Par Bebel (Bebel) le mercredi 12 novembre 2003 - 14h48: |
Merci a Hajkouflette et Albert pour leurs bons voeux.
Des que j'aurai une photo je la mettrai dans le carnet rose.(bli neder)
Line
Par Djlachem (Djlachem) le mercredi 12 novembre 2003 - 07h14: |
"Dans leur secheresse, les chiffres ont montre que plus nous exercions de pression sur les Palestiniens, plus les attentats se multipliaient. Plus nous etoffions notre presence dans les territoires, plus les pertes augmentaient" nous dit Amram Mitzna via Citron.
Mouais... En quelque sorte, plus les attentats se multipliaient, plus les pertes augmentaient.
Peut-être que M. Mitzna nous apprendra prochainement que l'eau, ça mouille, que le feu, ça brûle et que le vent, ça souffle.
Merci, M. Mitzna.
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 12 novembre 2003 - 03h44: |
Webmaster du tout nouveau site d'Alexandre del Valle, j'ai le plaisir de vous informer de l'ouverture de celui-ci.
http://www.alexandredelvalle.com
Je vous joint également le dernier article d'Alexandre del Valle, publié dans le Figaro du 8/9 Novembre.
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Article publié dans : Le Figaro 8-9 /11/2003, p12
Le concept d'islamophobie au service de l'ultragauche ?
Non au terrorisme intellectuel !
Alexandre del Valle et Rachid Kaci le 09/11/2003
"Le gouvernement Raffarin a présenté un projet de loi sur l’immigration qui , d’aprés M .Tubiana, président de la Ligue des droits de l’homme, " n’aurait pas d’équivalent depuis 1945 ". Rien que cela !
Fidèles à leurs méthodes, la plupart des associations dites "antiracistes" ont immédiatement manifesté leur opposition au projet de loi-pourtant largement amendé, et à certains égards, plus souple que ceux des gouvernements de gauche-sur fond de " Sarkozy-Le Pen , même combat ".
Plus recemment encore, la vie politique et médiatique française était focalisée sur l’affaire des deux jeunes filles voilées (Alma et Lila) du lycée d’Aubervilliers, défendues par leur père, par ailleurs avocat du Mrap, le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples, structurellement lié au Parti communiste. Pratiquant un antiracisme pour le moins sélectif, le Mrap ou la Ligue des doits de l’homme s’indignent bien plus et bien plus souvent des dérives "islamophobes " que des tout aussi réelles dérives " francophobes " et " judeophobes "; le racisme étant supposé être toujours le fait des Occidentaux et frapper les seuls extra- européens, en particulier musulmans.
Parallèlement, des trotskistes et l’une de ses succursales, Ras l’Front, tentent de discréditer, au moyen d’une campagne mediatico- politique de dénigrement et de diabolisation (envoi de "rapports" présentés comme universitaires, études de pseudo- experts sur le " racisme "et " l’islamophobie ", etc..), tous ceux qui ont osé, depuis quelques années, dénoncer la progression du totalitarisme islamiste en France et la menace grave que constitue, pour la République ,la convergence de trois grands fléaux totalitaires : "rouge -bruns-vert ".
Face à ces tentatives d’instaurer un climat de terrorisme intellectuel en France et visant à empêcher le gouvernement de mettre en place une politique responsable de contrôle des flux migratoires , plusieurs remarques s’imposent.
Premièrement, que des associations d’extrême gauche plus ou moins revêtues de l’habit légitimateur et sympathique de la lutte antiraciste, des collectifs de cinéastes, des " fronts anti-Le Pen " ou autre Mrap expriment ouvertement et avec le concours des grands médias et de nombre d "’autorités morales" progressistes, leur mépris des lois républicaines, leurs appels à la "désobéissance civile " ou a la " révolution permanente ", constitue déja en soi une menace pour la République car l’objectif des "fascistes rouges " n’est ni plus ni moins que d’empêcher le bon fonctionnement de la démocratie parlementaire.
Mais que la plupart des hommes politiques et des intellectuels en vogue plient systématiquement devant les paravents "antiracistes "de la LCR, du PCF ou d’autres organisations extrémistes ayant pour unique but de déstabiliser l’ordre établi est encore plus déconcertant, et surtout d’après nous, intolérable.
