Par Maxiton (Maxiton) le samedi 24 janvier 2004 - 10h48: |
Faisons nous aussi du citron
Les joies de la démocratie proche orientale
http://www.proche-orient.info/
xjournal_pol_der_heure.php3?id_article=20638
Par Citron (Citron) le samedi 24 janvier 2004 - 02h11: |
mr Henri
"mais de remplir nos pages d'harissa avec des articles que nous-mêmes pouvons lire directement dans le journal israelien n'est pas intéressant, car ceux-ci n'apportent aucune contribution au but que ce site s'est donné."
le réponse et justement dans votre question en effet ce site est a multi-sens il ne souvrent pas seulement aux tunes israéliens mais a tous les tunes et a tous les tunisiens qui nous visitent cad
les tunes de france
les tunes des USA
les tunes de tunisie
les tunisiens arabes de tunisie
les tunisiens arabes de france
les tunisiens arabes des USA et du canada
et tous nos visiteurs internationaux
é je m'excuse pour ceux que je n'est pas mentionné
é tout ce beau monde justement n'a pas accés a ce genre d'article, de ce fait je les mets a leurs disposition.
merci
celtia.1@laposte.net
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 24 janvier 2004 - 00h04: |
Je ne comprends pas ce que Citron veut nous démontrer en affichant des articles que le journal Haaretz avait publié il y a plus de dix jours. Ces articles prouvent bien la qualité et le courage des Israeliens de dévoiler et écrire publiquement les choses telles qu'ils les voient.
Ces Israeliens donnent un exemple aux monde et aux pays arabes, du bon exercice de la liberté d'expression. Je l'ai dit plusieurs fois que si Citron a quelque chose à nous dire ou à ajouter qu'il le dise librement, mais de remplir nos pages d'harissa avec des articles que nous-mêmes pouvons lire directement dans le journal israelien n'est pas intéressant, car ceux-ci n'apportent aucune contribution au but que ce site s'est donné.
Je ne crois pas qu' un tel affichage peut contribuer au rapprochement entre Arabes et Juifs et certainement pas en montrant tout le temps du doigt.
J'ai fait les mêmes observations à Eden lorsque celui-ci répètait le mot "spoliation" quand il parlait de l'exode des Juifs de la Tunisie.
A mon avis il est de notre devoir d' écrire quand nous avons quelque chose à dire tout particulièrement quand il s'agit de sauver l'être humain, ou quand nous pouvons enrichir notre héritage judéo-tunisien. Mais il faudrait s'abstenir quand on a rien a dire car le silence est aussi une expression importante.
Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 23 janvier 2004 - 21h53: |
et alors citron-hajklouf-ayman- et-à-savoir-qui-d'autre ?
Vous voulez prouver quoi ???
Vous voulez que tout le monde ici vous montre la poutre
qu'il y a dans votre oeil.? Et quand je dis poutre c'est de
toute la forêt d'Aïn-Draham dont je veux parler.
Par Citron (Citron) le vendredi 23 janvier 2004 - 20h49: |
salut hajkloufette
"Eest ce que si c est Pinacolada qui le dit ca passe mieux Citron !!! Ou alors Jeune Afrique est il plus digne de confiance que Yedihot Akhronot !!! Ou peut etre si un homme le dit ca doit etre vrai ( de quoi elle se mele celle la ???) "
meme si jai pas trouvé l'article en question sur jeune afrique qui s,appel désormais l'intelligent ( www.lintelligent.com ), je suppose que ce chiffer peut etre proche de la réalité,
mais de grace dites moi, vous combien d'israélien de votre entourage ont visité la tunisie, par an, pendant les années 90?
depuis qu'on nous a présenté l'irak comme 4eme puissance militaire mondiale, ou les tonnes d'armes de destruction massives (encore a découvrir) je prends avec précaution les informations et les chiffres officiels publiés et relaillés par la presse,que ce soit israelienne, tunisienee ou encore américaine,
me traiter de sexiste démontre bien que vous ignorer tout de ma personne, je vous rappel que jai ouvert une page de discussion sur la place de la femme juive dans la société sur ce meme site, de meme jai ouvert la page de la relation tunisie-israel, depuis deja quelques années c vous dire l'importance que j,accorde a la reprise des relations entre la tunisie et israel.
