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Archive jusqu'au 16/mars/2006-2

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires Mars 2006: Archive jusqu'au 16/mars/2006-2

Par Michka (Michka) le jeudi 16 mars 2006 - 11h58:

Henri, ta réflexion est juste et elle rejoint celle de Shmuel Trigano qui en parle de manière approfondie dans son dernier livre.

L'AVENIR DES JUIFS DE FRANCE

Par Shmuel Trigano
Editions Grasset

Du phénomène antisémite qui a marqué le débuts des années 2000, on ne retient généralement que des explications idéologiques ou psychologiques, sans voir qu'il trouve son origine dans l'évolution même de la société française bien plus que dans les circonstances du conflit du Moyen-Orient.

Le modèle d'identité juive hérité de l'après-guerre, conjuguant appartenance et citoyenneté, est devenu impossible.

Telle est la thèse défendue par ce livre. Le déclin de la nation, le choc démographique découlant de l'immigration, la dérive des institutions juives représentatives, pour une partie d'entre elles instrumentalisées par la politique politicienne depuis l'ère miterrandienne, tout concourt à le rendre caduque.

Pour les Juifs de France, comme pour une forme de démocratie, celle de la laïcité ouverte, une époque se referme qui laisse place à la fois au trouble et au désarroi.

Y a-t-il encore un futur pour les Juifs de France ?

A travers l'analyse des scénarios possibles de l'avenir, dans une confrontation inquiète et lucide avec la réalité, Shmuel Trigano interroge non seulement le devenir des Juifs mais celui de notre société tout entière à laquelle il tend un miroir inattendu.

COLLOQUE sur le thème :

LES JUIFS DE FRANCE FACE A LEUR AVENIR
Etats des lieux actuel et analyse des scénarios du futur.

Dimanche 26 mars 2006 de 15h à 19h
Auditorium de l'Espace Rachi

Conférence d'ouverture de Shmuel Trigano Professeur des universités.

Réservations Info J : 01 48 74 29 87
Union des CCJ : 01 56 20 26 26

P.A.F. : 12 euros

Par Henri (Henri) le jeudi 16 mars 2006 - 11h18:

Girelle chalom.

Une remarque au sujet de ta phrase
"Mais, on ne peut pas affirmer que les trente six dernieres annees ont vu un martyr permanent des juifs en France."
Pour celui qui a une vue acceree, il a vu venir (le martyr) ce qui se passe malheureusement aujourdh'ui.
Et pour celui qui a une vue normale,il est grand temps de decider avant qu'il ne soit trop tard.

En cas de conflit/guerre au moyen-orient/Iran, je ne voudrais pas etre en Europe, car ce sont toujours les juifs qui ont ete les premiers touches.
Je n'essaye pas de "foutre la trouille" mais je dis ce que je pense.

Chalom et brakha.

Par Henri (Henri) le jeudi 16 mars 2006 - 08h05:

La Douda chalom,

De quelle insulte parles tu?

Si tu t'exprimerait normalement je comprendrais ce que tu racontes.
Comme le disait qqun il y qq jours tu parles commes les politiciens, qui tres souvent parlent expres de facon incomprehensible pour noyer le poisson.
Tu sais lorsque qqun ne veut entendre que ses propres paroles, on finit par lui dire "tu as raison", pour qu'il nous foute la paix.
Critiquer et se moquer c'est tres facile, mais donner des solutions c'est une autre paires de manches.
Tu n'as encore pas donner TON conseil a ce maleureux pere dont les enfants ne veulent plus aller a l'ecole.
Essaye de te concentrer sur cette question,sans faire intervenir ni Cassandre ni Batih.

