Par Albert (Albert) le mercredi 24 décembre 2003 - 21h35: |
Mon cher Wness, ghalet,
Traiter Emile de raciste n'est pas convenable. Connaissant le personnage de vives voix et par ses écrits, je doute un instant de ton affirmation, un peu légère. Emile a du mal s'exprimer ou alors il a 'couru' dans son jugement, sans doute voulez t'il parle des femmes du MAGHREB en pensant à la Libye. Pas à la Tunisie, à l'Algérie ou peut être au Maroc où la condition féminine s'est grandement améliorée. Si je devais tenir compte de nos religieux juifs qui détournent leur tête au passage d'une femme et les traiter de racistes alors qu'ils ne font que suivre des commandements, qui nous paraissent 'bizarres' à nos yeux, serait de ma part bien obscène et déplacé. Je n'ai nullement besoin de t'expliquer ce mot de RACISTE, D ieu bénisse pour toi.
J'espère que tu ne vas pas relever ma perle en fin d'année. Je veux la terminer beauté.
Joyeux Noël à tous nos amis chrétiens qui nous lisent ici ou sur le PTB.
Challom.
Par Albert (Albert) le mercredi 24 décembre 2003 - 21h21: |
Wness Ghalet...!
Par Citron (Citron) le mercredi 24 décembre 2003 - 21h07: |
Comment Bourguiba voyait la question palestinienne
Hostile au « tout ou rien », le président tunisien préconisait la politique des étapes. Celle-là même qui lui avait permis de conduire son pays à l'indépendance.
L'appproche bourguibienne de la question palestinienne est tout simplement la projection sur la Palestine de l'approche conçue pour la Tunisie et qui a conduit ce pays à l'indépendance. Cette approche, qu'on traduit sommairement par la politique des étapes, part du principe selon lequel le tout-à-la-fois n'aboutit à rien du tout. Elle préconise donc la libération par étapes, c'est-à-dire que, face à un adversaire autrement plus puissant, il faut savoir louvoyer et fractionner ses revendications, pour les réaliser progressivement, mais à condition que chaque étape laisse la porte ouverte pour l'étape suivante. « Pour moi, disait Habib Bourguiba, une étape n'a de valeur que si elle permet à coup sûr la suivante, exactement comme la marche d'un escalier qui vous porte à la marche au-dessus. Je n'aurais pas accepté l'autonomie interne comme étape si je n'avais été sûr qu'elle était décisive et ouvrait la voie vers l'indépendance. »(1)
Cette approche ne relève pas d'une théorie toute faite ou de principes figés. Habib Bourguiba est imperméable, voire hostile, à toutes les théories et préfère penser par lui-même que de se référer à une quelconque doctrine. Il est en matière politique plutôt opportuniste, c'est-à-dire qu'il ne s'attache à aucun système précis et règle sa ligne de conduite selon les besoins de la cause et les circonstances du moment. Ce qui implique énormément de réalisme, de pragmatisme et de calcul et, partant, une approche fondée non pas sur la passion, mais plutôt sur la raison. D'ailleurs, Habib Bourguiba est, depuis sa jeunesse, fasciné par le père du positivisme, Auguste Comte, dont il apprécie le rationalisme rigoureux.
Aussi, pour lui, la politique n'est-elle pas affaire de sentiment. Elle ne consiste donc pas à rêver à la libération, à injurier ou insulter l'ennemi pour se donner bonne conscience ni à se lamenter vainement sur le sort de la patrie, mais plutôt à engager le combat pour réaliser ce rêve. La politique étant l'art du possible, toute action politique implique préalablement une analyse rationnelle du rapport des forces, une appréciation la plus minutieuse de ses moyens, une parfaite connaissance de l'adversaire avec ses forces, ses faiblesses et ses contradictions. Il faut aussi, autant que faire se peut, se placer sur le plan de la légalité, avoir le sens du compromis et présenter des revendications apparemment modérées pour rassurer l'aile libérale de l'adversaire et gagner à sa cause l'opinion publique internationale. Et, tout en évitant d'affronter directement l'adversaire lorsque les conditions de succès ne sont pas réunies, Habib Bourguiba est dans l'ensemble hostile à la violence, qui ne peut constituer, selon lui, qu'une force d'appoint lorsque la lutte politique aboutit à une impasse. En outre, la lutte politique peut prendre des chemins tortueux et exiger des détours pour éviter un obstacle qu'on ne peut pas, avec des moyens réduits, aborder de front. Mais « une fois l'obstacle contourné, la marche reprend sur la grande route qui mène à la victoire »(2).
Dans ce cas d'espèce, il faut faire confiance aux leaders et ne pas les accuser de défaitisme et de compromission chaque fois qu'ils proposent des solutions partielles qui « représentent des étapes nécessaires sur la voie de l'objectif ». De son côté, le dirigeant politique doit s'efforcer de convaincre son peuple du bien-fondé de sa méthode et, pour cela, assurer patiemment son éducation politique.
Pour Habib Bourguiba, ce qui compte, en dernière analyse, pour un leader politique, ce n'est pas d'amadouer son peuple et de satisfaire ses passions, en se livrant aux surenchères verbales, mais plutôt de le sortir de la situation de dépendance et de réaliser ses aspirations.
