Par Boulomiel (Boulomiel) le mercredi 03 décembre 2003 - 21h09: |
Je viens d'apprendre le déces d'Annie BOUKRIS (Zal)
Je suis trés peiné d'autant plus que je n'ai pas eu de nouvelles récentes d'elle
Je pense beaucoup à ses filles et surtout l'une d'entre elles
Que D... les soutiennent
Par Boulomiel (Boulomiel) le mercredi 03 décembre 2003 - 21h12: |
Concernant Dieudonné je propose que des religieux viennent pacifiquement devant ses spectacles réciter des psaumes pour qu'il lui arrive les plus grands malheurs (Amen)
Ce n'est pas juridiquement illégal
....pas plus que de traiter un juif de sal juif au lycée Montaigne !!!
Par Maxiton (Maxiton) le mercredi 03 décembre 2003 - 19h47: |
La disparition d' Annie Boukhris m'émeut pronfondément.
Elle représentait la conscience d'Harissa . Elle était Harissa
Toutes mes pensées vont à la famille
Par Lg (Lg) le mercredi 03 décembre 2003 - 19h12: |
Annie
*****
Je suis desolee d'avoir ete celle qui ai annonce cette triste nouvelle, mais c'etait mon devoir de le faire pour aller jusqu'au bout de mon respect, d'autant plus qu'Annie Boukris faisait grande partie d'Harissa. C'est d'ailleurs grace a Harissa que j'ai eu le plaisir de la connaitre.
Annie etait une femme extraordinaire et une tres grande Dame, elle a eu beaucoup de merite en tant que mere celibataire pour elever ses 3 enfants, dont une qui est restee a ses cotes jusqu'a present. Je l'ai connue de tres pres puisque je passais tous les Shabbats et fetes chez elle, elle va me manquer enormement et j'ai du mal a croire ce qui vient de se passer, meme mon fils m'a demande hier soir "est-ce qu'elle est partie pour de bon? Y'a pas moyen de la reveiller"?! Meme moi j'ai eu la meme pensee quand on m'a annonce la mauvaise nouvelle hier.
Je lui ai parle Dimanche matin pour la derniere fois, et j'entendais bien dans sa voix qu'elle etait lasse... C'etait une battante, elle l'a ete toute sa vie durant, mais cette fois ci la mort a eu raison.
Annie, tu vas me manquer, tu me manques deja, je t'ai aimee comme on aime qqu'un de sa famille, tu etais et tu seras eternelle pour moi a jamais. Je sais que tu es au Gan Eden car tu le merites, la est ta place, et suis de tout coeur avec Nadia, Marco, Vilma, Eva et Guy et tous les leurs......... Annita, tu es partie comme une Sainte, dans la plus grande classe, digne de la grande Dame que tu etais.......
I miss you so much... :'(((((
Par Mena (Mena) le mercredi 03 décembre 2003 - 18h44: |
Avertissement du rédacteur en chef
Il n’est guère dans ma vocation d’intervenir en chapeau d’article, d’autant que d’autres rédacteurs de la Ména ont déjà exprimé leurs vues sur les Accord de Genève et que certaines sont dissymétriques de celles que vous allez lire sous la plume de Guy Millière. Dans ma fonction, j’admets toutes les opinions, pour autant qu’elles soient intelligentes, ce qui est indéniablement le cas de celle exprimée ici par cet auteur. Je dois néanmoins, aux personnes que Guy évalue, d’ajouter une ou deux précisions d’ordre factuel à son article.
Celui-ci n’y met d’ailleurs nommément en cause que le docteur Joseph Beilin, au titre d’artisan israélien de l’initiative en question. Dans le débat passionné qui agite l’opinion, je juge indispensable de rappeler que d’autres personnalités de premier plan, telles Amnon Lipkin-Shakhak – ancien chef d’état-major de Tsahal – Uzi Baram – plusieurs fois ministre – Amram Mitzna – général à la retraite, ancien secrétaire général du parti travailliste - Joseph Burg – ex-secrétaire général de la Knesset – Zahava Ben, David Broza – chanteurs au talent exceptionnel – l’écrivain Amos Oz et bien d’autres encore, appartenant aux mondes de la politique, de la culture et du showbiz, participent avec Beilin à cette démarche.
