Archive jusqu'au 31/octobre/2003

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2003: Commentaires d'Octobre 2003: Archive jusqu'au 31/octobre/2003
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le vendredi 31 octobre 2003 - 21h12:

AMOUR

vous etes tous et toutes beaux et belles c'est vous l'amour car vous etes initiateurs, initiatrices et tous les compliments ne suffisent pas.

bonne chance a tout le monde

vivina

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le vendredi 31 octobre 2003 - 21h14:

Voici un site qui aide les soldats de Tsahal en leur offrant une pizza bien chaude.

C'est plus un soutien moral que humanitaire.

visitez le site et chatez en direct avec eux tous les jours.

http://www.israelpizza.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le vendredi 31 octobre 2003 - 21h20:

A tous ceux qui se posent la question autour de cette polémique stérile et honteuse "Pourquoi Israël érige ce mur de DEFENSE sur son territoire »
En espérant que ce petit film vous aidera mieux a comprendre le pourquoi du
comment...

http://www.mfa.gov.il/mfa/fence.html

Message reçu du BETAR France.

NECHEK

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 31 octobre 2003 - 21h16:

Le lundi 20 octobre 2003, le tribunal d’instance de Jérusalem
condamnait dix responsables de la station de radio Arouts 7,
accusés d’avoir émis de manière illégale, alors même qu’elle
émettait d’un bateau situé à l’extérieur des eaux
territoriales.
Arouts 7, qui est devenu au fil des années le porte-parole de la
droite israélienne et plus particulièrement des habitants
juifs de Judée Samarie et de la bande de Gaza, a cessé
d’émettre.
De nombreuses familles, qui considéraient Arouts 7 comme le seul
moyen de se tenir au courant des évènements en Israël,
acceptent mal cette décision.

Arouts 7, créée en 1988, n’a cessé de se développer. Emettant à
ses débuts uniquement en hébreu, Arouts 7 a vite compris le
besoin grandissant d’une information équilibrée
également pour les olim de Russie et des pays
anglophones et francophones.
A l’ère de l’Internet, ce sont ensuite les sites d’Arouts 7 qui se
sont développés, pour devenir peu à peu indispensables pour
ceux qui, de par le monde, veulent savoir ce qui se
passe véritablement en Israël.

Après la fermeture de la radio, des politiciens, journalistes,
rabbins et autres personnalités israéliennes, qu’ils soient de
droite ou de gauche, ont critiqué cette condamnation.
Certains rappellent qu’elle est contraire à la
démocratie, si chère aux adversaires acharnés d’Arouts 7
qui l’évoquent sans cesse mais l’ont apparemment oubliée
lors de leurs attaques permanentes contre cet organe de
presse.
D’autres soulignent qu’un grand nombre d’auditeurs ne souhaitent
pas écouter d’autres radios et sont ainsi privés de leur seule
source d’information.

La direction d’Arouts 7 a décidé de réagir afin que les ‘’radios
pirates’’ deviennent enfin en Israël des radios libres. Ses
auditeurs et internautes restent son plus fidèle soutien et
c’est vers eux qu’elle se tourne pour qu’ils plaident sa
cause face à la Justice et aux politiciens.


Les internautes et abonnés à la newsletter francophones sont
invités à participer à une réunion d’urgence qui se tiendra
mercredi 5 novembre 2003 à 20h30 à la synagogue de la Place des
Vosges, à Paris, en présence de David Shapira, Frédéric
Encel, Michel Gurfinkel, Paul Giniewski et Clément
Weill-Raynal. Vous êtes tous cordialement conviés à vous
rendre à cette manifestation de soutien et de solidarité
à Arouts 7.



Qui sommes-nous ?

La station de radio Arouts 7 a été créée en 1988, peu après le
début de la Première Intifada. Elle venait ainsi apprendre
au grand public les réalités de la vie quotidienne
des habitants juifs de Judée Samarie et de la bande
de Gaza et fournir une information qui se veut plus
équilibrée.
La loi israélienne ne permettant pas les radios libres, les
fondateurs achètent un bateau et émettent en dehors des eaux
territoriales, le studio se situant à Beit El.
Au fil des années, la radio s’est développée. Consciente des
besoins des nouveaux immigrants, elle émet également en
russe, en anglais et en français.
Avec l’entrée de l’Internet dans les foyers, elle ouvre quatre
sites, en hébreu, en anglais, en russe et en français. Le
site francophone (www.a7fr.com)
devient vite le site francophone juif le plus visité.

