Par Primo (Primo) le jeudi 01 janvier 2004 - 22h18: |
01-01-2004 : A France Soir, ils ne savent plus lire les dépêches AFP
Primo Europe attend un rectificatif d'urgence.
Le premier scandale de l'année 2004 !
Rappel des faits :
26 décembre : 1h58 du matin, Tremblement de terre en Iran. Epicentre : la ville de Bam :
26 Décembre 8h50 : Déclaration de Sylvan Shalom proposant l'aide d'Israel aux sinistrés d'Iran.
30 décembre 2003 : extrait d'un article de France soir
"Finalement, il n'y a qu'un seul pays à ne pas avoir manifesté sa solidarité avec l'Iran, Israel.
Mais par avance, Téhéran avait décliné tout geste humanitaire de sa part" fin de citation.
Signé F.A. - France soir - 30 septembre 2003
1 Janvier 2004, : Lettre de Jean-Pierre Chemla, à André Berkhoff, directeur de France Soir.
Créteil, le 1° janvier 2004
Monsieur le directeur de la rédaction,
Finalement, de nos jours, que peut bien risquer un journaliste qui fait son travail par-dessus la jambe ?
Tout dépend du sujet à traiter. Il doit être on ne peut plus prudent avec les mises en cause d'individus ou de sociétés susceptibles de le traîner devant les tribunaux en cas de diffusion de fausses informations.
Mais concernant l'image d'Israël ?
Bah ! Toute erreur plus ou moins malveillante à l'égard de ce pays ne fera qu'éveiller des protestations de la part de gens qui ont été catalogués, depuis trois ans, comme paranoïaques. Toute vocifération de leur part ne pourra que renforcer l'idée qu'on se fait déjà d'eux, et le journaliste s'en tirera, au pire, par une justification de sa bourde par " l'urgence dans laquelle il exerce son métier ", au mieux, par l'assurance d'avoir caressé " l'opinion " dans le sens du poil, opinion qui a été dressée à voir en Israël le " petit Satan ", succursale yankee au Proche-Orient.
Alors quel besoin, pour un professionnel de l'information, de s'informer d'une dépêche AFP, tombée le lendemain du séisme survenu en Iran, qui disait :
" Le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères Sylvan Shalom adresse au nom du gouvernement d'Israël et du peuple d'Israël ses condoléances au peuple iranien... Le gouvernement et le peuple d'Israël estiment qu'en dépit de tous les différends, la mobilisation de l'ensemble de la communauté internationale est nécessaire pour venir en aide aux familles des victimes et des blessés".
Le 30 décembre, Madame, Mademoiselle, ou Monsieur F.A., journaliste à France-Soir, écrit dans un article consacré à cette catastrophe :
"Finalement, il n'y a qu'un seul pays à ne pas avoir manifesté sa solidarité avec l'Iran, Israël..."
Mais que fait donc F.A. de ses journées de travail ? Il ou elle ne fait pas que pondre un papier de 400 caractères qui demande quinze minutes de rédaction tout au plus, pour regagner tranquillement ses pénates ? Il doit bien y avoir un travail de préparation préalable. Et la lecture des dépêches des agences de presse autour du sujet à traiter doit bien en faire partie.
Nous avons donc là affaire à un cas patent d'incompétence professionnelle, car je n'ose imaginer l'intention désobligeante à l'égard d'une nation honorable qui, elle, après avoir, une fois de plus, tendu une main bienveillante à un ennemi supposé, ne s'est vue opposer qu'un rictus de haine. F.A. aurait été bien inspiré[e] de relater ce refus, pour le moins choquant, de l'aide israélienne afin de rendre compte de la différence entre les valeurs cultivées à Jérusalem et Téhéran.
Mais il est vrai que dire du bien d'un pays qui érige " le mur de la hoooonte " pour se protéger de l'horreur terroriste n'est pas très " tendance " parmi les diffuseurs de pensée inique.
Je vous prie de croire, Monsieur le directeur de la rédaction, en mes sentiments les meilleurs.
Jean-Pierre Chemla
P.J. Photocopie de l'article de F.A. du 30/12/2003
En l'absence de tout rectificatif signé du directeur de la rédaction de France Soir ou du journaliste qui signe courageusement F.A., Primo Europe s'attachera à décridibiliser la rédaction de France Soir auprès de son réseau et de ses amis.
Par Mena (Mena) le jeudi 01 janvier 2004 - 20h07: |
Les messages de l’an des rédacteurs de la Ména (info # 010101/4)
De Stéphane Juffa, à Métula : Dans les eaux remontées de l’année qui s’achève, la Ména a su garder le cap. Autour des commentaires politiques de certains de nos rédacteurs, les lecteurs ont trouvé les analyses stratégiques qui les ont aidés à comprendre l’événement parmi le flot ininterrompu des informations, souvent médiocres et confondantes.
