Par Richard_S (Richard_S) le jeudi 18 septembre 2003 - 17h20: |
ARAFAT AURAIT DECLARE :
"Mourir en martyr? Oui, y a-t-il quelqu'un en Palestine qui ne rêve pas du martyre ?", a-t-il ajouté. "Y a-t-il un seul Palestinien qui ne risque pas d'être transformé en martyr par les tirs et les missiles israéliens quotidiens ?"
Mr Arafat :
- Si vous revez vraiment de mourir en martyr, alors pourquoi vous plaindre quand les missiles Israeliens le font.
Vous devriez plutot les remercier.
Richard
Par Mena (Mena) le jeudi 18 septembre 2003 - 17h24: |
Analyse d’une arrière-pensée (4ème et dernière partie) (info # 011809) [analyse]
Par Gérard Huber, correspondant permanent à Paris © Metula News Agency
Que cache le jugement intempestif de Gérard Araud, nouvel ambassadeur de France en Israël, qui a récemment « paranoïsé » Israël, sinon une grande incompréhension des profonds problèmes que connaît ce pays ?
La politique palestinienne de l’Etat d’Israël et ses inexcusables excès, lorsqu’ils se produisent, s’expliquent, nous l’avons vu, par un face-à-face radical avec l’antisémitisme arabo-musulman en développement. Car le mécanisme psychique hystéro-phobique dont j’ai parlé plus haut, joue aussi à plein, chez les Israéliens, et, cette fois, non contre le Palestinien comme origine, mais contre le Palestinien qui s’institue comme origine. C’est-à-dire contre celui qui, par le fer et par le feu, veut aujourd’hui annuler rétroactivement l’histoire passée, et réécrire l’identité du peuple palestinien, en lui donnant le statut d’un descendant des Philistins bibliques, qui tirerait son droit ontologique de peuple possédant la terre de Palestine de ce que les Philistins auraient vécu en Canaan avant que les tribus d’Israël ne s’y installent, sous la direction du chef de guerre que fut Josué.
Pour le dire autrement, Israël fait l’analyse que, si le nazisme a tenté, jadis en Europe, de renverser le socle originaire du judaïsme, c’est aujourd’hui au Proche-Orient, et qui plus est sur la terre biblique, que l’antisémitisme palestinien poursuit et veut parachever cette tâche.
On a souvent glosé sur le fait que, pour trouver une solution à l’antisémitisme, le peuple juif eût pu vouloir s’installer en Argentine, au Canada, au Birobidjan ou en Ouganda, à la fin du 19ème siècle, et que, si ce fut la Palestine sous mandat britannique qui fut choisie, la raison en était que c’était là, selon la Bible, dans l’ancien Canaan, qu’il connut ses débuts comme peuple apportant d’abord la monolâtrie, puis le monothéisme au monde (ce fait est corrélé par l’archéologie et l’égyptologie au moins jusqu’à –1200, c’est-à-dire l’inscription d’Israël sur la stèle du pharaon Mineptah). Ce point est important, puisque les Palestiniens (nombre d’entre eux sont musulmans et chrétiens) ne pourraient aujourd’hui se référer au monothéisme, comme le reconnut jadis Mahomet dans le Coran, si cette origine n’avait pas été posée. Mais justement c’est la mise en danger de cette certitude originaire qui de nos jours décuple la détermination des Israéliens. (Il serait intéressant d’étudier comment l’argument ontologique et généalogique des populations est aujourd’hui associé pour les Juifs, non associé pour les Musulmans et les Chrétiens, à l’argument spirituel et religieux).
On peut voir de la « paranoïa » dans la conviction que cette certitude d’être l’origine est aujourd’hui ébranlée, - et l’on sait que le fantasme schizophrénique de changer de mère peut conduire à la folie et au meurtre - mais, à partir du moment où l’on comprend que Jérusalem est devenu l’enjeu de ce combat dissymétrique entre deux positions antagonistes (juive et musulmane, à quoi il faut ajouter la chrétienne) vis-à-vis de l’origine, on ne peut plus se gargariser d’un tel mot.
Si Camp David a sonné le glas du sens de la rencontre entre Juifs, Arabes et Chrétiens dans la Palestine anciennement placée sous mandat britannique, c’est parce que les Palestiniens ont misé sur le fait que le monde entier (excepté les Etats-Unis) avait commencé à aplanir la différence existant entre un Israël originaire et une Palestine secondaire, et à revenir sur la décision de l’ONU (1947) qui s’était traduite par la Résolution 187. A présent, c’est à Israël d’ouvrir les perspectives d’un accomplissement jusqu'au bout de cette Résolution aux yeux du monde.