Le procès :

Depuis sa création, Arouts 7 a eu à subir de nombreuses attaques
dues à son désir de vérité face aux évènements que vit
l’Etat d’Israël depuis les accords d’Oslo. La gauche
israélienne s’est de nombreuses fois tournée vers la
justice afin que celle-ci ordonne la fermeture de la
radio. Même après l’adoption par la Knesset d’une
loi visant à obtenir la légalisation des émissions
d’Arouts 7, un recours a été déposé à la Cour suprême qui a
déclaré cette loi illégale et a ainsi fermé la porte à
l’institutionnalisation de la radio.
Le procès contre Arouts 7 a débuté en 1998 à la suite d’une
plainte du député travailliste Eitan Cabel. Il faut souligner
que la plainte portait exclusivement sur Arouts 7 et
non pas sur les 130 radios pirates qui émettent en
Israël.
Les responsables d’Arouts 7 ont donc été condamnés pour émission
illégale des programmes de la station entre 1995 et
1998. Le juge a notamment condamné les directeurs de
la station, Yaakov Katz et Yoel Tsour.
Le rabbin Melamed, directeur spirituel de la yéshiva de Bet El,
n’a pas été épargné non plus. Il a été accusé d’avoir
créé et fait fonctionner la radio sans concession.
Son épouse Shoulamit, qui dirige les programmes, est
poursuivie pour le même délit présumé. Parmi les
personnes condamnées figure David Shapira, directeur
général d’Arouts 7 en français.
Après avoir entendu la sentence, la direction a décidé
d’interrompre les programmes de la radio.
Les 250.000 auditeurs quotidiens auront désormais accès aux
programmes uniquement via Internet.

Les réactions :

La fermeture de la radio a suscité de vives réactions au sein du
public, qu’il soit religieux ou non, de droite ou de
gauche.
Le conseil de Judée-Samarie et de la bande de Gaza a fait part
de sa peine profonde, déplorant le fait que des citoyens
idéalistes, qui ont fait entendre au cours de la
dernière décennie, grâce à cette chaîne, la voix du
camp national qui s’oppose aux accords d’Oslo, se
retrouvent aujourd’hui sur le banc des accusés. Ses
membres ont reproché aux gouvernements qui se sont
succédés en Israël de ne pas avoir fait preuve d’une
plus grande ouverture comme il convient généralement dans un
Etat démocratique. Ils ont exhorté le Premier ministre à
modifier sa position dans ce domaine et à permettre
dorénavant que toutes les voix puissent se faire
entendre sur les ondes israéliennes.

Le vice-ministre de l’Education Zvi Hendel, du Ihoud Léoumi, a
également réagi en déclarant que le tribunal avait ainsi
puni des centaines de milliers d’auditeurs. Il a
ajouté : «Nous ne permettrons pas que tout un
public, qui ne souhaite pas écouter d’autres
stations, soit muselé». Et d’affirmer : «Les tentatives
de la gauche se solderont par un échec». Il a encore souligné
qu’un gouvernement de droite devait impérativement
prendre une décision immédiate à ce sujet et
respecter le principe du pluralisme sur les ondes
comme il est admis dans le monde.

Le ministre du Travail et des Affaires sociales, Zevouloun Orlev,
du Parti national religieux, a déclaré quant à lui
qu’Arouts Shéva faisait partie intégrante de la
presse israélienne. Il a souligné que la station de
radio jouait un rôle important et qu’aucun décret ne
parviendrait à la museler. Il a précisé que ses très
nombreux auditeurs ne la considéraient nullement comme
une radio pirate et qu’il était largement temps de régulariser
son statut.
Le directeur des programmes en français, David Shapira, a
déclaré à la sortie du procès : «Il est temps que les radios
libres soient autorisées en Israël comme elles le sont
dans tous les pays démocratiques». Il cite pour
exemple la décision du président français François
Mitterrand, en 1981, de libéraliser les ondes.

Le rédacteur en chef du quotidien Maariv, Amnon Dankner, a
également pris le parti d’Arouts 7 : «Il y a quelques années
déjà, j’avais signé une pétition en faveur d’Arouts 7
et depuis, je n’ai pas changé d’avis. Il est
impératif de trouver la solution qui permettra à
Arouts 7 d’émettre comme toutes les autres stations
officielles du pays. Je ne partage pas toutes les
opinions de ses intervenants, mais la démocratie exige de ne
pas se contenter de défendre ses propres idées mais de
permettre justement l’expression de celles que l’on
conteste.
Depuis tant d'années, Arouts 7 s'est bien ancrée parmi les
stations israéliennes et elle ne ressemble à aucune des
stations pirates qui émettent dans notre pays. Elle
offre un moyen d’expression extrêmement important à
une grande partie de la société israélienne. Il faut
donc absolument régulariser son statut»..

