Par Emma (Emma) le mercredi 26 avril 2006 - 07h36: |
Islam : La guerre totale approche...
LSA Oulahbib
A la façon du dernier attentat en Israël, celui qui vient de se dérouler le lundi 24 avril au soir, à la station balnéaire Dahab en Egypte (plus de cent assassinés, tués ou meurtris profondément sinon dans leur chair du moins dans leur esprit à l'heure où j'écris), mais aussi ceux qui se déroulent en permanence en Irak, sont désormais portés par un espoir, non seulement celui d'être toujours le prélude d'une série à venir, mais d'annoncer la guerre totale à venir...
La bataille d'Alger, voilà la référence, il ne faut pas oublier que c'est le FLN qui a poussé les palestiniens vers ce genre de méthode. Aujourd'hui Al Keida l'amplifie, aidé en cela par l'Adolf iranien...
D'ici en effet un an et demi à deux ans d'après les experts, le voyou détrousseur d'ambassade, qui chantonne en guise de programme tout en ayant des visions, celle, entre autres du Mahdi, pourra au moins préparer sa bombe sale qui pourra tuer plusieurs dizaines de milliers sans que les radiations aient à toucher plus que nécessaire les martyrs potentiels que sont désormais tous les palestiniens, cette chair à canon qui ne coûte rien.
Et tout cela se passe dans une atmosphère irréelle où l'on oublierait presque qu'en 1948 les arabo-islamiques ont refusé la création de deux Etats, qu'ils ont exigé que leur population quitte les lieux, et ont également rejeté la phase finale des accords d'Oslo...Rabin fut assassiné pour rien en fin de compte...
Mais comment faire admettre aux alterislamistes qui, comme Jean Baudrillard dernièrement (Libération du 15 avril), pensent que le totalitarisme islamique s'avère être une lutte contre la mondialisation ? Avec de tels présupposés, la cause est perdue d'avance. Nous sommes bel et bien dans le roman 1984 par cette atmosphère purulente qui fait croire que le Bien est représenté par l'islamo-arabique et le Mal par Israël.
Or, il faut sans cesse répéter que le problème n'a jamais été la question des territoires, mais le fait que les Juifs veulent avoir un Etat qui n'a pas été prévu par le Coran. Ce qui est impossible. Puisque cela prouverait que celui-ci ne dit pas la vérité. Ce qui est impossible. Donc il faut détruire ce non-sens. CQFD. Voilà ce qui se dit de plus en plus fort et le voyou siffloteur, ne fait que dire plus haut ce que toute sa clique pense également sans le dire si clairement.
Le temps de Nabuchodonosor est revenu, celui de Cyrus aussi, mais en pis...
La gauche et la droite en France et ailleurs n'ont pas l'air de comprendre que nous allons vers cet irréparable qui fait résolument basculer les époques : celle que nous vivons a débuté le 11 septembre 2001, son accélération qui vient va nous replonger à l'époque des années 1940.
Aussi, et là je m'adresse plus spécifiquement aux Berbères, faut-il préparer le plus possible les nôtres a se détacher le plus vite possible de l'Islam, et à le dire ouvertement, parce que la guerre qui vient, qui est déjà là, ne reconnaîtra plus les siens. Le temps des subtilités est en train de se refermer, la fenêtre d'opportunité n'a plus que quelques années devant elle...
Par Suggest1 (Suggest1) le mercredi 26 avril 2006 - 00h20: |
Je remets à la demande d’Albert ;(l'est trop gentil!)
La journée de la Shoa
http://terresacree.org/shoa.htm#bas (klic klic)
La critique est facile seul l’art est difficile :
Suggest.1
Par Viviane (Viviane) le mardi 25 avril 2006 - 23h06: |
J'ai bien ri en découvrant cette phrase de David Ben Gourion prononcée dans les années 50 et qui s'adressait aux Egyptiens dans les termes suivants: "Oublions nos dissensions d'il y a 3 000 ans et essayons de vivre en paix."
