Par A_Soued (A_Soued) le dimanche 23 avril 2006 - 07h50: |
La victoire par la participation politique : la nouvelle stratégie du Hamas et ses limites. Evaluation et recommandations politiques
Par Yigal Carmon, président du MEMRI
MEMRI - Enquête et analyse n° 270
Dans un briefing donné le 17 mars 2006 au Congrès américain sur la stratégie du Hamas après les élections palestiniennes, Yigal Carmon, président du MEMRI, a présenté la stratégie du Hamas et ses limites et a fait quelques recommandations politiques.
Le briefing a été sponsorisé par le sous-comité des relations internationales pour le terrorisme international et la non prolifération, dépendant de la Chambre des députés, et co-sponsorisé par les dirigeants du Comité : le président Ed Royce (Républicain, Californie), l'éminent membre Brad Sherman (Démocrate, Californie) et le représentant Steven Rothman (Démocrate, New Jersey). Ileana Ros-Lehtinin, présidente du sous-comité du Moyen-Orient et d'Asie centrale, et le membre éminent Gary Ackerman, ont aussi co-sponsorisé l'événement.
Voici un résumé de l'évaluation :
Estimation
Des trois menaces islamistes qui pèsent aujourd'hui sur les Etats-Unis – Al-Qaïda, l'Iran et les Frères musulmans -, Al-Qaïda et l'Iran ont choisi d'atteindre leurs objectifs par la confrontation tandis que les Frères musulmans ont opté pour la participation politique. Ce choix a été essentiellement motivé par la guerre mondiale contre le terrorisme, qui a poussé le Hamas (composante de l'organisation mère que sont les Frères musulmans) à comprendre que dans le monde de l'après 11 septembre, les organisations terroristes n'ont pas d'avenir, tandis que par la participation au jeu politique, elles pourraient toutefois atteindre certains de leurs grands objectifs.
La participation au jeu politique implique l'acceptation de certaines contraintes politiques, contraintes dont le Hamas n'avait pas eu à se préoccuper avant les élections législatives de janvier 2006, pas plus que les Frères musulmans avant les élections législatives d'Egypte de novembre-décembre 2005. Ce n'est qu'après la victoire du Hamas que des conditions ont été formulées à la participation du Hamas au jeu politique.
Les trois exigences actuelles posées au Hamas concernent Israël : la renonciation à la violence, la reconnaissance d'Israël et le respect des accords antérieurs.
Ces conditions sont inefficaces:
1) Elles ne peuvent être respectées que pour un temps limité et pour des raisons tactiques et en effet, le Hamas a entrepris de les respecter, puis a fait marche arrière.
2) En se focalisant sur Israël, on ignore le problème plus large de la participation au jeu politique des Frères musulmans, et des mouvements nationalistes laïques, dans l'ensemble des pays arabes et musulmans.
Le succès du Hamas, bien que limité aux territoires palestiniens, pose une menace aux intérêts américains dans la région. Si l'Occident se résigne à la victoire du Hamas, les Frères musulmans pourraient fort bien répéter ce succès en Egypte et en Jordanie. Abou Mazen et l'OLP se retrouveraient encore plus mis de côté, tandis que les régimes actuels en Jordanie et en Egypte pourraient se trouver sérieusement menacés. Voilà qui mettrait en danger la stabilité de tout le Moyen-Orient.
Le moment critique sera celui où le Hamas prendra le commandement des forces de sécurité palestiniennes. A ce stade, la crise sera beaucoup plus difficile à gérer et risquera de devenir incontrôlable. En effet, la stratégie déclarée du Hamas est de combiner participation politique et résistance, comme l'ont affirmé Mashaal, Haniya et Al-Zahar ("le fusil dans une main, la politique et l'autorité dans l'autre"). (1)
Le scénario souhaité est que, plutôt que de combiner participation au jeu politique et résistance, le Hamas poursuive sur la voie de la modération, à l'instar de l'OLP. Les actuelles avancées tactiques/temporaires du Hamas en ce sens, dans le but d'obtenir une reconnaissance mondiale de sa victoire, laissent espérer que cela est possible.
