Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 04 septembre 2003 - 06h57: |
Anonyme
Toi qui prend tant de visages differents , cette fois ci tu nous proposes sans cillier une alliance avec l extreme droite !!! quelle impudence et quelle memoire selective . Tu nous demandes d oublier ... aucun oubli n est possible ni aucune illusion , tu nous proposes le choix entre la peste et le cholera , pour nous les deux sont des issues fatales . Mais peut etre que ca ne te pose aucun probleme
Alors , Anonyme ait au moins le courage de tes " sales " opinions et apparait sans masque ... l anonymat ne t avantage pas .
Par Email (Email) le mercredi 03 septembre 2003 - 19h52: |
Il était une fois, une île ou tous les différents sentiments vivaient :
le Bonheur, la Tristesse, le Savoir, ainsi que tous les autres, l'Amour y compris
Un jour on annonça aux sentiments que l'île allait couler
Ils preparèrent donc tous leurs bateaux et partirent
Seul l'Amour resta car il n'avait pas de bateau
L'Amour voulait rester jusqu'au dernier moment
Quand l'ile fut sur le point de sombrer, l'Amour décida d'appeler à l'aide
La Richesse passait à côté de l'Amour dans un luxueux bateau
L'Amour lui dit, "Richesse, peux-tu m'emmener?"
"Non car il y a beaucoup d'argent et d'or sur mon bateau. Je n'ai pas de place pour toi."
L'Amour decida alors de demander à l'Orgueil, qui passait aussi dans un magnifique vaisseau, "Orgueil, aide-moi je t'en prie !"
"Je ne puis t'aider, Amour. Tu es tout mouillé et tu pourrais endommager mon bateau."
La Tristesse étant à côté, l'Amour lui demanda, "Tristesse,laisse-moi venir avec toi."
"Ooh... Amour, je suis tellement triste que j'ai besoin d'être seule"
Le Bonheur passa aussi à coté de l'Amour, mais il était si heureux qu'il n'entendît même pas l'Amour l'appeler !
Soudain, une voix dit, "Viens Amour, je te prends avec moi." C'etait un vieillard qui avait parlé.
L'Amour se sentit si reconnaissant et plein de joie qu'il en oublia de demander son nom au vieillard. Lorsqu'ils arrivèrent sur la terre ferme, le vieillard s'en alla.
L'Amour réalisa combien il lui devait et demanda au Savoir "Qui m'a aidé ?"
"C'était le Temps" repondit le Savoir.
"Le Temps ?" s'interrogea l'Amour.
"Mais pourquoi le Temps m'a-t-il aidé ?"
Le Savoir, sourit plein de sagesse, et répondit :
"C'est parce que Seul le Temps est capable de comprendre combien l'Amour est important dans la Vie
Par Wnes (Wnes) le mercredi 03 septembre 2003 - 20h25: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
" Votre site est très intéréssant. Il faut absolument mobiliser l'opinion française contre le danger totalitaire. ... Pour cela, l'on doit surmonter les rancunes anciennes, les divisions du passé. L'extrême droite française et les juifs devront se reconcilier... Qu'ils se réveillent enfin et se motrent dignes descendants de Godfroi de Bouillon, de Philippe Auguste, de Saint Louis !... Bla...Bla...Bla... :
L'avis du Ftileur :
* Pour l'anonyme qui a peur de dévoiler son nom, probablement qu'il n'en a pas (des c...lles !), un Harissien digne de ce nom n'en a rien à foutre de l'extrême droite française ou d'ailleurs,... Les dignes descendants de Godefroi de Bouillon, de Philippe Auguste, de Saint Louis, DE LA CAGOULE ET DE MAURAS, voudraient donc envoyer les Harissiens en première ligne, pour en faire des bouc émissaires tous désignés, tandis que ces admirateurs des rois teutons et du racisme, se permettraient de tirer les ficelles bien planqués au chaud !
Les écrits immodérés de certains Harissiens s'il en est, auront au moins eu ce mérite là, celui de faire révéler sur notre site, des individus qui dévoilent leur stratégie, celle de pouvoir nous attraper à leur hameçon, et nous utiliser pour accomplir une bien sale besogne, alors méfiance de ce qui pue le racisme, et prenez garde à ce piège d'une grossièreté bien étrange !
Wnessou El Douda
Par Albert (Albert) le mercredi 03 septembre 2003 - 20h33: |
Yè Khouyè,LE GOULETTOIS
Je m'investis en bas dans le théatre de Breitou.
