Par Albert (Albert) le mardi 04 avril 2006 - 11h27: |
POUR LINA….
‘…Nous sommes les Rois….////
Nous les sommes les RoiIIIIIs sans tollè
ET SANS SCELLES…….
Que des princessEEEes, des duchessSSSSSes
Des marquises qui s’éventent
A l’ombre du PEEEEEEETB.
C’est une belle baAAAAnde
De déluréeEEEEs..§§§§§§§…EEEEEEEEEE
Qui s’est donné comme mot d’ordre
De se faire rire sans complexe et sans désorRRRRRRdre.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
CONCHUITA …LINAAAAAA……….MMMMmmmmMMMMM
Y’a la MamilIIIIIi, pas plus haute que trois pommes
Un peu jouffluUUUUEEEE qui nous présente ses mains
En forme de cinq sur sa poitriIIIIIIIne…/////§§§§§§§
Y’a la ElsAAAAa,AHAHAHAHAHAAHAH
Qui elle par contre les pose sous son gros derrière
Elle a peur de l’œil, la superstitieuse..///////
Y’ a la belle MichkaAAAAAA AAAAAAAA,
Ma préféreEEEEEEEnce..§§§§§§§§§§
La dame aux doigts de féEEEEEEe.
Puis le MeyEEEEEEEEEEEEEEEEer,
L’homme qui clique comme un nippoOOOOOn
Il n’est pas CONNNNNNNNNNN..§§§§§§
Sur son Nikon et qui distribue mon portrait à mon insu
A toutes ces dames qui fantasment sur ma poiIIIIIIIre.
La Girelle, une fleur de NiIIIIIIIIIce, IIIIIIIIIICEEEEEEEEEEEE..
Qui nous embaume
L’espace, le temps d’un insSSSSSSStant.
Notre Braham, le grand BrahAAAAAAAam, le papy
A moustaches, mon complice, qui me fait chikher
Par tant et tant de belles phoOOOOO…….Tos…//////
Et la belle Lalla des Amériques, deux mots par çi
Deux mots par là, et voilà notre PTB farcie.
La Glibette
LA GLIBEEEEEEEEEEEEEEEEEEETTTE……§§§§§§§§§§
Aux BEAUX yeux couleur émeraudes, qui met deux heures
Pour s’asseoir au resto et trois pour se lever en me tenant
Le bras qui lui sert de sa béquille.
Et puis……
Y’a LA DOUDAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
NOTRE RONCHONNNN….LE CAVIARDE…..L’INCOMPRIS
DE ADRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA…
CELUI QUI DONNE LA NAUSEEEEEEEEEE…
A TOUTE CETTE CLIQUE EMBAUMEEEEEEEE…….
QUI RESSEMBLE A DES MOMIES REFRIGEREEEESSS…..
Il y a es autres…..
Ma chère ….Lina,
Madame LinaAAAAA…
Si vous voulez goûter à nos bchichas..
Y’a qu’à franchir les portes du PTB….
Vous n’en sortirez plus je vous jure sur ma tante FortunèEEEEE……….
BREITOU.
Par Henri (Henri) le mardi 04 avril 2006 - 06h55: |
Lina,
Il y a des degres dans les drogues.
Les drogues dures qui tuent rapidement.
Les drogues douces comme le Marxsime qui a mis 70 ans a tuer lentement, mais surement l'URSS.
Et aussi ma religion, qui elle, a des centaines d'annees, et a maintenu le peuple juif en vie contre vents et marees.
Il ne nous reste plus qu'a choisir le bon dealer comme tu dis, mais faut faire gaffe de ne pas se tromper.
Par Mena (Mena) le mardi 04 avril 2006 - 09h02: |
Décomposition (info # 010304/6) [analyse]
Par Sami El Soudi © Metula News Agency
J’aurais aussi bien pu intituler mon article : "Qui a tué Youssef Abou Kouka ?", le chef des Comités Populaires de Résistance. Mais à quoi bon ? Si je comprends bien ma tâche de journaliste, elle consiste à informer le lecteur, pas à l’embrouiller. Cela implique, dans une situation très tourmentée et confuse, de savoir prendre quelque recul par rapport à un événement, afin de juger si c’est l’événement en question qui crée une situation significative ou si, au contraire, il s’agit d’une situation spécifique qui génère sporadiquement des événements symptomatiques. Dans la seconde hypothèse, décortiquer un événement caractéristique n’enrichit pas la compréhension du lecteur mais contribue à lui faire perdre ses repères. Même si je m’y employais quotidiennement à raison de 20 feuillets par jour, même si je vous apprenais l’arabe, vous ne comprendriez pas mieux, en partant de la description des incidents, ce qui se déroule dans l’Autorité en général, et dans la Bande de Gaza en particulier. A moi, donc, de prendre mes responsabilités et d’essayer de vous offrir une synthèse de la situation et pas une description, aussi minutieuse soit-elle, des événements qu’elle engendre et qui n’ont pas de signification propre.