Malgré ses opinions politiques, la journaliste Sheili
Yah'imowitz ne cache pas sa stupéfaction face à l'acharnement
des instances juridiques contre Arouts 7:

"Certes, cette radio émettait d'une manière illégale. Mais
pourquoi a t-on précisément cherché à appliquer les moindres
alinéas de la loi à son encontre? Pourquoi contre
d'Arouts 7 et non, à l'époque, contre la radio Kol
Hashalom d'Ebby Natan? Pourquoi contre Arouts 7 et
non contre les 130 stations de radios pirates qui
émettent encore aujourd'hui?

"A partir du moment où le tribunal a rendu son verdict, il a
signé l'arrêt de cette chaîne de radio. On a déjà assisté à
la disparition de journaux comme Al Hamichmar, Davar
ou H'adachot, par manque de lecteurs qui ont trouvé
sans problème des alternatives. Mais le cas d'Arouts
7 est totalement différent: les milliers d'auditeurs
qui suivaient régulièrement ses programmes n'ont pas
où se tourner. Ceux-ci n'écoutent généralement pas
les autres chaînes de radio et ils ne regardent pas
la télévision. Que nous importe, diront certains, une radio
de colons qui ne représente même pas la tendance générale des
habitants de Judée-Samarie? Le directeur des
informations n'est-il pas un ancien du groupe
clandestin juif? C'est vrai! Et pourtant, cela fait
des années que cette radio n!
e procède
à aucune incitation interdite! Ne compte-t-on pas dans les rangs
des dirigeants du pays bon nombre de ceux qui avaient été à
l'époque des activistes du même acabit? Quelle différence y a-il
entre eux? Il y a un danger certain à museler une partie de la
population…

"Rappelons que grâce à l'action d'Arouts 7, les chants en langue
hébraïque ont été remis à l'honneur. Bien plus, cette
radio a contribué à réconcilier la population
nationaliste-religieuse avec les médias. De nombreux
journalistes sortent à présent de ses rangs, ce qui
enrichit les médias et les ouvre à une diversité
d'opinions. On peut se permettre de regretter
l'absence d'Arouts 7 sur les ondes"…

Que pouvez-vous faire ?

Maintenant, c’est aux auditeurs, aux internautes et aux abonnés
à notre newsletter de réagir.
En cliquant sur le banner ci-dessous, vous trouverez de nombreux
moyens d’aider Arouts 7 à continuer de diffuser une
information équilibrée, également par le biais de sa
radio.



D’autre part, nous vous invitons cordialement à vous rendre à
une réunion de soutien à Arouts 7 qui se tiendra mercredi 5
novembre à 20h30, à la synagogue de la Place des Vosges à
Paris. L’entrée est libre.
Prendront part à cette manifestation de solidarité : David Shapira,
directeur des programmes français ; Michel Gurfinkiel,
écrivain et journaliste ; Frederic Encel, politologue ;
Paul Giniewski, écrivain et journaliste ; Clément
Weill-Raynal, journaliste.
Vous êtes conviés à parler de cette réunion autour de vous et à y
participer.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le vendredi 31 octobre 2003 - 19h24:

La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur :

" Ben alors ou etes vous tous? vous faites Ramadan ou quoi?? "

Réponse : On attend les perles pour s'exciter un peu, pour l'instant c'est plutôt morne, et puis on a aussi le droit de se reposer un peu,

Bon Week End à Toutes et à Tous,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le vendredi 31 octobre 2003 - 19h26:

Ils sont devenus des MICRO-NISIENS...LA DOUDA...
On ne les voit plus.....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 31 octobre 2003 - 17h16:

Ben alors ou etes vous tous? vous faites Ramadan ou quoi??

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Chantal (Chantal) le jeudi 30 octobre 2003 - 20h03:

Alain Pierret, ambassadeur de France en Israel, dans les annees 1986-1991, citant, dans ses memoires, Yitzhak Rabin: "Yossi Beylin, c'est le caniche de Shimon Peres" Tout s'explique-t-il?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le jeudi 30 octobre 2003 - 20h04:

Et bien sur L"AP se gargarise...