Car le contenu latent du débat international inhérent aux sociétés travaillées par le monothéisme et sa sécularisation est l’acceptation ou la répudiation d’Israël comme origine. Et le spectacle que l’Etat juif donne aujourd’hui de ce que pourrait être une Origine étant particulièrement désastreux, la haine enfle. Israël a longtemps été décrié comme un Etat idéal à qui l’on pardonne ses errements. Aujourd’hui, il est condamné comme une Origine impure.
Ces jugements à l’emporte pièces sont fondés sur le fantasme de la création et de la transmission sans faute. Ils sont totalement délirants. Et pourtant ils s’opposent, chez les anti-Israël, aux jugements des pro-Israël qui refusent de reconnaître qu’eux-mêmes croient au fantasme de la pureté originelle du judaïsme et de l’Etat juif. La Bible et le Talmud ne sont-ils pourtant pas là pour exposer à quelles extrémités l’on peut être conduit quand on cède au fantasme de toute-puissance, et pour montrer comment le peuple juif a fait du combat historique contre ce fantasme le propre de son combat ?
Lorsque Israël dit que son existence est en danger, il exprime bien une double menace : contre les Juifs d’Israël et contre le judaïsme en tant que tel. Pour autant, ce face-à-face avec cet antisémitisme de rumeur (virulence directe et réactualisée des Protocoles des Sages de Sion) et de sang (passage à l’acte d’autant plus violent chez l’antisémite arabo-musulman qu’il est dû à la répudiation de son origine monothéiste) est opacifié et biaisé par l’inconscience du fantasme d’une origine sans faute. Il ne justifie donc ni qu’Israël tourne le dos à ses valeurs, ni que, par un autre tour de vis, il se mette en danger.
D’abord la question des valeurs. Récemment Avraham Burg, député du parti travailliste et ancien président de la Knesset de 1999 à 2003, ainsi que de l'Agence Juive, a parlé d’un « effondrement de la société israélienne » (in Yediot Aharonot, 29 août 2003). Il a eu ces mots terribles : « en tant que telle, la fin de l'entreprise sioniste est déjà à notre porte. Il existe une vraie probabilité que notre génération soit la dernière génération du sionisme. Il se peut qu'il y ait un Etat juif, mais il sera d'un autre genre, étrange et affreux ».
« Un autre Etat juif ». La description hyperréaliste de la situation catastrophique que connaît aujourd’hui Israël atteint un sommet, lorsqu’elle débouche sur l’hypothèse que l’Etat juif réel puisse être le double négatif de l’Etat juif rêvé.
L’histoire biblique du peuple juif nous enseigne déjà que cette duplicité connut même une dimension politique, puisque, à la mort de Salomon, « il y eut guerre entre Roboam et Jéroboam » (1 Rois, 15, 6). l’Etat juif se scinda en deux royaumes : Israël, dirigé par Jéroboam, avec sa capitale en Samarie, Juda dirigé par Roboam, fils et successeur désigné de Salomon, qui conserve Jérusalem.
Mais si, dans son réquisitoire, Burg ne juge pas encore nécessaire de brandir le spectre de la guerre civile en Israël, c’est parce qu’il pense qu’une autre guerre préliminaire s’y est déjà installée. Elle sévit entre ceux qui croient qu’ils ne pourront sauver Israël et le judaïsme que par « les nouvelles armes », « les programmes de sécurité informatique » et « les missiles anti-missiles », bref la violence, et ceux qui croient que cela ne pourra résulter que d’une transformation d’Israël en « Lumière des Nations », bref la raison. Or, selon Burg, il est encore temps d’agir.
En effet. Aujourd’hui encore, au lieu de chercher à exiler Arafat, Israël n’a toujours pas le courage moral de délégitimer ceux qui ont organisé le faux médiatique palestinien qui a lancé la seconde Intifada. Et l’Etat, sa police et son armée continuent d’être hantés par une désensibilisation morale qui gagne du terrain. Il ne s’agit pas seulement de l’humiliation faite aux Palestiniens, ni de la souffrance imposée aux femmes, à l’endroit des barrages routiers, comme l’écrit Burg, mais du cliché : d’abord survivre, ensuite être moral. Car la passation de pouvoir de Barak à Sharon ne fut pas une attitude visant la révolte contre la désensibilisation morale, mais seulement une reprise en main des corps armés de l’Etat pour faire face à un ennemi redoutable. Certes, le degré de sensibilisation morale ne se traduit pas par une politique d’épuration ethnique, d’apartheid ou de massacres, comme les propagandistes palestiniens et leurs relais intellectuels occidentaux tentent de le faire croire. Mais, on a envie de dire : encore heureux, car c’en serait fini, définitivement fini, de l’Etat juif. Or ne pas massacrer, ne pas épurer, ne pas « apartheidiser » ne font pas une morale. Mais alors, cette morale d’Etat juif quelle est-elle ?
Venons-en à la seconde question. En réalité, avons-nous affaire à un Etat en danger ou à un Etat qui se met en danger ?