Cet espoir reste toutefois timide. Contrairement à l'OLP, organisation nationale distincte limitée à un peuple et à une terre, le Hamas est lié au mouvement régional, et même mondial, des Frères musulmans, qui bénéficient d'une structure islamique globale. En tant que tel, il est vraisemblable qu'il demeure fidèle à ses positions.
Recommandations
Les exigences américaines doivent donc se focaliser sur la transformation interne et idéologique du mouvement. Elles ne doivent pas se focaliser sur le Hamas, mais en priorité sur l'organisation mère: les Frères musulmans. (Les conditions qui suivent devraient également s'appliquer aux mouvements nationalistes laïques.)
Présenter les exigences suivantes comme des critères internationaux universels garantira le soutien de l'Union européenne et des Nations unies. Afin d'encourager les Frères musulmans et ses ramifications à entreprendre des mesures pour se conformer aux critères politiques internationaux, la reconnaissance politique ne devrait être accordée qu'après que les conditions suivantes auront été remplies par le Hamas et les Frères musulmans et incluses à leurs programmes politiques officiels en vue des élections :
1) L'adhésion à la politique par l'exclusion de la violence et du recours à la force. De mouvement de résistance armé, le Hamas doit devenir un parti politique non armé. Cette exigence s'applique également au Fatah, censé suivre la même transformation avec le processus d'Oslo mais qui, jusqu'à ce jour, ne l'a pas fait. Une fois que le Fatah aura pris des mesures en ce sens, la pression sur le Hamas et les autres factions pour faire de même sera plus forte. Et si le Hamas n'obtempère pas, il ne bénéficiera pas de la reconnaissance internationale.
2) L'Adoption des valeurs démocratiques. Celle-ci se fait longuement attendre. Une telle adoption contrera l'érosion de la notion de démocratie qui, ces dernières années, en est arrivée à n'englober que l'idée d'élections libres.
L'ensemble des valeurs démocratiques devraient inclure : l'égalité de tous devant la loi, sans considérations de religion, d'appartenance ethnique ou de genre, et l'adoption officielle dans le programme politique des organisations concernées de toutes les libertés constitutionnelles, incarnées par les conventions internationalement acceptées, telles que la Déclaration des Droits de l'Homme, la charte des Nations Unies, les conventions des Nations Unies et les autres critères internationaux.
[1] Pour des déclarations d'Al-Zahar, voir Al-Qods (Jérusalem), le 15 février 2006 ; pour des déclarations de Haniya, voir http://memritv.org/search.asp?ACT=S9&P1=1017 ; pour des déclarations de Mash'al, voir http://memritv.org/search.asp?ACT=S9&P1=1044 ; http://memritv.org/search.asp?ACT=S9&P1=1024.
Pour d'autres extraits-vidéo de leaders du Hamas, voir http://www.memritv.org/Search.asp?ACT=S5&P1=151.
Par Email (Email) le dimanche 23 avril 2006 - 08h04: |
la politique française
Bonjour
En écoutant les informations a la radio, je deviens fou.
J'ai 67 ans, Durant la dernière guerre, ma famille s'est battue contre les nazis et a risquée sa vie pour aider les hommes et des femmes de confession juive.
Je ne vois pas la différence qu'il y a entre les Nazis et les palestiniens, ou alors je n'ai pas tout compris.
Quand j'entends le président Chirac dire qu'il faut continuer à aider les Palestiniens, j'ai honte d'être Français, Et ce qui est plus grave!
Je ne vois pas la différence entre le Maréchal Pétain qui faisait arrêter les Juifs par la gendarmerie Française et le président Chirac qui veut utiliser l'argent des contribuables Français pour permettre aux palestiniens de fabriquer des bombes et d'assassiner des innocents.
J'ai honte d'être Français .
Je devais vous le dire.
