Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 21 décembre 2003 - 19h32:

Josiane , je ne connais pas la coutume tune mais je connais la coutume israelienne ... chez nous on donne un cadeau a l allumage de chaque bougie !!! peu importe c est tellement agreable de gater nos petits garnements ... surtout que les cadeaux peuvent etre des babioles ... par contre elle aura un super cadeau pour la fete des filles ... voila je crois que pour offrir on n a pas besoin de coutume ... c est comme vous le sentez .... quand a Noel ???? elle n aura rien !!! sauf son cadeau de hanouka !!!

Par Albert (Albert) le dimanche 21 décembre 2003 - 19h31:

Si je vous ai ecrit autant, c'est parce que c'est l'anniveraire de ma fille ainèe.

Par Albert (Albert) le dimanche 21 décembre 2003 - 19h24:

Ici pour les ADRAIQUES DE L ADREATIQUE PLEIN DE
D ADRENALINE...


ALBERT SIMEONI
REFLEXION LE 4/5/2003


‘…..Vous serez bien chez nous….’

Extrapoler.

Nous sommes en l’an de grâce 2035.

J’ai 95 ans et ma femme un peu moins, juste ce qu’il faut pour son âge.

Les années et leurs poids pèsent sur nos épaules au point de nous arque-bouter. Et même rétrécis, rabougris.

‘Pourquoi les vieux rétrécissent –ils, ma fille… ?

Et nous sommes seuls à la maison entre 16 murs, 4 fois 4 chambres.
Mon gendre et ma fille sans les enfants, puisqu’ils ont grandi depuis et même peut être mariés sont venus nous rendre visite comme ils le font depuis le premier jour de leur mariage.

Et ils nous répètent inlassablement…..

‘Bébert…. ! Papa…! Maman….! Alors pourquoi ne pas venir habiter chez nous…. ? Nous avons beaucoup d’espace à présent … ! Votre chambre est prête… !’

Je les regarde de mes petits yeux et sous l’œil bienveillant de ma femme qui ne dit rien…..

‘Pourquoi les yeux des vieux rétrécissent- ils, ma fille…. ?’

Et de ma petite voix qui a perdu de son énergie……

‘Pourquoi la voix des vieux perd-elle de leur énergie … ! Ma fille… ?’

Je lui dit , en lui prenant sa main entre ma main toute tremblante et nervurèe….

‘Pourquoi les mains des vieux tremblent-elles… ! Ma fille… ?’

‘Sam, tu sais je suis un vieux goulettois avec mes anciennes manies qui loin d’être françaises sont restées traditionnelles, je pète encore, éternue sans me rendre compte qu’un bout de morve m’a échappé, je me balade encore en culotte montrant mes fesses ridées dans un caleçon devenu trop large qui laisse entrevoir ce qui a considérablement rétréci…même disparu…. ?’

‘Pourquoi les couilles des vieux fondent- elles…. ! Mon fils… ?’

‘…Mes mollets, ma fierté d’avant se sont ‘varicèes’, crois-tu vraiment que je fasse encore partie de ce cadre moderne dans lequel vous vivez …. ?’

Lui……..’ Mais on s’en fout du cadre, tu nous as habitué à tout cela déjà….. !’

Moi…….’Imagine que je me lève à minuit pour aller au W.C et que trébuche sur une casserole qui se trouvait là par accident …. !’

Lui……..’Papi tu as déjà vu une casserole posée dans le palier, toi… ?’

Moi…….’ ….Que je tousse fort ou que j’oublie de tirer la chasse ou encore que je laisse quelque trace sur la paroi de la cuvette…. ?’

Lui……..’..Tout cela n’est que prétexte, tu essayes d’inventer des choses…. !’

Moi…….’ Imagine…..! Que je glisse à cette heure là… ! Vous aurez une peur comme pas possible…. !’

Lui……..’ Albert, tu ne tomberas pas, tu es un ancien sportif…. !’

