Par Lapid (Lapid) le jeudi 22 juin 2006 - 01h32: |
Et de deux! Voila que Benzarti rentre en jeu !
C'est evident, Monsieur Benzarti, vous ne dites pas ca parce que Jemmali est Juif !!
Au moins, vous, Monsieur Benzarti, vous n'etes pas hypocrite dans vos propos. Vous jouez franc jeu et "Bas le Masque". Que d'amertume on devine en vous lisant !!
Voyons, Messieurs Citron et Benzarti, ou est le Sport dans tout ca ? Ou est le Fair Play ? Ou est l'amour du sport pour le sport au-dela de toute consideration de race, de couleur ou de religion ? Vraiment vous nous decevez !!
Vous voulez qu'on coupe le cordon ombilical qui nous reliait a notre Terre natale. Sachez que plusieurs d'entre nous l'ont deja fait depuis plusieurs dizaines d'annees deja !! Mais vous ne pourrez pas pour autant gommer les souvenirs de notre enfance et adolescence dans ce beau pays ou nous avons vecu relativement heureux entoures de notre famille et de nos amis. C'est le but de ce site de nous aider a revivre cette epoque la.
Pour vous, en essayant de "gommer" le souvenir de toute presence juive en Tunisie, vous ne faites qu'exprimer votre rancune contre ceux qui ont pu et su sortir de leur statut de Dhimmi avec l'aide, il est vrai de la France, ce qui semble a vos yeux impardonnable. L'etablissement du protectorat le 12 mai 1881, allait apporter aux juifs de Tunisie une meilleure securite pour les biens et les personnes. C'est tout, pour le moment, en ce qui concerne l'evocation de certains rappels historiques.
Par Albert (Albert) le mercredi 21 juin 2006 - 23h14: |
Mon cher Lapid,
Vous êtes un homme de sang froid.
Citron n'est pas un nouveau venu ici, nous le connaissons tous. Il parle comme s'il ne s'était rien passè avant et après.
Il oublie lui même notre histoire au point que les nouvells génèrations musulmanes ne savent pas ce qu'est un juif TUNE, comme je l'ai lu qq part..!!!
Mais enfin Citron que penses-tu de cette violence lors de la donation d'une série de bouquins de Mr Sebag???? Il n'y pas si longtemps.
Tu parles sport en sous-entendant autre chose...
Ce qu'il ne comprend pas et que nous essayons de lui faire comprendra avec bcp de patience, de sagesse et de gentillesse au point que nos lévres se sont fatiguèes, c'est pourquoi les juifs tunes, puisque nous sommes les enfants de la Tunisie, n'ont pas la place historique qu'ils méritent dans les manuels scolaires...???
Pourquoi veux t'il nous forcer à encourager une équipe tunisienne dans laquelle évolue un juif alors que nous sommes devenus pour la plupart d'entre nous français, israeliens, canadiens etc...
Voyez vous les ETATS-UNIS dire '...Nous avons des noirs qui jouent dans notre pays...?'
Les américains n'ont pas oubliè l'histoire des indiens bien au contraire...Etc..
Pourquoi veut t'il aussi que nous parlions de qq chose qui ne nous interesse plus puisque notre HISTOIRE ne les interesse plus...????
Puisqu'elle est effacèe de leurs mémoires au point que pas une seule rue ne porte le nom d'un de nos chanteurs célèbres et j'en passe.
Pour ne citer qu'un exemple.
Et nous qui parlions encore de nos souvenirs dans divers bouquins d'antan tandis qu'eux parlent commes des séniles.
Alors Monsieur Lapid même si vous écrivez en gras, lui il lira qu'en maigre
Tune 5X5 pour toi.
Benzarti à la rescousse et Lina en avocate..
Quel cinéma, mais pourquoi ne pas venir en bas, vous serez plus à l'aise dans le tméniq.
Je vous offre la ZOKRA et le CHAMPAGNE... FOIE GRAS D ALBERT...
Par Mena (Mena) le mercredi 21 juin 2006 - 23h05: |
Washington : les fonctionnaires au pouvoir (info # 011506/6) [analyse]
Par Laurent Murawiec, à Washington © Metula News Agency
Il s’appelle Nicholas (“Nick”) Burns. Il est lisse et lustré jusqu’au bout de ses ongles manucurés, en costume trois-pièces et cheveux brillantinés. Il s’exprime de façon policée et mesurée. Sous-secrétaire d’Etat, il est le « numéro trois » du Département d’Etat, le ministère des Affaires Etrangères américain ; il a été choisi par Mlle Condoleezza Rice, patronne du ministère. Officiellement, le numéro deux est Philip Zoellick, mais celui-ci s’intéresse plutôt aux affaires économiques. Burns, un proche de Mlle Rice, est à l’heure actuelle le principal architecte et la cheville ouvrière de la politique extérieure américaine.
