Par Albert (Albert) le jeudi 18 mai 2006 - 00h09:

A qui le dites vous mon cher Sarel....!

Je me dois de garder raison même dans les situations les plus délicates où les régles les plus élèmentaires se doivent d'être respectèes ici afin de ne point voir mon propos EPURE.

La valeur chez nous, les juifs, à force de mémoire.

Et je ne la tuerai point pour faire table rase du passè.

Je pourrais vous en raconter des milles et des cent milles.

45 ans durant j y ai vécu alors....

RM

Par Sarel (Sarel) le mercredi 17 mai 2006 - 22h12:

Cher Mr ALBERT Jr desire preciser certains faits passes dans le pays d'ou je viens d'origine {[[[TUNIS}
Sale Juif en francais
Abreo kane {en italien}
ya youdi ya kelb{en arabe}
Vous meritez 18 mais commme vous etes juif marquez 12 me disait le prof de math
Quand je passais le dimanche devant le voisin d'en face pour aller en sortie de scout {voila le soldat juif qui va liberer la palestine }il me narguait en souriant .
C'est une realite qu;on peut ne pas voir
Mais elle sera toujours la pour vous rappeller!
La mythologie a disparu avec l'empire grec mais le juif est la present 'vif'alerte' et toujours pret .
Bien a vous sarel

Par Breitou (Breitou) le mercredi 17 mai 2006 - 21h09:

{LES CORBEAUX SE CHAMAILLANT

Par Albert (Albert) le mercredi 17 mai 2006 - 20h58:

On va lui CREPER les TIFS A CELUI LA?????

Par Viviane (Viviane) le mercredi 17 mai 2006 - 20h22:

"Si vous avez oublié de composter votre billet et pour vous éviter une amende, pensez à présenter votre titre de voyage au contrôleur. Des rafraîchissements et des sandwichs vous sont proposés dans la rame n°4. Le personnel de la S.N.C.F. vous souhaite un agréable voyage."
Autre annonce, de type-imaginaire, de la S.N.C.F.:
"Chers utilisateurs des lignes ferroviaires françaises, soyez les bienvenus. Les billets de groupe rencontrent un énorme succès et nous vous remercions pour la confiance que vous nous accordez. Pour vous être agréable et, au vu de la longueur du trajet, aucun contrôle ne sera effectué dans les rames. Les beaux jours s'annoncent; celà vous donnera l'occasion de croiser d'autres estivants de nos belles provinces telles que Gurs, Pithiviers, Beaune-la-Rolande et d'autres noms encore, tout aussi évocateurs."
Lettre de Godel-Gaston, oncle de mon mari, envoyée de Drancy le 17 juillet 1942 (extraits) :
"...Nous apprenons, comme Alex vous le dit, que nous figurons sur les listes de départ pour le travail. Nous pensons que c'est pour l'agriculture et peut-être en France...Nous partons sans doute samedi."
Drancy, le 18 juillet 1942
...devant partir du camp de Drancy dans un très court délai, je vous prie de m'envoyer mon colis de vivres ainsi que mes chaussures de soldat et quelques serviettes de toilette de façon à ce qu'ils me parviennent au plus tard lundi 22 juin.
Je vous prie instamment de rester calmes, confiants et courageux. D'ailleurs, j'espère vivement une solution favorable pour nous deux ! Donc toujours epoir ! Malgré et contre tout !...Et à bientôt.
Je vous embrasse tous très tendrement, Gaston."

"Un convoi partira le 22 juin 1942 à 8h.55 du Bourget...(horaires suivent pour d'autres régions).
Les heures ont été décidées après discussion avec M. Niklas, de la direction ferroviaire.
Itinéraires et horaires sur le trajet français du convoi spécial de travailleurs pour Auschwitz."

Service europeen de recherches des Juifs déporté et dispersés :
"Il résulte d'un document officiel du Minitère des Anciens Combattants que Monsieur Bornstein , prénom Godel, Gaston, né le 22.12.96 à Varsovie est décédé à Auschwitz (Haute Silésie) le 22.7.42 dont vous avez demandé des nouvelles"
Autre cruauté, dans ce même texte, pour finir :
"Avec nos sincères condoléances, veuillez agréer, l'expression de nos sentiments distinguées".

