Par Braham (Braham) le dimanche 19 mars 2006 - 17h44: |
Israel, elections (photo # 5)
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 19 mars 2006 - 17h19: |
Girelle,
Avec un peu de retard je vous reponds (en toute modestie) par ce monologue un tantinet theatral (cf. v/ post du 16.03):
Acte II, Scene 1
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M'ame Bazooka encore endormie par un week-end mouvemente,le cheveu ebouriffe et le sourcil broussailleux, la charentaise morose et le bas en accordeon:
" – Euh, fachee, moi fachee ?! Diantre ! Que neni !
Sans delai, chere Girelle constatez je vous prie,
qu'a l'envers de votr' plume mon coeur s'etablit:
Cette semaine ayant, par un soleil radieux,
celebre Dame Esther au destin prodigieux,
sur cette Terre Sainte de mes benis aieux,
avec force breuvages et maints agapes copieux;
eus-je eu assez d'ardeur, a votre humble avis,
pour un funeste courroux, pour une triste furie ?!!
Cassandre moi, doncque, a la bonne heure !
Que l'eloge m'est doux, quelle heroine de coeur !
La Comedie classique ne fut pas si superbe,
Cassandre ne lui eut-elle vouer lauriers en gerbes !
La reciproque aidant, permettez-moi sitot,
d'oser a votre endroit a mon tour ce bon mot,
ce n'est que de bonne guere, Girelle ma tendre et chere.
Votre habile comparaison d'entre Cassandre et moi,
Si elle est justifiee si elle eut son eclat,
Evoqua tout de go un souvenir illustre,
Celui de Chimene et son Rodrigue auguste.
Et si il sied si bien de dire que, comme Cassandre,
Je fais angoisses et peurs ressurgir des cendres,
Telle Chimene aveugle envahie par l'emoi,
Vote champ de vision pour la France s'obscurcoit.
Au diable le vil orgueil n'en prenez pas ombrage !
Car j'eusse de la France vanter le doux ramage,
Et j'eusse moi aussi jadis soif d'aspirations,
Pour ce pays des Droits de l'Homme et Lumieres des nations.
Bonne semaine a tous.
Par Sarel (Sarel) le dimanche 19 mars 2006 - 15h48: |
Tant de varietes de juifs et si peu de clarte .Titre tres interessant de nos jours.
Essayons d'analyser cela d'apres les stations principales dans l'histoire et surtout d'apres les resultats
A la sortie d'egypte 20 pour cent du peuple seulement sont croyants et se joignent a Moise . Pour manque de foi et courage il est destine a errer dans le desert pendant 40 ans.
Parmi toutes les lois recues 'il est avise de ne pas etre ""COMME LES AUTRE PEUPLES"avec leurs lois immorales
Mais la majorite n'accepte pas les lois religieuses et
essayera de faire le tout pour enfreidre cette recommandation et ressembler a tous.
Etant oblige de quitter et disperse dans le monde il se trouve au bas de chaque societe et ses efforts iront por ameliorer son sort .
Dorenavant il participera a tous les mouvements qui ont but de changer les statuts politiques actuels dans
l'espoir de s'integrer et faire partie de la societe qui l'a rejete {c'est cela la gauche ]pour le juif".Chaque epoque 'region'ou regime l'ont influence et laisse chez lui une trace qui se developpera et le specifiera Et c'est comme cela qu'ont ete crees differents genres de juifs comme vous dites .CE qui est commun chez tous est la volonte si ce n'est de quitter au moins de changer ""LE JUDAISME""de le rendre adapte a nos jours {{[[COMME si c'etait UNE MODE}
Arrivons aux resultats LE MONDE ENTIER NE SAISIT PAS COMMENT CE PEUPLE a SURVECU !!!
Il vit a l'encontre de TOUS ceux qui etaient surs et persuades que c'etait une question de temps d'en finir avec cette foi primitive
DEuzieme point tres important dans l'histoire des "resultats" DAns un moment dur a passer il y a fusion de tous les genres que vous avez cite de plein gre ou par force !!
Subitement il n'y a plus aucune difference 'ni plus ni moins ni gauche ni droite ni riche et ni pauvre .
j'ai expose une idee generale
Je vous remercie pour votre attention
Par Kinor (Kinor) le dimanche 19 mars 2006 - 14h35: |
A DOUDA
Suite à l’article,
Ils ont eux aussi marché sur la tête
pour Guysen Israël News
J’en déduis que ceux d’entre vous qui se rendent encore en Tunisie, réalisent leurs derniers voyages ?
Par Breitou (Breitou) le dimanche 19 mars 2006 - 12h48: |
Paris le 20 MARS 2006.
Passe sur Adra et PTB.
Métier d’antan.