C'est donc cette approche, éprouvée dans la lutte pour la libération de la Tunisie, que Habib Bourguiba propose en 1965 d'appliquer à la question palestinienne. Il l'expose clairement dans le discours qu'il prononce à Jéricho, le 3 mars 1965, dans un camp de réfugiés palestiniens, et qui peut être considéré comme une défense et illustration d'une méthode qui a fait ses preuves en Tunisie et peut donc être érigée en tactique universelle pour les mouvements de libération nationale. Dans ce discours, Habib Bourguiba entreprend d'inculquer aux réfugiés palestiniens la politique des étapes. Il souligne d'abord que cette politique implique préalablement la responsabilisation du peuple palestinien, qui doit prendre en charge sa cause nationale et donc la « désarabisation » de la question palestinienne. Et pour parvenir à secouer la domination sioniste et récupérer « la patrie perdue », le peuple palestinien doit faire table rase des méthodes surannées fondées sur la haine et les passions et qui, depuis dix-sept ans, ne donnent aucun résultat et font même empirer la situation. La lutte doit être, au contraire, organisée selon des méthodes rationnelles et scientifiques, et nécessite donc un commandement lucide sachant mener le combat et pour cela apprécier objectivement le rapport des forces « afin d'éviter l'aventure et les risques inutiles »(3).
Au demeurant, la lutte du peuple palestinien, malgré son bien-fondé, n'est pas, compte tenu du rapport des forces dans la région et de la conjoncture internationale, une entreprise aisée et ne peut donc atteindre ses objectifs que par étapes successives. Elle nécessite donc, plus que jamais, énormément de louvoiements, de détours, de concessions et un sens du compromis de la part des dirigeants palestiniens, auxquels il faut faire confiance et leur laisser la liberté de « s'assurer le meilleur itinéraire conduisant au but ». Car, dans les conditions actuelles, la politique du « tout ou rien » ne peut qu'empirer une situation déjà fort précaire. Ce qui impose aux dirigeants palestiniens de se placer impérativement, pour gagner à leur cause l'opinion publique internationale, sur le terrain de la légalité « onusienne » que représentent les deux résolutions 181 et 194 sur le plan de partage de la Palestine et le retour des réfugiés, adoptées par l'Assemblée générale de l'ONU, respectivement le 29 novembre 1947 et le 11 décembre 1948. Cette solution de compromis, loin de nuire au peuple palestinien, constitue une étape qui ne peut que le rapprocher de l'objectif final, c'est-à-dire de la libération complète de la Palestine. Elle présente aussi l'avantage d'embarrasser les autorités israéliennes et de les acculer, en cas de refus, à violer la légalité internationale.
Il faut cependant remarquer que l'approche de Habib Bourguiba de la question palestinienne ne date pas de 1965.
Le chef du Néo-Destour pense certes, comme tous les Arabes, que les Palestiniens sont victimes d'une injustice historique. Il ne manque pas, avant la proclamation de l'État sioniste, d'apporter tout son soutien à la cause du peuple palestinien, dont il saisit parfaitement l'essence, à l'occasion de sa visite en Palestine deux ans avant la débâcle de 1948. Il préside même une délégation de nationalistes maghrébins qui présente le 4 mars 1946 un mémoire sur la question palestinienne à la commission d'enquête anglo-américaine. Il suit, à partir de l'Égypte, où il vit en exil, les péripéties de la guerre israélo-arabe et assiste à la défaite des armées arabes par les forces sionistes. Et s'il proteste, avec « les frères algériens et marocains », au moment du vote des Nations unies qui a donné naissance à Israël, il ne saisit pas moins l'énormité de l'écart entre Arabes et Israéliens, tant au niveau militaire qu'au niveau diplomatique. Les sionistes, qui ont prouvé sur le terrain leur supériorité militaire, jouissent de surcroît de l'appui des grandes puissances comme les États-Unis d'Amérique, mais aussi l'URSS qui le 11 mai 1949 parraine la candidature de l'État d'Israël à l'Organisation des Nations unies. Se trouvant, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale du côté des vainqueurs, ils jouissent aussi d'un appui passionné de l'opinion publique occidentale qui, depuis sa découverte des camps de concentration, éprouve un sentiment de culpabilité à l'égard des Juifs.
Péchant par réalisme, Habib Bourguiba comprend alors que le colonialisme israélien n'est pas exactement un colonialisme comme les autres et que la lutte contre le sionisme implique, compte tenu du rapport des forces à l'échelle régionale et mondiale, nécessairement un compromis. Ce compromis, il le préconise déjà en 1948 et en 1952, en prônant la reconnaissance d'Israël par les pays arabes. Au mois d'avril 1953, alors qu'il est en état de déportation, son lieutenant à Tunis, Hédi Nouira, abonde dans le même sens, en affirmant au correspondant particulier du journal israélien Ha'aretz que le Néo-Destour est prêt à exercer son influence dans les pays arabes en faveur d'une paix dans le Moyen-Orient, si Israël « aidait un peuple opprimé et épris de sa liberté à obtenir son indépendance »(4). Il promet même d'établir, une fois la Tunisie indépendante, des liens d'amitié avec Israël, « sans prendre part au boycottage proclamé contre cet État par la Ligue arabe ».