Ici, je ne peux plus disserter alors je fais une entrave et je te réponds par politesse, tes marques d'éloge me vont tout droit au coeur et je suis bien curieux de savoir qui tu es mais là n'est pas la question, tu fais parti à présent de ce que j'ai le plus cher au monde 'El mhah' la fibre.Viens prés de nous, juste en bas, tu trouveras, affection, rire, chansons, récits d'autrefois et même plus, l'amour que nous portons, comme autrefois, à tous ceux qui ont un visage humain.
Ellah mââk ou rabi i khalik.
R.Mââk.
Par Omega (Omega) le mercredi 03 septembre 2003 - 17h22: |
C'est assez pathetique de voir comment les chefs du Hamas et Islamic Jihad qui n'hesitent pas a envoyer leurs hommes se faire exploser au milieu d'innocents ont peur en ce moment des missiles Israeliens et se cachent.
Quand on fait l'ecole d'officiers en Israel, la premiere chose qu'on apprend c'est qu'il faut MENER ses hommes au combat et ne pas avoir peur d'etre en premier plan.
Bien qu'etant (toujours) de gauche, je commence a croire que ces assassinats cibles de leaders palestiniens peuvent etre la cle de la bataille horrible qui se joue en ce moment.
OMEGA
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 03 septembre 2003 - 17h02: |
Juif, Tunisien et Français
Albert Memmi
J'ai déjà raconté comment, arrivant à Paris, il y a bien longtemps, j'ai rendu visite à un vieil écrivain, français-israélite, comme on disait alors. Lui ayant fait part de ma perplexité devant ma triple appartenance: Juif, Tunisien et Français, après m'avoir écouté, il me répondit :
— Eh bien, gardez tout, soyez tout cela à la fois.
Mon interlocuteur, je dois le préciser, était surtout un homme de devoir, plus que de revendications (il avait perdu un fils, engagé volontaire dans les forces françaises, ce qu'il supporta avec dignité).
Je pense n'avoir jamais failli à ce triple programme.
Ce ne fut pas toujours facile à vivre, ni même à expliquer.
Mes coreligionnaires juifs n'ont pas toujours compris ma fidélité à la culture des peuples arabes et ma compréhension solidaire de leurs revendications nationales; même lorsqu'ils ne nous rendaient pas toujours la pareille.
Mes compatriotes tunisiens arabo-musulmans m'ont quelquefois suspecté à cause de mon admiration et de ma pratique de la langue et de l'art français. Lorsque bien plus tard, ayant décidé de vivre à Paris et de devenir un universitaire français, l'ambassadeur de Tunisie, qui se trouvait être mon ancien élève (je ne le trahis pas: c'est lui qui me fait l'amitié de se présenter ainsi), Mohamed Masmoudi refusa pendant quelques temps de me recevoir.
Mes frères arabes s'impatientèrent souvent contre moi à l'occasion du conflit palestino-israélien sur lequel ils auraient souhaité de ma part une position plus tranchée.
Les Français, mes compatriotes de choix et d'adoption, ne m'ont pas d'abord pardonné mes positions en faveur des colonisés. Et lorsque j'ai déposé mon dossier de naturalisation, on me fit répondre qu'il ne serait "jamais" accepté. Il a fallu l'intervention d'amis éminents, comme Edgar Pisani ou Léo Hamon, pour que je devienne enfin un citoyen français.
Donc nous sommes juifs, tunisiens et français
Etre juif n'est pas une simple revendication plus ou moins romantique; c'est un fait, qu'il serait indigne de notre part et absurde de voiler.
D'autant plus que dans nos pays d'origine, cette appartenance est beaucoup plus significative, plus large et plus complexe que celle d'une dimension simplement religieuse.
J'hésite aujourd'hui, comme beaucoup de gens, sur ces notions devenues à la mode et dont je suis l'un des responsables de leur diffusion en Europe: celles de différences, d'identité, de racines, etc. Mais enfin les nôtres sont évidentes et très prégnantes.
Nous appartenons à l'une des plus vieilles communautés de notre pays natal, puisque nous fûmes là avant le christianisme et bien avant l'Islam. J'ai raconté ailleurs, preuves à l'appui, que je possède une fascinante petite médaille, trouvée dans les ruines de Carthage, gravée de mon nom.
Sans nul doute le christianisme de notre grand Saint Augustin, lui aussi né à Carthage, n'aurait pas réussi auprès des Puniques si leur judaïsation ne les y avait pas préparés. L'islamisation n'aurait probablement pas si bien réussi si le monothéisme juif, puis chrétien, n'y avait habitué les esprits.
Nous sommes donc des Juifs, mais nous sommes aussi les plus vieux Tunisiens. Nous avons adopté tous les traits culturels successifs qui ont marqué ce pays: le couscous et le burnous, lesquels d'ailleurs sont probablement puniques, la sieste et le jasmin, le goût de la mer et la peur du soleil. Ma propre mère n'a jamais parlé le français, ni aucune langue européenne. Je n'ai moi même parlé cette langue magnifique qu'à partir de l'âge de sept ans.