Gilbert GUYENOT
Par Email (Email) le dimanche 23 avril 2006 - 08h03: |
CENTRE SIMON WIESENTHAL / SIMON WIESENTHAL CENTER
European Office, registered as Non-profit organization in France under the
law of 1901
Bureau Européen -Association : Loi du 1er juillet 1901
64, avenue Marceau, 75008 Paris - Tel: 33 (0) 1 47 23 76 37 - Fax: 33 (0) 1
47 20 84 01
E-mail: csweurope@compuserve.com
Pour diffusion immédiate
Le Centre Simon Wiesenthal au Ministre français des Affaires étrangères : "
L'Ambassade de France au Maroc approuve l'antisémitisme "
Paris, le 20 avril 2006
Dans une lettre à M. Philippe Douste-Blazy, Ministre français des Affaires
étrangères, M. Shimon Samuels, directeur des Relations Internationales du
Centre Simon Wiesenthal, s'est dit profondément "choqué que l'Ambassade de
France au Maroc ait inclus dans sa revue de presse du 7-13 février une
référence manifestement antisémite."
"En fait, contrairement aux juifs dont la religion est dorénavant la
politique et les affaires..."
Cette phrase est extraite d'une citation de deux paragraphes dans un
article de trois pages de l'hebdomadaire marocain "Tel Quel", qui prône la
haine.
Cette phrase problématique se réfère ensuite aux "chrétiens, qui ont une
institution religieuse-tampon", (apparemment le Vatican) puis "les
musulmans, surtout les plus rigoristes, n'ont que le prophète comme
référent, voire comme arme politique".
Samuels a fait remarquer que "La référence aux Chrétiens concerne la
hiérarchie, celle aux Musulmans souligne la déférence envers le prophète. A
l'évidence, la citation concernant les Juifs est discordante puisqu'elle
met l'accent sur les stéréotypes du pouvoir et de l'argent."
La lettre a souligné que "Le choix de l'Ambassade de reproduire ces textes
sur son site web, sans aucun commentaire, semble n'avoir pas d'autre fin
que de renforcer les préjugés énoncés par les meurtriers d'Ilan Halimi. A
la suite de leur arrestation, ceux-ci ont affirmé qu'ils avaient kidnappé
un juif parce que cette communauté est associée à l'argent et au pouvoir."
Samuels a ajouté : "Il serait compréhensible qu'une ambassade recueille ce
type d'articles pour l'information du quai d'Orsay. En revanche, il est
scandaleux qu'une ambassade, sous le prétexte d'une revue de presse,
recycle les expressions d'un fanatisme raciste sur un site web public. Sans
un commentaire critique de cette citation, une telle diffusion pourrait
être perçue comme une approbation de son contenu."
Le Centre Simon Wiesenthal a "exigé une enquête approfondie sur ce scandale
et une condamnation publique par le Quai d'Orsay. Il a réclamé que des
mesures disciplinaires soient prises à l'encontre des responsables."
Pour plus d'informations, veuillez contacter M. Shimon Samuels au +33 6 09
77 01 58.
Richard Odier
Secrétaire Général du Centre Simon Wiesenthal - Europe
CSW
64 ave Marceau
75008 Paris
France
Fax: 01.47.20.84.01
Par Primo (Primo) le dimanche 23 avril 2006 - 07h34: |
Ilan Halimi : Le canari dans la mine
Vous avez bien voulu exprimer votre soutien à l’action que PRIMO a engagée à la suite de l’assassinat barbare du jeune Ilan Halimi. Vous avez souhaité pouvoir vous investir davantage et nous aider au-delà de ce que nous avions pu faire alors.
En partie grâce à vos suggestions, notre association a entrepris la rédaction d’un livre témoin, à la mémoire d’Ilan, un livre qui tente de comprendre ce qui vous avait, ce qui nous avait tous révoltés : comment, en France, pays des droits de l’Homme, il a pu se faire que l’on tue à nouveau un Juif parce qu’il est juif !
Aujourd’hui, grâce aux Éditions Yago qui se sont magnifiquement investies dans cette action, le livre est édité. « Ilan Halimi, le canari dans la mine » est déjà disponible.
Ni l’éditeur ni les auteurs ne toucheront le moindre centime sur les ventes. Tout ce qui sera récolté sera redistribué selon les vœux et les instructions de la maman d’Ilan, à la Fondation créée à la mémoire de son fils et aux associations qu’elle nous indiquera.
