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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Mars 2006: Archive jusqu'au 15/mars/2006-2
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le mercredi 15 mars 2006 - 12h07:

La Douda,
Tu as peut etre raison, il vaut mieux risquer sa vie et celles de ses enfants et ecouter des propos calmants du genre il faut rester vigilant, il faut combatre sur place.
Peux tu me dire, ce que tu conseillerais a qqun dont les enfants ne veulent plus aller a l'ecole car ils sont victimes de leurs camarades de classe qui les traitent de sale juif.
Explique moi comment il pourait se defendre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mercredi 15 mars 2006 - 11h07:

Douda

Bravo! Henri,

Alors pour toi, annoncer :

- “venez chez nous et vous vous y sentirez comme chez vous”, ( cela est-il condamnable ?)

- Nul ne peut se revendiquer raciste, et surtout pas nous les Tunes, sous peine de nous retrouver : TOREIBA, ( Ne condamne tu pas le racisme?)

- Foutre la trouille à son prochain, pour qu’il se tire, en abandonnant le fruit de toute une vie,,, (Cautionnerais une telle lacheté ?)

- Alors pas de pays du diable, parce qu’il se cache partout, rien ne sert de le fuir, mieux vaut le combattre là où il est. ( Interdit-tu le droit de se défendre pieds à pieds ?)

...etc... et tout ça s’appellerait “ sournoisement dénigrer Israël “ ?

Explique toi mon vieux, le débat sur ta BouleItik Propagandiste devient intéressant au plus haut point, accordes nous donc la charité de nous faire part de tes lumières,,, l'Ami éclairé,,,

De bonnes fêtes à Toi aussi,,,

Douda du PTB

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Henri (Henri) le mercredi 15 mars 2006 - 08h17:

La Douda chalom.

Il me semble que tu te trompes, en effet tu attaques MR Ben-Hayoun de Tekoa alors que ce n'est pas lui le probleme, mais bien l'antisemitisme virulent accompagne de violences graves sur les juifs de France, qui eux sont des faits reels et non pas de l'imagination.

Mr Ben-Hayoun ne "seme pas la trouille",mais rapporte des faits.

Parcontre toi tu essayes sournoisement de denigrer Israel.
Meme si Israel n'est pas parfait, il offre tout de meme une securite que la France n'a jamais offert ni dans le passe ni dans le present.

De toutes facons chacun est libre de dire ce qu'il veut, si toi tu n'es pas concerne par ce qui se passe en France,laisse nos freres juifs de France decider de leur avenir,personne ne les oblige de partir ou de rester, mais comme on le dit si bien, une homme prevenu en vaut deux .

Hag pourim sameah.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le mercredi 15 mars 2006 - 06h20:

Bonjour,

Je suis un admirateur inconditionnel de Mr Daniel Cohen professeur à l'Ecole nationale supérieure.

Je reve tant de posseder un autographe de cet illustre et au combien genial professeur .

Pourriez vous m'aider dans ma quete du "Saint Grall" ?

Recevez mes salutations.

Sébastien

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 15 mars 2006 - 05h53:

Aux ordres de Vichy (info # 011403/6) [analyse]
Par Viviane Miles © Metula News Agency



Il y a un an, Raphaël Delpard publiait un livre intitulé « Les convois de la honte – enquête sur la SNCF et la déportation » [lire l’article que Guy Millière avait consacré à cette remarquable enquête]. Aujourd’hui, le journaliste, historien et écrivain consacre un nouvel ouvrage à cette période : « Aux ordres de Vichy – enquête sur la police française et la déportation » [1].


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Avant de décrire le rôle que la police française a joué durant la 2ème guerre mondiale, Delpard s’attache, dans un premier temps, à dépeindre avec minutie le contexte aussi tragique que passionnant dans lequel son pouvoir a pu éclore. Il détaille le climat qui prévalait à la veille de la guerre dans cette société française à la dérive, aux valeurs archaïques, sous industrialisée par rapport à l’Allemagne et à l’Angleterre, connaissant un déclin démographique et une agriculture improductive, subissant une grave crise financière. Tous ces éléments formant un terreau propice à l'avènement de mouvements réactionnaires et fascistes, tous désireux de "sauver la nation".