On peut, bien sûr, critiquer ce qu’ils expriment mais ces gens, faisant partie du consensus israélien, ont participé à façonner l’Etat démocratique d’Israël tel qu’il existe de nos jours et à le protéger de ses ennemis. Et c’est à ce titre, en regard de leur contribution à l’élaboration de notre société, et à la certitude que j’ai qu’elles aiment ce pays de tout leur être, que je considère comme terriblement abusive la contingence de haute trahison que mon ami Millière fait peser sur ces personnes. Je rappelle, à toutes fins utiles, que le crime de haute trahison, en Israël et en temps de guerre, est passible du peloton d’exécution.
Haute trahison ? (info # 010312/3) [analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency
Une étrange cérémonie s’est déroulée à Genève, ce lundi 1er décembre. Un accord a été signé en vue de la paix au Proche-Orient. Ce genre d’accord est, par définition, le fait de personnes étant au bénéfice d’un mandat public les rendant plénipotentiaires: chefs d’Etat, ministres, représentants officiels d’un gouvernement.
Les signataires de Genève, battant en brèche la définition, ne représentent qu’eux-mêmes et n’engagent qu’eux-mêmes. Côté israélien, un homme politique discrédité, marginalisé, qui a quitté le parti travailliste (qu’il avait d’ailleurs contribué à détruire) pour rejoindre un parti ancré à gauche, le Meretz, avant que de le quitter à son tour, faute d’avoir été élu à la dernière Knesset, afin de fonder un nouveau groupuscule dans l’ultra-gauche. Cet homme politique, je parle de Yossi Beilin, a été, par le passé, le concepteur des accords d’Oslo qui sont loin d’avoir apporté ce qu’ils étaient censés apporter. Ils ont au contraire permis à Arafat de se doter d’une mini dictature, d’une machine à fabriquer des fanatiques, et à divers mouvements terroristes de disposer de bases arrière en Cisjordanie et à Gaza. Après ce succès d’estime, il semble que Beilin entende faire un pas de plus vers l’autodestruction.
Qu’il ait trouvé un comparse “palestinien”, en la personne d’Abed Rabbo, n’est pas surprenant. Qu’il rencontre un écho auprès de politiciens européens n’est pas surprenant non plus: l’Union Européenne est le principal bâilleur de fonds de la mini dictature d’Arafat et, par cela, le principal sponsor de fait du terrorisme anti-israélien. Qu’il soit soutenu par un vieux politicien américain, à l’aura passablement flétrie, tel que Jimmy Carter ou par Nelson Mandela, qui s’est parfois laissé aller à des diatribes antisémites, n’a rien de surprenant encore. Qu’il semble soutenu par nombre de membres éminents de la communauté juive en Europe et par des intellectuels français réputés sérieux, par contre, provoque un réel malaise.
Ces gens pensent-ils que, dans un contexte d’antisémitisme endémique en Europe, il vaut mieux faire profil bas, raser les murs, faire une croix sur l’existence d’Israël ? Pensent-ils, au contraire, qu’après avoir vu ce que les dirigeants palestiniens ont fait après Oslo, il faut remettre en place un processus du même type, en bien pire ? Pensent-ils, à nouveau, que l’on puisse traiter avec des hommes qui ont du sang sur les mains et des cadavres dans la tête ? Je ne suis pas belliciste, je ne veux rien autant que voir un jour la paix régner pour Israël et pour les populations arabes de la région. Je sais simplement que la paix est impossible avec l’Autorité Palestinienne telle qu’elle est, car il s’agit d’une entité monstrueuse et criminelle.
