Par Breitou (Breitou) le dimanche 04 juin 2006 - 09h59: |
BBD....! Vous voulez farcir un bescoutou dans une aubergine ou une aubergine dans un bescoutou...! Allez voir KIKO....! Il vous fera farcir ce que vous voulez en temps et en heure...!
Par Braham (Braham) le dimanche 04 juin 2006 - 09h29: |
A Samuel Taieb,
CRIS DES MARCHANDS AMBULANTS
Le marchand de cigarettes EN DETAIL, que j'ai connu, criait
"erti ya kayaffa, el h'ara ba'asra sourdi"
Explications
- "erti" etaient R.T. les initiales de Regie Tunisienne.
- Bien poli, il s'adressait aux fumeurs (kayaffa) seulement.
- Les cigarettes se vendaient a la piece ou en groupes de 4 (h'ara) qui coutaient (selon l'epoque) 10 sous.
Par Email (Email) le dimanche 04 juin 2006 - 09h41: |
Augmentation de la radiation du téléphone portable dûe aux boucles d’oreilles ou aux lunettes en métal
http://www.terredisrael.com/Prevention-portable-danger.php
Par Email (Email) le dimanche 04 juin 2006 - 08h27: |
LE ‘AYIN HARA DANS LA HALAHA (1ère partie) - Rav Gabriel Dayan
On entend souvent parler autour de soi du ‘Ayin Hara sans trop savoir de quoi il s’agit précisément, certaines personnes ont tendance à penser que ceux qui les entourent peuvent leur causer du mal en les regardant, ou en jetant un regard sur ce qui leur appartient.
C’est la raison pour laquelle on les verra assez souvent animer d’une certaine crainte ou d’une certaine peur accompagnée de prières s’adressant à Hachem afin de les « sauver du mauvais sort qu’elles risqueraient » D’autres personnes s’adonneront à toutes sortes de protections matérielles ou spirituelles qu’elles penseront être suffisantes, afin d’attirer sur elles la protection divine qui les épargnera de tout mal. Ces personnes ont-elles raison d’agir de la sorte ? Si oui, dans quelles limites ? Le ‘Ayin Hara a-t-il vraiment un impact, une influence ou une emprise sur le déroulement de notre vie. Y-a-t-il vraiment certains moyens permettant d’être épargné des effets négatifs de ce phénomène ? Afin d’avoir les idées claires sur ce sujet, essayons de nous attarder sur ce que nous enseigne notre sainte Torah, à travers l’enseignement de nos Sages, les H’ahamim, dans les Midrashim, le Talmud, et la Halaha dans le Choulhan ‘Arouh. Dans un premier temps nous passerons en revue les quelques sources du midrash et du Talmud où il est question de ce phénomène, nous essaierons ensuite de l’analyser, puis enfin de savoir comment y faire face, et quelle importance lui accorder.
1. Sarah, la femme d’Abraham était stérile. Au bout de dix années de mariage elle permit à son mari d’épouser une seconde femme: Agar. Voyant que celle ci fut enceinte d’un enfant, Sarah devint « envieuse » Le verset nous dit : « Quand elle (Agar) vit qu’elle avait conçu, sa maîtresse devint l’objet de son dédain, Sarah dit à Avraham : « Mon injure est la tienne (…) je suis devenue méprisable à ses yeux, l’Eternel jugera entre moi et toi »(Béréchit 16/4-5) Rachi sur la fin de ce verset, rapporte le Midrash affirmant que Sarah a regardé d’un regard mauvais la grossesse d’Agar, et elle a avorté, le mot « toi » faisant allusion à Agar. En effet, quelques versets plus loin dans le même chapitre, l’Ange de D. promet à Agar : « Tu seras enceinte et tu mettras au monde un fils »(Béréchit 16/11) Or auparavant elle était déjà enceinte, il n’y avait pas besoin de promesse ?! Ce qui prouve donc que la première grossesse n’avait pas abouti, suite à « l’intervention » de Sarah.
