Par Claudia (Claudia) le jeudi 11 décembre 2003 - 18h19: |
Endettés, les kibboutz sont en grande difficulté
KIBBOUTZ METZUBA, Israël (AP) - Les kibboutz sont en déclin. Il reste 268 de ces fermes communautaires en Israël, mais beaucoup sont lourdement endettées et voient leur population vieillir. Au point que, de l'avis de certains, cette expérience de collectivisme pourrait bientôt toucher à sa fin.
Les kibboutz doivent au gouvernement israélien 2 milliards de dollars. Deux cents sont très endettés, dont 65 qui ne peuvent plus rembourser leurs emprunts, souligne Avshalom Vilan, ancien patron du Mouvement Kibboutz.
Les fermes communautaires ont été un élément essentiel dans la création d'Israël et leurs membres, essentiellement des ashkénazes -juifs originaires d'Europe- étaient considérés comme des membres de l'élite dirigeante. Un très grand nombre d'officiers de l'armée ainsi que deux Premiers ministres ont vécu dans des kibboutz.
Le déclin a commencé il y a plusieurs décennies. Les jeunes ont commencé à partir en masse, poussés par le manque d'opportunités professionnelles et la monotonie de ce style de vie.
Dans le milieu des années 80, une période de forte inflation, les kibboutz croûlaient sous les dettes et ont été maintenus à flot par le gouvernement, mais beaucoup ne s'en sont jamais remis. Ils "étaient autrefois la gloire d'Israël et sont aujourd'hui des camps de caravanes pathétiques", a résumé le chroniqueur Yael Paz-Melamed dans le quotidien "Maariv".
Tous les kibboutz ne sont pas pauvres. Les plus riches abritent certaines des entreprises les plus dynamiques d'Israël. D'autres ont construit des centres commerciaux ou ont tiré profit de la vente de terres.
Presque chaque kibboutz a connu un certain degré de privatisation au cours des 20 dernières années. Les membres payent maintenant leurs repas et les maisons collectives pour les enfants ont disparu. M. Vilan estime que le seul moyen de sauvegarder les kibboutz est de réduire plus encore le mode de fonctionnement collectiviste.
Le kibboutz Metzuba est le plus pauvre d'Israël. Fondé dans l'ouest de la Galilée en 1941, il est en train de succomber sous une dette de plus de 10 millions de dollars. "Nous avons construit une vie différente et nous pensions que ce serait jusqu'à la fin des temps", raconte Esther Cohen, 77 ans, une couturière d'origine hongroise rescapée des camps nazis.
Aujourd'hui elle se demande si elle ne va pas être expulsée de sa maison. "Que se passe-t-il? Tout s'effondre devant nos yeux." L'usine textile du kibboutz est en train de fermer et les habitants se demandent s'ils vont pouvoir retrouver un travail.
Tous les Israéliens ne compatissent pas aux malheurs des kibboutz. Beaucoup de séfarades, les juifs originaires du Moyen-Orient, gardent de la rancoeur pour le traitement préférentiel dont ont bénéficié les fermes communautaires. Les séfarades qui sont arrivés en grand nombre dans les années 50 en Israël étaient eux envoyés dans des zones reculées et peu favorisées.
"Bien que depuis des années les kibboutz sont à la limite du seuil de pauvreté, ils sont encore considérés comme l'élite ashkénaze qui ponctionne l'argent public", observe Yael Paz-Melamed.
Pour Esther Cohen, la mort à petit feu de son kibboutz réveille son pire cauchemar: l'Holocauste. Craignant de se retrouver dans une situation où elle pourrait être expulsée de son logement, elle rêve que les nazis viennent la chercher pour l'envoyer dans un camp. "Je n'ai pas rêvé de ça depuis 1946, et maintenant tous ces cauchemars reviennent", explique-t-elle. AP
Par Claudia (Claudia) le jeudi 11 décembre 2003 - 18h11: |
Israël devrait bientôt rendre publics les détails de ses projets de retrait unilatéral, selon Ehoud Olmert
TEL AVIV (AP) - Israël devra démanteler "un nombre considérable d'implantations" dans le cadre de son projet de retrait unilatéral de certaines zones de Cisjordanie et de Gaza, a affirmé jeudi le vice-Premier ministre israélien Ehoud Olmert. Il a expliqué à l'Associated Press qu'il révèlerait bientôt les détails précis de son plan pour ce double mouvement, retrait de certaines zones, annexions d'autres, avec comme objectif à terme la séparation totale et unilatérale d'avec les Palestiniens.
