Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 26 septembre 2003 - 14h35: |
A tous les harissiens et harissiennes , herissons et herissones , je vous souhaite de tout coeur , une tres bonne annee , pleine de miel , d infos agreables a diffuser , de debats interessants , que les traites de paix soient enfin signes et que nous retrouvions la periode ou seuls le lait et miel coulaient sur cette terre benie . Que D protege Israel et vous protege , et qu il eloigne nos ennemis . amin !!!
Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 26 septembre 2003 - 09h05: |
faisons un rêve :
Des membres du hamas décident de refuser les opérations
suicides, car elles mettent en danger la vie d'êtres humains,
et représentent un crime contre l'humanité.
Pour protester contre leur décision arafat menace de se
retirer à Rilleux la Pape
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 26 septembre 2003 - 04h07: |
Nigeria: Amina acquittée, un homme condamné à être lapidé pour "sodomie"
Par Mena (Mena) le jeudi 25 septembre 2003 - 23h18: |
Arrêtons d’arafatiser le conflit israélo-palestinien (info # 012509) [analyse]
Par Salomon Pardess à Paris © Metula News Agency
Le récent éloge de Shimon Pérès, à l’adresse de Yasser Arafat, « seul dirigeant arabe à avoir déclaré qu'il reconnaissait l'Etat d'Israël, à avoir annoncé qu'il ferait cesser le terrorisme et à avoir approuvé un accord de paix basé sur les frontières de 67 et pas de 47 », à un moment où l’Autorité Palestinienne voit son aide financière amplifiée par le FMI, réuni en sommet annuel de la Banque Mondiale à Dubaï, montre qu’Arafat a réussi à revenir dans le jeu d’où Sharon croyait l’avoir exclu.
Le conflit israélo-palestinien qui, un court moment, avait été reformulé sur des bases politiques, régresse à nouveau vers le sempiternel énoncé passionnel : pour ou contre Arafat ?
Même les propos que Jacques Chirac a tenus devant les autorités de la communauté juive de New York, ce mardi 23 septembre 2003, et selon lesquels il aurait affirmé que Arafat est le responsable de l’échec de Camp David, s’ils sont, bien sûr préférables à des propos inverses, vont dans le même sens.
Ce qu’Arafat voulait, c’était reprendre la main. C’est fait.
Seul dirigeant arabe à reconnaître l’Etat d’Israël, à avoir approuvé un accord de paix basé sur les frontières de 67 ? Tout observateur sérieux de la lutte qu’Arafat mène depuis cinquante ans sait que reconnaître ou ne pas reconnaître n’est pour lui qu’une simple tactique par rapport au but qu’il s’est toujours fixé : accepter tout ce qui concourt à faire de lui la seule icône politique du peuple palestinien et changer de position, s’il le faut, en fonction des circonstances. Qu’importe qu’il ait signé une lettre adressée à Clinton, dans laquelle il s’affirme prêt à reconnaître l’Etat d’Israël, si, ultérieurement, toute sa politique consiste à faire en sorte que jamais le Conseil National Palestinien ne reconnaisse officiellement cet Etat.
On ne peut arraisonner politiquement un caméléon, et qui plus est, un caméléon dont le statut de Président d’un Parti-Etat ne fait l’objet d’aucune critique sérieuse, ni de l’establisment politique international, ni du peuple palestinien. On ne peut qu’attendre que son peuple ne veuille plus de lui (contradiction dans les termes) et gérer les couleuvres qu’il jette devant lui ou qu’il laisse derrière.
Ou bien penser tout autrement.
Depuis qu’Arafat est entré en politique, Israël a fait les frais de son aptitude à la métamorphose. Israël a toujours pensé qu’il était plus caméléon que lui. Il s’en est peut-être suivi un renforcement militaire et même un accroissement territorial, mais, c’est une vision à court terme. Car, tandis qu’Israël attend qu’Arafat disparaisse d’une manière ou d’une autre (ce qui a le don de galvaniser ce type de personnage politique), Israël ne cesse de perdre une grande partie de sa crédibilité aux yeux des décideurs du monde et ce, peut-être, durablement, mais pas Arafat.
