Par Citron (Citron) le mardi 09 septembre 2003 - 19h50: |
Yaël König. Ecrivain. Editrice.
chapeau!
celtia.1@laposte.net
Par Davideden (Davideden) le mardi 09 septembre 2003 - 21h29: |
Quoi dire de plus de cette "ligue" anti-juive, corrompue et peureuse. La ligue Arabe est finalement prete a condamner Saddam!!!!
N'ont ils pas peur qu'il revienne!!!
Quelle ligue courageuse. Comment pense-t-on possible qu'Israel puisse faire la paix avec des gens de telle culture politique?
"a Ligue arabe condamne les violations des droits de l'Homme sous Saddam
AFP | 09.09.03 | 21h16
La Ligue arabe a pour la première fois condamné les violations des droits de l'Homme en Irak sous le régime du président déchu Saddam Hussein, dans une résolution adoptée mardi au Caire lors d'une réunion ordinaire des ministres des Affaires étrangères.Dans cette résolution, les ministres font part de leur "condamnation des violations flagrantes des droits de l'Homme et du droit international par le régime précédent parmi les fils du peuple irakien, du peuple koweitien et d'autres pays".La Ligue arabe condamne en outre "les assassinats, les génocides, les fosses communes et le meurtre de prisonniers, dont des détenus koweitiens".Elle appelle à "juger les responsables de l'ancien régime qui ont violé des lois devant être respectées pendant un conflit armé, ainsi que la 4ème Convention de Genève", relative à la protection des civils en temps de guerre.
Par Nao (Nao) le mardi 09 septembre 2003 - 22h08: |
Je ne sais pas comment s'appelle le presentateur de medeux du JT de France 2 mais alors l'envie ne me manque pas de lui filer un bon coup de poing (allez braytou prepare-moi le ring!). C'est systematique a chaque fois qu'il parle de l'irak il a ce ton dubitatif et moqueur sur tt ce que ce font les Americains, tout est pretexte a la critique! Ca fait vautour qui rode sur les cadavres! Ca me rends folle!
Pire encore hier il parlait de Pierre Robert ce terroriste francais convertit a l'islam et qui est responsable des attentats au Maroc. Ce connard le defendait et remettait meme en question qu'il ait pu faire partie du reseau d'Al Quaeda. Tout juste si il trouvait pas injuste le sort de ce "pauvre Robert"! Des claques qui se perdent je vous dis...
Par Nao (Nao) le mardi 09 septembre 2003 - 22h10: |
Un autre attentat apparemment a Jerusalem. Une forte deflagration vient d'etre entendue..
Putain comment font ils pour passer avec leurs bombes???:?????? QUE FOUT ISRAEL????? ET ATTENDS POUR LES ECLATER?????
Par Axelle (Axelle) le mardi 09 septembre 2003 - 22h19: |
Je suis très très triste pour cette tragédie qui vient de se produire à Tel Aviv. Je pleure avec Israël ses 8 morts. Je suis de plus en plus en colère contre tous ceux qui s'attaquent à Israël.
J'espère que Israël les vengera durement. Mais, pourquoi attendre l'éviction définitive de Arafat?
Je sais, que je peux paraître naïve en ce qui concerne la politique internationale, mais, tous ces morts passé, présent et à venir, eux ne sont pas de la naïveté mais, hélas, la dure et triste réalité ! Quelqu'un pourrait m'expliquer pourquoi Israël ne peut agir comme il le voudrait ? quelles sont les causes qui font obstacle pour libérer une fois pour toute Israël de tous ces terroristes ? Je voudrais comprendre la raison de tous ces morts. Merci pour tous ceux ou celles qui voudront bien m'éclairer sur ce pénible sujet.
Je présente au peuple d'Israël mes plus profondes et sincères condoléances. Ma peine est immense.
Axelle.
Par Nao (Nao) le mardi 09 septembre 2003 - 17h24: |
Ca n'aura pas tarde...
Attentat en Israel devant base militaire...
At least 30 injured, including 3 fatalities, and up to 15 gravely injured, in Palestinian suicide bomb attack outside Tserifim military base center near Tel Aviv. Blast occurred at Jaffa Gate opposite Asaf Harofe Hospital at peak rush hour when soldiers waited for transport at end of day. Injured directed to all hospitals in region.
