Par Bekhor (Bekhor) le samedi 31 janvier 2004 - 16h52: |
Ye Baba Emile,
Robbi izid fi amrok ou enchallah izid fi melek.
Si je comprend bien vous étes le doyen du site Harissa.
D'aprés vos écrits que je lis régulierement vous étes aussi le grand sage de ce site internet car vous ne manquez jamais de conseiller et de proner la paix et l'amitié entre les peuples.
Bravo.
Merci d'avoir l'honneur de vous lire réguliérement.
V. Cohen
Par Pinacolada (Pinacolada) le samedi 31 janvier 2004 - 07h47: |
Ya David, Brass Omek yezzi métgangin!
Depuis des années vous n'avez fait aucun progrés: toujours entrain de vous plaindre et de vous lamenter à longueur de journée.
Arrêtez de nous sortir toujours le même disque, croyez moi, ça devient lassant à la longue.
on dirait que vous vous etes donné la mission de peindre le monde en noir. "LA VALISE OU LE CERCUEIL", est-ce votre façon de voir le Monde ??
Pinacolada
Par Pinacolada (Pinacolada) le samedi 31 janvier 2004 - 05h26: |
Le Danemark apporte son soutien à l'Initiative de Genève
COPENHAGUE, 30 jan (AFP) © 2004 AFP
Le chef de la diplomatie danoise, Per Stig Moeller, a apporté vendredi son soutien à l'Initiative de Genève, plan de paix non officiel élaboré par des personnalités palestiniennes et israéliennes, à l'issue d'un entretien avec ses principaux promoteurs, en visite à Copenhague.
"Il est très important pour la région et le monde que l'on parvienne à une solution avec deux Etats. Je pense que l'accord de Genève montre qu'il est possible de réaliser cet objectif", a-t-il déclaré lors d'un point de presse commun avec ses hôtes, l'ex-ministre palestinien Yasser Abed Rabbo et l'ancien président de la Knesset Avraham Burg.
"Cette initiative de la société civile est complémentaire" de "la feuille de route", plan de paix, ébauché par la présidence danoise de l'Union européenne en 2002, et élaboré par les Etats-Unis, la Russie, les Nations unies et l'UE, a-t-il estimé.
"Nous n'avons pas mis dans +la feuille de route+ l'accord final de paix, car il appartient aux parties de le faire, et cette Initiative (de Genève) prouve que cela peut être réalisé", selon M. Moeller.
Yasser Abed Rabbo s'est déclaré "encouragé" pour sa part, par "le soutien du Danemark à l'Accord de Genève et aux efforts que nous menons pour convaincre l'opinion publique (israélienne et palestinienne) qu'il existe une alternative à la situation actuelle, une alternative à la poursuite de la violence et la construction du mur (ou "barrière de sécurité" construite par Israël en Cisjordanie) et à la situation désastreuse à l'intérieur des territoires palestiniens et d'Israël".
"Nous sommes encouragés aussi par les positions prises par tant de pays, de gouvernements et de personnalités de par le monde. C'est un message très important à notre opinion publique car celle-ci veut voir des lueurs d'espoir en dehors de la détérioration de la situation", a-t-il ajouté.
Les acteurs de l'Initiative de Genève sont "dépendants du pouvoir de l'opinion publique", et "croient qu'à travers elle on apportera les changements nécessaires conduisant à des négociations officielles entre les deux parties, et à l'application du concept de deux Etats, avec l'établissement d'un Etat palestinien sur les frontières de 1967", selon lui.
Le représentant israélien Avraham Burg a estimé de son côté que "la communauté internationale a un rôle crucial à jouer dans notre région".
"Nous exhortons le monde, dit-il, à ne pas perdre espoir pour cette région", même si "cela prend du temps pour les gouvernements, le nôtre (israélien), le palestinien et l'américain, à adopter les idées que nous défendons".
"Je n'ai aucun doute qu'en fin de compte, les gouvernements doivent agir conformément aux besoins et aspirations de la société civile", croyant "possible de mobiliser les deux sociétés pour soutenir les principes de l'Accord de Genève, qu'aucun gouvernement palestinien ou israélien ne sera capable de rejeter".