Ensuite , pendant que le gouvernement se laisse intimider par les oukases " rouge-vert " en jurant avec l’extrême gauche et les théocrates islamistes qu’ils ne sont pas "islamophobes" ( terme récupéré par l’extrême gauche " antiraciste " et les islamistes pour empêcher toute critique de l’islam et des islamistes ), de nouvelles menaces totalitaires , occultées celles-la , ne cessent de croître et de faire des émules dans les banlieues.
Ces nouvelles haines, portées à la fois par l’extrême gauche révolutionnaire et antisioniste, l’extrême droite xénophobe, et l’islamisme anti-occidental, convergent dans une même détestation d’Israël, de l’Amérique, des juifs , et de l’Occident libéral et capitaliste en général.
Les étrangers, comme les adeptes de l’orthodoxie musulmanes, méritent le respect, la compassion et toute notre générosité, mais cela à condition qu’ils respectent nos lois.
Tout doit en effet être fait pour que l’intégration des fils de l’immigration se réalise harmonieusement et de faconhumaine ; mais l’installation, en France chaque année, de milliers d’immigrés arrivés de facon illégale ne présage pas une intégration réussie.
Maîtriser les flux migratoires et favoriser la natalité des citoyens francais ( pour un certain nombre d’entre eux musulmans) plutôt que de vouloir régler le probléme de la Sécurité sociale par l’importation illimitée d’étrangers extra-européens souvent difficilement intégrables ; vouloir endiguer la menace islamiste en refusant l’asile politique aux agitateurs obscurantistes recherchés par les gouvernements des pays musulmans eux-mêmes ; exiger des nouveaux venus qu’ils respectent les principes fondateurs de la République, à commencer par la laïcité, la dignité des femmes, l’égalité entre les religions, y compris le droit d’abjurer, préférer une immigration productive et constructive à une immigration d’allocataires et de peuplement n’ont rien à voir avec des resurgences " vichystes"," racistes"," fascistes" ou "xénophobes".
Il est grand temps de ne plus se laisser impressionner .
La stratégie des différentes vitrines "antiracistes" et "progressistes "des organisations"rouges"et "vertes" consiste à esquiver puis empêcher tout débat équilibré sur ces thémes en pratiquant ce que Léo Strauss a appelé fort justement la "reductio ad Hitlerum".
La réponse des défenseurs de la République et des citoyens responsables doit consister à privilégier une stratégie offensive visant à révéler la nature et les origines totalitaires des accusateurs et des moralisateurs.
Plus de dix ans aprés la chute du mur de Berlin, il est temps d’engager en France et en Europe, à l’instar de ce que qui a été fait aux Etats-Unis, le procès intellectuel du communisme, et des idéologies totalitaires d’extrême gauche. Un procés d’autant plus actuel que partout des nouvelles postures , des Brigades rouges italiennes à Carlos et aux franges ultra- radicales du mouvement altermondialiste, les fascistes rouges tentent de recycler leur combat anti occidental et antiétatique dans la promotion du fascisme islamiste.
Nous avons dit dans un article précédent que les" valeurs de la République ne sont pas négociables" que " ce n’est pas à la République de s’adapter à l’islam , mais à l’islam de s’adapter à la République". Il s’agit désormais d’en finir avec le terrorisme intellectuel et de cesser d’avoir peur de son ombre.N’ayez plus peur d’être taxés d’incorrection politique .
La "République des lâches " doit laisser la place à la " République des citoyens libres".
Par Email (Email) le mercredi 12 novembre 2003 - 03h37: |
Bon, l'Italie est antisémite, c'est établi. La France osera-t-elle commander un tel sondage? C'est vrai que les résultats risqueraient de déranger notre ex-futur Prix Nobel de la Paix qui se contorsionne pour nous expliquer les racines musulmanes de l'Europe en se défendant d'avoir toute arrière pensée.
Et l'UE? Le commanderait-elle ce sondage? Ouh là! C'est que ça risquerait de dévaloriser le précédent sondage qui montrait que 59% d'européens estimaient qu'Israël menace la paix dans le monde. C'est que la version officielle est que les européens exprimaient, là, leur analyse politique. L'antisémitisme n'y avait rien à voir, bien sûr.
