Par Claudia (Claudia) le vendredi 09 janvier 2004 - 18h14: |
LU SUR LE SITE DU WORLD JEWISH CONGRESS
Libye aujourd'hui :
POPULATION TOTALE : 3,084,000
POPULATION JUIVE : 20
En 1911 : 21,000 Juifs
En 1949 : 30,000 Juifs sont partis.
En 1969, quand Kaddafi prend le pouvoir, il restait 500 Juifs en Libye. Kaddafi confisca tous les biens des Juifs et annulla toutes les dettes dues aux Juifs.
Israel a recu en tout 36,730 Juifs Libyens.
MERCI DE METTRE VOS PENDULES A L'HEURE ET DE DONNER UN "0" EN MATHS A MR RAFFAH
Par Claudia (Claudia) le vendredi 09 janvier 2004 - 18h03: |
Proche-Orient: Colin Powell rend les Palestiniens responsables de l'impasse du processus de paix
WASHINGTON (AP) - Le secrétaire d'Etat américain Colin Powell a rendu jeudi les dirigeants palestiniens responsables de l'impasse dans laquelle se trouve actuellement le processus de paix au Proche-Orient, estimant qu'ils n'avaient pas réussi à endiguer le terrorisme contre Israël.
"Je pense que nous avons besoin d'une action plus responsable de la part de l'Autorité palestinienne pour ramener le terrorisme sous contrôle et s'assurer de la fin de la violence", a déclaré le chef de la diplomatie américaine lors de sa première conférence de presse d'importance depuis son opération pour un cancer de la prostate, il y a trois semaines.
"Nous sommes résolus à obtenir une solution à deux Etats", a encore affirmé Colin Powell, qui enverra la semaine prochaine son adjoint William Burns en Egypte, accusée jeudi de ne pas avoir suffisamment mis la pression sur les Palestiniens pour obtenir la paix.
Sur un tout autre sujet, Colin Powell a affirmé recevoir des "signaux encourageants" sur la reprise des négociations à six pays sur le programme d'armement nucléaire de la Corée du Sud. Mais "nous avons besoin d'un engagement clair des Nord-Coréens sur leur volonté de mettre un terme à ces programmes", a-t-il déclaré. AP
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 09 janvier 2004 - 17h22: |
Je vais essayer de retrouver cet interview sur le net sinon je demanderai a arouts 2 de m en envoyer une cassette ... Ce monsieur Rafah etait presente comme un homme d affaires lybien , juif vivant a Tripoli et etant lui meme president de la communaute juive , et proche du pouvoir ... Il regrettait d ailleurs que l on parle trop des contacts entre Israel et la Lybie , disant que ca pouvait y porter prejudice ... je vais faire des recherches !!! promis !!!
chabbat chalom
Par Nao (Nao) le vendredi 09 janvier 2004 - 16h48: |
Un double Mazal Tov a mes parents qui se sont maries a Marseille il y a 38 ans et a ma soeur Frederique qui rejoint la Grande famille Americaine en pretant allegeance a la banniere etoilee a New York aujourd’hui.
Une belle histoire pour la famille Tahar de Sousse… Nos ancetres n’en auraient meme pas reve….
Par Bekhor (Bekhor) le vendredi 09 janvier 2004 - 16h09: |
Madame Hadjkloufette et Monsieur Chemla,
Aucune ame juive en Lybie, c'est impossible et 150000 ames Juives en Lybie c'est impossible aussi.
Par contre pourquoi critiquer Madame Kadhafi qui dit qu'elle envoyait de la nourriture a une vieille femme juive.
De plus vous ajoutez que cette juive etait traitée comme une béte de cirque, je trouve vos propos injustes et indignes d'une personne que je considere d'un niveau intellectuo-objectif de votre trempe.
Amitiées. V. Cohen.
Par Orchid (Orchid) le vendredi 09 janvier 2004 - 15h38: |
Lucia ,bonjour.
