Par Sarel (Sarel) le lundi 01 mai 2006 - 19h18: |
Au cours d'une visite d;un membre de famille
avec son conjoint habitants en france on a parle du crime du malheureux Halimi j'ai ete surpris de leur reaction .
Pourquoi il est sorti avec une etrangere ?!
Il a cherche une aventure ? ! et toute une suite de ragots. Mais pas question de sauvagerie
Leur facon de voir les choses m'inquiete .
Elle est restee ancree chez le juif . Il ne faut pas brusquer les voisins. On se condamne
pour paraitre plus conciliant.
La galout n'est pas facile a effacer
Arrivera-t-on a l'arracher du juif ?
Matiere a reflexion !
Chalom sarel
Par Maurice (Maurice) le lundi 01 mai 2006 - 15h42: |
Mise au point de Pierre-André Taguieff suite à sa mise en cause dans un livre
Cécilia Gabizon (journaliste au Figaro) et Johan Weisz (journaliste du site Internet Proche-Orient.info et de Radio Shalom) viennent de publier OPA sur les Juifs de France. Enquête sur un exode programmé 2000-2005, chez Grasset.
Ce livre fait l’objet d’une forte médiatisation puisque certaines « bonnes feuilles » ont été publiées dans Marianne du 22 avril 2006 et Le Point du 27 avril 2006.
Suite à la publication de ce livre, Pierre-André Taguieff, directeur de recherche au CNRS, mis en cause dans l’ouvrage, a été sollicité par Le Point pour réagir à ce livre.
Le Point n’a publié qu’un court extrait de cette mise au point.
Pierre-André Taguieff nous a autorisé à publier l’intégralité de son texte que voici :
La dernière invention de l’antisionisme soft : « l’alya mentale »
Appeler les juifs du monde entier à rejoindre Israël fait partie du projet originel du sionisme. Et cet appel se renforce toutes les fois que les juifs sont menacés en tel ou tel pays. Le dire, c’est enfoncer une porte ouverte. Or, l’inquiétude des juifs de France était parfaitement justifiée. Et Israël a légitimement répondu à cette inquiétude diffuse. L’Agence juive a fait son travail, et rien que son travail. Je n’ai donc pas le sentiment d’une instrumentalisation injustifiée de la situation par Israël, en 2004 et 2005. Pourquoi ne pas penser que tous les actes antijuifs sont commandités par le Mossad, tant qu’on y est ? Dénoncer « l’alya marketing », tout en reconnaissant qu’elle aurait échoué, voilà une bien piètre « révélation ». Les journalistes pressés s’en tirent en affirmant que « ce qui a marché, c’est l’alya mentale [sic] ». Et ils n’hésitent pas à relancer à leur manière le vieux grief de « double allégeance », non sans l’aggraver en laissant entendre que les juifs de France, devenus plus conscients de leur judéité à travers les menaces pesant sur eux, se sentiraient « un peu moins français ». Qui ne se souvient du « sida mental », expression polémique lancée naguère par Louis Pauwels ? Un nouveau virus idéologique vient d’être fabriqué, qui pourrait être baptisé le « sionisme mental ».
