Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 11 octobre 2003 - 19h16: |
A David Eden, Là je suis tout à fait d'accord avec toi. Pour moi les territoires étaient pris des Jordaniens et eux-mêmes les avaient hérités du mandat anglais et ils n'ont jamais appartienu à un état quelconque et encore moins à un état qui n'a jamais existé et qui veut se nommer "la Palestine". A Israël de faire ce qu'elle veut en attendant que les Arabes acceptent Israël dans cette région. Les soit-disant Arabes qui se disent Palestiniens ne sont même pas capables de former un gouvernement légitime, ni de vivre dans la communauté des peuples civilisés, puisqu'ils croient à la mort plus qu'à la vie. Jusqu'àlors le mur de sécurié aidera à minimiser les incursions des terroristes qui veulent venir mourir en Israël. Hag Soukkot Sameah
Par Davideden (Davideden) le samedi 11 octobre 2003 - 17h25: |
Emile,
Ceux qui refusent a Israel le droit a se proteger sont en fait pour la destruction d'Israel.
Ce "mur" est la solution la plus humaine epargnant la vie de beaucoup. En fait ceux qui sont contre la protection d'Israel sont les complices des terroristes meurtriers et suicidaires.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 11 octobre 2003 - 05h47: |
Je ne vois pas pourquoi on s'étonne de la barriere de sécurité entre les USA et le Mexique ou entre Israël et les territoires jordaniens perdus à Israël pendant la guerre. C'est normal lorsqu'il y a danger d'immigration illégale ou de passage de terroristes ou de la drogue. Il est du devoir de chaque pays de prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger ses citoyens.
La France l'avait bien fait avec la construction de la ligne Maginot.entre la France et l'Allemagne. Il y a bien eu la ligne Mareth entre la Tunisie et la Libye. Les Chinois avaient bien construit le Grand Mur pour se protéger des attaques de Mongoles. En Tunisie on dit "HEZHA TENDEM HOTTA TENDEM". (prends-la tu regrettes, laisse-la tu regrettes) Comme on fait il y aura toujours à qui cela ne plaît pas.
Par Mena (Mena) le vendredi 10 octobre 2003 - 18h46: |
Les bouche-trous à Rafah (info # 011010/3) [scoop]
Par Ilan Tsadik à Rafah © Metula News Agency
Je profite des quelques heures de repos qui nous sont accordées pour vous informer sur l’opération à grande échelle qui se déroule en ce moment, sous mes yeux, à Rafah.
Depuis hier soir, des forces importantes, sous le commandement du général Ofer, comprenant de nombreux chars et des transports de troupes, ont entrepris de mettre à jour et de démolir les tunnels creusés sous la frontière avec l’Egypte.
Selon les informations à notre disposition, les Palestiniens ont réalisé ces dernières semaines entre 10 et 14 de ces galeries, par lesquelles ils font transiter toutes sortes de matériels de guerre. Notre intervention a été rendue nécessaire par le fait que de nouvelles armes empruntent ces voies souterraines. Celles-ci comprennent de grandes quantités d’explosifs servant à l’élaboration des ceintures des kamikazes et des voitures piégées, des tubes lance-roquettes Katiouchas de fabrication russe, ainsi que des missiles anti-tanks et des missiles anti-aériens individuels.
A l’état-major de Tsahal, on craint que ces armes ne participent à raviver l’Intifada en en modifiant les équilibres stratégiques. Ces matériels étant par la suite transférés, en partie, vers la Cisjordanie, menacent nos hélicoptères mais surtout, ils pourraient aisément être utilisés par les Palestiniens contre des appareils civils.
Les combats sont très rudes, les défenseurs de Rafah, comprenant qu’Israël est engagée dans une opération décisive, ont lancé toutes leurs forces dans la mêlée (cela me rappelant que je vais louper les premiers matchs de la Coupe du monde de rugby, ce qui m’ennuie un maximum). En plus des armes automatiques, de quelques mitrailleuses lourdes, les miliciens font usages de pièges explosifs, qu’ils ont dissimulé de longue date aux points névralgiques de la ville de Rafah, ainsi que de grenades anti-chars et de RPG.
De plus, l’ennemi fait un usage cynique et criminel de la présence de dizaines de civils, qu’ils ont placés autour des combattants. J’ai vu de mes yeux, ce matin, un milicien tirer une roquette RPG contre un tank entouré, défendu, par une dizaines de civils dont 4 à 5 enfants de moins de 10 ans.