Il n’est, bien sûr, pas question de nier les agressions militaires passées contre Israël depuis sa création ; mais si l’Etat pouvait alors être menacé, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Israël est une puissance nucléaire, chacun le sait. Désormais, l’agression porte donc contre les Israéliens (parce qu’ils sont Juifs) et non plus contre Israël. C’est là la différence entre les guerres auxquelles Israël a dû faire face jusqu’en 1982 et les attaques dont il est victime depuis. Il n’est pas non plus question de nier l’environnement intellectuel qui l’englobe aujourd’hui, tant en Orient qu’en Occident. Violence et haine palestiniennes, dénoncées par Mahmoud Abbas le 4 juin 2003 au sommet d’Aqaba, relayées par des violences antisémites dans différents pays du globe et par la haine du sommet de Durban (2001) sous couvert de l’ONU, notamment.
Mais on ne saurait répondre à la violence et à la haine par la violence et par la haine. Car là se trouve la mise en danger d’Israël par lui-même. Ceux qui sont des supporters inconditionnels de la politique palestinienne d’Israël rétorqueront ce qu’ils voudront : ils seront contredits par la décision qu’avait prise le ministre israélien des Affaires étrangères, Sylvain Shalom de créer, avec le ministre de l’information de l’Autorité palestinienne, Nabil Amr, deux comités communs chargés de répertorier les incitations palestiniennes et israéliennes à la haine dans les médias et les programmes scolaires. Quant aux violences israéliennes, la Commission Or est justement en train de s’en occuper. L’Etat juif a donc compris qu’il y avait un lien entre sa désensibilisation morale et sa mise en danger de soi.
Les attentats – suicides anti-Juifs (qui ont commencé avant l’assassinat de Rabin) n’ont, fort heureusement, pas eu tout l’effet attendu. S’ils visent à tuer le maximum de Juifs au prix d’un minimum de pertes, et malheureusement de très nombreux Israéliens sont déjà morts, victimes de ce crime contre l’humanité, ils ont également pour but d’envahir l’âme de l’Etat juif au point que celui-ci s’engage aveuglément dans le désespoir jusqu’à devenir criminel contre l’humanité ou s’auto anéantir. Cela ne s’est fort heureusement jamais produit. Mais qui ne voit qu’ils ont eu pour effet d’accélérer et d’approfondir la lente désensibilisation morale qui avait commencé au lendemain de la guerre des Six jours, à partir du moment où l’Etat s’installait dans l’occupation des Territoires et d’un peuple, fût-il en construction.
Dans Who supports Israël ? (New York Post, 3 septembre 2003), Daniel Pipes écrit que les Juifs américains, australiens font partie des critiques les plus acerbes contre Sharon et Israël. Et de citer Chomsky, Rose, Beinin, Lustick, Finkelstein, Friedman, Lerner, Miller, Sontag, Bronfman… auxquels nous pourrions ajouter les noms de Français. Bref des intellectuels juifs de gauche. En revanche, rappelle Pipes, ceux qui soutiennent Israël sont, dans leur grande majorité, les conservateurs.
Si tant est que ce type de diagnostic soit intéressant, il convient de remarquer qu’il est loin d’être pertinent. Identifier Sharon et Israël n’est pas acceptable. Quant à ceux qui soutiennent Israël, ils ne sont pas tous de droite et ceux qui le critiquent ne sont pas tous des antisionistes ni des antisémites.
Si le combat contre la malhonnêteté intellectuelle, la mauvaise foi et le mensonge est un combat de tous les jours, le combat pour l’honnêteté, la sincérité et la vérité est aussi à l’ordre du jour. L’appel de Burg aux Juifs de la diaspora prend alors toute sa signification. Œuvrer contre la désensibilisation morale ne se partage pas. Les ennemis d’Israël ne doivent trouver aucune auto-justification dans la formulation de ce combat, mais les amis d’Israël n’y doivent trouver aucune raison d’en minimiser l’urgence et la priorité.
Par Michka (Michka) le jeudi 18 septembre 2003 - 15h08: |
http://www.upjf.org/documents/showthread.php?threadid=5098
«Bas les voiles», un livre contre le voile, de Chahdortt Djavann
Un livre court (47 pages) mais d'une grande clarté fournissant un riche argumentaire sur la question, écrit par une Iranienne anthropologue vivant en France.
A lire ABSOLUMENT (Gallimard)
En 4ème de couverture, la phrase suivante : «J'ai porté dix ans le voile. C'était le voile ou la mort. Je sais de quoi je parle».
Un extrait :
Qu'est-ce que cela signifie, voiler les filles ? Cela signifie en faire des objets sexuels : des objets, puisque le voile leur est imposé et que sa matérialité fait désormais partie de leur être, de leur apparence, de leur être social ; et des objets sexuels : non seulement parce que la chevelure dérobée est un symbole sexuel et que ce symbole est à double sens (ce que l'on cache, on le montre, l'interdit est l'envers du désir), mais parce que le port du voile met l'enfant ou la jeune adolescente sur le marché du sexe et du mariage, la définit essentiellement par et pour le regard des hommes, par et pour le sexe et le mariage...