La France est le pays d’Europe de l’Ouest où l’augmentation des violences antijuives, depuis octobre 2000, a été la plus forte. C’est un fait. Dans certaines banlieues françaises, les juifs sont toujours menacés, insultés ou frappés parce que juifs. Et c’est un autre fait que la classe politique française, de la gauche socialiste aux néo-gaullistes, a tout fait pour fermer les yeux sur cette réalité dérangeante. Les médias, de leur côté, ont joué la carte de la minimisation des violences judéophobes après avoir tenté de les passer sous silence. L’épinglage identitaire comme mode de stigmatisation judéophobe se banalise. Voyez comme Dieudonné, cet excellent démagogue, dénonce les « sionistes » ou les prétendus « extrémistes » du CRIF. Ou comment Tariq Ramadan a pu me dénoncer comme un « intellectuel communautaire » doublé d’un inconditionnel de la politique israélienne (à l’époque diabolisée comme « sharonienne »), alors que je ne suis pas juif et que j’ai toujours pratiqué l’examen critique vis-à-vis de tel ou tel choix politique du gouvernement israélien en exercice. Mais je suis un inconditionnel du droit à l’existence d’Israël. Telle est la dérive : puisque je défends Israël contre ses diffamateurs professionnels, alors forcément, je suis juif ! Il ne faut pas s’étonner de cette régression. Le soupçon que les juifs ne sont pas de bons citoyens parcourt toute l’histoire de leur émancipation depuis deux siècles. C’est l’un des principaux thèmes d’accusation de l’antisémitisme moderne, indéfiniment réadapté aux contextes variables. Aujourd’hui, l’accusation de « double allégeance » est remise en circulation par divers milieux politiques et médiatiques. Simultanément, certains agitent en outre le spectre du « complot juif mondial », rebaptisé « complot américano-sioniste ». Il s’ensuit que tous les juifs, Français compris, sont soupçonnés de faire partie du mégacomplot. Ce soupçon n’a pas surgi en 2000, mais après la guerre des Six Jours (juin 1967). Et je n’en vois pas la fin.
L’antisionisme est le seul dénominateur commun du monde arabo-musulman et l’un des grands alibis de l’islamisme radical. Il imprègne aussi largement les milieux d’extrême gauche, sans pour autant cesser d’être présent à l’extrême droite. D’où certaines convergences. Reprocher aux juifs d’en avoir trop fait dans l’inquiétude pour leur propre sort et dans le soutien à Israël au moment de la seconde Intifada, c’est un peu fort de café. Pris pour cibles dans l’hexagone et mieux informés en moyenne sur les réalités du Proche-Orient, les juifs de France, à l’exception d’indécrottables gauchistes, sont peut-être un peu plus lucides que d’autres. Après le 11 septembre, la plupart d’entre eux ont compris que nous étions en guerre, sans l’avoir voulu, contre l’islamisme international. Beaucoup d’intellectuels ont dû revoir leurs positions et leurs analyses. Quant à moi, sans cesser de combattre intellectuellement l’extrême droite, j’ai redéfini mes conceptions géopolitiques face à la nouvelle menace, restant ainsi fidèle à la tradition antitotalitaire. Je ne suis pas devenu islamophobe, mais résolument « islamismophobe », parce que les islamistes sont nos ennemis déclarés, et le prouvent par leurs attentats-suicides commis au nom du Djihad, visant le plus souvent des civils. Lorsqu’ils ne sont pas djihadistes, ils récusent globalement la laïcité, donc la République. Le phénomène le plus inquiétant, ce n’est pas cette prétendue « OPA » israélienne, ni la relative droitisation des juifs de France, c’est la réalité des violences antijuives, si banalisées qu’il a fallu le meurtre d’Ilan Halimi, le juif-supposé-riche, pour les rappeler à ceux qui s’évertuent à les faire oublier, notamment en les diluant dans d’imaginaires manipulations. Il est vrai que le complot se vend bien, surtout s’il est attribué aux « sionistes ». Un certain journalisme croit pouvoir jouer maladroitement de la lyre alors que Rome brûle. Comme l’écrivait Leo Strauss naguère à propos d’une science politique académique ayant atteint le comble du vide : « Deux faits l’excusent : elle ne sait pas qu’elle joue de la lyre, et elle ne sait pas que Rome brûle. »
Par Maxiton (Maxiton) le lundi 01 mai 2006 - 14h58: |
Nonette,
Cela signifie que parfois on peut continuer a etre dhimmi dans sa tete, et se considerer comme toujours enferme dans un ghetto
Par Finzi (Finzi) le lundi 01 mai 2006 - 12h47: |
Les propositions «La France, aimez-la ou quittez-la» et «La France, tu l'aimes ou tu la quittes»
ne sont ABSOLUMENT PAS synonymes de patriotisme !!