Deux formations de commandos sont à l’œuvre de notre côté et elles progressent dans les ruelles étriquées de Rafah, certaines ne mesurant guère plus d’un mètre cinquante. Les instructions d’avant combat, distribuées et commentées par les officiers sont très strictes. Les soldats ont reçu l’ordre d’épargner à tout prix les civils et les membres des ONG qui sont là pour protéger la poursuite de l’Intifada et pour torpiller les provisions de la Carte Routière. Les ordres indiquent que les soldats ne peuvent se servir de leurs armes dans un environnement de civils "qu’au cas où leur vie serait directement et incontestablement en danger".
Toute personne de bonne foi qui assisterait à la bataille serait soufflée par les risques énormes que prennent nos hommes afin d’épargner les non-combattants. Je n’imagine pas qu’aucune autre armée agirait dans des conditions semblables avec autant de respect pour la vie humaine. Cette attention est patente, ce matin à Rafah.
Cela dit, j’ai vu de très nombreux miliciens tomber sous nos coups de boutoirs. A 8 heures les chiffres officiels faisaient état de 5 morts et d’une vingtaine de blessés dans le camp adverse. Je crois, pour ma part, que ces chiffres sont très inférieurs à la réalité. Les Palestiniens ont annoncé le décès d’un enfant de 12 ans dans les combats, ainsi que de 2 miliciens.
Malgré notre progression, à 8h 30, nous n’avons pas encore découvert de tunnels. Il semble que ceux-ci débouchent dans la seconde ligne de constructions, au-delà de la première artère parallèle à la frontière égyptienne. Parlant de l’Egypte, il est clair qu’en dépit de ses pseudo efforts diplomatiques visant à faire respecter un cessez-le-feu global, elle est aujourd’hui l’unique mère nourricière de l’Intifada en armes et en munitions. D’après ce que nous constatons, ce sont des camions entiers qui traversent les tunnels creusés sous le Canal de Suez et qui sont stockés dans la partie égyptienne de Rafah. Il semble également que l’accès aux galeries palestiniennes, côté sud, se fasse à ciel ouvert, devant le nez des soldats égyptiens, si ce n’est avec leur participation logistique.
Dans les discussions que j’ai eues avec les officiers israéliens, personne ne comprend pourquoi le gouvernement israélien et celui des Etats-Unis ne parviennent pas à faire interrompre ce trafic de mort par le Président Moubarak. Ici, en tous cas, cette hypocrisie règne en maîtresse.
Le travail qu’entreprend Israël afin de couper le cordon ombilical qui fournit en armes les organisations terroristes – et reconnues comme telles par le Quartette international – aurait du être effectué par les forces de sécurité de l’Autorité Palestinienne dans le cadre du plan de la Carte Routière. Les hommes de Mohammad Dahlan avaient bien détruit 3 des tunnels de contrebande, lors d’une opération hautement médiatisée mais depuis le démantèlement du gouvernement Abbas par Yasser Arafat, les opérations de forage n’ont jamais été aussi nombreuses et efficaces. Afin de prévenir toute incompréhension, ce sont les bandes tribales locales, aux ordres de la Moukata, renforcées par des combattants d’Arafat, qui creusent les tunnels, qui les défendent et qui organisent la logistique du trafic des armes.
Côté israélien, toujours jusqu’à 8h 30, heure de la fin de mon observation, on dénombrait un blessé léger, atteint par un éclat à un pied. Le soldat a été soigné sur place et il a insisté pour rejoindre son unité au combat.
L’opération en cours est partie pour durer plusieurs jours, "jusqu’à la destruction complète de tous les tunnels", me dit-on. Derrière moi et mon petit ordinateur portable, qui semble être l’arme la plus ridicule dans l’échauffourée, le crépitement des balles ne cesse pas un seul instant. Le paysage est gris-sale, on ne distingue pas le sable de la poussière crasse, qui donnent à tous les matériels un toucher huileux. Ceci dit, les soldats qui m’entourent ont un moral d’acier. Ils sont convaincus que ce qu’ils appellent tous "leur travail" à Rafiah est en tous points indispensable. Ils ont l’impression de limiter les risques menaçant les civils juifs et arabes d’Israël et d’œuvrer dans le cadre des dispositions internationales pour faire cesser la guerre.
Si je leur disais que dans certaines contrées du monde dit libre, on les décrit comme des criminels sanguinaires, ou, comme dans le Figaro, des sortes de Nazis envoyés ici afin de réaliser la déportation des civils palestiniens, ils ne me croiraient pas. Ils riraient, me charrieraient et pire que tout, ils m’empêcheraient maintenant de m’endormir.
Le seul point positif à passer mon week-end dans ce cloaque bruyant, c’est que je vais éviter la retransmission de la rencontre France-Israël de demain soir. Quelle est donc l’andouille qui a prétendu qu’un soldat de Tsahal n’avait jamais les chocottes ?