Il faut que ce qui s’est passé soit connu, analysé et compris. C’est en cela qu’avec ce livre, nous pensons pouvoir être utiles.
C’est pour cela que nous vous demandons de commander par l’intermédiaire de PRIMO, un ou plusieurs exemplaires de cet ouvrage, et d’en faire largement la promotion et la diffusion auprès de vos amis, auprès de vos connaissances.
Nous vous en remercions par avance.
Pour commander le livre à la mémoire d’Ilan, il suffit d'envoyer un chèque de 20 euros (15 Euros + 5 Euros de frais de port) libellé à l'ordre des Editions Yago à Primo-Europe, BP 19, 94001 Créteil Cedex. Indiquez au dos du chèque "livre Ilan".
Vous pouvez également vous le procurer en payant par carte bancaire, en appelant le 06 98 34 30 18.
Entretien avec Ruth Halimi
Yaël König
Primo-Europe décide de vous dévoiler, en exclusivité, une partie de l’interview que Ruth Halimi a accordée à Yaël König, et qui servira de préface à notre ouvrage "Ilan Halimi, le canari dans la mine".
Lundi 20 mars 2006
"L’affaire Ilan Halimi" est d’une telle violence que c’est à la fois bouleversée et quasi muette que je pénètre dans cet appartement où Ilan ne reviendra plus jamais.
Ruth, sa mère, m’ouvre grand sa porte.
Aussitôt je pense à ce que raconte la tradition juive, non sans humour : "Dieu a créé les mères parce qu’il n’avait pas le temps de tout faire tout seul." Ruth est de celles-là, sans aucun doute.
Elle est seule lorsqu’elle me reçoit, mais je sens son appartement bruire de vie, de douceur, de confiance… Avant…
J’admire sa maîtrise, alors que je la sens tendue à l’extrême. Je la trouve si belle que je voudrais la photographier, juste pour moi. Mais je n’aurai pas l’indécence de le lui demander.
Elle commence par m’offrir un rafraîchissement. Je ne saurais avaler quoi que ce soit ; à peine mes larmes…
Me voilà assise dans le salon d’Ilan. Comme à la maison… Vous aviez tous raison ; Ilan est aussi notre enfant…
A ma droite un buffet sur lequel trône le bocal d’un poisson rouge très occupé à tourner sur lui-même.
Lorsqu’au cours de notre entretien l’animal, soudain calmé, se sera aplati au fond de son bocal, Ruth aura un sursaut en s’inquiétant : "Il n’est pas mort, au moins ?" J’ai compris ; c’est le poisson d’Ilan…
Je ne peux pas m’empêcher d’imaginer Ilan, souriant et pressé, jetant un coup d’œil au bocal pour s’assurer qu’il ne manque pas de nourriture…
L’horizon du poisson rouge n’est que bonheur ; en effet, autour de son bocal sont disposées des photos heureuses ; mariage d’Anne-Laure, sourire resplendissant de Yaël, ses sœurs, famille épanouie, mère comblée, enlacée par ses trois enfants.
Des photos de joie, de partage, de celles qui font sourire et fondre de tendresse.
Ces photos même qui doivent arracher le cœur de Ruth Halimi et de ses filles, depuis le 20 janvier 2006.
La mère d’Ilan suit mon regard et n’attend pas mes questions pour confirmer :
"Dès sa venue au monde, le 11 octobre 1982, Ilan m’a comblée de bonheur. Nous nous entendions merveilleusement bien, et il me rendait au centuple l’amour que j’ai pour lui.
Il adorait ses sœurs, sur lesquelles il veillait, bien qu’étant le plus jeune. Petit, il affirmait avec conviction qu’il épouserait Yaël ; tous deux ont toujours été comme le couvercle et sa marmite…
Curieusement, mes enfants sont nés tous trois une veille de fête ; Yaël, l’aînée, a choisi le soir du Séder, Anne-Laure, la cadette, est arrivée pour Chavouot, et le benjamin, Ilan, le soir de Soukkot. Ce sont trois fêtes très joyeuses, qui me paraissent avoir marqué de leur gaieté nos relations à tous les quatre."
