Par Maxiton (Maxiton) le dimanche 11 janvier 2004 - 12h42: |
Essayons de redevenir Harissa
Dimanche c'est aussi le jour de spaghetti banatage
Lundi : psal ou loubia
mardi couscous au poisson
mercredi ? nchite !
jeudi ? nchite !
vendredi ; couscous boulettes
Samedi midi les 4 reines : la Bkaîla, l'Arissa, la Camounia,
les Nikitouches ; plus en prime le poisson ahraïmi
Samedi couscous karouia
Et le cycle recommençait immuable, avec quelques variantes
en été
Par Maxiton (Maxiton) le dimanche 11 janvier 2004 - 12h31: |
Dimanche jour de lecture !
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36
-348702,0.html
Par Maxiton (Maxiton) le dimanche 11 janvier 2004 - 11h42: |
Dédié à citron et consorts
pour réflechir :
http://www.primo-europe.org/docs.php?numdoc=Do
-439807564
http://www.primo-europe.org/docs.php?numdoc=Do
-431713006
http://www.primo-europe.org/docs.php?numdoc=Me
-795108064
http://www.primo-europe.org/docs.php?numdoc=Me
-795108064
http://www.primo-europe.org/docs.php?numdoc=Do
-834387890
http://www.primo-europe.org/docs.php?numdoc=Do
-834387890
Par Maurice (Maurice) le dimanche 11 janvier 2004 - 10h15: |
Maurice Tubiana
pourquoi ne sont pas comptés les juifs des autres pays musulmans Turquie Iran Afghanistan jusqu'au
Kurdistan???? De plus les chiffres sont les officiels combien sont partis en silence sans etre comptabilisés Je nous evalue à 3 à 4 % du makresh et du Magrheb et 2% des autres pays musulmans pour arriver à 30% dans certaines villes Ces departs ont eté faits sans revendication internationale pour que les musulmans ne se vengent pas sur les juifs restants comme moyen de pression mais ils ont tout perdu
Par Meyer (Meyer) le dimanche 11 janvier 2004 - 12h18: |
Pour consulter le programme du 4ème Festival du Cinéma Israelien de Paris :
http://isratim.free.fr/pageprincip.htm
Par Belebou (Belebou) le dimanche 11 janvier 2004 - 12h03: |
LE TRIANGLE DIVIN
Auteur: BELEBOU.
Si les roses n'avaient point d'épines, ils nous auraient été facile de les cueillir sans se blesser.
Les piquants sont là pour nous rappeler que la beauté ne peut, ni se doit être saisissable sans souffrir.
J'en déduis donc, que le canon mérite souffrance, proportionnellement à sa valeur édénique.
N'en concluant pas, par-là que les moches, dépourvues de ronces, soient plus faciles à cueillir. N'est ce pas ma chére …..?
Ce serait aller trop vite en besogne. Personnellement je ne délaisse rien tant qu'une femme, laide ou belle, porte sous sa jarretelle sa belle touffe endormie. Et jusqu'à preuve du contraire ce triangle divin, de chair qui repose sous son bas ventre me donne tant de phantasme que je ne me rassasierai pas de cette belle couronne sertie d'un rubis que je porte comme une auréole au-dessus de mon crâne.
La Beauté, comme le dit le vieil adage populaire ne se bouffe pas en salade.
Elle n'est qu'accessoire. Je préfère la sympathie à la beauté, la laideur à l'intelligence, la générosité du cœur à la mesquinerie de la poche-fric. Bien sur me diriez vous, et si je tombais par hasard sur une guenon…? Et bien le problème ne se poserait pas, je lui ferai l'amour en collant sur son joli minois un coussin. Et je me régalerai du reste. Sans qu'elle me voit.
Au diable l'avarice.
Pour une forte femme, je la prend comme un téméraire. J'irai chercher entre ses vagues ce que je peux obtenir chez une modeste bien faite. Celà doit être euphorisant de gouter son mignon qui ne doit pas être récalcitrant.
Je suis personnellement très moche, ah'wèl, chauve, disgracieux, édenté court, bidonnant et ma face de fesse ferait mieux de porter une culotte afin de cacher mon visage boutonneux et acnéique. LOL….. Mais voilà, je charme par mes paroles et mes mots et les femmes en oublient ma laideur. Et des belles femmes, j'en ai levé comme des plis de cartes jetés sur une table de jeu. En générale, elles consententaient presque toutes à lever la jambe pour la poser sur mon écrin de velours.