En bref, Abou Kouka était une crapule terroriste, comme il s’en compte par centaines dans la région de Gaza. Il dirigeait une bande armée échappant à tout contrôle, comme il en existe également des dizaines dans notre Autonomie, qui avait pris le nom de Comités Populaires de Résistance. Kouka et son groupuscule de quelques dizaines d’hommes tout au plus s’étaient spécialisés dans le lancement de roquettes Qassam contre le territoire israélien, dans la chasse aux traîtres, et dans les mauvais coups contre les étrangers non musulmans qu’ils haïssent, comme lorsqu’ils assassinèrent quatre gardes du corps de coopérants américains à l’automne 2003.
A l’occasion des tirs de Qassam, Kouka utilisait des missiles fabriqués par le Hamas et recevait le soutien logistique et les renforts nécessaires en hommes de la part de cette organisation qui dirige aujourd’hui l’Autorité Palestinienne. Ce subterfuge, qui ne trompait personne, a permis au Hamas de prétendre qu’il respectait depuis environ un an la houdna avec Israël, offrant ainsi une protection relative à ses propres leaders. Ceci sans que le Hamas ne s’abstienne dans les faits de tirer des missiles sur des civils israéliens ou de soutenir les assassinats collectifs de Juifs, ce qui constitue ses principales marques de fabrique.
S’il était encore besoin de s’en persuader, surtout pour les ingénus qui imaginaient que, une fois parvenus au pouvoir, ces fanatiques islamiques changeraient d’objectifs ou de méthodes, le gouvernement palestinien s’est félicité de l’assassinat suicide, perpétré par le terroriste du Fatah Hamada Shatiwi, ayant coûté la vie à quatre civils israéliens, dont un couple de sexagénaires, près de l’implantation de Kedoumim.
Abou Kouka, quant à lui, a explosé avec sa voiture. A dire vrai, les doigts des deux mains ne suffisent pas à dénombrer les organisations ainsi que les Etats qui avaient intérêt à mettre fin prématurément à la carrière de cet énergumène. Dans le monde arabe, on sait, par exemple, que les Services américains ont la mémoire longue et qu’ils n’oublient pas facilement les assassins de leurs membres. Les Israéliens non plus, et c’est pourquoi les soupçons des rescapés des CPR et de leurs grands frères siamois du Hamas se sont d’abord portés sur l’Etat hébreu. Mais Israël a nié être impliquée dans cette neutralisation et de plus, le modus operandi, aussi bien que les moyens utilisés, ne correspondent pas à ceux employés par l’entité sioniste.
Dans un second temps, le camp Hamas a accusé l’unité de la Sécurité Préventive, toujours solidement contrôlée en sous-main par Mohamed Dahlan, d’avoir aidé les Juifs ; puis l’accusation s’est étendue à l’ensemble du Fatah de la Bande Gaza. Mais comme l’explosion du véhicule de Kouka n’a pas été spontanée, les soupçons et les rumeurs mettent désormais le Fatah en cause pour l’assassinat lui-même.
En fait, et c’est de cela dont je parlais dans mon introduction, il ne s’agit que des aléas du chaos régnant dans l’Autorité Palestinienne. Plus précisément, de la guerre civile qui s’est engagée entre le Hamas, victorieux des élections générales et détenteur de tous les portefeuilles ministériels, et le Fatah, victorieux des présidentielles et dont le leader affaibli, Mahmoud Abbas, occupe, en toute légitimité constitutionnelle, les fonctions suprêmes.