Je ne dirai pas que cette intime cohabitation, jusqu'à la symbiose quelquefois, avec les Tunisiens, puniques d'abord, chrétiens ensuite, musulmans enfin, fut toujours aisée.
Nous fûmes des minoritaires; dans des circonstances historiques où la religion était présente dans toutes les démarches de la vie: nous n'étions pas de la religion des majoritaires. D'autre part, le régime beylical, qui nous apparaît aujourd'hui nostalgiquement folklorique, était celui de petits tyranneaux, qui mésestimaient totalement la liberté des gens et les droits de l'homme. Du reste, le petit peuple arabo-musulman était sous la même férule.
Nous gardons un autre genre de regret: lorsque la jeune nation tunisienne s'est affranchie de la tutelle du colonisateur, elle n'a pas su garder une élite juive de premier ordre et dont certains avaient parié de toute leur âme pour leur intégration dans cette jeune nation.
Mais les jeunes nations, je l'ai souvent noté moi-même, sont jalouses, exclusives, d'abord refermées sur elles-mêmes, comme si elles devaient d'abord s'assurer de leur identité propre...
Quoi qu'il en soit, il est vrai que la plupart d'entre nous ont choisi de suivre les Français dans la métropole et de s'y refaire une situation, devenue enviable quelquefois. Nous sommes fiers (si ce genre de sentiment avait quelque intérêt) de tant de grands noms, de femmes et d'hommes éminents, dans la médecine ou dans les universités françaises.
Nous sommes donc devenus des Français d'adoption et l'on ne doit pas nous reprocher notre nouvelle fidélité à un pays qui nous a adoptés, nous a offert, presque sans discussion, de partager l'opulence de sa culture, les bienfaits de la démocratie et de la justice économique.
Alors, de quoi souffrons nous ?
C'est simple: nous avons mal à notre mémoire, nous souffrons d'un défaut de reconnaissance.
Il suffit d'un séjour dans la Tunisie moderne pour constater que nous sommes exclus de son Histoire.
Le temps use tout, c'est vrai, les absents ont toujours tort. Nous ne sommes pas musulmans, c'est vrai, et la Tunisie s'est constituée en nation musulmane.
Cela est la logique implacable de l'Histoire. Mais il n'y a pas que cette logique-là et, nous souhaitons qu'on ne pousse pas davantage la roue de l'histoire dans ce sens.
Ce pays musulman et arabe dans sa très grande majorité est aussi notre pays natal. Je l'ai beaucoup écrit: on peut acquérir une patrie d'adoption, la France pour nous, lui être loyal et même y être heureux, on n'a pourtant jamais fini avec son pays natal.
Permettez au vieil écrivain que je suis de vous rappeler que ce terreau premier, où ont germé les émotions, heureuses et malheureuses de l'enfance, de l'adolescence avec ses amours, ses déceptions et ses espoirs, est irremplaçable. Toute mon œuvre en porte les traces profondes.
Nous souhaitons réintégrer la mémoire collective de l'Afrique du Nord, que notre place, historique, économique, et culturelle, y soit définitivement reconnue et assurée.
Nous souffrons de constater l'ignorance des jeunes générations de ce que fut notre participation, quelquefois militante, à l'Histoire du pays. Permettez-moi encore une petite anecdote: lors de ce dernier séjour à Tunis, j'ai demandé à revoir la petite maison que nous avions, ma femme et moi, fait construire à Beau-Site, l'un des faubourgs de la capitale. Comme nous passions devant le stade municipal, j'ai demandé au chauffeur, un solide gaillard de trente ans, donc né après l'Indépendance, si le bâtiment lui était familier:
— Oh, bien sûr, dit-il les yeux brillants de plaisir, football, sport...".
— Mais savez-vous, lui demandai-je, que c'est là que Bourguiba a fait son premier discours à la jeunesse tunisienne qui défilait devant lui?
Il me regarda avec un étonnement respectueux : j'avais connu Bourguiba!
Mais j'ajoutai :
— Et derrière Bourguiba, nous étions assis, ma femme et moi...
Cette fois, il me regarda avec une totale incrédulité; je ne sais s'il n'a pas pensé que je délirais.
Dans cette même salle, j'aperçois l'un de mes camarades d'adolescence, qui fut atrocement torturé pour avoir lutté pour l'indépendance de la Tunisie; un autre, plus jeune, fut renvoyé du lycée, pour avoir manifesté avec ses camarades tunisiens musulmans; l'une de nos collègues à l'université, ici présente, a été jetée en prison, avec son mari, à plusieurs reprises pour la même cause. Dois-je rappeler l'œuvre fondatrice du professeur Roger Nataf qui a créé l'irremplaçable réseau de dispensaires ophtalmologiques, dans un pays où les maladies oculaires font des ravages?