Par Mena (Mena) le jeudi 16 mars 2006 - 09h00:

Et les murs de la prison de Jéricho churent (info # 011503/6) [analyse]
Par Sami El Soudi © Metula News Agency

Quelques heures à peine après qu’Akhed Abou Goulmi eut déclaré sur Al-Jazeera "notre prison est encerclée de toutes parts par les Israéliens, ils nous demandent par haut-parleurs de sortir, mais nous n’allons pas nous rendre, nous ferons face à notre destinée avec courage", Goulmi, de même que ses quatre co-détenus du FPLP et le brigadier général Fouad Sh’baki, s’extirpaient du bâtiment central de la geôle de Jéricho. Ils tenaient les bras le plus tendus possible vers le ciel afin que les militaires israéliens ne se méprennent pas sur leurs intentions.

Les prisonniers du centre de détention s’écroulèrent avant ses murs, et cette fois-ci, les Juifs n’eurent même pas à sortir leurs trompettes. Dix heures de siège étaient venues à bout de la bravoure de ceux qui avaient, le 17 octobre 2001, commandité et commis l’assassinat à l’hôtel Hayatt de Jérusalem du ministre israélien du Tourisme d’alors, Rekhavam Zéévi.

Afin d’éviter tout malentendu, je précise qu’ils n’avaient pas été condamnés par les Israéliens mais par la justice palestinienne, rendue par Yasser Arafat en personne dans les murs de la Moukata de Ramallah.

Le sixième larron recherché par l’armée israélienne, Sh’baki, de son nom complet Fouad Hindi Hijazi Sh’baki, était le bras droit et confident d’Arafat, ex-chef de la comptabilité du Service de la Sécurité Générale, chargé par l’ancien raïs de l’approvisionnement en armes illégales de l’Autorité Palestinienne, de la rémunération des terroristes et de leurs familles ainsi que de la conception d’assassinats collectifs sur le territoire israélien. Sh’baki fut, entre autres, l’armateur du dernier voyage du Karin-A, un bateau bourré d’armes et de munitions, arraisonné dans la nuit du 3 au 4 janvier 2002 dans le Golfe d’Akaba par des commandos marins israéliens au cours de l’opération Arche de Noé. Au moment de son interception, le Karin-A se trouvait entre l’Egypte et l’Arabie Saoudite, à environ 500 kilomètres du port d’Eilat.

L’exposition des armes saisies sur les navires Karin-A et Santorini

De quoi lever une armée…

Sh’baki et les assassins de Zéévi avaient trouvé refuge à la Moukata de Ramallah, sous l’aile protectrice d’Arafat. Les Israéliens, bien décidés à appréhender ces individus, avaient entrepris, au premier tiers de 2002, de détruire des pans entiers de la tanière du raïs et menaçaient de l’investir entièrement. Ce fut à la suite d’une mission de bons offices internationale qu’un compromis fut trouvé : les six purgeraient leur peine dans une prison palestinienne mais sous le regard d’observateurs américains et britanniques. C’est à ces conditions qu’ils furent transférés à Jéricho.

L’affrontement d’hier est en fait dû à une décision d’Ismaïl Hanya, le responsable du Hamas pressenti pour occuper les fonctions de 1er ministre. Hanya avait persuadé le président de l’AP Mahmoud Abbas de ne pas s’opposer à un plan visant à faire libérer les condamnés. Abbas avait alors déclaré, dans le courant de la semaine dernière, qu’il était disposé à faire libérer Ahmed Saadat, le chef et planificateur de l’opération ayant abouti à l’élimination de Rekhavam Zéévi.

Pour le Hamas, il s’agissait de faire la preuve de son nouveau pouvoir, de son patriotisme et de démontrer qu’il ne craignait pas l’autorité du Fatah, pas plus que celle des Occidentaux et des Israéliens. Mettant son projet à exécution, le Hamas s’organisa pour que les observateurs anglo-américains de la prison de Jéricho soient les cibles de menaces et de nombreuses manœuvres d’intimidation. Jusqu’à ce qu’hier, à 9 heures du matin, leurs gouvernements respectifs décident de les retirer de la centrale de Jéricho, mettant ainsi fin, prématurément, à leur tâche d’observation.