Par A_Soued (A_Soued) le dimanche 19 mars 2006 - 12h11: |
UN PETIT PAS VERS L'UNITÉ DE L'IRAK
Par David Ignatius, journaliste et éditorialiste du Washington Post
Paru dans le Washington Post du 15 mars 2006
Traduit par Albert Soued, www.chez.com/soued/conf.htm pour www.nuitdorient.com
Il y a eu tant de mauvaises nouvelles venant d'Irak qu'on doit se pincer quand de bonnes choses arrivent. En fait on perçoit cette semaine des signes qui ne trompent pas sur la volonté des chefs politiques Irakiens de prendre les premières mesures pour tenter de constituer un large gouvernement d'union nationale qui pourrait renverser la tendance actuelle vers le chaos.
C'est la crise qui a suivi le bombardement de la mosquée shiite de Samarra le 22/02/06 qui a pu rassembler les diverses factions politiques, du fait du danger que l'Irak ne sombre dans une guerre civile généralisée. Au bord du précipice, les chefs politiques semblent avoir réalisé qu'ou bien ils s'entendent entre eux ou le pays éclate. À ce jour, ils auraient choisi l'unité, en tout cas, ils ont commencé à en parler sérieusement.
Il y eut cette semaine une série de rencontres qui ont rassemblé toutes les factions du pays. Le conclave avait été proposé par l'ambassadeur américain Zalmay Khalilzad. Son idée était de les réunir à huis clos dans un village ou dans un hôtel à Bagdad jusqu'à ce qu'un accord soit conclu pour un nouveau gouvernement.
Tout le monde a accepté ces ultimes négociations de la dernière chance, à condition que le lieu de réunion soit dans chaque faction à tour de rôle. La première eut lieu dimanche dernier au quartier général du chef kurde Massoud Barzani à Bagdad, suivie d'une session mardi au quartier général shiite d'Abdel Aziz al Hakim et mercredi à la maison du président Jalal Talabani. Khalilzad a participé à toutes les réunions jouant le rôle de médiateur dans un "un conflit du travail".
Lors d'un entretien avec Khalilzad, celui-ci m'a confirmé que les pourparlers ont débouché sur un accord provisoire sur deux points essentiels. D'abord les parties acceptent l'idée d'un gouvernement d'union nationale comprenant toutes les factions importantes. Ensuite ils ont accepté de créer un comité au plus haut niveau chargé de la "sécurité nationale" et comprenant tous les partis en présence. Travaillant par consensus, ce comité doit dessiner les grandes lignes de la politique, dans l'esprit de la Constitution irakienne.
Ce dialogue a levé l'impasse sur la composition de la coalition. Il y a un mois le shiite radical Moqtada al Sadr refusait d'accepter toute coalition comprenant le parti de Ayad Alawi, fidèle allié des Etats-Unis, parce que quand celui-ci était premier ministre par interim, il avait ordonné de frapper la milice armée "al Mahdi" d'al Sadr. Le blocage a été réduit parce les parties ont compris que si l'une d'elle agitait "une ligne rouge", toutes les autres en feraient autant. Khalilzad a précisé que "jamais il n'y eut entre eux d'aussi bonnes réunions, c'étaient les meilleures depuis que je suis ici".
Ce compte rendu optimiste m'a été confirmé par les chefs politiques eux-mêmes. Le vice-président Adel Abdel Mahdi, qui représente la faction de Hakim, chef du puissant "Conseil suprême de la Révolution islamique d'Irak" m'a précisé: "nous avons une interprétation commune des principaux sujets, sur la nécessité d'un consensus et sur le comité de sécurité nationale. Ce qui me rend confiant c'est que je pense que nous sommes en train de construire une compréhension mutuelle entre les différentes communautés…. et le message du nouveau gouvernement devrait dire que personne ne doit se tenir en dehors de la loi, que cela soit l'armée "Mahdi" de Sadr, la milice de l'organisation Badr ou l'insurrection sunnite"
Un obstacle apparent à l'unité était la crainte du rôle de l'Iran. Pour le contourner, Hakim a dit qu'il avait pressé l'Iran d'engager des pourparlers avec les Etats-Unis à propos de l'avenir politique de l'Irak. Kahlilzad a calmement exploré les modalités de tels entretiens (1).
J'ai perçu un autre signe du nouvel esprit d'une unité retrouvée, lors d'une visite à Ahmed Chalabi, un politicien shiite, proche du premier ministre Ibrahim al Jafari et qui s'est rallié l'an dernier à Moqtada al Sadr. Il y avait avec lui Sheikh Khalaf Elayan, l'un des chefs du plus grand parti sunnite. Il semblait que Chalabi recherchait un allié politique sunnite, sachant qu'il constituait une faction importante dans le prochain gouvernement. Il pensait aussi que les chefs tribaux sunnites comme Khalaf allaient livrer
Abou Moussab al Zarqaoui d'al Qaeda.