Dans le même temps, et j'ai moins ri en découvrant ce qui suit : le 11 juin 1956, le ministre de la défense égyptien Abdul Hakim Amer déclarait :
"Le danger israélien ne sera bientôt plus qu'un souvenir. Les troupes égyptiennes sont assez puissantes pour rayer le nom d'Israël de la carte du monde." (extraits de : "Israël, années de lutte, par David Ben gourion aux éditions Flammarion, 1964.)
Les trois attentats qui ont eu lieu entre Dahab et Charm el Cheik ont fait une vingtaine de victimes.
Le journal "Jeune Afrique" nous précise que 20 000 touristes Israéliens se trouvent en Egypte actuellement.
Je rêve depuis l'adolecence d'être prise en photo devant les pyramides. Mais est-ce bien raisonnable?
Par Meyer (Meyer) le mardi 25 avril 2006 - 23h07: |
Israel vient de lancer un satellite israelien d'observation pour surveiller le programme nucléaire iranien.
http://www.haaretzdaily.com/hasen/spages/709278.html
25/04/2006
Israel launches satellite to monitor Iran's nuclear program
By Ora Koren, Haaretz Correspondent, and The Associated Press
Russia on Tuesday launched an Israeli satellite from a cosmodrome in its Far East that the Israel Defense Forces says will be used to spy on Iran's nuclear program, the Russian space forces said.
The Israeli Eros B satellite was launched from a mobile pad at the Svobodny cosmodrome at 8:47 p.m. (1647 GMT), said Alexei Kuznetsov, a spokesman for the military space forces.
About 20 minutes later, the satellite successfully reached orbit, Russian news agencies reported, citing the space forces' press service.
Par Email (Email) le mardi 25 avril 2006 - 21h41: |
Bonjour,
voici la liste des nouvelles conférences que nous avons mises en ligne pour vous ce mois-ci.
Plus de 120 conférences vous attendent... Bonne navigation sur Akadem!
Merci de nous aider à faire connaître Akadem, n’hésitez pas à faire suivre cette lettre d’information à vos amis.
L'équipe d'Akadem,
Voir pour savoir...
Interprétations psychanalytiques de moments bibliques, par Daniel SIBONY
http://www.akadem.org/sommaire/themes/philosophie/4/3/module_621.php
Par Suggest1 (Suggest1) le mardi 25 avril 2006 - 19h00: |
Mouloud Aounit membre du conseil de surveillance d'AOL France ?
AOL signifie autre chose alors ?
Suite à de trop nombreuses réclamations d'abonnés à la newsletter de l'Association Migdal, les clients de la firme AOL ne reçoivent pas tous leurs courriels. Les mails groupés, adressés aux abonnés d'AOL, reviennent en masse (...)
Problèmes techniques ?
Blocage volontaire ?
suggest.1
Par Suggest1 (Suggest1) le mardi 25 avril 2006 - 18h57: |
Albert ?
Merci!
C’est juste pour rappeler le jour de la Shoa !
http://www.liberation.fr/page.php?Article=367554&Template=GALERIE&Objet=65529 (klic klic)
http://www.radio.cz/fr/article/78266 (klic klic)
L’interview de l’année passée toujours aussi actuelle
http://helix.radio.cz:8080/ramgen/rm/FR/05/05/FR050505-16.rm?start=10:56.78&end=14:08.52 (klic klic)
suggest.1
Par Email (Email) le mardi 25 avril 2006 - 19h32: |
Par Mena (Mena) le mardi 25 avril 2006 - 18h46: |
Sinaï : destination touristique, marché d’armes et champ de bataille (info # 012504/6) [analyse]
Par Sami El Soudi © Metula News Agency
Nous avons tous nos défauts et personne ne pourra m’accuser de chercher à cacher les nôtres. Mais les Occidentaux ont une habitude dont la logique m’échappe : lorsqu’ils peinent à appréhender une situation qui ne répond pas à leurs standards, il la transposent dans des termes qui leur sont familiers, quitte, la plupart du temps, à en égarer tout le sens dans cette transmutation. Cependant le Moyen-Orient n’est ni l’Europe ni les Etats-Unis. Il serait grand temps qu’ils le réalisent, et qu’ils cessent de considérer le monde de manière manichéenne, de le voir en termes de gentils qui leur ressemblent et de méchants caricaturaux.