Ce jour est donc, par certains côtés, empreint d'une mélancolique nostalgie. Mais ce jour est aussi, par sa possibilité même, le commencement de cette reconnaissance souhaitée.
Je reviens de Tunis. Je tiens déjà à témoigner que tout ce que j'y ai entendu, de la bouche de Monsieur le Ministre de la Culture, qui a bien voulu me recevoir, ou de celle de nombreux intellectuels, se plaçait délibérément sous le signe de l'ouverture politique et culturelle.
Je dois rendre hommage par exemple aux efforts de la jeune Tunisie dans le domaine, ailleurs si retardataire, de la condition féminine. Et maintenant à la courageuse reconsidération du rôle de ses Juifs.
Je crois que non seulement notre mémoire y gagnera mais celle du pays tout entier. Car nous sommes un fragment de pierre sculptée par les hommes et par le temps: qui saurait nous déchiffrer reconstruirait l'Histoire des peuples parmi lesquels nous avons vécu, tels ces Juifs espagnols dispersés à travers le monde, dont la langue demeure celle de Cervantes.
Bien entendu, tous les problèmes n'auront pas subitement disparu. Il y faudra des efforts réciproques. Mais l'Histoire a elle-même beaucoup avancé: le temps est loin où l'on s'est battu au cimetière du Djellaz aux environs de Tunis, pour empêcher l'inhumation de quelques Tunisiens musulmans naturalisés français: l'appartenance nationale et l'appartenance religieuse semblaient coïncider pour l'éternité. On ne pouvait pas être tunisien sans être musulman. Aujourd'hui, plus de trois cent mille Tunisiens et musulmans vivent en France; cinquante mille d'entre eux se sont fait naturaliser français. La Tunisie a sagement décidé qu'ils demeureront cependant tunisiens. Si l'on s'en tient strictement à ces nouveaux critères institutionnels, n'est-ce pas exactement la situation des Juifs tunisiens au regard de la loi tunisienne?
J'ai retrouvé ce même problème dans mes travaux sur les littératures maghrébines: où placer dorénavant les jeunes beurs? Dans la littérature algérienne, tunisienne, marocaine, ou dans la littérature française? Et pourquoi pas simultanément dans les deux?
D'une certaine manière nous avons été, à cause de notre condition même, là comme ailleurs, en avance sur l'Histoire commune des hommes. Peut-être sommes-nous, pour cela, d'une certaine manière exemplaires. Est-il possible d'être à la fois Juifs, Tunisiens et Français? C'est en tout cas nécessaire si nous voulons un jour cesser de nous entre-tuer. Si les hommes consentaient enfin à être ceci et cela, et non ceci ou cela, admettaient que les autres puissent être à la fois ceci et cela, et non obligatoirement ceci ou cela, que de drames seraient évités! Cela signifierait qu'il ont enfin appris à vivre ensemble.
Il y a également le difficile problème des relations israëlo-palestiniennes. Je connais à cet égard la sensibilité de nos compatriotes tunisiens. Nous ne leur demandons qu'une chose, c'est qu'ils comprennent que notre sensibilité est aussi troublée. Mais là encore l'Histoire avance heureusement à grands pas et nous retenons tous notre souffle. Nul plus que moi ne souhaite une issue heureuse, négociée, pour laquelle je tente de convaincre les deux parties depuis toujours.
Je veux dire enfin avec simplicité, que si les propositions de tolérance et d'ouverture du gouvernement actuel de notre Tunisie demeuraient fermes, nous y répondrions avec espoir et la même fraternelle fermeté.
Albert Memmi est écrivain. Il est l'auteur de nombreux romans et essais, dont le dernier paru est A contre courants, traduit en vingt pays (Edition du Nouvel Objet, 1993).
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 03 septembre 2003 - 17h00: |
A PROPOS DE MALHAOUBNINA
Pouvez-vous m'indiquer où me procurer les graines de lin ? merci de votre réponse.
Christine.NGUYEN@bouches-du-rhone.pref.gouv.fr
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 03 septembre 2003 - 16h59: |
Bonjour,
3eme rencontre de la communaute tunisienne.
cette fois a l'hotel carlton a la mer morte avec 4 orchestres de la chanson Tunisienne.