Ce week-end, les combats, par factions interposées, entre ces deux pôles ont fait quatre morts et une quarantaine de blessés dans les rues de Gaza. Désormais, ce sont le 1er ministre islamiste Ismaïl Hanya et son ministre de l’Intérieur, Saïd Siyam, qui exigent que les armes disparaissent de la rue : c’est le monde à l’envers… Mais pourquoi Dahlan et le Fatah abandonneraient-ils le contrôle de la rue, alors que le Hamas avait refusé de faire de même durant un an et demi ?
Après en avoir parlé directement avec les intéressés, je suis en mesure de rapporter que le dépôt des armes par le Fatah ou l’intégration des brigades-clés dans les rangs des forces de sécurité de l’AP tenues par le Hamas est hors de question. C’est même l’option de la confrontation, qui semble tenter les lieutenants de Dahlan. Ainsi, face aux accusations concernant l’élimination de Kouka, l’un des amis influents du fougueux colonel, mentor incontesté de la Sécurité préventive, Samir Masharawi, a déclaré : "Je ne pourrai pas convaincre les citoyens palestiniens ou les fils du Fatah, qui se considèrent très offensés, de ranger leurs armes dans leurs fourreaux. Peut-être, lorsque ce gouvernement commencera à se comporter correctement…", a-t-il conclu.
Et pendant ce temps, les alliés plus ou moins officiels du Hamas continuent de tirer leurs Qassam contre les agglomérations situées en territoire israélien. À l’ouest de la Bande de Gaza, et au nord, en direction de l’usine électrique située dans la banlieue industrielle d’Ashkelon. Ce week-end, ces frères ont même, et pour la 1ère fois, lancé une Katioucha de 122 millimètres, importée, comme tant d’autres armes et munitions, par le point de passage de Rafah entre la Bande et l’Egypte.
Dans la folie ambiante et l’atmosphère de chaos et de guerre civile larvée qui règnent, il est peut-être bon de rappeler brièvement que les Israéliens ont évacué tout le territoire gazati, ce, jusqu’au dernier pouce, et que les organisations armées n’ont strictement aucun motif logique, tactique ou stratégique de maintenir ce morceau de notre territoire en état de conflit permanent avec les Juifs. Il me paraît évident qu’après le désengagement israélien et le transfert de la gestion autonome du poste frontière de Rafah, si nous voulions augmenter nos capacités d’échanges avec l’extérieur, il nous faudrait a) respecter un cessez-le-feu absolu, b) honorer à la lettre les accords quant au trafic avec l’Egypte, c) nous abstenir d’importer illégalement des armes, des munitions et des terroristes, et d) faire œuvre de construction de notre Etat, démontrer notre volonté et notre capacité à améliorer nos conditions de vie et celles de notre population. Je n’ai aucun doute que si c’était à cela que nous nous attelions, les Israéliens nous permettraient de construire un grand port commercial à Gaza et de remettre en état, puis de rouvrir notre aéroport international. De plus, et cela aussi est une certitude, tous les Etats développés de la planète se disputeraient l’honneur de financer ces projets !
Mais ces mesures s’inscrivent à l’opposé de la propagande dynamique du Hamas, selon laquelle c’est lui qui a mis les Israéliens en fuite et qui, par les mêmes moyens, conduira les Palestiniens à l’éradication d’Israël et de sa population. A ce propos, notre ministre des Affaires Etrangères a déclaré la semaine dernière à une agence chinoise qu’Israël n’a pas et n’aura jamais le droit d’exister sur cette terre.
Alors : cap destruction. Des égratignures pour nos voisins, et l’automutilation, le sabordement pour notre peuple et pour notre cause. Afin de dissuader les tireurs de Qassam, et uniquement en représailles à leurs salves, l’IDF (Tsahal. Ndlr) a tiré en cette fin de semaine plus de 200 obus d’artillerie et d’artillerie de marine sur les routes, les infrastructures, les pas de tir et les bâtiments de stockage d’armes et de munitions situés dans les 3 à 6 kilomètres au nord de la Bande de Gaza. Inutile de préciser que toute activité positive y est et y restera impossible jusqu’à la cessation des tirs de Qassam. Mais si par malheur et par hasard l’un de ces missiles made in Hamas tuait des Israéliens ou endommageait sérieusement l’une de leurs installations industrielles, il ne fait aucun doute que leur armée interviendrait massivement à Gaza. Plus les dommages seraient consistants, plus la riposte serait sévère, et cela a le mérite de la logique. Une logique tout de même spécifique à nos adversaires : je connais bien des Etats, en effet, même démocratiques, qui, jouissant d’une supériorité militaire absolue comme c’est le cas d’Israël, devant les attaques permanentes de nos terroristes, auraient déjà fait un carnage, massacrant indifféremment les responsables et les innocents. C’est une véritable aubaine que le peuple que nos leaders désirent éradiquer soit l’un des plus civilisés de la planète…
Entre-temps, une conférence des pays frères s’est tenue afin de déterminer l’aide à apporter à l’Autorité Palestinienne sous la direction du Hamas. De nombreux Etats influents y étaient sous-représentés. Dans le communiqué final, les pays présents se sont engagés à nous transférer 50 millions de dollars mensuellement. D’abord, cela représente la moitié de nos besoins vitaux, ensuite et par expérience, les pays frères, bien meilleurs conseilleurs que payeurs, ne tiendront même pas cette promesse.