Les Israéliens furent mis au courant, tout comme l’AP, un quart d’heure après ce retrait. Toutefois, Tsahal, qui suivait de près les manœuvres d’Hanya, avait posté un peloton d’intervention à proximité de Jéricho. Dès la rupture de l’accord de 2002 par la faute de nos représentants, les soldats de Jérusalem encerclèrent rapidement la prison, alors qu’une seconde force tenait les habitants de la ville à bonne distance et assurait un cordon de communication avec des unités de réserve restées à l’extérieur de l’agglomération.

Dix heures durant, le commandant des forces régulières de l’Autorité servit de négociateur entre les Israéliens, les six, les autres prisonniers et les quelques 200 policiers qui assuraient la garde du pénitencier. Le commandant de brigade palestinien entra et sortit à sa guise du périmètre de la prison, jusqu’à la tombée du jour, lorsque les Israéliens acquirent la conviction qu’ils perdaient leur temps avec cette médiation. Ils signifièrent alors à notre commandant de brigade que sa mission était interrompue et qu’il était désormais leur prisonnier. Ils lui dirent qu’ils allaient incessamment donner l’assaut à la place, ponctuant leur menace par le tir d’un missile depuis un hélicoptère et de quelques obus de la gueule de leurs tanks.

Le commandant de brigade put encore téléphoner à ses hommes encerclés et leur faire cette annonce dramatique : "j’ai fait tout ce que j’ai pu, il n’y a pas d’issue, maintenant, c’est chacun pour soi !". S’ensuivit un bref mais violent échange de tirs d’armes automatiques, à l’issue duquel les policiers se rendirent, suivis bientôt par les autres détenus, que les six comptaient utiliser comme boucliers humains. Trois de nos policiers perdirent la vie durant la fusillade et une dizaine furent blessés avant d’être transportés vers des hôpitaux israéliens.

c:/

Les policiers se rendent

En sous-vêtements, pour montrer qu’ils ne portent pas de ceinture explosive

Les assassins du FPLP ainsi que le confident d’Arafat, livrés à eux-mêmes, se rendirent instantanément. Ils ont été emmenés dans un camp secret des renseignements de l’armée pour y subir un interrogatoire en règle. Si pour le commando du FPLP, il s’agira surtout de les rejuger devant une vraie instance judiciaire, le questionnement de Fouad Sh’baki s’annonce autrement plus important pour l’IDF (l’armée d’Israël. Ndlr). Sh’baki est au courant des liens structurels et fonctionnels qui liaient l’AP à l’Iran et au Hezbollah, puisqu’il en assumait l’activation ; de plus, il aura beaucoup de choses à raconter aux enquêteurs au sujet de l’attribution des fonds aux activités terroristes, et notamment de l’argent reçu de l’Union Européenne. De fait, ces interrogatoires, c’est précisément ce qu’Arafat avait tenté d’éviter en acceptant le compromis de Jéricho.

Ismaïl Hanya a mis les pieds dans le plat et il a même cassé l’assiette. D’abord, les prisonniers, des suites de son initiative, vont passer du camp de vacances que constituait la geôle de Jéricho à des cellules hostiles contenant une douzaine de détenus chacune. Lorsque l’on purge une peine à perpétuité, c’est assurément bien plus qu’un détail. Ensuite, le Hamas a fait la preuve de son absence de pouvoir, de son amateurisme et de son inexistence par rapport à l’armée adverse, à ses moyens, à son intelligence. Et pour finir, il s’est aliéné, ainsi qu’à la nouvelle Autorité Palestinienne et à son ancien président, la confiance des Américains et des Européens, qui soutiennent, sans s’en cacher, les mobiles de l’intervention israélienne.

Et ce n’est pas tout… sitôt la nouvelle de l’arrestation de Saadat et de Sh’baki connue, diverses factions armées se sont emparées, à Gaza, de coopérants et de journalistes étrangers. Des anglo-saxons, mais également des coopérants helvétiques de la Croix Rouge, un reporter coréen, etc. Les commandos de la Sécurité Préventive de Dahlan s’occupaient, hier soir et ce matin, de libérer ces otages les uns après les autres. Car il s’agit bien d’otages : un coopérant américain, appréhendé par des membres du FPLP, a été informé qu’il répondait par sa vie des éventuels mauvais traitements que les Israéliens infligeraient à leurs camarades.