4 jours(3 nuits)autobus gratuits de toutes les regions du pays.
du 23-26 novembre 2003
800 shekels (170euros) p.p.en chambre double.
inscription: ADDA 972-9-8822945
MIFGACHIM
NETANYA, ISRAEL 42115
Par Goulettois (Goulettois) le mercredi 03 septembre 2003 - 14h11: |
par (guoulettois) goulettois lemercredi 3 septembre 2003
pour Albert
Breitou ,
Je préfère t’appeler Breitou, comme j’ai toujours appelé mes ….frères dirai-je, pourquoi pas en fin de compte il n’y à eu aucune condition préalable établi .
On s’est choisi par feeling par sympathie ,
on a peut-être réussi à lire dans le ceur de l’autre. comme tu l’as bien dit Breitou .
De toute manière on s’est aimes comme des frères peuvent s’aimer comme des amis peuvent s’aimer .
Dans « l’ oukala > vis-à-vis du cinéma Rex (qui n’existait pas encore) entrée opposée à celle des Simeoni à quelques mètres de la petite ruelle qui menait à la rue F Roosevelt ou habitait Sisi Aagouba pas loin de GH’ZEL et Chatt Hanina ( les goulettois de mon âge se reconnaîtront).
je ne sais pas si les Harisiens sont de mon âge (59) j’ai presque l’impression que mon destin est lie à mes amis puisque dés les années 50 nous étions allés ma mère et moi accompagner les premiers partants pour Israël,
j’ai souvent demandé à ma mère pourquoi mes amis partaient ils, pourquoi nous ne partons pas nous aussi . Au fond a cet age qu’avait-on de plus
précieux qu’un ami .
Une explication sommaire de la part de ma mère et la vie à repris ,déjà pas comme avant ……
le reste est plus beau encore parce que vécu en adulte et par choix jusqu’aujourd’hui
d’ailleurs mon ma facture de telephone Professionnel est pour le moins 1/3 appelle en Israël Tel Aviv, Bir Sheba, Jerusalem.
Mardi 9 septembre je suis à Genève avec mon cher ami Lucien Bismuth nous allons dénicher un bon restaurant CASHER.
que cela, ennui les fouteurs de M… des deux bords ,me réjoui à l’avance.
C’est la première fois de ma vie que je m’expose dans un forum pour dire
qu’on peut ne pas être d’accord sur un problème sans se haire
Bien à toi Breitou Alla la yechouik
Goulettois
Par Wnes (Wnes) le mercredi 03 septembre 2003 - 10h00: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
" Merci a tous de vos avis sur l'affaire de l'huile frelatee venant des palestos! " :
L'avis du Ftileur :
* Pour mettre fin au conflit des oléagineux entre la France et le pays de l'Oncle Sam, il a été proposé de déplacer l'Ecole Nationale d'Administration (Fabrique d'énarques) à New York, ce qui permettra de fabriquer directement les Huiles aux USA !
Les zitoun ( Perles Goulettoises ) baignent dans l'huile,
Wnessou El Douda
Par Anonyme (Anonyme) le mercredi 03 septembre 2003 - 06h12: |
Votre site est très intéréssant. Il faut absolument mobiliser l'opinion française contre le danger totalitaire. Il est impératif de constituer un vaste front anti-islamiste. Pour cela, l'on doit surmonter les rancunes anciennes, les divisions du passé. L'extrême droite française et les juifs devront se reconcilier. Les catholiques devront cesser de culpabiliser et de tendre la joue droite après avoir été tant de fois frappés sur la joue gauche par la gauche. Qu'ils se réveillent enfin et se motrent dignes descendants de Godfroi de Bouillon, de Philippe Auguste, de Saint Louis ! Quant aux protestants, qu'ils se détournent des "libéraux", et s'identifient entièrement avec leurs frères anglo-saxons , ces évangéliques néoconservateurs que fustigent les médias français vendus à l'islam, comme ils ont été vendus à Moscou, Pékin,La Havane et Pyong Yang. Ensemble, nous repousseront les envahisseurs!
Par Wnes (Wnes) le mardi 02 septembre 2003 - 20h17: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Trouvé sur le web par le Ftileur :
Le site d'une association située dans le Sud de la France, Fédération d'anciens élèves du Lycée Carnot de Tunis, et des écoles de la Tunisie, vous y retrouverez sans doute d'anciennes connaissances, voici l'adresse :
http://www.carnot.ht.st/
Bonne semaine, à Toutes et Tous
Wnessou El Douda
Par Mena (Mena) le mardi 02 septembre 2003 - 20h02: |
Analyse d'une arrière-pensée 1ère partie (info # 010209/3) [analyse]
Par Gérard Huber, correspondant permanent à Paris © Metula News Agency
Récemment, Gérard Araud, nouvel ambassadeur de France à Tel-Aviv, aurait qualifié Israël de pays « paranoïaque ». Le conditionnel est de mise, non parce qu’il y aurait lieu de douter des propos de notre ambassadeur, mais parce que celui-ci a affirmé qu’il s’agissait de propos privés, non destinés au public.