Bien sûr...
JP Chemla
From: Moise Rahmani <moise.rahmani@sefarad.org
Merci a notre estimée consoeur, l'Arche :
Le quotidien italien Corriere Della Sera vient de publier les résultats d'un sondage sur Israël et les Juifs.
17% disent préférer que l'État d'Israël n'eusse pas existé.
14% disent que les Juifs devraient tous quitter Israël et donner leurs terres aux Palestiniens.
22% pensent que les Juifs (d'Italie) ne sont pas de véritables Italiens.
8% voudraient que les Juifs quittent l'Italie.
20% croient que la religion juive est intolérante.
11% pensent que les Juifs mentent lorsqu'ils affirment que les nazis en ont exterminé des millions dans des chambres à gaz.
51% trouvent que les Juifs ont une mentalité et un mode de vie différents du reste des Italiens.
39% croient que les Juifs entretiennent un rapport particulier avec l'argent.
37% croient que les Juifs soutiennent de manière subversive la politique d'Israël.
38% pensent que les Juifs doivent cesser de faire les victimes de l'Holocauste et des persécutions d'il y a plus de 50 ans.
Le Corriere conclut que le jugement négatif à l'égard d'Israël est attribuable surtout à l'ignorance et la désinformation sur la réalité des événements, mais également à des sentiments antijuifs.
Par Citron (Citron) le mercredi 12 novembre 2003 - 02h24: |
un excellent article on ne peut pas passer sans le lire
Un acte historique du chef d'etat-major
dimanche 2 novembre 2003 par Amram Mitzna
Haaretz
http://www.haaretz.com/hasen/spages/356088.html
Depuis trois ans, le gouvernement israelien mene une "guerre sans merci contre le terrorisme" par l'intermediaire de l'armee et des services de securite. Au cours de ce "combat", Tsahal est revenu dans les villes palestiniennes, a etabli des checkpoints a travers toute la Cisjordanie, mis des villes entieres sous couvre-feu, isole Yasser Arafat, demoli des maisons et liquide des chefs terroristes. Pourtant, le terrorisme s'est accru, les pertes (des deux cotes) ont continue a augmenter, la haine entre les deux nations s'est appofondie et l'Etat d'Israel, comme son voisin palestinien, a continue a decliner.
L'economie a commence a s'effondrer, et avec elle la resilience de la societe qui avait rendu possible la creation d'Israel et sa resistance face aux menaces exterieures qui le menacent depuis qu'il existe. L'equilibre demographique s'inverse, et une menace concrete pese sur Israel en tant que democratie. Des craquements apparaissent meme au sein de l'armee, symbole de l'unite nationale, qui est toujours restee en dehors des dissensions politiques. Israel a plonge dans des abysses sans precedent, dans tous les domaines, mais le Premier ministre et ses fils donnent le ton et invoquent le droit de se taire (allusion aux scandales financiers qui impliquent A. Sharon, ndt).
Depuis trois ans, on essaie de faire taire les critiques avec le bon vieux slogan "silence, on tire", et l'argument selon lequel la critique porte atteinte a la securite de l'Etat. La conception, que Sharon et Shaul Mofaz (d'abord chef d'etat-major, puis ministre de la Defense) ont developpee avec beaucoup de talent, dit que toutes les organisations palestiniennes, et en fait la population palestinienne tout entiere, soutiennent le terrorisme et veulent la destruction d'Israel ; que l'Autorite palestinienne ne constitue pas moins un ennemi que le Hamas et le Jihad islamique, et qu'en consequence, il ne faut pas parler avec elle ni encore moins la croire ; et que le terrorisme peut etre vaincu par la force militaire.