jaime pas répondre aux questions personnelles sur cette page, ca ennuie nos amis et ca napporte rien a la qualité de la discussion.
shabat shalom
celtia.1@laposte.net
ps: please Pinacolada, mettre le lien de vos article pour qu,on puisse avoir accés a ces documents
merci
Par Nao (Nao) le vendredi 23 janvier 2004 - 20h35: |
Vous allez voir comment l'affaire du voile/turban/bandana va tourner en France.
Si la loi est votee et que les jeunes beurettes ne peuvent plus porter le voile, les beurs vont chercher un bouc emissaire a leur frustration et vont s'en prendre dans les cours de recreation et ailleurs encore plus a qui a votre avis? En plein dans le mille...Aux Juifs!. On sera encore accuse d'etre la cause de leurs maux (ca on a l'habitude!..).
Comme me dit un ami cher, l'Arabie Saoudite va ouvrir a tour de bras des ecoles privees islamistes (peut etre meme gratuites) pour abriter les tetes couvertes. Resultat: un peu plus de propagande islamiste ira ds la cervelle des jeunes donzelles!
Vous voyez le probleme avec eux c'est que quoi qu'on fasse, rien ne peut les coincer! On se le prendra ds la gueule. Effet boomerang assure!
Shabbat Shalom a tous!
Par Citron (Citron) le vendredi 23 janvier 2004 - 20h25: |
L'inacceptable expulsion des Palestiniens
L'historien israélien Benny Morris a justifié l'exode forcé des Palestiniens en 1948 en affirmant qu'à l'époque, l’alternative était détruire ou être détruit. Un propos qui est plutôt passé inaperçu auprès de la population israélienne mais qui a suscité de fortes réactions de la part d'intellectuels juifs.
1948, l'exode des Palestiniens (AFP)
Le 9 janvier 2004, Mousaf Ha’Aretz, le supplément sabbatique du quotidien libéral de centre-gauche Ha’Aretz, publiait un entretien fleuve accordé au journaliste Ari Shavit par l’historien israélien Benny Morris. Dans cet entretien, Benny Morris révélait le contenu de ses dernières recherches sur les causes de l’exode palestinien de 1948 : l’armée israélienne a mis en œuvre des directives émises par le Premier ministre David Ben Gourion et destinées à expulser autant de Palestiniens que possible. Loin de déplorer cet épisode central du conflit israélo-arabe, Benny Morris déclarait qu'"en 1948, l’alternative était détruire ou être détruit, l’épuration ethnique ou le génocide. Un Etat juif ne pouvait naître sans le déracinement de 700 000 Palestiniens. […] Mon sentiment est que cet endroit [Israël] serait moins pénible si l’hypothèque démographique avait été levée une fois pour toutes. Si Ben Gourion avait nettoyé le pays dans son entièreté, notre Etat aurait été consolidé pour plusieurs générations."
Enfin, sur la tournure actuelle du conflit, le cycle attentats-liquidations et l’édification d’une "clôture de séparation" au tracé de plus en plus controversé, Benny Morris estimait que "quand on a affaire à un tueur en série, l’essentiel n’est pas de comprendre pourquoi mais bien de l'enfermer ou de l’exécuter. […] Les valeurs du monde arabe sont aujourd’hui celles de barbares. Comme les Croisés, nous, Israéliens, sommes une branche vulnérable de l’Europe dans cette région."
Dans un premier temps, cet entretien choc a suscité peu de commentaires du Ha’Aretz et de ses concurrents israéliens. Certes, le quotidien conservateur Maariv y faisait indirectement référence le lendemain de la manifestation qui, le 11 janvier, rassemblait à Tel-Aviv 100 000 militants de droite opposés au démantèlement de quelques colonies décrété par Ariel Sharon : "Dans cette foule portant le deuil du Grand Israël, le nom de Benny Morris était sur toutes les lèvres. Le prophète du post-sionisme considère désormais positivement le ‘transfert’ et les manifestants déboussolés se raccrochaient à lui comme à un nouveau Messie."