A cet égard, quoi de plus révélateur pour Israël que d’avoir été acculé à ériger une barrière de sécurité, trois ans à peine après l’échec de Camp David ? Qui ne voit l’échec patent d’Israël, du fait même que cette clôture soit devenue une nécessité ? Qui ne voit l’immense faiblesse politique du colosse, le coin sur lequel Arafat ne cesse de cogner, depuis cinquante ans et qui parvient aujourd’hui à sa plus claire évidence !
S’agissant de la menace d’expulsion que le gouvernement d’Israël fait peser sur la tête du locataire de la Muqata, elle a peut-être, à ce que prétend Sharon, réussi à calmer momentanément les ardeurs des organisations national-terroristes, mais elle a surtout prouvé qu’Israël n’a toujours rien compris à la spécificité politique du combat mené par son adversaire numéro un.
Israël est tombé dans le désir d’Arafat.
Et c’est cette étrangeté qu’il doit comprendre, s’il veut avoir, un jour, une chance de déconstruire ce désir et de s’en émanciper. S’en émanciper veut dire cesser d’en faire un démiurge, érigé tel jour en grand homme dont on doit accepter de serrer la main et, tel autre, en infâme terroriste dont il est urgent de la tordre.
C’est surtout ne plus apparaître comme une création ou un refus d’Arafat.
Ce que j’écris peut paraître abstrait. Mais voici un exemple d’Arafatisation. Lorsque Shalom Archav se met tout à coup à être consciente d’une image « pro palestinienne » qui ne lui convient pas, à vouloir changer de look et à abandonner cette image, à un moment où l’Assemblée générale de l’ONU « sauve » Arafat, tandis que le Conseil de Sécurité fait comprendre à Israël qu’il a intérêt à ne pas toucher à la personne présidentielle (même s’il y a eu un veto américain sur la condamnation de la décision du gouvernement israélien), cette organisation révèle aussi son « Arafatisation ». Tant qu’Arafat est menacé, on ne change pas de look, mais dès qu’il est sauvé, on en change.
Ceci dit, Shalom Archav vient de faire un pas en avant et il est à souhaiter que les organisations israéliennes sincères qui, tout en luttant pour le bien-être des Israéliens, sont, à juste titre, solidaires du peuple palestinien, deviennent aussi conscientes de leur « Arafatisation » et s’en émancipent.(Malheureusement, pour Uri Avnery, le cas semble désespéré. Arafat semble être devenu sa source de vie).
Car Arafat ne cesse de jouer avec ça. Et il joue sur du velours. En effet, l’image d’un Arafat menacé est celle d’un homme de paix, mais l’image d’un Arafat sauvé est, en réalité, celle d’un caméléon qui joue au jeu de la guerre et de la paix.
C’est ainsi qu’en mars 2002, le monde entier avait déjà dû demander à Israël de laisser partir Arafat pour le Sommet arabe de Beyrouth, afin qu’il y discute avec le Prince Abdallah, héritier du Royaume d’Arabie Saoudite, d’un nouveau plan de paix. Et en refusant, Israël n’avait pas seulement conforté l’image d’homme de paix d’Arafat, mais même reproduit sa propre image d’Etat qui refusait tout plan de paix. Coup double pour Arafat.
Pourtant, comme le rappelait récemment Michel Gurfinkiel, ce plan de paix était une resucée diplomatique pour l’Arabie Saoudite qui se moquait pas mal des chances de succès qu’il pouvait avoir. A quoi il fallait rajouter que c’était surtout de la part de cet Etat arabo-musulman une manière d’imposer aux Palestiniens que leur sort ne dépende pas que d’eux, ce que, justement, Arafat aurait violemment ou subtilement contesté à Beyrouth, s’il y était allé. Mais apparemment, ce jeu diplomatique était une chose trop compliquée à prendre en compte par les dirigeants israéliens, de sorte qu’ils l’utilisent à leur profit.