2. La Torah nous raconte la naissance d’Ishmaël et la mauvaise influence qu’il avait sur Itshak. Sarah s’adressant à Abraham lui dit de renvoyer ce fils ainsi que sa mère – « Abraham se leva de bon matin, prit du pain et une cruche d’eau, les remit à Agar en les lui posant sur l’épaule ainsi que l’enfant, et la renvoya » (Béréchit 21/14) Sur ce verset, Rachi rajoute : «L’enfant aussi, il le mit sur l’épaule d’Agar ; Sarah lui avait lancé un mauvais regard, et la fièvre l’avait saisi, il ne pouvait plus marcher»
3. Lorsque Abraham se prépara pour aller sacrifier son fils, il prit avec lui deux serviteurs (Ishmaël et Eliezer) qui l’attendirent au pied de la montagne jusqu’à son retour (Béréchit 22/3) Mais voilà qu’au verset 19, après qu’Abraham ait égorgé le bélier sur l’ordre de D., et non Itshak, il est mentionné qu’Abraham rejoignit ses serviteurs, et qu’ils allèrent ensemble vers Beer Shéva, mais il n’est pas du tout fait mention du « héros » de l’histoire : Itshak, où était-il passé ?! Le Midrash Rabba (56/11) répond: « Abraham l’envoya étudier dans la Yeshiva de Shem, car ayant été sauvé de la mort, il craignait que le mauvais regard des gens ne lui porte atteinte »
4. Lorsque Yaacov envoya ses enfants en Egypte afin de rapporter du blé, il leur recommanda de se cacher au milieu d’autres personnes, et de ne pas se montrer tous à la même porte. Chacun des frères devait entrer par une autre porte afin de ne pas attirer le regard sur lui, en effet ils étaient tous, beaux et forts et le mauvais œil des gens aurait pu leur porter atteinte (Rachi Béréchit 42/5)
5. La bénédiction que Yaacov donna à son fils « préféré » fut entre autre : « Ben porat Yossef, ben porat ‘aleï ‘ayin » signifiant que sa grâce se déploiera devant celui qui le regardera, sans pour autant que le mauvais œil n’ait de prise sur lui( ni sur ses descendants) On remarque également, lors des bénédictions transmises à ses petits enfants Ménaché et Ephraïm, Yaacov leur donna comme bénédiction de se multiplier comme des poissons, car le mauvais œil n’a pas de prise sur eux.
6. Lors du partage de la terre d’Israël après les quarante ans passés dans le désert, la tribu de Yossef contesta devant Yéochoua en exigeant une plus grande part, étant donné le fait qu’ils étaient très nombreux. C’est alors que ce dernier leur conseilla : « Si vous êtes nombreux allez vous cacher (habiter) dans les forêts afin que le mauvais œil ne vous porte pas atteinte », « Nous sommes descendants de Yossef, nous n’avons pas peur de cela » lui répondirent-ils (Talmud Sota 36 b)
7. Avant de donner les secondes tables, Hachem dit à Moshé : « Que personne ne monte avec toi, et que personne non plus ne paraisse sur toute la montagne, qu’on ne laisse même pas paître aux environs de cette montagne, ni menu ni gros bétail » (Chémot 34/3) Rashi rajoute au nom du Midrash : « Les premières Tables, c’est parce qu’elles ont été données dans un accompagnement de bruits et de voix, et devant la foule, que le mauvais œil a eu prise sur elles ; il n’y a pas de vertu plus belle que la discrétion » Même la mise en relief du don de la Torah d’une façon un peu trop importante, peut engendrer Has véchalom, une destruction telle que le peuple d’Israël l’a connue à la suite du veau d’or.
