Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 15 octobre 2003 - 23h22: |
YA KHOUYA SLIM,
J'ai seulement voulu dire a NABIL que la MEDFOUNA ce n'etait pas un mot du vocabulaire judeo-arabe.
D'ailleurs c'est la premiere fois que je l'entend ce mot. Merci de m'avoir eclaire cher ami.
C'est comme le COUSCOUS les Musulmans du moyen orient disent MOUGHRABIA.
en fait ces deux mots se ressemblent, a sfax ce manger special du SHABAT se disait EDFINA.
Ce n'est pas loin de MEDFOUNA.
Au fait SLIM j'ai gouter la semaine derniere des gateaux de SFAX qui ne sont pas de ce monde, tellement c'est bon. Masmoudi tu connais?
EL KHASSOUL il n'y a que les sfaxiens pour les KHALAOUETES et surtout les MELEBESS.
J'ai aussi mange a Sfax un ragout au ble entier a la viande de mouton, ca ressemble beaucoup FEL MANDOR (VUE D'OEUIL) a la DFINA HARISSA DE BLE, seulement c'etait cuit comme un vulgaire ragout, mais c'etait quand meme assez bon et assez ressemblant.
Pourrais tu me rappeler le nom de ce ragout en arabe STP.
Amicalement Victor
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 15 octobre 2003 - 23h07: |
Et celui-ci tu le connais "Ba'ad Machab Edahou lel Cotab (après qu'il a vieilli ils l'ont emmené au Cotab )(ecole religieuse)
Et ce proverbe:"Ela Tah Ejmel Tsaybet La'dayen"
Quand le chameau tombe sa cargaison s'eparpille.
Et celui-ci: "Eli ibie'k bel foul bi'ou bel eqchour" Celui qui te vent avec les feves vent le avec les epluchure.
Encore un: "Eli Yehab Issafi Demou Inahi Hamou* ( Celui qui veut nettoyer son sang de ses veines qu'il se débarrasse de ses peines)
Par Odigo (Odigo) le mercredi 15 octobre 2003 - 22h42: |
j'ai trouvé ce message sur un autre forum-il est signé " voyageur " qu'en pensez vous ? MERCI
Le Mythe du Peuple Palestinien
La presse moderne est pleine d'histoires sur les Palestiniens, sur leur détresse, leurs problèmes, leurs difficultés et leurs combats.
Cependant, une seule question n'a pas été posée: qui sont ces Palestiniens? Qui sont ces gens qui prétendent être les propriétaires de la Terre Sainte? Quelle est leur histoire? D'où sont-ils venus? Comment sont-ils arrivés jusqu'au pays qu'ils appellent Palestine?
On affirme sur les ondes de radio officielles que les Palestiniens vivent en Erets depuis des centaines si ce n'est des milliers d'années. Pourtant et curieusement, dès qu'on leur demande de démontrer historiquement l'ancienneté de leur présence ici, la plupart des chaines et des sociétés de presse sont incapables de trouver des traces datant au dela du début du 20ème siècle.
La preuve indiscutable que nous recherchons se trouve sur le site de l'Autorité Palestinienne. Le site ne désemplit pas de termes tels que «Occupation israélienne» «Transgression des droits de l'homme par Israël», etc.mais il n'est pas très riche en renseignements sur le Peuple Palestinien. Le seul article historique s'intitule «Le Peuple Palestinien - grandes étapes au 20ème siècle» et il prouve bien qu'avant 1900, il n'avait jamais été question de Peuple Palestinien.
Sur la base de témoignages de gens qui sont venus visiter le pays, la Terre d'Israël était presque vide d'habitants jusqu'au début du siècle (ce qui est bien loin de la thèse selon laquelle les Palestiniens se trouveraient ici depuis des centaines, si ce n'est des milliers d'années!).