Il est vrai que le parti de Habib Bourguiba mise alors sur l'appui du lobby juif en France et aux États-Unis d'Amérique pour amener le gouvernement français à consentir un arrangement honorable avec la Tunisie. Mais le chef du Néo-Destour maintient ses positions à l'égard d'Israël, même après l'indépendance de la Tunisie. Dans une conférence de presse, tenue le 3 mai 1965 à Tel-Aviv, le président du Congrès juif mondial, Nahum Goldman, évoquant le discours de Jéricho, affirme que ses relations avec Habib Bourguiba remontent à 1954, que depuis le leader tunisien rencontre une ou deux fois par an A.L. Easterman, le secrétaire politique de son organisation, « pour discuter de divers problèmes juifs »(5).
Ces contacts se poursuivent à Tunis même après l'indépendance de la Tunisie, et plus précisément au mois de juillet 1957, quelques jours avant la proclamation de la République tunisienne. L'entretien porte cette fois essentiellement sur le sort de la communauté juive de Tunisie, les conditions de son émigration en Israël et les rapports de la Tunisie avec ce pays. Tout en mentionnant spontanément le droit des Juifs à émigrer vers Israël, Habib Bourguiba affirme que les Arabes doivent accepter l'existence de ce pays et travailler avec lui tôt ou tard. Il ajoute même « qu'il va certainement jouer sa part dans la réalisation d'un modus vivendi au Moyen-Orient mais qu'il doit avancer avec précaution »(6). Et sans entraver ni réduire l'émigration des Juifs tunisiens en Israël, le gouvernement de Habib Bourguiba va même jusqu'à appeler le 13 décembre 1969, par la voix de son représentant à l'ONU, à un compromis entre Arabes et Israéliens « sans vainqueur ni vaincu ».
De là, l'intérêt que porte le Congrès juif mondial aux positions du président de la République tunisienne sur le conflit israélo-arabe : ce que traduit la visite de son président Nahum Goldman en Tunisie en 1960 et sa rencontre avec Habib Bourguiba. Aussi les vieux dirigeants sionistes sont-ils suffisamment édifiés sur les positions du leader tunisien envers Israël et sa totale discordance avec les dirigeants arabes du Moyen-Orient, qu'il qualifie d'ailleurs de stupide et dont le comportement politique lui inspire un profond mépris. Répondant aux craintes de certains de ses collaborateurs, que l'approche développée par Habib Bourguiba à Jéricho qui recommande de s'accrocher à la légalité internationale et d'accepter par conséquent le partage dicté par l'ONU en 1947, ne soit admise par les dirigeants arabes du Proche-Orient, David Ben Gourion, alors à la tête du gouvernement israélien, leur dit : « Ne craignez rien, nos adversaires d'ici sont différents. Il n'y a aucun risque pour qu'ils adoptent la ligne bourguibiste. »
Effectivement, sitôt son discours connu au Moyen-Orient, Habib Bourguiba est violemment vilipendé par une presse arabe excitée, qui le taxe de compromission avec l'ennemi sioniste, voire de trahison. Pourtant, le président de la République tunisienne a déjà exposé cette position à des diplomates arabes au cours de conversations privées. En février 1965, à l'occasion de sa visite officielle en Égypte, il l'explique clairement au président Nasser et lui demande même, compte tenu de son ascendant sur les masses arabes, de les convaincre de son bien-fondé. Tout en répliquant que, dans ce cas, ces masses arabes le rendront fou, le chef de l'État égyptien ne s'oppose pas à l'approche de Habib Bourguiba. Et ses déclarations à la revue française Réalité, en 1965 après le discours de Jéricho, dans lesquelles il évoque la légalité onusienne, semblent même la corroborer.
Cependant, Habib Bourguiba, très édifié sur la perception, on ne peut plus passionnée de la question palestinienne par les masses arabes du Moyen-Orient, ne pense pas, en 1965, avant sa tournée dans les pays arabes, se prononcer publiquement sur une solution au drame de la Palestine. C'est le spectacle affligeant des réfugiés palestiniens entretenus, dit-il, à la fois dans des espérances chimériques et dans des haines stériles, qui le décide à sortir de sa neutralité pour les éclairer sur la meilleure voie à même de les conduire à la patrie perdue. Pour lui, il est des moments où un véritable dirigeant politique, dont la seule obligation est celle des résultats, doit avoir le courage de ses opinions, quitte à gagner en impopularité à court terme. Aussi le leader tunisien affronte-t-il courageusement la réaction de l'Égypte, qui est d'autant plus violente que le discours de Jéricho coïncide pratiquement avec le refus de la Tunisie, contrairement à la plupart des pays arabes, de rompre, sous l'instigation de Nasser, ses relations diplomatiques avec l'Allemagne fédérale, qui s'apprête alors à reconnaître Israël. Il va même, au cours d'une conférence de presse tenue à Beyrouth dans un climat on ne peut plus hostile, jusqu'à confirmer la position qu'il soutient à Jéricho sur la question palestinienne. Il prévient alors qu'à force de prêcher la guerre sans avoir les moyens de la mener, « nous risquons dans dix-sept ans de nous retrouver au même point et dans la même situation »(7). Deux ans plus tard, la défaite de 1967 semble confirmer l'analyse du leader tunisien qui, affligé comme la plupart des Arabes par cette catastrophe, ne manque pas de rappeler à son entourage que, si les dirigeants arabes avaient suivi sa méthode, ils l'auraient à coup sûr évitée.