De leur côté, Israël et les USA, en plus d’avoir coupé tous les ponts officiels avec l’AP depuis l’intronisation du gouvernement Hamas, ont entrepris le plan secret que nous envisagions, consistant à assécher les finances de notre institution autonome. Et les Européens suivent, du moins n’entravent-ils pas l’initiative de Washington et de Jérusalem. Tous mettent en place des itinéraires de fonds évitant les coffres des islamistes : l’apport nutritionnel minimal et les soins médicaux de base seront assurés. De plus, les cas plus compliqués continueront à être traités, gratuitement !, dans les hôpitaux de nos ennemis israéliens.
L’AP, incapable de faire face à ses nécessités urgentes, va sauter. Question d’un mois, deux, tout au plus. Mais sera-ce l’Autorité Palestinienne dirigée par le Hamas ou l’Autorité tout court qui va exploser ? J’ai l’impression que nous commençons à lasser le monde. Pour mériter un Etat, il faut constituer un peuple. Et pour constituer un peuple, mieux vaut certes posséder une histoire, une langue, des traditions, des mythes, des ethos, un présent et des espoirs d’avenir communs, mais souvent, la création des Etats s’est faite sur des amalgames, des alliances opportunistes, mais surtout sur la VOLONTÉ de créer un Etat.
La justification du bien-fondé, de la légitimité et de l’exactitude des arguments nécessaires à la fondation d’un pays est, paradoxalement, secondaire. L’essentiel, en la matière, c’est de se déclarer un peuple et d’œuvrer avec persévérance à lui construire son pays. C’est tout, et c’est pour cela qu’il est aussi grotesque de mettre en doute les fondements du peuple juif l’autorisant à posséder son Etat que ceux du peuple palestinien. Il suffit que cinq ou six millions de Juifs se reconnaissent dans les dénominateurs communs qui font Israël pour justifier l’existence politique de nos voisins, leur existence n’est pas due à la reconnaissance des autres, elle EST. Vouloir donc, c’est être… vivre son engagement à se construire avant toute haine. Avoir plus en commun avec son concitoyen que tout ce qui peut nous différencier. Avant, la cause palestinienne, c’était la personne d’Arafat, une erreur ; désormais, personne ne sait exactement ce qu’elle est. J’espère infiniment que nous sommes un peuple, quant à la construction de notre pays, elle n’est assurément pas la priorité de ceux qui nous dirigent. Et c’est terriblement inquiétant !
Par Jneyen (Jneyen) le mardi 04 avril 2006 - 00h58: |
LINA, LE "PTB" = Petit Theatre de Breitou.
Par contre, j'ai lu avec plaisir ton exposé qui synthetise tres clairement sur la religion et les dealers de drogue theologique.
Je tiens a te dire un grand BRAVO, car ta clairvoyance met de l'eau au moulin des idées que je me fait sur ce sujet épineux.
Par Lina (Lina) le lundi 03 avril 2006 - 22h18: |
albert ,c'est quoi le ptb??????
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 03 avril 2006 - 22h57: |
Sarel,
Je dois avouer qu'habituellement j'avais du mal a comprendre vos messages sybilins, mais la, pour le coup, c'est clair comme de l'eau de roche.
Merci d'etre descendu un instant a mon humble niveau pour me faire la courte echelle !
J'espere que cela eclaircira aussi les idees de Benzarti.
Benzarti, est ce que je dois demander le Droit du Retour a la Tunisie apres que mes parents, aieuls et aieux l'aient habitee pendant des siecles (certains parlent d'arrivee a l'epoque du Ier Temple)?