Moi…….’ Imagine fils, que je trépasse chez toi, loin de mon lit et de mes murs….. !’

Lui……..’ Je vais vous apporter le lit…. !’

Moi…….’….Et les murs aussi…. ? ‘

Lui……..’ Mais enfin cesse de compliquer la situation….. !’

‘Pourquoi les vieux veulent ils toujours mourir chez eux, Ma fille…. ?’

Moi…….’ Je ne veux pas endeuiller votre lieu …. !’

Lui……..’ …Ecoute….Ce sera un grand honneur de vous avoir près de nous je t ‘assure papi Albert…Avec des jeunes- vieux comme vous….! Nous passerons des moments inoubliables….. !’

Moi……..’ Je vais te citer un ancien proverbe d'avant…..‘Makbar rakhitèk yèli mè yandékch dar… !’ ‘Combien est grande ta merde, toi qui n’a pas son chez soi….’ Cela sous-entend que l’on se lasse même de ses parents quand ils sont chez les autres… !’ Ils gênent, même s’ils sont les plus ‘cools’ du monde, alors mon fils, par dignité et pas par fierté, les vieux répugnent qu’on attente à leur indépendance malgré tout, ils veulent souvent partir de chez eux et de chez personne….’

Alors, il se lève le Sam, mon gendre, pour m’embrasser sur mon front dégarni comme il le fait depuis le premier jour où il est rentré, marié chez nous.

Mais au fond de moi, nous avons tellement envie…..tellement…tell….Euffffff…. !

‘….Pute de Vieillesse
Que de maladresses !
Ne nous fais-tu pas faire… !’

Albert L’Enfant de la Goulette.

Par Albert (Albert) le dimanche 21 décembre 2003 - 19h05:

Votre maman, a raison. Les cadeaux se donnent pour les pourims et autres fêtes de garçons et filles.
Bon, gardez votre sang froid, le mien est chaud.
Achetez leur une babiole qui leur fera plaisir vis à vis des autres camarades,Madame Josianne BELLE VOIX..
On s'invente d'autres coutumes ici...

Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 21 décembre 2003 - 18h55:

Bonjour,

Mes enfants me rendent folle avec leurs histoires de cadeaux de hannoucah.
Ils disent que leurs amis recoivent des cadeaux tous les jours et il y en a meme certains qui recoivent autant de cadeaux qu'il y a de bougies tous les soirs.
Pouvez vous me dire qu'elle etait notre coutume en Tunisie ?
Ma mere me dit que les cadeaux n'existaient pas a l'occasion de hannoucah en Tunisie.
Moi je veux bien faire un petit cadeau mais apres tout hannoucah n'est pas Noel.

Merci d'avance,

Josiane

Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 21 décembre 2003 - 18h51:

Fritures pour Hanukkah -

Ma mere qu'on appelait Fritna, faisait frire des yoyos, makrouds, debla bel ashell, et apres, elle preparait du miel maison avec du sucre et trempait les fritures dans ce miel maison.

Rahel

Par Emma (Emma) le dimanche 21 décembre 2003 - 18h40:

Antisémitisme au lycée Montaigne à Paris: deux élèves exclus définitivement

PARIS (AFP) - Deux élèves de sixième du prestigieux collège-lycée Montaigne à Paris, auteurs de violences à caractère antisémite à l'encontre d'un de leur camarade, ont été exclus définitivement de l'établissement par le conseil de discipline, a annoncé mercredi le rectorat de Paris.

Les élèves, qui sont issus de familles d'origine maghrébine, poursuivront leur scolarité dans un autre établissement du quartier, a précisé le rectorat.

Un élève de sixième, de confession juive, "a été victime au début de l'année scolaire et durant plusieurs semaines de violences physiques et verbales graves à caractère antisémite, nécessitant des soins médicaux", avaient annoncé à la presse, début décembre, les deux associations de parents d'élèves FCPE et PEEP.