Cela ne l'empêche pas d'accueillir en Tunisie, au mois de septembre 1982, les Palestiniens chassés du Liban par l'armée israélienne. Tunis devient même, durant près de douze ans, la capitale de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP). Et les dirigeants palestiniens se voient, pour la première fois, reconnaître la liberté de prendre les décisions qu'ils jugent nécessaires pour la cause palestinienne. À Tunis, ils s'imprègnent, probablement à l'occasion de discussions avec Habib Bourguiba lui-même ou avec ses proches collaborateurs, de l'approche bourguibienne de la lutte de libération nationale fondée sur le réalisme, le pragmatisme et la raison. Il est probable que cette liberté de manoeuvre en Tunisie, ajoutée à l'adhésion au réalisme bourguibien, aient conduit le chef de l'OLP, Yasser Arafat, à établir des contacts avec des Israéliens libéraux, pour aboutir à la conclusion à Oslo en 1993, c'est-à-dire plus de vingt-huit ans après le discours de Jéricho, d'un compromis avec les dirigeants israéliens, première étape vers la restauration de l'entité palestinienne.
Aujourd'hui, Habib Bourguiba semble être réhabilité aux yeux de l'opinion publique arabe, qui commence à saisir que sa position sur la Palestine ne relève pas d'une quelconque inféodation à l'Occident ou connivence avec l'ennemi sioniste, mais découle plutôt d'une approche rationnelle et scientifique du rapport des forces au Moyen-Orient et dans le monde, qui aboutit à la nécessité de compromis et des étapes dans la lutte de libération du peuple palestinien.
1. Cité par Béchir Ben Yahmed dans Jeune Afrique/l'intelligent, n° 2048 du 11 au 17 avril 2000. 2. « Discours de Jéricho », dans Les Temps modernes, 1967, n° 253 bis. 3. « Discours de Jéricho ». 4. Ha'aretz du 10 avril 1953. 5. La Question palestinienne et les relations de Bourguiba avec le Congrès juif mondial, A. Témimi, publications FTERSI, Zaghouan, mai 2000. 6. « Note sur l'entretien avec Bourguiba », A.L. Easterman, rapport tiré du Zionion Archives Center à Jérusalem cité par A. Témimi, op. cit. 7. Cité par Habib Boularès dans Le Nouvel Observateur, avril 2000.
Ali Mahjoubi (*) * Historien tunisien
http://www.lintelligent.com/gabarits/articleJAI_online.asp?art_cle=LIN21123commeennein0
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 24 décembre 2003 - 19h53: |
Une Esquimaude soldate israélienne
LEMONDE.FR | 24.12.03 | 13h12
L'armée israélienne compte désormais dans ses rangs une recrue pas comme les autres : il s'agit d'Eva Ben Sira, une jeune femme originaire de la tribu Youpik d'Alaska. Agée de 18 ans, elle s'entraîne avec son unité dans les sables du désert du Néguev, à des milliers de kilomètres des glaces éternelles de son Grand Nord natal. Son odyssée nous est racontée par un journaliste de la BBC on line, Raffi Berg, qui a pu s'entretenir avec ses parents adoptifs. Nés de l'union d'une femme de la tribu Youpik et d'un Cherokee en Alaska, Eva et son frère jumeau Jimmy connaissent le sort de beaucoup d'enfants de cet Etat américain dont la population autochtone sombre trop souvent dans la paupérisation et l'alcoolisme. A l'âge de 2 ans, après le départ de leur père, leur mère, Minnie, n'est plus en mesure d'assurer leur subsistance et les deux bambins sont placés, à la demande des services sociaux, sous la responsabilité de leur grand-mère.
[ ... ]
La suite sur la home page du Monde d'aujourd'hui ...
http://www.lemonde.fr
Par Email (Email) le mercredi 24 décembre 2003 - 19h31: |
LE CERCLE CULTUREL CHARLES LICHÉ
LA SYNAGOGUE DE LA PLACE DES VOSGES
MARDI 13 JANVIER 2004 A 20 H
14 PLACE DES VOSGES 75004 PARIS
LES FEMMES DE LA BIBLE
" SARAH ET TSIPORAH "
par MAREK HALTER
qui répondra à vos questions
soirée présentée par Laurence Borot Présidente du comité féminin de l'AUJF
PAF :CEST UN DON POUR LA TZEDAKA
15 euros et plus si vous le désirez
5 euros pour les étudiants, les jeunes de moins de 18 ans et les chômeurs
la recette ira totalement aux oeuvres sociales :
-CAMPAGNE ECOLES DU COEUR par l'AUJF pour aider les enfants d'Israël victimes de la pauvreté.
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-à partir de 50 Euros vous recevrez un reçu cerfa et pourrez déduire 60%
de votre don du montant de vos impôts 2004
URGENT : PLACES LIMITÉES
Réservez de suite :
indiquez vos noms, adresse, N° de téléphone, et le nombre de places réservées. avec les noms et prénoms de tous par mail à cercle culturel.ch.liché@noos.fr
La réservation sera confirmée avec instructions pour le réglement et les invitations seront adressées par mail dès réception du chèque
qui ne sera encaissé qu"après la conférence
VOUS ASSISTEZ A UNE CONFÉRENCE PLACE DES VOSGES
ET EN MÊME TEMPS VOUS FAITES LA TZEDAKA
M. MAREK HALTER DEDICACERA SES DEUX DERNIERS OUVRAGES, LE BENEFICE DE LA VENTE DES LIVRES IRA A LA TZEDAKA
Soirée organisée par Georges Wojakowski
Par Claudia (Claudia) le mercredi 24 décembre 2003 - 18h23: |
Enquête sur des propos de Dieudonné sur France 3
PARIS (Reuters) - Le parquet de Paris a annoncé mercredi l'ouverture d'une enquête préliminaire de police sur des propos tenus par l'humoriste Dieudonné M'Bala M'Bala le 1er décembre, sur le plateau de l'émission "On ne peut pas plaire à tout le monde", sur France 3.
