Par Tun (Tun) le jeudi 16 mars 2006 - 20h05:

S´il vous plait je vous demande a tous fraternelleent d´arrete de parler de cet incendie qui s´est deroule a tunis car cela va gonfler l´histoire d´avantage;vous ne pouvez juger tout un pays et toute une politique sur les faits de 150 petites personnes encore moins de faire le rapport avec le depart des juifs de la tunsie,c´est grave ce qui s´est passe et moi aussi personellement et au nom de mon pays je vous demande mes plus sinceres excuses mais j´aurais un conseil amical a vous donner:le doute comme on dit chez nous(THALWISS) est la source de toutes les peurs,vous faites de tout un rapport avec l´anticemitisme que vous avez deja bien definis,je me demande parfois si les actions que vous etes entrain de faire sont a l´honneur du pauvre Ilan qui est tombe dans son plus jeune age ou pour votres propre bien j´espere que vous ne m´avez pas mal compris,je suis et je resterai toujours un semite comme vous;
Shalom a tous et bon chabat a vous mes freres et soeurs

Par Braham (Braham) le jeudi 16 mars 2006 - 17h41:

Israel, Elections (photo # 4)

Pour qui aller voter, le 28 mars ?

Par Meyer (Meyer) le jeudi 16 mars 2006 - 17h43:

Incident antisémite en Tunisie
Des étudiants ont perturbé une cérémonie dédiée à un historien juif tunisien.

Par José GARÇON
jeudi 16 mars 2006


L'affaire aurait dû être une cérémonie hautement symbolique : la donation à l'université de la Manouba, près de Tunis, d'une partie de la bibliothèque d'un historien et sociologue juif tunisien décédé en 2004, Paul Sebag. Ayant vécu en Tunisie jusqu'aux années 70, où il a formé les premiers sociologues tunisiens, Paul Sebag est notamment l'auteur de deux ouvrages de référence Tunis, histoire d'une ville et Tunis au XVIIe siècle. La célébration de son geste est devenue au contraire un nouvel exemple de la très forte radicalisation existant dans le monde arabo-musulman et s'est transformée en incident suintant la haine.

Le 10 mars donc, la faculté de lettres de la Manouba a prévu un petit colloque scientifique pour célébrer cette donation. La fille de Paul Sebag et l'historien Claude Nataf, président de la société d'histoire des juifs de Tunisie, venus de France, ainsi que l'attaché culturel français, des professeurs tunisiens et des représentants des autorités doivent y participer. Alors que tous sont reçus par le doyen de la Manouba, des cris fusent à l'extérieur. «Revendications étudiantes», affirment les Tunisiens, qui sont toutefois nerveux et retardent le début du colloque.

Les choses se corsent quand le groupe veut rejoindre un amphi dont l'entrée est bloquée par 100 à 150 personnes qui crient des slogans en arabe. «A bas Israël», «Vive la Palestine», «Vive le Hamas», «Pas de normalisation (avec Israël, ndlr)», «les juifs à la mer», «Nous ne voulons pas de la bibliothèque d'un communiste juif stalinien» et autres amabilités du même genre. Quelques coups partent. Les professeurs font la chaîne pour séparer les manifestants des invités qui peuvent enfin entrer dans l'amphi et tenir leur colloque.

Les autorités universitaires, qui, selon Claude Nataf, ont «tout fait pour empêcher les choses de dégénérer», se sont confondues en excuses. Absente, la police n'a pu intervenir. Officiellement car elle «n'entre pas sur les campus», mais la raison laisse songeur dans un pays aussi quadrillé. Dans une lettre à l'ambassadeur de Tunisie en France, le Crif demande des sanctions contre les auteurs de cet «incident antisémite». Un peu moins de 2000 juifs vivent encore en Tunisie.

http://www.liberation.fr/page.php?Article=367501

Par Girelle (Girelle) le jeudi 16 mars 2006 - 17h37:

Bazooka,

Vous êtes fachée ??