Dès le début de l'année, le jeune garçon, plutôt chétif selon ses camarades, était devenu le souffre-douleur de plusieurs élèves de la classe. Après avoir avoué avec beaucoup de retard à son ancienne institutrice ce qu'il subissait au collège, il avait été changé de classe à la demande de ses parents. Mais les élèves coupables n'avaient pas été inquiétés, en l'absence, dans un premier temps, de tout témoin des faits et d'aveux.

Pourtant, selon des sources concordantes mais qui ne veulent pas être citées, des insultes comme "sale juif" ont été lancées. Ou "tous les juifs devraient être exterminés".

"C'est effroyable de savoir que votre enfant se fait frapper en entendant ce qu'il a entendu. Ca rappelle les pires souvenirs", a témoigné sa mère dans Libération samedi dernier, en soulignant qu'elle n'avait pas voulu changer l'enfant d'établissement car elle était "partisane du laïc". "Il n'est pas question de céder et de donner raison aux agresseurs", disait-elle.

La direction de l'établissement, accusée par la famille de l'enfant de ne pas avoir réagi assez rapidement, s'est refusée à tout commentaire sur le conseil de discipline, tout comme les autres personnes présentes.

Après une crise larvée à l'intérieur de l'établissement, nourrie de rumeurs dans tous les sens, Nathalie Krikorian, présidente de la FCPE à Montaigne, a néanmoins affirmé qu'elle était "favorable à la mise en place de tout un travail d'explication et d'information".

"Je tiens à organiser un débat avec des invités extérieurs qui viendront expliquer un certain nombre de choses sur les violences verbales qui sont devenues totalement banalisées, et pas seulement antisémites, mais aussi racistes et sexistes", a-t-elle déclaré.

"Ce qui est mis en cause, ce sont toutes les valeurs qui fondent la laïcité, mais aussi celles qui fondent le contrat social, comme l'autorité par exemple", a-t-elle ajouté en soulignant qu'en matière d'éducation "les valeurs doivent être données aux élèves au même titre que les connaissances". "Cela concerne toute la communauté éducative, les professeurs, l'administration et même les parents", a-t-elle ajouté.

"Je trouve que cette décision est salutaire et j'espère qu'elle sera dissuasive et exemplaire", a déclaré pour sa part Sammy Ghozlan, président du "bureau de vigilance contre l'antisémitisme" créé en mars 2002 et basé au Pré-Saint Gervais (Seine-Saint-Denis).

"J'exprime un sentiment de satisfaction sincère de voir que plusieurs incidents antisémites qu'on nous a signalés sont désormais pris en compte", a ajouté M. Ghozlan, qui est aussi vice-président du consistoire de Paris et président du conseil des communautés juives de la Seine-Saint-Denis.

Par Emma (Emma) le dimanche 21 décembre 2003 - 18h41:

France 2 diffère une fiction en raison de "tensions entre communautés"

agrandir la photo

PARIS (AFP) - France 2 a décidé de différer la diffusion d'un épisode de la série policière du vendredi soir "PJ", intitulé "Religion", qui traitait notamment d'un incendie criminel dans une école juive, perpétré par un juif, a-t-on appris jeudi auprès de la chaîne.

"Cet épisode sera diffusé ultérieurement, dans un contexte plus apaisé que le contexte actuel qui est caractérisé par des actes d'agression antisémites et certaines tensions entre communauté", a expliqué le directeur général de la chaîne publique, Christopher Baldelli, confirmant des informations du Monde daté de vendredi.

Cet épisode "sera diffusé", a-t-il assuré, estimant qu'il était de "la responsabilité sociale d'un diffuseur (...) d'apprécier au moment où il va diffuser (un sujet) si le thème abordé n'est pas de nature à poser des problèmes de compréhension".

L'épisode écrit par Gilles-Yves Caro a été commandé, validé à toutes les étapes de son élaboration et devait être diffusé le 9 janvier dans la case "polar" de la chaîne publique.

