Par Emma (Emma) le lundi 15 décembre 2003 - 18h46: |
Par Wnes (Wnes) le lundi 15 décembre 2003 - 18h24: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Cher Ami Snoussi, Le Ftileur te communique quelques références, concernant Elyssa, pour un bon usage :
HISTOIRE DE LA TUNISIE
La Tunisie était peuplée depuis la préhistoire; des traces de présence humaine ont été découvertes dans les couches profondes du paléolithique. Ses premiers habitants connus sont les Berbères.
814 Av. JC : fondation de Carthage par des colons phéniciens, conduits par la Reine Didon, appelée aussi ELYSSA.
La nouvelle cité se développe rapidement devenant un grand foyer de civilisation et une puissance redoutable qui inquiète Rome.
Sour - Tyr :
C' est la ville importante du roi Hiram qui vécut au Xieme Siècle A.C .
Nabuchodonozor l' a assiégée durant 13 ans et Alexandre le Grand en fit de même.
La ville est célèbre par son hippodrome ' le plus grand du monde' .
C' est une ville florissante .La reine Elyssa la fille de Tyr fonda ' Carthage' .
CARTHAGE
Fondée vers -814 par des exilés de Tyr,
La première fondée par une princesse venue de Phénicie, Elyssa-Didon fit entrer l' Afrique dans la lumière de l' histoire.
La Carthage punique d' Hannon fut reine des mers, et celle d' Hannibal, maîtresse du monde, connut son heure de gloire, avant de disparaître.
Auguste bâtit la Carthage romaine pour être capitale de l' Africa proconsulaire, et la Carthage impériale qui lui succède honore les arts et les lettres.
La chrétienne de saint Augustin semble une cité exaltée autant par la religion que par les passions. Elle devient vandale pendant un siècle, puis byzantine avec Bélisaire.
Bien à Toi,
Wnessou El Douda
Par Snoussi (Snoussi) le lundi 15 décembre 2003 - 16h11: |
je ne sais pas où j'ai lu que le nom d'Elyssa se trouve à la Thora et est amplement cité. Je ne sais pas dans quel contexte et comment. Et je ne sais au juste quel Thora. Si quelqu'un connait cette informationprière me la signifer avec la référence, merci
Par Mailroom (Mailroom) le lundi 15 décembre 2003 - 04h48: |
Le B’nai B’rith de Saint-Maur-La Varenne et Hatikva
Vous invitent à la projection du film
DECRYPTAGE
… et si l’information n’était pas ce que l’on croit ?
Film de Jacques Tarnero et Philippe Bensoussan
Suivi d’un débat avec
Jacques Tarnero,
Clément Weill-Raynal,
journaliste à France 3, Président de l’Association des journalistes juifs de France
et Nadine Epstain,
grand reporter à Radio France
« Un autre regard sur la presse d’aujourd’hui »
Lundi 2 février 2004
à 20h30
Au cinéma de la Mairie de Joinville-le-Pont - 23, rue de Paris
PAF : 10€
ATTENTION: NOMBRE DE PLACES LIMITEES!
Reservez vos places en écrivant à gerardboum@hotmail.com
Par Claudia (Claudia) le lundi 15 décembre 2003 - 01h24: |
Antijudaisme: scène de la vie quotidienne à Paris.
Le quotidien libération relate dans son édition de samedi la tragédie vécue par un jeune garçon de 11 ans, persécuté par 2 de ses camarades de classe pendant plus de deux mois, au seul motif qu’il était juif.
L’adolescent présentait des troubles du comportement, évoquait parfois le suicide et a même fait 3 séjours aux urgences, mais par peur de représailles, il a longtemps hésité à avouer le calvaire qu’il endurait.
Deux élèves de sa classe de sixième, d’origine maghrébine, l’ont martyrisé, violenté et insulté quotidiennement. «Sale juif!»; «Tous les juifs vont être exterminés!».
Comme cela est souvent arrivé dans de pareils cas, la conseillère d’éducation du lycée Montaigne (VIe arrondissement de Paris) conseille aux parents de ne pas «exagérer» les faits et promet de régler "le différent" à l’amiable. Elle étouffera l’affaire, augmentant en cela le sentiment d’injustice du jeune garçon.
Pire encore, on suspecte alors l’enfant d’être un affabulateur. «On lui a nié le droit d'être victime, explique sa mère. Je ne jette pas la pierre au proviseur, mais c'est insupportable d'entendre des gens dire que "c'est parole contre parole", et qu'il faut "préserver la présomption d'innocence" alors que mon fils souffrait terriblement et qu'on disposait des certificats médicaux.»
Et la maman encore sous le choc conclue : «Je ne voulais pas être défendue, mais simplement entendue. C'est effroyable de savoir que votre enfant se fait frapper en entendant ce qu'il a entendu. Ça rappelle les pires souvenirs. Une association de parents m'a pourtant dit qu'il s'agissait d'un problème entre communautés. Une autre que je ferais mieux de changer mon enfant d'établissement.»