Mon premier aperçu de ce qui se passe dans la tête de M. Burns eut lieu à Berlin, il y a trois ans, je crois. Nous partagions avec quelques autres le podium du forum « Défense et Société » du grand hebdomadaire de la chaîne des journaux Springer, le Welt am Sonntag (le Monde du dimanche. Ndlr). On s’en souviendra : c’était l’époque où Jacques Chirac et son poudroyant ministre des Affaires Etrangères Villepin pourfendaient l’Américain, s’acharnaient à bouter l’Anglo-Saxon hors d’Irak et du Moyen-Orient, et à réduire à quia l’ « hyperpuissance » honnie. Burns, à l’époque ambassadeur des Etats-Unis auprès de l’OTAN, leur fit un discours dont il ressortait que la diplomatie américaine aimait la France et qu’elle avait besoin d’elle.
L’élite politico-militaire allemande réunie pour l’occasion en resta bouche bée : quel était donc ce martien qui feignait d’ignorer la haine anti-américaine professée par les dirigeants de ce que les Allemands, quand Paris les agace vraiment, appellent, avec un sourire condescendant et ironique, « la Grande Nation » (en français dans le texte original) ? Cet ahuri un peu précieux venait de réussir à estomaquer son auditoire, qui attendait un discours plus musclé. C’est qu’il représentait alors Colin Powell, l’opposant principal à la politique moyen-orientale de Bush. Au fait, M. Burns est Démocrate.
Comment peut-il se faire que Mlle Rice ait nommé un opposant à ce poste si important ? La chose est d’autant plus inquiétante que les autres centres de pouvoir washingtoniens en matière de politique étrangère sont affaiblis : à la Défense, Rumsfeld est miné par plusieurs années de guerre apparemment (ou médiatiquement) difficiles en Irak, et par ses propres erreurs ; le vice-président Cheney a dû se séparer de son Chief of Staff, l’excellent « Scooter » Libby, poursuivi avec acharnement et pour des vétilles par un procureur spécial, en mal de gloire, dans une affaire montée de toutes pièces par l’autre ennemi principal de Bush dans la capitale fédérale, la centrale de renseignement (CIA), en insurrection ouverte contre le gouvernement qu’elle est censée servir. Cheney est diminué, ce qui sert les desseins des autres : sa capacité à peser sur les grands dossiers est amoindrie.
Trois dossiers urgents en portent la trace : face à la Corée du Nord et son chantage nucléaire, Washington a abdiqué toute initiative, et suit gentiment les méandres de la politique chinoise, laquelle se sert de l’épouvantail nord-coréen pour se rendre indispensable, et se faire payer des services inexistants.
En ce qui concerne Israël et les Palestiniens, Washington a fait pression sur l’Etat hébreu (en dépit des belles paroles prodiguées publiquement) pour que Jérusalem retourne à une « Carte routière » plus que moribonde, et donc à l’acceptation d’un rôle pour l’Union Européenne, sorte d’Eurabia hamassophile, et pour la Russie, retournée à ses tropismes tiersmondo-fascistes. La visite dans la capitale fédérale du nouveau premier ministre israélien a été l’occasion d’une imposante manifestation d’israéolophilie de la part des deux chambres du Congrès ; bravo, mais l’exécutif, en de mauvaises mains ou dans une mauvaise passe, ne suit que mollement.
Le dossier le plus brûlant, cependant, c’est sans conteste celui de la politique américaine vis-à-vis de l’Iran nucléophile des ayatollahs jihadistes. Alors qu’un consensus était en voie de constitution entre Washington, Berlin, et même Paris et Londres, sur le thème : il n’y a plus rien à négocier avec les extrémistes au pouvoir à Téhéran (que l’on se souvienne d’un Chirac évoquant, au printemps, l’usage par la France de ses armes nucléaires contre « tout » pays qui s’attaquerait à elle par la terreur, et que l’on se réfère au limogeage de Jack Straw, ministre des Affaires Etrangères de Tony Blair, et meilleur ami des ayatollahs dans les chancelleries occidentales), Burns a réussi à faire pivoter Washington. On est donc revenu aux négociations stériles avec des diplomates iraniens menteurs et on est promené comme autant de carottes devant les ânes occidentaux par les vrais maîtres du pouvoir en Iran. On continue de faire comme si l’unique objectif des ayatollahs n’était pas la possession d’armes nucléaires et de leurs vecteurs balistiques, dans le but de se rendre intouchables et de pouvoir mener avec impunité, derrière un « mur » nucléaire dissuasif, leur politique de terreur.