Et cela ferait-il de moi une emmigree ou une immigree ?
Par Albert (Albert) le lundi 03 avril 2006 - 21h57: |
Par Lina (Lina) le lundi 03 avril 2006 - 21h32: |
Henri ,
Si j'ai mis cette phrase de Marx, c'est parce que je trouve que l'image est bien trouvé
Les gens critiquent les religions parce que les peuples se droguent et leurs drogues sont les religions.
Les gens qui sont pour les religions ne savent pas qu’elles sont un système de croyances, de pratiques qui conditionnent la personne et la société. Les gens qui défendent les religions et qui croient en une religion ne savent pas et qu’elles sont nuisible pour eux.
Cela est facile de dire aux gens "ne vous inquiétez pas pour votre vie, tout est mieux après la mort. Cela veut dire que l’ordre est donné aux gens d’être sage car il y aura autre chose après.
La religion endort les gens qui croient en elle. La religion est l’opium des gens qui sont croyant.
je dirais même que La religion est l'opium de l'égo (il n'y a qu'a venir sur harissa pour le constater)
En même temps et heureusement, ce n'est pas une nécéssité, je pense que cela vient de la propre conscience de chacun : je n'ai pas de religion, mais je fais des gestes écolo, il me semble, et je donne quelques fois une piéce aux petits sdf de ma rue, j'ai le projet de faire un voyage humanitaire ...simplement avec mon libre arbitre
Peut-être faudrait-il une religion sans dogme, une sorte d'anarchisme spirituel, syncrétique etc...
je pense henri que certes L'opium est une drogue, oui, mais c'est surtout une substance qui endort.
pour rester dans votre humour "les plus grands dealers ne sont ils pas les prêtres, rabbins et les imans ....???
Par Soleil (Soleil) le lundi 03 avril 2006 - 19h13: |
Blood-shed or Compromise: Which is preferable?
by David Wilder
The Jewish Community of Hebron
April 3, 2006
Two months ago, on February first, over 1,600 police participated in destroying the Jewish community of Amona, on the outskirts of Ofra, in the Benjamin region of Israel. As a result of massive police brutality, over three hundred and fifty people needed medical care and/or hospitalization.
Several days prior to this, it seemed almost inevitable that a similar confrontation was going to precede Amona. Hebron leaders had been warned: if you do not immediately abandon the Mitzpe Shalhevet neighborhood, outside the Avraham Avinu neighborhood in Hebron, the troops will arrive and start with you. Amona will be second. Hebron will be first.
Hebron leaders participated in an emergency meeting with several senior military officers, including Brigadier General Yair Golan. Golan is the ranking officer in charge of Judea and Samaria. During a very tense meeting, Golan laid the groundwork for a compromise solution. There were a number of details involved, but the primary offer consisted of: the nine families living in the former 'Arab market,' as well as the Torah study hall established in memory of the murdered infant Shalhevet Pass, would 'voluntarily' leave their homes within 48 hours, and all their belongings would be removed from the homes by the end of the week. In return, the defense establishment, in conjunction with the Attorney General's office, would void any possible remaining legal status Hebron's Arab municipality might still maintain at the site, and following the conclusion of that procedure, lease the structures to Hebron's Jewish community. Despite heavy doubts and misgivings, Hebron's leaders, following a lengthy consultation, decided to accept the offer. Two more meetings were conducted, first with residents living in the Mitzpe Shalhevet neighborhood, and then with a forum of other Hebron residents. At the conclusion of that gathering it was decided to call an emergency 'town-meeting' of all Hebron residents, that very night. At about two o'clock in the morning Hebron residents met in the Avraham Avinu synagogue to discuss the proposed offer and make a decision: accept or reject it. Following two hours of intense discussion a vote was taken and a majority of those present decided to take a chance and accept the compromise agreement.
It wasn't easy to implement a 'self-expulsion' from the homes in the Mitzpe Shalhevet neighborhood. The scenes of 1929, the scenes from Yamit, the scenes from the more recent expulsions from Gush Katif and the northern Shomron, all played before our eyes. Would we be desecrating little Shalhevet's memory by abandoning the homes and neighborhood; after all, it was initiated in her memory, following her murder, five years ago? Yet, despite the question marks, qualms and reservations, it was done. The neighborhood was left empty; all the families moved elsewhere, some living in very difficult conditions, and the houses locked. Hebron's Jewish community implemented its side of the deal. Now it was the other side's turn.