8. « Myriam et Aaron parlèrent de leur frère Moshé, au sujet de la femme Couchite (noire) qu’il avait épousé » Myriam lui en voulait quelque peu du fait qu’il s’était séparé de sa femme, depuis le don de la Torah. (Bamidbar 12/1) Tsipora la femme de Moshé n’était pas de couleur noire, mais Rashi au nom du Midrash nous rapporte l’enseignement suivant : « A cause de sa beauté on l’appelait ainsi, comme on appel un bel enfant « couchi » afin que le mauvais œil ne lui cause pas de mal. Nous voici proche de la fin de cette première partie, dans laquelle nous voyons en effet que ce phénomène existe bel et bien dans notre sainte Torah, et qu’il faut étudier davantage afin de parfaire correctement ses connaissances. Nous poursuivrons notre recherche dans les prochains numéros et comme promis nous rapporterons le regard de la Halaha sur ce sujet. Ce que nous pouvons remarquer dès à présent, c’est que la mise en relief de certaines choses, dans certaines circonstances, peut créer un terrain propice à ce phénomène, pouvant leur porter atteinte. A l’approche de l’été, il est plus qu’indispensable de rappeler l’importance pour les femmes de respecter les lois de la Tsniout dans l’habillement, lois nous révélant et nous illustrant comment ne pas mettre le corps en relief, afin de ne pas lui donner plus d’importance qu’il ne le mérite. Nous mériterons alors, la belle bénédiction de Yaacov : « Ben porat Yossef, ben porat ‘aleï ‘ayin » « Ta grâce se déploiera devant tout celui qui te regardera »
Par Email (Email) le dimanche 04 juin 2006 - 08h11: |
Asslama!
Je suis une Tunisienne de 25 ans, je n'ai pas vecu la période où les juifs tunisiens vivaientt en Tunisie. Par contre, j'ai lu beaucoup de livres qui parlent de l'histoire de la tunisie et de la culture juive tunisienne. Les juifs tunisiens sont uniques un mélange de juifs autochtones,de juifs venus de Livoure, de juifs d'Espagne et de juifs méridiaunaux. Ils vivaient en paix avec les arabes, se cotoyaient, c'était une Tunisie magnifique, tout avait son charme la Goulette, la hara, Djerba... Ils étaientt des Tunisiens à part entière. L'expérience tunisienne est unique, la preuve, la cuisine tunisienne est bien présente, les chansons juives aussi, sans oublier la fameuse boukha de tunisie. j'ai essayé de contacter des juifs tunisiens de mon age mais le problème est que, puisque il sont jeunes ils sont influencés par la culture d'adoption ils ne savent meme pas parler tunisien. Je me suis tournée alors vers les parents et les grands parents, des vrais moments de complicié et de bonheur... Contactez- moi si vous voulez..
Cordialement
Elyssa
Par Email (Email) le dimanche 04 juin 2006 - 08h10: |
Bonjour,
j'aimerais avoir la recette de l'aubergine farcie et du bescoutou.
Merci de bien vouloir me les communiquer
BBD
Par Email (Email) le dimanche 04 juin 2006 - 08h09: |
CRIS DES MARCHANDS AMBULANTS
on peut ajouter aussi le marchand de cigarettes : "el rt (prononcer erti) surfines wel bakou barbine (marque de cigarettes très connue qui coutait quarante centimes)
ou encore " aw chewing gum i taier el nowm" voila le chewing gum qui fait fuir le sommeil
Samuel Taieb
Par Mena (Mena) le dimanche 04 juin 2006 - 07h52: |
Liban : s’extirper du diktat des terroristes chiites et de l’influence de Damas (info # 010206/6) [Analyse]
Par Michaël Béhé à Beyrouth © Metula News Agency
"Pourquoi exempte-t-on le Hezbollah de l’application d’un article de l’accord de Taëb, stipulant le désarmement de toutes les milices ? Le Hezbollah constitue un Etat indépendant à l’intérieur du Liban !".
Ce commentaire, contrairement à ce que l’on pourrait croire, ne provient pas du ministre israélien de la Défense, ni même des rangs de la majorité écrasante de notre parlement. L’auteur de ces propos n’est autre que le chef des bouchers égorgeurs en Irak, le palestino-jordanien Abou Moussab El-Zarqaoui. L’ennemi public numéro un de la coalition occidentale, des chiites, des Kurdes, du gouvernement et de tous ceux qui tentent de pacifier la Mésopotamie, a fait ces déclarations oralement, hier, sur le site Internet principal d’Al-Quaëda.