Israel has been on high security alert three days. Hamas bent every effort to strike back for failed attack on Yasin and overshadow Sharon visit to India. Earlier, Mitsubishi with two armed Palestinians attempted to reach Jerusalem from Ramallah area.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 09 septembre 2003 - 18h03: |
5 morts deja !!! 6 blesses luttent encore pour leur vie !!!
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 09 septembre 2003 - 17h25: |
Attentat a une dizaine de metre de l hopital Assaf Harofe , a la sortie de la base militaire de Tsrifin . Un ou une kamikase se serait introduit dans un groupe de soldats sur une ere de stop "trempiada " a 18h , heure ou les soldats sortent de la base militaire pour rentrer chez eux . Il y a pour le moment au moins 3 morts et plus de 30 blesses dont 15 graves , tous deja evacues dans les differents hopitaux .
Par Mena (Mena) le mardi 09 septembre 2003 - 17h23: |
Revanche au basket ! (info # 020809/3) [scoop]
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency
Le sport c’est sensationnel !
L’équipe nationale de foot, aujourd’hui le nez dans les chaussettes, attendant tristement Malte dans son exil turc, partait favorite dans son match à Ljubljana. Elle a perdu dans les circonstances que je vous ai racontées. Ce soir, aux championnats d’Europe de basket, en Suède, on ne donnait pas lourd des chances de la sélection israélienne avant son match contre les mêmes Slovènes.
C’est qu’en basket, les Slovènes ont une sacrée équipe, l’une des meilleures d’Europe. Voyez plutôt, dans la même compétition, ils ont écarté l’Italie sur en écart de 10 points, et la Bosnie, avant de s’incliner de justesse devant la France et ses stars de la NBA.
Côté israélien, c’était très mal parti : après une défaite honorable devant l’Allemagne et une déroute de 32 points contre la Lituanie, on pensait hier que notre équipe de jeunes allait perdre son troisième match face à la Lettonie et regagner Tel-Aviv les paniers vides et sans gloire.
Et puis, hier soir, ce fut le sursaut d’orgueil et une première victoire que l’on attendait plus 91-75 sur les Lettons. L’honneur était sauf, les petits, sans grands moyens, s’étaient sortis les tripes afin de donner aux sportifs du pays des Hébreux une raison de sourire dans la grisaille de la violence, des morts et des scandales politico financiers.
Cette victoire propulsait nos bleus en huitièmes de finales des championnats d’Europe. A vrai dire, c’était inespéré.
Et tout à l’heure, ça avait sauvagement mal commencé. En début de partie, Israël était inexistante et les Slovènes menaient 15 à 3, puis 21 à 7, sous la conduite d’un Nachbar absolument impérial. Les Slovènes jusqu’à ce moment de la rencontre avaient une réussite de 100% dans leurs lancers, nos pt’is gars se contentant d’un piètre 16%...
Pour ne rien vous cacher, de nombreux téléspectateurs, assommés de défaites et d’échecs, ces derniers temps, ont éteint leur poste de télévision à l’issue du premier quart-temps (28 à 16), afin d’épargner à leurs cœurs endoloris d’inutiles blessures supplémentaires.
Grand tort leur en prit ! Durant le second quart, la sélection refaisait surface avec un courage grand comme une montagne. Ils atteignaient la mi-temps sur un retard honnête de 43 à 37.
Le troisième quart fut israélien. Les Slovènes semblaient tétanisés et incrédules en présence du come-back des bleus. Israël entamait le dernier quart-temps sur un avantage de 60 à 53, atteignant même dix points d’écart en début de dernière période.
Mais les Slovènes aussi avaient du coeur à l’ouvrage et de la volonté et ils revenaient à leur tour à 66 partout et reprenaient même un avantage de 4 points, devant les Israéliens qui semblaient payer, en fin de partie, leurs terribles efforts.
Les 5 dernières minutes donnaient lieu à un suspens à la Hitchcock, les 2 formations menant tour à tour. De 74 à 73 pour les Slovènes, on passait à 76-75 pour les bleus à 22 secondes de la sirène fatidique.
Avec 2 lancers francs pour les Slovènes, sur une faute de Sharp. Yurkowitch manquait le premier et réussissait le second. 76-76 ! Burstein amenait le ballon dans le camp slovène et laissait volontairement les secondes s’égrener. Quand il en resta 2, il transperça la défense et marqua un panier superbe, synonyme de victoire et de qualification pour les quarts de finales du championnat d’Europe.