C’est ainsi que nos lecteurs savaient, depuis le soir même du 11 septembre 2001, que le régime despotique de Saddam Hussein finirait aux gémonies. Ils savaient aussi pourquoi. De même, ils connaissent aujourd’hui les raisons qui nous font pronostiquer la chute inéluctable de la dynastie népotique des El-Assad et celle de la dictature constitutionnelle vassale de Rafik Hariri et d’Emile Lahoud.
Ceux qui lisent nos analyses savaient, un an à l’avance, alors que rien n’était décidé à l’ONU, quand l’offensive contre la tyrannie iraquienne débuterait et, quatre jours avant qu’elle ne survienne, ils connaissaient le jour de l’entrée des forces américaines dans Bagdad.
Non seulement toutes nos analyses stratégiques se sont-elles avérées dans les faits, ce qui, pour le rédacteur en chef, concédons-le, est un sujet de grand réconfort, encore ne donnaient-elles pas, ces analyses, dans le politiquement correct. Ainsi, nous vous avions dit, bien avant l’heure, que l’Irak ne possédait plus d’armes de destruction massive et que des missiles Roland français récents avaient fait leur chemin jusqu’aux arsenaux du monstre.
Sur un autre registre géographique, vous saviez, deux mois à l’avance et alors que rien ne le laissait présager, que Mahmud Abbas se prononcerait pour la fin de l’Intifada et qu’il serait nommé Premier ministre. Vous saviez, avant même les ministres de l’Autorité Palestinienne, que Yasser Arafat allait procéder au remplacement presque incroyable de Dahlan par Jibril Rajoub et qu’il lui arrivait de cracher au visage de ses conseillers.
Certes, la Ména a fait, en 2004, correctement son office de roc des informations crédibles, dans l’océan en pagaille de la surinformation, de l’ignorance brute, de la propagande et de la désinformation. Cela, nous le devons à la rigueur et au professionnalisme de chacun de nos collaborateurs. Chacun dans son style et dans sa diversité. Qu’ils en soient remerciés. Les innombrables messages reçus de nos abonnés dans ce sens, l’absence quasi absolue de contestation de la valeur de leurs contributions, montrent que leur effort n’est pas payé d’ingratitude.
Au plan administratif et financier, les choses sont rentrées dans l’ordre après la mise en route des paiements sécurisés en ligne, ce, grâce à notre contrat avec WorldPay. Les abonnés montrent, de la plus tangible des manières, qu’ils saisissent les avantages d’avoir une agence de presse de Métula qui soit équilibrée financièrement et que, selon la formule désormais consacrée, personne ne paie leur souscription à leur place.
Le travail de l’an neuf s’annonce dru. Certaines de nos grandes enquêtes parviennent à maturité et je ne m’avance pas de façon inconsidérée, en prophétisant, par exemple, que l’imposture macabre du pseudo assassinat de Mohamed A Dura, ainsi que les forbans qui en sont responsables, seront publiquement dévoilés avant que 2004 ne s’éteigne. Nous détenons des documents supplémentaires qui établissent leur délit – même si ceux que nous avons déjà produits constituent des preuves largement suffisantes - et nous les présenterons au moment opportun.
Il me reste à remercier les dizaines d’amis fidèles qui nous renseignent et qui nous aident de tous les coins du monde et ceux constitués dans Primo, l’association européenne des amis de la Ména, qui soutiennent notre action. Merci à l’interprète de grande qualité Llewellyn Brown, à l’ingénieur et webmaster Fred Grieco, pour le travail considérable qu’ils accomplissent. Merci à nos amis Carmen et Roger Peyraud à Genève et Larry Joffé au Luxembourg, sans le concours desquels nous serions déshydratés. Merci à vous, le public, pour votre confiance indispensable. Les soussignés vous assurent de mettre les bouchées doubles afin de réaliser tous les projets que nous n’avons toujours pas accomplis et de progresser encore dans leur métier, en gardant l’enthousiasme des apprentis sculpteurs du verbe.
Je soumets à l’attention de certains collègues les deux citations que j’ai gardées de l’année écoulée : Ca n'est pas en omettant de publier une opinion qu'elle cesse d'exister et préférez qu'il y ait trop d'opinions à ce qu'il n'en manque qu'une seule. Et je vous présente à tous, amis, mes voeux sincères pour une nouvelle année de qualité et de très bonne santé !
De Luc Rosenzweig, en Haute-Savoie : A tous les amis et lecteurs de la Mena, je souhaite une année 2004 plus porteuse d'espoir que ne le fut la précédente. Une année où les voiles sortent des écoles de la république française, une année où les écoles juives ne soient plus la cible de fous furieux sans cervelle, une année, où l'on s'apercevra, enfin, que le choc subi par le monde arabe peut lui être profitable, en dépit de tous les penseurs mondains franchouillards. Shalom à tous.