Il semble que la haine de Zarqaoui, sunnite, contre les musulmans chiites surpasse encore sa détestation des Américains et des Israéliens. Ainsi le délégué à l’Apocalypse de Bin Laden en Irak nomme-t-il, sur cette bande audio, les chiites de l’insulte consacrée Rafidha et y dénonce-t-il une alliance entre le Hezbollah et Jérusalem, qui aurait pour but "d’empêcher les sunnites de franchir cette frontière". Zarqaoui ne se contente pas de paroles, puisqu’un commando sunnite à sa solde a été intercepté il y a quelques jours au Liban alors qu’il se préparait à assassiner le leader du Hezbollah, le sayyed Hassan Nasrallah.
Le Hezbollah et les autres composantes de la communauté chiite libanaise, qui sont, par ailleurs, de plus en plus isolés sur la scène politique. Première raison à cela, leur allégeance continue au régime syrien, accusé d’avoir assassiné l’ex-1er ministre sunnite Rafic El-Hariri et certains parmi les plus brillants de nos confrères journalistes. Mardi dernier, nos députés furent mis au pied du mur, lorsqu’ils eurent à se prononcer sur une motion appelant à rejeter le mandat d’amener d’un tribunal militaire de Damas contre le député et chef de la communauté druze, M. Walid Joumblatt.
Le tribunal des Al-Assad avait saisi Interpol – faignant d’ignorer que cette organisation d’entraide policière est incompétente pour agir dans des différends d’ordre politique – d’un mandat d’amener contre le cheikh druze pour avoir appelé les Etats-Unis à attaquer la Syrie et pour avoir tenu des propos, jugés diffamatoires par ledit tribunal, contre le dictateur Béchar Al-Assad et son armée. La motion soumise au vote de notre parlement proposait également de rejeter les mandats de comparution de cette cour décernés à notre ministre des Télécommunications, M. Marouan Hamadé et à notre collègue de la presse, Farès Khachane.
Les députés ont fait montre d’une remarquable homogénéité en acceptant la motion de rejet à la quasi unanimité, à l’exception des députés des organisations politico-terroristes chiites d’Amal et du Hezbollah, qui se sont abstenus.
Les parlementaires du Courant Patriotique Libre (CPL) du général Michel Aoun se sont, bien entendu, exprimés en faveur de la motion présentée, ce qui a immédiatement donné lieu à un spectaculaire rapprochement entre Aoun et Joumblatt. Les deux hommes étaient très en froid ces derniers mois et cette dispute gênait sérieusement le général dans ses tentatives afin d’obtenir, légalement, la destitution de l’actuel président de la République Emile Lahoud, la baudruche d’Al-Assad, ainsi que des élections anticipées pour pourvoir à son remplacement. Le vote des aounistes en faveur des druzes laisse entrevoir de possibles développements politiques intéressants, et des réunions entre dirigeants du CPL et du PSP (le parti druze), en vue de préparer la plateforme d’une rencontre Aoun-Joumblatt, ont déjà eu lieu.
L’autre raison de l’isolement grandissant du Hezb et des autres alliés des Al-Assad consiste dans leur refus de déposer leurs armes – en conformité avec les exigences provisionnées dans les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU –, de permettre à l’armée nationale de se déployer le long de la frontière israélienne et de cesser les provocations armées contre notre puissant voisin méridional. Les ministres, les députés, comme l’ensemble de la population, se rendent bien compte que si les terroristes persistent à lancer des Katiouchas sur les Hébreux à partir de notre territoire, ces derniers ne nous répondront pas en nous envoyant du riz et des gâteaux !
Jeudi va se tenir un nouveau round de la table ronde dite du dialogue national. Pour le ministre Marouan Hamadé, le vote de la motion au parlement va peser lourdement sur le dossier capital du désarmement du Hezbollah.
