Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 31 mai 2006 - 03h15: |
ce beurre,c'est la creme de la creme?
Par Meyer (Meyer) le mercredi 31 mai 2006 - 01h58: |
Les pis à lait sont les meilleurs atouts de l'agriculture israélienne avec lesquels elle fait son beurre.
Par Toufiq (Toufiq) le mardi 30 mai 2006 - 20h41: |
au lait!!
Par Breitou (Breitou) le mardi 30 mai 2006 - 20h05: |
Dommage que tu ne connais pas les VACHES A PIE DE BREITOU....ELLES DONNENT DU BEURRE AUSSI AVEC MON PETIT LAIT...!
HAIM...
Par Victor (Victor) le mardi 30 mai 2006 - 20h03: |
Les vaches laitières israéliennes sont les plus productives du monde ! C'est ce qui ressort des nouvelles données publiées par le Bureau central des statistiques à l'occasion de la fête de Shavouot. En 2005, les vaches israéliennes ont produit 1,221 millions de litres de lait soit 1,1% de plus qu'en 2004. Par ailleurs, chaque israélien consomme 185 litres en moyenne par an.
(Guysen.Israël.News)
Par Claudia (Claudia) le mardi 30 mai 2006 - 18h26: |
"Nous condamnons tout acte raciste"
NOUVELOBS.COM
par Yaakov,
responsable du Bétar
La Tribu KA affirme avoir agi à la suite à d'agressions de noirs lors de la manifestation à la mémoire d'Ilan Halimi. Avez-vous eu connaissance de tels incidents ?
- Je souhaiterais tout d'abord apporter un droit de réponse à l'article de nouvelobs.com d'hier qui nous présentait comme un mouvement extrémiste et violent: le Bétar n'approuve pas, et dénonce, tout acte à connotation raciste commis à l'encontre d'une quelconque communauté. Notre seul but est la défense de la communauté juive et d'Israël.
Maintenant, concernant la manifestation à la mémoire d'Ilan Halimi, il faut savoir que le Bétar n'avait pas spécifiquement appelé à manifester ce jour-là et que nos militants s'y sont rendus à titre individuel. Mais, après en avoir parlé avec eux, aucun n'a constaté d'agression raciste ou de débordement et, surtout, aucun d'entre eux ne saurait participer à de tels actes. Et s'il est avéré que ces actes ont bel et bien eu lieu, bien entendu nous les condamnerons vigoureusement.
Avant l'incident de dimanche dernier, la Tribu KA affirme avoir eu au téléphone des personnes se présentant comme membres de la Ligue de défense juive (LDJ) et du Bétar et les "invitant" à se rendre rue des Rosiers pour en découdre. La LDJ a d'ailleurs publié un communiqué assez provocateur intitulé "Blanc de peur!". Confirmez-vous ces contacts ?
- Je le démens formellement nous concernant. Concernant la LDJ, je ne peux pas être au courant. La LDJ n'est pas le Bétar et nous n'avons aucun rapport. Je ne connais d'ailleurs pas les membres de ce mouvement et aucun de nos militants n'en fait partie. C'est pour nous une condition sine qua non. Cela peut peut-être paraître une ligne "dure", mais nous ne partageons pas nos idées avec d'autres mouvements et nous n'avons donc aucun contact avec la LDJ.
Mais, de toute manière, nous condamnons toute violence et tout discours violent et raciste. Notre travail est avant tout éducatif et idéologique et nous n'avons, je le répète, aucun rapport avec ces affaires.
Comment comptez-vous réagir ? Comment éviter que la situation ne dégénère ?
- Je pense que c'est d'abord aux pouvoirs publics de réagir.
Si nous sommes attaqués physiquement, nous utiliseront bien entendu notre droit à la légitime défense, mais pour l'instant ce n'est pas le cas et, encore une fois, la violence ne fait pas partie de la politique du Bétar. Pour l'instant, il faut laisser la police faire son travail.
Nous appelons également à ne pas faire d'amalgame. Le Bétar souffre malheureusement d'une mauvaise image de marque qui n'est pas justifiée. Notre travail est un travail éducatif, de défense de la communauté juive et du sionisme. Nous sommes un mouvement qui n'est ni raciste ni xénophobe, et nous condamnons tout acte de violence. Le peuple juif, de par son histoire et les souffrances qu'il a endurées, ne peut devenir un peuple à consonance raciste.
Propos recueillis par Jérôme Hourdeaux
(le mercredi 30 mai 2006)
Par Victor (Victor) le mardi 30 mai 2006 - 17h28: |
Le Crif en action
« Les Réfugiés palestiniens », un débat exceptionnel au centre de conférences internationales
30/05/06 - - : Proche-Orient
À l’invitation du CRIF et du Congrès Juif Européen, plusieurs centaines de personnes se sont retrouvées au Centre de Conférences Internationales de Paris pour assister à une table ronde autour du thème « Les réfugiés palestiniens ». À la tribune, autour de Pierre Besnainou, président du CJE, Roger Cukierman, président du CRIF et du modérateur, Jean-Pierre Allali, quatre Israéliens et un Palestinien : Ruth Lapidot, Professeur de Droit International, Nissim Zvili, ancien ambassadeur d’Israël en France, Ilan Greilsammer, Professeur de Politique comparée et de Relations internationales, Jean-Claude Niddam, responsable, au ministère israélien de la Justice des relations avec l’Autorité palestinienne et Bassem Eid, Directeur exécutif de l’organisation Palestinian Human Rights Monitoring Group.