Par Email (Email) le jeudi 18 septembre 2003 - 07h30: |
Lettre Nechek N° 13
Sitôt l’attentat annoncé avec son macabre bilan, que le journaliste met à jour la comptabilité bipartite des victimes palestiniennes et Israéliennes. Je pose une bombe et je retiens huit morts !
Manifestement forts en mathématiques, doit faire ses preuves en histoire.
Lassés des attaques suicides à répétition, les Américains mettent fin au harcèlement japonais en larguant deux bombes.
Existe t’il une solution rationnelle à un problème irrationnelle ?
En refusant le plan de partage de l’ONU, nos arabes régionaux excluent toute possibilité de vie commune dans la région. Par ailleurs, une bande de bédouins Hachémites se voient offrir en guise de bonne volonté un pays, la Jordanie. Celui-ci est composé en 1950 de 75% d’arabes ayant décidé de ne pas vivre au côté des juifs dans un état indépendant.
Ils constituent, aujourd’hui encore, 80% de la population de la Jordanie.
Gaza et la Cisjordanie sont sous administration Jordano Egyptienne jusqu’en 1967. Pourquoi n’ont-ils pas donné l’indépendance à leurs frères de sang ? Car visiblement ils ne sont frères que quand il y a du sang !
Dans un conflit qui tourne à l’irrationnel, doit-on, nous, seule démocratie rationnelle, plier face à leur mode de pensée irrationnelle ?
Le monde à vaincu le marxisme, le nazisme et les dictatures de l’Est. Va t’on survivre à l’islamisme ?
Médias, argent et population conservée dans le formol de leurs versets coraniques maintiennent, la bave aux lèvres, une haine viscérale de l’autre par des arguments qui feraient se tordre de rire un ivrogne un soir de beuverie. Ou vomir.
En tenant leurs peuples d’une main de fer qui claque au moindre souffle de contestation, les pays hostiles à la survie d’Israël entendent mener leur Jihad coûte que coûte.
Et c’est là que notre petite tête de démocrates bien rationnels attend encore les commentaires de l’ONU pour tendre l’autre joue.
Tu me crèves un œil, je te crève un œil. Mais si tu tentes de me crever l’autre, je te coupe la tête. Sinon comment arriverais-je à te crever l’autre œil puisque je ne vois plus rien ?
Est-ce une fois aveugles que la société des nations bien aimantes nous fournira une canne blanche ? A moins que le cours du bois ne s’envole, ils nous offriront aussi les cercueils.
Est-ce rationnel de dialoguer avec ceux qui louent Allah de leur avoir donné un enfant suicidaire ?
Je ne laisserai personne toucher à ma mère, Erets Israël. Je l’aime plus que tout au monde et je lui pardonne tout ! Car elle n’est pas immortelle.
Quitte à vivre reclus et honteux de ne pas partager mes jouets avec mes voisins avides de piller ma chambre, je choisirai probablement une solution irrationnelle. Comme eux !
Quel peuple peut comparer sa souffrance avec celle du peuple juif ? Depuis Moise à aujourd’hui, nous avons subi les pires atrocités qu’un humain est capable d’imaginer. Les palestiniens ont-ils seulement enduré en 50 ans un pourcent de ce que nous avons vécu. Les juifs n’ont été défendus par personne, ni financés par aucune patrie de nababs vivant sur des réserves naturelles qui les ont rendus gras et milliardaires. Et nous continuons à donner un porte voix à des députés arabes au nom de notre Judéo-Culturo-Humanismo-démocratie !
Irrationnellement, ils seront déchus de notre nationalité et invités à vivre entre eux, en Jordanie. Dans ce pays qu’ils ont tenté de contrôler par la force en septembre 1970.
Love it or leave it !
Et je resterai sans doute seul, vivant rationnellement chez moi en famille et irrationnellement avec tous ceux qui tenteront de toucher à ma Mère, Erets Israël.
Par Djlachem (Djlachem) le jeudi 18 septembre 2003 - 01h14: |
Il y a eu une participation de la Tunisie aux deux guerres de 67 et 73.
En 73, il y avait 1000 à 2000 soldats tunisiens positionnés dans le delta du Nil*
*Mythes et réalités du Proche-Orient De Mitchell G. Bard. Editions Raphaël
PS Je recommande chaudement l'achat de cet ouvrage qui est un véritable lexique organisé sous forme de questions-réponses permettant à chacun de répondre à ceux qui nient certaines réalités.
Davideden avait raison, Citron avait tort. Point.