Et ce parce que, selon lui, Israël doit être prêt à prendre ces mesures unilatérales en cas d'échec des pourparlers avec les Palestiniens, échec qu'il considère inévitable, surtout depuis celui au Caire des discussions interpalestiniennes destinées à promouvoir une trêve.
En cas d'échec, "il revient à Israël de prendre des mesures unilatérales et de créer une séparation unilatérale entre nous et les Palestiniens".
Reste que le Premier ministre palestinien Ahmed Qoreï s'est inquiété, plus fermement que jamais jeudi, de ces projets: "le feu brûlera et le terrorisme s'aggravera", a-t-il mis en garde dans les colonnes du journal "Maariv".
Ces derniers jours, Olmert et le Premier ministre Ariel Sharon n'ont cessé d'envisager ces retraits unilatéraux de territoires saisis lors de la guerre de 1967. Olmert s'est une nouvelle fois refusé à dire quelles colonies devraient être démantelées, se contentant de dire qu'un "nombre considérable d'implantations et une quantité considérable de personnes vont devoir bouger".
Il exclut en tous cas un retrait jusqu'aux frontières d'avant 1967, ou de la totalité de Jérusalem-Est. "Cela ne sera absolument pas identique aux frontières de 1967. Cela incluera côté israélien la ville unifiée de Jérusalem. Mais cela sera très différent de la réalité qui existe aujourd'hui", a déclaré Olmert à l'AP.
Il a également balayé les mises en garde d'Ahmed Qoreï. "La séparation unilatérale réduit les chances de combat à un minimum, parce que cela sera une réalité entièrement nouvelle. C'est précisément ce qui inquiète les Palestiniens", a-t-il lancé.
Pour lui, cette nouvelle donne, cela d'une vaste décision de type unilatéral de la part de l'Etat hébreu, "peut de toute évidence changer fondamentalement la situation au Proche-Orient".
L'ancien maire de Jérusalem est désormais convaincu que son projet est indispensable pour protéger le caractère juif d'Israël. "Si nous devons faire un choix entre un Etat juif et la totalité d'Israël, malheureusement, je dois préférer un Etat juif, et cela veut aussi dire diviser la terre".
Ce que les Palestiniens "appellent occupation terminera presque complètement, ils ne seront plus en mesure de montrer des Palestiniens sous la menace des armes israéliennes dans des villes palestiniennes", a-t-il conclu. AP
Par Email (Email) le jeudi 11 décembre 2003 - 18h14: |
Réaction du Porte-parole du Ministre israélien des Affaires étrangères suite à la résolution de l’Assemblée Générale des Nations Unies demandant un avis consultatif à la Cour Internationale de Justice de la Haye concernant la barrière de sécurité
Israël condamne l’utilisation cynique de la session spéciale d’urgence – normalement utilisée pour aider à préserver la paix et la sécurité dans le monde– afin de promouvoir les intérêts de ceux qui soutiennent la terreur.
Les Palestiniens ont une fois de plus utilisé la majorité automatique dont ils bénéficient aux Nations Unies pour promouvoir des initiatives qui non seulement sabotent toute tentative de créer les conditions permettant de renouer le processus politique, mais qui portent également préjudice à l’ONU dans la mission qui lui est assignée de préserver la paix et la sécurité dans le monde.
Le cynisme de cette initiative est renforcé par le fait que seuls 90 Etats – moins de la moitié des 191 Etats membres de l’ONU – ont voté pour cette initiative qui tente de condamner Israël, victime de la terreur palestinienne, alors que les terroristes et ceux qui les soutiennent jouissent de la majorité automatique aux Nations Unies. Les résultats de ce vote indiquent également que la communauté internationale est circonspecte quant à la tentative de politisation de la Cour de Justice Internationale de la Haye.