Je vous tairai par pudeur, ce qui me déprime le plus, mais bon, on mérite ce que la nature a choisi. J'ai un petit cordon rose pareil à un nœud de cravate. Qui me rappelle, Ô mon chagrin , combien mon créateur a été par trop généreux avec mon zizi. Mais, on m'a dit que ce n'était pas la grandeur, ni la grosseur qui donne du peps à la femme mais la façon de le donner et de le travailler. Moi, j'ai tellement donné et travaillé avec, que l'age de la retraite à sonner sa retraite et son usure. J'en suis aujourd'hui à traîner entre mes deux pendulettes rabougries quelque chose qui ressemble à un filet de merlan presque frit qui me donne quelques hoquets.
Et je ris comme je pleure sur cette infortune, sur cette ancienne gloire qui rétrécie sans qu'elle m'en avertisse. J'ai même pensé, un jour, à consulter un professionnel des raccords en chair. Et là, je fus sidère par les maquettes qu'il m'a présenté. Du 30 cm tout en plastic. Ben j'ai pas hésité un seul instant sur la dépense, et j'ai pris sur moi ce rattachement. Deux heures sur le billard, pour m'apercevoir plus tard du résultat. Une rallonge de béquille comme je ne vous dis pas. Tout en beauté. Le hic dans l'affaire, c'est qu'ayant mis, pied à terre, elle tomba affreusement sous le regard des infirmières venues en toute hâte me consoler. Mon désespoir en caoutchouc en main, je regardais ces belles 'freluquettes' déçues par cette chute accidentelle.
-'Monsieur Belebou……! ' Me dirent -elles à l'unisson….'…..C'est la première fois que cela nous arrive….!'
-Ben, si c'est la première fois, laissez au moins le triste privilège de vous enc……..! Pour me rendre compte de l'efficacité que cela peut vous procurer….!'
Bandes d'imbéciles heureuses…..
J'ai délaissé ce godemiché hasardeux en plastic pour mon beau et vrai tire-bouchon.
Je rigole les femmes…
Belebou de la Broussaille. Prose inédite.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 11 janvier 2004 - 06h21: |
Ya La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station Tu as entierement raison, du reste je l'ai recu avec un link. A la prochaine
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 11 janvier 2004 - 06h06: |
Par Email (Email) le dimanche 11 janvier 2004 - 05h01: |
Voyage à Tunis de Claude RIZZO, romancier.
Claude RIZZO est né à Tunis, sur la place de Bab el-Khadra, où il a vécu jusqu’à l’âge de 18 ans.
Sa famille maltaise était installée en Tunisie depuis 4 générations, où elle est arrivée bien avant l’instauration du Protectorat. Comme bien des Maltais, ses parents étaient cochers et habitaient au-dessus de l’écurie familiale.
Claude RIZZO a fréquenté l’école de la rue Hoche, le lycée de Mutuelleville, puis le lycée Carnot. Il à aussi passé quelques années à Menzel Bourguiba.
Dans son dernier roman, “Le Maltais de Bab el-Khadra” (présentation en document joint) Claude RIZZO nous invite dans les années cinquante, dans ce quartier bruyant et coloré, où Tunisiens, Juifs, Siciliens et Maltais partagent la même pauvreté.
Claude RIZZO sera à Tunis du 15 janvier au 18 janvier 2004.
Le samedi 17 au matin, invité à l’université de la Manouba dans le cadre des colloques organisés par le Professeur Habib Kazdaghli, il sera convié à parler de ces Maltais qui représentent, parmi les communautés ayant vécues en Tunisie, celle qui reste la plus attachée à ce pays qui demeure toujours le leur.
Cette conférence se tiendra à la Faculté des lettres de la Manouba – Salle des soutenances Hassan Husni Abdelwahab (Campus de La Manouba)
Elle sera ouverte au public – Entrée libre.
Le samedi 17 à partir de 18 heures, Claude RIZZO se tiendra à la disposition de ceux qui voudront le rencontrer : Librairie Espace Caliga - El Menzah VI.
Le lundi 19, il se rendra au Lycée Pierre Mendés France, à la rencontre des élèves.
En document joint :
- Le Maltais de Bab el-Khadra : paru chez aux Éditions Michel LAFON.