Alphonse de Lamartine vint en viste dans la région en 1835. Dans son livre «Souvenirs d'Orient», il écrivit : «A l'extérieur des portes de Jérusalem, nous n'avons pas rencontré âme qui vive et nous n'avons entendu aucune voix humaine.» Cette description fut confirmée par l'écrivain américain Mark Twain qui vint en visite en Erets en1867. Dans son livre «Les promeneurs incrédules», il écrivit: «On ne peut trouver les mots pour décrire la désolation qui règne ici. Même l'imagination la plus fructueuse ne pourrait la peupler de vie et d'animation. Nous sommes parvenus à Tabor et nous n'avons rencontré aucune âme qui vive sur notre chemin».
Le Consul britannique de Palestine rapportait en 1857 que «Cette terre est en majeure partie vide d'habitants. Par conséquent, le recours le plus urgent est de la peupler d'habitants.»
En fait, le recensement officiel réalisé par les pouvoirs ottomans en 1882, affirme qu'il n'y avait alors en Erets Israël que 141 000 musulmans Arabes et non-Arabes réunis. En 1922, ce chiffre sauta à 650 000 Arabes: une hausse de 450% en 40 ans seulement. En 1938, il atteint plus d'un million (hausse de 800% en 56 ans seulement. La population augmenta particulièrement dans les régions qui étaient peuplées par les Juifs. D'où sont donc venus tous ces Arabes?
L'explication donnée par les Arabes est la forte natalité. Ils prétendent qu'en 1944 par exemple, la croissance naturelle de la population (nombre des naissances moins le nombre des défunts) chez les Arabes en Erets Israël atteignait le chiffre extraordinaire de 334 pour 1 000. Ce chiffre est trois fois plus grand qu'en Syrie ou au Liban à la même époque, presque quatre fois plus grand qu'en Egypte qui est un des pays où l'évolution de la croissance naturelle est considérée comme l'une des plus importantes au monde. Vous conviendrez que cette évaluation est tout au moins complètement illogique!
Mais si on ne peut expliquer cette croissance par la natalité, d'où ont pu venir tous ces Arabes?
Toutes les données pointent vers les pays arabes voisins: le Liban, la Syrie, l'Egypte et la Jordanie. En 1922, le Gouverneur britannique du Sinaï précisait que «la Alya clandestine ne se faisait pas qu'à partir du Sinaï, mais également à partir de la Jordanie et de la Syrie». Un rapport effectué avec le soutien du mandat britannique en 1930 précisait que «les listes de chômeurs se remplissaient de réfugiés venant de Jordanie» et que «l'Alya clandestine à partir de la Syrie et de la frontière nord de la Palestine était très sérieuse».
Les Arabes eux-mêmes témoignaient de ce phénomène. Par exemple, le Gouverneur de la région syrienne, annonçait en 1934 que plus de 30 000 réfugiés syriens s'apprêtaient à passer en Erets Israël. Churchill lui-même avait prêté attention à ce phénomène, à l'époque où il fut mêlé au mandat britannique, dans ses premières années. En 1939, il déclarait: «Non seulement ces réfugiés ne sont pas poursuivis, mais ils parviennent à pénétrer à l'intérieur du pays et à se multiplier.»
Les Juifs ne les repoussèrent pas et de plus, ils furent dès le départ la cause de l'affluence des Arabes en Erets. La nouvelle entreprise sioniste et le développement agricole avaient créé de l'emploi, tout comme la construction et l'industrie israéliennes alimentent la majeure partie des revenus des Arabes d'Israël de nos jours. Malcolm Macdonald, une des personnes qui participèrent à l'écriture du Livre Blanc britannique en 1939 et qui oeuvra pour limiter le nombre des réfugiés Juifs de l'époque a reconnu avec réticence que s'il n'y avait pas eu de présence Juive, la population arabe n'aurait même pas atteint la moitié de ce qu'elle représente.