Ce dialogue va entrer bientôt dans une nouvelle phase potentiellement tendue, quand les chefs vont commencer à se répartir les portefeuilles ministériels. Ces marchandages pourraient torpiller le fragile espoir d'unité. Mais pour changer, le pessimisme n'est pas de mise en Irak.
(1) ces entretiens ont déjà commencé.
Steps Toward Unity in Iraq
By David Ignatius
Thursday, March 16, 2006; WPost
BAGHDAD -- There has been so much bad news out of Iraq lately that you have to pinch yourself when good things seem to be happening. But there are unmistakable signs here this week that Iraq's political leaders are taking the first tentative steps toward forming a broad government of national unity that could reverse the country's downward slide.
What has brought Iraq's political factions together is the crisis that followed the Feb. 22 bombing of the Samarra mosque, which raised the danger that Iraq might tumble into a full-scale civil war. The country's political leaders seemed to realize, as they stood at the brink, that they would either come together or Iraq would fall apart. So far they seem to be choosing unity -- or at least serious talks about unity.
The venue has been a series of meetings this week that have included all of the country's major political factions. This conclave was proposed a week ago by U.S. Ambassador Zalmay Khalilzad. His idea was that the political leaders should all gather, in rural Iraq or perhaps at a Baghdad hotel, and keep meeting until they hammered out a new government.
The factional leaders promptly endorsed these "make or break" negotiations, though they decided to meet on each other's turf. The first meeting of about two dozen political leaders and aides took place Sunday at the Baghdad headquarters of Kurdish leader Massoud Barzani, followed by a session Tuesday at the headquarters of Shiite leader Abdul Aziz al-Hakim and a gathering Wednesday at the house of Iraqi President Jalal Talabani. Khalilzad has attended all of the sessions and has played a role like that of a mediator in a labor dispute.
Khalilzad told me in an interview in his office after Wednesday's session that the talks had produced tentative agreement on two basic points: First, the parties endorsed the idea of a unity government that would include all the major factions. Second, they agreed that this government should have a top-level "national security commission" that would include representatives of all the major political parties. Operating by consensus, this body would frame the broad outlines of policy, subject to the Iraqi constitution.
This week's dialogue broke the deadlock over the composition of the coalition. A month ago, radical Shiite cleric Moqtada al-Sadr was refusing to endorse any government that included the party of Ayad Allawi, a close ally of the United States who, as interim prime minister, had ordered a military strike against Sadr and his Mahdi Army militia. Khalilzad said Wednesday that the logjam was broken "because people realized that if one side has red lines, all sides will have red lines." He said of this week's gatherings: "These are the best meetings of Iraqis I've seen since I've been here."
The U.S. ambassador's upbeat account is believable because it is echoed by Iraqi political leaders. Adel Abdul Mahdi, Iraq's vice president and a representative of Hakim and his powerful Shiite party known as the Supreme Council for the Islamic Revolution in Iraq, told me Wednesday: "We have a common understanding on major issues -- on the need for consensus and on a national security commission. What makes me confident is that I think we are building up a sense of understanding among different communities." He said the message of the new government must be: "No one is outside of the law, whether the Badr Organization [the Supreme Council's militia], the Mahdi Army or the insurgency."
One seeming obstacle to unity has been fear about the role of Iran. To finesse that issue, Hakim said he is urging Iran to talk with the United States about Iraq's political future. Khalilzad himself has been quietly exploring what he calls the "modalities" for such U.S.-Iran talks on Iraq.
One hint of the new spirit of accord (and also of the political jockeying taking place) emerged when I visited Ahmed Chalabi, a Shiite politician who has allied himself over the past year with Sadr and with Prime Minister Ibrahim al-Jafari. With Chalabi Wednesday was Sheik Khalaf Elayan, one of the leaders of the biggest Sunni party. Chalabi seems to be seeking Sunni political allies, believing that they will be a crucial part of the next government. He also believes that Sunni tribal leaders such as Khalaf are working to stop the al-Qaeda leader Abu Musab al-Zarqawi.
The Iraqi political dialogue will move into a new and potentially fractious stage soon, when the leaders begin bargaining over who will hold top positions in the new government. Those negotiations could blow apart the fragile hopes for a unity government. But, for a change, pessimism isn't necessarily the right bet for Iraq.
davidignatius@washpost.com
Par Albert (Albert) le dimanche 19 mars 2006 - 10h42: |
http://www.harissa.com/D_Communautes/Israel/synadestunesaacco.htm
Par Douda (Douda) le dimanche 19 mars 2006 - 10h38: |
Douda,
Publié ce jour par Guysen :
Ils ont eux aussi marché sur la tête
Par Albert Bellaïche pour Guysen Israël News
Samedi 18 mars 2006 à 23:10
Il s’est passé ces jours-ci à la Manouba, petite banlieue nord de Tunis, un événement qui mérite d’être relevé dans la mesure où il a tordu le coup à la symbolique qui fait du Président tunisien Zine El Abbidine Ben Ali une des figures marquantes du monde arabe face au conflit israélo-palestinien.