De Raphaël Lellouche, à Paris : Une année s'achève, et une autre commence. Une pensée du monde, disait Hegel, apparaît lorsqu'une manifestation de la vie achève de vieillir. Et nous ne comprenons qu'aujourd'hui, tardivement, ce qu'il nous aurait fallu comprendre beaucoup plus tôt : que la "désinformation" était la contribution de l'Europe à la guerre palestinienne, et que cette véritable guerre médiatique est un volet de la guerre globale contre Israël. Nous n'avons donc pas seulement une année de plus, mais une guerre de retard. Mes voeux à la Ména et à ses lecteurs pour l'année qui vient sont donc : plus de lucidité, plus de courage, plus d'acuité, plus de résistance.
De Michaël Béhé, à Beyrouth : En cette fin de dernière année d'occupation syrienne, tous les signes avant-coureurs de l'effondrement du gouvernement fantoche d'Emile (Lahoud Ndlr.)1er se profilent à l'horizon avec, en prime, les vaines tentatives de rafistolages du pouvoir chancelant et anachronique du suzerain Bachar (El Assad Ndlr.)1er, qui tente, en désespoir de cause, de négocier ce qui n'est plus négociable après le 11 septembre.
Venu d'outre Atlantique un vent nouveau souffle sur le Liban, suite à la décision historique du gouvernement américain de s'intéresser à la cause démocratique au pays des cèdres. Pour la première fois depuis son indépendance, la seule démocratie arabe est en voie de recouvrer, par des moyens pacifiques de surcroît, sa souveraineté spoliée et sa libre décision. Cela, surtout grâce à un homme de courage, le général Michel Aoun, qui a défendu devant le Congrès américain la cause incontournable de la restauration de la démocratie et de la souveraineté du Liban.
L'année 2003, laisse en s'en allant quelque chose dont le présent continue a vivre intensément : l'espoir d'être libres et indépendants en 2004.
Bonne et Heureuse à tous et à toutes.
De Salomon Pardess, à Paris : En cette fin 2003, le spasme antisémite qui s'est déclanché, il y un peu plus de trois ans, a l'air de se calmer un peu. J'espère que 2004 le verra disparaître totalement. Je fais en particulier le voeu que tous ceux qui ont voulu délégitimer Israël de manière irréversible prendront conscience de
leur folie et de leur échec. J'espère que les peuples auront la maturité de voir leur avenir en face et de se mobiliser pour résoudre les problèmes qui les assaillent, plutôt que de faire revenir l'éternel bouc émissaire.
L'humanité a besoin que la science et la technique soient mises au service de l'alimentation, de la santé et de la liberté de tous et de chacun, et non de la haine et de la guerre. Il est encore temps d'éviter le pire.
Meilleurs voeux à tous.
De Pierre Lefebvre, à Poitiers, Président de Primo Europe : 2003 ? Une année de rage et de combat, sur le terrain mais aussi dans les esprits.
Rage donc, dans les esprits des membres de Primo, tant est immense en Europe la mauvaise foi, le calcul cynique de la part de ceux qui attaquent à tort Israël. Mes voeux pour 2004 : Qu'Israël soit blâmé pour ce qu'il fait de mal et félicité, apprécié, et pourquoi pas aimé, pour ce qu'il fait de bien....Ca nous changera.
Que les médias, les politiques, et les Français moyens nous lâchent un peu avec le mythe de l'éternel méchant, assez simplet pour interdire toute réflexion intelligente.
De Gérard Huber, à Paris : En cette fin d'année 2003, notre pays vient de se prononcer pour des mesures courageuses destinées à faire régresser l'incitation à la haine, le racisme et l'antisémitisme. Bientôt, le champ de la laïcité sera également étendu aux comportements individuels dans les lieux publics. Par ailleurs, des changements diplomatiques sont en cours qui témoignent d'une prise de conscience que le rôle de la France dans le monde doit aller dans le sens d'un apaisement des tensions. Certes, beaucoup reste à faire, notamment pour réduire la pauvreté et la misère et favoriser le développement des droits des gens, mais justement, pourquoi ne pas imaginer, et, en tout cas souhaiter, qu'une authentique culture de paix prenne ses racines dans le pays des Droits de l'Homme ? La France, terroir de paix en 2004 ? Pourquoi ne serait-ce qu'un rêve ? Excellente année à tous !
De Guy Senbel, à Netanya : Et voilà déjà une année de passée, dans le sang, la terreur, la haine mais aussi dans de grandes aventures humaines, grâce auxquelles il nous est encore permis de croire en un avenir meilleur.
La rédaction de la Mena et son timonier Stéphane Juffa font partie de ces éléments imprévus qui, dans la tourmente, redonnent la force et le courage de continuer.