Even prior to the 'deal,' the defense department had already begun the process of voiding any possible Arab claims to the former 'market.' The defense department notified the Supreme Court of this plan and added its intention to 'weigh leasing the structures to Hebron's Jewish community.' The actual legal process by which the Hebron Arab municipality was notified of the intentions to void any possible legal rights to the site actually began prior to the agreement reached between the community and the state. This process was approved by none other than Attorney General Menachem Mazuz himself!
Mazuz's declaration that the agreement reached between the Hebron community and the state is null and void is ludicrous:
1. Mazuz himself participated in authoring the
response to the Supreme Court from December 2005,
which, as stated above, already agreed in principal to lease the structures to the Hebron Jewish Community. (The courts already accepted the fact that the land on which the buildings sit is Jewish-owned and legally belongs to the Hebron Jewish Community.)
2. Mazuz was directly responsible for the brutal Amona expulsion/destruction because, in his opinion, 'no viable agreement' between the sides was possible. In the case of Hebron, an agreement was not only possible; it was achieved and implemented (by one side). Why then would he, after the fact, reject such an agreement, which explicitly prevented the scenes from Amona in Hebron? 3. Defense Minister Shaul Mufaz himself said on Israeli radio, "The wholesale market in Hebron is on Jewish land and the building, belongs to the Hebron municipality. Therefore, we told them, if they voluntarily evacuate it, in the future, legally, according to the recommendations of the attorney general, they will be able to return…" 4. Minister of Internal Security, Gideon Ezra said, "Our experience and our success in Hebron to reach a solution, and as a result, violence was prevented, and I am happy about that." 5. The intermediate report of the Knesset parliamentary committee of inquiry into the events at Amona: "The compromise reached a short time before [Amona] concerning the eviction of Jews from the wholesale market in Hebron, implicitly supports the idea that the two sides, the government and the settlers, acted in good faith with the intentions of reaching an agreement acceptable to both sides."
The question must be asked: Does the attorney general of the state of Israel (as well as, perhaps others in the administration) have a veiled interest in preferring blood-shed to negotiated agreements with Jews living in Judea and Samaria? Does he prefer policemen on foot and on horseback beating Jewish youth, as opposed to compromise settlements, which avert such situations?
And of course, the final question to be pondered: What is the significance of today's nullification of the agreement reached, in the context of Olmert's planned expulsions (G-d forbid) from large segments of Judea and Samaria? Is this a hint of things to come, - 'beat them, trample them, expel them, perhaps even kill them' – anything goes – the means justify the ends – the end being…., just what?
Hebron's Jewish community rejects Mazuz's chutzpah – the attorney general of any so-called democratic state is supposed to represent the pinnacle of justice. Mazuz's attempted nullification of the agreement reached between the community and the state is the opposite of justice; it is inequity at its best, it breeds distrust, and creates a situation whereby promise, trust, and agreements belong to the genre of science fiction.
We suggest that Mazuz rethink his response concerning the Mitzpe Shalhevet neighborhood in Hebron and immediately implement the agreement reached, and spare himself, and the rest of Israel, continuing nightmares as witnessed at Amona.
Par Pauline (Pauline) le lundi 03 avril 2006 - 18h36: |
La matsa a la côte
Depuis 4 mois les employés des usines de fabrication de matsot travaillent jour et nuit pour être en mesure de fournir les quantités de pain azimes nécessaires à la fête de pessah.
Le marché de la Matsa en israel est évalué à 80 millions de shekels par an.
Selon les études marketing réalisés, les clients prefèrent les paquets de galettes de 2,5 kg, lesquels ont enregistrés une augmentation de leur vente de 50 % au cours des deux dernières années.
D'une façon générale, les ventes de matsot ont augmenté de 12 % au cours des cinq dernières années. Toujours à la recherche d'une nouveauté suceptible de booster les ventes, les fabricants proposeront cette année des matsot parfumées au miel, recouvertes de chocolat, ou de la taille d'une piece de monnaie...
Côté prix, la matsa 2006 n'enregistrera pas d'augmentation significative. Il faudra en effet compter entre 25 et 30 shekels pour un carton de galette de 2,5 kg, et entre 12 et 15 shekels pour un paquet de matsot douce.