Mais il aura fallu attendre le Mousaf Ha’Aretz du 16 janvier pour découvrir des réactions émanant d’intellectuels et de collègues de Benny Morris. Ainsi, pour l’historien Haggaï Ram, de l’université Ben Gourion de Beersheva, "si la liberté de parole et la liberté de recherche sont des valeurs fondamentales, ces libertés ont des limites morales et éthiques que le professeur Morris vient de fouler aux pieds. De sa chaire d’historien, il délivre une interprétation anhistorique et raciste quant aux Palestiniens, au monde arabe et au monde musulman. Ses propos reviennent à valider des crimes contre l’humanité qu’Israël pourrait commettre à l’avenir. Enfin, Morris n’est pas sans savoir qu’une partie de ses étudiants appartiennent à la communauté palestinienne d’Israël [les Arabes israéliens] qu’il qualifie de ‘cinquième colonne’ et de ‘bombe à retardement’."
Pour Adam Keller, un des animateurs du Goush Shalom [Bloc de la Paix, gauche radicale], "Morris est incapable de tirer les leçons morales de ses recherches sur la guerre de 1948. Il ne s’agit pas de démanteler l’Etat d’Israël. Un enfant né d’un viol a un droit imprescriptible à la vie. Il s’agit tout simplement qu’Israël reconnaisse la terrible injustice que sa création a infligée aux Palestiniens et qu’il indemnise en conséquence ces derniers." Pour l’ancien député travailliste Ori Orr, "Benny Morris nous présente comme une bande de voleurs bénéficiant d'une impunité de fait qui devrait l'encourager à récidiver. De même, il nous met en garde contre un monde arabe au comportement de tueur en série et de barbare. Et il voudrait que nous en tirions les leçons. Désolé, mais ces leçons, il peut les garder pour lui seul." Enfin, le politologue de l’université de Bir Zeit, Selim Tamari, "remercie Morris d’avoir résolu la quadrature du cercle entre la recherche sur 1948 et les conclusions politiques à en tirer. J’ai toujours considéré que l’opposition israélienne au droit de retour était moins liée à la démographie qu’à la peur des ‘barbares’."
Ce sont des organes non israéliens qui, en définitive, auront été les plus prompts à publier des réactions israéliennes. Sur Amin, le site Internet du journaliste américano-palestinien Jonathan Kuttab, le sociologue Lev Grinberg réagissait dès le lendemain de la publication de l’interview de Morris. "Voici un mois, alors que je l’invitais à débattre du dernier livre de Yehuda Shenhav, ‘Les Juifs arabes’, l’ashkénaze Morris me répondit : ‘Pourquoi me fatiguer à répéter ce que je pense des Juifs orientaux ?’ Et il est vrai qu’à plusieurs reprises, il a eu l’occasion d’exprimer la répulsion que lui inspire l’Orient, tout l’Orient, Juifs orientaux y compris." Et, dans sa newsletter hebdomadaire, Tikkun, bimestriel libéral juif américain, publiait une réaction du sociologue israélien Adi Ophir. "Pour Morris, dans certaines circonstances, l’expulsion, voire le génocide, sont inévitables et justifiables. Les assassins rwandais et serbes qui comparaissent aujourd’hui devant la justice internationale pourraient l’engager comme conseiller juridique.#b{ Pis, Morris donne raison aux Palestiniens pour qui la mentalité israélienne est ainsi faite qu’il est inutile de négocier avec nous.} Morris nous enferme dans une logique sans issue qu’il justifie en recourant à un vocabulaire psychologique effrayant : les Palestiniens sont une société malade. Mais le plus effrayant, ce n’est pas tant la logique de destruction mutuelle défendue par Morris que le fait que Ha’Aretz ait jugé opportun de faire sa Une des propos de cet homme. S’il y a bien une société malade, c’est celle qui autorise la publication d’un tel discours et contribue à l’alimenter."