La raison de cette myopie israélienne est toujours la même. L’Etat d’Israël ne comprend pas le surgissement de l’idéal palestinien de Yasser Arafat (qui se cache derrière sa caméléonite) auquel il a pourtant pris part, et son écho dans le monde.
J’emploie le mot « idéal » non au sens moral, mais au sens psycho-politique.
L’idéal d’Arafat, c’est le face-à-face avec Israël. Là est, à ses yeux, sa seule noblesse. Arafat veut occuper la place de l’Ange biblique. Il veut donc être seul à conduire le combat contre Israël. Laissons de côté le fait de savoir s’il est sincèrement désireux de faire la paix ou s’il se nourrit de la guerre. L’essentiel est que l’idéal d’Arafat est d’être le seul leader des intérêts palestiniens.
J’entends « seul leader » non seulement comme individu, ce qui est évident pour tout le monde, mais comme image collective qui représente les palestiniens. Il interdit à quiconque (individu, Etat arabo-musulman) de parler à sa place au nom du peuple palestinien. Quiconque lui met des bâtons dans les roues est inévitablement destiné à en subir les conséquences, un jour ou l’autre, (soit par la déstabilisation politique, soit par la guerre civile).
Cette position crée des difficultés aux pays arabes et, inversement, satisfait les pays occidentaux. La raison tient à ce que c’est une position d’autodétermination.
Toute autodétermination palestinienne, si elle devait se traduire par un Etat digne de ce nom, changerait considérablement la donne, en matière de représentativité des populations arabes au Moyen-Orient.
A cet égard, la disparition de Saddam Hussein et l’affaiblissement de Bachar el Hassad vont dans le sens d’Arafat. L’Irak et la Syrie ne peuvent plus, ni l’un ni l’autre, parler au nom de l’intérêt des palestiniens. Idem pour l’Egypte et la Jordanie. Reste l’Arabie Saoudite dont je viens de parler et l’énigmatique Iran…
Quant aux pays occidentaux, il faut bien comprendre que, s’ils sont gérés à droite, ils pensent à gauche.
Le cas de la France est tout à fait symptomatique. Le gouvernement accroît la lumpen-prolétarisation d’une partie toujours plus grande de la population, mais il mise sur la conviction que cette paupérisation ne fera pas l’objet d’une mobilisation idéologique des forces de gauche et d’extrême gauche, trop soucieuses de ne pas déstabiliser la politique extérieure du gouvernement (Irak, Palestine) qui leur convient.
Ceci était déjà vrai du temps de De Gaulle. Ce bonapartisme, qui reposait sur deux pieds, le capital d’un côté, le travail lié par la politique du Quai d’Orsay de l’autre, était déjà en vigueur, lorsque la politique extérieure de la France donnait satisfaction aux communistes. Aujourd’hui, il se poursuit. Les partis de gauche se comportent comme des ambassadeurs politiques de Chirac, dans le domaine de la politique extérieure, mais aussi dans celui – intérieur- du combat contre le racisme et l’antisémitisme (après la victoire de Chirac au second tour des élections présidentielles de 2002).
Ce bonapartisme explique en grande partie pourquoi les profondes atteintes portées contre la condition économique et sociale des gens ne se transforment pas en causes pour une explosion sociale, laquelle serait, à certains égards, beaucoup plus profonde que Mai 68. Il existe un consensus sur le fait que la défense d’une certaine idée de l’autodétermination (dont la Palestine arafatienne est la métaphore) est plus importante que la revendication sociale.
Ce combat idéologique autour de la question de l’auto émancipation fait la cohésion d’un pays comme la France et défait la cohésion d’un pays comme les Etats-Unis.
En choisissant l’option « seul représentant de l’autodétermination palestinienne », Arafat s’est trouvé érigé en leader d’une idéologie qu’il n’a pourtant pas. Arafat agit comme un leader, mais il n’a pas l’once d’une idéologie. Qu’à cela ne tienne ! Il comble le vide idéologique de la gauche mondiale, soumise à la fascination par l’autodidacte « autodéterminateur », et satisfait les sentiments de culpabilité de la droite.