Pour ma part, je remercie les lecteurs, pardon… les amis qui ont cru en nous depuis la première heure et qui peuvent être fiers d’avoir fait de la Mena ce qu’elle est aujourd’hui.
A tous je souhaite une très bonne nouvelle année, en espérant, comme l’an dernier, que rapidement la Mena devienne une centrale touristique ou une agence de presse spécialisée dans la mode féminine, car cela voudra dire que l’utopie de la paix universelle sera enfin réalisée et à la Mena nous croyons à ce genre d’utopies.
De Laurent Murawiec, à Washington : Chers amis,
En 2001 les Etats-Unis ont toussé en Afghanistan pour s'éclaircir la voix. En 2003, ils ont cassé la porte d'entrée du Proche Orient. "Two down, many to go." 2004 verra une amplification de cet engagement. Dans le désert aride de la mensongeophonie française, que l'oasis MENA continue d'arroser les arroseurs !
Amitiés washingtoniennes, aux rédacteurs et aux lecteurs.
D’Ilan Tsadik, à Métula : Je suis très occupé à répondre aux dizaines de courriers me demandant des précisions sur le tulle (et non pas la tulle, comme tu l’as écrit dans ton dernier méfait Ndlr). Bonne année à Tumavolé Mahatir Mohammed en lointaine Indonésie, à Jésus Christ, le numéro 10 du FC Nazareth-Annonciation, qui va faire sa rentrée très attendue en équipe nationale après un an de suspension et à Germaine – ma muse virtuelle – ainsi qu’à toutes les vraies femmes de chair, d’esprit et de magie dans le monde.
Sans leur aide, volontaire ou réquisitionnée par mon ordinateur espiègle, et sans leurs clins d’yeux ou leur beauté, ma vie serait vraiment très ennuyeuse. A Cypel, Nahum-Morin, Dominique Vidal, Askolowitch, Gozlan (pas celle du Charlot Enderlin, le tout petit caprice de Marianne), à Enderlin, justement – bin tiens – à Schemla ah ah, qui a compris l’amour au carrefour de Netzarim, à Sivan et à son cousin Brauman, à Alain Minc, à Sara Daniel et à son papa et à tous les Juifs de droite, de gauche, d’en haut et d’en bas qui méritent objectivement de se faire appeler youpins – si si, ils se reconnaîtront -, je vous interdis, en 2004, de dire que nous nous connaissons !
De Sami el-Soudi, vers Jérusalem : J’aimerais vous parler d’espoir mais je ne sais honnêtement pas où le trouver. Partout où mes yeux se posent, ils rencontrent la même désolation et la même putréfaction, œuvres surtout d’Arafat et de ses coquins.
Bien sûr, j’aimerais, plus que tout au monde, un pays, dans lequel les Palestiniens pourraient enfin se mettre à construire et à aimer. Mais, connaissant ce qui se passe ici, j’ai autant de raisons de craindre l’indépendance que de redouter l’occupation. Quelle conclusion abominable pour quelqu’un qui aspire juste à vivre chez lui comme un homme debout.
Qu’on ne pense pas non plus que j’aime tous les Israéliens, il y en a vraiment qui me rebutent, surtout ceux qui se sont installés tout près de ma maison. Mais il y a les autres, et mes amis de la Ména, qui me permettent, dans la plus absolue des libertés, de faire valoir qu’on peut être Palestinien et s’exprimer avec dignité et sans mentir. Merci à tous ceux qui me lisent. Que la paix arrive et que la vie puisse encore être en 2004 !
De Jean Tsadik, vers Métula : Merci à mes camarades rédacteurs – je leur présente mes excuses pour mes emportements - et au public de la Ména. A en juger par la qualité de vos commentaires, vous êtes vraiment le lectorat le plus rare auquel des journalistes peuvent prétendre. Interactifs et éveillés, vous êtes aussi cultivés et attentifs. Vous êtes vraiment pour moi des partenaires autant que des abonnés.
Ce fut pour moi une année 2003 très remplie, avec, à la clé, de très nombreux voyages et réunions d’experts. Au plan stratégique, dont je m’occupe, la situation de la démocratie et des droits fondamentaux des personnes s’est largement améliorée dans notre région durant l’année écoulée. L’Axe du mal sans Saddam ne fait plus peur à personne, et les régimes monstrocratiques d’Iran, de Syrie et d’Arafat sont très nettement sur la défensive, en situation de survie.
Je m’attends à des progrès inéluctables en 2004, mais pas toujours immédiatement visibles des populations impatientes. J’espère moins de haine et de raisonnements superficiels.
De Fayçal H., relais de la Ména à Aman : Aman, depuis la chute du dictateur en Iraq, est un peu devenue l’antichambre de Bagdad. On y voit défiler tous ceux qui ne sont juste pas assez coupables pour être arrêtés par les coalisés. On y fait surtout beaucoup de business et des transactions de toutes sortes, qui vont de l’échange d’informations à la dénonciation monnayée, sans oublier, cependant, la bourse aux denrées que consomment les 27 millions de Babyloniens, qui ne se sont pas arrêtés de vivre, ne serait-ce qu’un seul jour.