L'echec de cette conception est apparu des le debut des combats. Dans leur secheresse, les chiffres ont montre que plus nous exercions de pression sur les Palestiniens, plus les attentats se multipliaient. Plus nous etoffions notre presence dans les territoires, plus les pertes augmentaient. Et plus nous nous en prenions a Arafat, plus il se renforcait. Pour toute personne sensee, il etait evident que la politique de Tsahal dans les territoires affectait la securite des citoyens israeliens et etait contraire aux interets de l'Etat. Loin de vaincre le terrorisme, cette politique (bouclages, checkpoints, liquidations) cree du terrorisme. Elle alimente la haine d'Israel, isole le pays sur le plan international et represente un danger pour son existence.
Neanmoins, a la fois le gouvernement et l'armee ont continue a fonctionner a partir de cette conception erronee selon laquelle le terrorisme ne peut etre vaincu que par la force militaire. Comme saisis de stupeur, les ministres ont suivi la conception Sharon-Mofaz et n'ont manque aucune occasion de torpiller toute tentative de sortir Israel du bourbier ou Sharon l'avait plonge, apres s'etre sorti, meurtri et ensanglante, du bourbier libanais dans lequel l'avait plonge Sharon vingt ans plus tot.
La crtique de la politique du gouvernement qu'a emise la semaine derniere le general Moshe Yaalon, chef d'etat-major, a constitue une surprise, non seulement dans sa forme, mais surtout a cause du fait que jusqu'ici, il adherait a la meme conception, et executait loyalement les ordres du niveau politique. La future commission d'enquete qui se penchera sur cette periode exposera certainement au grand jour l'ampleur de l'echec auquel nous assistons aujourd'hui, mais il ne fait aucun doute que les remarques du chef d'etat-major, qui a revele de la plus claire des facons le fosse qui existe entre la conception qui a guide Tsahal et la realite de la situation, constitueront un tournant majeur.
La methode qu'a choisie le chef d'etat-major peut etre critiquee, mais le moment est venu de s'occuper de l'essentiel, et l'essentiel est que, pour la premiere fois, le commandant en chef de l'armee admet que Tsahal ne peut pas vaincre et que la politique poursuivie par le gouvernement met en danger la securite d'Israel en lui causant des dommages irreversibles au niveau de la societe, de l'armee et de l'Etat. L'exemple le plus flagrant est le desaccord entre Tsahal et le ministre de la Defense a propos du trace de la cloture de securite. L'armee a propose une veritable cloture de securite, alors que le ministre de la Defense est guide par des considerations politiques.
Meme si le public israelien n'exprime pas sa gratitude envers le chef d'etat-major pour son acte tres important, l'Histoire, elle, le fera. Contrairement au premier ministre, qui est coupe de la nation, qui ne ressent pas la douleur et ne recoit pas le message qui dit la profondeur du desespoir, et au ministre de la Defense, qui melange politique et securite, le chef d'etat-major regarde les meres de ce pays droit dans les yeux. Il sait qu'il n'existe aucune justification valable a la mort de leurs enfants a Netzarim (colonie isolee de la Bande de Gaza, ndt). Il sait que leur presence la-bas ne contribue en rien a la securite, et il commence a comprendre que d'ailleurs, nous n'avons rien a y faire. Contrairement au premier ministre et au ministre de la Defense, qui traitent les soldats de Tsahal comme des pions sur un echiquier, le chef d'etat-major se soucie d'eux. Ecoutez attentivement ce qu'il dit.
L'Etat d'Israel peut vaincre le terrorisme palestinien, mais seulement si le combat est accompagne d'un processus politique. Une separation d'avec les Palestiniens en accord avec eux, qui rendra possible la re-creation d'Israel en tant qu'Etat juif et democratique a l'interieur de frontieres reconnues pas la communaute internationale toute entiere, sera une veritable victoire, non seulement sur la menace terroriste, mais aussi sur la menace demographique. La voie militaire a echoue, et le moment est venu de revenir a la voie de la negociation. Le pacte de Geneve prouve que c'est possible. L'Histoire ne pardonera pas a ceux qui choisissent d'envoyer nos enfants mener une guerre inutile
Par Mena (Mena) le mercredi 12 novembre 2003 - 03h32: |
L’accoutumance au pire (info # 011111/3) [analyse]
Par Guy Milière © Metula News Agency
Travaillant à élaborer la version française du site de l’islamologue américain Daniel Pipes, je suis tombé sur un article particulièrement grave et profond, traitant de l’accoutumance mentale à l’antisémitisme, qui se met en place en divers points de la planète. Pipes note que tout se passe “comme si” des gens normalement sensés se mettaient soudain à écrire des horreurs, la conscience tranquille et l’âme paisible. Tout se passe, ajoute-t-il, comme si on créait un contexte si abject, si propice à la justification du crime, que l’abominable, le Crime des Crimes, pourrait se produire à nouveau sans susciter d’indignation.