Les interventions liminaires des deux présidents ont clairement orienté les débats : il s’agissait de bien rappeler les définitions juridiques légales du statut de « réfugié », d’expliquer pourquoi, contrairement à tous les problèmes de réfugiés que le monde a connus depuis des décennies, seul celui concernant les Palestiniens n’a pas trouvé de solution, de préciser le rôle de l’UNRWA (United Nations for Relief and Work Agency), de tenter de cerner les responsabilités dans l’exode des populations palestiniennes lors de la Guerre d’Indépendance de l’État juif , de donner une évaluation chiffrée du nombre de réfugiés palestiniens, d’examiner l’épineuse question du « Droit au Retour », si souvent évoquée, au cours des ans, par les dirigeants palestiniens.
À Ruth Lapidot qui a bien précisé les concepts en vigueur au niveau des lois internationales en insistant sur la différence essentielle entre une loi et une recommandation et qui a mis en avant l’élargissement, inédit, par l’UNRWA du statut de réfugiés aux descendants des personnes déplacées en 1948, a succédé Ilan Greilsammer, qui a remonté le cours de l’Histoire en faisant la part des choses entre le récit des événements, longtemps considéré comme la vulgate israélienne, rejetant la plus grande part de responsabilité de la situation sur les Palestiniens et celui des « nouveaux historiens ». Ilan Greilsammer a avoué son inquiétude face à une société qui a abandonné l’idéal pionnier des débuts au profit d’une course effrénée à la consommation. Bassem Eid, lui, a étonné la salle par ses vives critiques de la plupart des régimes arabes qui, malgré leurs énormes moyens financiers, n’ont pas su trouver une solution honorable à la situation dramatique des réfugiés palestiniens et par sa conviction que nombreux seraient les Palestiniens qui préféreraient, s’ils avaient le choix, être accueillis en Suède ou au Canada plutôt que dans le futur État palestinien. Jean-Claude Niddam, qui n’a pas hésité à lire, en arabe et dans le texte, des versets du Coran qui évoquent la destinée du peuple juif et sa terre légitime, a demandé que ceux qu’il considère comme des « réfugiés juifs », les exilés des terres d’islam qui ont rejoint Israël, ne soient pas oubliés dans ce débat d’idées. S.E. Nissim Zvili, enfin, a tenu un discours sans ambages sur le « droit au retour ». « Si ce droit signifie la venue en Israël même des millions de Palestiniens, la réponse est non car Israël, État juif, n’a pas vocation à disparaître ».
Dans le débat qui a suivi avec le public, parmi lequel on notait la présence de Madame Nicole Guedj, ancienne ministre, de Monsieur le Grand rabbin Sirat, de Joël Mergui, président du Consistoire de Paris, de François Zimeray, président de la communauté d’agglomération de Rouen, du général Darmon, de représentants de plusieurs ambassades arabes et, pour l’ambassade d’Israël, de M.M Raphaël Barak et David Kornbluth et de Madame Dina Sorek et de nombreux responsables de la communauté juive, les questions les plus diverses ont été posées. La plus inattendue : « Et si les Palestiniens n’avaient pas bougé comme le leur avaient recommandé Israël, Ben Gourion en tête ? » Réponse : « Israël, pour des raisons démographiques, n’existerait pas tel qu’on le connaît aujourd’hui ». La plus émouvante, celle du ministre plénipotentiaire à l’ambassade de Jordanie, M. Ibrahim Awawdeh : « Dans ce drame des réfugiés palestiniens, quelqu’un peut-il me donner quelques raisons d’espérer ? ». Réponse : « La situation, aujourd’hui, après le résultat des élections palestiniennes, est encore plus délicate qu’auparavant, mais, oui, il y a toujours de l’espoir ».
Une très belle soirée.
http://www.crif.org/?page=articles_display/detail&aid=7034&artyd=2&stinfo=264.$$id_send.$$id_user
Par Lalla (Lalla) le mardi 30 mai 2006 - 15h57: |
cher Albert
merci pour ce compte rendu de ce dimanche pas comme les autres! rires sourires, larmes de bonheur, tout y etait pour rendre ces instants divins et inoubliables; Que Dieu vous protege;
Par Girelle (Girelle) le mardi 30 mai 2006 - 14h55: |
Henri,
Je n'ai plus votre mail depuis le virus qui a entrainé un reformatage de mon ordinateur.
Pouvez vous m'envoyer un mail s'il vous plait?
Annie
Par Girelle (Girelle) le mardi 30 mai 2006 - 14h52: |
Albert,
C'est le plus beau reportage que vous ayez fait.