Par Albert (Albert) le mercredi 21 juin 2006 - 08h40: |
Monsieur Citron,
Est un habituè de Harissa, tout le monde connait ses positions.Il ne rate pas une occasion pour nous rappeller 'sa belle Tunisie' où l'ordre et le calme régne comme bcp d'autres touristes tunes ignorants qui passent et qui viennent nous prendre la tête avec leurs questions à la con et surtout pleines de naivetè comme '..Pourquoi vous avez-quittès la Tunisie...Vous les juifs?'
'...Et bien s'y vous voulez, laissez nous la place et y retournera avec joie et vous sortez de ce qui ne vous a jamais appartenu...!'
Blada, tradin ou rqeqe...
A l'époque,ce Citron nous énervait bcp à force de nous rabacher tjs la même chose.
Il est payè pour celà, rehausser le blason de son pays.
Il fait l'âne pour manger du foin.
Il nous incommode plus qu'il nous instruit mais bon montrons nous tolérants envers celui que plus personne ne répond tellement il est indigeste.
Par Lapid (Lapid) le mercredi 21 juin 2006 - 01h16: |
Citron,
Vous vous "pressez" un peu trop pour tirer des conclusions vantant la Tolerance de votre pays. Est-ce vraiment le cas ? Etes-vous, comme le dit Davideden, un pays multi-racial et multi-culturel ?
N'etes-vous pas plutot ce pays policier ou, a tous les coins de rue, se trouvent un policier en uniforme ou en civil veillant a denoncer le moindre ecart au respect de la politique imposee par votre regime ? Est-ce que votre regime actuel, avec un president qui a change la constitution pour pratiquement s'auto-proclamer President a vie, a la moindre notion de ce qu'on appelle la DEMOCRATIE ou la LIBERTE et surtout la Liberte d'expression ?
Comme je l'ai deja dit, avez-vous eu l'honnetete d'evoquer, dans vos livres d'histoire, le souvenir de cette communaute juive en Tunisie qui durant 2000 ans a eu un role a jouer en Tunisie et cela, bien avant que les arabes ne conquierent ce pays avec une barbarie qu'on oublie de souligner dans ces memes livres d'Histoire. Combien de tribus ont ete massacres, en etant passes au fil de l'epee, quand elles refusaient de se convertir a l'Islam ?
Quant a la communaute juive, quelle soit de nationalite juive ou francaise, vous avez utilise les methodes les plus cyniques et les plus sournoises ( Par exemple, l'obligation pour un commercant juif, meme de nationalite tunisienne, d'avoir un associe musulman, s'il voulait continuer son commerce et obtenir des licences d'importation et d'exportation ! ) pour lui faire comprendre qu'elle n'avait pas sa place dans ce pays que vous pretendez etre multi-racial et dont la religion officielle est l'Islam.
Nous avons beaucoup a raconter sur notre Depart de Tunisie. Alors, je vous conseille de mettre en veilleuse votre pretention de mettre en valeur, aujourd'hui,la Presence Juive en Tunisie.
Un petit calcul simple que je vous conseille de faire et de refaire :
Aujourd'hui :1500/9.500.000 = 0.01578% de juifs
Avant l'independance en 1956 : 120000/3.600.000=3.333 % soit plus de 2111 fois plus de presence juive en 1956 qu'aujourd'hui.
CQFD.
Parlons plutot de gommage de la Presence Juive en Tunisie.
A bon entendeur, Salut.
Par Davideden (Davideden) le mardi 20 juin 2006 - 22h06: |
Citron,
Un Juif ne a Toulouse, vivant et jouant a bordeau a acceppte l'offren d'1 entraineur non -Tunisien a joindre l'equipe de Tunisie, quelques mois avant le mondial et ceci a l'age de 31 ans.
Et si je vous disais que le grand pere de Klinsman est Juif, cela voudrait dire quoi?
Il y a des joueurs Arabes Israeliens dans l'equipe nationale Israelienne, cela vous dit quoi?
Arrettez votre propagande negationsite qui voudrait nous faire croire que la Tunisie est un pays tolerant, multi culturel et multi racial.
La Tunisie est une terre d'Islam, sa religion est l'Islam l'article 38 de sa constitution prevoit que le president soit musulman. La minorite Juive de plus de 100,000 personnes a ete reduites a quelques centaines.
Les bien Juifs ont ete appropries ou vendu a bon marche. Les pensions des Juifs n'ont jamais ete payees. les comptes bancaires Juifs ont ete geles.