P.S : Travail bien fait : obsession de la S.N.C.F. Mais il serait injuste de ne pas mentionner la concierge qui a dénoncé à la police française Gaston et Alexandre...les deux frères déportés de ma belle-mère. Viviane

Par Email (Email) le mercredi 17 mai 2006 - 18h13:

AGRESSION CONTRE ENRICO MACIAS..

PAR UN VENDEUR JUIF DE CREPE..

ENRICO SE PROMENE RUE RICHER RUE DE LA BOULE ROUGE A PARIS 9°..

LORSQU'UN RESTAURATEUR L'AGRESSE VERBALEMENT ...

ENRICO TENTANT DE REPONDRE CALMEMENT A DES PROPOS RACISTES . NOUVELLES INSULTES DU CREPIER QUI LANCE UNE SPATULE ET UN COUTEAU
L' USTENSILE TOUCHE ENRICO..
ENRICO MACIAS PORTE PLAINTE LUNDI SOIR AU COMMISSARIAT DU 9° ARRONDISSEMENT DE PARIS..


FREDDY GALULA

Par Claudia (Claudia) le mercredi 17 mai 2006 - 18h02:

Tunisie: le pèlerinage juif de la Ghriba s'achève sur une note d'optimisme --par Bouazza ben Bouazza--

AP | 16.05.06 | 18:56


TUN102-0515061632
DJERBA (AP) -- Recueillement, émotion et ambiance festive se sont entremêlés lors du pèlerinage juif qui s'est achevé mardi à la synagogue de la Ghriba, dans l'île tunisienne de Djerba, où ont déferlé pendant deux jours plusieurs milliers de fidèles.
Selon la légende, ce haut lieu du judaïsme, l'un des plus anciens au monde, a été construit en 586 avant Jésus-Christ par des juifs fuyant la Palestine après la destruction à Jérusalem du temple de Salomon par Nabuchodonosor.
Un dispositif de sécurité renforcé a été déployé dans l'île pour la circonstance, surtout autour de la synagogue où un attentat-suicide revendiqué par Al-Qaïda avait fait 22 morts en avril 2004. Outre le kamikaze, 14 touristes allemands, cinq Tunisiens et deux Français avaient trouvé la mort.
Le bâtiment blanc et bleu semblait par moment exigu pour les quelque 4.000 pèlerins de France, d'Autriche, de Grande-Bretagne, d'Italie ou des Etats-Unis mais aussi de Libye, du Maroc ou d'Algérie, selon les organisateurs. Plus d'un millier de fidèles, originaires de Tunisie pour la plupart, sont venus d'Israël.
Pour le député français Pierre Lellouche (UMP, majorité de droite) et son collègue Eric Raoult, le pèlerinage de la Ghriba montre bien que "la coexistence entre juifs et musulmans est possible".
Le ministre tunisien du Tourisme, Tijani Haddad, a déclaré aux pèlerins réunis dans l'enceinte de la synagogue que "la Tunisie accueillera(it) chaleureusement et en toutes circonstances les membres de sa communauté juive et demeurera(it) toujours une terre hospitalière, ouverte et tolérante". AP

Par Primo (Primo) le mercredi 17 mai 2006 - 17h48:

La fin de la Ve ?




Tel Dom Juan flanqué de son Sganarelle, Chirac accompagné de son Villepin est en marche vers son destin. La statue du Commandeur est proche mais là, ce n’est pas un homme, c’est une nation qui risque de plonger dans l’abîme.


C’est qu’il a su séduire son monde, ce professionnel de la politique qui a tout d’un amateur de la présidence. Il a été, paraît-il, un bon maire de Paris, inventeur des moto-crottes et du concept de la Seine dans laquelle on se baignerait en l’an 2000.

Dénué de toute conviction, il a louvoyé entre le souverainisme (appel de Cochin) et l’Euromanie. Il s’est fait le chantre de l’anti-racisme après avoir dénoncé "le bruit et les odeurs" (1) à la suite d’une tête de veau sans doute trop arrosée. Il a basé sa campagne électorale de 2002 sur la promesse folle de réduire l’impôt sur le revenu de 30% avec le résultat que l’on sait.