J'habite Miami,plus exactement Boca raton,et j'ai un ami qui s'occupe d'un tres bel hotel a Bal harbour.Il peut avoir un traiteur Kosher pour les occasions.Cet hotel se trouve sur la plage ,juste a cote du Sheraton.
A bientot Fabienne
Par Benzarti (Benzarti) le vendredi 09 janvier 2004 - 12h05: |
merci citron pour votre email.je sais pas si vous l'avez donné parce que je l'ai demandé ou vous l'avez mise comme ca,a3la ghareda.shokran quand meme.
Par Djlachem (Djlachem) le vendredi 09 janvier 2004 - 11h54: |
Pardon Hajkloufette, je me suis trompé de lien
voyez plutôt ce lien qui fait état des 20 juifs encore présents en Libye en 1976
http://www.ajc.org/languages/French.asp?did=903
Par Djlachem (Djlachem) le vendredi 09 janvier 2004 - 11h47: |
Hajkloufette,bonjour
Je ne sais pas qui est ce Monsieur Raffah, ni quels sont ces chiffres fantaisistes (150.000!!)
Je vous propose ce lien
http://www.ajc.org/languages/French.asp?did=903
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 09 janvier 2004 - 10h48: |
Djlachem bonjour
Je ne comprends plus vous parlez de la Lybie qui n aurait plus un seul juif , alors que nous avons hier en Israel , vu un interview de Monsieur Rafah ( homme d affaires juif , vivant a Tripoli ) qui parlait d une communaute juive de 150 000 personnes !!! et a ses dires tres active ... qui croire ???
Par Mena (Mena) le vendredi 09 janvier 2004 - 08h58: |
La détresse de Béchar (info # 010801/4) [analyse]
Par Michaël Béhé à Beyrouth © Metula News Agency
A Beyrouth, tout le monde comprend que si les leaders des Etats arabes ou musulmans les plus belliqueux, Iran, Libye, Syrie, sont en train de retourner leurs vestes, ça n’est ni de gaîté de cœur, ni parce qu’il s’agit d’un choix qu’ils auraient volontairement embrassé. Comme on vous l’avait dit à la Ména – c’est un refrain qui devient presque litanique – notamment dans l’article "La guerre de Syrie n’aura pas lieu" de Stéphane Juffa, la campagne d’Irak a modifié le paysage stratégique de toute la région, au point que les régimes de l’Axe du mal vacillent, même s’ils ne sont pas sous le coup d’une menace militaire américaine immédiate.
L’occupant de notre pays, Béchar el-Assad, se trouvant privé des ressources que lui procurait la contrebande d’armes et de pétrole de Saddam Hussein, est exsangue. Après l’adoption des dispositions légales par le Congrès américain, contresignées par le Président Bush, contre la dictature syrienne et contre le régime de ses collabos au Liban, il suffirait d’un dernier tour de vis de la Maison Blanche, pour que le garrot n’étrangle tout à fait le pouvoir alaouite.
La Syrie n’a plus rien. Plus d’armée digne de ce nom, il suffit pour s’en convaincre de regarder l’allure de vagabonds des poilus de Assad, éparpillés dans la campagne libanaise, le contenu misérable de leurs gamelles et l’état chaotique de leurs véhicules. La Syrie n’a pas d’industrie digne de ce nom et n’en a jamais eue. Les quelques installations sidérurgiques et pétrolières, situées entre la capitale et la mer, tournent à peine et assurent avec difficulté, et à perte, les besoins domestiques de la dynastie assadienne. A les voir, on croirait reconnaître les desseins de Tintin au pays des Soviets.