"Le sketch et les propos incriminés apparaissent en effet susceptibles de constituer une diffamation à caractère racial", écrit le procureur de Paris Yves Bot dans un communiqué.
Dans une émission spéciale sur les humoristes, diffusée en direct, Dieudonné s'était présenté, vêtu d'un treillis, cagoulé et portant le chapeau caractéristique des juifs orthodoxes.
Il avait invité "les jeunes qui nous regardent aujourd'hui dans les cités à rejoindre l'axe américano-sioniste" et conclu son propos par un salut nazi et le cri: "IsraHeil !".
Le procureur de Paris précise avoir pris sa décision "conformément aux instructions permanentes du garde des Sceaux", exprimées dans des circulaires générales portant sur les propos et les actes racistes.
Le sketch de Dieudonné a provoqué un fort malaise dans les milieux de la télévision et l'animateur Marc-Olivier Fogiel a présenté en direct ses excuses aux téléspectateurs dans l'émission suivante, le 5 décembre.
Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a demandé des explications à la direction de France 3 en parlant de "défaut de maîtrise" et a lancé une "mise en garde contre le renouvellement de tels faits".
Même Jamel Debbouze, ami de Dieudonné, auquel le sketch litigieux était destiné, a regretté l'attitude de l'humoriste: "Son sketch était nul et déplacé. On a besoin de tout, sauf de jeter de l'huile sur le feu", a-t-il dit à Libération lundi.
De son côté, Dieudonné a demandé des excuses à France 3, qui, selon lui, l'a accusé à tort d'antisémitisme.
Poursuivi une première fois pour "apologie du terrorisme" après des propos où il disait "préférer le charisme de Ben Laden à celui de George Bush", il avait été relaxé par le tribunal de Paris le 11 juillet.
Par Mena (Mena) le mercredi 24 décembre 2003 - 18h25: |
En plein cirque arafatien ! (info # 012412/3) [analyse]
Par Sami el-Soudi © Metula News Agency
Le torchon brûle entre le gouvernement égyptien et la Moukata de Ramallah, c’est le moins que l’on puisse en dire. Le Président Moubarak est en effet persuadé que l’incident de la mosquée Al-Aksa avait été savamment préparé par les services aux ordres de Yasser Arafat. Le raïs du Caire, ainsi que ses ministres, boycottent depuis les appels téléphoniques hystériques en provenance des dirigeants de l’Autonomie Palestinienne, si bien que le Vieux a dépêché en urgence Farouk Kaddoumi, un membre de son bureau politique, sur les bords du Nil.
La première initiative de Kaddoumi, à sa descente d’avion, a consisté à accuser ni plus ni moins les Israéliens d’avoir organisé l’agression contre le ministre Ahmed Maher. L’ambassadeur d’Arafat a même cru bon de préciser que : "c’était les Israéliens qui avaient arrêté les coupables de l’agression, ce qui", selon la logique très particulière qui règne chez nous, "prouverait de manière indiscutable la culpabilité des Israéliens".
Faute de persuader ses hôtes, cette déclaration démentielle a encore approfondi le fossé qui s’était creusé entre Moubarak et Arafat. Aussi, quelques minutes seulement après la déclaration de Kaddoumi, Hosni Moubarak a téléphoné au Premier ministre israélien, afin de le remercier, je cite, "pour l’accueil chaleureux et les soins attentifs qui ont été réservés à son ministre des affaires étrangères" et pour réitérer "la volonté égyptienne de resserrer ses liens avec l’Etat d’Israël".
De notre côté, le mensonge médiatique a désormais supplanté totalement tout autre système de gouvernement. Depuis l’affaire Mohamed Al Dura, en passant par le Karine A et l’accusation lancée par Arafat, selon laquelle les Israéliens auraient fait eux-mêmes sauter la discothèque du Delphinarium (22 morts) et auraient également assassiné leur ministre du tourisme, Rehavam Zeevi, les responsables palestiniens mentent systématiquement sur tous les événements dans lesquels ils sont impliqués. Pour les quelques intellectuels qui gardent encore la tête froide, il s’agit d’une attitude misérable, qui non seulement déshonore la cause de l’indépendance de la Palestine mais, de plus, décrédibilise a priori et de a à z tous les engagements qui pourraient être pris par notre direction politique. Quel gouvernement faisant preuve de respect de soi pourrait, délibérément, passer contrat avec nos arracheurs de dents.