Observant des éclats de joie au fond de son regard, je ne l’interromps pas. Je me dis que c’est toujours un peu de répit dans l’abomination qu’est devenu son quotidien. Je voudrais tant que tout soit faux, qu’Ilan sorte de sa chambre en demandant : "Maman, où est mon Tshirt de Sardaigne ?" Alors je m’éclipserais, tellement heureuse, tellement soulagée que ces atrocités n’aient finalement pas eu lieu, en France, en 2006 !
Ruth poursuit :
"Maintenant, nous sommes tous cassés. Pourtant, il y a eu tant de rires dans cette maison, si vous saviez !
Ce qui n’a pas empêché Ilan de prendre très tôt conscience de son rôle d’homme de la famille, et de vouloir l’assumer de son mieux.
Ilan était réfléchi, réservé, à l’écoute. Il faisait montre d’un sens de l’observation acéré, qui le conduisait parfois à pratiquer un humour à froid désopilant. Nous avons des milliers de souvenirs de fous rires irrépressibles dus aux remarques cocasses de mon fils.
Concerné par tout ce qui touche à l’être humain, Ilan s’est très tôt intéressé aux informations. Il s’est livré à une analyse des médias d’une précision et d’une vérité désarmantes pour son jeune âge. J’avais remarqué que cela l’amenait parfois à prendre la vie avec un certain recul, voire avec dérision.
Sa maturité évidente aurait pu nous inquiéter, mais l’enfant joyeux et insouciant reprenait suffisamment souvent le contrôle pour que je sois rassurée au sujet de mon fils."
Je vais poser une première question. Je me sens comme un voyeur espionnant au travers d’une fenêtre. Me rappeler pourquoi je suis là, pourquoi je pose ces questions… Ne pas laisser la colère m’envahir. Pas encore…
YK : Quelle éducation a reçue Ilan ?
"La même que celle qu’ont reçue ses sœurs. Ilan a suivi sa scolarité dans une école juive de Créteil. Faire grandir mes enfants dans le Judaïsme, c’était mon premier devoir de parent : leur donner des bases importantes pour le reste de leur vie.
C’était aussi les élever dans l’humanisme et l’antiracisme absolu. Elevé dans le respect de tous, sans distinction d’origine, il était toujours prêt à aider, à comprendre ; de plus, Ilan avait un cœur d’or.
C’est sans doute pourquoi il évoluait à l’aise au milieu de ses amis de tous bords, ne faisant pas de discrimination entre ses copains juifs, arabes, chrétiens…
Mais à voir ce qui s’est passé, ai-je eu raison de ne pas lui apprendre à se méfier davantage ? Comment savoir ?...
La suite dans "Ilan Halimi, le canari dans la mine". Editions Yago.
http://www.primo-europe.org/
Par Nao (Nao) le dimanche 23 avril 2006 - 03h53: |
Bouteflika, apres avoir insulte la France la semaine derniere, est drolement gonfle de venir se faire soigner sa rate malade au Val de Grace hopital reserve aux militaires et aux politiciens Francais..
Moi je le dis sur adra mais de Villiers l'a dit sur une radio. Et je suis d'accord..
« Dehors ! Vous avez insulté la France » Voilà les propos de bon sens de Philippe de Villiers.
Par la meme occas, PDV a annonce la sortie de son nouveau livre « Les mosquées de Roissy » aux revelations de choc et dont le Figaro Magazine a publié des extraits samedi. Philippe de Villiers affirme que l'aéroport est infiltré par des "organisations islamistes".
Il dit s'appuyer sur une note des Renseignements généraux pour étayer ces allégations selon lesquelles "les ouvriers d'Allah sont nombreux" à Roissy et accèdent aux "zones réservées" comme les pistes, les zones de bagages ou les zones techniques. (C'est vrai que c'est la 1ere chose que l'on remarque en descendant d'avion.. il suffit de voir qui dechargent les bagages sur les tapis...)
"Cela veut dire qu'on peut tout aussi facilement retrancher un objet précieux qu'introduire un explosif dans n'importe quel bagage...", dit-il.