Claude RIZZO - Villa la Clarté, avenue Roi Albert 1er 06100 Nice
tel : 33. 0. 04.93.53.64.86 - E-mail : rizzoclaude.ecrivain@tiscali.fr
Durant son séjour à Tunis, vous pourrez contacter Claude RIZZO à l’hôtel Naplouse, rue Naplouse (Quartier du passage) au 216.71-331 597
Par Mena (Mena) le dimanche 11 janvier 2004 - 04h51: |
Qu’as-tu fait de « Jérusalem » ? 1ère partie (info # 010901/4) [analyse]
Par Gérard Huber correspondant permanent à Paris © Metula News Agency
Sous ce titre, la Ména commence la publication d’une série d’articles rédigés par notre collègue Gérard Huber, à l’occasion de son récent voyage en Israël, au cours duquel il a donné deux conférences sur l’antisémitisme en Europe et dans le monde arabe, et poursuivi l’enquête sur le meurtre médiatique du petit Mohamed.
« C’est une ambiance spéciale. Comme si j’y étais déjà. Tu sais, comme lorsque nous étions jeunes. Il y a ici un groupe qui prie, là un homme qui lit Un Mendiant à Jérusalem (Wiesel). Et cette femme qui se baisse au contrôle pour se déchausser. Son dos se découvre. Jusqu’où, mon dieu, jusqu’où ? »
Ce 16 décembre 2003, il faut embarquer. D’une main, ma voisine téléphone à son mari, de l’autre, elle sert son fils contre elle. « Orly », « France » : des contrôles, encore des contrôles. Une alerte à la bombe. Nous sortons. Nous revenons presque aussitôt. Patience. Bientôt nous atteindrons « Jérusalem », ce nom magique qui emporte l’histoire. Les Juifs de France déprimés ? On ne le dirait pas.
Nous n’avons pas encore décollé que me voilà déjà plongé dans un dossier : divers articles sur les Juifs, Israël et l’Eglise catholique qu’un ami m’a confié. Vaste programme. Mais c’est aussi cela « Jérusalem ».
Il y a d’abord cet article du Rabbin David Dalin : Pie XII et les Juifs. Heureusement que le commandant de bord nous demande d’attacher nos ceintures, sans quoi je glisserais de mon siège, avant même que l’avion ait fait le moindre mouvement. Cet historien, spécialiste des relations entre juifs et chrétiens, a, en effet, le toupet de mettre en valeur l’action de Pie XII envers les Juifs. Non, mais je rêve…
En janvier 1940, Pie XII aurait demandé à Radio Vatican de « rendre publiques les épouvantables cruautés de la tyrannie barbare ». Peut-être, mais de qui ? Quoi ? Des nazis ? Et en plus c’est confirmé quelques jours plus tard par le New York Times ? Bon.
Puisqu’il m’est interdit de m’accrocher à ma voisine, qui se moque pas mal de mes turbulences intérieures, comment faire pour ne pas gigoter de droite et de gauche, à l’annonce de cette nouvelle ? J’ai lu Le Vicaire (Rolph Hochhut), moi, et il y a bien longtemps. Alors, on ne me la fait pas. Vivement Costa-Gavras ! Oui, enfin, par les temps qui courent, pas trop quand même (comprenne qui voudra).
Vivement Duchmol quand même ! Car je n’y comprends plus rien… De 1917 à 1929 quarante des quarante-quatre discours qu’Eugenio Pacelli a faits comme Nonce Apostolique à Berlin auraient dénoncé l’idéologie nazie ? En Mars 1935, il aurait traité les nazis de « faux prophètes, orgueilleux tel Lucifer » et en 1937 de « mauvais bergers qui fourvoient l’Allemagne vers une idéologie de la race » !
Ah ! Ah ! Ah ! Heidegger a du être vachement content. Lui, l’héritier de Duns Scott, lui, le philosophe nazi dont, à l’heure de l’extermination des Juifs, la profession sera d’être aux abonnés absents, lui, le professionnel de l’évitement – là-dessus Derrida dit de fort belles choses – !
Oui, mais moi, au fait, moi aujourd’hui, n’aurais-je pas aussi évité, jusqu’à ce jour, d’accéder à des informations susceptibles de déranger mon petit confort intellectuel ? Ai-je, par exemple, accordé assez d’importance au livre de Jacques Nobécourt qui, en 1964, démontrait déjà que Le Vicaire était dénué de toute valeur historique ?
Et vas-y qu’en 1935 Pacelli déclare impossible la réconciliation entre la chrétienté et le racisme nazi, qu’en 1938, Radio-Vatican raconte la Nuit de Cristal, et que, la même année, ce même Pacelli joue un rôle essentiel dans la déclaration de Pie XI (dont il est conseiller) qui affirme que « l’antisémitisme est inadmissible ; spirituellement nous sommes tous des sémites » (DC 1938, n.885, col 1459-1460).