Par Printania (Printania) le vendredi 10 octobre 2003 - 18h07: |
Madame Solange MOSZKOWICZ née SCEMAMA.
Monsieur Simon HAGGEGE.
Qu’espérions-nous en quittant la terre qui nous a vu naître et dans laquelle sont enterrés nos parents ?
En laissant les tombes à l’abandon, bien que certaines âmes charitables aient bien voulu s’occuper de quelques-unes, nous savions que tôt ou tard, l’Etat qui nous a spoliés, récupérera le terrain des cimetières.
Ne vous faites donc aucune illusion.
Tout avait été préparé à l’avance et quoi que nous fassions, quelque procès que nous intentions, le résultat est le même, nous sommes les cocus du régime.
Vous voulez lancer une subvention, récolter des dons, faire appel à des volontaires ?
Je vous le dis, ce serait en pure perte et pis encore ; les sommes ainsi récoltées, vous seront confisquées par le régime, avec des promesses qui ne seront jamais tenues.
Je sais de quoi je parle.
La machine à détruire est en marche, ces terrains juteux font baver les promoteurs qui alimentent le régime en bakchich ; qu’ils déterrent les ossements, qu’ils les jettent dans des fosses communes, qu’ils construisent des immeubles de luxe et des hôtels pour touristes en mal d'exotisme, bien leur en fasse.
Tôt ou tard ils devront rendre des comptes.
C’est pour cela que depuis cet exode, je me pose la question de l’incinération ; la valise et l’urne, dans le même avion.
Quelqu'un l'avait écrit avant moi: l'histoire est un éternel recommencement.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 10 octobre 2003 - 17h20: |
La Fête de Soukkot
Ce soir commence la première nuit de la fête de Soukkot, c'est tout naturel que je relate notre tradition comme on l'avait pratiquée chez mes parents et à Béja.
J'étais encore un enfant, notre voisin de l'immeuble, Fraji Chaouat, le père de Rémi, Aimée, Jojo et leur grand frère, se prenait la tâche de construire la soukka sur la terrasse de l'appartement de Houaya Fargeon, qui était du même immeuble. Je me souviens de la grande terrasse qui avait des carreaux en céramique bruns-rougeâtres. Tous les enfants de mon quartier assistions curieusement au montage de la Soukka.
Fraji Chaouat, que Dieu benisse son âme, avait fait faire tous les élemets qui constituaient la Soukka. Tous les Chaouat, que Dieu les bénisse tous là ou il sont et donne la vie et la santé au seul survivant, Rémi, qui est à Nathania avec ses enfants et ses petits enfants, participaient tous activement et avec enthousiasme à monter la soukka. L'un tenait les poteaux, l'autre montait les traverses et je suivais cette activité avec beaucoup d'intérêt.
Une fois que la soukka étaient debout, venait le tour de Houaya (Haim) Fargeon et ses enfants, Lalou Fargeon, et de son frère Fraji et leurs soeurs Fortunée et Maïssa de décorer avec des feuilles de palmier. Ensuite c'était le tour de leur mère Rachelle et de ma mère d'étaler des beaux draps en couleur. Quand tout était fini, elles accrochaient des kandils (lampes à l'huile) suspendus aux poutres centrales de la soukka. Après cette phase, venait le tour de mon père et Jojo Fargeon pour mettre une rallonge électrique et après avoir installer quelques douilles et des ampoules de 100W ils allumaient et voilà que notre belle soukka était éclairée . Maman mettait la table avec une belle nappe et toutes les femmes participaient à garnir cette table avec des fleurs, un bouquet de Rihan. Après la prière les femmes venaient avec des bons plats cuisinés par les trois femmes à l'avance..
Ensuite les trois familles se réunissait autour de la table pour manger. Je me souviens encore du vieux Houaya (Haim) Fargeon avec son pantalon bouffant qui tenait le verre rempli de brakha que l'on faisait avec des raisin secs, et qui faisait la prière par coeur avec Fraji Chaouat et mon père entourés des garçons et des filles et des femmes, Marie Chaouat, Rahel Fargeon et ma mère. Toute la fête de Soukkot c'était mon grand plaisir de profiter de l'absence de tout le monde pour aller dans la soukka avec mon plat et manger tranquillement en jouissant de l'atmosphère que la Soukka créait. Mon meilleur délice - jusqu'à ce jour est de manger le plat de Mhamer dans la Soukka.
Le soir du premier jour du "hol hamoed", on se préparait pour aller au pèlerinage de Testour.
Le lendemain nous le passions à Testour avec tous les pèlerins venus de chaque ville de la Tunisie et d'Algérie autour de la tombe de Rebbi Fraji Chaouat avec du michoui, de la boukha et aussi certaines nourritures de notre ville que l'on mangeait les jours de Soukkot.