Même le pillage systématique des richesses du Liban ne suffit plus à assurer l’essentiel alimentaire de notre voisin tyrannique. De plus, Assad doit faire face au coût exorbitant de l’entretien de ses forces de sécurité surdimensionnées, tout autant que l’est son industrie militaire. Tant qu’existait le parti baathiste frère de Bagdad, tant qu’existait la continuité géographique jusqu’à l’Iran, il restait au moins une hypothétique option militaire théorique en vue d’éradiquer Israël. Mais maintenant, tout ce build up ne sert strictement plus à rien, à part à assurer la sécurité du régime, quoique, à cet effet, il ne faille pas autant d’avions démodés, de tanks gloutons en pétrole et de soldats dont il faut payer la solde chaque mois.
L’opticien de Bagdad, devenu héritier d’un empire despotique, par un concours de circonstances, du fait de l’accident de son frère aîné, sait de surplus que les Israéliens n’attendent qu’une provocation pour lui régler son compte, avec la bénédiction de George W. Bush, décidément de plus en plus souriant. Alors, ce serait une véritable boucherie, durant laquelle les El-Assad perdaient leur trône en quelques heures d’une bagarre par trop déséquilibrée. De plus, s’il les Israéliens lui laissaient le temps d’utiliser ses quelques missiles à ogives non conventionnelles, que Béchar agite comme autant d’épouvantails à moineaux, ce qui semble hautement improbable, il attirerait sur les siens une fin de règne cataclysmique. Les gars de la Hél Avir le lui ont fait comprendre, après que ses supplétifs du Hezbollah aient assassiné un soldat juif sous les fenêtres de la Ména, à Em’tulla. En plus de raser un camp d’entraînement terroriste dans la proche banlieue de Damas, ils ont survolé son palais à de nombreuses reprises, sans que son armée n’ait même trouvé les ressources d’esquisser la moindre rébellion.
Depuis, la situation à la frontière israélo-libanaise a retrouvé un calme olympien, et c’est ce qui définit le mieux l’attitude des Assad : Ils ont toujours eu le sens des réalités et très peu celui de l’intrépidité. Ils savent compter. Dans ce nouvel ordre des choses, il ne faut donc guère s’étonner du voyage de Béchar el-Assad chez ses voisins turcs. La Syrie a besoin d’air pour respirer et le pragmatisme assadien, leur sens de la survie, lui a facilement fait oublier les termes humiliants de l’ultimatum qu’Ankara avait présenté à son père. Oublié aussi, que la Turquie n’a jamais entretenu de relations aussi conviviales avec Jérusalem, que depuis l’arrivée au pouvoir des musulmans modérés. Les projets sécuritaires entre Israël et la Turquie n’ont jamais été aussi nombreux et l’on croise moult instructeurs en uniforme de Tsahal en se promenant sur les aéroports d’Anatolie. D’ailleurs, le gouvernement turc avait posé sa seule condition à la visite de l’apprenti dictateur : Interdiction formelle de critiquer les liens privilégiés entre l’Etat ottoman et l’Etat hébreu. Interdiction même de les évoquer.
Ca n’est plus pour gêner le Syrien, presque au contraire. C’est en peu comme si son périple turc constituait la moitié de la distance du voyage de Jérusalem, car, pour durer, il lui faut maintenant amadouer son autre ennemi de toujours, le petit frère du grand Satan. L’affaire est claire, le revirement stratégique contraint est aveuglant, au point de déboussoler Ariel Sharon. Ses analystes militaires ont pourtant informé le bulldozer juif : Les Syriens sont sérieux dans leur désir de reprendre le dialogue, et dans les conditions que précise le ministre israélien de la défense, Shaul Mofaz : "Mon estimation est que les voix qui proviennent de Syrie sont avant tout un appel de détresse !". C’est vraisemblable, même que les mêmes analystes militaires ont remarqué que les officiels syriens, dans leurs récentes interventions, n’exigeaient plus le retrait israélien du Golan jusqu’aux lignes du 4 juin 1967. De quoi faire éternuer Hafez dans son cercueil, non ?