Moi je le crois...
Enfin il a dénonce dans un entretien à paraître dans le Journal du Dimanche le "Sarko-show" et accusé le ministre de l'Intérieur de pratiquer le "double langage".
"Nicolas Sarkozy pratique le double langage, car depuis qu'il est au pouvoir, qu'attend-il pour stopper l'immigration, pour expulser les islamistes, pour interdire leurs mouvements liés au terrorisme, pour imposer une chartre républicaine pour la construction des mosquées ?", s'interroge le président du Mouvement pour la France.
Candidat à la présidentielle de 2007, Philippe de Villiers se demande aussi comment Nicolas Sarkozy peut proposer "le financement" de construction de mosquées aux contribuables et "prôner le droit de vote pour les étrangers, la discrimination positive et ensuite chercher à effacer tout cela avec une formule à l'emporte-pièce".
"Aujourd'hui, les Français regardent dans leur voisinage ; ils voient l'usine qui se démonte, la mosquée qui s'installe, le porte-monnaie qui se vide et les hommes politiques aller de repentance en capitulation", assure-t-il.
Par A_Soued (A_Soued) le vendredi 21 avril 2006 - 19h06: |
Communiqué
Chère Madame, Cher Monsieur,
Comme vous le savez en 1948 il y avait près d’un million de Juifs dans les pays arabes (un million cent mille en comptant l’Iran) et il n’en reste de nos jours que 3.500 (28.000 avec ceux d’Iran).Ils furent chassés ou obligés de fuir. Ils trouvèrent refuge en Europe, en Amérique, en Israël.
Pendant près de 60 ans, leur drame est demeuré occulté: nous sommes, vous êtes peut-être des réfugies oubliés.Nous avons décide de faire entendre notre voix. Notre action est légitime.Une association s’est constituée: Justice for Jews from Arab Countries, JJAC qui regroupe treize pays. Les membres se sont réunis à Bruxelles, en début du mois d’avril 2006 et l’Institut Européen, dont c’est une des vocations, en fait, naturellement partie. Elle se charge de sensibiliser l’opinion publique, juive ou non, en Belgique. Le Comité de Coordination des Organisations Juives de Belgique (CCOJB) appuie cette démarche.
Je vous prie, si vous êtes originaire d’un pays arabe (ou d’Iran) de me faire savoir si vous voulez témoigner. Je vous contacterai dans les plus brefs délais afin de remplir un formulaire et d’enregistrer, sur vidéo, votre témoignage. Il est important de le faire car; Cela fera connaître et reconnaître notre histoire.
Il s’agit d’une œuvre de mémoire alors que celle-ci est en cours d’éradication totale dan les pays arabes où la présence juive est partout antérieure de quinze à vingt siècles à l’apparition de l’islam.
Je reste à votre disposition pour de plus amples renseignements. Merci de me contacter par courrier ou courriel.
Bonnes fêtes de Pessah à vous tous et à tous ceux qui vous sont chers.
Moise Rahmani
Par A_Soued (A_Soued) le vendredi 21 avril 2006 - 19h03: |
AHMEDINEJAD NE BLUFFE PAS
L'IRAN EST DEJA NUCLEAIRE
Synthèse par Albert Soued, www.chez.com/soued/conf.htm pour www.nuitdorient.com
Non! Il ne bluffe pas! Ce faux illuminé est un habile tacticien. Il est en train de galvaniser progressivement sa population illettrée et grâce à l'amplification par les médias de ses propos belliqueux, il cherche à enflammer l'ensemble du monde musulman. Ses révélations dosées et continues ne font que confirmer les appréhensions des experts les plus clairvoyants et les plus objectifs. L'Iran a déjà une bombe nucléaire rudimentaire acquise au marché noir et n'est pas très loin de fabriquer des bombes en série. Ahmedinejad est vraiment l'homme à abattre de ce début du 21ème siècle.