D’un point de vue stratégique, les choses ne sont plus du tout comme avant. Les infiltrations en Jordanie des commandos déstabilisateurs de Saddam ont complètement cessé. Les ennemis ignorés de l’occident ruminent leur haine et leur extrémisme. De tigres menaçants, ils sont devenus des tigres de papier et ils sentent bien que leur vision manichéenne du monde est en voie de désintégration.
A craindre : Les répliques parfois violentes des partisans de l’Axe au cours de leur démembrement.
Je veux encore souhaiter pour 2004 à la Jordanie que j’aime, qu’elle progresse dans la répression des assassins dans les intolérables meurtres pour cause de déshonneur de la famille et dans la lutte contre l’abominable excision des adolescentes. Je souhaite, enfin, longue vie à la Ména et à ses lecteurs. Notre région suit désormais chacune des analyses de notre agence avec la plus grande attention. Voyez donc avec quel appétit les experts de l’armée américaine dissèquent nos articles…
De Guy Millière, à Paris : Mes souhaits pour la nouvelle année sont que l’Irak retrouve la stabilité et la décence après tant d’années de souffrance, que Saddam Hussein soit jugé et condamné, que Bachar El-Assad et les ayatollahs iraniens comprennent qu’ils sont sur des sièges éjectables et en tirent les conclusions, que, bien sûr, George W. Bush soit réélu et puisse, en allant au bout de la recomposition du Proche-Orient qu’il a entreprise, rendre possible enfin la paix à Israël et pour les populations arabes de la région.
Amicalement.
De Gérard Etienne, au Canada et en Haïti : Au lectorat de la Ména, organe d'information axé uniquement sur des vérités de fait, je formule des voeux de longévité à l'occasion du nouvel an. Avec cependant l'espoir de nous voir, toujours debout, un flambeau à la main, pour la défense de nos droits absolus à l'existence sur un territoire nôtre, malgré la haine de nos traditionnels ennemis et leurs machines millénaires de désinformation.
Par Lucia (Lucia) le jeudi 01 janvier 2004 - 09h05: |
BONNE ANNEE 2004 a tous mes ami/es Harissiens; juste de
retour de Paris j'attends minuit (dans une heure); notre
rencontre etait formidable; je remercie tous ceux qui m'ont
jointe le 29/12; c'etait genial; j'espere vous recevoir par ici.
Grosses bises, lucia
Par Claudia (Claudia) le jeudi 01 janvier 2004 - 04h10: |
BRAVO SARKO
Le ministre français de l'Intérieur et des Cultes, Nicolas Sarkozy, a déclaré hier au Caire : '' Les Musulmans pratiquants de France ont les mêmes droits et devoirs que les pratiquants des autres religions en France ''. (Guysen.Israël.News)
'' J'aimerais être certain que partout dans le monde toutes les minorités religieuses ont autant de droit que les Musulmans de France en ont. La laïcité, c'est la neutralité de l'enseignement public pour tout le monde. C'est notre tradition et notre choix. Je remercie le grand Imam d'Al Azhar, Mohamed Tantawi, d'avoir indiqué que dans un pays laïc et non musulman, le devoir de chacun, c'est de respecter la loi de ce pays ''.
Par Nao (Nao) le jeudi 01 janvier 2004 - 03h59: |
BONNE ANNEE CIVILE A TOUS LES HARISSIENS!
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 01 janvier 2004 - 00h55: |
Je souhaite a tous mes ami(e)s harissien(ne)s une merveilleuse annee 2004 . Que la Paix et l amour regnent dans nos regions et dans nos coeurs .
Chalom Salam Paix peace Paz Pax Mir etc.... a tous les enfants du monde . et comme a si bien dit Gad El Maleh ce soir """ Chana Saida """
Voici une image:
Par Primo (Primo) le mercredi 31 décembre 2003 - 18h52: |
De l’échec de l’intégration à l’Education Nationale
par Josiane Sberro
Un "collège 900" comprend, en règle générale, 1100 élèves. Sur ces 1100, 1050 sont irréprochables. 50 sont perturbateurs et sur ces 50, 10 sont ingérables. Le comportement de ces 10 «ingérables» n’a cessé de s’aggraver en fonction de l’évolution du «paysage environnant ».
Comment les choses ont-elles évolué ?
De 1974 à 1981, le Président Giscard d’Estaing se veut réformateur de centre-droite. L’école vit une période de bouillonnements. En 1975, René Haby, ministre de l’Education Nationale, organise la réforme dite du «collège unique». Au nom de la démocratisation de l’enseignement, et de « l’égalité des chances », un tronc commun de formation est établi pour tous du CP à la 3ème. Il n’y a plus de classes de niveau, d’orientation, ni de sélection à l’entrée en 6ème de collège.