Les consulats occidentaux ont été attaqués ou incendiés à Gaza City. Le Centre culturel britannique a été brûlé. La situation est telle qu’hier dans la nuit, les forces de police palestiniennes ont évacué tous les étrangers se trouvant dans la bande de Gaza ! Cela comprend les conseillers européens du poste frontière de Rafah, ainsi que les dizaines de saintes personnes qui s’occupaient de notre santé, de notre éducation et de distribuer les vivres gratuits de l’aide internationale, dont est tributaire pour sa survie la moitié de la population gazatie.

On peut faire mieux lorsque l’on sait que l’on dépend de l’aide financière de ces pays pour assurer notre simple subsistance et faire face à nos dépenses de base – fonctionnaires, police, électricité, santé –. Ce matin, l’Europe a informé qu’elle transférait, malgré tout, 140 millions d’Euros destinés à nous sauver de la banqueroute. Tout apport supplémentaire dépendra des orientations du nouveau gouvernement, a précisé l’UE, sous-entendant de la reconnaissance par le gouvernement Hamas du droit d’Israël à exister et du respect de tous les engagements et traités acceptés par l’AP jusqu’à nos jours.

Inutile de dire que personne ne parle plus de l’instauration d’un Etat palestinien, les Palestiniens n’y pensent même plus. Nous sommes engagés dans la lutte pour le triomphe de l’Islam contre les hérétiques, et cette nuit nous avons remporté une éclatante victoire : nous les avons tous mis en fuite. Bientôt nous progresserons, nous approchons du grand sacrifice… et je ne suis pas d’humeur à plaisanter.

Par Francois (Francois) le jeudi 16 mars 2006 - 07h46:

Des juifs américains au secours des juifs français

«Asile américain pour les juifs français», tel est l'intitulé d'une pétition qui circule à Los Angeles : «Après la torture barbare et l'assassinat d'un jeune juif de Paris, parce qu'il était juif, dans un contexte où l'antisémitisme islamique augmente dans ce pays (...), nous pensons que l'Amérique, fidèle à sa tradition d'offrir l'asile politique aux gens en danger dans leur propre pays devrait leur ouvrir ses portes. Nous demandons au Congrès de passer une loi accordant le statut de réfugié aux juifs français.» Quelque 5 000 personnes ont paraphé cette pétition lancée par des juifs d'origine française vivant aux Etats-Unis. Leur inquiétude n'a pas épargné les juifs de Californie. Choqué par le meurtre d'Ilan, le rabbin Nachum Kosofski a invité le consul général de France à Los Angeles, Philippe Larrieu, à parler dans sa synagogue pour s'expliquer sur la France, l'antisémitisme et la République.

A l'entrée de cette congrégation orthodoxe on lit une oraison funèbre : «A la mémoire d'Ilan», écrite par Judea Pearl, le père du journaliste Daniel Pearl assassiné au Pakistan : «Ne restons pas silencieux autour de ta tombe, Ilan, aucun repos (...) jusqu'à ce que le climat raciste de ton meurtre soit jugé au tribunal de l'histoire. Jusqu'à ce qu'un autre Zola se lève avec un J'accuse encore plus tonitruant, et que cette culture de la duplicité soit dénoncée comme infâme, comme le furent l'affaire Dreyfus et le traité de Munich.»