C’est ainsi que voient le jour divers groupes, dont l’Organisation secrète de l’action révolutionnaire, surnommée la Cagoule, organe d’autodéfense contre le communisme et le désordre duquel l’ancien président Mitterrand fit partie, puis le Sol (Service d’ordre légionnaire) et la LVF (Légion des volontaires français), qui justifient leur violence par la menace d’un putsch communiste.



Lorsque l’Allemagne envahit la Pologne, le 1er septembre 1939, la France prend rapidement conscience de la faiblesse et de l’anachronisme de son armement. Le gouvernement présidé par Paul Reynaud, dans l’incapacité de bloquer l’avancée des Allemands lorsqu’ils s’en prennent à la France, quitte la capitale pour se replier à Vichy. « Georges Mandel et Charles de Gaulle (…) militent pour une poursuite de l’offensive depuis l’Afrique du Nord. Pétain et le général Weygand se positionnent, quant à eux, pour un armistice entraînant de facto l’arrêt des combats. C’est finalement la ligne de Pétain qui l’emporte. Raynaud, découragé et épuisé par la longue bataille parlementaire qu’il a arbitrée de son mieux, démissionne et propose à Albert Lebrun, président de la République, de nommer Philippe Pétain à la présidence du Conseil. ». Ce dernier reçoit démocratiquement les pleins pouvoirs des deux chambres et signe une convention d’armistice avec Hitler, qui place 60% du pays sous le contrôle de l’armée allemande.



La France de ‘40, vaincue, tente péniblement de retrouver une place quelconque sur l’échiquier européen ; pour remonter la pente et assainir ses finances, elle choisit de créer un nouveau régime où la liberté est supplantée par la nécessité de l’ordre.



Delpard démontre comment, dès ce moment, le Conseil vote de nouvelles lois qui défient les principes fondamentaux de la République. Les premières sont des mesures discriminatoires contre les étrangers, principalement les juifs. Puis viennent celles contre les opposants au nouveau régime, communistes, francs-maçons, sympathisants du général de Gaulle etc.



Sous une plume sans concessions, mais qui sait rester sobre et précise, l’historien permet au lecteur de comprendre l’adhésion d’un grand nombre de Français à la politique du maréchal Pétain, auréolé d’une popularité acquise dans les tranchées en 14-18. C’est une figure rassurante dans cette période de troubles et d’incertitude ; c’est ce qui explique qu’une partie importante de la population fut persuadée qu’il n’y avait pas d’autre solution pour le bien du pays que de collaborer avec l’occupant, comme le préconisait le Maréchal. Voulant d’ailleurs empêcher la mainmise de l’Allemagne sur la direction des institutions françaises et demeurer, tant que faire se peut, maître à bord, Pétain devance fréquemment les injonctions de l’envahisseur germanique en imposant lui-même des mesures de plus en plus répressives.



Dans l'atmosphère funeste de l’époque, les Juifs sont considérés par le gouvernement et une partie de la population comme les principaux responsables de la mauvaise situation économique et des difficultés que connaît le pays. Souvent originaires de pays d’Europe centrale, ils sont assimilés aux communistes, et considérés, à ce titre, doublement coupables de polluer leur terre d’accueil. Sans eux la vie serait plus facile ; il faut donc les écarter de la société et confisquer leurs biens. Si la France ne partage pas tous les objectifs de l’Allemagne, il n’en demeure pas moins que Vichy a une certaine convergence d’intérêts avec le régime nazi, et que personne ne peut nier ses penchants antijuifs, xénophobes et racistes.