Dans le même temps, la restructuration immobilière de Paris exigée par une économie florissante (les 30 glorieuses), chasse les minorités les plus démunies, de plus en plus loin vers la couronne. Celles ci viennent prospérer en masse, dans les "environs de Paris", périphérie où la vie était jusque là, familiale, voire provinciale. Nous sommes encore loin des sinistres «banlieues».
Ces populations sont relogées dans des constructions hâtives et bâclées pour faire face à la demande. Il faut y ajouter, dans les mêmes années, la politique de «regroupement familial» qui accroît d’autant l’afflux de populations migrantes aux mêmes endroits. Cette volonté généreuse d’adoucir les conditions de vie des personnes déplacées va considérablement dégrader les conditions générales de vie dans ces résidences devenues «cités». Ces transferts de population massifs et non préparés, ont créé ce que l'on appelle aujourd'hui les ghettos. Par une déficience notoire d’analyse du contexte et du terrain, les pouvoirs publics ont favorisé le développement d’incompatibilités sociales et sociologiques, ont provoqué des situations de rejet, de tensions, d’autoprotection humaines et naturelles.
En 1974 toujours, dans ce collège devenu «unique» et ingérable, dans le même souci d’égalité et de reconnaissance des populations migrantes, la Loi sur l’enseignement obligatoire de l’arabe va accélérer le processus d’identification à rebours de ces mêmes populations, et établir le terreau de l'islamisme par manque de préparation et de prospectives. C’est un louable souci de respect identitaire pour ces anciens "colonisés". Mais par ce texte, une fois encore, les pouvoirs ont manqué à leur devoir de prévision. Ces cours ont été rendus obligatoires sans avoir pris la peine de former le moindre enseignant de langue arabe. Où les trouver, alors que la seule Tunisie a perdu, en 2 ans, (Bizerte) 25 000 enseignants ?
Cette pénurie dans les pays d'origine a largement ouvert les portes à ce fléau que nous vivons aujourd'hui : l'islamisme. Nous autres enseignants, avons vu arriver, la mort dans l'âme, ces barbus austères, distants et peu communicatifs, aux tenues inhabituelles, originaires de contrées lointaines. Les enfants pensaient apprendre leur langue maternelle, on ne leur offrait que le Coran, dans une appréhension particulière de surcroît. Certains de nos élèves venaient se plaindre de la rigueur de ces cours rébarbatifs. Mais raison sociale oblige, il leur fallait y aller. L'uniformisation de l'Islam de France s’est constituée autour d’une langue coranique unique qui a effacé les dialectes et la richesse patrimoniale des "primo-arrivants". Voilà comment nous avons en France arabisé unilatéralement nos jeunes de Banlieue. La République, en son immense bon vouloir, se marche allègrement sur les pieds.
Cette «évolution-révolution» s’est faite à partir de 1974. Années de diplomatie agitée, et d’éveil de l’Islam djihadiste, avec pour invité privilégié sur notre territoire, Khomeiny et sa nombreuse suite à Neauphle-Le-Château, Abou Daoud interpellé et relaxé aussitôt, les attentats de Carlos, Copernic et les «morts-non-juifs innocents» de Raymond Barre…
C'est à partir de ces années phares (1974/1980) que nous avons vu se transformer le comportement de nos "10 agités" du point de départ de cette réflexion. Simplement indisciplinés et manquant de repères éducatifs les premières années, nous les avons vus, peu à peu, réclamer des droits exorbitants et se libérer sciemment des devoirs de la collectivité. L'indiscipline s'est faite revendication. Refus massifs et systématiques des orientations en filières professionnelles, toujours argumentés sur le thème de la ségrégation du système éducatif français. Ces refus ont pris de telles proportions que des enquêtes nous ont permis de découvrir l'origine de l'argumentaire : le professeur d'arabe devenu peu à peu imam. «Le professeur d’arabe a dit …». Quand l’orientation en filière professionnelle devenait inéluctable, nous avons connu les appels téléphoniques de tutoiement, de menaces et d’insultes, phénomène totalement nouveau pour les personnels de direction. Ces revendications se sont peu à peu faites violence au nom du "droit du colonisé". Ces termes, nous les entendions de la bouche de jeunes de 12/ 13 ans. Mais qui voulait le croire ?
Haby, Beullac, Savary, les ministres passent trop vite pour donner lieu à une analyse du phénomène de dégradation. Dans les milieux enseignants nous l'avons décrié, mais personne n'a voulu entendre, au nom de "l’égalité des chances mal comprise" et de la 3ème ineptie du système (de gauche celle là) : 80% d'une tranche d'âge au bac, en 1986 avec Chevènement pour prophète. La République est saine, nous répondait-on, et intégrative. Qui a intégré qui en définitive ?