Je sais que la paix est impossible avec des groupes islamistes tels que le Hamas et le Djihad islamique encore en activité, avec un Fatah à géométrie variable, qui “réprouve le terrorisme”, mais n’en instrumente pas moins une branche terroriste, les Brigades des Martyrs d’Al Aqsa. Je sais que la paix implique, en préalable, une démarche qui devra être du même ordre que celle qui a concerné l’Allemagne nazie après 1945: désarmement généralisé, démantèlement des groupes terroristes, éducation à la paix, à la tolérance et à la démocratie, pendant plusieurs années. Mettre en oeuvre le plan Beilin, ce serait faire un ensemble de cadeaux inespérés à des hommes abominables, et leur montrer que le terrorisme paie. Tuez suffisamment de gens et “ils” finiront par céder. Céder la quasi-totalité de Jérusalem, et, en particulier le Mont du Temple, ce serait, en dehors de toute autre forme de considération, rendre la présence juive résiduelle dans une Jérusalem précarisée, ce serait offrir aux “Palestiniens” une position de surplomb par rapport au mur des lamentations, rendant les visites à celui-ci bien plus dangereuses encore qu’elles ne le sont aujourd’hui.
Revenir aux frontières de 1967 serait revenir à des frontières aujourd’hui militairement indéfendables, ce, dans un contexte où on se trouverait en face d’un nouvel Etat, dont rien, strictement rien, ne dit qu’il vivrait tranquille et paisible à côté d’Israël. Reconnaître même l’existence d’un problème de “réfugiés” et l’idée d’un “droit au retour”, même minime, sont en soi des crimes contre l’histoire et la mémoire, équivalant à effacer d’un trait la guerre de 1947-48, qui visait à faire disparaître Israël et à massacrer les Israéliens. C’est aussi accepter de reconnaître comme “réfugiés” des gens qui n’ont, pour la quasi-totalité d’entre eux, jamais mis les pieds en Israël. Accepter de parler de “colonies” dénature l’essence même des implantations, entérine comme une évidence acquise, mais hautement fallacieuse, que jamais des Juifs n’ont vécu en Cisjordanie et à Gaza, et accorde aux Palestiniens l’autorisation officielle d’être racistes, en n’acceptant pas la moindre présence juive parmi eux (que dirait-on si Israël disait vouloir expulser tous les musulmans qui vivent sur son sol !)
Le plan Beilin est tellement inepte qu’il rejoindra vite les poubelles de l’histoire et achèvera de déconsidérer son principal auteur. Aucun gouvernement israélien n’est prêt à enclencher une procédure de suicide collectif pour Israël. A quoi sert le plan Beilin, en ces conditions ? C’est très simple: à mettre Israël dans son tort, collectivement dans son tort. "Comment ?", vont dire nombre de politiciens en Europe, dans le reste du monde, aux Nations Unies: "voilà un superbe accord rédigé par des hommes de bonne volonté et vous n’en voulez pas ? Nous savions bien que vous étiez des bellicistes assoiffés de sang arabe..."
Le plan Beilin vise aussi à isoler les Etats-Unis et à les déstabiliser en leur position de principal soutien d’Israël: "Comment ?", vont dire les mêmes politiciens en Europe, dans le monde et aux Nations Unies, "les Etats-Unis ne veulent pas soutenir ce superbe accord ? Cela signifie que les Etats-Unis sont eux aussi assoiffés de sang..." Attendez-vous à voir les critiques contre Israël redoubler en Europe. Attendez-vous à voir le gouvernement israélien traîné indûment dans la boue, plus encore qu’il ne l’est déjà. Attendez-vous à ce que des candidats démocrates à la présidence des Etats-Unis se déclarent en faveur du plan Beilin et en fassent un instrument pour critiquer et déstabiliser Bush. Le plan Beilin permet aux Européens de faire d’une pierre deux coups: isoler et affaiblir Israël, isoler Bush, et si possible, le faire battre.