Les jeunes israéliens étaient ivres de fatigue et de bonheur. Safar, Green, Koujikaro, couchés sur le parquet suédois savouraient leur exploit. Ils font désormais partie des 8 meilleures équipes européennes et rencontreront l’Espagne, une des favorites indiscutables du tournoi, invaincue en trois rencontres, dans deux jours à Stockholm.
Bien évidemment, ils ont déjà largement rempli leur contrat et une victoire sur les Ibères tiendrait d’un petit miracle. Comme dirait Astérix, les Ibères sont rudes. Oui mais la foi, la camaraderie et le désir de bien faire peuvent déplacer des montagnes, Mahomet en sait quelque chose. Et ces jeunes Israéliens ne sont pas maladroits du tout, en définitive. On n’atteint pas les quarts de finales d’un championnat d’Europe par hasard. Nous, nous allons vibrer au moins encore une fois avec eux. Que veut le peuple, dites-moi… vibrer, vibrer…
Par Email (Email) le mardi 09 septembre 2003 - 16h55: |
TUNES CELEBRES
GANEM, Meyer Max Claude, Internist, New York City depuis 1960
Par Emma (Emma) le mardi 09 septembre 2003 - 16h53: |
Chapitre tiré de l'Exode oublié, Juifs des pays arabes, par Moise Rahmani, éd. Raphaël, Paris, 2003
J'avais une terre?
Les larmes de ma grand-mère serrant à l'étouffer son fils unique contre elle; sur la piste, un peu plus loin, un avion impatient de rejoindre Marseille; ma mère figée dans l'incompréhension d'une situation qui la dépasse: voilà sur quelles images j'ai quitté la terre de mes lointains ancêtres, puisqu'à ce qu'il paraît, mes yeux clairs et mes cheveux blonds prouveraient une très ancienne filiation avec les tribus berbères judaïsées menées par la mythique Kahéna. Je partais donc, justement pour ne pas subir le sortde cette valeureuse, mais Ô combien malchanceuse, souveraine!
J'étais enfant, mais mon pays, la Tunisie, avait déjà imprimé en moi sa beauté, son intimité, son influence. Magnifique Tunisie!
«Ils» m?en ont chassée.
Qui étaient ces «ils», responsables d'une fracture dont nul ne pouvait alors deviner l'importance chez une fillette de huit ans ? Qui étaient ces «ils» dont l'évocation provoquait en moi des frissons d'horreur, la peur d'inconnus redoutables qui avaient le pouvoir de faire trembler nos terres personnelles, de déstabiliser mes parents, ces piliers de ma force d'enfant ?
«Ils» ont fait pleurer ma mère, «ils» ont cassé sa vie, lui ont volé ses repères, l'ont spoliée de toutes ses évidences.
«Ils» ont privé mon père d?une vie au milieu des siens, ont saccagé sa sérénité, ont effacé son sourire tranquille, ont éteint son regard.
«Ils» passent leur temps, dans le meilleur des cas, à nous chasser, de millénaire en millénaire, de siècle en siècle. A nous chasser, ou à tenter de nous exterminer. Pourquoi ? Parce que nous avons eu le malencontreux privilège d'importer le monothéisme sur cette planète? Parce que nous fûmes le seul peuple à accepter de le faire, quand les autres se défilaient devant la difficulté?
«Ils» veulent nous voler l'espace de vie auquel nous avons droit, nous confisquer l'air de nos poumons, nous dénier le droit d'existence.
Vous trouvez que j'y vais un peu fort?
Faudra-t-il que je parle des sanglots de ma mère lorsqu'elle se croyait seule ? Des efforts de mon père pour soulever des sacs de charbon afin de les livrer à des gens qui ne lui accordaient pas la moindre attention, lui qui porte la sagesse de notre Tradition à fleur de regard ?
Faudra-t-il que je revienne sur les questions stupides qu?on me posait au lycée, où l'on n'avait jamais vu de «Juive d'Afrique du Nord» avant moi, sur le sentiment tenace et douloureux d'être étrangère à tous les milieux, à tous les lieux, sur la seule échappatoire qui me restât, l'écriture?
Les années-choc imprimèrent leurs fêlures.
Puis vint le temps de réagir.
