Par Soleil (Soleil) le dimanche 09 avril 2006 - 06h52: |
Hebron community purchases new building in Hebron
Last night, at 9:15, a large group of Hebron
residents walked (and ran) from the Avraham Avinu
neighborhood's eastern entrance, down the road a
few meters, to a very large, three-story
building, and started moving in.
The building was purchased from a Hebron Arab
(who no longer lives in the city) over the course
of many months. Only a few days ago were all the
legal necessities completed to the satisfaction
of the community's lawyers and leadership. It was
then decided to immediately move in.
Hebron residents responded to the call. A number
of Hebron families with children, as well as
singles, agreed to move into the new building
(not really so new – probably built in the
1850s). The well-kept secret was still kept under
wraps, and only in late afternoon were people
notified of the purchase and plans to move in. At
nine o'clock a meeting was held with all those
participating, and a few minutes later the
project commenced.
A little while after the first group arrived, of
course, Israeli security forces arrived,
investigating the sudden occupancy of the
structure. First the police arrived, and then the
riot squad. A little while later senior IDF
officers showed up, a then, later on, a
representative of the civil administration. They
were presented with copies of the legal
documents, showing ownership of the building.
Satisfied that the community had not arbitrarily
'taken over' and Arab building, the security
forces took their copies of the documents and
left, with the intention of 'checking out' the
legality of the purchase. However, community
leaders assured them that everything was done
'according to the book' and that the entire
purchase was fully legal.
Hebron residents, youth and adults alike, began
cleaning out the huge building, which was
extremely filthy. At about two in the morning a
tractor arrived to remove the piles of trash
which had appeared in the street. The younger
children fell asleep and others roamed the
building, continuing to clean.
When asked whether the timing of the project had
political implications, community spokesmen were
very clear. The reason the community moved in now
was solely due to the fact that the final legal
proceedings had concluded. Had this been done two
months ago, we would have moved in then. Had they
not been completed for another two months, we
would have waited until then. However, thank G-d,
the lawyers finally gave the green light, and the
building was filled with Hebron community
residents last night.
This Shabbat all the families will feast together
in a communal dining hall. Eventually, following
renovations, families will receive individual
apartments.
Par Email (Email) le dimanche 09 avril 2006 - 08h51: |
Pour quand la recette de la citronnade ?
LA CHALEUR ARRIVE
merçi
une fidèle
doujà
Par Email (Email) le dimanche 09 avril 2006 - 08h45: |
On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié, après avoir eu un enfant et, ensuite, après en avoir eu un autre...
Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront.
On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.
On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint, quand on possédera
une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite...
La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux, que le moment présent. Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce ?
La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer.
Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant qu'il est encore temps.
"Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer.. La vraie vie!
Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette a payer.
Et alors, là, la vie allait commencer!...
Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie"
Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur.
Le bonheur est le chemin.
Ainsi passe chaque moment que nous avons et, plus encore, quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps, et que l'on se rappelle que le temps n'attend pas.
Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l'été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.
LE BONHEUR EST UNE TRAJECTOIRE ET NON PAS UNE DESTINATION
Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux. Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie.
"Les vrais amis viennent dans les bons moments quand on les appelle et dans les mauvais moments ils viennent d'eux-mêmes. Le temps n'attend personne. Rassemble chaque instant qu'il te reste et il sera de grande valeur.
Partage-les avec une personne de choix et ils deviendront encore plus précieux. "
Par Email (Email) le dimanche 09 avril 2006 - 08h38: |
Le Rav Sadin
Il enseigne a Jerusalem, est francophone, talmudiste, romancier et philosophe. Cote tune, il descend de Rabbi Hai Taieb Lo Met et publie chaque annee un commentaire sur le Helev Hittim (seul livre restant de Rabbi Hai Taieb).
Vous pouvez ecouter ses cours a:
http://www.shemayisrael.com/orgs/darchei/sadin/hashkafa.htm
Hag sameah
Patrice
Par Email (Email) le dimanche 09 avril 2006 - 08h36: |
MATZO MAN
http://www.americancomedynetwork.com/FLASH/matzo_man.htm
Par Email (Email) le dimanche 09 avril 2006 - 08h32: |
Nicole (ma soeur)avec beaucoup de perseverance a realise son reve.
La synagogue qui etait une ruine et sur le chemin de se faire demolir, grace a Nicole non seulement a ete classee monument historique du xvi siecle mais en pleine restauration et aura droit a une inauguration en grand pompe le 4 juin a chablis bh' avec la fete de la music qu'elle a organisee. ci-dessous l'article sur la synagogue de chablis,
bravo Nicole
Joelle Messika
http://www.migdal.org.il/annonce/chablis.php
Par Email (Email) le dimanche 09 avril 2006 - 07h52: |
Éditions Jean-Cyrille Godefroy
0142611703
E.mail : jcgodefr@club-internet.fr
Site internet : http://www.editionsjcgodefroy.fr/
Eurabia
L’Axe Euro-Arabe
par Bat Ye’or
Ce livre décrit la transformation de l’Europe en « Eurabia », une extension
culturelle et politique du monde arabo-musulman.