Le chef d'état-major de l'armée israélienne dénonce la politique du gouvernement Sharon

JERUSALEM (AP) - Le chef d'état-major de l'armée israélienne, le général Moshe Yaalon, a provoqué la colère d'Ariel Sharon en critiquant la politique du gouvernement, notamment les restrictions imposées aux Palestiniens par l'Etat hébreu.

Ce rare désaccord public entre l'armée et le gouvernement israéliens est d'abord apparu dans la presse israélienne, qui publiait mercredi des interviews avec un "haut responsable militaire israélien". Ce dernier arguait que la lutte contre les groupes palestiniens ne pouvait être efficace que si elle était accompagnée de négociations de paix. L'orage a éclaté lorsqu'il est apparu que l'officier anonyme n'était autre que le général Yaalon lui-même.

Le chef d'état-major de l'armée israélienne estime que la politique actuelle menée par le gouvernement israélien ne peut qu'aboutir à davantage de violences. Il argue que les restrictions ne font qu'attiser la haine des Palestiniens envers l'Etat hébreu et alimente justement la sympathie pour les groupes extrémistes qu'Israël entend démanteler.

Moshe Yaalon accuse aussi le gouvernement israélien d'avoir contribué à la démission du pragmatique Mahmoud Abbas en refusant de faire les concessions qui auraient appuyé la crédibilité de l'éphémère Premier ministre palestinien. Pour lui, la décision du Cabinet israélien de "déloger" le président de l'Autorité palestinienne Yasser Arafat n'aurait fait que renforcer le dirigeant palestinien.

Il conteste enfin le tracé de la barrière de sécurité qui s'enfoncerait en Cisjordanie, isolant plusieurs villes et villages palestiniens.

Ces critiques auraient provoqué la colère du Premier ministre Ariel Sharon et de son ministre de la Défense Shaul Mofaz. Des proches du chef du gouvernement estimaient que le général Yaalon était allé trop loin, rapporte le quotidien "Yediot Ahronot". Pour eux, il complique la tâche d'Israël pour justifier sa politique devant les Etats-Unis.

Le ministre de la Défense Shaul Mofaz n'a accepté que des allégements mineurs des bouclages et des restrictions sur les déplacements imposés aux Palestiniens.

Sur les conseils du Shin Beth, le service de sécurité israélien, Sharon et Mofaz, Sharon et Mofaz ont souhaité le maintien de ces restrictions. AP

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le jeudi 30 octobre 2003 - 20h07:

Le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy a considérablement durci le ton jeudi en Corse en annonçant "une nouvelle méthode": la lutte sans merci contre la violence qui passe désormais par le ciblage de nationalistes "mafieux"

Qu'il s'attaque donc aux reseaux islamistes sevissant en metropole par la meme occasion!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 30 octobre 2003 - 19h43:

Quel geste bénéfique la France avait-elle fait pour attirer Israël dans la Francophonie? On a bien vu la conférence de Beirouth où Israël n'était pas invitée. Israël est bien au sein de
l'Anglophonie-américaine.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 30 octobre 2003 - 19h26:

Victoria,
Ma chére, j'ai posè ma candidature, mais voilà ils ne veulent pas de juifs....Ils l'ont devinè à mon nez aquilin....' Je vais me reprèsenter ailleurs, chez les loubas......
En attendant, tu continues à être ma chef PHILARMONIQUE.....Faut être à la hauteur..
Dis à Michkou que je vais learn zi inglish on my ouffice bicause zi linguage is perfect four mi and zi cafards... Ok...? Tank you and let me see to see you see, je crois que je me suis emmèlè les anglais dans mes maux... :) :) :)

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 30 octobre 2003 - 19h20:

Dans ce cas précis, si ce triumvira de félons, complotent dérrière le dos d'un gouvernement légal qui s'use à maintenir sa cohérence, pour des raisons personnelles ou je ne sais quoi...Pourquoi les laisse t'on en vie.....?

Les laches et les traitres sont liquidès chez la Palestiniens...Non????

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 30 octobre 2003 - 18h57:

Je concours avec A Soued pour son commentaire Genève n'est pas Oslo du 30 octobre 2003. Il a su exprimer avec une simplicite succente ce que d'autres pensent sans l'avouer. Mes compliments
"Houta Ou Joraffa Alik"