Pas un seul attentat n’a eu lieu ces dernières semaines (ces deux derniers mois Ndlr.) en Israël. Cela aussi dérange en Europe. Et si le mur de protection fonctionnait ? En parallèle à la campagne pour le plan Beilin, attendez-vous à voir monter en Europe, dans les semaines à venir, une campagne pour le démantèlement du mur de protection. Les attentats sont précieux pour la stratégie européenne: il est hors de question qu’ils ne fassent plus partie du paysage politique du Proche-Orient. Imaginez: si se dessinait une perspective où Sharon et Bush apparaîtraient comme les seuls, les vrais hommes de paix ?
Que des Européens et des hommes politiques, lourds d’arrière-pensées, se livrent à ces manoeuvres donne déjà envie de vomir. Que des personnalités cautionnent ce succédané d’accord, par lâcheté, par bêtise ou par conformisme, mène à se demander ce qu’elles ont à la place du cerveau. Qu’un homme politique israélien, aussi discrédité soit-il, se révèle être à l’origine de tout cela devrait inciter à se demander s’il n’est pas, tout simplement, coupable de haute trahison ?
Par Emma (Emma) le mercredi 03 décembre 2003 - 18h40: |
Dieudonné se défend d'être antisémite après une émission sur France 3
PARIS (AFP) - Le comédien Dieudonné M'Bala M'Bala, dit "Dieudonné", s'est défendu mardi d'être antisémite, après une émission sur France 3 lundi soir où il avait évoqué un "axe américano-sioniste" et esquissé le salut hitlérien en déclarant "Heil Israël".
"Evidemment, je ne suis pas antisémite. Evidemment, je me bats contre toute forme de communautarisme", a-t-il déclaré, soulignant qu'il n'avait "pas de religion" et qu'il s'attaquait "à toute forme d'extrémisme". Il s'agissait d'un "sketch", d'une "intervention à caractère humoristique", a-t-il ajouté.
"J'ai déjà été attaqué pour antisémitisme par des associations religieuses d'extrême droite et j'ai été relaxé", a ajouté le comédien en référence à un procès intenté par le Consistoire central, la Licra et l'Union des étudiants juifs de France.
Invité mardi dans l'émission "On ne peut pas plaire à tout le monde" pour faire une "nécrologie" humoristique de Jamel Debbouze, Dieudonné est apparu avec une cagoule, vêtu d'une veste de treillis, coiffé avec les papillotes et le chapeau noir caractéristiques des juifs orthodoxes.
Il a notamment déclaré: "J'encourage les jeunes gens qui nous regardent aujourd'hui dans les cités, pour (leur) dire: convertissez-vous comme moi, essayez de vous ressaisir, rejoignez l'axe du bien, l'axe américano-sioniste".
Cette prestation a déclenché un torrent de réactions, notamment sur le "forum" que les organisateurs de l'émission proposent via Internet aux téléspectateurs. Plus de 500 personnes ont envoyé des messages accusant en majorité Dieudonné de racisme et d'antisémitisme ou d'être porteur d'un "message de haine".
Certains disent cependant qu'"on peut rire de tout" et qu'il faut "dénoncer tous les extrémismes".
Dans un bref article, Le Monde a critiqué les "dérapages" de Dieudonné. "Pour moi, le Monde est un journal qui défend systématiquement des positions sionistes", a répliqué Dieudonné.
Marc-Olivier Fogiel, animateur de l'émission de France 3, a indiqué qu'il regrettait d'avoir invité l'humoriste et qu'il assumait la responsabilité de ce qui s'était passé.
"Il y a eu de sa part, une forme de prise d'otage de l'émission dans la mesure où il ne s'en est pas tenu à ce qui était convenu", c'est-à-dire à faire un portrait humoristique de Jamel Debbouze, a-t-il dit. "Dans le climat actuel, on ne peut pas se permettre de mettre de l'huile sur le feu", a-t-il ajouté.
"Dieudonné a très clairement dérapé", a déclaré le directeur adjoint des programmes de France 3, Vincent Meslet.