Pascal Fenaux
© Courrier international
http://www.courrierinternational.com/actual/aujourdhui_etranger.asp
Par Anonyme (Anonyme) le vendredi 23 janvier 2004 - 20h25: |
Le Mariage
Définition religieuse :
Acte religieux qui consiste à créer un crucifié de plus et une vierge de moins
Définition juridique :
Sentence dont le « condamné à perpétuité » est libéré uniquement pour mauvaise conduite
Définition de la vie courante :
Aucune femme n’a ce qu’elle espérait et aucun homme n’espérait ce qu’il a
Définition mathématique :
Somme d’emmerdes, soustraction de libertés, multiplication de responsabilités, division des biens
Définition pondérale :
Méthode la plus rapide pour grossir
Définition militaire :
C’est la seule guerre où l’on dort avec l’ennemi
Définition philosophique :
Sert à résoudre des problèmes que l’on aurait jamais eu en restant célibataire
Puis viens l’heure du bilan ..... le mariage avant et après .
Avant : 2 fois par nuit . Après : 2 fois par mois
Avant : tu m’essouffles . Après : tu m’étouffes
Avant : ne t’arrête pas . Après : ne commences pas
Avant : saturday night fever . Après : wednesday night football
Avant : être à tes côtés . Après : reste de ton côté
Avant : je me demande ce que je faisais sans elle ... Après : mais qu’est ce que je fais avec elle
Avant : érotique . Après : neurotique
Avant : on croirait qu’on est ensemble depuis toujours . Après : on est toujours ensemble
Avant : hier soir on l’a fait sur le canapé ! ... Après : hier soir, j’ai dormi sur le canapé !!!
Par Email (Email) le vendredi 23 janvier 2004 - 20h21: |
Mes chers amis,
Voici une initiative à soutenir :
En appelant le 0.899.707.706, vous offrirez à chaque appel un repas aux institutions MEIR PANIM, qui fait office de « resto du cœur » aux personnes défavorisées en Israel
Vous trouverez ci-dessous des liens vous présentant cette institution.
Je vous remercie par avance de faire circuler ce mail à tous vos contacts, après avoir passé réalisée cette belle mitsvah...
Bien à vous tous
David Barouch
Pour mieux connaître Meir Panim
http://www.mifalchaim.org/eng/mi_meirpanim.htm
Par Mena (Mena) le vendredi 23 janvier 2004 - 20h10: |
Paris, la démagogie ne fait pas une politique (info # 012301/4) [analyse]
Par Gérard Etienne © Metula News Agency
d’une incohérence à l’autre
Entre les dangereux illuminés de l’hégémonisme islamique et l’attitude à tenir face au régime haïtien qui broie le genre humain, la France a décidément bien de la peine à articuler une politique étrangère cohérente. Dès qu’il devient nécessaire d’énoncer quelque chose d’un peu plus complexe qu’un pseudo pacifisme qui s’abstient, de surplus, de considérer l’interventionnisme de son propre corps expéditionnaire en Côte d’Ivoire, la logique politique du Président Chirac aurait tendance à émerger aux abonnés absents.
Responsabilisée par un lourd passé historique sur notre île et par son rôle prépondérant dans l’ascension du tyran Aristide, on attendait de Paris qu’elle nous aidât à mettre fin à la véritable boucherie qui sévit dans nos villes. C’est d’ailleurs la direction que semblait prendre la diplomatie tricolore, puisque son expert à l'ONU, Louis Janet, avait décliné, le 17 novembre dernier, l'invitation du dictateur Jean-Bertrand Aristide de se rendre dans le Nord d’Haïti afin d’y assister à la commémoration de la fameuse bataille de Vertières. Bataille symbole, à l’issu de laquelle l'armée des esclaves noirs l'emporta sur la Grande Armée de Napoléon Bonaparte, venue rétablir l'esclavage à Saint-Domingue.