L’état major de l’armée israélienne se prononce unanimement pour engager une discussion sérieuse avec l’Héritier de la république syrienne. Ils sont d’avis que, peu importent les circonstances, les ouvertures de ce genre ne sont pas légions et que, dans la vision stratégique globale d’Israël au Moyen-Orient, leur pays ne peut pas se payer le luxe de ne pas enjamber ce genre de portes ouvertes. Sharon et Mofaz prennent leur temps et font monter les enchères, surtout qu’ils détestent avoir à négocier sur deux fronts à la fois (la Syrie et la Palestine, Ndlr.). C’est ce que le Premier ministre israélien a d’ailleurs expliqué en clair, avant-hier, aux journalistes qui l’assaillaient de questions : "Nous considérons les propositions syriennes mais il doit être entendu que cette nation n’a pas les moyens de gérer deux processus de ce genre simultanément".
Pour nous, au Liban, bien sûr, nous avons tout intérêt à ce que les Israéliens ne se précipitent pas à sortir Béchar de son isolement. Plus longtemps la Syrie suffoquera-t-elle, plus vite elle déguerpira de chez nous. Et si le Damascène se montrait étonnement large dans ses concessions sur le Golan, la pression pour qu’il quitte le pays aux cèdres se verrait atténuer d’autant. Pour nous, il s’agit carrément d’une question d’indépendance ou d’occupation mais que pouvons-nous y faire, personne ne se soucie de notre opinion, et ce gouvernement de baudruches profiteuses n’est écouté de personne.
Le Moyen-Orient change. Très vite, on verra peut-être un ambassadeur de Kadhafi s’installer à Tel Aviv. Qui l’aurait cru ? Si cela arrive, ce sera le signe définitif qu’Israël fait partie de cette région et qu’il y aura la paix. La paix, sans Syriens chez nous, profiterait au Liban, parce qu’en acceptant le particularisme israélien, le monde arabe accepterait automatiquement le libanais. C’est encore dur à reconnaître publiquement pour beaucoup de mes concitoyens mais, qu’on le veuille ou non, dans cette région ingrate au cœur de l’Orient, la survivance d’un particularisme est tributaire de la survivance des autres.
Par Djlachem (Djlachem) le vendredi 09 janvier 2004 - 02h30: |
Bekhor,
J'ai noté sur un de vos messages:
"Au cours de la conversation Madame Kadhafi nous fit savoir qu’il y avait une juive à Tripoli, d’après ces dires elle était très âgée, et que c’est elle qui envoyait tous les jours de la nourriture à cette dame."
En fait, cette juive est décédée il y a quelques mois, ce qui fait qu'il n'y a plus un seul Juif en Libye, que ce pays qui comportait une communauté israélite très importante est désormais (enfin, diront certains) Judenrein!
A la place de Mme Khadafi, j'aurais évité de m'enorgueillir de porter de la nourriture à cette vieille femme. Après l'épuration de la Libye de ses Juifs, cette condescendance pour cette femme traitée comme un animal de zoo est proprement insupportable.
Vous avez dit "droit de retour"?
Par Wnes (Wnes) le vendredi 09 janvier 2004 - 02h40: |
Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Voici les sources d’ Emma au sujet de : “ De l’ antijudaïsme à l’ antisémitisme “:
... Ces idéologies prennent le contrepied des principes démocratiques hérités du
christianisme et du «siècle des Lumières» (le XVIIIe), qui reconnaissaient ...
www.herodote.net/motantisemitisme0.htm - 37k - -
* Il vous suffisait de nous indiquer le site, on aurait eu les gravures en prime,
Merci quand même, ce fut fort intéressant,
Wnessou El Douda
Par Lucia (Lucia) le vendredi 09 janvier 2004 - 04h50: |
Chers amis Harissiens.
Qui aimerait passer Pessah a Miami? au soleil, pres de la mer et meme se baigner? Je suis a la recherche des coordonnees de l'hotel/resto tune de Miami afin d'organiser un sejour aux environs du 4/4/04.
Lucia