Un autre ministre, celui de l’Information, M. Ghazi Aridi, pose quant à lui des questions ouvertes concernant le rôle de l’organisation de Hassan Nasrallah et sa dangerosité :
"Il faudra bien qu’il (le Hezbollah) réponde aux questions que nous nous posons depuis les derniers événements au Sud", précise M.Aridi. "Qui est responsable des Katiouchas lancées sur Israël ? Que signifie le fait que le responsable du Hezbollah au Sud affirme que son parti n’est pas une force sécuritaire et qu’il ne peut savoir qui a lancé les roquettes ? La situation au Sud est-elle à la merci de n’importe quel groupe désirant semer le trouble ? De plus, Ahmad Jibril (le chef de l’organisation terroriste palestinienne du Front Populaire de Libération de la Palestine, commandement général), a déclaré que son groupe menait des opérations de concert avec le Hezbollah. Or, le Hezbollah n’a pas démenti cette déclaration, alors qu’il s’est engagé à mettre un terme à la présence des armes des Palestiniens hors des camps. Que reste-t-il de cet engagement ? Ce sera certainement l’un des principaux thèmes de la réunion de jeudi".
Entre-temps, dans l’attente dudit meeting – une sorte de tous contre un –, le Hezbollah donne des signes de nervosité. Ainsi hier, des milliers de sympathisants islamistes ont été à l’origine d’émeutes à Beyrouth et dans ses fiefs des autres régions du pays. La raison en était une scène de l’émission satirique très populaire de la chaîne LBCI, Bassmat el-Watan, le "Sourire du pays", dans laquelle un comédien s’était déguisé en Hassan Nasrallah. Rien de méchant, seulement que le faux sayyed répondait à côté (comme c’est souvent le cas dans la réalité), lorsqu’on lui demandait si son organisation avait l’intention de rendre ses armes.
Dans un pays occidental, cette saynète serait passée totalement inaperçue, tant elle était gentillette et dénuée de toute esquisse d’insulte ou même d’agressivité. Oui, seulement le Liban est un pays qui n’est qu’à moitié occidental, lors, les choses se sont rapidement gâtées. Sans le déploiement rapide de l’armée, notamment près de l’ancienne ligne de démarcation (chrétiens-musulmans. Ndlr) à Beyrouth, les choses auraient certainement dégénéré. Des partisans de Nasrallah ont ainsi bloqué l’autoroute qui mène à l’aéroport international, tandis que d’autres se réunissaient autour d’une église à Haret Hreik, avec la ferme intention de la saccager. Pneus enflammés, jets de pierres, il aura fallu attendre la lecture d’un communiqué sur la télévision du Hezbollah, Al-Manar, pour que les choses se calment un peu. Ledit communiqué parlait, je cite, de salut aux "(…) sentiments de nos frères (les émeutiers) et leur condamnation de l’insulte infligée par une chaîne de télévision au symbole et au seigneur de la résistance. (…)".
Le réalisateur de l’émission, Charbel Khalif, a été contraint de faire paraître un communiqué d’excuses et de rendre hommage au seigneur des islamo-damascènes. Ridicule ? Certes, mais, comme en Europe après la publication des caricatures danoises, les intimidations des islamistes feront leur effet : les media réfléchiront à quatre fois avant de critiquer leurs symboles, leurs leaders et leurs excès. Tandis qu’eux s’en donnent à cœur joie, et en toute impunité, pour insulter et même agresser physiquement, quotidiennement, les chrétiens, les Juifs et les bouddhistes.
Mais ne nous laissons pas égarer par des épiphénomènes. Les Libanais veulent que leur Etat rétablisse son contrôle exclusif sur l’ensemble du territoire national et désirent un président qui soit représentatif. Le seigneur de la résistance, le dos au mur, est instamment prié, par 80 % de ses concitoyens, d’aller résister ailleurs…
Par Citron (Citron) le dimanche 04 juin 2006 - 00h18: |
un court metrage tunisien sympa
http://www.dailymotion.com/relevance/search/naanaa/video/164395
Par Albert (Albert) le dimanche 04 juin 2006 - 00h24: |
Un pape HAUT TEINS ALLEMAND...????
Un pape latin aux zab oies est comme un papy russe entre les griffes d’un Oli Garce.
Si le premier est aux aguets l’autre supporte mal l’encre de l’écrit vain corrompu, bourré de passes dr oies et qui esttoujours en échec et mat hier pour esquiver la justice.
L’actuelle Pape au thé va t’elle se distinguer par une nouvelle orientation que voudrait lui insuffler benoîtement le primat allemand de l’Eglise Vaticane… Au sujet de la Shoa…?’
Papa andou pou…. !