Par Albert (Albert) le jeudi 01 juin 2006 - 21h01: |
Bien, sage décision pour ce perroquet.
ARA KI RIT aurait eu certainement le même verdict.
Cela sert d'avoir un RAV ANTI-ARAPE...QUEROQUET..
Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 01 juin 2006 - 19h54: |
LA VOIE ÉTROITE DE LA PAIX
Par Albert Soued, www.chez.com/soued/conf.htm pour www.nuitdorient.com
Le 1er juin 2006
Lors des dernières élections israéliennes de très nombreux citoyens ont choisi de ne pas participer aux jeux subtils des partis politiques et se sont abstenus. Était-ce la conséquence d'un malaise des jeunes vis à vis de la société ou simplement la réaction à l'incapacité subite d'un chef charismatique, emblème du père fondateur et protecteur, qu'aucun autre candidat ne paraissait remplacer?
La société israélienne évolue dans une désillusion de la paix qui se mue parfois en indifférence. Ledit partenaire palestinien de la paix est de plus en plus radical dans son idéologie et maximaliste dans ses exigences, aidé en cela par un nouvel allié de circonstance, l'Iran shiite, bientôt puissance nucléaire. Le fait juif du retour sur une terre promise, en milieu arabisé depuis 14 siècles, n'est toujours pas accepté par les voisins arabes depuis bientôt 60 ans.
Faute de bercer le peuple avec de nouvelles illusions, le nouveau parti du Centre, Kadima, cherche néanmoins à donner un objectif et un espoir, en souhaitant définir les frontières de l'Etat, les frontières les plus sûres possibles, avec le minimum de population arabe. Et tout cela avant que le président Bush ne quitte le pouvoir, le premier ministre Yehoud Olmert espérant obtenir lui aussi "une lettre annexe" (1) entérinant le tracé définitif des frontières. Israël cherche à devenir un état comme les autres, vivant en paix dans des frontières sûres. Mais reconnues par qui ?
Les risques inhérents à cette opération de "réalignement" en Judée et Samarie ne sont pas minces. Opération considérée comme "hardie ou osée" (bold) par le président Bush, opération unique dans les annales, et répétition à grande échelle de l'évacuation des implantations juives de la zone de Gaza. En amplifiant par dix le désengagement de Gaza, on risque une cassure dans la société. Sans doute nécessaire, l'évacuation de Gaza n'a pas apporté d'amélioration tangible sur le plan de la sécurité. Bien au contraire elle a permis le passage aisé d'armes et de terroristes de tout bord, venant du Sinaï. Il faut rappeler ici que ce ne sont pas des frontières hermétiques qui assureront la sécurité du pays, mais un solide réseau d'information, comme l'a démontrée la neutralisation progressive de l'intifada, avec une barrière de sécurité incomplète à 70%.
Par ailleurs l'argument de consacrer les investissements disponibles à développer le Négev et la Galilée plutôt que la Judée et la Samarie ne tient pas du fait que l'extension des implantations existantes est pratiquement gelée.
De plus, le désengagement de Gaza a déjà confirmé l'incapacité de l'Autorité Palestinienne à se transformer en un état viable et paisible, vu le chaos y régnant. L'évacuation de la Judée et de la Samarie ne fera qu'amplifier le chaos.
En fait, dans ce "réalignement" on dénie le droit à des Juifs à demeurer sur une terre ancestrale. James Woolsey, conseiller du président Bush, a déclaré le 23 mai dans le Wall Street Journal : "La solution d'un état Palestinien à côté d'Israël ne pourra se concrétiser que le jour où on exigera des Palestiniens les mêmes normes de comportement que l'on exige des Israéliens, c'est à dire quand les habitants juifs de Judée et de Samarie pourront être traités avec la même décence dans l'état Palestinien que les citoyens musulmans le sont en Israël". Par ailleurs, la grande presse américaine a mal accueilli l'annonce du "réalignement" du 1er ministre israélien à Washington, non pas pour défendre les implantations, mais les Palestiniens, de crainte que ceux-ci ne soient "spoliés d'un territoire viable et continu"….
La voie est étroite entre le déracinement forcé de 70/80 000 citoyens et la volonté de définir des frontières pour "normaliser" l'état israélien. La voie de la sagesse ne consiste-t-elle pas à choisir plutôt la patience, tout en se concertant avec un voisin qui subira forcément les conséquences du choix israélien, la Jordanie. C'est le conseil donné par le président Bush à Yehoud Olmert. Nous sommes persuadés que la solution à ce dilemme consiste dans la gestion commune israélo-jordanienne de la Judée-Samarie.