Il cite à l’appui les molles, très molles réactions européennes au discours récent de Mahathir Muhamad à Kuala Lumpur, où celui-ci évoquait, devant un auditoire enthousiaste, la nécessité de s’occuper des juifs restants après la Shoah, afin, peut-être, de finir le travail.
Pipes dit aussi que si des attaques massives et abominables se produisaient contre Israël et prenaient la dimension d’une seconde Shoah d’un nouveau genre, le monde, l’Europe en tous cas, ne bougeraient vraisemblablement pas. Dès la lecture de l’article, j’ai pensé avec effroi que Pipes avait probablement raison, mais j’ai essayé aussitôt de chasser de moi cette pensée... Et puis, un sondage m’est arrivé en plein visage. Un sondage sérieux. Commandité par l’Union Européenne. On avait demandé aux gens en Europe quel était le pays qui incarnait la plus grande menace pour la paix mondiale. La réponse, à plus de soixante pour cent des opinions sondées était : Israël, Israël, bien sûr. Si Israël disparaissait de la surface de la terre, la paix mondiale serait pour demain, c’est évident, non ? Suivaient Israël, dans le sondage, les Etats-Unis, escortés de l’Iran et de la Corée du Nord. Ah, si les Etats-Unis disparaissaient en même temps qu’Israël, tout ne commencerait-il pas à aller pour le mieux dans le meilleur des mondes ? Sans aucun doute. Les islamistes du monde entier se transformeraient en agneaux, Bachar El Assad et le colonel Kadhafi aussi...
Divers dirigeants européens, gênés par les résultats du sondage, se sont empressés de déclarer que celui-ci ne reflétait pas les positions de l’Union Européenne. Je comprends qu’ils se soient sentis gênés, mais peut-on les croire, quand on entend leurs déclarations sur Israël ou sur les Etats-Unis ? Peut-on les croire, dès lors qu’ils ne semblent pas choqués par la façon dont se trouve fabriquée l’information sur le Proche-Orient, sur la situation en Irak, sur l’administration Bush ?
Voici quelques jours, sur Canal Plus, la chaîne qui se fait un point de déshonneur de se montrer plus abjecte qu’Arte, un reportage sur la construction du mur de protection érigé par Israël pour éviter les actes terroristes venait encore montrer la souffrance de ces pauvres Palestiniens, victimes du bourreau juif sioniste. Pas une phrase, pour évoquer la douleur autrement plus concrète, de ceux qui ont perdu une épouse ou un enfant dans un attentat qui n’a laissé que des lambeaux de chair sanguinolents. Pas un mot pour évoquer les rescapés qui doivent vivre mutilés, parfois atrocement. Pas un mot pour dire que la seule chose que n’a cessé de demander le gouvernement d’Israël, depuis trois ans, est la cessation des actes terroristes afin qu’on puisse vraiment commencer à parler de paix. Pas un mot non plus pour parler de ceux qui affament concrètement les populations arabes de Cisjordanie et de Gaza, les fanatisent, et les transforment en bombes humaines. Voyons : s’il fallait dire que les “Palestiniens” sont victimes surtout de ceux qui les instrumentalisent au service de dogmes totalitaires, on ne serait plus sur une chaîne de télévision française.
Après avoir regardé le reportage de Canal, je suis allé voir le nouveau film de Woody Allen. C’est censé être une comédie. Le film est remarquable d’intelligence, de lucidité et d’humour, mais davantage que propice au rire, je l’ai trouvé poignant. D’un bout à l’autre du film revient, comme une musique de fond, le thème de l’antisémitisme, qui remonte sur la planète, celui de la banalisation de la Shoah, l’idée que les juifs devaient se préparer au pire et avoir sous la main une panoplie de survie en situation d’urgence.
