h15: |
Voilà je n'ai pas voulu vous l'annoncer précipitemment.
Claudia vient de vendre ma méche.
Eh bien oui HARISSA.COM fait partie des alpinistes de la paix.
Breitou va vous représenter.
Il a dejà louè un CHARPA, quelques écharpes et quelques mûles gratuites.
Il n'a pas étè loin pour les chercher, ici il y a en tellement qu'il avait le choix.
Il n'ose pas citer de noms mais dés qu'elles seront redescendues comme le petit papa NOEL, de là haut, épuisèes, il vous dévoilera celles qui l'ont accompagnèes dans cette aventure touristique, parce que GRIMPER SI HAUT SUR LE TOIT DU MONDE POUR PROCLAMER LA PAIX EST UNE IDEE DE GENIE QUI APPARTIENT A CEUX QUI ONT TROP VECUS SANS PAIX DANS CE BAS MONDE ET DIRE QUE POUR AVOIR CELLE CI IL FAUT ETRE SOUS TERRE...TANT MIEUX SI ON LA TROUVE SUR LE PLUS GRAND SOMMET DU MONDE...AFFAIRE A SUIVRE. ....
Albert et Breitou du PTB.
Par Meyer (Meyer) le jeudi 09 mars 2006 - 20h33: |
Radio/TV
Envoyé spécial sur Ilan Halimi - 09/03/06
Jeudi 9 mars 2006 sur France 2 à 20h30, l'émission "Envoyé spécial" consacre un reportage autour de l'enquête sur l'assassinat d'Ilan Halimi.