Aujourd'hui, à la suite de la dernière intifada, alors que les Arabes des «territoires» âgés de plus de 35 ans ne sont plus autorisés à pénétrer à l'intérieur du territoire d'avant 1967, le chômage chez les Arabes a augmenté de 40% et la plupart des habitants sont donc forcés d'avoir recours à l'aide européenne pour survivre.
Mais les Arabes d'avant la création de l'Etat ne sont pas les seuls à avoir menti en prétendant être nés en Erets. Il est prouvé qu'un grand nombre de personnalités importantes chez ceux qui se font appeler «Palestiniens» ne sont absolument pas originaires du pays.
Le Professeur Edouard Sayd, Professeur en littérature dans une université réputée et important propagandiste palestinien a toujours prétendu être né à Jérusalem. Or, un article paru dans le «Commentary Magazine» en 1999 divulgua que Sayd était originaire du Caire, ce que Sayd s'est trouvé forcé de confirmer par la suite.
Mais pourquoi nous attarder sur Sayd? Le Chef de l'Autorité Palestinienne lui-même, qui s'est proclamé «Chef du Peuple Palestinien», Yasser Arafat a toujours affirmé qu'il était né en «Palestine» alors que selon son biographe attitré, Yasser Arafat est né au Caire le 24 août 1929 et y a grandit.
Afin de maintenir l'effet de ce coefficient essentiel qu'est leur soit-disant origine sur cette terre, les responsables de la propagande arabe durent ré-écrire l'histoire, chose pour laquelle ils durent également avoir recours à une nouvelle géographie. Durant 2 000 ans, la région aride du centre du pays fut appelée Judée-Samarie, ce qui est prouvé par toutes les cartes du pays depuis le Moyen-Age. Mais depuis que ce territoire a été occupé par la Jordanie en 1948, il a reçu la nouvelle appellation de «Cisjordanie» ou «Bande Ouest» (textuellement de l'hébreu). Les journalistes qui commentent les évênements de la région ne sont nullement gênés d'employer ce terme alors que ce territoire ne peut être appelé «ouest» que par rapport à la Jordanie, étant situé à l'est d'Israël. Tout le monde continue donc de se servir du nom jordanien pour parler de ce territoire.
Le terme «Palestinien» témoigne de la déformation malhonnête de l'histoire afin de prouver que les racines de leur soi-disant Peuple proviennent de cette terre. Des Arabes ont même adopté des noms de l'ancien tribu cananéenne des Plichtim, disparue depuis presque 3 000 ans. Il n'existe aucun lien entre cette ancienne tribu et les Arabes de l'époque moderne.
Mais qui donc fait la différence? Ne se rattachant à aucun relevé historique, Arafat peut bien raconter que «Jésus, ébéniste Juif de Galilée, était en fait Palestinien». C'est pourquoi, Arafat se rend chaque année à Bethléem à l'occasion de la «Fête de la Nativité» et répète chaque fois que «Jésus fut le premier Palestinien».
Malgré le témoignage apporté par l'histoire, la presse a réussi à ancrer l'idée qu'il existe un Peuple Palestinien. Un sondage effectué dernièrement auprès de citoyens français démontra que la plupart des Français sont convaincus - à tort bien sûr - qu'avant la création de l'Etat d'Israël, il y avait à sa place un Etat Palestinien indépendant.
Au cours de toute l'histoire, il n'y a jamais eu d'Etat Palestinien indépendant dans la région géographique que les «Palestiniens» appellent «Palestine». Le dernier Etat indépendant qui exista dans la région avant la création de l'Etat d'Israël fut l'Etat antique de Yéouda, il y a 2 000 ans.
Si les «Palestiniens» sont un mythe, la question essentielle reste «Pourquoi ?». Pour quelle raison ont-ils décidé d'inventer un Peuple ?