C’est pourquoi, s’il veut cesser d’apparaître comme dépendant du bon vouloir d’Arafat, Israël n’a d’autre choix que de recentrer sa politique sur les fondements de sa légitimité. C’est en parachevant la résolution 181 de l’ONU qu’Israël déstabilisera Arafat.
Dans son discours de démission, Mahmoud Abbas (Abou Mazen) a certes accusé Yasser Arafat d’avoir annihilé ses efforts, mais il a aussi chargé Israël. On aurait tort de penser que c’est une simple volonté de sa part d’équilibrer les responsabilités de son échec. Par là, il dit clairement à Israël : vous savez ce qu’il en est, pour un leader palestinien, de s’affronter à Arafat. Mais vous ne jouez pas le jeu. Finalement, c’est bien Arafat que vous voulez en face de vous.
Ce raisonnement n’est pas faux. Les rumeurs sur la libération de Marwan Barghouti, si elles ont un sens, ce qui reste à démontrer, signifieraient ceci : Israël libèrerait Barghouti dans l’espoir d’un futur affrontement entre Arafat et lui-même. Toujours Arafat.
A présent se présente Ahmed Qoreï (Abou Alaa), l’ombre d’Arafat, un des architectes d’Oslo qui, à n’en pas douter, va essayer de relancer l’image d’Oslo, ne serait-ce que pour satisfaire la caméléonite d’Arafat, pour soulager la culpabilité de l’opinion publique occidentale égarée et pour tenter d’effacer Camp David des mémoires.
Cette relance butera sur la même obsession de Jérusalem (« un Etat signifie Jérusalem, et un Etat qui n’aura pas Jérusalem pour capitale ne sera pas un Etat. »), même si récemment il a proposé d’internationaliser Jérusalem sur la base de la résolution 181 de l’ONU (1947,).
Elle butera aussi sur celle du droit au retour des réfugiés (« Grâce aux accords d’Oslo, a-t-il dit, plus de 150 000 Palestiniens sont revenus sur leur terre. C’est l’une de nos grandes ambitions de faire revenir tous les réfugiés palestiniens, notre peuple, dans leurs villes et leurs villages et d’obtenir des dédommagements pour les pertes et les souffrances qui leur ont été infligées depuis 1948 »).
Elle butera également sur celle des réparations (« Les Israéliens doivent assumer leur responsabilité politique, légale et morale dans la tragédie des réfugiés, et ils doivent reconnaître le droit de retour de ces derniers. Une fois qu’Israël aura accepté la Résolution 194, il faudra débattre des moyens et des plans [d’application] du retour, puis du droit des réfugiés à recevoir des dédommagements »).
Elle butera aussi sur la complaisance envers les attentats-suicides en dehors des frontières d’Israël.
Enfin, elle butera sur son refus de la nature juive de l’Etat d’Israël (Qu’est-ce que Bush veut dire par Etat juif ? Dit-on : ‘Voilà un Etat juif, voilà un Etat sunnite, voilà un Etat chiite, ou alaouite, et voilà encore un Etat chrétien ? Ce sont là des définitions qui conduiront la région au chaos. Elles nous inquiètent aussi pour le droit de retour, principe palestinien que nul ne peut discuter avant de venir s’asseoir à la table des négociations).
Bref, elle butera sur la fantaisie à laquelle Arafat n’a jamais renoncé. Car Abou Alaa œuvrera ni plus ni moins pour que l’ONU accepte tout à la fois que les Palestiniens ne reconnaissent pas la résolution 181 et pour provoquer un retour aux frontières définies par cette même résolution de 1947.
Attendons de vois comment Israël réfutera les nouvelles contorsions idéologiques arafatiennes qui s’annoncent.