Du Sinaï, où ont eu lieu trois attentats hier, ils ne savent rien. Ce n’est pas un désert, c’est une jungle de sable, un très vaste territoire où tout se négocie, tout s’achète et tout se vend. Et il ne suffit pas d’avoir fait une semaine de plongée subaquatique à Sharm-el-cheikh pour pouvoir sérieusement prétendre connaître toute la péninsule.
Ce désert appartient aux bédouins. Plus exactement à une dizaine de tribus de ces nomades, qui persistent à quadriller le désert, établissant leurs campements au gré des opportunités. Comme le sable entre les doigts, ces hommes-là sont insaisissables, tant au propre qu’au figuré. Au figuré, d’abord, leur vie sociale est régie par des lois ancestrales qui se rient bien de celles des Etats qui se succèdent à dominer le Sinaï. Les occupants et leurs règles passent, eux demeurent avec leurs traditions. Car, même si celles-ci nous paraissent souvent insondables et inutiles, elles se sont avérées adaptées aux conditions de cet environnement très spécial.
Au sens propre, le bédouin du Sinaï est une bête sauvage non domesticable. Il aime qui il veut et il déteste qui le gêne ou qui dénature son espace de vie, le tout en se fichant bien des frontières politiques. Après la guerre de 1967, lorsque les Israéliens chassèrent l’armée de Nasser de la péninsule, quelques réservistes juifs, avant de regagner leurs pénates, bricolèrent pour les bédouins des pompes hydrauliques avec les moteurs de véhicules que les Egyptiens avaient abandonnés dans leur fuite. C’était la première fois depuis Lawrence que quelqu’un se souciait un peu de leur bien-être, et cet acte désintéressé de quelques soldats de l’Etat hébreu contribua à sceller une amitié qui perdure encore.
Mais, à dire vrai, les bédouins n’ont pas d’amis, ils ne comptent que sur eux-mêmes et sur la connaissance qu’ils ont de leur environnement. Et cette indépendance, cette faculté à s’effacer dans l’horizon lorsqu’on les ennuie, provoque l’irritation de tous les gouvernements qui les entourent. A commencer par les gens du Caire, à qui les tsiganes des sables reprochent d’avoir voulu égyptianiser le Sinaï. Vrai que, depuis le retrait des Israéliens, les autorités d’outre Canal de Suez ont développé les stations balnéaires de Sharm, Dahab et celle de Taba, à la lisière d’Eilat. Ils y ont construit de nombreux et imposants hôtels, importé des employés de chez eux et fait venir des touristes en masse, ce qui plaît modérément aux bédouins. Et puis, ils ont rempli la péninsule de leurs soldats, de leurs policiers, de leurs barbouzes, ainsi que de leurs innombrables services de sécurité, aussi nombreux qu’hautement incompétents. Les bédouins ont le sentiment désagréable que les Egyptiens piétinent leurs plates-bandes et qu’on les force à jouer les rôles restants de gentils sauvages pour les charters de vacanciers.
Déjà que le business de prédilection de ces ambulants est la contrebande de tout ce qui a de la valeur, lorsqu’il s’agit de faire déguerpir les touristes et de porter gravement atteinte à l’économie égyptienne, il vous font un prix ! L’assassinat collectif d’hier, dont le bilan officieux se monte à une trentaine de morts et à plus de 150 blessés, est le troisième d’une série meurtrière. Celui de Dahab a, semble-t-il, planté le dernier clou du cercueil de l’industrie du tourisme au pays des Pharaons. En 2004, 34 personnes avaient déjà perdu la vie lors des explosions de Taba et de Ras Shitan, près de la frontière israélienne ; en juillet dernier, les agresseurs islamistes assassinaient 64 personnes à Sharm-el-cheikh, des touristes, pour la plupart d’entre eux.