Aux termes de l'Initiative lancée le 1er décembre dernier à Genève, Israël devrait évacuer la quasi-totalité de la Cisjordanie et partager la souveraineté de Jérusalem, tandis que les Palestiniens renonceraient de facto au droit au retour en Israël de près 3,8 millions de réfugiés et leurs descendants, l'Etat hébreu étant seul souverain pour décider combien pourraient rentrer.
Par Mena (Mena) le samedi 31 janvier 2004 - 02h52: |
Le Monde : La faute aux choses (info # 013001/4) [réinformation]
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency
Les actes de violence extrême excitent les esprits, c’est une chose connue. Face à la mort en gros, lorsque les objectifs des assassins et le nombre de leurs victimes sortent du cadre des évènements explicables avec les clés habituelles de l’information, cela donne aux observateurs l’occasion de s’exprimer de façon plus ou moins décente. Gilles Paris et le Monde, ont pris depuis longtemps le pli étrange de dépersonnaliser les assassinats collectifs palestiniens et de déresponsabiliser leurs auteurs.
Cela aboutit, dans les chapeaux d’articles, à des tournures d’un goût tiré par les cheveux, du genre : "Un attentat-suicide en plein centre de Jérusalem a tué au moins dix personnes, jeudi 29 janvier, et blessé une cinquantaine d'autres". Sacrés attentats-suicide, il faudrait presque leur déclarer la guerre… Aux autobus aussi, d’ailleurs, puisque c’est un de ces animaux étranges, se mouvant sur quatre roues en caoutchouc, qui, selon Paris, "a explosé" rue Gazza.
Au Monde, les choses acquièrent une âme, vous devez le savoir, dès que, pour des raisons uniquement liées à leur ethnie, à leur nationalité et à leur religion, des terroristes arabes prennent l’initiative d’assassiner ou de mutiler des civils israéliens par dizaines.
Et si vous n’avez pas culbuté, j’entends si les choses ne sont pas assez claires dans la dépêche du quotidien parisien [lire], vous conservez le loisir de vous remettre les idées en place en regardant la photo de l’attentat. Je vous la propose dans la dimension où elle figurait hier sur le site du Monde :
C’est tout de suite plus parlant, n’est-ce pas ? Rien de tel qu’une image d’actu pour saisir ce qui s’est effectivement passé, pas ? Vous remarquerez, en haut à gauche, monsieur Attentat-suicide en train d’effectuer son carnage et vous surprendrez monsieur Otto-Bus von Egged pendant qu’il a la mauvaise idée d’exploser, non loin de la résidence officielle du Premier ministre d’Israël.
Ca pourrait presque être drôle, si ces hyperboles mondaines ne se déchaînaient sur une arrière odeur de sang innocent et sur fond de décor de synagogues françaises qui brûlent. Dans l’article de Gilles Paris d’hier, le gugusse réussit le tour de force d’exprimer que monsieur Attentat-suicide "a été condamné par l’Autorité palestinienne" avant même de s’extirper de la forme sémantique passive et de donner enfin à ses lecteurs la première indication quant à la responsabilité humaine de ce crime de guerre.
Cela aboutit à une logique de dupes typique, à laquelle on nous a malheureusement habitués dans le quotidien dans lequel Cypel est rédacteur en chef, puisque l’organisation par qui Attentat-suicide a été revendiqué, c’est les Brigades des martyrs d'Al-Aqsa. Or lesdites Brigades forment l’expression terroriste principale des Tanzim et les Tanzim sont l’une des composantes de l’OLP dont Yasser Arafat est le chef.
Toi y en a pas comprendre ? C’est assez normal, puisque des journalistes indélicats aider toi à rien piger et à rester sur tes impressions simplistes de jouif y en a méchant et Palestinien y en a pauvre victime. Moi y en a t’expliquer simple :
L’Autorité palestinienne dirigée par Yasser Arafat condamne un crime de guerre du premier degré perpétré par une organisation terroriste dirigée par Yasser Arafat. C’est pas tout de suite plus clair ?
Le titre de l’article aussi est indécent, même s’il n’a très vraisemblablement pas été choisi par monsieur Paris : Un attentat-suicide à Jérusalem relance le cycle des violences. Il faudrait que quelqu’un dise au Monde qu’avant de relancer, peut-être, demain, le cycle de la violence, cet assassinat-collectif d’Israéliens a été perpétré aujourd’hui par des Palestiniens et qu’ils ont volé aujourd’hui leur existence à dix personnes innocentes de tout crime et qu’ils ont écorché, au plus profond de leur chair et de leur âme, une cinquantaine d’autres civils tout aussi innocents.