Mais rappelons-nous surtout cette supplique (Ave Cesar !) lancée le 22.02.02, dans Haaretz par David Grossmann : « Il arrive qu'un petit démon anti-patriotique nous murmure à l'oreille que peut-être, le pire genre de défaitisme serait notre glissade lente et quasi-hypnotique vers l'apathie et l'oubli, sans même essayer de nous tirer de là. Quelquefois, des langues bien pendues ont le culot d'insinuer qu'avec les cartes terrifiantes que nous avons en main, le désespoir, le comportement barbare des terroristes palestiniens, les colonies, l'impossible Monsieur Arafat, nous pourrions, d'une façon ou d'une autre, mieux jouer. En utilisant mieux les opportunités pour briser la glace et parvenir à un compromis. En essayant d'être intelligents, et pas seulement d'avoir raison. En faisant quelque chose pour changer la situation de façon radicale, avec à la manoeuvre un homme politique hardi, magnanime et clairvoyant ».
Par Nao (Nao) le jeudi 25 septembre 2003 - 22h48: |
A tous mes amis harissiens et amis herissons: A l’aube de cette nouvelle annee, cessons de frotter nos epines et adoucissons nos cœurs et ceux de nos ennemis par les vertus du miel.
Prions avec ferveur pour que 5764 soit une annee de Joie, de Renouveau, de Vies Nouvelles, de Verite, de Justice, de Parnassah et de Mitsvot!
Qu’Hashem intercede en notre faveur et banisse le Mal pour faire jaillir le Bien ! Que cette nouvelle annee n'apporte que des changements positifs pour la paix en Eretz Israel et dans le monde!
Gmar Hatima Tovah a tous! Hag Sameah et Bonne Pkaila!
Par Anonyme (Anonyme) le jeudi 25 septembre 2003 - 16h59: |
Par Claudia (Claudia) le jeudi 25 septembre 2003 - 16h57: |
Proche-Orient: 27 pilotes israéliens refusent certains missions
JERUSALEM (AFP) - Vingt-sept pilotes de l'armée de l'air israélienne qui ont annoncé leur refus de mener des opérations de liquidation dans les territoires palestiniens ont déclenché jeudi des réactions indignées dans les milieux politiques et militaires en Israël où ils sont menacés de sanctions.
L'affaire faisait les gros titres de tous les média, le quotidien Yédiot Aharonot parlant de "révolte des pilotes". Son impact est d'autant plus fort que les pilotes sont considérés comme le corps d'élite des forces armées, une sorte d'aristocratie censée montré l'exemple aux autres militaires. Les réactions ont ainsi été à la hauteur du choc provoqué. Les pilotes ont proclamé dans une lettre ouverte qu'ils ne voulaient plus "obéir à des ordres illégaux et immoraux" et refusaient "de prendre part à des attaques aériennes contre des centres de population civile" en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. "La poursuite de l'occupation met en péril la sécurité de l'Etat d'Israël, ainsi que sa fibre morale", ont ajouté les pilotes dans leur lettre.
Tous les responsables militaires et politiques sont montés au créneau pour dénoncer cette "opération politique qui n'a rien de morale", selon l'expression du ministre de la Défense, Shaoul Mofaz. Le chef du gouvernement Ariel Sharon, cité par la radio publique, a affirmé que l'on ne pouvait pas "choisir son programme à la carte au sein de l'armée et que toutes les mesures appropriées seront prises" contre les signataires. Un responsable à la présidence du conseil a estimé que cette pétition "va provoquer des dégâts pour l'image de marque d'Israël dans le monde et justifier les accusations mensongères des Palestiniens selon lesquels Israël s'attaque à la population civile".
Le général de l'armée de l'air Eliezer Shkedi a affirmé que "cette affaire va être examinée et une décision sera prise très vite" pour les 9 pilotes encore en activité parmi les 27 signataires, les autres faisant partie du corps de réserve. Selon le quotidien Haaretz, les neuf pilotes vont être convoqués dans le prochains jours et s'ils refusent de se rétracter, seront exclus du service actif. "Ils ont exploité cyniquement le prestige de leurs uniformes et leurs carrières à des fins politiques", a ajouté le général Shkedi à la radio.