Le consul de France allait d'ailleurs s'exprimer sur ce terrain, reconnaissant qu'il y a eu «un problème d'antisémitisme en France», citant l'affaire Dreyfus et Vichy mais ajoutant que ce n'est pas une spécialité française : «Si les chiffres d'agressions antisémites ont baissé de 48 % en 2005 en France (...), l'organisation ADL (Anti-Defamation League) a recensé une augmentation de 17 % d'incidents antisémites aux Etats-Unis.» Problème général, donc, affirme le consul, qui tient à rappeler la «contribution de la communauté juive à la culture française» avec l'exemple de ses Premiers ministres juifs Léon Blum et Mendès France et «l'absolue détermination du gouvernement français à combattre l'antisémitisme». Les fidèles de ce quartier où alternent synagogues et restaurants casher (Los Angeles est la troisième ville juive au monde) semblent rassurés. Ils ne signeront probablement pas la pétition.
Source: http://www.liberation.fr/page.php?Article=367174

Pour démentir la torchoniste de Libé, faites circuler cette pétition à vos amis américains:
http://www.petitiononline.com/ID22206/petition.html

Par Soleil (Soleil) le jeudi 16 mars 2006 - 00h47:

Conférence du GRAND RABBIN DE FRANCE JH SITRUK - Lundi 20 Mars 2006 à 20H30:
La Communauté juive de Vitry, Rambam 94 et Rofé Médica ont le plaisir de vous inviter à ne pas manquer la conférence du Grand Rabbin de France Joseph Haïm Sitruk, qu’il donnera avec l’aide de D’. , le lundi 20 Mars 2006 à 20h30 sur le thème :
« Comment concilier l’action de l’homme et l’intervention de D’.. »,
Synagogue 127, av. Rouget de Lisle - 94400 Vitry Sur Seine.
Un rafraîchissement sera servi à l’issue de la conférence.
Comptant sur votre présence et sur votre fidélité.
Entrée libre. Parking gratuit. Info : 01 46 80 26 06 – 06 15 10 30 16.

Accès en voiture :
Périf. Sortie Porte de Choisy prendre la nationale N305 sur environ 5,5 km. La synagogue se trouve sur la droite après la station d’essence Esso.
Accès en transport :
- Bus 183 au métro Porte de Choisy.
Ou
- RER ligne C – Station Vitry Centre.

PS : Treize CD des conférences du Grand Rabbin gravés. Possibilité de vous les procurer au cours de cette soirée.
N° 1 « Une alliance éternelle ».
N° 2 « Israël : sa spiritualité ».
N° 3 « Faut-il faire son aliya ?».
N° 4 « Hommage au Rav Shakh : Un siècle de Torah ».
N° 5 « Israël et ses voisins ».
N° 6 « Le beau et le vrai ».
N° 7 « La reconnaissance ». (1ère Conf. du Grand Rabbin après son séjour à l'hôpital). N° 8 « Hespedim du mois du Rav Rabibo ».
N° 9 « Roch Hachana ».
N°10 « La prividence divine / Thora et Ski. ».
N°11 « ISRAEL et ISHMAEL : Comment résoudre le conflit. ».
N°12 «Hanouka : le sens de la lumière».
N°14 : « Le miracle de la mer rouge » (Cd dédié à la mémoire de Ilan Halimi zal, incluant les prières des 7 jours de sa disparition).

Par Mr_Jano (Mr_Jano) le mercredi 15 mars 2006 - 23h08:

Chanson.

Passe ce jour.

Paris le 15/03/2006

Breitou avec sa guitare et chapeau sombrero
est assis au centre de la scène est accompagné par ses meilleures actrices.. ;

TANGO DELLA MEDITAZIONE….

Ô RACIONE…

Breitou....

‘…GéEEErer….. /////§§§§§§§§§§§

Les tempêEEEEEtes ..///§§§§§§§§§§§
MaîIIIIIItriser ..///……………….La fureur océaAAAAne …§§§§§§…
Ou les brisants sur les blocs de bétoOOOOOOn§§§§§
…………………………………………………………
CanaAAAAA………Liser les éléments
CatastroOOOOphes naturelles….///§§§§

Ce n’est pas dans ma natuUUUUre….§§§§§§§

Elsa…..