Tous n’ont cependant pas tenté de minimiser où de banaliser le drame vécu par l’adolescent.
Un parent d'élève qui s’insurge contre les méthodes expéditives et tendancieuses de l’équipe pédagogique du lycée Montaigne estime que : «Beaucoup craignent la stigmatisation de la communauté maghrébine. Mais il s'agit simplement de condamner ces actes. Ne pas dire les choses, c'est empêcher leur résorption.»
Les deux agresseurs passeront en conseil de discipline, la victime est selon sa mère, sortie du monde de l’enfance.
A7.fr
Par Email (Email) le lundi 15 décembre 2003 - 02h03: |
Coups et blessure antisémites au lycée Montaigne
A Paris, deux élèves de 6e de l'établissement parisien passeront la semaine prochaine en conseil de discipline pour en avoir frappé et insulté un troisième.
Par Michaël HAJDENBERG
samedi 13 décembre 2003
«On l'a peut-être traité de sale juif, mais c'est une insulte devenue super- banale, qui peut sortir parmi d'autres.» Claire, élève de 3e l a d'abord fallu que la victime parle. Pendant plusieurs semaines le collégien de 11 ans a souffert en silence, évoquant des envies de suicide sans que ses parents ne comprennent. Il a encore fallu attendre deux mois de plus pour que le lycée Montaigne (VIe arrondissement de Paris) réunisse un conseil de discipline. La semaine prochaine, il examinera le cas des deux agresseurs. Ces deux élèves de sixième, d'origine maghrébine, l'ont insulté et frappé à plusieurs reprises parce qu'il était juif. «Il va enfin pouvoir se reconstruire», espère sa mère, trois mois après le début des violences . A Montaigne, établissement chic du quartier latin, comme ailleurs, le règlement de ces situations se fait dans la douleur.
Ses hématomes, ses trois visites aux urgences, l'enfant les a d'abord expliqués par des chutes en cours de gym et des glissades dans des flaques d'eau. Traumatisme, crainte de l'isolement, peur des représailles : ce n'est que lors d'une rencontre avec une ancienne institutrice que l'enfant révèle son calvaire, les insultes : «Sale juif!»; «Tous les juifs vont être exterminés!» Et les coups infligés. Au collège, la conseillère principale d'éducation (CPE) suggère à la famille de ne pas trop en faire et promet des sanctions. Qui ne viennent pas.
Aveux. A sa demande, l'élève est changé de classe, mais ses nouveaux professeurs en ignorent la raison. Alerté par le médecin scolaire, le proviseur prend finalement les choses en main. Il prévient le rectorat et décide de «mener des recherches». Mais l'attente est insoutenable pour l'enfant. D'autres élèves, influencés par les agresseurs, le traitent alors de «sale menteur». «On lui a nié le droit d'être victime, explique sa mère. Je ne jette pas la pierre au proviseur, mais c'est insupportable d'entendre des gens dire que "c'est parole contre parole", et qu'il faut "préserver la présomption d'innocence" alors que mon fils souffrait terriblement et qu'on disposait des certificats médicaux.»
Les agresseurs n'avouent pas, et quand ils s'y résolvent, se rétractent le lendemain. Pour le proviseur, «il fallait éviter une justice expéditive. Il était nécessaire que les enfants se dénoncent clairement», même s'il reconnaît des «erreurs de communication». Faute d'information, les élèves doutent quand ils apprennent la nouvelle par les médias. «Il y a plein d'autres juifs à Montaigne, et ils n'ont jamais eu de problème», confiait Ruben, en terminale, cette semaine à la sortie des cours. Pour Claire, en troisième, «on l'a peut-être traité de sale juif, mais c'est une insulte devenue superbanale, qui peut sortir parmi d'autres sans qu'il y ait d'antisémitisme. Il ne faut pas être trop sévère avec des élèves de sixième qui ne sont pas conscients de ce qu'ils font.»
«Affaire de gosses». Le père de l'un des deux agresseurs le moins violent , gardien d'immeuble à proximité du collège partage ce point de vue : «Vous croyez qu'ils ont conscience de ce qu'ils disent ? Ce sont des bébés.» Cette «affaire de gosses», il ne parvient pas à l'expliquer. «On ne parle jamais de ça à la maison. Il a dû entendre ça à la télévision ou à l'école. Ce sont des mots. Il s'est excusé. Vous croyez qu'on aurait fait tout ça si c'était mon fils qui s'était fait insulter ? Ça avance à quoi ?» Même après les aveux des enfants, réitérés à plusieurs reprises, certains professeurs ont émis des doutes. A l'initiative d'un délégué syndical, une pétition a circulé, reprochant au proviseur d'avoir «extorqué» les aveux. Les associations de parents d'élèves ont également réagi, dans un premier temps, avec circonspection. Avant de se ranger aux côtés de la famille de la victime.