Dans le même souffle, l'ambassadeur de France Yves Gaudeuil, lors de son dernier discours très peu diplomatique avant de rejoindre la métropole, excitait les revendications de l’opposition, en s’exclamant notamment : "cela va souffler, ne vous laissez pas surprendre, il faut se préparer à des choses et soyez très vigilant". Soutenant les revendications populaires, Gaudeuil mettait le pouvoir en garde contre toute répression sanguinaire des manifestations. Les anti-Aristide, encouragés par ces oracles, ainsi que par les journaux français qui tirent à boulets rouges sur le despote, prenaient en mains le destin d’Haïti. Ainsi, depuis le12 décembre, on assiste à une mobilisation insurrectionnelle exigeant le départ d'Aristide du pouvoir au prix de centaines de tués dans les rangs du peuple et de ses intellectuels. Cette nouvelle phase active de la mobilisation rejetait dès lors les propositions de compromission que l'OEA (Organisation des Etats Américains) avait soumises au gouvernement despotique et à l'opposition. Les messages politiques de la France y étaient assurément pour quelque chose.
Par Email (Email) le vendredi 23 janvier 2004 - 20h07: |
Dernier tube d’un chanteur pop égyptien : « Ce n’était qu’une tour et je jure que ce sont eux [les Etats-Unis] qui l’ont démolie ! »
Voici quelques extraits d'un commentaire du Cairo Times sur le nouvel album du chanteur égyptien Shaaban Abd El-Rahim: [1]
«Le chanteur [populaire] Shaaban Abd El-Rahim fait à nouveau les gros titres avec la nouvelle des dernières retouches apportées à son dernier album Mahibish Al Karasi ('Je n'aime pas les fauteuils'), titre qui fait probablement allusion à des positions politiques plutôt qu'à des meubles. Ce dernier album contient une nouvelle chansonnette sur les Etats-Unis, Israël et La Feuille de route.
Kharittat Al Tariq ('la Feuille de route') est le nom de la chanson qui donne de la voix aux opinions fortement répandues dans la rue égyptienne concernant les événements du 11 septembre et l'impasse américano-irakienne. La chanson évoque la Feuille de route et contient des citations du président américain George W. Bush sur l'exécution de son plan. La chanson décrit ensuite en quoi l'Amérique est le portrait craché d'Israël, comment elle réalise ses désirs, transformant le monde en jungle. Mais la chanson ne s'arrête pas là. Abd El-Rahim a ensuite l'audace de chanter que les Etats-Unis ont perpétré les attentats du 11 septembre.
'Eh, vous tous, ce n'était qu'une tour, et je jure par Dieu que ce sont eux qui l'ont démolie.' Abd El-Rahim chante ensuite que les Américains l'ont détruite afin de faire passer les Arabes et les musulmans pour des terroristes en faisant croire qu'ils sont à l'origine du désastre. Maintenant, les Etats-Unis sont libres d'agir comme bon leur semble à l'égard du monde arabe, puisque tout le monde pense que ces derniers sont les coupables.
Le reste de la chanson contient des vers tels que: 'Parfois il [Bush] dit Iran, et parfois il dit Syrie', et 'il réduit son discours si quelqu'un dit Corée'.
La chanson a été écrite par le collaborateur de longue date d'Abd El-Rahim, l'auteur de chansons Islam Khalil, enseignant arabe dans une école primaire d'Al Qanater du gouvernorat d'Al-Qalyoubiya. Khalil a écrit d'autres gros succès d'Abdel Rahim, comme 'Je hais Israël' et 'Offensive contre l'Irak'.
L'album contient neuf autres chansons qui reflètent l'humeur de la rue égyptienne (…) Bien que l'album ne soit pas encore sorti, la chanson de la 'Feuille de route' est [déjà] un succès sur la scène musicale. Abd El-Rahim fait de la publicité pour sa nouvelle chanson en se produisant à des mariages et lors d'interviews télévisées.
Un fan, Mohammed Ibrahim, a confié au Cairo Times qu'il connaît la chanson par cœur et en est fier: 'Pour moi, il s'agit là de la première accusation publique courageuse contre l'Amérique, au sujet des attentats du 11 septembre; cette chanson sera bientôt au top dans lemonde arabe', a-t-il dit, précisant qu'Abd El-Rahim mérite d'être reconnu par tous comme le chanteur politique n°1 du monde arabe – ce qu'il est déjà pour la rue. Abd El-Rahim a récemment annoncé que le retard de la sortie de son album, prévue à l'origine pour ce mois-ci, était dû à sa participation à une chanson dédiée au ministre des Affaires étrangères Ahmed Maher, visant à lui exprimer sa sympathie après ce qui est arrivé à la mosquée Al-Aqsa. Il a qualifié l'agression subie par Maher d' 'irresponsable', ajoutant que 'ce type essayait d'aider les Palestiniens, et certains parmi eux l'ont humilié.'»