C’est ainsi que, sans véritablement rencontrer d’opposition, le pouvoir met en place, petit à petit, les jalons d’une gigantesque machine au service de l’occupant, accomplissant souvent les besognes ingrates que les Allemands évitent de faire eux-mêmes. De nouveaux services de police sont créés, comme par exemple les GMR, les groupes mobiles de réserve, qui se distinguent, en particulier, lors des rafles des 16 et 17 juillet 1942 au Vél’ d’Hiv, par leur violence.



Toujours par la crainte affichée – mais surtout au prétexte totalement illusoire – d’un coup d’Etat bolchevique, Pétain, comprenant que pour assurer son autorité, il lui fallait une police forte, accorde des pouvoirs absolus aux renseignements généraux et à la police. De police de sûreté, celle-ci se métamorphose en police nationale. Un fichier recensant tous les Juifs est constitué, qui servira avec une efficacité redoutable lors des rafles.



Delpard, citant une étude de Maurice Rajfus sur la police de Vichy, relève avec justesse l’état d’esprit du fonctionnaire de police, qui obéit sans états d’âme aux ordres, avec le sentiment d’ « accomplir son devoir national ».



En janvier ‘43, Joseph Darnand, lui aussi héros de la Grande Guerre, crée la Milice, chargée du maintien de l’ordre sur le territoire français. Milice qui apportera un soutien sans faille à la Gestapo. Rassemblant aussi bien des patriotes authentiques mais paumés et des émules de l’ordre à tout prix que des voyous prêts à en découdre avec les étrangers, la Milice sème la terreur sur son chemin. Les jeunes qui rejoignent ses rangs sont entre autres motivés par le prestige de l’uniforme, le goût du pouvoir et de l’argent et une sensation d’impunité.



La ligne fasciste se dessine de façon visible au sein de la police nationale. Le régime pousse les policiers à faire preuve de zèle, les y encourage par de l’avancement et des promotions. Se basant sur une étude de Claude Angeli et Paul Gillet, l’auteur relève le climat de suspicion qui règne entre les policiers eux-mêmes. Les dénonciations sont monnaie courante, pas seulement parmi la population mais également dans les services de police. Le moindre refus d’exécuter un ordre est considéré comme une attitude anti-française, une trahison. Ceci explique que très peu de policiers ont désobéi. Ceux qui ne partageaient pas les convictions du pouvoir n’avaient d’autre alternative que de se soumettre ou de démissionner. Précisons que la décision de démissionner impliquait de ne pas trouver un autre travail, de ne plus pouvoir nourrir sa famille et, surtout, de s’exposer aux soupçons des fascistes, toujours à l’affût des comportements résistants.



Dans le courant 1943, certains policiers, dans un sursaut républicain, créent toutefois des groupes de résistants. Le plus bel exemple cité par Delpard est celui de sept policiers de Nancy, qui mettent tout en œuvre pour empêcher les rafles de Juifs de la région. Mais c’est souvent individuellement que les policiers résistent, prévenant les gens qu’une rafle se prépare ou fournissant de faux papiers d’identité.



Si au début de la guerre la population est relativement indifférente au sort des étrangers, et même satisfaite qu’ils soient évincés de la vie publique et privés de certains droits, une grande partie d’entre elle n’approuve pas la violence à l’égard des Juifs, ni les déportations, surtout lorsque les enfants sont brutalisés. Parallèlement aux réseaux de résistants, des citoyens ordinaires accomplissent en toute simplicité des gestes pour aider des Juifs. Raphaël Delpard nous fait part de témoignages bouleversants qui prouvent que la France profonde n’est pas sur la même longueur d’ondes que son gouvernement : prenant parfois des risques considérables, des familles françaises cachent des Juifs chez eux, des employés de mairie établissent de faux certificats. En règle générale, l’Eglise française joue également un rôle salvateur, qui permettra de protéger une quantité non négligeable d’enfants juifs.