Eurabia est fondamentalement antichrétienne, antioccidentale, antiaméricaine
et antisémite. L’institution responsable de cette transformation, et qui
continue à propager son message idéologique, est le « Dialogue euro-arabe »,
souvent déguisé sous le terme « Dialogue euro-Méditerranée », développé par
la classe politique et les intellectuels européens et arabes depuis les
trente dernières années. Cette association s’est mise en marche dés
1974/1975 à l’instigation de la France, qui a milité pour une politique pro
arabe afin de doter l’Europe d’un poids et d’un prestige qui lui
permettraient de rivaliser avec l’Amérique. Les Arabes y mirent plusieurs
conditions : une politique européenne indépendante de celle de l’Amérique,
la reconnaissance par l’Europe d’un État palestinien et le soutien à l’OLP,
la souveraineté arabe sur Jérusalem, l’ouverture des frontières à
l’immigration.
Bat Ye’or, historienne britannique d’origine égyptienne, francophone, a
consacré l’ensemble de son œuvre, plus d’une quinzaine de livres, aux
rapports entre l’islam et le monde judeo-chrétien. Au moment où l’on réédite
en France un de ses livres importants : « Juifs et chrétiens sous l’Islam »,
elle pose dans « Eurabia, l’axe euro-arabe » des questions explosives : Et
si la tolérance de l’islam n’était qu’un mythe ? Et si l’Europe, par peur du
terrorisme, avait déjà renoncé à une partie de ses valeurs pour complaire à
ses partenaires arabes ?
Bat Ye’or est mondialement connue. Eurabia, paru au printemps 2005 aux USA,
y a fait sensation. Son interview de mars 2005 dans le Point a suscité de
fortes réactions.
On peut consulter sur internet : www. dhimmitude.org
« Voici un livre provocant et dérangeant. Avec toute l’intensité dramatique
d’un maître écrivain, Bat Ye’Or présente une série de documents et de faits
qui montrent comment l’Union européenne est ébranlée par l’hostilité
islamique aux valeurs essentielles de l’Europe… Le processus de subversion
de la liberté de pensée en Europe est clairement analysé. Ce livre … lance
aussi un avertissement à l’Europe de ne pas céder aux pressions islamiques,
antiaméricaines et anti-israéliennes, qui subvertissent ses vraies valeurs :
démocratie, libre pensée humanitaire et contrat social juste. »
Sir Martin Gilbert, biographe de Churchill
320 pages, format 15,5 x 24 cm
sortie 13 avril 2006 22 €
Diffusion France, Belgique et Suisse : Interforum (code 354567)
Par Mena (Mena) le samedi 08 avril 2006 - 04h40: |
Le chevalier blanc Cypel contre Lieberman et ses cosaques (info # 020704/6) [analyse]
Par Luc Rosenzweig © Metula News Agency
"....D'où une évolution qui a mené au désengagement de Gaza et à l'idée de la séparation. Si la paix est inenvisageable et la force impuissante, restait l'espoir de "vivre sans les Palestiniens". La traduction extrême de ce souhait s'est manifestée dans le succès du parti "Notre maison Israël", une formation qui pousse à son terme la logique ethnique de séparation, prônant l'expulsion hors des futures frontières d'Israël, en "Palestine", du plus possible d'Arabes citoyens israéliens (ils sont 1,2 million). Pour Kadima, il ne s'agit que d'évacuer "unilatéralement" les zones de Cisjordanie densément peuplées de Palestiniens, tout en y préservant les principaux acquis israéliens...." Sylvain Cypel in "Le Monde" du 7 avril 2006 [lire l’article en entier].
On ne présente plus Sylvain Cypel, rédacteur en chef au Monde, auteur de l'immortelle "enquête" sur les espions israéliens aux USA. Les lecteurs de la Ména avaient pu mesurer, les premiers, le haut degré de manipulation médiatique dans lequel ledit Cypel avait entraîné le "journal de référence". Lire ["Le Monde sous-marin", de Guy Senbel] et "Guillaume Dasquié, parlons-nous franchement", Dasquié interviewé en 4 parties par Stéphane Juffa sur cette falsification : [1ère partie], [2ème], [3ème], [4ème].
Il ne doit son impunité juridique, dans cette affaire, qu'à la règle immuable des services israéliens en matière de diffamation et de désinformation : never explain, never complain, ne jamais expliquer, ne jamais se plaindre. Et pourtant Elie Barnavi, à l'époque ambassadeur d'Israël à Paris, avait pressé son gouvernement d'engager une procédure contre Le Monde et Cypel, sûr que ce dernier serait aisément démasqué et confondu comme journaliste falsificateur.