Extrait de Commentary reproduit le 9 juin 2005 par www.NewsInsight.com et traduit par www.nuitdorient.com/n2610.htm
…L’Union Européenne a essayé d’obtenir le désarmement de l’Iran par la négociation, mais non seulement l’Iran lui a fait un pied de nez, mais il a menacé Israël d’attaques de Scuds, et il a fait des achats de "bombes sales" en Afrique, c'est-à-dire des bombes qui peuvent répandre la mort radioactive par explosion conventionnelle, sans déclencher un holocauste nucléaire. Mais une telle bombe est aussi épouvantable et al-Qaïda a manqué de peu de s’en procurer sur le marché noir nucléaire depuis le 11 septembre….
Extrait d'un article de Thérèse Delpech publié par le Figaro le 12 août 2006 et qu'on peut trouver à www.nuitdorient.com/n2615.htm
…En revanche, une fois la conversion terminée, les produits pourront être stockés dans des tunnels découverts par l'AIEA, mais non déclarés par l'Iran, et l'étape suivante, celle de l'enrichissement, est beaucoup plus difficile à contrôler, car l'existence de centrifugeuses assemblées de façon clandestine sur un site non identifié est l'hypothèse de travail de tous ceux qui suivent le dossier iranien.
Cette hypothèse a été rendue publique à deux reprises: la première fois, quand les révélations du colonel Kadhafi en décembre 2003 ont permis d'identifier un réseau international d'origine pakistanaise ayant vendu différents éléments nécessaires à un programme nucléaire militaire non seulement à la Libye, mais à d'autres pays, dont l'Iran. Téhéran a dû reconnaître en février 2004 qu'il avait acquis auprès d'Islamabad les plans de centrifugeuses beaucoup plus sophistiquées que celles qui avaient été déclarées à l'AIEA antérieurement. Qu'avait fait l'Iran avec ces plans depuis 1995 ? La question n'a toujours pas de réponse, mais au début de l'année 2004, juste avant une inspection de l'AIEA, six bâtiments étaient rasés sur le site de Lavizan, et la terre était creusée de plusieurs mètres pour empêcher les prélèvements. Des centrifugeuses clandestines ont pu s'y trouver avant d'être déménagées ailleurs….
Article de www.debka.com du 14 avril 2006
L'intransigeant président Ahmedinejad a annoncé avec pompe des succès en matière d'enrichissement de l'uranium à faible niveau, mais il n'a pas dit la vérité. D'après nos sources locales, avant d'aller au mausolée de Mashad le 11 avril, il a fait une visite discrète à Neishapour, à 38 km au sud-est, dans le Khorassan. Il y a inspecté un projet qu'il a omis de mentionner dans son discours de Mashad, une usine secrète en construction prévue pour recevoir 155 000 centrifugeuses permettant de produire de l'uranium enrichi pour 3/5 bombes par an. Ce projet B est la face cachée de l'enrichissement de l'uranium iranien, alors qu'on dévoile sa face innocente à Natanz. L'usine enterrée à 150 m de Neishapour sera opérationnelle en octobre. Elle est située à 600 km au nordest de Téhéran et couverte par une ferme de potagers inoffensifs, surnommée du nom d'un martyr de guerre obscur Shahid Moradian. Ce site est gardé nuit et jour par un détachement d'élite des Gardes Révolutionnaires, Ansar al Mahdi.
Des dizaines d'ingénieurs et de techniciens y travaillent sous la supervision d'experts étrangers. Ce sont les Russes qui ont établis les plans en 2003 et la construction a commencé l'année suivante. En 2005, des avions bulgares ont transféré directement des dizaines de milliers de centrifugeuses de Biélorussie et d'Ukraine. En janvier 2006, 23 ingénieurs Ukrainiens sont venus les installer, rejoints en février par 46 experts nucléaires Biélorusses qui travaillent par équipes pour rendre opérationnelles les centrifugeuses P1 et P2….