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 18 septembre 2003 - 01h23: |
Colloque sur l'auto-defense Juive en Tunisie
"En Novembre se tiendra en Israel, au Seminaire Ef'al, un colloque sur l'organisation de groupes d'auto-defense Juive, durant les annees 1943-1953.
S'il se trouve parmi vos lecteurs/surfeurs, quelqu'un ayant fait partie d'un de groupes, il est prie de se mettre en contact avec:Roland Aloni a l'adresse suivante: r_aloni@bezeqint.net
Recevez mes remerciements anticipes.
Roland Aloni
Par Wnes (Wnes) le jeudi 18 septembre 2003 - 00h45: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
L'Info du ftileur : Perles pour le kif !
Doña Mexico : " Parmi les plaies qui ont sévi cet été, il y en a une qui persiste et que nous n'arrivons pas à mettre hors d'état de nuire. Il s'agit d'un virus dangereux nommé ARAFAT2003BUG.EXE. " :
* Ces virus font moins de mal que des bombes, alors S.V.P., envoyez nous des virus, et on tendra l'autre joue, pour recevoir un tendre baiser !
Nao : " La petasse de Maryse Burgos commence de sa voix monocorde " :
* La nage en pleine misogynie !
Encore : " Une gynecologue (c'est quoi son job a celle la? elle peut pas leur filer la pilule!) " :
* On ne dit plus filer la quenouille mais Ftiler la pilule !
Maxiton : " La chauve-souris,mammifère insectivore volant, comparée à un suceur de sang. " :
* C'est bien connu qu'à l'origine les vampires étaient insectivores, mais à force de bouffer des tiques, il ont trouvé plus commode de sucer le sang directement !
Omega : " Le dialogue serait-il mort ?? " :
* Vous avez raison Omega, le dialogue à rendu l'âme depuis des lustres, mieux vaut en rire car la dérision n'a jamais tué personne !
Sieur Eden : " Cela sans parler de plus de 60000 Juifs Tunisiens expulses et spolies " :
* Publiez donc la photocopie du décret d'expulsion et de spoliation, cela pourrait nous éclairer nos lanternes !
Lucia : " Je te felicite de ta tenacite et poursuite de la Verite. Je t'en prie, continue ton effort, malgre tout ce que tu as a faire. "
* Un triste personnage dont nous tairons le nom, tant il a fait de mal à l'Humanité se permettait de dire que : " le mensonge à force d'être répété devenait la vérité ", certains lecteurs savent bien de qui il s'agit ?
A bientôt, et aux prochaines perles !
Wnessou El Douda
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mercredi 17 septembre 2003 - 20h59: |
La nouvelle vient de tomber comme un couperet pour la famille Arad , si echange avec le hezbolah il y a , ce sera probablement sans Ron ...Sharon a rencontre la famille pour la mettre au courant des avancees on devra donc rendre toutes nos cartes mais nous resterons orphelins de Ron Arad .
Par Citron (Citron) le mercredi 17 septembre 2003 - 19h56: |
mr eden
le site que vs présentez est une "encyclopédie" ou tout le monde peut ajouter ou retrancher des informations www.wikipedia.org.
les 1000 soldats tunisiens envoyés par bourguiba pour aider naceur , je ny crois pas , est seulement ce site qui y fait référence.
la page annonce tout de suite:
"To create the page, start typing in the box below
"
TOUS LE MONDE PEUT CREER ET CHANGER CERTAINES DONNEES ET JE PENSE QUE C PAS SERIEUX COMMENT PROCEDER SURTOUT POUR UNE ENCYCLOPEDIE
demonstration sur relation tunisie-israel
Par Emma (Emma) le mercredi 17 septembre 2003 - 17h03: |
ON SE DEMANDE COMMENT L'AP ARRIVE A POSER DES QUESTIONS AUSSI IMPORTANTES.
Pour ses 80 ans, Shimon Pérès invite Clinton et Gorbatchev, mais pas Arafat
JERUSALEM (AP) - Pour ses 80 ans, Shimon Pérès a invité 2.300 personnes, dont une partie du gotha international -Bill Clinton, Mikhaïl Gorbatchev, Enrico Macias, Kathleen Turner-, mais pas Yasser Arafat, avec qui il a pourtant partagé un prix Nobel de la paix en 1994.
Pas moins de 48 pays seront représentés dimanche prochain pour cette soirée d'anniversaire du dirigeant israélien qui aura lieu à l'auditorium Mann de Tel Aviv, selon la liste des invités rendue publique mercredi.
Parmi les personnalités politiques invitées figurent les anciens présidents américain Bill Clinton, soviétique Mikhaïl Gorbatchev et sud-africain Frederik de Klerk, mais aussi des dirigeants en activité comme le président slovaque Rudolf Schuster, le ministre allemand des Affaires étrangères Joschka Fischer, le vice-président bulgare Angel Marin ou encore le vice-Premier ministre serbe Dusan Mihajlovic.