Le commandant en chef de l'aviation, le général Dan Haloutz, a assuré qu'il n'y avait pas "d'armée plus morale que l'armée israélienne". "Il ne faut pas oublier que ces pilotes sont ultra-minoritaires", a-t-il ajouté. Un des pilotes a expliqué au quotidien Yédiot Aharanot, sous le sceau de l'anonymat, qu'il avait décidé de signer "avant que le jour arrive où je rentrerai à la maison en sachant que j'ai tué une mère et sa fille".
Un autre signataire a proclamé que son refus de participer à des liquidations lui inspirait plus de fierté que "toutes les opérations de sauvetage (qu'il a) menées". Israël a déclaré le mois dernier une "guerre totale" aux islamistes palestiniens du Hamas et du Jihad islamique, à la suite de la reprise des attentats suicide par ces deux mouvements. Mais les "liquidations ciblées" d'activistes et de responsables palestiniens causent souvent des victimes civiles. Ces opérations, dénoncées par la communauté internationale, sont généralement menées par l'armée de l'air au moyen d'hélicoptères de combat et, plus rarement, d'avions de chasse.
Plusieurs de ces raids aériens ont été menés au coeur de la ville de Gaza. Le plus sanglants d'entre eux a eu lieu le 22 juillet 2002, lorsqu'un avion israélien visant le chef militaire du Hamas avait largué une bombe d'une tonne sur un immeuble, tuant 17 personnes, dont neuf enfants.
Par Chantal (Chantal) le jeudi 25 septembre 2003 - 13h50: |
Sur la version webe anglaise du quotidien israelien "Ha'aretz", l'en-tete parle de l'accrochage militaire entre palestiens et zahal, mais la meme photo, choisie depuis ce matin, ne nous montre qu'un des blesses palestiniens sur une civiere d'ambulance, aucune photo du regrette soldat Sgt. Avihu Keinan, 22, de Shilo tue durant ce combat, ni des 6 autres soldats blesses, l'un d'eux tres grievement. C'est a croire que les juifs comptent pour du beurre pour ce quotidien. Pour rouspeter, s'adresser a: feedback@haaretz.co.il
Pour voir la photo du soldat: http://www.mfa.gov.il/mfa/home.asp
Shana Tova
Par Shira (Shira) le jeudi 25 septembre 2003 - 09h54: |
La bonne nouvelle pour le nouvel an: "Dans le cadre des rencontres des Ministres des Affaires Etrangeres a l'ONU, New-York, les ministres israelien et tunisien se sont entretenu ensemble."
Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 25 septembre 2003 - 07h36: |
LE MOYEN ORIENT VA PEUT-ÊTRE CHANGER
L'infifada a été provoquée par Arafat comme une issue aux accords de Camp David, car cet homme était incapable d'engager son pays dans la voie du progrès, craignant d'être assassiné comme Sadate par les rouages extrémistes qu'il a lui-même développés. Il a préféré la voie de l'enrichissement personnel dans une politique du pire, tout en espérant user son voisin. Aujourd'hui Arafat vit reclus coupé du monde et menacé de mort des deux côtés, s'il en sort.
La campagne de terrorisme islamo-international commencée il y a une vingtaine d'années et qui a culminé le 11/9/2001 par des attentats aux Etats-Unis perdure au niveau où elle était avant le drame de Manhattan, mais ne prend pas l'ampleur souhaitée par ses architectes. Ceux-ci sont tous obligés de vivre dans l'ombre et de communiquer entre eux par des méthodes ancestrales.
Ces deux politiques sont vouées à l'échec.
Pour le niveau Israélien, la politique de Sharon de nettoyage des zones à risque et d'attentats ciblés, de confinement d'Arafat et de lancement d'une clôture de sécurité a permis de maintenir la terreur à un niveau relativement bas depuis le mois de juin 2003. Les menaces seraient plutôt internes et dépendent du succès des remèdes de cheval infligés par le ministre de l'économie à la population.