Pour qui connaît quelque peu le Sinaï, ces actes terroristes n’auraient certes pas pu se produire sans l’assistance rémunérée des nomades. Celle-ci s’est au moins traduite par la fourniture des véhicules, le transport des tueurs et les modalités de corruption des fonctionnaires égyptiens. Des fonctionnaires disposés, de façon fort impressionnante, à tous les points d’accès au Sinaï à partir de la métropole. De plus, de nombreux barrages routiers imposent des contrôles sévères dans toute la péninsule.
"Mais que voulez-vous", me confie un chef de tribu disposant d’un campement et d’une femme sur la côte méditerranéenne et des mêmes avantages sur la Mer Rouge, "ils sont trop nombreux et trop mal payés. Les forces de sécurité égyptiennes comptent des millions de membres inutiles", ajoute le cheikh, "avant que de jouer un rôle sécuritaire, ils remplissent une fonction politique : ils sont, avec leurs familles, les remparts vivants du président Moubarak et de son régime pourri. Mais pour l’efficacité, on peut mieux faire", me confie mon hôte dans un franc sourire sous sa moustache rusée, m’entraînant dans un entrepôt d’armes et de munitions bien alignées. "Toutes les armes de toutes les organisations palestiniennes viennent soit d’ici, du Sinaï, soit elles leur sont livrées par des gangsters juifs qui les volent à Tsahal (il dit Tsahal), ou qui les achètent à des soldats peu scrupuleux". Puis il joue au vendeur, et moi à l’acheteur fictif : "puis-je vous proposer des lance-roquettes antichars de fabrication yougoslave d’excellente qualité, des mortiers issus des surplus de l’armée roumaine, avec munitions, et des explosifs de base qui servent à fabriquer les fameux Qassam ; ce que nous n’avons pas en stock et qui ne se trouve pas dans la péninsule peut vous être livré dans un délai d’un mois…", termine le cheikh dans un grand éclat de rire.
Le Sinaï est sans doute l’un des endroits du globe où les armes sont les plus avantageuses. Le mois dernier, pour vérifier le sérieux des fouilles effectuées au point de passage de Rafah, j’ai acheté à El Arish, en Egypte, quinze grenades-jouets grandeur nature, un fusil à plombs en bois et métal, ainsi que 20 kilos de billes de fer, qui servent entre autres à la fabrication des ceintures explosives mais qu’un parent m’avait demandé de lui ramener pour son industrie très pacifique.
A vouloir passer seul, j’aurais pris des risques. Avec mon sésame bédouin, ce fut un jeu d’enfant. Côté égyptien, j’attends un peu en retrait pendant que mon guide discute avec un sous-officier égyptien. Il revient vers moi, me disant : "20 dollars, ce type touche un salaire équivalent à 35 dollars mensuels, comment veux-tu qu’il refuse…". Nous passons en plein milieu des fouilleurs à l’uniforme beige clair des soldats de Moubarak, personne ne lève les yeux sur nous. Côté palestinien c’est encore plus simple, un officiel nous tire par la manche et nous passons derrière le terminal dans lequel les potiches palestiniens et leurs instructeurs européens passent au peigne fin les bagages de ceux qui n’ont rien à cacher. L’officiel ne peut résister à la tentation de nous montrer par une fenêtre un contrôleur italien qui a les deux bras enfoncés dans le contenu de la valise d’une grosse femme entourée de ses quatre enfants. Il marmonne quelques insultes désobligeantes à l’égard de ces non croyants et de leur naïveté incommensurable. Voilà : 9 minutes pour passer la frontière de Rafah avec mon chargement de fausses armes. 9 minutes et 70 dollars de commissions en tout !
Les vraies armes parviennent dans les mains des dizaines de milices de Gaza qui empêchent toute évolution vers une vie décente. Dans les sables du Sinaï, les délégués des différents mouvements islamistes sont aussi libres que des poissons dans l’eau. Dahab n’est pas le dernier assassinat collectif qui s’y perpètre, Hosni Moubarak étant absolument incapable d’exercer le moindre contrôle efficace de son territoire.