La réponse est que le mythe du Peuple Palestinien sert à justifier l'occupation arabe d'Erets Israël. Les Arabes disposent de 21 Etats souverains ! (Plus que n'importe quelle nation dans le monde). Ils règnent sur un territoire 800 fois plus grand que la Terre d'Israël ! Mais il semblerait que cela ne leur suffise pas et c'est pourquoi ils éprouvent le besoin de voler aux Juifs le seul et unique Etat dont ils disposent, un des plus petits états du monde. Malheureusement, trop de gens qui ne connaissent pas l'histoire de cette région, entre autres une grande partie de la presse internationale, sont trop heureux de se proposer de les aider.
Par Odigo (Odigo) le mercredi 15 octobre 2003 - 22h51: |
Citron
N'a t il pas essayé déjà une fois, cet odieux personnage ?
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 15 octobre 2003 - 22h49: |
Albert Bravo alik, tu as bien saisi les allusions de ton frere,"Ya Atik Essaha."
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 15 octobre 2003 - 22h38: |
Nabil, avez vous choisi de quelle Tfina (Madfouna) vous voudriez avoir la recette ? Le choix est grand.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 15 octobre 2003 - 22h26: |
Si les disputes se résoudent avec douceur les juges deviennent chaumeurs.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 15 octobre 2003 - 22h22: |
Breitou, Emile n'a jamais été blessé de toi, mais pour éviter des controverses j'avais pris congé, car j'avais choisi mon calme. C'est très chic de ta part de demander pardon, comme on le dit en allemand: "Wo keine Klage, ist kein Richter" Là où il n'y a pas de plainte, il n'y a pas de juge..Hag Sameah..
Par Citron (Citron) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h17: |
hier j'ai fait un cauchemar,
j'ai vue la tete du prochain président tunisien....
Par Citron (Citron) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h55: |
Les Tunisiens récupèrent Bizerte
Le 15 octobre 1963, sept ans après l'indépendance de la Tunisie et deux ans après la bataille de Bizerte, les bâtiments de la marine française quittent la rade de Bizerte. Vers 14 heures, en une cérémonie discrète, un officier décroche le drapeau bleu blanc rouge. Il le plie en quatre, le met sous son bras et rejoint le navire amiral, qui sera le dernier à quitter le port.
L'évacuation du dernier soldat français se termine vers 15 heures. Les quais où, jusqu'à la veille, trois cargos, douze navires de guerre, un porte-avions, trois mille hommes et des tonnes de matériel attendaient d'être embarqués sont étrangement déserts. Les Français laissent cependant derrière eux deux pistes d'envol, une base aérienne avec hangar et bâtiments, une base aéronavale, un hôpital, des immeubles administratifs, une tour de contrôle, des installations souterraines inachevées, du matériel de contrôle, de radio, de protection contre les incendies, des quais, des bassins et, surtout, une quinzaine de techniciens pour assurer l'entretien des installations et la formation de Tunisiens capables de prendre la relève.
Au même moment, l'aviso Destour, battant pavillon rouge et blanc, apparaît à droite de la rade. À son bord, un petit groupe de responsables tunisiens qui regardent le dernier bateau français s'éloigner. Parmi eux, Bahi Ladgham, vice-président et secrétaire général du Néo-Destour, Taïeb Mehiri, Hassib Ben Ammar, Mahjoub Ben Ali...
Vers 16 heures, un officier français ouvre la grande porte de fer, un énorme trousseau de clefs à la main. Le bateau accoste à l'endroit même où était amarré le navire amiral français. Une petite foule, qui a envahi le port, entonne l'hymne national et lance des « Yahya Bourguiba ! » (« Vive Bourguiba ! »). Bahi Ladgham hisse le drapeau tunisien sur la base, puis annonce solennellement au téléphone à Habib Bourguiba, président du parti et chef de l'État : « Mission accomplie. » Bizerte, « dernière séquelle de l'ère coloniale », selon les mots de Bourguiba, est enfin rendu aux Tunisiens. Dans les rues de la ville, c'est la liesse populaire. Bientôt, la joie s'étendra à tout le pays.