L'émission de France 3, qui devait repasser à l'antenne dans la nuit de mardi à mercredi, sera retransmise dans "une version expurgée", a-t-on appris mardi soir auprès de France 3. "Nous avons décidé de rediffuser une version expurgée" de l'émission, sans la séquence avec Dieudonné, a annoncé une porte-parole de la chaîne. L'émission doit passer à l'antenne à 02h25 mercredi.
France 3 et Marc-Olivier Fogiel, animateur de l'émission, doivent également publier mercredi une lettre publique à l'intention des téléspectateurs dans laquelle ils désapprouveront les propos tenus par Dieudonné.
Par Boulomiel (Boulomiel) le mercredi 03 décembre 2003 - 18h28: |
Dieudonné a été épargné par la justice française
j'espère que les extrémistes juifs eux ne le rateront pas!!!
Par Nao (Nao) le mercredi 03 décembre 2003 - 17h14: |
Un Ange nous a quitte..
Annie, ma douce Annie comment? comment es tu partie comme ca a notre insu sur la pointe des pieds, aussi discretement que tu l'etais et sans faire de bruit?
Comment as tu pu nous quitter? Dimanche encore je te parlais au telephone..
Comment penser que cette voix fine et si attachante je ne l'entendrais plus?
Dans quel desarroi tu nous laisses Annie!
Tu faisais partie de cette derniere generation de la Tunisie, porteuse du souvenir de nos anciens..
Tu etais la Perle de la Cuisine Tunisienne. Tu m'envoyais pour tous les Rosh Hashanah la pkaila par la poste..
Tu etais si gentille, un coeur immense, ne faisant de mal a personne..
Toi qui a ete une mere exemplaire de devouement et qui laisse tes enfants orphelins, desempares et meurtris de chagrin, comme nous..
Tu es partie dans ton sommeil, sans souffrir, comme une Sainte!
Il est dur de te laisser partir mais Hashem te recevra au Royaume des Cieux avec tout le Kavod que tu merites!
Et de la Haut tu veilleras sur ceux que tu aimes!
Je ne t'ai pas connue Annie mais je t'aimais et je t'aimerais toujours..
Reposes en Paix!
Isa, Justin, Nao et Eva
Par Maurice (Maurice) le mercredi 03 décembre 2003 - 14h16: |
Une fois éteints les lampions de l’excellent “show” médiatique qu’ont reussi MM.Abed Rabbo et Yossi Beilin, que faut-il retenir de ce qui s’est passé lundi dernier à Genève ?
S’agit-il d’un tournant dans le conflit du Moyen-Orient ou est-ce un non-évenement ?
Première reflexion :
On aime certainement mieux voir des Palestiniens et des Israéliens fraterniser en public que de les voir s’étriper en Israel ou dans les territoires.Ceci est un point positif.
En ce qui concerne la forme :
La reunion de Geneve est apparue comme un rejet d’Ariel Sharon et sa politique. Alors que les orateurs israéliens parlaient uniquement de paix, la partie palestinienne s’est livrée à ses critiques et accusations habituelles contre Israel et son gouvernement, mettant parfois les participants israéliens mal à l’aise.
Sur le fond,
Il n’y a rien de nouveau par rapport aux pourparlers de Taba .
Tout ce que Beilin concède à Abed Rabbo a déjà été offert par Ehoud Barak à Yasser Arafat et celui ci l’a refusé.
Les seules innovations par rapport à la paix manquée de Taba, c’est qu’à Genève on a abordé le problème des réfugiés , mais d’une façon ambigue.
Il faut tout de même savoir que le document légal qui régit jusqu’à présent, les rapports entre Israéliens et Palestiniens est l’accord dit “d’Oslo” signé à Washington par Ishak Rabin et Yasser Arafat qui stipule la reconnaissance mutuelle de l’OLP et d’Israel.
Ce point étant acquis une fois pour toutes, est-il besoin de le renégocier ?
N’a-t-il pas force de loi et pour les Palestiniens et pour les Israéliens ?