Les maisons Juifs occupe par des gens qui ont le droit a etre president.
Par Citron (Citron) le mardi 20 juin 2006 - 20h51: |
Mr Lapid
je partage tout a fait votre analyse du match, la Tunise a montree un bon jeu, on aurait dit que ce n etai pas la meme equipe qui a jouee avec l Arabie Saoudite. la il reste le Match avec l Ukraine ,(Vendredi)La Tunisie doit gagner si elle veut passer aux 1/8.
Je pense que cette coupe du monde va faire rappeler a certains et informer d'autres sur la presence juive en Tunisie. au sein de cette equipe evolue un joueur Tunes, David Jemmali un Juif de Sousse, ses parents habitaient au Trocadero (rien a voir avec celui de Paris).
je trouve formidable que cette equipe est composee par des musulmans ,des chretiens,un juif, des blancs et des blacks.
Par Albert (Albert) le mardi 20 juin 2006 - 20h26: |
'...Oui tant il est vrai que LES AUTRICHIENS savent apprècier les peintures JUIVES mais pas les JUIFS....!
Alors pour les regrets et les remords hein???
Pipo.
Par Pauline (Pauline) le mardi 20 juin 2006 - 18h53: |
Vente record pour un portrait de Klimt au magnat des cosmétiques Ron Lauder
LEMONDE.FR
Le portrait d'Adele Bloch-Bauer de Gustav Klimt, datant de 1907, a été acquis par le magnat new-yorkais des cosmétiques Ronald Lauder pour le prix le plus élevé jamais versés pour une peinture, rapporte le New York Times dans son édition du lundi 19 juin.
Le célèbre tableau représente la femme d'un industriel du sucre juif, hôtesse d'un salon littéraire à Vienne, et est considéré comme une des œuvres majeures du maître autrichien de l'art nouveau. Il sera installé et présenté au public dès le 13 juillet à la Neue Galerie de New York, musée consacré à l'art allemand et autrichien des années 1890-1940, et cofondé par M. Lauder il y a cinq ans.
135 MILLIONS DE DOLLARS
La transaction avec Ronald Lauder étant sujette à des accords de confidentialité, l'homme d'affaires n'a donc pas confirmé le prix. Mais selon des experts proches des négociations, qui se sont entretenus avec le New York Times sous le couvert de l'anonymat, il a déboursé 135 millions de dollars. Jusqu'à présent, le prix connu le plus élevé jamais atteint par une peinture était de 104,1 millions de dollars pour un Picasso de 1905, lors d'une vente aux enchères chez Sotheby's en 2004.
Pendant des années, le tableau a été au centre d'une bataille entre le gouvernement autrichien et une nièce d'Adele Bloch-Bauer, affirmant que le tableau avait été confisqué par les nazis. En janvier 2006, le portrait a finalement été attribués à la nièce, Maria Altmann, âgée de 90 ans et qui vit à Los Angeles. Ainsi, c'est près de son domicile, au Los Angeles County Museum of Art (Lacma), que le tableau était exposé depuis avril, après un séjour d'une soixantaine d'années à Vienne.
"C'EST L'ACQUISITION D'UNE VIE"
"C'est l'acquisition d'une vie", a estimé M. Lauder, dans un communiqué publié lundi 19 juin par la Neue Galerie. "Avec ce tableau éblouissant, Klimt a réalisé une de ses pièces maîtresses, et nous sommes comblés de pouvoir donner à Adele Bloch-Bauer un havre permanent à la Neue Galerie. Sa présence enrichira le musée de manière incommensurable." "Ce tableau sera pour la Neue Galerie l'équivalent de Mona Lisa pour le Louvre", a indiqué Renée Price, directrice de la Galerie.
Selon le Los Angeles Times de lundi, le transfert à New York du tableau, qualifié de "document fondateur pour l'art du XXe siècle", est "une immense déception" pour le Lacma, où nombre de visiteurs se sont pressés depuis avril pour le voir. En Autriche, collectionneurs et spécialistes ont aussi exprimé leurs regrets que leur pays n'ait pas agi à temps pour garder le tableau. Cependant, Mme Altmann a expliqué qu'"il était important pour les héritiers et [sa] tante Adele que sa peinture soit exposée dans un musée". "Nous avons choisi un musée qui soit un pont entre l'Europe et les Etats-Unis", a-t-elle précisé.