Si les Palestiniens consacraient leur énergie dans des négociations directes et sérieuses avec Israël au lieu de passer leur temps à promouvoir des initiatives inutiles à l’Assemblée Générale des Nations Unies, il serait éventuellement possible de résoudre le conflit. Si l’Autorité Palestinienne remplissait ses engagements, conformément au droit international et à la Feuille de Route, de combattre le terrorisme et de démanteler les infrastructures terroristes, la barrière de sécurité serait alors inutile.
La barrière de sécurité est un moyen d’autodéfense contre la campagne terroriste vicieuse menée par les Palestiniens qui a tué des centaines de civils innocents et en tuera des milliers d’autres si rien n’est fait pour les en empêcher. Il s’agit d’une mesure non violente et temporaire, destinée à protéger des vies humaines et dont l’efficacité a déjà été prouvée.
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 11 décembre 2003 - 08h41: |
LE SAMEDI 20 DECEMBRE 2003 A 20 H 00 S.D.V.
SOUS L'EGIDE DE L'INSTITUT DU TEMPLE DE JERUSALEM
CONCERT EXCEPTIONNEL "CHANTS ET LUMIERES D'ISRAËL"
PAR LE CHANTEUR ISRAELIEN
SCHMUEL BEN-HAÏM,
QUI CHANTERA DES PSAUMES DE DAVID
ACCOMPAGNE A LA HARPE.
EN LA SYNAGOGUE NAZARETH HEKHAL AVRAHAM
15 RUE NOTRE-DAME DE NAZARETH 75003
AU PROGRAMME :
CONCERT - EXPOSITION - ALLUMAGE DES BOUGIES DE HANOUKAH - TOMBOLA...
P.A.F : 15 EURO - ENFANTS : (-13 ANS) 5 EURO
RESERVATIONS AU : 01 42 78 00 30
LES PLACES RESERVEES POURRONT ETRE RETIREES A LA SYNAGOGUE NAZARETH AVANT LE DEBUT DU CONCERT.
Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 11 décembre 2003 - 04h44: |
SESSI ou SASSI.
Nom typiquement judéo tunisien.
Dérive du mot Arabe SESS, qui veut dire "mur ou rempart".
SESSI est supposé être protégé par un mur ou par un rempart protecteur, contre l'AYNE ARA. (Mauvais œil)
Ce prénom se donnait à un enfant qui avait eu des frères morts de mortalité infantile, ou a un fils aîné de crainte qu'il ne meure de l'ayne ara; a l'époque il y avait beaucoup de mortalité infantile, on supposait que la plupart de ces mortalités infantiles provenaient de l'ayne ara.
Je tiens cette information d'une de mes connaissances qui s'appelle SESSI.
Victor Cohen.
Par Email (Email) le jeudi 11 décembre 2003 - 03h35: |
Bonjour,
Quelqu'un connaîtrait il l'origine du prenom (juif à priori) Sassi prononcez Chaichi en judéo tunisien. Est ce un diminutif ou un prénom a part entiere ?. On m'a dit Sasson, Yossef, sassi. J'attends vos suggestions ...
messika
sarcelles, france 95200
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 11 décembre 2003 - 00h35: |
Djlachem bonsoir
je vous ai fait parvenir le texte en hebreu par mail
amicalement
CK
Par Djlachem (Djlachem) le mercredi 10 décembre 2003 - 22h09: |
URGENT +++ POUR HAJKLOUFETTE
Hajkloufette,
pouvez-vous m'indiquer le lien sur lequel je peux trouver l'interview du dirigeant du Hamas
Merci
Par Albert (Albert) le mercredi 10 décembre 2003 - 21h32: |
Vive les DROITS DE L HOMME ET DU CON CITOYEN muet
en Tunisie.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 10 décembre 2003 - 20h23: |
Benzarti, merci pour votre reponse au sujet de la synagogue.
Par Davideden (Davideden) le mercredi 10 décembre 2003 - 19h55: |
Nouvelles du grand pays des droits de l'homme!! Une luniere pour les nations!!