FreineEEEEr le soOOOOOuuu ……FFLEEEE…..
Du veEEEEEEEEEEEEEEEnt
Prévoir la pluie ou le beau teEEEEEEEEEEEEEEEEEEmps
Ou encOOOOOore la terre treEEEEmblante ..§§§§§§.////

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Le réveiIIIIl …////
Des volcaAAAAAAAAAAAAAns
Ce n’est pas dans mes attributions D’inverser le cours des évènemEEEEEEents…§§§§§§§

MmmmmMMMMmmmmmm ….§§§§…..MMmmmmmMMMM
MmmmMMMMMMMMMM.§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Mamili…Reprend…

Ce n’est pas dans ma natuUUUUUUUUUUUUre
De remplacer le caractère de la natuUUUUUUUUUre.

Cette noble dame est en colèEEEEEeeeeeeeeeEre
J’ai comme l’impressiIIIIIIon..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Qu’elle nous serRRRRt….. .////..§§§§§§§§§§
Quelques plaiIIIIes ..///////
De trop grandes enverGUUUUUUUUUUUUUUres…§§§§§
La dernièEEEEre..////….
En daAAAAte..///
C’est la grippe aviIIIIIIIIaire..////§§§

Girelle…

CHIKOUGOUNIAAAAAAAAAAAAAAAAA..////
Vache foOOOOOOOOOOOOOOOOOOlle
Mauvais saAAAAAng…..
SidaAAAAAAAAA..
AH AHAHAHAHAHAAHAHAHAHAHAHAAHH …§§§§§§§
Tsunami mes amis….
Ebolla et HezbollaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh..§§§§§§§§§
Que de virus qui polluent notre atmosphèEEEEEEEEEEEEEEEEEre.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

La nature est en colèEEEEEEEEEEEEEEEEEEEre
Et personne ne peu rien y faiIIIIIIIIIIIIre…////
Pour gérer les calamités
Ce n’est pas l’affaire de l’ humAAAAanitIIIIIIé…§§§§§§§§

Michka….

PluiIIIIes de violeEEEEEnce
Sur nos temples
sacréEEEEEEEEEEEEEEEE…EEEEEEs..§§§
Larmes d’amertume sur nos tempes,
Nos froOOOOOOOnts plissès. §§§§§§§§§§§§§§§§

HaAAAAleiIIIIInes…../////
Qui puUUUUUUUUent la haiIIIIIIne
Sorties paAAAAr des voix aux teints blêmes ou café- crèEEEEme…
C’est l’affaire des assassins et barbares des ces quartiers
Que l’on connaîIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIt…..§§§§§§§
Ils sont complices et solidaires
Et le juif est plein de chagriIIIIIIIn..§§§§§§§§

Albert…

Je rêve taAAAAnt….
PoUUUUUurtaAAAAAAnt….§§§§§§
POURTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANT…§§§§§§
De caresser un matin de paix bien sereiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIn.//§§§§§§§§
EmMMMbraSSSSSSSSsser
Une auroOOOre à l’aAAAAAAAAAAAAAAube
EtreiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIndre …///…
Une iIIInconnuUUUUUUUUUe ……….
Dans la rue ou sous à un abri-bus de fortuUUUUUUUne
Pour lui diIIIIIre …………….Tout simplement
‘ Ma soeur…TE..QUIEROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO….. !
///§§§§§§§§§§§

SerreEEEEEEEEEEEEEEr …///////////////
……………………………………………………
La maiIIIIIIIIIIIIIn …///….
D’un inconnuUUUUUUUUU ……….
Qui me ressemble, enfIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIn……§§§§§§§§§§§§§§§§§
Et lui dire ‘Je t’aime… ! Mon frèEEEEEEEre… !’
Dans le fond de ses yeux gris/claIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIirs ..///§§§§§§§
Ou même sombres/obscures….
Lui dire…………’ Tu eEEEEs…………….. comme moiIIIIIII… !’

Hélas….. ! Hélas….. !