Grand collectionneur de Klimt et de Schiele, Ronald Lauder, dont la fortune était estimée à 2,7 milliards de dollars en mars par le magazine Forbes, a été ambassadeur des Etats-Unis en Autriche en 1986-1987.
Par A_Soued (A_Soued) le mardi 20 juin 2006 - 18h46: |
LES LIENS DE L'IRAK AVEC L'IRAN CRÉENT DE NOUVEAUX RISQUES
Par Michael Slackman, journaliste, reportant de Qom en Iran
Paru dans le New York Times
Traduit par Albert Soued pour www.nuitdorient.com
Le seul homme qui ait aujourd'hui le plus d'influence en Irak est un chef religieux, le grand ayatollah Ali al Sistani. Il fournit de l'argent, un logement gratuit et des soins médicaux à des milliers d'étudiants religieux et il a des centaines de sites web religieux à travers le monde.
Mais tout cela ne se passe pas en Irak, mais ici dans la capitale religieuse de l'Iran, Qom.
Pendant que l'administration Bush cherche à stabiliser l'Irak, en mettant au pouvoir la majorité shiite, elle cherche, en même temps, à contenir l'Iran; et elle doit naviguer avec précaution à travers les liens qui unissent les deux pays. Les Etats-Unis ne doivent pas seulement affronter l'influence iranienne sur l'Irak, mais également les relations de l'Irak avec l'Iran.
L'Ayatollah Sistani est perçu avec suspicion par les dirigeants Iraniens, car il s'oppose à l'implication des religieux en politique. Mais ses relations avec le peuple iranien se sont approfondies et élargies, depuis la guerre en Irak. Les divisions qui opposaient naguère les shiites d'Irak et d'Iran, l'animosité nourrie par 8 ans de guerre entre ces deux pays se sont dissipées, depuis que l'identité shiite de l'Irak s'est affirmée, après des décennies d'oppression, sous le régime baathiste de Saddam Hussein. "Nous appartenons à la même famille, la shia'h", dit Javad Shahrestani, le gendre de l'Ayatollah Sistani et son représentant à Qom. "C'est le fondement de notre vie".
Alors que les Etats-Unis disent qu'ils sont déterminés à résoudre les différends avec l'Iran par la voie diplomatique, de nombreux analystes politiques en Iran craignent que le président Bush n'utilise la force, avant de quitter la Maison Blanche. Avec ceci à l'esprit, pour établir leur stratégie de défense, les responsables de la sécurité actuels ou passés comptent sur une connivence religieuse shiite entre les peuples et l'entretiennent, même avec les shiites d'Inde ou d'Arabie. Les Iraniens pensent qu'en dépit des différences philosophiques entre shiites, notamment avec ceux d'Irak et al Sistani, l'Iran reste la mère-patrie de la shia'h; et si l'Iran est attaqué, les shiites du monde entier se sentiront obligés de le soutenir. "Il y a 2 choses dont se soucient les grands ayatollahs, empêcher le chaos et s'assurer que le peuple soit le plus en sécurité possible", dit l'un des planificateurs en matière de sécurité centrale, qui n'a pas voulu être nommé, du fait de ses activités, "si les Etats-Unis frappent l'Iran, d'autres joueurs interviendront".
L'organisation de l'Ayatollah Sistani est d'ores et déjà inquiète des tensions entre l'Amérique et l'Iran qui risquent d'affecter son travail. Elle a 2 grands serveurs Internet en Californie qui constituent le cœur de ses moyens technologiques. Si jamais ces serveurs sont coupés, tout le réseau d'information pourrait être neutralisé. Un des directeurs de ce réseau à Qom se pose la question: "En cas de conflit, les Américains vont-ils vérifier que nos serveurs sont affiliés à l'ayatollah Sistani, ou vont-ils simplement les couper, parce qu'ils sont Iraniens?"