«Je ne voulais pas être défendue, mais simplement entendue, explique la mère de la victime. C'est effroyable de savoir que votre enfant se fait frapper en entendant ce qu'il a entendu. Ça rappelle les pires souvenirs. Une association de parents m'a pourtant dit qu'il s'agissait d'un problème entre communautés. Une autre que je ferais mieux de changer mon enfant d'établissement.» La famille n'a pas voulu envisager cette solution. «Je suis partisane du laïc. Il n'est pas question de céder, et donner raison aux agresseurs. Il faut qu'ils comprennent que nous ne sommes pas des représentants de l'Etat d'Israël en France.»
«Exemplaire». Un parent d'élève critique à l'égard des professeurs remarque : «Beaucoup craignent la stigmatisation de la communauté maghrébine. Mais il s'agit simplement de condamner ces actes. Ne pas dire les choses, c'est empêcher leur résorption.» Pour pouvoir tourner la page, les parents attendent impatiemment le conseil de discipline. Ils espèrent une sanction «pas trop forte, pour ne pas faire des agresseurs des victimes», mais «exemplaire, pour que ce type de comportements ne se banalise pas».La mère ajoute: «On lui a volé une partie de son enfance.»
Par Albert (Albert) le dimanche 14 décembre 2003 - 21h41: |
Et comment Slim, Saida Sassi....Ancienne figure de premier plan, pendant l'ére du ZAIEM. ZAL.
Par Slim (Slim) le dimanche 14 décembre 2003 - 18h50: |
Au fait ya Bekhor, Sessi est un nom Kerkenien tout comme Souissi. Tu connais les Sfaxiens, si tu ne fais pas parti des 14 tribus Sfaxiennes (Charfi, Sallemi, Besbes, Ghorbel, Kammoun, Fakhfekh, Zribi, Ellouz, etc.), tu n'es pas consideres par eux comme pur Sfaxien: Sfaqsi m'harhar (une demie-plaisantrie):-).
Il ya aussi une distinction entre les Sfaxiens du centre ville et Sfaqsiet ettouabi (ceux des banlieues: touebi vient de Tabia qui veut dire ces separations entre proprietes constituees des plantes des figues de barbarie (Hindi).
Si tu te rappelles bien, il y a une figure dans l'histoire moderne de la Tunisie qui porte le Non Sessi : "Saida Sessi". Nos amis Breitou et Emile connaissent surement qui est cette dame.
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 14 décembre 2003 - 20h13: |
Par Albert (Albert) le dimanche 14 décembre 2003 - 19h27: |
Reste le BEN LADEN....
Par Mounia (Mounia) le dimanche 14 décembre 2003 - 18h33: |
Certaines des atrocités commises sous le régime de Saddam Hussein
BAGDAD (AP) - Voici quelques exemples d'atrocités commises par le régime de Saddam Hussein en Irak:
- 1980: avec la guerre contre l'Iran, la pratique des expulsions s'accélère. Des centaines de milliers d'Irakiens d'origine iranienne (tabaiyya) et des Kurdes chiites voient ainsi leurs biens confisqués, sont jetés dans des camions et conduits à la frontière iranienne. Plusieurs centaines meurent de froid. Leurs enfants, au nombre de plusieurs milliers de mineurs, sont par ailleurs emprisonnés, tous devant mourir dans les 15 années qui suivent
- juillet/août 1983: campagne lancée dans la région d'Erbil contre la tribu kurde des Barzani accusée d'avoir aidé l'Iran à attaquer le nord de l'Irak. On estime que 8.000 seront tués, dont beaucoup seront jetés dans des charniers dans le sud du pays
- février/septembre 1988: grande offensive baptisée "Anfal" contre les Kurdes dans le nord du pays, accusés de chercher à être autonomes. Plus de 170.000 d'entre eux sont massacrés et parfois même gazés, comme à Halabja en mars (5.000 morts). De nombreux corps seront enterrés dans des charniers dans le sud du pays
- mars/avril 1991: violente répression des insurrections chiites et kurdes après la guerre du Golfe. Le chiffre de 60.000 morts est couramment évoqué, beaucoup finissant dans des charniers
- juillet/août 1992: drainage et assèchement des marais dans le sud du pays, repère des maquis chiites. Cette politique revient à chasser la population locale (les Madans) et à détruire l'habitat naturel. On estime que des dizaines de milliers de personnes n'ont pas survécu
- 1979-2003: sous le régime de Saddam Hussein, ont été recensées de nombreuses disparitions de prisonniers politiques, dont des Turkmènes, des dirigeants religieux et des communistes. Des dizaines de milliers d'entre eux auraient été exécutés et beaucoup jetés dans des charniers, parfois à proximité des lieux de détention. AP
Par Albert (Albert) le dimanche 14 décembre 2003 - 15h48: |
Nous savions que les américains avaient des DENTS contre lui, à présent, ils vont lui ,chercher les POUX....
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 14 décembre 2003 - 15h29: |
Il n a pas l air fier !!!
voici une image:
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 14 décembre 2003 - 14h40: |
L humiliation en direct sur tourtes les chaines de television
Voici une image :