L’écrivain, sortant de son habit d’historien, affirme la non inéluctabilité de la soumission au pouvoir d’occupation. D’autres pays européens, également sous la botte allemande, n’ont pas eu la même attitude que la France envers leurs ressortissants juifs. Delpard cite le Danemark, la Bulgarie, la Belgique et la Hollande, qui, eux, ont œuvré afin de protéger leur population juive de la déportation et de la mort.



Plus qu’une dénonciation du rôle des policiers pendant la 2ème guerre mondiale, cet ouvrage excellemment étoffé de documents officiels de l’époque, souvent peu connus, ainsi que de poignants témoignages, nous offre une étude d’une impressionnante lucidité pour nous aider à saisir le vertigineux engrenage qui a mené à la déresponsabilisation des fonctionnaires de police français.



Essentiel pour savoir et se souvenir de ce que fut la France il y a seulement une soixantaine d’années.



Impératif également, à mes yeux, pour avoir conscience qu’un gouvernement n’est pas infaillible et qu’un glissement vers le totalitarisme est toujours possible, s’il ne place pas au sommet de ses préoccupations la nécessité – qui ne va pas de soi du tout – de respecter et protéger activement TOUS les citoyens de la nation.



Cet ouvrage définit le fait que personne n’est jamais "un peu raciste" ou "un peu xénophobe". Ce sont simplement les circonstances qui, parfois, permettent de donner libre cours à ces déviances. En 39-45, ces circonstances ont été réunies ; de nos jours, certaines fois, en observant le traitement par les instances étatiques de l’Affaire A-Dura, les réactions au jugement d’Edgar Nahum-Morin, ou la torture d’Ilan Halimi, il faut se reposer les questions de base. La relation entre le pouvoir en France et les fléaux que sont le racisme, la xénophobie et l’antisémitisme, présente des tentations jamais classées ni enterrées, qu’il faut toujours caractériser avant qu’elles ne resurgissent.



Les questions sur les motivations qui ont poussé un grand nombre de nos compatriotes à agir en monstres dans la période de l’Occupation nazie n’ont pas toutes reçu de réponse. Aujourd’hui encore, elles n’ont rien perdu de leur actualité… Avec le gaullisme, qui a présenté fallacieusement au jugement de l’Histoire tous les Français comme des résistants et des vainqueurs de la 2ème guerre mondiale, des cicatrices profondes n’ont pas pu se refermer. Et elles rejaillissent comme autant de blessures vives au fil des cahots de la politique et des soubresauts de l’itinéraire des peuples et des minorités.



Le travail de Raphaël Delpard fait le chemin à l’envers. Il nous plonge le museau dans les vérités historiques, dans le but d’en exorciser les dangers. Une fois pour toutes. De la seule manière qui fonctionne, en nous confrontant à notre passé tel qu’il fut et pas comme on nous l’a raconté, ou comme on aurait préféré qu’il fut…





Note :



[1] Raphaël Delpard, Aux ordres de Vichy : enquête sur la police française et la déportation, Paris, Editions Michel Lafon, 2006, 325 p.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le mercredi 15 mars 2006 - 00h52:

Les enfants de Dieudonné,

Michel Gurfinkiel

Fofana et les "Barbares" sont écroués. Mais les violences continuent. Analyse d’une dérive.

Valeurs Actuelles n° 3615 paru le 10 mars 2006

La totalité de l'article à l'URL (à placer dans votre barre de navigation)

http://www.valeursactuelles.com/magazine/france/visu_france.php?num=3615&position=1&nb=2&affiche=

Ramené en France le 4 mars, après une dizaine de jours de cavale en Côte-d’Ivoire, Youssouf Fofana – le cerveau du “Gang des barbares” – a été mis en examen pour “association de malfaiteurs, enlèvement, séquestration en bande organisée avec acte de torture et de barbarie” et, enfin, “assassinat” sur la personne du jeune Ilan Halimi. Les juges d’instruction ont également retenu la circonstance aggravante d’antisémitisme, comme ils l’avaient laissé entendre le 20 février. Les premiers éléments de l’enquête confirment en effet que l’appartenance d’Ilan à la communauté juive a joué un rôle non négligeable dans son enlèvement lui-même et dans les sévices atroces qu’il a subis.