Ma femme qui n'est pas née en Tunisie et n'a pas grandi avec nos traditions, mais qui avait appris de ma mère nos coutumes culinaires, m'avait enjolivé ces jours de fête avec des plats tunisiens et tout particulièrement avec des "Mhamer" (des aubergines farcies) que j'aime beaucoup. J'espère que tous ceux qui me lisent passent aussi de bonnes fêtes de Soukkot et de même je souhaite que nos frères, là où ils se trouvent passent aussi de bonnes fêtes de Soukkot avec nos traditions. Je me ferais le plaisir de lire des histoires de nos compatriotes sur ces jours et évidemment sur les recettes en mémoire de nos parents. (Zikhronam le vrakha)
Par Email (Email) le vendredi 10 octobre 2003 - 17h04: |
Compatriotes,
J’ai le regret de vous annoncer la mort prochaine du Cimetière de TUNIS.
J’avais espéré , une réaction d’orgueil de votre part chers TUN chers Jtun alors que je vous annonçais la mort prochaine de notre cimetière livré à des promoteurs de tous genres…
Nous abandonnons nos morts,nos maisons et nos terres dans une paranoïa légendaire !
simon HAGGEGEtel 0623540678
Je me suis également rendue au cimetière du Borgel ,cet été , et j'ai également déploré l'état dans lequel il se trouve .
Solange MOSZKOWICZ née SCEMAMA
Par Victoria (Victoria) le vendredi 10 octobre 2003 - 10h37: |
Attention, Christophe Colomb était juif...Livournais !!!! :-)) Sa famille s'était établie en Toscane à cause précisément de l'Inquisition espagnole.
Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 10 octobre 2003 - 12h27: |
Citron
La barrière entre les USA et le Mexique n'est pas une frontière banale. Elle est ELECTRIFIÉE, il y a des miradors et des patrouilles constantes. Pour enpêcher le passages des
clandestins.
Il n'y en a pas entre le Canada et les USA.
si vous appelez ça une frontière normale, alors nous sommes bon pour le goulag
Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 10 octobre 2003 - 12h29: |
Printania
Wahooo la photo est passée !!
merci
hag lesaméah
Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 10 octobre 2003 - 12h39: |
Citron,
Il manquait la légende à l'image de la ""frontière "" USA- Mexique.
Elle est parlante - :
The border security fence is comprised of many sections totaling scores of miles.
Some sections are concrete, others sheet metal. The barrier is three layers deep in parts, fifteen feet high- soit 4 mètres,50 environ and surrounded by RAZOR WIRE. The area around it is lit by spotlights, monitored by cameras, motion detectors and magnetic sensors, and patrolled by ARMED GUARDS WITH ATTACK DOGS
Pour une frontière ' normale '' entre états ........
Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 10 octobre 2003 - 09h34: |
Bonnes fetes de Souccoth a tous, et continuez a venir nous voir ! La bkheilah dans la soucca, c'est plus sympa.
Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 10 octobre 2003 - 09h16: |
Record battu pour les touristes francais en Israel
Ce sont plus de 57 000 touristes francais qui se sont rendus en Israel durant les mois de Juillet et Aout derniers. Cela represente une augmentation de 100 pour cent par rapport a la meme periode en 2002.
On constate egalement une hausse sensible (+44%) du nombre de touristes russes arrives en Israel en Aout dernier, de meme que pour les touristes americains (+42%).
Au total, les services du Ministere israelien du Tourisme ont recenses 649 000 touristes venus de l’etranger en Juillet-Aout contre 558 000 durant la meme periode en 2002.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 10 octobre 2003 - 08h17: |
Une justice pour Spector
c est exact que son nom ait ete trouve au bas d une demande de nos pilotes de ne plus participer aux attentats cibles contre les dirigeants terroristes palestiniens . Pourtant lorsque la lettre fut deposee Spector se trouvait en Inde , et n a donc pas pu se defendre . A son retour il a prefere annoncer qu il se desolidarisait de cette lettre qui n avait pas exactement explique ce pour quoi il avait signe .
Oui , nos pilotes ont le droit comme tout un chacun de s exprimer , l armee n est pas un endroit ferme et nos soldats ne sont pas mis a l ecart de la democratie Israelienne . Alors oui 25 pilotes se sont exprimes , mais pas comme il a ete ecrit pour denoncer les attentats cibles mais pour essayer de reduire les dommages collateraux ... mais le probleme est malheureusement connu plus un seul de ces chefs terroristes ne se deplace sans sa barriere de boucliers humains , femmes et enfants ... Alors plutot que de salir nos pilotes qui eux aussi sont souvent des peres de famille essayez plutot de voir ce qui de l autre cote est utilise ...