Oslo a permis l’installation de l’OLP en Palestine, la création d’une Autorité Palestinienne disposant d’une armée de 50.000 hommes et l’évacuation par Tsahal de larges portions de territoire..
De ce point de vue, Israel a rempli son contrat .
Les Palestiniens devaient s’engager en contre-partie à mettre fin au terrorisme et à l’incitation à la haine. L’ont-ils fait ?
Non !
Avant de négocier de nouveaux accords, il faudrait peut-être imposer d’abord aux deux parties le respect des accords déjà signés.
Parceque si Oslo est considéré comme caduc, rien ne dit qu’un nouveau contrat imposant de nouvelles contraintes à Israel ne serait pas à son tour déclaré caduc ainsi que tous les autres qui pourraient le suivre.
Le problème des réfugiés, avait fait capoter les accords de Taba.
Les co-signataires de Genève l’ont-ils réglé ?
Probablement pas.
Parceque, la formulation de ce chapitre faisant réference à la décision 194 du conseil de sécurité qui prévoit le retour des réfugiés, ouvre la porte à toutes les interpretations et toutes les contestations.
Comment partager l’optimisme des participants à la grand’messe de Genève lorsqu’on lit ces extraits du journal officiel palestinien “Al Hayat Al Jedida” du 2 Décembre 03. cité par Itamar Marcus du “Palestinian media Watch Bulletin”
“Le ministre des affaires étrangères, Dr Nebil Shaath, souligne que les Palestiniens n’abandonneront jamais le droit de retourner dans leurs maisons et ne négocieront que les modalités de ce retour … “
....“Le président du Conseil législatif palestinien, “ Rafiq Al-Natshah, déclare que le problème palestinien a démarré avec les réfugiés et qu’il ne sera jamais résolu si les réfugiés ne retournent pas chez eux.”
....“Le président Arafat favorise la conference des forces de la paix à Geneve” qui “adhére aux légitimes décisions internationales incluant la résolution194.”
Au vu de la propagande écrite ou télévisuelle, au vu des manifestations de rues, on réalise que l’autorité palestinienne devrait se livrer à un long travail pédagogique en direction de ses élites et de son peuple pour les convaincre des bienfaits de la paix, de la tolérance et de la co-existence, comme le prévoyaient les accords d’Oslo.
C’est seulement à ce prix que l’on pourra exiger d’Israel les plus grandes concessions.
INTERESSANT POINT DE VUE D'ANDRE NAHUM
Par Chantal (Chantal) le mercredi 03 décembre 2003 - 12h12: |
Annie, Annie
A la suite d'une correspondance a partir d'harissa.com, tu m'avais invitee et recue chez toi avec beaucoup d'amour et d'humour. Deux etrangeres, devenues amies si proches par l'intermediaire de Jaco. Je te regrette comme une deuxieme mere. Que ton ame repose en paix... Mes sinceres condoleances aux enfants, petits enfants et arriere-petits-enfants
Chantal
Par Nonette (Nonette) le mercredi 03 décembre 2003 - 09h43: |
A Paris dans le sixième arrondissement,au lycée Montaigne,un jeune garçon élève de sixième-10ans !-a été frappé et traité de sale juif.le rectorat a considéré que ce n'était pas une insulte et que celà correspondait au "pauvre idiot de notre jeunesse"!
dieudonné,au nom de liberté d'opinion crache sa haine des juifs,Arte et hier TV5 décrivent Israel comme un bourreau ...le CRIF,le Consistoire ne devraient-ils pas intervenir?saisir leCSA?
ou es-tu France?