Un jour où j'enviais une de mes camarades qui, refusant les études, avait décidé de choisir une voie différente, ma mère nous réunit, mon jeune frère et moi, et expliqua: «Mes enfants, nous avons dû partir en laissant nos morts, nos biens, et, provisoirement, notre famille. Votre père et moi trimons comme des bêtes de somme, nous avons été coupés de tous ceux que nous aimons, alors que nous étions persuadés de ne jamais avoir à vivre ce destin de déplacés. Nous sommes en France, c?est un pays magnifique, le pays de l'égalité, des droits imprescriptibles, c'est notre pays à présent. Mais, sait-on jamais ? L'immonde a la vie dure? Nous n'avons pas d'argent à vous laisser, de biens à vous distribuer. Aussi, votre dot, ce seront vos études. Choisissez votre voie, mais quelle qu?elle soit, je veux que vous alliez le plus loin, le plus haut, que vous soyez les meilleurs! Je veux que face aux épreuves vous ayez la solution, vous sachiez vous en sortir, et surtout je veux que vous vous prépariez un avenir heureux et équilibré, dans ce pays superbe dont vous devrez toujours respecter les lois, et que vous devrez contribuer à enrichir, dans tous les sens du terme. Donc en ce qui te concerne, Yaël, pas question d'interrompre tes études! Tu travailles, tu travailles, et tu réussis! Jamais nous n?accepterons qu'il en soit autrement!» Adieu donc les rêves de fainéantise.
Mais ils n'avaient été qu'un battement d'aile de papillon un jour de fatigue?
En réalité, j'ai abordé les études comme on entre en religion; fervente, inquiète, attirée?
En même temps je m'adonnais à mon inaltérable et double passion; l'écriture, la lecture.
Je ne souffrais plus d'être différente. Les odeurs, les couleurs, les légendes de mon pays devenaient une richesse prometteuse, un terreau sain et fertile pour une vie enthousiaste.
Mes manques, mes cafards, mes solitudes devenaient des tremplins de vie. Au nom de tous les miens je devais être heureuse, moi qui grandissais dans un pays sans dhimmitude. Je m'y employais activement. Pourtant ce ne fut pas toujours facile; mes amies avaient des points de repère qui ne seraient jamais les miens.
Je n'ai pas eu la chance d'avoir un grenier familial; les malles de vieux costumes, les livres d'enfance, les photos couleur sanguine, je ne connaissais pas.
Je n'avais pas d'amie d'enfance, puisque mon enfance s'était effilochée sous d'autres cieux. Je n'avais plus de famille, puisqu'elle s'était éparpillée sur la planète. Mes fêtes religieuses n'étaient célébrées qu'autour de la table familiale singulièrement étroite, alors que les cloches du village s'en donnaient à coeur joie pour des célébrations dont j'ignorais tout, ou presque. Je n'avais pas de cousins à visiter le dimanche, et j'étais la seule au lycée à aller en étude lorsque toutes mes camarades de classe assistaient au cours de catéchisme: ça n'a pas été faute d'avoir reçu mille et une sollicitations de l'aumônier, particulièrement prosélyte.
Qu'importe! La joie s'installait; joie d'exister, promesses d?avenir, enthousiasmes d'adolescente?
J'ai voulu rendre à la France ce qu'elle m'avait donné en protection et en richesse; je suis devenue enseignante de Littérature. J'ai jubilé à exercer ce sacerdoce. Moi, la petite juive de Tunisie, j'ai enseigné à des générations les beautés subtiles de la langue française, les finesses poétiques d'écrivains bouleversants.
Et lorsque je n'enseignais pas je lisais, j'écrivais, ou bien encore je passais des concours ou des examens.
J'ai conscience de l'apport que nous avons constitué pour ce beau pays de France, et je me suis souvent étonnée de ce qu'aucun président de la République n'ait encore remercié les «Pieds Noirsand consorts» de leurs contributions multiples et variées au développement de notre pays. Ca n?allait pas de soi; cependant ce fut en général une réussite d?intégration. Intégration, mais pas assimilation, ce qui aurait été une catastrophe.
J'ai vécu la vie de tous les adolescents français, à quelques petits détails près, du genre; «Non, tu n'iras pas à cette surprise-partie; chez nous, une fille ne sort de la maison de son père qu'au bras de son mari; ne l'oublie pas!»
Bon? Je faisais avec, ou plutôt sans!
Je me suis mariée avec un rabbin hollandais, qui passait par Nice pour une après-midi, une belle après-midi ensoleillée qui vit éclore un des plus immenses coups de foudre de ces dernières décennies!