C’est d’ailleurs bien pour cela que nos vrais amis – l’Egypte étant, sans le commencement de l’ombre d’un doute intelligent – le pays qui soutient le plus efficacement la lutte en vue de notre émancipation nationale dès ses origines – coupent les uns après les autres les ponts qui les lient à nos dirigeants. Ne restent que certains médias internationaux, encore plus antijuifs qu’anti-arabes, et des organisations de faux amis, aussi hideux et menteurs que nos tyrans, pour répercuter telles quelles les incongruités scélérates qu’ils prodiguent. Ces haut-parleurs de notre déchéance morale agissent de 4 façons distinctes : soit a) ils reprennent, amplifient et soutiennent les mensonges d’Arafat, s’ils ont une chance d’être crus par leurs auditoires, soit b) ils prennent la décision, déontologiquement inqualifiable, de taire ces mensonges, lorsque ceux-ci sont trop grossiers pour être crus en occident. C’est le cas, par exemple, de l’affirmation de El-Hayyat Al-Jeddida (l’organe d’information officiel de l’Autorité Palestinienne Ndlr.), selon laquelle des unités de l’armée israélienne utiliseraient des stripteaseuses afin d’assassiner les jeunes palestiniens, soit encore, c) ils minimisent la portée des méfaits d’Arafat, en n’y consacrant qu’un entrefilet minuscule et encore, tronqué des éléments significatifs qui permettraient à l’auditoire occidental d’appréhender la portée de ce qui s’est réellement passé. Une variante de la technique c) de défense des mystifications d’Arafat, consiste, en plus de l’émasculation du signifiant d’un événement, à présenter un long sujet – authentique ou mis en scène lui aussi – juste après la mention de l’entrefilet.
Ce fut d’ailleurs le cas, il y a deux jours, dans le journal télévisé de 20 heures de la télévision française¹. Après avoir minimisé l’incident Maher, jusqu’à le présenter dans sa portion congrue, ces pseudo journalistes et vrais propagandistes arafatiens ont présenté un reportage censé monter comment la répression effectuée par les juifs avait fait fuir une grande partie des chrétiens de Palestine. Permettez alors à un Palestinien, fier de sa souche, soucieux de sa respectabilité et musulman de surcroît, de dire à ces pignoufs de l’information à quel point ils transgressent l’ontologie de notre métier et surtout, à quel point ils enfoncent mon peuple dans son purgatoire, en formant le creuset médiatique des impostures de son Führer dévoyé. De leur dire que les juifs n’ont absolument rien à voir avec la fuite de nos frères chrétiens, qui a commencé au tout début du XXème siècle (avant donc la création de l’Etat d’Israël Ndlr.), sous les coups des persécutions islamiques. Quant à Arafat, il est de notoriété publique et historique, qu’il a génocidé la population de la ville chrétienne de Damour, au Liban, prenant un plaisir certain à désacraliser son église, en la transformant en stand de tir et à profaner ses sépultures (en déterrant les morts du cimetière de la ville Ndlr.). Pour le surplus, Yasser Arafat et ses Tanzim font actuellement subir un authentique régime d’apartheid à nos frères chrétiens de Palestine, leur imposant notamment des impôts ségrégationnistes sur la célébration de leurs mariages et de leurs enterrements. J’ajoute que tous les correspondants permanents en poste dans la région connaissent de cet état de fait, de même, bien évidemment, que tous les journalistes palestiniens, ce qui rend cette nouvelle imposture médiatique particulièrement méprisable.
Pour revenir sur le dernier mensonge arafatien, j’ai entendu Adnan Husseini, l’administrateur de la Wakf (l’institution dépendant d’Arafat vouée à la gestion des lieux saints musulmans de Palestine) prétendre également que les Israéliens étaient responsables des incidents ayant émaillé la visite de Maher. Husseini leur reproche d’avoir créé la confusion parmi les gardes de la Wakf, en faisant pénétrer le ministre – de façon exceptionnelle, dit-il – sur l’esplanade des mosquées par la porte Sud (la porte Moghrabi Ndlr.) à la place de la porte Nord (la porte des Lions Ndlr.). J’ai vérifié la chose auprès d’un ami très proche, qui travaille également à la Wakf de Jérusalem ; ce dernier m’assure que tous les visiteurs officiels ont toujours transité par la porte Sud et que cela inclut Ahmed Maher, lors de sa précédente visite. J’ai une telle confiance en cet ami, que je prends volontiers son témoignage à mon compte et sous ma responsabilité.
En fait, la contrevérité de Husseini vient cacher sa propre responsabilité dans l’agression de l’hôte égyptien. Tout avait commencé par la décision de Moubarak de réchauffer ses relations avec Sharon. Non seulement envoyait-il Maher en éclaireur à Jérusalem, encore se pliait-il à la demande faite par le gouvernement israélien à tous les visiteurs étrangers, acceptant que le ministre ne se rende pas auprès d’Arafat à la Moukata. Courroucé par l’échec de son initiative en vue d’obtenir une Houdna respectée par toutes les factions palestiniennes, y discernant avec raison les manipulations d’Arafat, Hosni Moubarak instruisait son ministre de ne rencontrer aucun représentant politique palestinien durant cette visite.
Enragé et se sentant humilié par son protecteur égyptien, le reclus de la Moukata organisait une manifestation de mauvaise humeur dans la mosquée Al-Aksa. Il donnait des ordres à Adnan Husseini afin de permettre à une trentaine d’islamistes agités d’interpeller vigoureusement (c’est très précisément les termes des instructions) le ministre égyptien. Le service d’ordre renforcé de la Wakf permettait donc à ces militants de prendre place dans la mosquée dès 11 heures du matin. Il est évident, par ailleurs, qu’à l’occasion de cette visite officielle, la Wakf avait filtré l’accès à la mosquée et connaissait parfaitement l’identité de tous les fidèles qui s’y trouvaient.