La même folie qui mena Bush à écouter les salades serinées par Powell : « il faut chercher à l’ONU la légitimité internationale qui revêtira notre entreprise contre l’Irak des bénédictions diplomatiques » – ce qui donna 7 à 8 mois à l’opposition internationale pour s’organiser, aux opinions pour être chauffées à blanc par des media déchaînés, et surtout, aux préparatifs de guérilla insurrectionnelle en Irak pour être mis en route – le conduit aujourd’hui à « faire confiance » à ceux qui dialoguent avec Téhéran, avec les résultats plus que nuls que l’on sait. En 2002-2003, Bush avait laissé Powell courir le guilledou diplomatique, tout en lançant les préparatifs de guerre. Il en est de même aujourd’hui, alors que le président est très affaibli par rapport à sa cote de popularité et à sa marge de manœuvre d’antan.
A exécutif amoindri, bureaucratie renforcée : ce sont les hauts fonctionnaires, comme Burns, qui tiennent le sommet du pavé et prétendent imposer leurs choix – qui vont encore et toujours dans le sens de toutes les compromissions et de toutes les capitulations – aux représentants du peuple. Quand Reagan présidait, son secrétaire d’Etat George Shultz avait pris une habitude : chaque fois qu’un nouvel ambassadeur américain était nommé dans tel ou tel pays, Shultz le convoquait à son bureau. Assis autour d’un globe terrestre, le ministre demandait au diplomate : « Montrez-moi votre pays sur le globe ». Invariablement, le diplomate désignait du doigt le pays où on l’envoyait. Immanquablement, Shultz le reprenait : « Non. Votre pays, c’est les Etats-Unis ! ». L’exercice a malheureusement cessé d’être répété.
Certes, avec l’élimination de Zarkaoui, la constitution d’un gouvernement irakien au grand complet, et quelques développements intérieurs (la mise hors de cause du conseiller politique numéro un du président, Karl Rove, et une élection partielle très remarquée, qui a vu la victoire inattendue d’un Républicain), le gouvernement Bush a trouvé une nouvelle « fenêtre d’opportunité » qui devrait lui permettre de procéder à une relance. Mais le président est prisonnier des choix qu’il a lui-même faits en matière de personnel : comme j’ai souvent eu l’occasion de le dire dans ces colonnes, même Mlle Rice, assurément loyale envers le président, est, intellectuellement, bien plus une « réaliste » géopolitique façon papa Bush, qu’une lutteuse révolutionnaire dans le moule reaganien. C’est bien pourquoi elle a choisi Burns pour la seconder, alors que le reaganien John Bolton, nommé aux Nations-Unies, y mène incontestablement une féroce et courageuse bataille pour nettoyer ces écuries d’Augias, mais se trouve de fait éloigné des décisions. Comme ses amis. Paul Wolfowitz, qui œuvre désormais à la Banque mondiale, et Libby, dorénavant simple citoyen, qui doit se défendre contre l’implacable machine judiciaire, ne sont plus présents dans les conseils où est décidée la politique des Etats-Unis, les contrepoids ont cessé d’exister : la politique américaine est déséquilibrée.
Un autre exemple en a été donné avec les récents remue-ménage à la direction de la CIA. Nommé il y a moins de deux ans pour nettoyer cet antre d’incompétence et d’usurpation politique, le congressman (et ancien agent de la centrale) Porter Goss avait procédé à un certain dégraissage, insuffisant, mais réel. Il s’était heurté à la puissante bureaucratie du renseignement, arrogante, manipulatrice, renfermée sur elle-même. Il avait limogé, ou forcé au retrait, plusieurs insurgés anti-Bush. Il avait fini par se heurter au super-bureaucrate nommé à la tête de la méga-bureaucratie qui coiffe la totalité de la sécurité nationale et du renseignement civils, le director of national intelligence John Negroponte.
Goss en sortit vaincu et démissionna. Son successeur, l’adjoint de Negroponte, le général Hayden, s’empressa de rappeler les démissionnaires insurrectionnels : Bush a totalement perdu le contrôle politique de la bureaucratie du renseignement. Comme, par ailleurs, le successeur de Mlle Rice au Conseil national de sécurité, Stephen Hadley, est un bureaucrate pâlichon qui ne saurait lui faire de l’ombre, le tableau est hélas complet : Bush a créé autour de lui l’entourage institutionnel le mieux à même d’entraver, sinon de torpiller, sa propre politique.
En novembre prochain auront lieu les élections du mi-mandat, où les Républicains risquent fort de perdre la majorité à la Chambre. Bush se muerait alors en lame duck president (président canard boiteux. Ndlr), en président déplumé et paralytique. Sa capacité d’initiative serait dévaluée et rognée, alors même que les dossiers brûlants se mettraient à brûler. Une hyperpuissance étêtée est dangereuse par sa passivité. C’est un risque grave à considérer pour les deux ans à venir.