J'ai rarement entendu une affirmation aussi illogique et si fasciste. Si on les écoutait, il faudrait aimer aveuglément et en silence ??
Si tout ceux qui n'aiment pas certains aspects de la France, la quittaient, ça serait bien vide ici, mdr ! et ... il n'y pas que les "immigrés" qui la quitteraient d'ailleurs ...
Soyons sérieux :
C'est PARCE QU'on AIME la France et qu'on EST patriotique, qu'on la critique justement !
Pour quoi faire ?
pour qu'elle évolue, qu'elle change, qu'elle se bonifie.
Et ça, ce n'est PAS un délit mais un devoir d'intelligence.
Par Nonette (Nonette) le lundi 01 mai 2006 - 11h14: |
j'ai répondu il y a quelques semaines à un harissien qui racontait sa haine en apprenant les "exactions" commises par l'armée israelienne contre les palestiniens...j'avais demandé alors s'il avait ressenti la mème haine lorsque le fis égorgeait femmes,vieillards,enfants en Algérie .le modérateur a censuré mon message et je pose la question à savoir :qu'est ce qui est le plus choquant et qui mérite la censure: ma question ou le récit des turpitudes de gangstres israeliens?
Par Braham (Braham) le lundi 01 mai 2006 - 09h55: |
Bonne fete du Muguet
Voila ces modestes fleurs a Clochettes en guise de Muguets.
A toutes nos amies Joyeuse Fete.
Par Lapid (Lapid) le lundi 01 mai 2006 - 09h43: |
BEATIFIEZ, BEATIFIEZ !!!
Depeche de Guysen le 30 avril 2006:
"10:50 Le pape Pie XII, dont les activités durant la Shoah sont controversées, pourrait être prochainement béatifié, selon les médias italiens. L'actuel souverain pontife Benoit XVI ferait en effet l'objet d'intenses pressions pour déclarer Pie XII saint, ce qui le protègerait de la critique des Catholiques. (Guysen.Israël.News)
On reproche notamment à Pie XII son attitude égoïste durant la Seconde Guerre mondiale et son manque de courage à dénoncer la collaboration avec le régime nazi. "
Pourquoi ne pas beatifier Mussolini ainsi que (pourquoi pas ?) le tristement celebre et collabo Mufti de Jerusalem Al Husseini? Il est vrai que sous Mussolini, en depit de l'axe germano-italo-japonais, les juifs ont ete plus ou moins proteges, certainement mieux qu'en France ou d'autres pays durant la meme periode. Dans ce cas, ces "nouveaux saints" s'ajouteraient a la liste de "saints" reputes par leur barbarie envers les juifs comme par exemple "Le bon roi" Saint-Louis et un des papes les plus cruels et antisemites de l'histoire Le Pape Saint Sylvestre (vous savez, "le saint du 1er janvier") ; il n'y a pas si longtemps, le 1er janvier etait la date ou on commemorait "symboliquement" le jour de la circoncision de Jesus(symboliquement, car il faut le savoir, le 25 decembre a ete choisi arbitrairement par l'eglise catholique pour des raisons de convenances); mais, cela a ete supprime des calendriers par l'Eglise Catholique car cela derangeait et rappelait trop les origines juives de Jesus. On pourrait faire une etude plus precise et plus exhaustive sur la beatification de certains personnages "douteux" par l'Eglise Catholique.
Aussi qu'ils beatifient !. Cela ne fera que salir l'Eglise catholique en montrant son hypocrisie par son utilisation abusive du "double langage".
Par Yaelouche (Yaelouche) le lundi 01 mai 2006 - 08h40: |
Un etudiant va trouver son maitre:
- Rabbi, dit-il, j'ai fait un reve: j'etais le maitre de trois cents disciples.
- Reviens me voir, repond le rabbi, quand trois cents disciples auront reve que tu etais leur maitre.