Une chose encore : Al-Quaëda, ça n’existe pas… Il s’agit d’un nom fourre-tout qui sert aux media occidentaux empruntés ainsi qu’à leurs gouvernants apeurés à ne pas avoir à parler des assassinats collectifs de civils perpétrés par des islamistes ou des organisations islamiques à longueur de journées. Ici, au Moyen-Orient, où les risques sont autrement plus élevés, le président palestinien et le roi de Jordanie les appellent par leurs noms. De plus, ils qualifient les auteurs de ces assassinats de terroristes et non d’activistes [1] ou de kamikazes, comme en France, par exemple, qui sont synonymes d’impostures factuelles.
Il y a des dizaines de groupes et d’organisations islamistes dans le monde et surtout dans la région. Le plus souvent, ils ne disposent pas des moyens d’effectuer des synchronisations stratégiques ou tactiques entre eux. Ben Laden existe, Abu Musab al-Zarkawi également, mais ils ne commandent pas à une armée homogène. L’unification de ces fanatiques est toutefois absolument inutile pour réaliser les buts qu’ils poursuivent. Tous, comme le Hamas, le Hezbollah et le Jihad Islamique Palestinien, par exemple, sont en effet les émulations de la congrégation des Frères musulmans en Egypte. Une congrégation qui a fixé les objectifs des musulmans en proposant sa vision du Coran : l’islamisation de la planète par tous les moyens possibles, y compris l’assassinat et le terrorisme.
On ne vous l’a peut-être pas dit ailleurs, mais hier, c’était aussi la Pâque des chrétiens coptes d’Egypte, que les islamistes du Caire et d’Alexandrie tolèrent de moins en moins. Et puis c’était la Sham el-Nessim, la fête du printemps, qu’on célébrait en Egypte avant l’Egire, du temps où le pays du Nil était l’une des plus grandes nations de l’humanité.
Note :
[1] En français dans le texte de Sami El Soudi.
Par Claudia (Claudia) le mardi 25 avril 2006 - 18h37: |
Communauté juive: "refuser que les victimes de la Shoah restent anonymes"
La communauté juive de France a lancé un vibrant appel à la "restitution de l'identité" des victimes de la Shoah, dont la moitié restent anonymes, lundi soir à Paris, lors d'une cérémonie de lecture des noms de juifs déportés de France.
Sous une pluie battante, devant le Mur des Noms, des personnalités telles Simone Veil, présidente de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, et Roger Cukierman, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), ont rappelé "l'importance du nom" que les bourreaux ont voulu "remplacer par des numéros".
"Nous avons refusé que les victimes restent anonymes, a déclaré Serge Klarsfeld, président des Fils et filles de déportés juifs de France, au Mémorial de la Shoah qui avait été inauguré en janvier 2005.
Sur les six millions de juifs d'Europe victimes de la Shoah, trois millions n'ont toujours pas été identifiés, tandis que l'identité des quelque 76.000 déportés de France entre 1942 et 1944 est connue dans son intégralité.
"Pour que l'histoire ne se répète pas, pour que la France soit la France que nous aimons, généreuse, tolérante, il faut qu'elle maintienne les valeurs de la République dans une condamnation sans faille du racisme et de l'antisémitisme", a souligné Roger Cukierman.
A la lueur de six bougies allumées par des enfants, des descendants de déportés de France ont commencé à égréner des noms de victimes.
Cette lecture publique des noms, ininterrompue nuit et jour durant près de 24 heures, est organisée chaque année depuis 1990 à l'initiative du Mouvement juif libéral de France (MJLF), en commémoration de la Shoah (Yom HaShoah en hébreu).
Elle s'effectue selon un cycle de deux ans, car même en 24 heures sans interruption on ne peut lire que quelque 36.000 noms.
C'est la première fois que cette lecture se tient au Mémorial de la Shoah qui accueillera mardi quelque 300 lycéens.