En Tunisie, Radhia Nasraoui arrête une grève de la faim de 57 jours
LE MONDE | 10.12.03 | 13h35
Radhia Nasraoui va cesser sa grève de la faim. L'avocate tunisienne, devait annoncer, au cours d'une conférence de presse convoquée à son domicile, mercredi 10 décembre (Journée mondiale des droits de l'homme) la fin de son mouvement entamé il y a 57 jours. "J'ai contribué à démasquer, une nouvelle fois, le caractère dictatorial et policier du régime de Ben Ali et sa volonté d'instaurer la présidence de la République à vie. Une grève de la faim, ce n'est qu'une action individuelle de protestation. Elle ne peut que sensibiliser l'opinion. Pour changer, il faut un mouvement collectif. Nous devons y réfléchir", a-t-elle confié au Monde mercredi matin, d'une voix très affaiblie.
Militante des droits de l'homme et adversaire résolue du régime du président Ben Ali - au pouvoir depuis seize ans et candidat à sa propre succession -, Radhia Nasraoui, 49 ans, avait entamé une grève de la faim, le 15 octobre, pour "défendre sa dignité d'avocate et de citoyenne tunisienne", comme elle l'avait indiqué dans une tribune publiée dans Le Monde, le 26 novembre.
L'avocate qui, en 2002, avait déjà observé une grève de la faim pendant plus d'un mois, accusait cette fois le régime tunisien d'exercer des pressions, parfois violentes, sur ses clients, ses amis, sa famille et elle-même pour la contraindre à baisser les bras. "Je subis au quotidien des atteintes graves à ma vie privée et professionnelle", écrivait-elle avant de détailler quelques-uns des tracas qu'elle a subis : impossibilité de contacter les membres de sa famille installés en France, téléphone sur écoute quand il n'était pas coupé, surveillance policière continue...
"JE N'AI JAMAIS COMPTÉ SUR LUI"
Après avoir ignoré les premières semaines de la grève de la faim de l'avocate, les autorités tunisiennes avaient réagi en rejetant en bloc les accusations de Mme Nasraoui. Comment peut-elle "dénoncer l'absence de liberté alors qu'elle reçoit chez elle qui elle veut, se déplace librement et accorde des interviews ?", avait fait observer un haut fonctionnaire tunisien interrogé par l'Agence France-Presse.
La situation, dont la presse tunisienne n'a jamais rendu compte, est restée bloquée jusqu'à la visite à Tunis, au début du mois de décembre, du président français. Mais, alors que les défenseurs des droits de l'homme attendaient de Jacques Chirac qu'il use de son influence sur le président Ben Ali pour dénouer honorablement l'affaire - l'état de santé de Mme Nasraoui inspirait déjà des inquiétudes sérieuses -, ils en ont été pour leurs frais. Au cours d'une conférence de presse, le chef de l'Etat français décernait publiquement un satisfecit au président Ben Ali en matière de droits de l'homme, en même temps qu'il s'efforçait de banaliser la portée du mouvement de l'avocate.
Applaudis par les autorités, les propos présidentiels allaient susciter un tollé en Tunisie et en France, contraignant Jacques Chirac à faire machine arrière dès le lendemain.
Pour Radhia Nasraoui, la prise de position du président français sonnait comme une trahison, même si, dit-elle, "je n'ai jamais compté sur lui". En contrepartie de l'arrêt de sa grève de la faim elle ne demandait plus qu'une chose : "Un engagement officiel à voir s'ouvrir une enquête sérieuse concernant mes plaintes".
Même cette requête est restée sans réponse et, avec la cessation de la grève de la faim, les autorités, qui n'ont rien cédé sur le fond, peuvent avoir le sentiment d'avoir gagné la partie. Les proches de Radhia Nasraoui contestent toutefois cette analyse. Pour eux, l'avocate a gagné. "Elle a mené une grève marathon, réveillé la conscience de nos intellectuels et crié la tragédie tunisienne en dehors de nos frontières. Ce n'est pas rien", résume l'un de ses proches, le journaliste Taoufik Ben Brik
Par Nanou (Nanou) le mercredi 10 décembre 2003 - 19h14: |
C'est David qui arrive chez sa mère en courant.
Maman..maman...j'ai trouvé la femme de ma vie !