Par Shira (Shira) le mercredi 21 juin 2006 - 22h34: |
A la reunion du groupe "NACHIT" (Femmes Originaires de Tunisie), ce soir, a Natanya, notre amie A. Scialom nous a presente son savoir sur l'aromatherapie et ses bienfaits. Gilberte Guez (nee Mamou) a ete la beneficaire du massage facial. Fifi de Nabeul m'a demande de bien passer le bonjour a Lala. La prochaine rencontre aura lieu apres les vacances d'ete.
Par Tun (Tun) le mercredi 21 juin 2006 - 20h42: |
J´aimerais bien en trouver des gens qui commencent a s´interesser a la politique et l´economie tunisienne et non-seulement au foot au lieu de toujours entendre des gens qui ralent,qui ne sont jamais contents et qui nous racontent les memes chansons...(il faut agir au lieu de pleurnicher);
Bravo David continue toi au moins tu fais honeur a ta patrie
Par Maurice (Maurice) le mercredi 21 juin 2006 - 20h17: |
Je trouve desagreable de vous voir descendre si bas Ce n'est pas la France d'en bas c'est la Tunisie Juifs et Musulmans ensemble qui n'ont pas decollé des mediocrites comme le PSG certes du temps des matches en Tunisie Herzelia contre
Zitouna Comme disent les religieux "elevez vous"en Fraternité Pensez le mal que Juifs et Arabes se font quand ils savent vivre ensemble et s'estimer Ils ont chacun le droit de vivre et s'elever avec chacun Independant chacun sa capitele Jerusalem pour les uns et La Meque pour les autres.Si les musulmans veulent Jerusalem et la partager alors en lisant le Coran aussi ils savent que les Juifs etaient à Medine Alors il faudra la partager avec les Juifs .Allah et Hachem veulent la JUSTICE
Par Lapid (Lapid) le mercredi 21 juin 2006 - 20h06: |
Je te rappelle exactement quelle a ete ta reponse :
"Je pense que cette coupe du monde va faire rappeler a certains et informer d'autres sur la presence juive en Tunisie. au sein de cette equipe evolue un joueur Tunes, David Jemmali un Juif de Sousse, ses parents habitaient au Trocadero (rien a voir avec celui de Paris).
je trouve formidable que cette equipe est composee par des musulmans ,des chretiens,un juif, des blancs et des blacks."
C'est "Presence juive en Tunisie" qui a declenche ces reactions qui sont loin d'etre hysteriques et au contraitre sont bien argumentees . Je ne renonce pas a mon "Kol Akavod a l'Equipe de Tunisie" pour sa resistance plus qu'honorable face a l"Espagne. C'etait un cri du coeur sincere et spontane et ecrit quelques minutes apres la fin du match. Il a fallu que tu gaches tout en reagissant comme tu l'as fait d'une maniere provocative et ridicule en voulant mettre en valeur la presence juive en Tunisie aujourd'hui alors qu'elle est des plus negligeable (1000 a 1500 juifs sur une population de 9.500.000 habitants !!)
J'espere que tu as maintenant compris nos reactions.
Sinon saches qu'"Il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre".
Eshket oula njidek.
Pour moi, je considere, si tu veux, l'incident comme clos. A ta prochaine intervention, reflechis un peu plus a ce que tu ecris car tu deviens le specialiste des Bevues.
Par Toufiq (Toufiq) le mercredi 21 juin 2006 - 20h06: |
david,j'aime Ali?
Par Benzarti (Benzarti) le mercredi 21 juin 2006 - 19h22: |
Moi je ne sais pas pourquoi Jemmali a été accepté dans l'équipe tunisienne!! Combien de fois a-til refusé d'entrer?? Maintenant qu'il est en fin de carrière il a trouvé sa roue de secours : la Tunisie.Une fois il a dit qu'il n'avait rien a voir avec ce pays!!
Quel honte!Pourqoui ce revirement? C'est parce qu'il croyait etre pris dans l'equipe de France.Un vrai rigolo. Lemerre a pris en Allemagne Jemmeali qui n'a pas beaucoup joué avec la Tunisie alors qu'il n'a meme pas pris Selim Benachour.
je ne dis pas ca parce que Jemmali est juif.je ne le savais meme pas avant que Citron le dise ici
Par Viviane (Viviane) le mercredi 21 juin 2006 - 18h45: |
Est-ce que quelqu'un qui réside (encore) en France peut me renseigner sur Daniel Mermet qui sévit sur France Inter et, si ma mémoire est bonne a eu des positions anti-israéliennes. On reparle de lui aujourd'hui. Peut-on me rappeler ses positions à ce sujet? D'avance, merci. Viviane