Il s’agirait donc d’une arrière-pensée qu’il aurait eu le droit d’exprimer en privé mais pas en public. Notre ambassadeur serait, en quelque sorte, tombé dans un traquenard tendu par un journaliste israélien du Yediot Aharonot qui aurait publié ce propos, quand bien même celui-ci aurait su que ce n’était qu’un propos de salon.
De fait, où va-t-on, si l’on prend en compte toutes les arrière-pensées des hommes politiques ? Surtout lorsqu’il s’agit d’un jugement dévalorisant sur un Etat, utilisant un vocabulaire emprunté à la psychiatrie.
« Paranoïaque » se dit, en effet, d’une « disposition caractérielle (orgueil démesuré, méfiance, susceptibilité excessive) engendrant de faux jugements (tendances aux interprétations) et des réactions d’agressivité » (Le Grand Robert). Plus couramment, se dit « d’une inquiétude, d’une méfiance exagérées, ou des comportements qu’elles engendrent ».
Mais l’affaire se corse, lorsqu’on est tenté de rapprocher cette arrière-pensée d’une autre qui fut en son temps revendiquée publiquement par notre ex-ambassadeur à Londres qui n’hésita pas à qualifier Israël de « petit pays de m…. ».
Et elle se complique sérieusement, lorsqu’on découvre l’ambiguïté de la position de notre pays vis-à-vis du Hamas, cette organisation palestinienne qui s’est mise à l’écart de l’OLP dès 1987 et qui est, depuis de nombreuses années, responsable de maints attentats qui sèment la terreur en Israël.
En effet, si le Quai a rappelé, le 26 juin 2003, que lors du Conseil européen du 20 juin, la France avait demandé clairement au Hamas de « mettre fin à toutes les activités terroristes », qu’elle était d’accord pour que des mesures soient prises contre ses sources de financement, et, si le 24 juin, il a également précisé que la branche militaire du Hamas, les Brigades Hezzedin Al Kacem « est déjà inscrite sur la liste européenne des organisations terroristes », il n’en demeure pas moins que la diplomatie de notre pays n’a jamais accepté de mettre le Hamas lui-même sur la liste des organisations terroristes.
S’agit-il seulement d’un bras de fer avec les Etats-Unis ? Ou y a-t-il là une analyse différente de la nature d’une organisation qui donne le change en menant de front une activité à caractère social et une activité à caractère terroriste ? Il serait bon que notre ministre des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, s’explique là-dessus.
Au demeurant, l’ambiguïté n’est pas que gouvernementale, puisque, lorsqu’on parle en France des membres du Hamas en action, vous aurez remarqué qu’on ne dit jamais « terroristes » (ni l’AFP ni France 2 ni Le Monde), mais « activistes ».
Pour le dire autrement, notre ambassadeur en Israël se permet en privé de qualifier de « paranoïaque » un Etat dont le comportement est de se défendre contre une organisation qui justement s’appuie sur l’ambiguïté, pour ne pas dire le silence des démocraties comme la France, pour se doter d’un statut encore protégé par la communauté internationale qui lui permet de poursuivre ses forfaits en toute impunité.
Or que dirait le gouvernement français si on l’accusait de paranoïa, du fait qu’il défend ses concitoyens en Corse où ils sont de plus en plus menacés par des attentats divers et variés ?
Enfin, pour ne pas comparer ce qui n’est pas comparable, car les attentats du Hamas sont des crimes contre l’humanité (ils visent les Israéliens en tant que juifs), quel sens cela a-t-il de ne pas dénoncer cette organisation sur l’arène internationale, quand on sait qu’elle revendique haut et fort son affiliation aux Protocoles des Sages de Sion ?
Car là est le point capital. Les attentats-suicides commis par le Hamas ne sont pas des initiatives intempestives de sa branche armée qui s’opposerait à la normalisation des rapports avec Israël, mais des opérations antisémites soigneusement planifiées.
C’est donc une chose de ne pas être en accord avec la politique d’Israël, mais c’en est une autre de fermer les yeux sur l’antisémitisme qui meut la principale organisation terroriste qui pousse ce pays, qualifié trivialement et en privé de « paranoïaque » par notre ambassadeur, à vivre sur un mode défensif.
Voici donc un pays, le mien, qui prétend avoir pris conscience de ce qu’est l’antisémitisme, du fait qu’en 1995, il a clairement condamné son passé vichyste, et qui, par sa politique extérieure, n’hésite pourtant pas à nier les risques actuels et à venir d’un dérapage antisémite international. Comment comprendre ce paradoxe ?