Des célébrités seront également de la partie, tels l'actrice américaine Kathleen Turner et le chanteur français Enrico Macias. Selon des tabloïds israéliens, le top model Naomi Campbell a demandé à être invitée en compagnie de Bono, le chanteur de U2. Mais leurs noms n'apparaissent pas sur la liste finale.
Signe des temps, le président de l'Autorité palestinienne Yasser Arafat, qu'Israël a récemment menacé d'expulser, voire de supprimer, n'a pas été invité. En 1994, Arafat avait partagé le prix Nobel de la paix avec Pérès et le Premier ministre israélien d'alors, Yitzhak Rabin, pour avoir signé ensemble les accords de paix d'Oslo en 1993.
En revanche, le nouveau Premier ministre palestinien Ahmad Qoreï, ainsi que deux autres personnalités politiques palestiniennes, Saeb Erekat et Yasser Abed Rabbo, ont décliné l'invitation. AP
Par Email (Email) le mercredi 17 septembre 2003 - 17h06: |
COMMUNIQUE DU CERCLE BEN GOURION
Les ONG Palestiniennes ont rejeté catégoriquement l'engagement de ne pas financer le terrorisme au moyen des fonds alloués par les Etats-Unis via l'USAID* à des fins humanitaires.
Le Cercle Ben Gourion s'étonne du manque d'écho et de réaction du monde politique et médiatique.
Ces ONG ( dont le " Croissant Rouge", le "Mizan"Centre des Droits de l'Homme, et la " Fédération des Professions de Santé ") motivent leur refus en s'alignant sur la politique de l'Autorité Palestinienne pour laquelle les meurtres d'Israéliens, y compris par les attentats-suicide, ne relèvent pas du terrorisme.
Le Cercle Ben Gourion s'interroge sur le point de savoir si les critères moraux qui conditionnent l'octroi de l'aide américaine sont aussi d'application en Europe.
Sinon, l'Union Européenne envisage-t-elle aussi de compenser les fonds que l'USAID ne versera pas?
Par Mexico (Mexico) le mercredi 17 septembre 2003 - 16h10: |
VIRUS
(ce n'est pas de moi!)
Chers amis,
Parmi les plaies qui ont sévi cet été, il y en a une qui persiste et que nous n'arrivons pas à mettre hors d'état de nuire. Il s'agit d'un virus dangereux nommé ARAFAT2003BUG.EXE.
En effet, ce virus polymorphe a des alias connus comme ARAFAT.OLP-1964, ARAFAT.ONU-1974, ARAFAT.BEYROUTH-1982, ARAFAT.OSLO-1994 , ARAFAT.INTIFADA-2000, et encore d'autres souches virales infectieuses.
Malgré tous les antivirus connus à ce jour, comme SHARON ANTIVIRUS 2003 et ses prédécesseurs MAC BARAK ANTIVIRUS, ANTIVIRUS PERES ou ZONE ALARM NETANYAOU, aucun des patchs des 30 dernières années n'a réussi à éradiquer cette nuisance de manière définitive.
Il a même réussi à s'emparer de nos carnets d'adresses pour se faire accueillir en héros dans le monde entier, à l'ONU, à PARIS, à WASHINGTON ou MOSCOU. En s'avançant masqué sur ses intentions belliqueuses et assassines, il a réussi à pénétrer au cœur des plus puissantes unités centrales du monde.
Il a utilisé ses ramifications et sa fascination d'objet indestructible pour afficher des images perverses sur vos écrans : le petit Mohamed Al-Dura dont on ne saura peut-être jamais ce qui s'est vraiment passé, des chars devant la basilique de Nazareth, la mise à sac des finances palestiniennes à son seul profit, …
Il a même réussi à occulter et à détruire les images négatives pour lui : les corps calcinés et déchiquetés dans les autobus Egged, la fille qui est enterrée avec son père le jour où elle devait passer sous la houppah, et tant (trop) d'autres images inoubliables.
Les concepteurs israéliens de pare-feu construisent un pare-feu FIREWALL SECURITY FENSE 2003 autour des forces vives d'ISRAEL malgré les restrictions budgétaires et les tentatives de sauvegarder ce virus si fascinant pour certains esprits dérangés (je n'ose dire paranos).
Malgré les divers patchs, il existe des trous dans la sécurité et ce virus lance ses attaques mortelles contre notre cœur, le microprocesseur PENTAMD ISRAEL à 5763 MégaHertz.
D'ici quelques semaines, la version 5764 va sortir dans le Monde entier, en même temps, pour inonder le Monde de sa vivacité, de sa dignité et de sa puissance, un futur cru toujours attendu avec des pommes et du miel. Le jingle habituel SHANA TOVA (version YESHIV'AC) sera repris par des millions d'âmes à travers la Planète.