Par Primo (Primo) le lundi 01 mai 2006 - 07h36: |
Le juif réac est arrivé
C’est le dernier filon médiatique, celui qui booste les bonnes feuilles, dope les ventes, fait causer dans les dîners : le juif réac est arrivé et c’est lui la menace majeure.
Entre Haaretz débusquant Finkielkraut le raciste, le Nouvel Observateur fichant tous les néo-réacs, Le Monde traquant les milices fascistes juives et Marianne dévoilant les séductions juives pour l’extrême droite, les rédactions ont compris le truc.
C’est bon ça, coco, le facho juif, le raciste juif, le juif nazi, ça dope les ventes.
Il est certain que tous ceux pour qui la chasse au réac est une garantie identitaire de gauche, pour tous les Vigilants patentés de l’Ecole des Hautes Etudes, trouver le « réac » permet une réassurance idéologique à peu de frais.
Là où le filon repoussoir Sharon montre des traces d’usure et paraît moins menaçant que les amis progressistes de Tariq Ramadan, voilà que le néo-réac, juif de surcroît, donne au débat politique une saveur qui faisait défaut au défunt Cépéheu.
C’est bien connu, en France on aime le débat d’idées. Le drame c’est que cet antifascisme là rend aussi idiot qu’aveugle.
Dans Marianne de cette semaine, on peut lire quelques extraits du livre de Cécilia Gabizon et de Johan Weisz analysant l’« OPA sur les juifs de France. Enquête sur un exode programmé ».
Tout y passe, de l’Agence juive officine sioniste super réac (c’est un pléonasme, ou avais je la tête ?) à William Goldnadel (carrément lepéniste), de Pierre André Taguieff à Jacques Tarnero (ex gauchos de shalom archav, virés sharono-gauchistes), nous voilà tous catalogués dans la catégorie « prophètes du pire » avec Philippe de Villiers pour mentor.
Quelle jolie presse nous avons la ! quelle analyse fine et subtile !
Il y a quelques années un hebdomadaire progressiste à 100% de pages progressistes, dénonçait sous la plume d’un historien 100% progressiste le « retour à l’ordre » et la lourde déviance de certains intellectuels qui avaient poussé jusqu’à la droite la critique du stalinisme.
Daniel Lindenberg dans Le Nouvel Observateur pointait déjà l’esprit versaillais chez ces intellectuels dévoyés par l’esprit abusivement critique.
Dénoncer la mécanique intellectuelle stalinienne en URSS, à Cuba au Cambodge, cela pouvait aller mais en dénoncer les reflets et les réflexes dans la pensée française, cela annonçait bien ce retour de balancier droitier si détestable. Le néo-réac s’était infiltré au détour et au retour de la nouvelle guerre d’Algérie en France.
Car c’est bien cette matrice là qui est encore et toujours à l’œuvre dans le paysage idéologique actuel.
Pourquoi la guerre d’Algérie et pas une autre ? Car elle est la fracture dont on n’arrête pas de solder les comptes fantasmatiques et les projections imaginaires.
A défaut
A défaut d’avoir été Résistants, à défaut d’avoir été porteurs de valises, à défaut d’avoir été barbudo dans la Sierra Maestra, les Vigilants des justes causes, les gardiens du temple progressiste avaient enfin trouvé leur dénominateur 100% de gauche.
La Propalestine (finement analysée par Luc Rosensweig) devenait l’ultime incarnation substitutive de la Prochine qui avait elle même succédé à la Provietnam ou à la ProFLN.
La Propalestine avait un avantage sur les autres, elle possédait cette synthèse concrète du prolétaire convoité et du guerillero tant recherché.
Ces fellagha palestinien de la Propalestine devenait l’étalon rédempteur en platine iridié déposé au pavillon de Breteuil à Sèvres. Toute critique de la Propalestine ne pouvait qu’être frappée des foudres du progressisme vigilant et c’est autour de ces représentations que se sont construits les clivages actuels.
Le para Sharon (Charonne, c’est tout dire !) possédait son Jean Cau-Finkielkraut tandis que le progressiste défunt Arafat-Franz Fanon avait sa cohorte de soutien lucide et éclairée des Garaudy, Badiou, Balibar, Serge Thion et autres François Genoud.