Reste à déterminer s’il s’agit d’un cas isolé, d’une aberration, ou, au contraire, du début d’un nouveau cycle de violences en France. La seconde hypothèse est prise au sérieux au ministère de l’Intérieur, chez de nombreux élus locaux et chez les responsables communautaires juifs.


Le vendredi 3 et le samedi 4 mars, en moins de vingt-quatre heures, trois personnes de confession juive ont été attaquées sur la voie publique à Sarcelles, en Seine-Saint-Denis. Deux d’entre elles ont subi des coups et blessures, une autre, un vol sous contrainte (« dépouille »), assorti de menaces. Les agresseurs étaient issus, comme Youssouf Fofana et le noyau dur des “Barbares”, de l’immigration musulmane africaine. D’autres incidents graves du même type se seraient déroulés, au cours des derniers mois et semaines, avant même qu’Ilan Halimi ne soit enlevé.


Samy Ghozlan, élu local UMP et ancien commissaire de police, a pu vérifier la réalité de huit affaires, dans plusieurs départements : « Y compris, note-t-il, le cas d’un médecin, attaqué, voici trois semaines, en bas de chez lui, battu, dépouillé et laissé nu sur la chaussée. »


Claude Barouch, le président de l’Union des patrons et professionnels juifs de France (UPJF), indique qu’il reçoit « tous les jours, des emails, des fax, des appels téléphoniques » relatant des agressions de tout ordre : « Le ministère de l’Intérieur a publié des statistiques faisant état d’une baisse des actes antisémites en 2005. Cela ne correspond pas à ce que nous constatons, au moins depuis la fin de l’année dernière. Et le fait le plus préoccupant, en effet, c’est la montée des jeunes d’origine africaine parmi les agresseurs. »


Pourquoi cette “transition ethnique” – des Beurs, impliqués dans les violences antijuives du début des années 2000, aux Blacks d’aujourd’hui ? Une enseignante du Val-d’Oise estime qu’une partie au moins des jeunes d’origine maghrébine sont désormais « en train de s’intégrer » à la société française : moins d’échec scolaire, moins de discrimination ou plus de "discrimination positive". Ce qui n’est pas le cas, ajoute-t-elle, des jeunes d’origine africaine. « Pour la plupart d’entre eux, ils viennent de sociétés qui ne connaissent pas l’écrit. Et ils grandissent dans des environnements familiaux effarants : polygamie, promiscuité, absence totale des repères traditionnels occidentaux… » Les casseurs noirs étaient au premier rang des émeutes urbaines de novembre 2005. Par une sorte de glissement naturel, ils seraient désormais au premier rang des agressions antisémites.


Simon Lévy, porte-parole de la Ligue de défense juive (LDJ), ne partage pas cette analyse. Selon lui, le racisme antiblanc et l’antisémitisme seraient aussi répandus chez les Antillais que chez les Africains, et plus virulent dans certains milieux intellectuels ou artistiques que dans le "sous-prolétariat" : « Il est clair que ce phénomène est passé à la vitesse supérieure avec Dieudonné. L’ex-humoriste manipule une communauté noire en quête d’identité. À travers l’antisémitisme, il lui donne une doctrine, un combat, une nouvelle représentation de son passé et de son destin collectif. »


... La suite à l'URL :

http://www.valeursactuelles.com/magazine/france/visu_france.php?num=3615&position=1&nb=2&affiche=

Michel Gurfinkiel

© Valeurs Actuelles

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mardi 14 mars 2006 - 23h09:

Salut Bébert,

Désolé de répondre si tard à tes rouges et noirs écrits, couleurs et dichotomie, qui permettent de mieux saisir qu’il n’y a aucun lézard dans le potage,,, car tu es bien connu l’ Ami,,, c’est pas du tout ton genre!