La manifestation d’Arafat n’allait connaître qu’un seul imprévu : Ses organisateurs n’avaient pas tenu compte de la santé fragile d’Ahmed Maher. En situation normale, il n’aurait été que dérangé par les vitupérations et les bousculades des islamistes, là, il a carrément fait un malaise. A la télévision égyptienne, l’effondrement de Maher a donné une toute autre ampleur à l’incident. Les mots "traîtres" et "on va vous faire la Djihad chez vous !" ont été évidemment très mal perçus par le pouvoir cairote. Les images des soldats juifs, pénétrant dans la mosquée et dégageant Maher, au coude à coude avec les hommes de la sécurité égyptienne, ont eu l’effet contraire de celui escompté par notre timonier amateur. A cette coopération égypto-israélienne contre la violence et le terrorisme sont venus s’ajouter les nombreux témoignages de l’affabilité des médecins israéliens à l’égard du ministre et le fait que les policiers juifs ont retrouvé la bague de Maher, qu’il avait perdue dans l’échauffourée, et à laquelle il tenait beaucoup.
L’incident, en lui-même, ne fut pas d’une gravité exceptionnelle. Ce qu’il a dévoilé, par contre, risque de priver la population palestinienne de son premier appui arabe. Déjà dirigée par un manipulateur corrompu de bas étages, dont les mensonges systématiques ne remplaceront jamais le choix d’une politique rationnelle aboutissant possiblement à une situation de paix, grimée de force en Pinocchios aux nez surdimensionnés, accablée par la misère issue du choix imbécile de la guerre sans fin, cette population attendra 100 visiteurs, ce soir, sur le lieu de naissance du Christ, alors que Bethlehem pourrait être le centre naturel du monde chrétien. Pour nous, il n’y a qu’une prière de Noël qui puisse nous sauver : Qu’il s’en aille ! Que le responsable de nos malheurs inutiles, de nos morts, s’en aille !
Note¹ : Possiblement FR2, Tf1 n’étant pas capté dans la région. Il n’y avait personne, avant-hier, à la rédaction centrale de Metula afin de visionner et d’enregistrer ce JT et il ne figure plus sur le site Internet de la chaîne.
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 24 décembre 2003 - 17h32: |
3 breves de l'Ambassade d'Israel a Paris :
Le millionième touriste de 2003 est arrivé en Israël
Le 23 décembre, le millionième touriste de 2003 a atterri à l'aéroport Ben-Gourion. Il est arrivé en provenance des Etats-Unis et a reçu un certificat du Ministre israélien du Tourisme. La plupart des touristes qui se sont rendus en Israël cette année sont des pèlerins évangélistes et catholiques ainsi que des Juifs. Avant la fin de l'année, plus de 1 050 000 touristes se seront rendus en Israël, ce qui marque une augmentation de 22 pour cent par rapport à 2002.
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Forum franco-israélien de la jeunesse
Suite aux recommandations du Groupe de Haut Niveau franco-israélien, un forum de la jeunesse vient de se tenir. Son objectif est de donner une nouvelle dynamique aux relations bilatérales dans le domaine des échanges entre jeunes et étudiants. Plusieurs propositions concrètes ont été évoquées, parmi lesquelles la tenue d'un congrès des villes jumelées à Jérusalem et l'organisation d'un voyage en Israël destiné aux journalistes de la presse pour enfants et adolescents.
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Un frère et une sœur d'origine polonaise rescapés de la Shoa se retrouvent après 67 ans
(Source : Yediot Haaronot 22/12/03)
Alors que chacun d'entre eux croyait que tous les membres de sa famille avaient été exterminés durant la Shoa, l'Institut Yad Vashem à Jérusalem a permis à un frère et une sœur de se retrouver après une séparation de 67 ans. C'est ainsi que Shoshana November et son frère Benny Shilon on pu se retrouver. Ils avaient tous les deux émigrés en Israël après la Shoa.
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Bonne fete des lumieres et bon shabath a tous.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mercredi 24 décembre 2003 - 11h25: |
Joyeux Noel a tous les harissiens qui la fetent ... plein de bonheur et de joie et sutout plein de cadeaux .
Juste pour vous ces quelques paroles
Noël à Jérusalem
C'est aussi l'enfant de Bethléem
Et le pèlerin guidé par l'étoile du berger
Cherche la maison de sa nativité
Noël à Jérusalem
C'est le monde au pied de l'éternel
Qui vient implorer son nom et lui demander pardon
De s'être égaré loin des chemins du ciel
Pourtant il suffirait de voir un jour
S'élever dans une prière
Le coeur de trois hommes éperdus d'amour
Pour changer la face de la terre
Tous nos voeux de Paix pour tous !!!
Par Albert (Albert) le mercredi 24 décembre 2003 - 08h41: |
Et notre condition un peu partout aujourd'hui dans le monde...! Qu'est t'elle devenue, des petits et grands Jésus ambulants qui portons croix et maguen David en même temps....!
La souffrance et la bannière.
Par Wnes (Wnes) le mercredi 24 décembre 2003 - 02h00: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur :
* A propos de : " Mon cher Emile, il suffit de regarder les femmes dans les pays du Maghreb, elles sont voilées mais restent cloîtrées chez elle ou confinées a des taches exclusivement familiales. Elles ne sont pas exposées au public et ne travaillent pas et d' ailleurs ne demandent pas a travailler, je suppose. " :
Propos éminemment outranciers et racistes ! Que voilà de bien belles sornettes, on voit bien que celle qui les entonne ne sort pas de son trou, ou bien fait semblant d' être ignorante, car au Maghreb les femmes travaillent comme partout, dans les administrations, la police, le commerce (chef d' entreprises), le tourisme, l' industrie, l' aviation (commandant de bord), la marine ... les night-clubs..., et j' en passe..., si certaines restent chez elles pour s' occuper de leur enfants, est-ce une tare ? Si selon vous s' en est une, alors le Monde entier serait taré.