N'a-t-on pas déjà parlé de mettre ce territoire sous tutelle de l'Onu? La voie jordanienne nous semble plus réaliste et plus sérieuse.
Note
(1) en 2002, Ariel Sharon avait obtenu de G W Bush une lettre reconnaissant la nécessité de maintenir les grands blocs d'implantation de Judée et de Samarie dans le territoire israélien et l'intégration des réfugiés plutôt dans le futur nouvel état palestinien.
Par Emma (Emma) le jeudi 01 juin 2006 - 18h41: |
Le perroquet de la discorde
Un juif orthodoxe de la région de Tel-Aviv qui avait chèrement acquis un magnifique perroquet s'est aperçu à son grand dam que le volatile ne cessait de proférer à pleine gorge des insultes, causant émoi et scandale dans le quartier, rapporte jeudi le journal Yédiot Aharonot.
Abreuvé d'injures du genre "fils de p..." et "pédéraste", le malheureux a couru demander conseil à son rabbin. Ce dernier, pour préserver les chastes oreilles des enfants de la maisonnée, lui a recommandé de réduire au silence l'oiseau insolent en lui coupant la langue, voire même de l'égorger.
L'épouse, scandalisée par l'arrêté du rabbin, a brandi la menace de divorce. Le perroquet de la discorde a finalement trouvé refuge au zoo.
Par Braham (Braham) le jeudi 01 juin 2006 - 13h45: |
H'AG SAMEAH'
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 01 juin 2006 - 09h51: |
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 01 juin 2006 - 09h50: |
Bonne fete de Shavouot, dans la joie du don de la Thora.
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Par Mena (Mena) le jeudi 01 juin 2006 - 03h06: |
Le Mrap contre Finkielkraut en justice. Le parquet ne suit pas Aounit. (info # 013105/6) [Dépêche]
© Metula News Agency
De l’un des correspondants permanents de la Ména à Paris
Hier, mardi 30 mai, s’est tenue, à la 17e chambre correctionnelle de Paris, l’audience concernant la plainte pour diffamation déposée par le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap) contre le philosophe français Alain Finkielkraut.
Les faits remontent à novembre 2003, dans la période de l’après-Durban. Durban où, en 2001, sous le couvert d’une conférence internationale destinée à lutter contre toutes les formes de discrimination dans le monde, la ville sud-africaine avait été le théâtre d’un déchaînement antisémite-antisioniste sans précédent de la part de très nombreuses ONG présentes. C’est ce qu’est venu expliquer à la barre, de façon détaillée, un témoin à décharge, qui a pu constater sur place que le conflit israélo-palestinien avait alors accaparé la presque totalité de l’activité de ladite conférence.
Deux ans après Durban, le 23 novembre 2003, au cours d'un colloque organisé par le Cercle Léon Blum sur le thème « Antisémitisme : la gauche face à elle-même », Alain Finkielkraut, convaincu de ce qu’il y aurait désormais un avant et un après Durban, y avait évoqué l’antisémitisme de certaines associations déclarées anti-racistes. Afin de préciser sa pensée, Finkielkraut avait alors déclaré : « Un mouvement contre le racisme et pour l'antisémitisme des peuples s'est construit à Durban. Ce mrap-là est toujours plus puissant. » Même si l’usage de l’expression « ce mrap-là » semble avoir précisément eu pour but d’interdire toute confusion entre la métaphore du philosophe et le Mrap historique, Mouloud Aounit, son secrétaire général, avait toutefois décidé de porter plainte contre Finkielkraut pour diffamation.
Hier, la partie civile, à la place de tenter de convaincre les trois juges du caractère juridiquement fondé de la diffamation qu’elle allègue, s’est exclusivement attelée à faire le procès à charge du philosophe. L’avocat du Mrap, Me Pierre Mairat, a ainsi fait feu de tout bois pour dresser du penseur français le portrait d’un personnage raciste.
Me Mairat considéra de la sorte que la critique formulée par Finkielkraut à l’encontre d’Oriana Fallaci, consistant à exprimer que, dans l’un de ses ouvrages, l’écrivain italien avait « succombé au racisme », était insuffisante. Il s’est agi de critiques tardives, clama l’avocat, pas assez explicites de surcroît.