Vivement la colle de riz chaud qu’ElAl me donne à ingurgiter. J’y vois un double intérêt : planquer cet article dans le filet qui se trouve devant mes genoux, au milieu de la pub et des consignes de sécurité et avaler autre chose que des histoires à la Pie XII. Non mais quoi encore !
Quoi encore ? Pour le dessert, cette fois, à la place de la compote de schloums, qu’est-ce qu’on a ? Que le 14 mars 1940, le New York Times informe que « face à Herr Ribbentrop, le pape (Pie XII depuis 1939) a pris la défense des juifs allemands et polonais », qu’en 1942 son Nonce proteste auprès du gouvernement de Vichy contre « les arrestations inhumaines et les déportations de juifs depuis la France occupée vers la Silésie et certaines régions de Russie », que Goebbels distribue dix millions d’exemplaires d’un pamphlet décrivant Pie XII comme le « Pape pro juif ».
Et, comble des combles, que le 2 juin 1943, Pie XII parle, devant le Sacré Collège, de « ces centaines de milliers de personnes marquées du sceau de la mort ou de l’extinction du seul fait de leur nationalité ou de leur race ». Quoi ? Pie XII précurseur de la dénonciation des « crimes contre l’humanité » ? C’est quoi ce cauchemar ?
Dans un geste désespéré, je me lève et me précipite sur le coffre à bagages qui se trouve au-dessus de ma tête : direction de ma main : L’Eglise catholique et le peuple juif – un autre regard (Calmann-lévy, 2003), écrit par Jean Dujardin. Acheté sur le conseil de mon ami, vous l’avez deviné, spécialiste des questions religieuses, et, notamment des rapports entre le judaïsme et le catholicisme. Le chapitre III s’intitule : Pie XII et les Juifs. A la page 174, Dujardin donne la traduction suivante du message de Noël 1942 (A.D.S.S., t. VII, 71, p. 166) qui, de fait, précède la déclaration de juin 1943, puisque le pape y proclame que « ce vœu (de justice et de paix), l’humanité le doit aux centaines de milliers de personnes, qui, sans aucune faute de leur part, et parfois pour le seul fait de leur nationalité ou de leur origine, ont été vouées à la mort ou à une extermination progressive ». Et François Bédariba de préciser en note 11 de son article Pour faire avancer l’histoire : les archives du Vatican 1939 – 1945, publié dans ce même livre par Dujardin (avec l’accord de Madame Bédarida) : « Le mot stirpe a souvent été traduit plus tard, notamment après la guerre, par le mot « race »… Une telle traduction est erronée. Elle désigne avec plus de » clarté les victimes, mais en 1942, les auditeurs ne pouvaient pas l’entendre ainsi » (op.cit., p.212).
Où chercher la lumière ? Veritas filia temporis. La Vérité est fille du temps. Certes, dès le 29 novembre 1945, Pie XII prononce un discours devant soixante-dix rescapés juifs des camps de la mort nazis, mais « rien n’est perçu, dit Dujardin, en apparence du moins, du drame particulier vécu par le peuple juif. Ce silence est d’autant plus impressionnant qu’il s’exprime après la guerre ». Jacques Maritain en fut presque désespéré. Il confirmait douloureusement le jugement attristé qu’Albert Camus avait formulé le 26 décembre 1944 dans Combat : « Nous attendions que la plus haute autorité spirituelle de ce temps voulût bien condamner en termes clairs les entreprises des dictatures. Je dis en termes clairs. Car cette condamnation peut ressortir de certaines encycliques, à condition de les interpréter. Mais elle y est formulée dans le langage de la tradition qui n’a jamais été clair pour la grande foule des hommes. Or, c’était la grande foule des hommes qui attendait pendant toutes ces années qu’une voix s’élevât pour dire nettement… où se trouvait le mal ».
Bravo, mon collègue, vous avez décidé de me refiler la migraine comme compagne de voyage. C’est réussi ! Qu’est-ce que je vais faire maintenant ? Eh bien, c’est simple. Je vais écrire un article pour La Ména. Comme ça je ne serai pas le seul à me prendre la tête.
En espérant que les lecteurs ne penseront pas que je suis tombé de la dernière pluie, s’il savent déjà que Chaim Weizmann en 1943, Golda Meïr et Moshé Sharett (second Premier ministre israélien) avaient rendu hommage à l’action du pape, qui, selon David Dalin, « ne fut pas le pape de Hitler, loin de là, mais l’un des soutiens les plus fermes de la cause juive, à un moment où elle en avait le plus besoin ».