Avec le changement de majorité, les conditions éducatives des minorités à l’Education Nationale, loin de s’améliorer se sont dégradées. De 1984 à 1992, les ministres se succèdent (Chevènement, Monory, Jospin, Lang). La prégnance de la politique étrangère de la France se fait objet d’intérêt permanent des élèves de nos collèges de banlieue. L’abondance de l’information médiatique joue désormais un rôle prépondérant. On ne refuse pas encore les contenus d’enseignement, mais on introduit à tous moments et en toutes situations pédagogiques «l’interpellation politisée». Face à de jeunes enseignants dont la formation, le cursus et la culture les mettent hors de portée de toute réponse adéquate ou pertinente.
Le déséquilibre de l’école intégrative se fait au détriment de l’école, de l’enseignant, de la république et au bénéfice direct de la revendication. La déstructuration est en marche.
En 1989, la fatwa contre Rushdie fait grand bruit. Sujet de prédilection de tous les entretiens «spontanés» en cours. Creil connaît son premier problème de foulard. La question qui se pose aux équipes pédagogiques n’a toujours pas trouvé de réponse à ce jour : «le foulard est-il un signe politique ou religieux ?»
Le ministre du moment, Lionel Jospin, et le Conseil d’ Etat ne fournissent pas au corps enseignant la réponse escomptée. La guerre d’Irak, en 1990, n’améliore pas la situation des établissements, tant s’en faut ! Les jeunes nous reviennent de vacances du Maghreb, «ostensiblement» décorés du Keffieh rouge. Des gaillards de 14 ans, de plus en plus fanatiques et de moins en moins élèves, expliquent ouvertement qu’ils envient leurs grands frères du pays partis à la guerre de soutien à la nation arabe. Le maître mot est lâché dès cette époque et ne quittera plus ces fameux «territoires perdus de la République». La solitude du corps enseignant est abyssale. La notion de «nation arabe» progresse à grands pas.
En 1994, Le nouveau ministre, François Bayrou, fait face à la panique des personnels de direction. La dégradation de la situation est éprouvante : diatribes incessantes à propos des voiles plus nombreux, insolence et violence des familles qui ne se déplacent même plus lors des conseils de discipline. Fait remarquable, sous prétexte qu’ils maîtrisent mieux la langue française que leurs parents, ce sont généralement les grands frères qui viennent régler ces conflits sur un mode « tonique. » C’est alors la Circulaire Bayrou du 20-09-93 qui réglemente «le port de signe ostentatoire» à l’école. Le problème de l’intégration des jeunes de la 2ème génération n’est pas abordé, mais en permanence contourné.
En 1995 l’Education nationale, dans un grand élan d’unité nationale, lance le projet «d’Education à la Citoyenneté». Ségolène Royale et Jaqueline Costa-Lascoux (directrice de CEVIPOF*) s’y impliquent avec ferveur et conviction républicaine. Les redéfinitions en vue d’améliorer les capacités intégratives de l’école pullulent. Nous apprenons et enseignons par tous les subterfuges pédagogiques, qu’un citoyen est membre d’un Etat du point de vue de ses droits et de ses devoirs.
Les propositions éducatives faites dans ce cadre, se situent au sein de l’entité la plus représentative de la cohésion de l’Etat : l’école. Elles ne peuvent déroger aux principes fondamentaux d’appartenance à une collectivité définie, qui, elle-même, définit les droits de chacun. Valeurs de coopération, d’écoute, d’initiative, de discipline. Colloques et réunions pédagogiques se succèdent. Ad nauséam, l’acte le plus insignifiant se voit alors rattaché à la «citoyenneté». Dans quel contexte ?
La société connaît une crise de l’emploi, du lien social (famille, voisinage, anonymat, environnement), une crise de valeurs, les valeurs idéologiques prégnantes des dernières décennies se sont effondrées. Le Mur de Berlin, dans sa chute, ouvre des espoirs imprévisibles. Les conflits de moins en moins politiques, de plus en plus religieux se multiplient de par le monde. Le collectif est devenu statistique au lieu d’être idéal commun. L’école-réceptacle en subit des retombées directes et violentes. A l’heure d’Internet et de la communication instantanée, l’hétérogénéité des statuts sociaux devient violence. L’exclu français appartient au quart-monde, l’étranger d’origine se rattache à ses racines. Ils partagent pourtant ce collège unique de l’enfant attendu, entouré, porteur de l’espoir de ses parents. La citoyenneté, c’est au départ l’égalité des chances. Dans le contexte précité, est-ce égalité que de donner à tous de la même façon avec les mêmes outils ? La fragilité des valeurs sociales et républicaines a été perçue à cette période, mais les remèdes appliqués furent dignes du cautère sur une jambe de bois.