Dans cet épisode, les enquêteurs de "PJ" (c'est la 12e saison de cette série à succès) établissaient qu'un incendie dans une école juive, traité comme un acte antisémite, était en fait imputable à un juif, familier de l'établissement.

Quant à d'éventuelles critiques sur cette décision, la direction de la chaîne indiquait que France 2 "montre en permanence qu'elle n'est pas frileuse et peut traiter de sujets difficiles".

Frédéric Krivine, co-président de l'UGS (Union de la Guilde des scénaristes) a estimé que cette déprogrammation "ouvre un débat sur ce dont on peut parler ou non à la télévision".

"Je ne vis pas cela comme une censure rigide", a-t-il indiqué. "Il n'y a que sur le service public que les créateurs trouvent une diversité des formes d'expression". Selon lui, "trop de scénaristes et de réalisateurs ont l'impression qu'il est difficile de parler des fissures politiques de la France d'aujourd'hui dans les fictions. Cela existe déjà, mais insuffisamment. C'est parce que cela existe que nous sommes inquiets d'une déprogrammation dont nous contestons la logique. On a peur que cela donne un signal aux créateurs à faire encore plus du consensuel ", a-t-il dit, estimant que "l'autocensure est un mal français".

"Le service public parfois traite des affaires et c'est sur le service public qu'on a une chance d'avoir quelque chose sur des sujets difficiles. L'antisémitisme est porteur d'une culpabilité, mais cela ne devrait pas conduire à déprogrammer. Il faut dépassionner ces choses là", a encore estimé Frédéric Krivine, ajoutant que des représentants de l'UGS, de la SACD, de l'USPA et du groupe 25 images seraient reçus en janvier par la direction de France 2.

Par Email (Email) le dimanche 21 décembre 2003 - 08h38:

Par Claudia (Claudia) le dimanche 21 décembre 2003 - 08h07:

Le quotidien '' La Dépêche du Midi '' a révélé que le 30 novembre au soir, une Juive toulousaine a été blessée et agressée sexuellement par un inconnu. Celui-ci a écrit au stylo une inscription antisémite sur sa poitrine. (Guysen.Israël.News)

Par Claudia (Claudia) le dimanche 21 décembre 2003 - 08h08:

Hier, à l'UNESCO (Paris) 16 journalistes - 7 Israéliens, 7 Palestiniens et 2 travaillant dans des publications de langue arabe en Israël - ont '' convenu de la nécessité de faire preuve de plus d'ouverture d'esprit dans leur couverture du camp opposé ''. (Guysen.Israël.News)

Ils ont '' salué l'idée de s'accorder mutuellement un espace éditorial dans leurs médias respectifs. Ils ont souligné la nécessité d'éviter les idées reçues dans leurs reportages et de couvrir davantage la vie quotidienne des uns et des autres. Ils désirent organiser des voyages à Gaza et en Cisjordanie pour les journalistes israéliens, et des voyages en Israël pour ceux palestiniens ''. Leurs rencontres ont duré deux jours.

Par Cnefonline (Cnefonline) le samedi 20 décembre 2003 - 15h45:

Questions - Reponses Aly Etudiante

Les etudiants francophones en Israel ont leur mouvement: le CNEF (Centre National des Etudiants Francophones en Israel).

Le Site internet du CNEF ouvre son espace Questions-Reponses sur l'Alya et les etudes en Israel.

N'hesitez pas a venir nous visiter et a poser vos questions sur notre Forum.

Une adresse: www.cnef.org

Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 19 décembre 2003 - 22h48:

a l'occasion de hannukah
je presente mes souhaits les plus fraternels
a tous et a toutes mes amis et amies harissiens
et harissiennes.
de la part de la famille touzene a los angeles.
amen.

Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 19 décembre 2003 - 20h28:

Sous le " règne " de Lamine Bey, Le jour de Kippour était considéré comme fête légale Mais c'était sur le tard . Peu de temps avant l'indépendance de la Tunisie

cf les souvenirs de Maître Charles Haddad