Car ces hommages sont d’autant plus intéressants qu’ils émanent de personnalités qui furent étroitement associées à l’édification d’Israël pendant et au lendemain de la guerre.
Sans doute, ces personnalités politiques furent-elles pressées de refermer un débat qui ne faisait que s’ouvrir. Mais, ces hommages ont l’intérêt de montrer qu’on ne peut comprendre les « tiédeurs romaines » devant la dénonciation de la Shoah, sans savoir ce qu’une telle dénonciation aurait signifié, quant au droit du peuple juif de demeurer en sécurité en Europe, mais aussi de faire retour sur la terre d’Israël, puisque cette sécurité fut mise en pièces.
Rétrospectivement, on comprend que taire sa « voix » fut aussi pour le Vatican un moyen de différer dans sa tête le moment où Jérusalem deviendrait inévitablement le lieu géo-symbolique autour duquel se jouerait, après la guerre, l’avenir même du droit international, et notamment sa reconnaissance de la particularité du peuple juif et sa tolérance de la diversité des peuples, des ethnies et des conceptions du monde.
Car le droit international fut mis en demeure de repenser ses fondements, dès lors que, survivant grâce à la victoire des Alliés sur le 3ème Reich, le peuple juif qui avait pu tout à la fois mourir d’extermination nazie en Europe et y renaître de ses cendres, renaissait de même dans le « reste du monde » et notamment … en Palestine.
La Palestine. Israël. « C’est incroyable. Il y en a même qui embrassent le tarmac à la descente d’avion. Rien n’a changé. C’est comme il y a quarante ans ».
Comme il y a quarante ans ? Mais, au fait, l’Eglise catholique, qu’a-t-elle dit et fait à propos d’Israël depuis quarante ans ?
(A suivre).
Par Mena (Mena) le dimanche 11 janvier 2004 - 04h51: |
Communication de la rédaction
Gérard Huber donne sa deuxième conférence sur l'antisémitisme, le 13 janvier à 19h30, au Centre Communautaire de Paris, 119 rue Lafayette, 75010 Paris (www.CentreComParis.com).
Cette conférence aura pour thème : "Pourquoi Israël est perçu par d'autres nations comme un "Etat paranoïaque" et "fauteur de guerre" ?
Il sera expliqué que cette perception résulte de deux mouvements convergeants :
- l'intégration et la réélaboration des thèmes antisémites antiques, chrétiens et hitlériens par de nombreuses autorités théologico politiques islamiques,
- la contradiction des institutions européennes qui, à la fois, se sont sincèrement engagées dans le devoir de mémoire vis-à-vis des victimes juives de la Shoa et qui, pourtant, ne peuvent plus s'empêcher de percevoir leurs survivants ou héritiers comme des "bourreaux".
La projection du film de La Ména sur le simulacre de meurtre du petit Mohamed illustrera le thème de cette conférence.
A ne pas manquer !
Par Wnes (Wnes) le dimanche 11 janvier 2004 - 03h55: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Sakha Yéh Emile, Voici tes sources :
“... En Syrie et en Irak, la guerre fut le signal d’ arrestations massives, de tortures,
d’ une insécurité croissante et de violentes campagnes officielles contre ...
www.sefarad.org/desinfo/20011116.html - 40k - - “
Il suffisait de les indiquer, et on y serait allé directement, pas besoin de Drag and Drop,
Amitiés,
Wnessou El Douda
Par Email (Email) le dimanche 11 janvier 2004 - 04h17: |
SUJET: l' emission TV du 12 janvier 2004
LUNDI 12 JANVIER A 17h 45 L'EMISSION" C DANS L'AIR" SUR FRANCE 5
animée par Yves Calvi aura pour thème la barrière de sécurité.
L'un des invités est Pierre Rehov, réalisateur du documentaire '' La Route de Djénine ''
qui démonte la propagande palestinienne
TRES IMPORTANT FAITES SUIVRE A VOS AMIS
ENREGISTREZ L'EMISSION
ANTIDESINFOS A POUR UNIQUE BUT DE DIRE LA VERITE
ET AINSI DE FAVORISER LES CAMPS DE LA PAIX.
Par Email (Email) le dimanche 11 janvier 2004 - 04h49: |
Bonjour,
pourriez vous me dire quand commence le Festival du film Israelien à Paris
et ou ? merci
karine