Meir Ben-Hayoun de Tekoa, représente le cas type de celui qui cherche à semer la trouille, parmi ses coré légionnaires, au lieu de déclarer, “venez chez nous et vous vous y sentirez comme chez vous”, et bien non il préfère déclarer, “ vous allez bien voir, pour vous ça sera le cercueil ou la valise !”, manque de pédagogie, l’idiot de village, qui ferait mieux de prendre des cours de marketing,,, Ah,Ah,Ah,,,

Non Bébert, nul ne peut se revendiquer raciste, et surtout pas nous les Tunes, sous peine de nous retrouver : TOREIBA, et rien de moins, nous n’avons pas à nous traîner dans la fange des barbares, qui ont commis le crime des crimes, ça serait nous rabaisser au même niveau que cette racaille.

Quant à m’balla m’balla sa condamnation ne fait que commencer : Dieudonné condamné à 5.000 eurent d'amende pour propos racistes et injures ,,,et le tour des barbares suivra, t’en fais pas !

Alors pas de pays du diable, parce qu’il se cache partout, rien ne sert de le fuir, mieux vaut le combattre là où il est, quand aux barbares, les lieux de relégation, ou de bannissement ne manquent pas, là où précisément il subiront en plus le supplice du concombre enduit de mayonnaise.

Qu’on se le dise, Bord,,, et merci pour la pièce de théâtre,

Douda du PTB

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mr_Jano (Mr_Jano) le mardi 14 mars 2006 - 18h10:

ADRA…CATA…GHASSRA…DAHKA….

CABALLERO….LE COUTURIER DE SES MESSIEURS ET DAMES.


Caballerro est un couturier qui a lance la mode des costumes blindés, chemises comprises et veston en cuir.
Des modélistes israéliens et colombiens travaillent pour lui.
Il est connu par les hommes politiques du monde entier qui s’adressent à lui pour la confection de leurs vêtements.

CHANSON CABALLERO...


‘…Caballero créateur du blindaAAAAge.
Il fallait y penser à son idée d’ géniIIIe..
Par les temps ..PAR LES TEMPS qui courRRRent, nous devrions tous nous habiller bliIIIIndés. OLLEEEEEEEE.§§§§/////

Kippas vestes et compleEEEEts
Une précaAAAution pour notre sécuritéEEEE
Qui se trouve ..QUI SE TROUVE….malmenée dans notre pays enchantéEEEE.

LLALALALA..§§§§§§§§

Il vaut mieux se prémunir de toutes sortes de côtes de MAIIIIIIIIILLES
COTES QUI VAIIIIIIIIIIILLENT……………….§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
MAILLES QUE MAILLLLLLLLLLLLLLLLLLLLES…§§§§§§
Contre toutes sortes de violence comme au moyen-age, les barbaAAAres
Sont làAAAAAAAAAAA../////

Je compléterai mon arsenal d’un carquois avec flèEEEEches empoisonnées
Que je décocherai à la nuit tombée sur tous ces manants assassins.

Va falloir ..VA FALLOIR…….Revêtir la casaque mon cher Lévy et toi Samy
Ils sont partout à Paris, Ivry et A …………….Mante la joliIIIIIIIIIIIIIe.

Peut être faudrait t’il penser à parader dans des tanks
Genre bien habillés une idée à creuseEEEEr….§§§§§§

JANO CABALLERO DEL PTBO….

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 14 mars 2006 - 17h27:

Vendez vos actions, moi je les ai en GRACE...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le mardi 14 mars 2006 - 17h10:

reponse a cyber -G
ALORS SI JE COMPRENDS BIEN,ON VA LE PENDRE....
DIVAGATIONS DE POURIM...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le mardi 14 mars 2006 - 17h06:

Michka
c'est la verite;c'est un phenomene qui se poursuit depuis deja plusieurs annees;