Ou habitez vous pour sentir un tel vent de persecution des juifs de France ?

Oh magnifique Cassandre !!

Quand on est mal en France, il faut partir très vite, je n'arrête pas de le dire, voyons, moi j'ai l"heroïsme" de rester, mais je n'empêche personne de partir, au contraire, j'y invite même avec ardeur...avec insistance les candidats au départ, mais, oh, stupéfaction, ils sont toujours là, qu'est ce qu'ils attendent?
Quand meme pas d'avoir vendu leur appartement ou maison?, leur vie vaut beaucoup plus, qu'ils se sauvent, ils régleront les problèmes matériels après.

Car, Chère Cassandre, je ne veux surtout rassurer personne, chacun fait ce qu'il sent et moi, je suis très bien et très calme ici, si les autres sentent venir le besoin d'un exil de plus qu'ils le fassent.

Mais Israel est une promesse, pas un exil..

Par Girelle (Girelle) le jeudi 16 mars 2006 - 17h13:

Henri,

Nous nous comprenons très bien, trouvons la voie du milieu et ne nous laissons pas abuser par le langage de certains.

Tout leader politique qui utilise la peur de la population et qui publie des textes qui incitent au racisme devrait être montré du doigt comme éminemment dangereux.

La peur des autres c'et un excellent "fond de commerce électoral" et ça évite d'avoir un programme.

Ca peut mener à la dictature, et là, on ne rigole plus les amis, trainer le Président de la République dans la boue, ça deviendra dur!!

Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 16 mars 2006 - 17h01:

nid d'autruche



pusilanisme

Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 16 mars 2006 - 16h59:

Henri,
Sans vouloir m'immiscer dans votre echange avec Girelle, je dirais meme plus: celui qui ne voit rien ou n'a encore rien vu, a vraiment besoin de lunettes d'urgence !!
A moins que par pusilanisme, il ne veuille tout simplement pas voir (l'autruche, quoi !)
C pas bien grave, des autruches on en a deja en Israel, le climat leur convient bien, et on peut encore en accueillir en se serrant un peu !

Par Henri (Henri) le jeudi 16 mars 2006 - 16h14:

Girelle,

L'epouventail d'un regime faschiste nous a mene a un regime si democrate qu'on est submerge de problemes que l'on n'arrive plus ni a controller ni a resoudre.
Tout ceci est bien complexe, mais balayer sous le tapis n'est certainement pas la bonne solution.

Il faut essayer comme le dit le Rambam, la voie du milieu.
Facile a dire, mais TRES dificile a accomplir.

Chabbat chalom

Par Girelle (Girelle) le jeudi 16 mars 2006 - 15h12:

Henri,

Tu as mille fois raison.

Je me demande avec perplexité ce que les gens qui ont si peur en France y font toujours, enfin, je me répète: c'est un pays que l'on peut quitter à tout instant, ce n'est pas la Russie soviétique et on a même pas à rembourser les études que l'on y a faites, comme aux Etats Unis.

En cas de conflit Moyen Orient/Iran, on est tous mal, juifs ou pas.

Des tours aux Etats Unis nous rappellent que nul n'est à l'abri du terrorisme international.

Mais je te demande, Henri, si on montre une telle panique en France, quel citoyen sera-t-on en Israel, là ou le courage est quotidien?

Des citoyens qui dénigrent tous les jours leur pays sont plus agréables à exporter qu'à importer.

Je comprends tes appréhensions à long termes, même si je ne les partage pas.

A court terme la grande peur que peuvent avoir les juifs de France est de voir arriver au pouvoir un régime fasciste, amenée par la crainte généralisée que provoquent certains malfrats et assassins et là le danger est certain, parceque dans ce genre de régime ce sont toujours les juifs qui sont persécutés.

Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 16 mars 2006 - 15h30:

jumelage