S’il est bien conscient –et il l’est- de cette affiliation, puisqu’elle figure dans l’article 32 de la Charte du Hamas, le gouvernement de la France semble l’attribuer à un délire collatéral, à un excès de combattants qui, pour autant, ont de bonnes et justes raisons de combattre Israël. Ce n’est pas à dire que le gouvernement français soutienne la politique du Hamas, parce qu’il veut qu’Israël disparaisse, bien sûr, mais que, compte tenu de sa politique vis-à-vis d’Israël et de son analyse des causes du conflit israélo-palestinien, il n’est pas étonné que le Hamas en vienne à de telles extrémités. Bref, il considère que c’est la politique palestinienne d’Israël qui explique les excès condamnables –et condamnés- du Hamas.
Dans cette optique, le Hamas est perçu non comme une dimension structurelle de la lutte du peuple palestinien, mais comme une dimension conjoncturelle, opportuniste, pour que les Palestiniens parviennent enfin à disposer un jour de leur Etat. Une telle position sous-entend qu’une fois le conflit terminé, c’est-à-dire une fois qu’Israël se sera retiré derrière la Ligne Verte, non seulement l’Etat de Palestine vivra, mais qu’il sera démocratique, parce que le Hamas disparaîtra de lui-même.
Pour bien comprendre cette position, il faut la rapprocher de celle de l’intellectuel palestinien chrétien Edward W. Saïd. Que l’on me permette d’exposer celle-ci en détail.
Dans Barenboïm et le Tabou wagnérien (article publié dans le journal Al Hayat du 15 août 2001, puis dans Parallèles et Paradoxes, livre d’entretiens entre Barenboïm et Saïd, édité en 2003 aux Editions Le Serpent à plumes)), Saïd explique que la lutte palestinienne se compose de trois projets :
-La normalisation des rapports entre la Palestine et Israël,
-L’anti-normalisation (par le boycott, par exemple),
-Les attentats-suicides.
Dénonçant l’inefficacité des deux derniers projets, il se prononce très clairement pour la normalisation, appelant de ses vœux la fin des tabous et des anathèmes des Israéliens contre les Palestiniens et inversement. « L’important, dit-il, est de mettre l’agresseur mal à l’aise et de le rendre vulnérable tant moralement que politiquement ».
Il s’emploie alors à mettre les Israéliens devant leur miroir pour y voir leurs tabous « occultés par une mémoire collective » et qui les conduisent à rejeter les non Juifs, à interdire de jouer du Wagner en Israël et à débattre de l’opportunité de lire la littérature palestinienne dans les écoles.
Le compositeur allemand (Wagner) et le poète palestinien (Mahmoud Darwich) sont ici convoqués pour mettre en évidence l’impossibilité actuelle du « peuple juif d’aborder une autre étape de son deuil, tout ce qui pourrait l’inviter à vivre la vie pour elle-même, laquelle doit aller de l’avant et ne saurait être figée ».
Et Saïd d’appuyer sa démonstration sur la posture de Daniel Barenboïm, juif israélien vivant en Allemagne, qui a le premier joué Wagner le 7 juillet 2002 en Israël et qui, dès 1999, avait déclaré qu’ils désapprouvait l’occupation israélienne des Territoires palestiniens (au-delà de la Ligne Verte).
Raisonnement impeccable, jusqu’à ce qu’apparaisse non moins clairement la question suivante : d’où vient à Saïd le droit – étant donné ses présupposés – de prescrire aux Israéliens une étape du travail de deuil et d’en épargner les Palestiniens ?
Pour le dire autrement, est-il normal que le profond travail de deuil accompli par Barenboïm ne trouve pas de correspondant chez Saïd ?
Car enfin en quoi l’étape du travail de deuil qui consiste, chez les Palestiniens « normalisateurs », à reconnaître l’Etat d’Israël et à instaurer des relations politiques avec lui, est-elle comparable avec celle d’un Barenboïm qui reconnaît non seulement l’occupation israélienne, mais encore la transcendance de la musique de Wagner bien au-dessus de ses vils projets antisémites ?
Pourquoi Saïd, qui n’est pas antisémite et qui dénonce ceux qui disent « des inepties consistant à dire que l’Holocauste n’a jamais eu lieu », se réfère-t-il quand même au travail de deuil accompli par Barenboïm à propos de Wagner, alors que le seul travail de deuil à l’endroit d’un Israël qu’il rêvait comme libérateur des Palestiniens aurait suffi à démontrer le bien-fondé de son raisonnement ?
Parce que c’est la seule manière qu’il a trouvée – inconsciemment- de parler de l’antisémitisme (de type occidental) qui est en train de pourrir la vie idéologique de son propre peuple, et parce qu’il ne veut pas se prononcer sur ce refoulé de sa mémoire collective.
