Par Maxiton (Maxiton) le mardi 14 mars 2006 - 15h07: | Par Maxiton (Maxiton) le mardi 14 mars 2006 - 15h07: |
Michka
En gros il y a trop de dollars en dehors des USA, et gare au jour
ou tous les creanciers presenteront leur petite note en meme temps
| Par Albert (Albert) le mardi 14 mars 2006 - 15h57: |
| Par Michka (Michka) le mardi 14 mars 2006 - 12h49: |
Un court commentaire récent écrit par une sommité du monde financier transmis par un proche qui est dans la finance aux Etats-Unis. Je n'ai pas le nom de l'auteur de cet article de scénario catastrophe, je vous le communiquerai plus tard.
Quelqu'un pourrait-il nous en faire la traduction ?
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March 9, 2006
THE END IS NEAR
There seem to be many more beginnings in the financial and economic world than ends, as dozens of emerging markets have stretched their wings and taken flight in the past few years in a great expansion of global prosperity. This is a wonderful event in world history, but we don’t yet know whether this is a seismic shift, which will lift two to three billion of the world’s people up from poverty to the living standards and comforts of the one billion economically well off in the Western world, or whether it is just a mirage – more powerful than the aborted lift-off in the late 1960’s and early 1970’s – but still a will o’ the wisp. The critical variable is the dramatic rise in global liquidity, which is a function of the extremely unbalanced US current account deficit that pumps dollars out into the world. This flood of easy money does parallel the Lyndon Baines Johnson years when the US chose both “guns and butter” while it fought the war in Vietnam. Although the Bush White House has not turned as good a phrase as the
Johnson era did, the amount of money flowing from Washington to the rest of the world has far surpassed the earlier effort. The US has run such a large deficit that almost all the non-G-10 countries in the world have been able to run large surpluses which has allowed them to retire debt and build up their own internal financial markets. This has reached such an extreme that there is talk of the demise of the dollar denominated sovereign debt market because all the countries will be issuing local currency bonds to investors, both domestic and foreign. As a manager of emerging currencies, we certainly can vouch for both the explosion in liquidity that has accompanied the
increase in local currency paper and the tremendous rise in investor appetite for all things emerging. But, global liquidity has been tightening for the past year, from a 22% rate of growth in September 2004 to a 10% rate at the start of this year, using one widely accepted dollar based measure. Even with an expanding American current account deficit, this lessened the supply of dollars and pushed its value higher. No one was hungry for money, however, as liquidity was still plentiful in Europe and Japan. Now for the first time since 2000, the major central banks will all be tightening and the liquidity flood will really come to an end. The Japanese announcement of an end to quantitative easing is expected within the next month which will be the capstone to this process, and we will find out whether the monetary dynamism in the emerging world was the real thing or just part of the rising tide of liquidity that lifted all the boats. When a rising tide is replaced by an ebb-tide, the mud flats come into view showing some pretty ugly stuff. Certainly the central banks are not planning to show us this nasty view, but they always have before – even if they thought they could avoid it. The big question is: whose stuff will that be? Is it to be the remnants of the US automobile and parts industry, or the untested global CDS market, or the usual suspects in the emerging world, either Latin America or somewhere in Asia? The end is coming, but it won’t look like any end we have seen before. This time, the dollar should be among the wreckage, slowing the US economy for several years and hobbling the rest of the world as well. That has happened before, but now the emerging economies should only wobble at first, as we all expect the worst, and then they should outperform through the next cycle using the liquidity that the major countries must provide to save themselves.
| Par Braham (Braham) le mardi 14 mars 2006 - 11h48: |
Elections en Israel (dessin #2)
Rav Ovadia ou Tommy Lapid ?
| Par Henri (Henri) le mardi 14 mars 2006 - 11h35: |
Pourim Sameah lecoulam.
| Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 14 mars 2006 - 11h15: |
Tsahal entoure la prison de Jericho pour arreter les assassins du ministre Rehavam Zehevi Z"L... ils ont un ultimatum de 2 heures pour se rendre avant que Tsahal force la prison ... Des helicos empechent les renforts d arriver et les habitants de sortir de chez eux ....
Ce matin les garants britaniques de l emprisonnement des assassins ont quitte la zone ce qui signifiait peut etre que les assassins ( dont un d entre eux , Mohamed Sadat , chef du FPLP qui a ete elu sur la liste des deputes ... et qui est le cerveau de ce crime ) auraient pu etre liberes ...
Kol Ha Kavod le Tsahal
| Par Anonyme (Anonyme) le mardi 14 mars 2006 - 08h49: |
CYBER - GEMATRIA
Avec le nom AHMADINEJAD A-H-M-A-D-I-N-E-J-A-D
Obtenu : JI EDDA HAMAN
LE RETOUR DE HAMAN
| Par Albert (Albert) le mardi 14 mars 2006 - 08h29: |
Par Albert Simèoni ( Bébert)
L'Enfant de la Goulette.
Passe sur acceui le 16.3.2003
Le 18/6/89
' Bourimna…'
(Fouchik ou bani-bani)
'Yè hassra ââlla bourimnè…Ekèl wakt éhdèk…'
'Ils furent nos pourims….En ce temps là…')
J'avais entre dix et onze ans dans mes shorts anglais. Je fréquentais parallèlement l'école française et l'école hébraïque de l'O.S.E ( Œuvre de Secours de l'Enfance) Le jeudi et dimanche. Dans cette institution juive, à l'approche de la fête de Pourim, quelques semaines bien avant la date, on nous apprenait la pièce d'Esther. J'avais le rôle ingrat d'Aman.