Mais ce virus ARAFAT2003BUG.EXE a engendré des virus de même acabit, sinon pires, et dont le seul but est de se propager à travers la planète : HEZBOLLAH.ORG, HAMAS.KILLER, DJIHAD.ASSASSIN et tueurs de vie.
Malheureusement, ces virus démoniaques à la stratégie mortelle annoncée haut et clair fascinent nos chercheurs en gaucho-altermondialo-antisémitisme. Malgré la mise en quarantaine d'ARAFAT2003 dans le répertoire TERRITOIRES\RAMALLAH\MOUQATAH, nos éminents chercheurs et donneurs de leçons persistent à vouloir maintenir ce processus nuisible en état de marche.
Même le processus AP-PREMIER-MINISTRE a essayé de mettre en priorité basse ou en désactivation ARAFAT. Cependant, ce virus apparaît indestructible et résistant à toutes les mises en quarantaines, aussi bien à RAMALLAH qu'à TUNIS dans une version précédente.
En cette annonce bienvenue d'un nouveau PENTAMD ISRAEL 5764 et de sa version PENTAMD MONDEJUIF 5764, nous ne pouvons qu'espérer que le nouveau modèle saura résister de toutes ses forces aux attaques des virus de tous poils.
Nous saurons évidemment tous mettre ce nouveau processeur au sein de notre unité centrale JERUSALEM et profiter de sa puissance, de sa force et de sa vivacité.
Vivement la version finale SHARON ANTIVIRUS 5764 (et ses successeurs) qui parviendra à libérer les composants palestiniens du joug de ce virus malfaisant pour la communauté mondiale.
Cordial Shalom, Informatiquement Votre.
Bernard MUSICANT,
Président de Connec'Sion
Par Nao (Nao) le mercredi 17 septembre 2003 - 16h42: |
Gardez un oeil sur les futures parutions de livres. Le 24/09 sortie en librairie du bouquin de Pierre-Andre Taguieff et Yohanan Marov "Les manuels scolaires palestiniens: une generation sacrifiee"
Ca promet d'etre instructif sur le lavage de cerveaux en cours ds les ecoles de Gaza.
Par Michka (Michka) le mercredi 17 septembre 2003 - 16h10: |
LE FIGARO
Le calcul de l'OLP
PAR SHMUEL TRIGANO *
[17 septembre 2003]
Où a-t-on jamais vu un État, sorti victorieux d'une guerre où il était menacé d'annihilation totale, remettre à son ennemi le plus implacable les gages de sa victoire, lui concéder une assise territoriale et le gratifier d'un embryon d'armée régulière avec comme seule demande de bien vouloir reconnaître... son existence ? Quand a-t-on vu une négociation internationale conclure un accord sans que les problèmes les plus importants qui l'ont rendue nécessaire aient trouvé une solution ? Où a-t-on vu un tel défaitisme se retourner contre ses auteurs devenus la cible d'une réprobation internationale ? Tout le monde a reconnu l'État d'Israël au sortir de dix ans d'Oslo. A l'heure où la «feuille de route» semble morte, un bilan s'impose pour ce qui restera dans les annales de l'histoire internationale un phénomène unique. Et erratique. L'exemple même d'une immense niaiserie politique (de fait concoctée par des universitaires israéliens inexpérimentés en politique) dont on espère qu'il n'aura pas été le premier acte d'un suicide collectif.
Il n'y a en effet jamais eu de processus de paix mais une ruse de guerre de l'OLP qui s'inscrivait dans une stratégie graduelle visant à la destruction de l'État d'Israël et alternant périodes de trêve et de guerre, selon les règles les plus classiques de la «guerre populaire» que les Palestiniens ont apprises, dans les années 1970-1980, auprès des Soviétiques, des Chinois, des Vietnamiens et des Algériens. Un géostratége, Joël Fishman, rappelle à ce propos la définition qu'en donne Stefan T. Possony : «Un conflit politique avec des opérations militaires comme forces d'appoint.»
C'est ainsi qu'il faut comprendre le «processus d'Oslo» côté palestinien, comme une étape, dans une guerre destinée à être longue. Ne fut-ce pas évident dès le lendemain de la signature de la «déclaration de principes» ? Trois mois après, l'OLP déposait une vingtaine de résolutions anti-israéliennes à l'assemblée générale de l'ONU et lançait une campagne de terreur contre les civils israéliens. Deux cent cinquante morts israéliens, de septembre 1993 à septembre 2000, 824 de septembre 2000 à juin 2003, des milliers de blessés et d'handicapés à vie : la «paix» d'Oslo a provoqué plus de morts que la guerre d'usure lancée par l'Egypte (1968-1970) et la sécurité intérieure d'Israël n'a jamais été aussi fragile. Tous les leaders palestiniens ont avoué qu'Oslo s'insérait dans un «plan par étapes», celui que l'OLP avait adopté en 1974. C'est ce que déclare en public Arafat de façon récurrente (mai et novembre 1994, juillet et septembre 1995, mai et novembre 1998). Ainsi que Fayçal Husseini, un homme célébré par les médias pour sa «modération», déclarait, un mois avant sa mort, au journal égyptien nassériste Al Arabi (du 2 juillet 2001) que les accords d'Oslo étaient «un cheval de Troie», destiné à pourvoir les Palestiniens d'une base territoriale pour conduire une guérilla permanente qui finirait avec la création d'un Etat palestinien sur les ruines d'Israël.