A Moscou le 13 avril, le Secrétaire d'état adjoint US chargé du contrôle des armements, Stephen Rademaker a calculé qu'avec 54 000 centrifugeuses, les Iraniens pourront produire suffisamment d'uranium enrichi pour une bombe en 16 jours. Il faisait référence à la déclaration de Mohamed Saeed, adjoint de Larijani, responsable nucléaire Iranien, qui disait que son gouvernement projetait d'étendre de 164 à 54 000 le nombre des centrifugeuses. Selon ce calcul, une fois prête dans 3 ans, l'usine de Neyshapour aura une capacité 3 fois plus grande que celle de Natanz et pourra sortir de l'uranium pour 9/15 bombes par an.
Article du New York Times du 17 avril 2006 par WILLIAM J. BROAD and DAVID E. SANGER.
…De toutes les revendications nucléaires faites par les Iraniens la semaine dernière, une phrase du président a provoqué une telle surprise et une telle préoccupation parmi les inspecteurs internationaux qu'ils se sont précipités à Téhéran pour contrôler ces propos.
Il s'agit de la revendication d'enrichir non seulement de petites quantités d'uranium, mais de la poursuite d'un programme nucléaire plus sophistiqué, pouvant aboutir à une bombe nucléaire.
Pourtant il y a 3 ans l'Iran disait qu'il renonçait à la recherche dans le domaine technologique avancé des centrifugeuses dites P2. Mais les analystes occidentaux ont toujours suspecté l'Iran d'avoir un second projet secret, basé sur les offres du marché noir et du renégat Pakistanais Abdoul Qadeer Khan, et différent des activités nucléaires tardivement avouées à Natanz.
Soupçons sans preuve ? Jeudi dernier, le président Amedinejad a annoncé que l'Iran menait maintenant des recherches sur les centrifugeuses P2, se vantant de quadrupler la puissance d'enrichissement d'uranium du pays. Ce sont des machines longues, fines qui tournent très vite et concentrent l'uranium 235, nécessaire à la fabrication de bombes. Mais les responsables Iraniens ont toujours menti dans ce domaine, dans un sens comme dans l'autre. Et les experts occidentaux et les responsables du Renseignement sont divisés sur le sens des déclarations d'Ahmedinejad, est-ce une réelle avancée technique, ou une simple rhétorique destinée à convaincre le monde que le programme iranien ne pourra pas être arrêté?...
Nota de la traduction de l'article de David Johnson, "La 3ème option pour l'Iran" du 6 mai 2005, voir www.nuitdorient.com/n267.htm :
Cette 3ème voie peut paraître un vœu pieux en effet; mais l'option des concessions commerciales a été rejetée avec ironie par les ayatollahs et les frappes même ciblées sur les 350 sites nucléaires ne viendront pas à bout d'un régime fortement implanté et immensément enrichi par les revenus pétroliers. Reste un soulèvement intérieur fort hypothétique, avec l'aide de ce CNRI (convention nationale pour une république iranienne démocratique et séculière) qui n'était localement crédible que lorsqu'il déstabilisait le régime par des attentats sanglants, via le MEK (mojahedine al khalq).
La décision que doit prendre l'administration américaine eu égard à la menace nucléaire iranienne est pour le moins malaisée. Si malaisée que d'aucuns dans l'administration US s'alignent sur la position européenne, "laisser faire et il y aura un membre de plus dans le Club atomique. Et alors ?" disent-ils. En Israël, on ne l'entend pas de cette oreille.
On sait en effet que l'Europe s'est encore une fois couchée devant la menace nucléaire iranienne, quant aux Etats-Unis, "wait and see"…
Par Viviane (Viviane) le vendredi 21 avril 2006 - 18h30: |
J'ai repris mes activités "de l'après Pessah" à commencer par la confection de confitures de fraises israéliennes qui abondent au "chouk". Si Jaco est gentil il vous montrera après Shabbat la photo que j'ai prise de ma "déconfiture" à savoir l'échec, en partie, de ma confiture. J'hésite encore, en tant que femme vaillante, entre internet et la cuisine : les deux éléments ne se trouvent pas au même endroit...
Chabbat Chalom ! Viviane.
Par Moshébé (Moshébé) le vendredi 21 avril 2006 - 16h18: |
Par Braham (Braham) le vendredi 21 avril 2006 - 15h40: |
Le printemps a deja un mois et l'oranger perd ses petales, les parfums sont encore la pour quelques jours.