On entendit le même son de cloche au sujet de l’entrevue accordée par le philosophe au quotidien Haaretz. On espérait qu’après les clarifications explicites de Finkielkraut dans la presse, on nous épargnerait ce pensum, mais l’avocat du Mrap, visiblement en manque de fondations juridiques pour construire sa plainte, décida de resservir cette soupe devenue indigeste à la longue. Il s’époumona ainsi à faire admettre au tribunal, qu’après l’émission consacrée à cette interview au micro de Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1, le philosophe avait été contraint de présenter ses excuses pour les propos racistes qu’il aurait tenus. Me Mairat omettait toutefois de relever que les excuses que Finkielkraut avait présentées le furent au nom du personnage que Le Monde avait artificiellement fabriqué et dans lequel il ne se reconnaît pas.
Ceci n’empêcha pas l’avocat d’asséner plusieurs fois au tribunal le fait que Finkielkraut s’était excusé, la seule chose comptant pour lui étant que, dans sa logique, si le penseur s’est excusé, c’est que ses propos avaient été véritablement racistes. Ce qu’il lui sera impossible, bien entendu, de démontrer…
L’avocat rappela ensuite la seconde Intifada, et, prenant le tribunal à témoin, il lui demanda de se souvenir de la « provocation » de Sharon sur l’esplanade des mosquées. Le public avait de plus en plus de mal à suivre la logique sous-jacente aux propos du plaideur, et son lien avec la démarche de ses clients.
Puis le plaidoyer sombra corps et biens, l’homme de robe utilisant la barre du tribunal comme estrade politique et pas pour étayer sa thèse. Il s’en prit ainsi à une série de noms, qui n’ont rien à voir avec la « faute » reprochée à Finkielkraut, parmi lesquels le rédacteur de la Ména, Guy Millière, que l’avocat dénonça publiquement comme appartenant à l’extrême-droite. Avant que d’embrayer sur Cécilia Gabizon, dont il fit la réclame du livre OPA sur les Juifs de France, devant des juges qui semblaient se demander si le conseil d’Aounit n’avait pas perdu la raison, ou tout au moins le dernier fil qui le reliait à l’affaire pour laquelle il avait saisi leur tribunal.
A l’occasion de ses réquisitions, le ministère public tenta d’ailleurs, à haute voix, de se rappeler à quel moment le conseil de la partie civile avait évoqué le caractère juridique de l’affaire qui nous réunissait. Le jeune procureur, Madame Sandrine Alimi-Uzan, visiblement pas dupe, fit explicitement savoir que la plaidoirie s’était apparentée à une tribune politique, qui n’a pas sa place dans une chambre correctionnelle. Et de revenir au juridique, au plan duquel elle ne discernait aucun acte constitutif d’une diffamation. Le procureur de conclure son intervention, en regardant le banc du Mrap, et en s’exclamant, demandant la relaxe de Finkielkraut, « ce n’est certainement pas un procès qui restera dans les annales judiciaires ».
La parole fut ensuite au défenseur du philosophe, Me Michel Zaoui, qui ne jugea pas utile de prouver la bonne foi de son client, dont il considère les propos non constitutifs de diffamation. Pour l’avocat de Finkielkraut, jamais le Mrap ne s’est d’ailleurs réellement senti diffamé et il en veut pour preuve qu’aucune pièce n’a été versée au dossier par l’association aux fins, par exemple, de montrer des courriers d’adhérents que les propos du philosophe auraient pu choquer. Me Zaoui, se retournant vers la partie civile : « Non, vous n’avez rien. Vous n’avez que des pièces pour couler, enfoncer, démoniser Alain Finkielkraut ! ». Faisant face à nouveau aux trois juges, l’avocat les invita à prendre conscience que le tribunal a été « pris en otage », « instrumentalisé », demandant que soient versés à son client des dommages et intérêts et que le Mrap soit condamné pour procédure abusive.