Depuis le retrait des troupes françaises du territoire tunisien en 1958, Bourguiba n'avait cessé de revendiquer l'achèvement de la décolonisation par l'évacuation de la base navale. Pour faire taire les surenchères nationalistes, tant à l'intérieur (Salah Ben Youssef) qu'à l'extérieur (Nasser), il voulait obliger les Français à rendre Bizerte, et non le recevoir de leurs mains, à un moment choisi par eux. Le général de Gaulle, aux prises avec le drame algérien, n'entendait se laisser « rien dicter ni arracher soit du dedans, soit du dehors », comme il disait. La rencontre entre les deux hommes, en février 1961, au château de Rambouillet, non loin de Paris, tourna au dialogue de sourds.
L'affrontement était donc devenu inévitable entre deux leaders enfermés dans des logiques antagonistes.
Les hostilités, déclenchées le 19 juillet 1961, se prolongèrent jusqu'au 23 au matin. Les forces en présence étaient très déséquilibrées : un corps d'élite français bien entraîné et une armée tunisienne courageuse, mais fort peu expérimentée et mal équipée, adossée à des volontaires plus gênants qu'utiles. Bilan des pertes : côté français, 27 militaires tués et une centaine de blessés ; côté tunisien : 632 tués, dont 330 civils.
L'évacuation des troupes françaises sera fêtée solennellement le 15 décembre 1963, à Bizerte, envahi par plus de 300 000 personnes. La postérité retiendra l'image de Bourguiba triomphant au milieu de deux figures du nationalisme arabe, Nasser et Ben Bella, qui n'avaient jusqu'alors cessé de fustiger les « compromissions » du leader tunisien avec l'Occident.
Avec la France, tout était déjà rentré dans l'ordre. Les relations diplomatiques ayant été rétablies, Paris avait repris son aide. On avait presque oublié des deux côtés le bras de fer entre Bourguiba et de Gaulle, deux combattants de la liberté qui s'étaient laissés entraîner dans un conflit stupide.
Ridha Kéfi
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Par Breitou (Breitou) le mercredi 15 octobre 2003 - 20h02: |
'.....Je pourrais recueillir même des singes grimaçants, à qui j'apprendrais que la vie n'est que grimace et foutaise, même des loups sanguinaires à qui j'apprendrais que l'homme est un loup, envers son prochain, même des lions féroces à qui j'apprendrais que la vie est féroce et mesquine, même des moutons de Panurge à qui j'apprendrais comment se jeter d'une falaise pour rompre avec la vie. J'apprendrais à toutes les bêtes et les imbéciles nés dans ce monde comment enterrer un riche, un pauvre, un mécréant, un pieux, un juif, un arabe ou un chrétien sous deux mètres sous terre sans qu'on puisse trouver une quelconque différence. Je leur apprendrai ce que moi je n'ai encore rien appris vraiment de cette vie bête à mourir pour certains et riche à vivre pour d'autres. Je leur servirai de guide en haut, en bas, bien que je ne connaisse pas ce qui se cache derrière les étoiles et les astres, et même sous terre, je ne saurai pas leur décrire les entrailles de cette mère nourricière....'
Signè Albert..
Par Albert (Albert) le mercredi 15 octobre 2003 - 19h39: |
Si j'ai bléssè qq un je demande pardon...
Emile.
Par Maxiton (Maxiton) le mercredi 15 octobre 2003 - 19h14: |
http://www.editions-verdier.fr/philosophie/auteurs/levy.htm
Par Albert (Albert) le mercredi 15 octobre 2003 - 19h34: |
Après le voile, voilà la rue des ROSIERS...
Aux armes citoyens....La République rosière est en danger...
Ok pour la Téchouva, ok pour la tfinè ok...
Occupons nous de la rue des juifs....