* A propos de : " Ceux qui trouvent trop difficile de joindre obligations religieuses et vie en France font leur alya. " :
Donnez donc l' exemple au lieu de pérorer !
Wnessou El Douda
Par Wnes (Wnes) le mercredi 24 décembre 2003 - 02h04: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur :
* A propos de la fameuse manif " à Voile et à Vapeur ", il y eut aussi des écrans de fumées où lors d' une Gay Prides, les mecs ont revendiqué eux aussi le droit de porter un voile histoire de rétablire l' égalité des Sex bafouée par toutes sortes de sexistes maniaco-religieux, et de cacher quelque chose que les médias ne sauraient voire !
* A propos de : " Pour moi, si Jésus avait vécu et avait mené à bien son combat, le socialisme aurait été créé bien avant que Marx ou Lénine n' en fassent leur cheval de bataille. Que voulait Jésus ? L' égalité entre les hommes, la fin des privilèges, le partage des richesses, l' amour entre les hommes et les femmes, de toute condition. " :
Parfaitement exact Yéh Si Bébert, le Nazaréen qui n' avait rien d' un aryen, fut crucifié car il fut à la fois Hippy, Communiste, et anticlérical !
* A propos de : " Si Jesus avait vecu de nos jours, auriez vous aimé son idéologie qui est sans aucun doute trés proche du Judaisme ??? " :
Et bien Jésus n' était pas chrétien, et encore moins catholique, car à son époque ces concepts n' existaient pas, ils furent inventés bien plus tard, c' était avant tout un Israélite très pratiquant.
Wnessou El Douda
Par Axelle (Axelle) le mercredi 24 décembre 2003 - 03h06: |
Mr Emile et Richard.
Ayant été élevée dans la religion catholique, Jésus, a toujours été un très grand mystère pour moi, dans le sens, où, je me demandais, comment l'on pouvait adorer finalement quelqu'un qui n'était qu'un homme parmi les hommes, et qui devait, donc, en tout logique, avoir ses faiblesses comme nous tous.
Je ne comprenais pas, pourquoi, étant " le fils de Dieu ", il n'avait pas pu être sauvé ? Et, pourquoi, le sacrifice d'un homme, avait été nécessaire pour amener des milliers d'hommes à croire en Dieu !
Des années plus tard, et même avant de connaitre mon mari qui est juif, j'avais déjà compris que toute l'histoire sainte partait d'Israël. Avec des amis et amies juifs de l'époque, j'ai cherché à comprendre beaucoup de choses et ils avaient énormément répondu à plusieurs de mes questions.
D'ailleurs, Jésus, venait lui-même d'Israël et était juif. Et dans la religion catholique, je retrouve beaucoup de similitude pour certaines choses avec la religion juive. ( c'est mon avis personnel bien entendu ).
Pour moi, aujourd'hui, existe dans mon coeur qu'un seul Dieu. L'Eternel, Dieu d'Israël. Au plus profond de mes peines et de mes désespoirs, c'est lui que j'invoquais, mais, pas Jésus. Il est cette force dans laquelle, je puise, chaque jour, l'amour dont j'ai besoin et qui guide mes pas vers la lumière.
Je le remercie chaque jour de cet amour qu'il me donne, de mes faiblesses qu'il me pardonne. De mes prières qu'il entend. Et surtout, de m'avoir tout doucement guidée, moi qui cherchait ma route, vers celle d'Israël.
Je voudrais vous poser une question Mr Emile :
Les hommes ont besoin aujourd'hui d'un signe de Dieu. Ils ont perdu tous leurs repères. Ils ne croient plus en rien. Ma question sera la suivante :
Quel signe, Dieu va-t-il envoyer aux hommes pour les aider à comprendre qu'il est tout près d'eux et, que leur foi en lui les sauvera ? Je pose cette question aujourd'hui, car, je pense, que nous sommes dans un tournant décisif de l'avenir du monde ... J'espère que vous avez compris le sens de ma question.
J'attends, d'ailleurs, les réponses de chacun et chacune de vous. Merci à vous tous et toutes de me répondre.
Cordialement. Axelle.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 24 décembre 2003 - 03h46: |
America is Ours and Yours
Those who attack America are mad
They are attacking humanity
Destroying our and their experience
America's for everyone, yours and mine
America is the world's melting pot
Great experience of human society
Experiment in pluralism of cultures
Of people, of languages, of races
We Americans overcome fanaticism
We teach love, equality and tolerance
We are not yet perfect but we'll be better
As we live under the rule of law
We create material power and military
We tend to the progress of humanity
Can our spiritual goal be achieved
Without a roof, food, clothes and heat?
We are different but not indifferent
We are maybe hardworking and rude
Our heart is soft, generous and good
We care about our and your livelihood
Everyone does what he can for gain,
Not for glory or for honor or fame
We promote the best from our land
Freedom, liberty, justice is our brand
We are always ready to help the others
We give what we received from our fathers
We create the technology and machinery
To overcome poverty, sickness and slavery
Extremists! don't fight us, copy our deeds
Instead of running after martyrs' fame
Create goods and wealth for your people
You will realize that life is worth living
Emile M. Tubiana