Hannah Arendt nous avait pourtant appris que, malgré leur fonctionnement à la façon de sociétés secrètes, les systèmes totalitaires déclarent toujours ouvertement leurs objectifs. L'Autorité palestinienne n'est-elle pas à ranger dans cette catégorie, issue d'un mouvement formé aux méthodes marxistes-léninistes et dont les seuls faits de guerre ne furent jamais que des actes terroristes commis sur des civils ? Après avoir été élu avec 87,3% des voix en 1994, autant que le parti communiste polonais en 1947, Yasser Arafat n'a jamais tenu d'élections générales malgré ses obligations en vertu de l'accord signé à Washington le 28 septembre 1995...
Que fut l'intifada sinon le passage à une nouvelle «étape», armée cette fois-ci, de la stratégie par étapes ? De septembre 2000 à juin 2003, on décompte 18 000 attaques réussies ou tenues en échec, soit 18 attaques par jour. Depuis quelques mois le Hamas va jusqu'à tirer des roquettes sur des villes du sud d'Israël...
Plusieurs déclarations d'officiels palestiniens confirment le caractère calculé de cette guerre new look qu'on appelle intifada pour occulter son vrai nom. Sa préméditation, dès Oslo, se vérifie par la préparation intensive au combat et au sacrifice de toute la société palestinienne, et notamment de sa jeunesse. Livres d'école et programmes de télévision, généreusement financés par l'UE, en témoignent avec une violence inouïe.
La négociation simulée avait pour finalité d'obtenir une reconnaissance internationale et d'endormir la vigilance et les réflexes des Israéliens, de sorte que la traîtrise du coup porté n'en soit que plus dure. La stratégie marxiste-léniniste de la guerre populaire se fonde en effet avant tout sur la propagande et la guerre psychologique. Ne pouvant pas se confronter à une armée du fait de ses forces limitées, ses adeptes s'attaquent à une société, à des civils, dans le but de les briser moralement, politiquement et économiquement. Sur le plan de l'action psychologique, le plan médias de l'OLP est une grande réussite. Elle a réussi à imposer sur la scène mondiale l'évidence de la version arabe de la guerre contre Israël en la maquillant sous la forme victimaire chère aux tiers-mondistes et capable d'émouvoir la conscience culpabilisée de l'Occident.
Les actes de terreur massifs, de surcroît perpétrés par une arme nouvelle, le jeune bombardier humain, ont visé quant à eux à démoraliser la population israélienne. Sur ce plan, cependant, la manipulation idéologique est encore plus sournoise. A travers des groupuscules pacifistes israéliens décérébrés (ou convaincus), l'OLP a tenté de briser le front intérieur israélien, en exploitant sur un plan international l'infime mouvement des déserteurs de l'armée israélienne ou les happenings médiatiques d'activistes d'extrême gauche qui ne représentent qu'eux-mêmes.
Enfin, l'OLP a tenté de se constituer en pouvoir alternatif de l'État d'Israël. C'est là en effet un autre objectif de la guerre populaire : saper la légitimité et l'autorité du pouvoir à abattre en rendant incontournable celui qu'on promeut. Son emprise sur les citoyens arabes d'Israël est probante.
Quel est le principal résultat d'Oslo ? Après avoir été chassée de Jordanie («septembre noir» 1970) et du Sud-Liban (guerre de 1982), où elle avait tenté d'établir un pouvoir autonome et de construire une véritable armée, l'OLP a obtenu au coeur même d'Israël (15 km séparent Tulkarem de la mer !) une base territoriale pour mener une longue guerre de guérilla contre Israël et poser les infrastructures d'une armée (l'Autorité palestinienne avoue officiellement 10 000 «policiers» de plus que prévus par Oslo, mais il y a infiniment plus de proto-soldats ou de paramilitaires) avec, cette fois-ci, l'accord et les encouragements de l'Occident. Juste après son refus de Camp David, Arafat en tournée diplomatique mondiale aurait déclaré, à Djakarta, le 16 août 2000, au président indonésien Abdurahman Wahid qui le pressait de mettre un terme au conflit avec Israël : «Dans cent ans Israël disparaîtra. Alors pourquoi se presser de le reconnaître ?»
* Professeur des universités. Vient de publier aux PUF La Démission de la République, juifs et musulmans en France.