MMmMMMMM..MMMMmmm.MMMMM.MMM§§§§§§§§§

Tous ensemble…Le chœur…

PluiIIIIes de violeEEEEEnce sur nos temples sacréEEEEEEEEEEEEEEEE…EEEEEEs..§§§
Larmes d’amertume sur nos tempes, nos froOOOOOOOnts. §§§§§§§§§§§§§§§§
Non de Nonnnnnnnnnnnnnnnn. §§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

On voudrait pourtant…..//§§§§§ TaAAAAAAAAnt….
Caresser un matin sereiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIn….§§§§§§§§
Embrasser une auroOOOre à l’aAAAAAAAAAAAAAAube
Etreindre …///… Sur nos chemins…§§§§§§
Une iIIInconnuUUUUUUUUUe ……….
Dans la rue ou à l’arrêt d’un bus de fortuUUUUUUUne
Pour lui diIIIIIre …………….Tout simplement ……………………
‘ Ma soeur…On t’aiIIIIIIIIIIIIIIIme..’

On maîtriIIIIIIIIIIIIIIIse
Nos passions, nous§§§§§§
Qui ne sommes pas encore en pensioOOOOOOOOOOOOOOOn
Et ne méprisent les gens qui nous détournent la tête sans raiIIIIIIIIIIIson
Nous sommes de bons enfants ….. ( bel afiè ye diouen.. !)
Le pardon se lit sur nos froOOOOOnts…..§§§§§§§§§§ ( A voir )

Ô…RaisoOOOOOOOOOOOOOOOn….
Ô….RaisOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO..§§§§§§§§
Combien d’imcomprèhenSIONNNNNNNNNNNNNNNNNNN..§§§§§§§§§§§§§§§§

Par Citron (Citron) le mercredi 15 mars 2006 - 22h18:

exactement Michka
ce sont suppose etre les elites de la Tunisie et j ose esperer que ce ne sont qu une poignee.

mais ce qui m etonne le plus c le fait que dans les facultes tunisiennes (et j ai pas vu ca ailleurs)il existe un poste de police, pas en civil non, en service. lorsque l universite accueil des invites qui peuvent etre classes comme sensibles, par leur idees ou par leur appartenance politique ou meme par leur nationalite (on se rappel du colloque sur les Juifs de Tunisie tenu a la meme faculte il y a quelques annes, qui c parfaitement passe par ailleurs) il y a une presence discrete de la police qui assure le calme et la bonne tenue de l evenement.
ici des invites ont ete bouscules et proteges par des prof tunisiens, sans que la police intervienne !!!

un autre point, que je veux reprendre , j ai visite en 2002 une faculte a tunis, celle d eco et de droit, a l entree de ce grand campus de 8000 etudiants, les drapeaux Israelien et celui des USA etes peints par terre et chaque personne qui entre ou sort ne peut que les fouler !!!!! une faculte de droit !!! tu t imagines !!!!

dernier point , je veux juste dire que les tunisiens invitent tout le monde a ne pas faire d amalgame entre islam et islamisme et extremisme, alors qu eux meme melangent tous. c t une ceremonie organisee par une fac tunisienne pour honorer un chercheur tunisien et qui de surcroit offre sa bibliotheque a ces ignards, que vient faire le Hamas et des slogans a la con!

Par Michka (Michka) le mercredi 15 mars 2006 - 21h14:

Mon billet de ce matin sur radio Judaiques FM André Nahum

Lundi prochain, la Tunisie fetera le cinquantième anniversaire de son indépendance acquise le 20 Mars 1956, qui se soldera par l'exil de la quasi-totalité des 150.000 juifs du pays. Pourtant la majorité d'entre eux avait accepté le risque de vivre dans
un pays dont la constitution proclamait que "l'islam est la religion et l'arabe la langue".

Ils collaborèrent avec confiance et pour certains avec enthousiasme à la Tunisie nouvelle et lui apportèrent leur savoir, leur compétence et leur dynamisme.