Par Maurice (Maurice) le mercredi 03 décembre 2003 - 08h22: |
Un cheikh chiite atypique qui bouscule l'islam en Irak
Par Jean-Pierre PERRIN
mercredi 03 décembre 2003
«Il est très important d'apprendre l'alphabet de la démocratie. [Or] la plupart des nouveaux partis sont des avatars du précédent régime.» Cheikh Sayyed Ayad Jamaluddin Bagdad envoyé spécial
ans le cendrier posé sur le tapis à côté de cheikh Sayyed Ayad Jamaluddin, le mégot d'un gros cigare apparaît comme un bel affront. Quel invité s'est permis de fumer devant ce dignitaire chiite, descendant de surcroît de la famille du Prophète ? La bienséance exige le strict respect de quelques interdits, comme celui d'allonger les jambes devant lui, même quand la crampe menace, et bien sûr d'allumer une cigarette. C'est le religieux lui-même qui fournit la réponse. A la fin de l'interview, il ouvre un élégant coffret, dans lequel on pourrait imaginer trouver un Coran. Et il en sort quelques magnifiques cigares des Cohiba Série limitée qu'il offre à ses visiteurs avant d'en embraser un pour lui-même. «Aux Emirats, je fumais plutôt des Roméo et Juliette. A Bagdad, je préfère les Cohiba.» Cheikh Ayad est sans doute le moins conventionnel de tous les religieux chiites.
Treize siècles de tyrannie. Après de longs séjours en Iran et à Dubaï, il est revenu en Irak pour faire de la politique. Et en même temps bousculer l'islam. Et n'y va pas par quatre chemins «Nous soutenons la guerre de l'Amérique contre Saddam Hussein, de façon franche et ouverte. Saddam ne fut pas le seul dictateur irakien. Nous avons connu treize siècles de tyrannie au nom de la religion. Depuis le premier gouvernement islamique connu. Nous n'avions jamais pu y mettre fin avant cette guerre. Pour la première fois, s'offre enfin à nous l'occasion de créer un Etat laïque. Nous n'en aurons pas d'autre.»
A Bagdad, cheikh Ayad habite l'immense demeure de Izzat Ibrahim al-Douri, longtemps le numéro deux du régime baasiste, numéro six dans le jeu de cartes, et recherché par les forces américaines qui l'accusent de diriger la guérilla. Le soir, il reçoit ses invités au fond du jardin, dans une vaste hutte qui imite celles des marais du sud de l'Irak que Saddam fit assécher pour en chasser la population. Né à Nadjaf, dans une famille de religieux et de lettrés, Ayad Jamaluddin, 42 ans, quitte l'Irak en 1979 pour la Syrie, puis l'Iran. «A cette époque, le gouvernement voulait détruire notre foi, notre culture, nous enseigner quels habits et quelle coiffure on devait porter. Le Conseil de commandement de la révolution avait aussi décrété l'interdiction des minijupes pour les filles et des favoris à la Elvis Presley pour les garçons. Moi, qui viens d'une famille religieuse, les minijupes ne me faisaient pas rêver, mais je ne voyais pas la nécessité d'une telle directive», dit-il.
A Qom, la ville sainte iranienne où il étudie, ses illusions s'envolent. «L'Iran n'était qu'un rêve. C'était la même tyrannie... dans le sens opposé. Là-bas, le voile était obligatoire.» Il s'installe ensuite à Dubaï pour représenter le grand ayatollah iranien Ali Hossein Sistani, établi à Nadjaf. Revenu en Irak, il est toujours très proche de celui qui demeure la plus haute autorité religieuse des chiites irakiens et dont il porte toujours la parole. En même temps, il a abandonné tout rôle spirituel pour se consacrer à la politique et créer un parti ouvert à tous, chiites, sunnites, chrétiens, Kurdes. «Il est très important d'apprendre l'alphabet de la démocratie. (Or) la plupart des nouveaux partis (plus de 150, actuellement , ndlr) sont des avatars du précédent régime. La dictature figure dans leur programme. Alors, comment peuvent-ils édifier la démocratie en Irak ?», lance-t-il.