On s’est esclaffé autour de moi à l’évocation de l’ombre des camps de concentration nazis par un petit juif américain sexagénaire. Moi, je ne me suis pas esclaffé. J’ai repensé à l’article de Daniel Pipes. Nul n’est mieux placé que des juifs pour discerner quand le pire est susceptible de revenir. En sortant du cinéma, j’ai vu que le film de Tarnero et Bensoussan, “Décryptage”, était disponible en vidéo et en DVD. Au dos du film, une citation de Télérama disant que le film invite au débat et une autre, de Libération, disant qu’il s’agit d’un outil de désinformation. A vous de juger, est-il ajouté. C’est tout jugé : moi qui ai vu “Décryptage” et l’ai jugé en retrait par rapport à la réalité, je dis que Libération se tient tout au bord de l’antisémitisme qui monte et fait partie des outils de l’accoutumance au pire. Est-ce voulu ? Est-ce conscient ? J’aimerais une réponse, mais je sais que je ne la recevrai pas.
Par Albert (Albert) le mercredi 12 novembre 2003 - 03h26: |
Citron, l'amoureux voilà ta chanson.. Singe écorchè et épluchè
Si tu me réponds je te ratatine..OK...?
ana médébiya...
ana oualla madébiya....ana madabiya
ana madabiya niich bkifi fi horriya ana madabiya.
nHeb ala tofla...
n'heb ala tofla...n'gabelha lila fi hafla ou naadi maaha..lila al ghafla...ou hattahad ma yofton biyaaaa ana madabiya
Tiens la voila remanier....Yè kard..
'....Hénè....§§§§§§.... HénEEEEEE....§§§§§....Yé ness élli tssan'touni...Yè LILIIIII....§§§§§...Yè lili.....§§§§§....Alla hobi....§§§.... Eh'nè mé'dèbiyèEEEEE....§§§§....Médébiyè nya'iche fi zémanIIIII....§§§§....Yè hobi...IIIII....§§§§Yè hobi...§§§§... Bquiffi fi horr'tIIII...§§§§....En hob tofla ghai'bè ââliyè yè narri...§§§§....En hab en gé'bèla fi mnè'mi oullè fi haf'lè...§§§...Ness'èb mââ'ya ââla guaf'lè méghir had mè fiq biyè...§§§§....Taht él séniè fél guébè....§§§§§.....Byd mél krouda élli kiffèk....§§§§...
Moi....Mes bonnes gens, écoutez moi,O ma nuit sur mon amour, j'ai envie de vivre mon temps,mon amour
avec un grand kif,libre l'amour d'une jeune vierge qui est loin de moi, o mes jours, je voudrais la rencontrer dans mes rêves ou dans une soirèe et m'étaler avec elle avec surprise à l'abri des intrus, sous un palmier dans un oasis, loin de tous ses singes comme toi...§§§§
Breitou peut tout faire pour vous.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 12 novembre 2003 - 01h36: |
A Citron,
Eli Eynou Fenouah Yebdah Mesbah,
Majrouh Fi Mechken Erouh Latbib Msida
Jrali. Matra Rdia't Elbezoul, Outchan Ou
Omou Mrida
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 12 novembre 2003 - 01h30: |
A Citron.
Hahla Wasahla,
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 12 novembre 2003 - 01h20: |
Chantal,
Pourriez-vous nous indiquer ou trouver lesdites declarations de Mikis Theodorakis ?
Ca vaut surement son pesant de cacahuetes (ou d'olives a la grecque ...)
Par Albert (Albert) le mercredi 12 novembre 2003 - 01h05: |
Gaston ne devait pas avoir le télèphon qui a sonnè...
Par Anonyme (Anonyme) le mercredi 12 novembre 2003 - 00h10: |
PETITE HISTOIRE PHILOSOPHIQUE QUI GAGNE A ETRE LUE
Gaston est gérant dans la restauration à Paris. Il est toujours de bonne
humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande
comment il va, il répond toujours : "Si j'allais mieux que ça, nous serions
deux : mon jumeau et moi ! ".
Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur
job pour le suivre d'un restaurant à un autre pour la seule raison qu'ils
admirent son attitude. Quand un employé file du mauvais coton, Gaston est
toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.
Curieux, je suis allé voir Gaston un jour pour lui demander : "Je ne
comprends pas. Il n'est pas possible d'être toujours positif comme ça,
partout, tout le temps. Comment fais-tu ? ".
Et Gaston de répondre : "Tous les matins à mon réveil, je me dis que,
aujourd'hui, ou bien je choisis d'être de bonne humeur, ou bien je choisis
d'être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d'être de bonne humeur. Quand
il arrive quelque incident déplorable, ou bien je choisis d'en être la
victime, ou bien je choisis d'en tirer une leçon. Quand quelqu'un vient se
plaindre à moi, ou bien je choisis d'entendre sa plainte, ou bien j'essaie
de lui faire voir le bon cote de la chose".
"Mais ce n'est pas toujours si facile ! ", lui dis-je.
Et Gaston d'enchaîner: " La vie, c'est une question de choix. On choisit sa
façon de réagir aux situations. On choisit de quelle façon les autres
peuvent nous influencer ou non. On choisit d'être de bonne humeur ou de
mauvaise humeur. On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous
convient."
Plusieurs années plus tard, j'entends dire que Gaston a fait incidemment ce
qu'on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée
la porte arrière du restaurant un bon matin et il s'est fait surprendre par
trois voleurs armés.
En essayant d'ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il
n'arrivait pas a faire la combinaison numérique. Un des intrus a paniqué et
a tiré. Heureusement pour Gaston, les choses n'ont pas traîné et il a été
vite transporté à l'hôpital.
Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs,
Gaston a reçu son congé de l'hôpital avec les débris de la balle qu'on
n'avait pas réussi à lui extraire.
J'ai revu Gaston six mois après l'incident et je lui ai demandé comment il
réagissait à tout cela. "Si j'allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux
: mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices? ".
Je n'ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui était
passé par la tête au moment du vol. Et Gaston de dire : " La première chose
qui m'est venu à l'idée est que j'aurais dû fermer à clef la porte arrière
du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m'être fait
descendre,je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien
de vivre ou bien de mourir. Et j'ai choisi de vivre."
"T'as pas eu peur ? " lui dis-je.
Et lui de répondre: "Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n'ont pas
cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc
opératoire de l'hôpital, j'ai vu l'expression faciale des médecins et des
infirmières et ,là, j'ai eu peur. J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un
homme mort et j'ai su que je devais agir vite ! ".
"Et alors, qu'as-tu fait ? ".
"Eh bien, mon ami, il y avait une grosse infirmière qui me bombardait de
questions ; elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose. J'ai
dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce
que j'allais leur dire. J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit
que j'étais allergique aux balles de fusil ! Quand ils ont eu cessé de
rire,je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre et qu'ils feraient
mieux de m'opérer comme si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort !
".
Gaston a survécu grâce à l'expertise des médecins, mais aussi grâce a son
attitude étonnante ! J'ai appris de lui que, tous les jours, nous devons
faire un choix : ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s'y
emmerder tant qu'on veut. La seule chose qui nous appartient et que personne
ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes.
Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de
la petite bière.
Maintenant, c'est a toi de choisir :
1- ou bien oublier ce message et le faire disparaître ;
2- ou bien en tirer une leçon de vie et l'acheminer vers des
personnes qui te sont proches.
J'ai choisi la deuxième option et j'ose croire que tu en feras autant.
Sans doute une question d'attitude !
Par Albert (Albert) le mercredi 12 novembre 2003 - 00h20: |
D'où la disparition de la civilisation héllènique plus portèe aujourd'hui sur les frasques pédèrastiques, ou valeur inter-fessière.Chantal. Quand à THEO, il est en mal de pub.
Par Chantal (Chantal) le mardi 11 novembre 2003 - 22h45: |
Les nouvelles declarations de Mikis Theodorakis sur le peuple d'Israel qui serait "la source du Mal alors que le peuple grec est plus calme et moins agressif grace a leur longue Histoire"! Qui voudra bien rappeler a Monsieur certains faits, comme la ligne de demarcation sur l'ile de Chypre?