[1] Cairo Times (Egypte), 15-22 janvier 2004
Par Claudia (Claudia) le vendredi 23 janvier 2004 - 20h06: |
Un nouveau système de sécurité testé sur les bus israéliens
RAMAT HASHARON (AP) - Les autorités israéliennes ont dévoilé jeudi un système de sécurité destiné à empêcher d'éventuels kamikazes de pénétrer dans les bus, privant ainsi les terroristes palestiniens d'un de leurs modes d'attaques les plus sanglants.
Depuis le début de la deuxième Intifada, il y a trois ans, des kamikazes palestiniens se sont faits exploser dans des bus à treize reprises, tuant au total 139 personnes. Le dernier exemple en date remonte au 19 août dernier, où 23 passagers avaient péri à Jérusalem.
L'élément clé de ce nouveau système de sécurité, dévoilé jeudi dans les locaux de l'armée israélienne près de Tel Aviv, est un simple tourniquet activé par le chauffeur du bus lorsque celui repère un individu suspect. Une fois le tourniquet bloqué, l'accès au bus est impossible.
Ce procédé n'empêche pas un éventuel kamikaze de déclencher sa charge à l'extérieur du bus, mais les victimes seront moins nombreuses, l'explosion ne se produisant pas dans un lieu clos bondé.
Dans une version améliorée mise au point pour empêcher que des kamikazes déguisés en femmes ou en juifs orthodoxes ne pénètrent dans le bus, des capteurs électroniques capables de détecter des explosifs à une distance d'un mètre sont installés sur le véhicules et déclenchent une alarme en cas de danger.
Ce système de sécurité a été développé par le constructeur de bus israélien Haargaz, le ministère israélien des Transports et les industries de Tsahal (IMI), chargées notamment de protéger les avions de ligne.
Cinq bus de ville équipés de la version basique de ce système vont être mis en circulation le mois prochain. Si l'initiative s'avère être un succès, le procédé pourrait être installé au cours de l'année sur les lignes considérées comme les plus vulnérables, selon Arieh Mizrahi, directeur d'IMI. AP
Par Pinacolada (Pinacolada) le vendredi 23 janvier 2004 - 03h03: |
Pour la première fois en Tunisie des conférences sur le bouddhisme par le très grand prêtre du bouddhisme : le professeur Morimoto, seront organisées par la Chaire Ben Ali pour le dialogue des civilisations et des religions, en collaboration avec l'Ambassade du Japon en Tunisie. Le Dr Kosei Morimoto, grand prêtre au temple de Todai-Ji à Nara(japon), traducteur d'El Moukkadimah de Ibn Khaldoun en japonais, est actuellement en Tunisie, du 20 au 26 janvier 2004.
Voici le programme des conférences :
- Première conférence, le bouddhisme et le mysticisme en Islam, donnée à l'Université de la Zitouna, le jeudi 22 janvier à 16h00.
- Deuxième conférence, le bouddhisme aujourd'hui : sa présence et son rôle dans la société, donnée à l'ENIT, le vendredi 23 janvier à 11h.
- Troisième conférence, le bouddhisme et l’Etat Japonais au VIIIème siècle, donnée au Centre des études islamiques de Kairouan, le samedi 24 janvier à 11h.
- Deux tables rondes sont également prévues, le jeudi matin avec les membres de l’association des sciences politiques et le dimanche matin, avec le Club Hannibal à Carthage.
Par Albert (Albert) le jeudi 22 janvier 2004 - 22h38: |
Mnih
'...Si la vie n'est faite que de sérieux...! Que nous restera t'il comme blagues de ya baba..!'
Chapeau lion..