Avant tout, Ayad Jamaluddin se fait l'apôtre de la liberté, mot qui revient sans cesse sur ses lèvres. C'est chez lui que s'est réfugié, l'été dernier, le petit-fils de feu l'ayatollah Khomeiny après sa fuite d'Iran. «L'être humain, qui est pour moi la chose la plus sacrée, n'est rien sans la liberté. Moi, je l'ai toujours défendue, celle des mosquées comme celle des clubs (en Irak, l'équivalent des bars, ndlr). Les Arabes, plus que n'importe quel autre peuple, aspirent à la liberté. Parce que, dans le désert, il n'y a pas de limites à celle-ci.» D'où ses attaques contre la France : «Nous ne nous attendions pas à ce que le pays de la démocratie et de la liberté s'oppose à la guerre (contre Saddam). Tous les problèmes du monde arabe et musulman viennent de la tyrannie.»
Châtiments islamiques. En matière religieuse, le cheikh chiite est aussi d'un libéralisme stupéfiant. Il tolère que les musulmans puissent abjurer leur religion, ce qui, même sous Saddam, était puni de la peine capitale : «Personne ne doit forcer personne dans aucune religion. Tout le monde doit pouvoir choisir la sienne.» Il affirme que seul le Mahdi (l'imam des temps futurs) peut appliquer les châtiments islamiques. Les religieux, il ne tient pas à les voir intervenir dans l'arène politique.
Outsider au sein de l'establishment chiite, cheikh Ayad l'est à l'évidence. Néanmoins, il assure avoir déjà réuni quelque 900 personnalités irakiennes de tous horizons. Selon lui, le processus politique mis en place par Washington va trop vite : «Nous avons d'abord besoin de temps pour penser nos plaies.» A l'entrée de son quartier général, sa garde privée fouille tous les visiteurs. «En Irak, dit-il, le danger est partout.»
le mahdi est la meme demarche messianique comme le christ en gloire des chretiens ou le monde meilleur des laics Ces demarches spirituelles
se propageant dans les differents peuples seront l
la source de Paix d'un Orient et d'un Occident qui
a perdu ses marques ou les grandes surfaces sont devenus mosquees synagogues cathedrales et TEMPLES ou` des integristes devient l'Humanisme pour faire leur marché
Par Davideden (Davideden) le mercredi 03 décembre 2003 - 06h34: |
Mauvais signe pour les Juifs en France, le "model Tunisien" devient le choix du moment. Et si la France appliquait le model Tunisien au "probleme Juif"? Cela voudrait dire les aimer, les proteger mais les spolier et les eliminer en meme temps. Ce "model" de democratie a permit l'oppression d'un pays entiers et il a permis l'homogeneation de la Tunisie qui aujourd'hui bahkala oufik est toute musulmane et a reussi a se debarrasser de 99.9% de ses infideles!!
Jacques Chirac avocat du "modèle tunisien" face à l'islamisme
02 décembre 23:36:42
par Sophie Louet
PARIS - Jacques Chirac se rend du 3 au 6 décembre en Tunisie, pour une visite d'Etat puis le sommet "5+5", avec l'objectif réaffirmé de conforter l'arrimage du Maghreb à l'Union européenne, gage pour la France d'une stabilité géopolitique vitale face à la montée de l'islamisme et de ses ramifications terroristes.
Après l'Algérie en mars et le Maroc en octobre, "l'ami arabe" clôt à Tunis un cycle de visites d'Etat au Maghreb témoignant de la lutte d'influence feutrée qui s'esquisse entre Paris et Washington, tout à sa stratégie de "démocratisation" du Proche et Moyen-Orient - avec gains commerciaux à la clé.
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 03 décembre 2003 - 08h16: |
Shalom u'Vrakhah!
I am thrilled to find your website. I have been searching for a site which will give me information for my daughter, Nechama, who might be traveling to Tunisia with her Center for International Studies group.
She will need kosher food, either a kosher hotel or one where kosher food might be brought over, and possibly a shul if she is there over Shabbat.
Any names of families who would be interested in talking to her or to her group (depending on their teacher's plans of course), might be nice as well.
Thank you so much for your attention to this matter, and "Kol Tuv",
Orah F.Zipper
Denver