Elle est belle, intelligente, gentille....bref elle à tout pour plaire. Mais tu sais maman....je te connaiiiiis et je ne veux pas t'influencer alors tu sais ce que l'on va faire???? Toi tu t'occupe d'organiser un repas à la maison...genre "petit" coucous boulettes....et moi je vais venir avec 3 "Top Model" et tu devras deviner qu'elle est la femme de ma vie.
Le samedi soir arrive il présente les 3 bombes anatomiques à sa mère et le repas ce passe à merveille.
David ramène les filles et en revenant demande à sa mère :
-"Alors maman tu as trouvé qui était la femme de ma vie?"
-"dis moi mon fiiiils, ce ne serait pas celle qui avait le tailleur bleu?"
-"Ouiiiii maman .....c'est pas possible tu as deviner ....
comment ?....comment tu as fais...? dis moi ...?
- chais pas.....j' laime pas !
Nanou
Par Nao (Nao) le mercredi 10 décembre 2003 - 19h06: |
En bref ds la presse:
Fermeture de deux établissements scolaires islamistes
PARIS (AP) - Le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, a annoncé mercredi que "deux établissements scolaires illégaux d'inspiration salafiste" ont été fermés la semaine passée dans le département des Hauts-de-Seine, en région parisienne.
"La semaine dernière, un préfet a été amené à fermer deux établissements scolaires illégaux d'inspiration salafiste, une maternelle et une crèche, à Fontenay et à Antony", a-t-il annoncé lors de la séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale.
Le salafisme est une des variantes radicales de l'islamisme politique.
A cette occasion, il a rappelé que "s'agissant du terrorisme islamiste, ce sont 101 personnes qui ont été interpellées et 42 qui sont en prison" depuis le début de l'année.
"La lutte contre le terrorisme ne peut nous autoriser aucun relâchement de vigilance", a-t-il conclu. "Ceux qui ne respecteront pas la règle républicaine et les lois de notre pays seront reconduits dans leur pays et les établissements seront fermés". AP
A un moment critique du developpement de l'islamisme fanatique, heureusement que nous avons Sarko certainement un des mes meilleurs Ministre de l'Interieur qu'a eu la France depuis 20 ans..
Debka:
Hamas orders terror operatives to go back to full-scale suicide bombing offensive against Israel. They have come up with a new type of extra-powerful, miniaturized explosive.
Lebanese army says it foiled a suicide bomb attack on US embassy at Awkar outside Beirut, arrested man who tried to gain entry carrying 2.2 lbs explosives and a Palestinian with him.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mercredi 10 décembre 2003 - 18h56: |
Couronnée du Nobel de la paix, Shirin Ebadi s'en prend aux Etats-Unis
OSLO (AFP) - L'avocate iranienne Shirin Ebadi a reçu le prix Nobel de la paix mercredi à Oslo et a critiqué, en des termes à peine dissimulés, les Etats-Unis, accusés de violer le droit international en prenant prétexte des attentats du 11 septembre.
"Les droits de l'Homme sont enfreints non pas seulement par ceux qui s'y opposent notoirement (...) mais ces principes sont aussi violés par les démocraties occidentales", s'est inquiétée dans son discours de remerciements Mme Ebadi, première femme musulmane à recevoir la prestigieuse récompense.
"Au cours des deux dernières années, certains Etats ont violé les principes universels et les droits de l'Homme en utilisant les événements du 11 septembre et la guerre contre le terrorisme international comme prétextes", a-t-elle dit, s'exprimant en farsi.
Visant les Etats-Unis, sans mentionner explicitement Washington, Mme Ebadi a évoqué le cas des centaines de prisonniers détenus à Guantanamo "sans la protection prévue par les conventions internationales de Genève, par la Déclaration universelle des droits de l'Homme et par les textes des Nations unies sur les droits civils et politiques".http://fr.news.yahoo.com/031210/202/3jhfk.html
Elle aura fait fort pour son premier discours , s en prendre a Israel et aux Etats Unis et a leur lutte contre le terrorisme plutot qu a celui ci ... le prix nobel de la paix !!! on en reparlera !!!