Nos enfants ont grandi entre la Hollande, l'Angleterre et la France, ce qui a contribué à leur donner une tournure d'esprit libre et sans a priori.
Mais toujours je revenais vers la France, mon pays adopté, aimé, respecté. C'est encore la France qui me reçut et me consola d?une douloureuse séparation familiale; mes promenades le long des rivages méditerranéens, mes pérégrinations parisiennes, mes errances angevines m?aidèrent à me reconstruire, à me tourner à nouveau vers l?avenir, à retrouver le sourire et la joie de vivre.
Et aujourd?hui, c'est à la France que je dois, depuis deux ans d'Intifada, mes plus fortes blessures, avec son nouveau laxisme antisémite. La France qui ne sait plus parler le langage de la justice et de la connaissance, la France qui se ferait veule, amnésique, voire négationniste. Cette France-là me fait mal à l'âme.
Devrons-nous à nouveau partir pour éviter le pire? Certains s'indignent lorsque je pose cette question. Pourtant, c'est pour avoir répondu non que, dans d'autres temps, des foules ont été tuées.
Des foules juives, auxquelles on refusait le droit d'être.
Pour ma part, je resterai. Je veux être de nouveau fière de la France, je veux contribuer à effacer l'aveuglement des médias, à rétablir la justice, à rappeler inlassablement l'histoire du monde, et en particulier celle du Proche Orient, que soudain tout le monde interprète de travers. Je veux que mes enfants puissent aller de Lille à Bastia sans qu'on tamponne leurs papiers d'un J rouge et infamant.
J'exagère? Peut-être; en tout cas je l'espère. Mais on a dit cela aussi, dans d'autres temps immondes.
Je veux vivre comme je le ressens; citoyenne du monde, domiciliée en France, terre d'amour et de compréhension.
Je veux être heureuse en France. Vaste programme? Nous avons l'habitude des défis. L'impossible, nous l'avons déjà fait, avec ce départ de Tunisie qui nous a déchirés, laminés, épuisés. Il nous reste à accomplir le miracle; détruire les préjugés à notre encontre. Nous le ferons; laissez-nous juste un peu de temps, s'il vous plait!
Yaël König. Ecrivain. Editrice.
Par Nao (Nao) le mardi 09 septembre 2003 - 16h10: |
On dit Arafat est un obstacle a la paix au MO. Soit! Personne ne peut contredire cela!
Mais L'Europe a aussi une ENORME responsabilite et est elle-meme devenue le plus gros obstacle a l'issue de la "war against terror" (guerre contre le terrorisme islamiste) et la paix au Proche-Orient a long terme. Ces cretins d'Europeens n'ont rien compris et se trompent de camp. Bis repetita!
Ils veulent se demarquer de l'Oncle Sam
et etre un bloc, sorte de contre-pouvoir face aux USA comme le fut en son temps l'URSS! Ils pensent qu'ils sortiront grandis et independants de ce bras de fer! Et puis la Vieille Europe ne veut pas etre menee par la Jeune Amerique! Ce qui est une approche totalement erronee puisque nous devrions etre animes par les memes valeurs democratiques!
L'Europe se trompe a nouveau d'ennemi. Et toute son histoire est faite d'erreurs strategiques comme celle ci!
L'ENNEMI COMMUN c'est l'Islam fondamentaliste qui s'est infiltre de partout avec le but de nous convertir en masse ou de nous massacrer si nous resistons. Si l'Europe et les USA se battaient main dans la main, on se debarrasserait des crapules comme arafat, yassine, el assad, le prince d'arabie saoudite, ben laden et les autres!
Par Henri (Henri) le mardi 09 septembre 2003 - 08h20: |
Festival de l'amuse gueule!!!!!?????
Il aura lieu a Carthage le 7 septembre 2003 a Hammamet.
Il aura tout compris le pecheur de perle.
Par Citron (Citron) le lundi 08 septembre 2003 - 21h27: |
Festival de l’amuse-gueule
Le conservatoire tunisien de cuisiniers, l’ONTT et la Fédération régionale ont organisé le festival de la Kémia, les Tapas et la Mezze de la Méditerranée du 5 au 7 septembre 2003 avec la participation des différents conservatoires de la Méditerranée: la Turquie, le Liban, la France, l’Italie, la Catalogne, Chypre et la Tunisie. Cette manifestation aura lieu à Carthage Land à Yasmine-Hammamet.