Aujourd'hui, le combat est semble-t-il politique, et les revendications de l'islam de France lui sont totalement rattachées. Le fait religieux, dernier refuge, prend le pas sur les valeurs collectives, l’Islam plus que tout autre, car il n’a pas encore de tradition de sécularisation. L’Etat peut-il, doit-il répondre à une religion d’égal à égal ? La religion musulmane, en pleine crise d’expansion est-elle en situation d’accepter et d’intégrer les valeurs collectives de la laïcité ? Voilà les questions fondamentales que tout projet pédagogique doit désormais poser et se poser. Les réponses à ces questions portent en elles la réussite ou le constat d’échec de l’intégration aux valeurs de la France d’une fraction non négligeable de population aujourd’hui dite «d’origine», vouée à former les cohortes de la France profonde de demain. Quelle France préparons-nous en héritage ? La République doit se ressaisir et probablement, dans un premier temps, sévir. Nous n'en sommes plus au dialogue mais à la résistance organisée, pour éviter d'en arriver à l'inéluctable période de conflit ouvert qui ne serait que légitime défense.
* Le Centre d’étude de la vie politique française (CEVIPOF) est un laboratoire de recherche créé en 1960 par la Fondation Nationale des Sciences Politiques et associé au CNRS depuis 1968.
Josiane Sberro © Primo-Europe
Personnel de direction 1ère classe
Directrice d’établissement spécialisé (option Handicapés Sociaux)
Chevalier .P. Acad.
Par Edmond (Edmond) le mercredi 31 décembre 2003 - 18h41: |
Sauver des vies: La clôture de sécurité d'Israël
Novembre 2003
Par Maxiton (Maxiton) le mercredi 31 décembre 2003 - 16h42: |
Bonne annnée à tous.
La Paix et ensuite la Paix et enfin la Paix
Rabbi Nahman de Bratslav a écrit
''Là où il n' y a pas de paix les prières ne sont pas écoutées'
Par Wnes (Wnes) le mercredi 31 décembre 2003 - 09h49: |
La Douda ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur: Une loi idéale.
Une loi sur la laïcité devrait stipuler que tout signe politique, philosophique ou religieux est interdit dans les établissements publics d' enseignement, et les administrations publiques, de même que les patients masculins ou féminins, peuvent être soignés indistinctement par du personnel soignant masculin ou féminin, que la loi sur la laïcité s' applique sur tout le territoire métropolitain sans exception, ainsi que sur tous les DOM et TOM.
Wnessou El Douda
Par Davideden (Davideden) le mardi 30 décembre 2003 - 22h59: |
Citron,
Je suis content que la culture pop Israelienne ne vous soit pas etrangere. Aurait-elle 2 pays?
(gam im admata boheret?)
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 31 décembre 2003 - 15h04: |
Citron, merci pour ces informations.
J'ai finalement vu un bref reportage sur F2 a ce sujet, ledit reportage ayant surtout ete consacre a la visite officielle de Sarkozy en Egypte.
Le Monde, quant a lui, fidele a lui-meme dans le deux poids deux mesures, n'a pas releve cette declaration du Grand Mufti Egyptien, effectuee en marge du deplacement officiel du Ministre de l'Interieur Francais, et ne tarie pas de commentaires sur les derniers incidents qui ont emmaille les manifestations de protestion contre la barriere de securite en Israel.
Bref, on est jamais mieux servi que par soi-meme pour s'informer, meme a l'ere de la communication par satellite et du web ....
Je souhaite d'ores et deja a tous les fideles harissiens/siennes une tres bonne annee civile 2004, pleine de sante, bonheur et prosperite.
P.S. Dois-je comprendre d'apres le message de 8h49, que notre Jaco prefere est de passage a Jeru ???
Si c'est bien de lui qu'il s'agit, j'attends vraiment des nouvelles avant qu'il ne reparte !
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 31 décembre 2003 - 08h49: |
Je cherche le titre exact d’une chanson d’afrique du nord dont certaines paroles sont
« ya ness ya ness kolou bravo »
et qui est connue pour etre LA chanson de nos joies familliales
existe-t-il une version MP3 ??
merci de votre aide
Jac depuis Jerusalem
Par Mexico (Mexico) le mercredi 31 décembre 2003 - 02h25: |
A propos des fameux vols annules d'Air France, ceci demontre clairement que la vie est un boomerang: ceux qui prennent du plaisir a terroriser les autres finissent par etre terrorises a leur tour.
Malgre toutes les precautions et mesures de securite que les USA pourraient entreprendre, en pretendant avoir le controle de toutes les nations, ils ne pourront jamais controler le fleau du terrorisme, dont ils sont a l'origine les plus grands maitres.
De plus, il est completement incoherent de penser que les attentats survenus le 11 septembre ont pour origine le terrorisme, pour la simple raison que celui-ci se manifeste a plusieurs reprises et continuellement, ce qui n'en est pas le cas.