"Ayatollah Sistani, qui est Iranien a étudié la religion à Qom, il y a 56 ans, avant de s'installer dans la ville shiite d'Irak, Najaf" dit Mr Shahrestani, qui, à l'inverse, quitta l'Irak pour Qom, il y a 29 ans, pour ne plus revenir. Il a construit le réseau de son beau père à Qom, qui va des cours d'informatique à l'assurance maladie, le tout pour les étudiants en religion. Qom compte 45 000 étudiants recevant d'une manière ou une autre une aide du réseau Sistani, qui s'occupe de 20 000 étudiants dans d'autres villes d'Iran. "Etant donné la situation sous le régime de Saddam Hussein, nous avons décidé que Qom serait le centre des opérations", dit-il. À environ 115 km de Téhéran, Qom est une ville poussiéreuse, avec un mausolée immense, orné de tuiles bleu flamboyant, un site pour le pèlerinage des Musulmans shiites. C'est le siège de nombreuses écoles coraniques shiites, attirant les élèves de tout l'Iran et du monde de la Shiah. Ils étudient en permanence et reçoivent le soutien financier des chefs politiques.
Ayatollah Sistani n'a pas d'école religieuse en Iran, mais il a des liens high-tech avec toutes ces écoles. Son gendre a fondé le Centre d'Information Globale Ahloulbayt (1), il y a 8 ans, dans un petit immeuble dans un quartier central, à fort trafic. Il abrite des techniciens qui gèrent 4 sites Internet qui diffusent les idées de l'Ayatollah et son influence à travers le monde entier. Ainsi chaque mois, le Centre reçoit des centaines de demandes de conseil, et tous les jours, les membres de l'équipe répondent sous le nom de l'Ayatollah. Une femme d'Australie a demandé, par exemple, si son père avait raison de s'opposer à sa décision d'épouser un "non-croyant" la réponse a été de "persuader son père à changer d'avis". Un jeune des émirats a demandé s'il était permis de jouer de la guitare. La réponse a été non!
"En fait le centre et le pivot de la Shia'h était Najaf, mais Saddam l'a ruiné" dit Sayed Ibrahim Larjvardi, le secrétaire général du Centre. "Maintenant, c'est Qom, la mère-patrie de la Shia'h, c'est ici à Qom!"
Le long des rues poussiéreuses, le gendre de Sistani supervise la construction de 320 appartements, qui seront loués pour rien à des étudiants en religion de Qom. Muhamad Shariatmadri, 35 ans, étudiant en théologie, vit dans un de ces appartements: "Un logement gratuit, c'est une aide immense pour nous". Son voisin, Mohamad Abedi, 35 ans, vient du sud de l'Inde et vit là, avec femme et enfants. Interrogé sur la réaction des Shiites en Inde et ailleurs, si jamais l'Amérique était amenée à agir contre l'Iran sur le sujet nucléaire, il répond: "Ils aideront l'Iran. Bien sûr!"
Iraqi Ties to Iran Create New Risks for Washington
By MICHAEL SLACKMAN
Published: June 8, 2006
QUM, Iran — The single most influential man in Iraq today, the Shiite religious leader Grand Ayatollah Ali al-Sistani, provides cash, free housing and medical care to tens of thousands of religious students and operates hundreds of religious Web sites across the globe.
Yet this is all going on not in Iraq, but here in the religious capital of Iran.
As the Bush administration seeks simultaneously to stabilize Iraq, in part by empowering its Shiite majority, and contain Iran, it must carefully navigate the complex relationship between the countries. It is not just Iran's influence in Iraq that the United States must confront, but Iraq's connection to Iran, as well.
While Ayatollah Sistani is viewed suspiciously by the leadership of Iran — he opposes clerics' involvement in politics — his relations with the Iranian people have deepened and spread since the American occupation of Iraq. Divisions that once stood between the Shiites of Iraq and Iran, animosity fed by the eight-year war between the countries, have become less relevant as Iraq's Shiites re-establish their identity after decades of oppression under Saddam Hussein.
"We are a family of Shia," said Javad Shahrestani, who is Ayatollah Sistani's son-in-law and his representative in Qum. "This is the basic fact of our life."
While the United States says it is determined to resolve its disputes with Iran through diplomatic means, many officials and political analysts in Iran say they fear that President Bush will use force against Iran before he leaves office.
With that in mind, present and former Iranian security officials said they were counting on, even stoking, the sense of religious connection to Iraq as well as to fellow Shiites in places like India and Saudi Arabia, as part of a defensive strategy.
Iranians believe that despite philosophical differences with others of their faith, like Ayatollah Sistani, their country is the Shiite motherland and any kind of military attack on Iran would compel Shiites around the globe to respond.
"There are two things that all grand ayatollahs care about — preventing chaos and making sure the people are as secure as possible," said one of Iran's central security planners, who spoke on the condition he not be identified because of the nature of his work. "If the United States hits Iran, other players will come in."