Puis, Me Zaoui évoqua l’obsession de nombreuses organisations de gauche consistant à se focaliser sur le conflit israélo-palestinien qu’elles refusent obstinément de considérer, à l’instar des autres conflits dans le monde, comme un conflit politique, mais comme un « conflit racial ». Et de rappeler que le Mrap, également obsédé par ce conflit, était particulièrement absent lorsqu’il s’était agi de prendre la défense des musulmans de Bosnie, alors qu’Alain Finkielkraut avait été l’un des premiers à se mobiliser pour eux. Et l’avocat de rappeler les multiples silences du Mrap, relativement à toutes les déclarations du philosophe, lorsqu’elles contredisent et réduisent à l’état de miettes la peinture raciste faite de sa personne.
Me Zaoui aborda ensuite le « désarroi intellectuel » d’une gauche qui peine à admettre que des propos antisémites puissent, directement ou « par le biais de propos antisionistes », émaner de ses rangs. Cela ne date pas d’aujourd’hui, indique le défenseur du philosophe, qui, s’appuyant sur l’affaire Dreyfus, rappelle que la gauche fut la première à condamner le capitaine au prétexte que c’était un militaire et un bourgeois…
« Les gens qui prônent des idées de paix, de fraternité, de paix universelle, peuvent parallèlement », poursuivit-il, « tenir des discours qui sont intolérables. » C’est dans ce contexte que l’avocat expliqua aux juges les propos incriminés de Finkielkraut, consistant à tirer la sonnette d’alarme en utilisant le sigle du Mrap comme « un sigle-référent dans la lutte contre le racisme », permettant que soit entendue et comprise la dérive antisémite de certaines organisations anti-racistes. Il rappellera que le philosophe avait explicitement dissocié, dans ses propos, le Mrap de Mouloud Aounit du Mrap qu’il venait de définir dans l’espace virtuel.
Une heure plus tôt, à l’occasion de son intervention, Alain Finkielkraut avait, en effet, clarifié sa démarche en précisant : « On dit que nul n’est censé ignorer la loi. Nul n’est censé, je crois, non plus, ignorer la langue française. Nul n’est censé confondre un adjectif démonstratif avec un article défini ». Et de poursuivre sa démonstration : « Si j’avais voulu dire que le Mrap est un mouvement contre le racisme et pour l’antisémitisme des peuples, je l’aurais dit. Je dis ce que je pense. J’ai dit autre chose. J’ai parlé d’un mouvement né à Durban ! ». Et d’expliquer : « Je voulais mettre en garde les organisations antiracistes patentées en leur disant que l’ennemi auquel vous aurez affaire, ce n’est plus votre contraire, le racisme, c’est votre double, votre caricature, votre contrefaçon monstrueuse. » Finkielkraut encore : « l’antisémitisme est sorti à Durban de sa gangue raciste pour effectivement emprunter ce nouvel idiome immaculé, idiome de l’antiracisme. Il fallait le dire et le dire de la manière la plus forte qui soit. ».
Le philosophe de conclure : « Depuis que je dénonce cette nouvelle forme d’antisémitisme, je suis, pour le Mrap, l’homme à abattre ! ».
Le délibéré a été renvoyé au 4 juillet prochain.
Par Albert (Albert) le mercredi 31 mai 2006 - 23h15: |
Le petit mot de Tawfiq lors de sa remise des OSCARS....AU PTB...
‘…Pour sa modestie tout indienne et son calme olympien dans ces rôles…DANS
‘…. A LA RECHERCHE DU CLYSTERE PERDU… !’
ET
‘…ON A MACHE SUR LE MONT EVEREST… !’
‘…LE CANULAR D OR… !’
Et..
‘…LE MESSAGE D OR…. !’
Pour NOTRE CHER TAOUFIQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQQ
Taoufiq en costume indou se lève…
Au micro…
‘…Merci…. ! Nous sommes que de pacage sur cette terre.
Ce qui compte, ceux ne son pas les truffes mais les maqarons, les médailles indéléblides que l’on porte sur nos ânes, pardon âmes.
Ils sont en or ceux là : la gentillesse, le respecte, la toulérance, l’amour que l’on porte aux truies et aux truites… !
Des valeurs qu’aucune institution ne gratiphient malheureusement.
Merci de m’avoir écoutez… ! Avec a tension… !’
Par Albert (Albert) le mercredi 31 mai 2006 - 23h39: |
Du pape à Auchwitz...
'...Seigneur.....! Pourquoi êtes-vous restez silenceux???'
En tant que représentant de D ieu sur terre, il devrait le savoir maintenant...!
Par Braham (Braham) le mercredi 31 mai 2006 - 22h45: |
Reponse