Nul n’ignore, en effet, sa position d’ouverture non seulement au regard de tous les Juifs d’origine tunisienne, dont l’accueil dans leur ancienne patrie a toujours été plus que cordial ou amical mais tout simplement fraternel, mais aussi à l’égard de la guerre du Moyen Orient.
Les nombreuses visites du Grand Rabbin de France Joseph Haïm Sitruk, l’arrivée par avion direct en provenance de Tel Aviv des touristes ou des pèlerins israéliens, l’invitation faite par le Président Ben Ali à Ariel Sharon à l’occasion d’une conférence internationale, sont autant de signes qui indiquent l’orientation franchement réaliste de la politique tunisienne dans ce conflit.
Le peuple tunisien de son côté, n’a jamais manifesté à l’égard des Juifs d’origine tunisienne la moindre hostilité ou antipathie, restant fidèle à la ligne forte du combattant suprême, Habib Bourguiba et bien sûr de son successeur, de les considérer comme des tunisiens à part entière, sans aucune discrimination, de quelque sorte que ce soit.
L’affaire, car s’en est une, se résume en deux mots simples : Cérémonie symbolique !
En effet, à l’occasion de la donation à l’Université de la Manouba de la bibliothèque de l’historien et sociologue juif tunisien Paul Sebag, décédé en 2004 et auteur de deux ouvrages, « Tunis, histoire d’une ville » et « Tunis au XVII siècle », des manifestations antisémites et anti-israéliennes se sont produites qui apportent la preuve de la forte radicalisation existant aujourd’hui dans le monde arabo-musulman.
Ce regrettable incident, qui a contrarié l’esprit dans lequel cet événement devait s’inscrire, s’est rapidement transformé en cris de haine tels que « A bas Israël », « Vive la Palestine », « Les Juifs à la mer » ou « Nous ne voulons pas de la bibliothèque d’un juif. »
Officiellement la police n’ayant pu intervenir car n’étant pas admise sur le campus, les autorités tunisiennes qui ont fait de leur mieux pour empêcher les choses de dégénérer, se sont confondues en excuses.
La fille de Paul Sebag et Claude Nataf président de la Société d’histoire des Juifs tunisiens venus spécialement de France, ainsi que l’attaché culturel français et des professeurs tunisiens en renom, assistèrent impuissants à cette regrettable péripétie.
« Ils ont eux aussi marché sur la tête » devait déclarer une des personnalités présentes consternées par cet incident, parce que parfaitement inattendu !
Un peu plus de 2000 juifs vivent encore en Tunisie, la plupart d’entre eux à Djerba, une île fort touristique du sud tunisien où ils n’ont jamais connu le moindre problème avec leurs concitoyens musulmans.
De plus, Djerba la douce, abrite une des synagogues les plus anciennes et les plus emblématiques du judaïsme local, qui reçoit tous les ans des milliers de pèlerins venant du monde entier pour célébrer le pèlerinage le plus charismatique des Juifs orientaux.
Ne dit-on pas aussi que l’histoire, très compliquée voire controversée de cette synagogue, participe par son mystère, à son inexplicable engouement.
Le gouvernement tunisien qui a toujours essayé de tenir à l’écart son pays et son peuple de tout penchant islamique dur, va sans doute avoir du pain sur la planche et prendre les mesures qu’il jugera utile pour enrayer une possible montée de ce courant endémique.
http://www.guysen.com/articles.php?sid=4315
Douda du PTB
Par Maurice (Maurice) le dimanche 19 mars 2006 - 09h43: |
A MONSIEUR BOUJADI
Monsieur J'ai aimé l'article que vous avez ecrit sur Mr Sebag. L'action des obscurantistes explique que les Juifs Orientaux et Arabophones luttent pour l'Independance de la terre des JUIFS puisque la majorité Musulmane n'a pas su créer des Etats Laiques ouverts à tous ses Habitants Historiques Mais avec des Hommes comme vous on pourra creer les Etats Unis d'Orient comme l'Europe Les Oppositions des années qui viennent ne sont pas la guerre des civilisations mais au dessus des Origines entre les Archaiques et les Hommes de Lumiere au dessus des religions non reformées et des Nationalismes
Par Email (Email) le dimanche 19 mars 2006 - 07h19: |
A Tunis il y avait la famille Martoglio de pére en fils grands peintres, restaurateur de meubles ancien, peintre en batiment et en lettre et aussi des peintures sur toiles
J'aime bien votre site, qui me fait rappeler tant de souvenirs
Mr Martoglio