Nous étions mes camarades et moi, vêtus comme des 'princes', le Roi 'A HACHVEROCH ( 1m 52 ) assis sur un fauteuil maquillé en trône. Il avait les pieds qui pendaient à 10 cm au-dessus du sol. ): Dans sa fausse barbe et moustache, il se donnait un air imposant. De temps en temps, il regardait du côté de son souffleur. Aman, moi ): ): en sarwel blanc, sur lequel on ajouta une camisole ample. J'avais un de ces airs comme je vous dis pas. Bref, nous étions très beaux.
Au matin de ce jour là, la salle de la cantine était transformée provisoirement en espace théâtrale .Quelques tréteaux supportaient des planches recouvertes de diverses couvertures.
Les 'dignitaires de la communauté 'de Tunis venaient assister quelques fois au spectacle en présence de nos maîtres, maîtresses et directeur Monsieur Habib.
La triste fin d'Aman, sa pendaison se faisait par un jeu d'ombre chinoise, je n'avais qu'à pousser un cri de derrière le rideau pour faire comprendre que j'étouffais. En réalité, je riais.
Vers les 14 heures, nous étions invités, par groupe, pour visionner un film projeté à notre intention au Cinéma Rex. Un film toujours le même; les images en souffraient à force de les faire passer et repasser. Les Zorro et les Tarzan projetés à la sauce Dario, nous donnaient la nausée après dix bonnes années de fidélité.
Dans notre quartier, dés les premières heures de la journée, les pétarades commençaient. Quelques amis donnaient déjà le coup d'envoi sans aucun respect pour ceux qui dormaient.
Des petits bâtons de dynamite, à mèche courte, disposés sur le bord du trottoir, s'enflammaient sous les doigts habiles de l'enfant devenu 'artificier en culotte courte' pour un jour. Projeté en l'air, ce petit bout de cigare une fois allumè, n'était plus qu'un amas de résidus de papier multicolore réduit par l'explosion, en miette, tournoyant dans l'air avant de se poser en confettis sur le macadam dans un bruit sec et assourdissant.
Parfois, nous posions sur le bâton de dynamite une boite de conserve vide que l'on voyait bondir en l'air par le souffle.
Certains mal avisés, introduisaient un pétard dans la' hofra' d'une bouche d'égout. Et là, nous voyons la trappe en fonte se déplacer par le souffle de l'explosion. Ce qui soulevait la joie des enfants, une fois l'opération réussit.
Mon père nous achetait la veille, un petit revolver en fer avec son embout un clou. Nous enfoncions une 'cartouche' puis une fois la détente enclenchée, il en sortait un bruit assourdissant fouchika.
Nous avions aussi une petite boule en pierre que l'on projetait avec force sur le goudron de la chaussée pour en faire naitre quelques étincelles, à notre grande joie.
Souvent, nos oncles et tantes, venaient nous rendre visite, et nous refilaient quelques pièces d'argent qui allaient remplir, vite fait, la caisse du quincaillier, notre pourvoyeur de bannis-bannis, des munitions en tout genre.
'Yè baba, lââjij….! Bourimnè ouffè méli mchit fèl dényè lékhra..! Ehnè tèwè fi blastèk nââtiou bourimèm èl loulèdnè…! Twè'hèchtèkyè baba…!'
('Papa, chéri…Notre obole de Pourim est terminée depuis que tu es parti dans l'autre monde...Aujourd'hui c'est nous qui, à ta place, offrons le Pourim à nos enfants..
Nous t'avons langui….
Anecdote..
Le quartier du Cinéma Rex, était le lieu de rendez-vous branché d'une grande bande d'amis qui, tout en sirotant un cafè ou un thé debout, flirtait sur le spectacle de la rue. Arrive un ami qui sort de sa poche un accordéon de dynamites, qu'il pose sur tout le long du trottoir, environ deux mètres. Ces petits bâtonnets étaient collés les uns aux autres. Il alluma une de ces mèches devant nous afin que la première, en principe, mette le feu aux autres 'mèchèttes. Il s'en éloigna de quelques mètres et, nous attendions fébrilement l'explosion en série lorsque' au bout de cinq minutes, rien ne se passa. L'un de nous lui cria ' Féchiè' c'est à dire 'long feu' et ajouta 'Borico…! Tu peux aller t'asseoir dessus …!'. Enérvè, il se rapprocha de la 'mitraille' sans précaution aucune, pour vérifier la chose et écoutant le 'con seilleur', posa son derrière par- dessus, bravant ainsi le danger qui l'attendait. Et voilà que l'irréparable se produisit sous nos yeux surpris, toutes les mèches prirent feu instantanément sous son c… glacé. Il monta en l'air par la douleur et s'en est sortit avec un trou béant dans son short anglais, 'gesti culant' comme un forcené, et quelques innocentes égratignures entre ses fesses.
Laissant les autres exploser de rire…
Merci ….Ishak..
ALBERT L ENFANT DE LA GOULETTE
| Par Email (Email) le mardi 14 mars 2006 - 08h05: |
| Par Davideden (Davideden) le lundi 13 mars 2006 - 23h55: |
Un incident antisemite dans une universite en Tunisie!! Ajeb
Il n'y a plus de Juifs maintenant ils s'en prennent a leur memoire et aux Juifs disparus. tient bon (ma ata omer!!)
Comme ils disent: il n'y a jamais eut de Juifs en Tunisie, d'ailleur ils sont partis de leur plein gre.
Les memes te diront, Hitler n'etait pas antisemite...mais on l'aime tellement.
| Par Braham (Braham) le lundi 13 mars 2006 - 22h57: |
Les Juniors