Les errances nostalgiques, les souvenirs enfouis passaient par dessus les faits.
Au diable l’histoire puisque c’est le mythe qui fait rêver. Tal El Zaatar, Beyrouth, Sabara et Chatila seront autant de batailles d’Alger par procuration. Au diable le massacre de Damour ou celui de Mélouza, les causes justes ne peuvent supporter les dégats idéologiques collatéraux.
Massu-Barak contre Yacef Saadi-Georges Habbache. Qui est le bon ? qui est le méchant ? Au fil du temps, des contradictions secondaires pouvaient bien entacher la cause des causes et si cette dernière glissait progressivement de la lutte-laïque-et-démocratique vers la charia, ces aléas secondaires ne pouvaient occulter la menace majeure : celle du complot américano-sioniste et de ses agents stipendiés.
Les vertus progressistes et émancipatrices de cet anti-impérialisme pouvait bien crier « mort aux juifs » à Durban en août 2001 au cours de la conférence (progressiste, forcément progressiste) de l’ONU sur le racisme, ou chasser le sioniste dans les rues de Paris au cours d’une manifestation pacifiste en mars 2002, un an plus tard après le 11 septembre, la messe politique était dite à gauche:
si Israël n’était pas l’agresseur, si les juifs (sauf quelques uns plus à gauche que les autres) n’étaient pas solidaires de cet agresseur, si l’Amérique n’était pas l’Amérique et si au bout du compte les juifs n’existaient pas, hé bien, ces excès condamnables n’auraient jamais eu lieu.
De Jean Genet à Gilles Deleuze, d’Alain Badiou à Edgard Morin, de Daniele Sallenave à Daniel Bensaid, c’est la même pensée savante, précieuse et tordue qui a déroulé au fil du temps les cautions théoriques de la haine progressiste et sophistiquée des juifs.
Elle nommait la cause juste et dénonçait le mal et ses divers avatars. L’énigme de la millénaire résistance juive rétive à leur grille de lecture devait courber l’échine devant celle ci.
Incapable d’en saisir la dimension symbolique, ces grands esprits ont préféré rabattre l’histoire juive dans les catégories plus aisées des mécaniques de l’intrigue historique.
Ce système de pensée a servi de référent politico moral pour l’apothéose d’intelligence progressiste dont nous sommes aujourd’hui les témoins : à Londres, au dernier Forum Social Européen, le secrétaire du Social Worker Party (trotskyste) en a donné la résultante sommaire : qui est l’ennemi principal ? L’Amérique avec son épigone Israël.
Qui s’oppose à cet ennemi ? Les islamistes combattants ! Le Social Worker Party a choisi son camp. L’ennemi de son ennemi est son ami, fut-il le camarade Oussama, Ben Laden Grand Leader.
Pauvre, pauvre Léon Davidovitch…
Il n’ y a pas de passage à l’acte sans un air du temps qui lui donne sa légitimité.
Depuis des années les frustrés du Grand Soir nomment l’ennemi du peuple. Ils l’ont identifié. La métastase est passé du sioniste au juif « victime de la plus ignoble des barbaries, devenu barbare à son tour » comme dirait Edgard Morin.
Il n’en faut pas plus aux esprits simplets, aux égarés, pour trouver leur caution.
Dieudonné en a rêvé, Youssouf l’a fait.
C’est bien à la télé qu’on a vu des soldats sionistes tuer le petit Mohamad et même si on ne l'a pas vu, on a deviné.
Cet air du temps ne s’est pas nourri en un jour et à chaque jour suffit sa peine.
Mais il y a des jours comme ça où on se dit qu’il est peut être plus honorable de boire un coup avec un maquereau de Pigalle qu’avec un journaliste bien pensant.
Jacques Tarnero © Primo Europe
Par Breitou (Breitou) le dimanche 30 avril 2006 - 21h23: |