Ayatollah Sistani's organization is already worried that the tensions between Iran and the United States will affect its work. It has two large computer servers based in California that are the hub of its technology center. If the United States ever cut off access to those servers, Ayatollah Sistani's information network would be knocked offline.
"Will they check, will they know this is for Ayatollah Sistani, or will they just shut down the servers?" asked Walid Salman, one of the technology managers working with the ayatollah's operation in Qum.
Ayatollah Sistani, who is Iranian, studied religion in Qum 56 years ago before moving to the Shiite religious city of Najaf in Iraq, said Mr. Shahrestani, who left Iraq for Qum 29 years ago, never once returning. He has built Ayatollah Sistani's operation here to include a network of services, from Web design training to health insurance, all for religious students. In Qum, he said, there are 45,000 students receiving aid of some sort, with another 20,000 in other Iranian cities.
"Because of the situation during Saddam's time, we decided to make Qum as the center," Mr. Shahrestani said as he sat in one of the many cultural centers his organization's operates here.
Just 75 miles from Tehran, Qum is a gritty town, with a huge shrine decorated in fiery blue tiles, a site of pilgrimage for Shiite Muslims. It is also the site of many Shiite religious schools, drawing students from around Iran and elsewhere, who study full time and receive financial support from political leaders.
Ayatollah Sistani does not have a religious school in Iran, but he has high-tech links to all the schools here. Eight years ago his son-in-law founded the Aalulbayt Global Information Center, in a small building on a traffic-clogged street in the center of Qum.
Inside is a staff of technicians who design and manage four Web sites, using the Internet to spread Ayatollah Sistani's ideas and his influence among Shiites all over the world.
Each month, for example, the center receives hundreds of requests for guidance, and each day the staff members send back answers under the name of the ayatollah. One woman from Australia asked if her father was right to oppose her decision to marry a non-Arab. The response was that she should get her father to change his mind. A person from the United Arab Emirates asked if it was O.K. to play the guitar, and the answer was no.
"Najaf was a very important and pivotal center for Shia studies but it was ruined by Saddam," said Sayed Ibrahim Larjvardi, who is the information center's chief administrator "Qum is the same now. The motherland of Shiism is here in Qum."
Across town, along dusty streets, Ayatollah Sistani's son-in-law was overseeing the construction of 320 apartments, each of which will be loaned to a religious student in Qum.
Muhammad Shariatmadri, 35, a theology student from Tehran living in one of the apartments, said, "The free housing has been a huge help."
His neighbor, Muhammad Abedi, 35, from southern India, lives with his wife and children in another one. Asked how Shiites in India and elsewhere would react if the nuclear issue reached a stage where the United States decided to take action against Iran, he said: "They will help Iran. Of course."
Par Breitou (Breitou) le mardi 20 juin 2006 - 18h30: |
Breytou chante.
Coup de trombone et de clairinette.
Par Emma (Emma) le mardi 20 juin 2006 - 18h35: |
PARIS, 19 juin 2006 (AFP) - Pierre Besnainou élu à la présidence du Fonds social juif unifié
Le Fonds social juif unifié (FSJU) a annoncé lundi l'élection à sa présidence de Pierre Besnainou, qui succède à David de Rothschild.
Dans un communiqué, le FSJU précise que M. Besnainou, qui était jusqu'alors membre du comité directeur, a été élu à l'unanimité. Il assurera également la présidence de l'Appel unifié juif de France, dont David de Rothschild gardera la co-présidence.
Le FSJU, créé en 1950, représente les associations juives dans les domaines du social, de la culture, de l'enseignement et de la jeunesse, auprès des pouvoirs publics et des collectivités territoriales.
M. Besnainou, qui est également président du Congrès juif européen (CJE), s'est dit "particulièrement fier et ému de la confiance qui lui est ainsi accordée".
Le successeur de David de Rothschild, qui avait souhaité mettre un terme à ses fonctions à la présidence, a affiché son ambition de "poursuivre l'immense travail accompli par ses prédécesseurs qui ont su en quelques dizaines d'années faire du FSJU une institution majeure, reconnue, écoutée et respectée tant en France qu'à l'étranger".
Il s'est engagé à continuer à oeuvrer pour "renforcer la solidarité, développer l'identité, encourager les initiatives, promouvoir l'unité et resserrer les liens avec Israël".
Par Albert (Albert) le mardi 20 juin 2006 - 12h30: |