Une telle déconfiture professionnelle et morale (nombreux étaient, j'en porte témoignage, les journalistes du Monde, et non des moindres, qui rougissaient de honte à l'évocation de cette affaire) aurait dû valoir à l'intéressé d'être prié, pour le moins, d'aller exercer ses talents dans une rubrique où les nuisances provoquées par ses méthodes auraient pu être circonscrites.
L'insubmersible Cypel, protégé par l'aile bienfaitrice de son mentor et compagnon en trotskisme Edwy Plenel, n'avait non seulement pas été sanctionné, mais avait été promu à un poste stratégique : la direction des pages "Débats" du journal. Il bénéficie, depuis le départ fracassant de Plenel, du laxisme et du libéralisme mou de l'équipe qui lui a succédé à la tête de la rédaction du quotidien. Ecarté de la direction des pages "Débats", cet idéologue antisioniste rabique profite de l'incompétence crasse des responsables du journal sur le conflit proche-oriental pour commettre de nouveaux méfaits en tant que "grand reporter international".
Ainsi, et ce n'est qu'un exemple des agissements de cet individu, cette affirmation selon laquelle le parti Israel Beitenou envisagerait "l'expulsion hors des frontières d'Israël, en "Palestine", du plus possible d'Arabes israéliens".
Imaginons le lecteur de bonne foi du Monde. Que va-t-il retenir de cette perle cypelienne ? Bien évidemment que le parti d'Avigdor Lieberman, d'ailleurs composé pour bonne part de cosaques superficiellement judaïsés pour ce même M. Cypel, prône l'expulsion manu militari des habitants de Taibeh, Sakhnin ou Umm al Fahm ! Cypel, zélé propagateur en France des thèses d'Ilan Pappé, mis par moi, hier, au défi de trouver une seule phrase d'Avigdor Lieberman pouvant conforter cette affirmation, convient qu'il n'en existe pas, et se cache derrière les pancartes "Les Arabes dehors" que l'on a pu observer ça et là dans les meetings électoraux d'Israël Beitenou. Qu'il existe des racistes parmi les partisans de ce parti, et plus largement au sein de la société israélienne, qui pourrait le nier ? Est-ce une raison pour déformer à dessein le programme d'un parti pour le clouer plus facilement au pilori de la bien-pensance antifasciste made in France ? C'est ainsi qu'à force de diaboliser Le Pen pour de mauvaises raisons (il y en a suffisamment de bonnes !), les ayatollahs de l'antifascisme ont fait, pour une part, le lit du 21 avril 2002.
Point n’est besoin d'être un partisan, ni même d’être d'accord avec le programme et les discours des amis de Lieberman – ce que je ne suis en aucune manière ! – pour faire la différence entre, d’une part, un plan consistant à échanger les localités peuplées d'Arabes israéliens situées en deçà des frontières de 1967 contre des blocs d'implantations juives au-delà de cette même ligne, et, d’autre part, une entreprise d'épuration ethnique à la yougoslave ! Le principal obstacle à la mise en œuvre de cette idée d'Israel Beitenou est la farouche opposition de ces populations à quitter le giron de l'Etat juif pour rejoindre le destin de leurs frères palestiniens des Territoires. Cette apparente contradiction mérite d'être expliquée, analysée et commentée autrement qu'à l'aide de la grille de lecture proposée par Cypel.
Orphelin d'un Sharon qu'il avait largement contribué à diaboliser, ce dernier cherche un nouveau démon à brandir en oriflamme de sa détestation viscérale et pathologique d'Israël. Le projet national juif ne saurait, dans la construction idéologique qui sert de béquille à la misérable pensée de Cypel et consorts, qu'aboutir à une dégénérescence fascisante, incarnée hier par Sharon et ses colons, aujourd'hui par Lieberman et ses cosaques. Et ceterum censeo, Israel delenda est ! Nul besoin d'être affilié au Hamas pour rejoindre le projet éradicationniste des fous de Dieu. Il suffit de suivre le chemin fléché par le manipulateur sémantique du Boulevard Auguste Blanqui.
Par Lalla (Lalla) le vendredi 07 avril 2006 - 23h09: |
merci Braham
c'est si beau.
chabath chalom
Par Victor (Victor) le vendredi 07 avril 2006 - 20h55: |
Le Crif en action
Intervention du CRIF contre la venue d’un élu du Hamas à Strasbourg
07/04/06 - - : Proche-Orient
Roger Cukierman, le président du CRIF, s’est adressé à Philippe Douste-Blazy, le Ministre des Affaires Etrangères pour s’élever contre la venue en France d’un député palestinien membre du Hamas, invité à se rendre à Strasbourg le 10 avril pour participer aux travaux de la Commission des questions politiques de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Le Président du CRIF a rappelé au Ministre « qu’il est inacceptable que la France tolère l’entrée sur son territoire d’un membre d’une organisation terroriste dont elle a dit à plusieurs reprises que les positions qu’elle exprime par rapport à Israël rendent tout contact ou dialogue impossibles ». Il a ajouté que la France devait avoir « une attitude cohérente et claire envers le Hamas ».