Ce qui veut dire qu’il n’est pas prêt à aborder frontalement cette question ni a fortiori cette étape du travail de deuil d’une Palestine idéale qui serait pure de tout antisémitisme, étape qu’il aurait à accomplir, s’il avait le courage moral d’en poser l’objet.
Sans doute, comme chrétien, se refuse-t-il à accorder quelque importance à ce qui lui apparaît comme une reprise superficielle de thèmes antisémites chrétiens par le monde arabo-musulman, et notamment par les Palestiniens !
Mais surtout il apparaît clairement que sa lucidité est prise en défaut, lorsqu’il s’empare du dossier du débat autour de la lecture de Darwich pour enfoncer le clou. Car il n’ignore pas que Darwich a ni plus ni moins mystifié son monde en transformant le faux meurtre médiatique de Mohamed Al Dura (30 septembre 2000 à Netzarim) en épopée de libération nationale, dans le journal Al Hayat du 28 décembre 2000. Il sait que, dans son poème Muhammad, Darwich appelle l’acteur de la fiction qui joue le meurtre du petit Mohamed : « Petit Jésus endormi ».
Encore ne suffit-il pas d’admettre qu’un poète ait pu « déraper », « commettre une boulette » ! Encore faut-il comprendre qu’il y a un lien nécessaire entre la forme et le fond du mensonge, lorsque celui-ci se constitue en tabou, surtout lorsque son message consiste à asséner que le Juif israélien est un assassin d’enfants.
Pour accéder à cette étape du travail de deuil, Saïd devrait donc intégrer l’idée que des membres influents de son peuple aient pu réaliser un faux antisémite télévisuel (le simulacre de meurtre du petit Mohamed par un soldat juif israélien) justifiant a posteriori des crimes contre l’humanité (les attentats – suicides et les appels au martyr) contre les Juifs d’Israël.
Tant que Saïd n’acceptera pas cette désidéalisation de son peuple, il ne pourra s’élever à un travail de deuil comparable à celui que Barenboïm a pu réaliser à propos de Wagner et dont la signification est la suivante : reconnaître la transcendance y compris, lorsqu’elle se cache chez l’ennemi.
Ceci peut nous faire comprendre pourquoi il ne suffit pas d’afficher une position normalisatrice pour être à la hauteur des enjeux actuels qui sévissent dans le conflit israélo-palestinien.
Comme Saïd, le gouvernement français croit sa position juste, mais elle repose sur le même déni : l’antisémitisme des plus farouches adversaires palestiniens de l’Etat d’Israël. En outre, elle s’appuie sur un retour du refoulé : la France n’est pas extérieure à la diffusion du nouveau faux antisémite (le pseudo meurtre de l’enfant palestinien), comparable aux Protocoles des Sages de Sion dont le Hamas se dit l’héritier, puisque c’est la chaîne nationale française France 2 qui a relayé, sans y prendre gare, le faux médiatique élaboré et filmé à Gaza.
Mais, avant de développer ce point, il est important d’expliquer en quoi le faux antisémite n’est pas une référence classée, mais, malheureusement, un principe actif de l’Histoire de l’Occident, et pourquoi les Protocoles des Sages de Sion se retrouvent matérialisés au début du 21ème siècle non seulement dans la Charte du Hamas, mais encore dans le simulacre télévisuel de meurtre du petit Mohamed.
(Fin de la première partie)
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 02 septembre 2003 - 19h39: |
La rencontre ente le roi Mohamed 6 et Sylvain Chalom fut chaleureuse et porteuse . En effet le roi s est declare pret a reouvrir le consulat du Maroc a Tel Aviv et renouveler les visas de tourisme accordes aux israeliens . Le roi Mohamed 6 s est declare favorable pour jouer un role a un reglement rapide du conflit au Proche Orient . Il a souligne le fait qu Abbou Mazen pendant sa derniere visite a apprecie l aide offerte du Maroc . Le roi a ausi ajoute qu il etait fier , de recevoir Sylvain Chalom et qu il etait son invite . Il a ajoute qu il aimerait aussi pouvoir creer une relation avec Arik Sharon et qu il lui telephonnerait personellement .
Sylvain Chalom de son cote lui a redit l importance de la communaute marocaine en Israel , et qu il esperait que d autres pays suivraient l exemple de Rabbat. Il lui a aussi remis une lettre personelle d Arik Sharon . Puis en lui souhaitant un joyeux anniversaire , Sylvain Chalom lui a souhaite de feter le prochain a Jerusalem . Ce a quoi Mohamed 6 a repondu " je remplirai ainsi un des voeux de mon pere , qui a toujours reve de se rendre a Jerusalem "