Pour le niveau international, la désignation de l'"axe du mal" par le président Bush, dès sa venue au pouvoir, a été un énorme pas en avant dans la lutte contre les pays qui hébergent, financent ou encouragent le terrorisme international ou développent des armes de destruction massive. Malgré ses nombreux détracteurs, cette politique, précisée dans un discours le 24 juin 2002, est un véritable succès.
Deux pays, nids de deux différentes terreurs islamiques, (l'Irak laïc pour la terreur chimicobiologique et pour un peuple pris en otage – l'Afghanistan terrorisé par des extrémistes et hébergeant des terroristes) sont occupés. L'Iran est acculé à devenir transparent. On négocie avec la Corée du Nord et la … Syrie. On remarquera que la terreur la plus virulente vise de plus en plus les pays arabes ou musulmans (Arabie, Maroc, Indonésie, Pakistan, Iran…). On notera les gestes d'apaisement vis à vis d'Israël venant de pays ou de groupes arabes (Maroc, Doubaï, Hezbollah…). Même Saddam Hussein chercherait à négocier la vie sauve contre des "infos", et ce ne sont pas les bandes audio-vidéo d'un certain Ben Laden qui ne cherche qu'à exister, des fois qu'il serait mort médiatiquement ou réellement, qui changeront grand chose à une situation sans issue.
Même le président Chirac met de l'eau dans son vin! N'oubliez pas les actes de terreur des années 80/90 qui ne visaient pratiquement que des Français. Et celui abominable et étouffé, par les deux parties, je veux parler de l'attentat de Toulouse camouflé en accident, techniquement impossible. Après tout, la politique de Chirac a peut-être réussi à préserver la France, ventre mou de l'Europe, de plus grands dangers. Toujours est-il qu'il propose aujourd'hui ni plus ni moins que de dissoudre l'Onu…bonne idée, à condition qu'elle n'accouche pas d'un monstre plus grand.
H'atima Tova – Albert Soued – 24 septembre 2003 – www.chez.com/soued/reve.htm
Par Wnes (Wnes) le mercredi 24 septembre 2003 - 22h56: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
L'Info du Tarfiste : Vous verrez, celui la il est pire que les autres, il n'a peur de rien, et rien ne l'arrête, à côté de lui le Ftileur n'est q'un innocent :
Citron : Il ne faut pas confondre Arrow 200 CV qui vole 2 fois et demi plus vite que la trapanelle à Garros, quant à Mr. Bouraoui, je l'ai bien connu à l'époque où nous volions à l'Aéroclub d'El Aouina, on s'est perdu de vue mais je sais par d'autre potes anciens du fameux Aéroclub, qu'il fit une belle carrière chez Tunis-Air, selon nos souvenirs, un homme bien sous tous rapports et très sympathique.
Au fait le hérisson c'est pas cacher, mais pour le porc épic qui sait?
Beslem,
Le Tarfiste,
Wnessou El Douda
Par Citron (Citron) le mercredi 24 septembre 2003 - 19h45: |
yé si albert
"C'est pareil yè Citron, tu nous traites de hérisson "
non!!! dans porc epic , ya PORC est franchement jaime pas ca, en plus cet animal a un aspect sauvage
alors que le kanfoud, il est plus mignon, est comme la si bien dit maitre JACO , l'herisson pique ;et on va encore se picotter les uns les autres cette année
allez ! bonne fete a tous les touns
Par Printania (Printania) le mercredi 24 septembre 2003 - 21h32: |
A toutes nos amies, à tous nos amis harissiens.
Bonne et heureuse année!
Que la nouvelle année vous apporte la joie, la bonne humeur et la santé.
Pour nos sœurs et frères israéliens, LA PAIX avec vos voisins.
Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 24 septembre 2003 - 21h21: |
ultime atome recu cinq sur cinq, retour dare dare
fi dar teatrou mta breitou.
bebert fais gaffe a l'aiguillage,ton TGV a derape dans la mayonaise.il ny a que maille qui t'ailles.
bon,sur ce ,on se taille.