Ce fut le cas des membres des professions libérales, des commerçants, des fonctionnaires des intellectuels qui eurent la naïveté de ne pas comprendre que l'on se servait d'eux pour assurer l'interim entre les cadres français qui partaient et les cadres tunisiens qui n'étaient pas encoree prêts.

Il faut tout de même rappeler qu'un certain nombre de juifs avaient lutté pour l'indépendance aux côtés des musulmans et furent arrétés et emprisonnés par les autorités coloniales françaises. L'historien Paul Sebag, décédé en France en 2004 était de ceux-là. Toute sa vie et son oeuvre furent consacrés à son pays natal auquel il était profondément attaché. C'est pourquoi il légua une partie de son importante bibliothèque à la faculté des lettres de la Manouba, Université de Tunis;

Le vendredi 10 mars 2006, la remise officielle de ce legs fut l'occasion d'un colloque scientifique dans cette faculté sur l'oeuvre de ce grand historien avec le concours de l'ambassade de France et de nombreux officiels.

Certains étudiants cependant manifestèrent avec violence leur refus d'accepter ce don d'un juif, communiste de surcroit, en malmenant la fille de Paul Sebag ainsi que Claude Nataf, president de la société d'histoire des juifs de Tunisie et en hurlant de slogans haineux contre les Juifs comme

"Les Juifs à la mer, Vive la Palestine, Vive le Hamas , destruction d'Israël, nous ne voulons pas de la bibliothèque de Paul Sebag un communiste stalinien, pas de Juifs à l'Université, nous tuerons tous les Juifs".

Certes, les autorités universitaires ont exprimé leurs regrets et leur excuses, nous apprend un communiqué du CRIF, ce qui est la moindre des choses, mais cela n'atténue pas le sentiment de stupéfaction, de colère et de douleur qu'une telle explosion de haine antijuive a entrainé chez les juifs originaires de Tunisie qui ont toujours voulu entretenir avec leur pays natal les liens les plus harmonieux voire les plus cordiaux.

Partis pour la plupart avec cinq dinars par personne en poche, ils n'ont gardé en memoire que le meilleur de leur antique passé là-bas et se sont comportés dans leurs pays d'accueil, France ou Israel, comme les meilleurs ambassadeurs de la Tunisie.

Alors tant de hargne au sein des éléments les plus cultivés de la société tunisienne, pays réputé tolérant et ouvert, laisse pantois et fait planer les plus grands doutes sur l'évolution des sentiments des société arabo-islamiques envers les juifs.

C'est trés préoccupant.

Par Sarel (Sarel) le mercredi 15 mars 2006 - 18h47:

Chers amis il y a deja quelques jours que suis les avis que vous emettez au sujet de la securite du juif en general et en France en particulier .J'avais ecrit un texte ou j'imagine le peuple juif sur une estrade .
Vous pourrez le trouver et le lire sur la page d'accueil dans le paragraphe SARFATI PEINTRE ET PENSEUR .Tous les juifs du monde
se trouvent reunis sur le meme plateau .
Le monde assis sur les gradins observe et surveille leurs mouvements .L'emplacement de chacun n'a pas d'importance .Car c'est l'ensemble qui fait l'unite et attire l'attention.Tous ont les memes devoirs et droits de participer a l'action generale.
Le danger est de partout .Ceux qui sont au devant de la scene ne risquent pas forcement leur vie plus que les figurants en arriere.
La realite est claire . Veut t on paraitre et faire partie de la troupe dans ce theatre ou non ?//La question est simple .
On ne peut pas demander aux spectateurs de venir nous aider a remplir notre role !!
Aucun ne peut decider pour autrui l'emplacement qui lui conviendrait sur cette scene mondiale !!
L'assistant ne pourra jamais comprendre l'artiste principal qui semble etre different.
Notre garantie mutuelle nous maintient unis
grace a sa force spirituelle {aravout adadit}
C'est une discussion qui ne se termine jamais .Elle inclut le fond du probleme qui est et devra etre l'union 'base essentielle de la chorale chantant un air commun !!
Chalom sarel