Ses quarante années de vie politique sont jalonnées de déclarations promettant de réduire le chômage. Le discours ne varie pas, qu'il y ait 40.000 chômeurs ou trois millions. L’arrivée des baby-boomers sur le marché de la pétanque et de la pêche à la ligne est l’aubaine qui permettra de faire illusion pendant les trois à quatre années à venir.

Bien plus que Mitterrand qui avait pourtant déjà fait très fort, il a représenté cette république bananière dans laquelle nous évoluons. Celle du népotisme, de l’immobilisme et de la vacuité.

Bien campée dans son schéma monarchique à laquelle elle semble inconsciemment attachée, la France avait son roi, et le roi son bouffon.

Le fou du roi lui souffla un jour l’idée d’une dissolution du parlement, au nom d’on ne sait quelle stratégie politique complexe. La planète en rit encore.

Il le persuada de tenir compte, en politique étrangère, du fait qu’Israël n’était qu’une parenthèse de l’Histoire et qu’il était peu productif de se soucier de son devenir.

Il fallait aussi, pour être totalement risible, ajouter une note de grandiloquence en s’opposant, tel un roquet, à l’Amérique et à son opération irakienne. La découverte récente des motivations mercantiles de diplomates français (voire encore plus haut dans la hiérarchie politique) dans cet affrontement au géant américain apporte une note pathétique à ce combat pour la "paix" dans lequel nombre de nos compatriotes se sont pourtant fourvoyés.

Comme tout comique, comme Coluche dans "Tchao pantin", Villepin décrocha son César dans le rôle dramatique qu’il avait tenu à la tribune de l’ONU, en février 2003, plébiscité par une assemblée de représentants d’Etats pas tous connus pour leur fonctionnement démocratique.

L’auteur du "cri de la gargouille" est aussi le gestionnaire malheureux des émeutes de novembre 2005 où la mollesse gouvernementale a servi de référence aux sauvageons qui sauront mieux imposer leur diktat lors de leur prochaine poussée fébrile.

Il est aussi le promoteur d’un CPE qui aurait été sans doute son seul grand succès s’il avait su mener le projet à son terme, sans cette morgue d’aristocrate qui le persuade qu’il peut toujours résister à tous les vents corporatistes et à toutes les marées syndicales.

Il est également l’archétype de l’Etat barbouze, ayant la culture des réseaux et du secret, spécialiste des "notes blanches et des dossiers noirs", avec cet incroyable sentiment d’impunité, cette certitude d’être autorisé à réaliser les coups les plus tordus pour faire tomber son rival politique sans jamais avoir à démissionner une fois surpris, les doigts dans le pot de confiture.

Le résultat de ce climat délétère se mesure en rejet de la classe politique par les électeurs. Le rejet de la Constitution européenne fut davantage celui de cette oligarchie. 69% des Français déclarent ne plus faire confiance aux politiques, qu'ils soient de droite ou de gauche.

Si on avait voulu leur donner le goût des extrêmes, on ne s’y serait pas pris autrement. Avec la multiplication des candidatures que l’on nous promet déjà pour la prochaine présidentielle, la situation se prête, tous les jours un peu plus, à la réalisation de scénarios inquiétants pour le second tour.

De toute évidence, cette Ve République était un costard sur mesure conçu pour les épaules d’un seul homme. Tous ceux qui l’ont endossé depuis ont flotté dedans.

Une dose de parlementarisme supplémentaire conviendrait sans doute mieux à notre époque moderne privée de personnages charismatiques.

Redonnons à l’Assemblée un rôle majeur et dédramatisons un peu cette élection présidentielle qui ressemble à s’y méprendre à celle d’un roi... ou d'une reine.

Jean-Paul de Belmont © Primo-Europe, 17 mai 2006

(1) "Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler... si vous ajoutez le bruit et l'odeur, hé bien le travailleur français sur le palier devient fou."

Discours de Jacques Chirac le 19 juin 1991

Par Henri (Henri) le mercredi 17 mai 2006 - 14h12:

Cela a deja ete fait

Par Girelle (Girelle) le mercredi 17 mai 2006 - 13h49:

La SNCF !!
Mais bien sûr !!
Comment n'y a t on pas pensé plus tôt ??????????

Espèrons que ça inspire des milliers d'autres et qu'ils se groupent.