C’est parce que, dans un titre d’article, l’ontologie des journalistes veut que l’on exprime l’élément informatif principal du papier. Que faut-il dire alors de l’ontologie des gens du Monde, qui jugent que le risque de relance du cycle des violences – dont il faudrait sans doute démontrer préalablement l’existence. Je veux dire, que le Monde n’a nullement établi que les actes de guerre au Moyen-Orient étaient le résultat d’un cycle action-représailles plutôt que de l’exécution d’un plan stratégique prédéterminé. Qui se donnera la peine de lire les déclarations des Tanzim au lendemain de cet assassinat-collectif se persuadera sans difficulté que cette organisation ne réagit pas sur une base cyclique mais qu’elle réalise un plan d’éradication artisanale de l’Etat d’Israël – est plus significatif, à la fois que les souffrances d’innocentes victimes du terrorisme et que l’identité, la description des mobiles, la caractérisation de l’acte, et la dénonciation des méthodes des assassins et de leur crime.
Il y a certes des choix qui n’ajoutent rien à la respectabilité de notre profession. Celui-ci en est un. Surtout que Gilles Paris, dans son papier d’aujourd’hui [lire], s’échine à dissocier Arafat des Brigades des martyrs. Selon ce journaliste, les "Brigades auraient rompu depuis deux ans avec la ligne officielle de l'Autorité palestinienne". "Rompu avec la ligne officielle" – Paris veut parler sans doute des improvisations solo du raïs, qui dépendent essentiellement de la composition de son auditoire, car personne de sensé ne peut distinguer de ligne officielle de l’Autorité Palestinienne à l’encontre du terrorisme – mais rupture avec l’Autorité Palestinienne en aucun cas ! De plus, Paris serait-il le dernier journaliste de l’international à ne pas lire les comptes-rendus de Sami el-Soudi ? J’ai des raisons d’en douter. Dès lors il n’ignore pas que le reclus de la Moukata abrite et protège 27 terroristes des Brigades dans son refuge. 27 personnes appartenant précisément au gang qui vient de commettre ce crime de guerre dans l’autobus de Jérusalem. Comment, dans ces conditions, le correspondant du Monde en Israël trouve-t-il l’impudence, envers les victimes et envers ses lecteurs, de propager l’idée que les assassins et Yasser Arafat ne feraient pas partie de la même organisation – l’OLP - et qu’ils ne partageraient pas les mêmes objectifs ?
Dans le chapeau de l’article d’hier, le Monde fait suivre la dépersonnalisation des causes de l’assassinat par le rejet implicite des mêmes causes sur les Israéliens. Si ! Ainsi, il faut comprendre que ce seraient les Israéliens, de par leur incursion d’avant-hier, qui auraient en quelque sorte généré le crime de guerre palestinien. Cet assassinat serait encore le résultat de l’impasse politique complète qui prévaut dans la région et qui est causé par le refus de Sharon de rencontrer Ahmed Qureï.
Ces propositions de causalité sont, bien entendu, factuellement infondées. Ca n’est pas uniquement que les faits sont rapportés par le Monde de façon inexacte et propagandiste – car les Palestiniens de l’avant-veille ne sont pas morts des suites de l’incursion de Tsahal à Gaza, ne s’étant pas agi d’une exécution capitale mais d’une situation de combat, durant laquelle des miliciens palestiniens armés ont spontanément engagé des soldats israéliens et qu’ils sont morts durant cet engagement ; de même que ça n’est pas Sharon qui refuse de rencontrer le nouvel homme de paille d’Arafat mais Qureï qui pose des pré-conditions, inacceptables pour le gouvernement israélien, à la tenue d’une telle réunion – c’est, beaucoup plus simplement, que le droit de la guerre mais aussi la culture humaniste, défendent que l’on justifie un crime de guerre ou un crime contre l’humanité par un épisode préalable d’un conflit. Faute d’appliquer strictement cette règle au conflit judéo-arabe et à inventer systématiquement des explications aux assassins, le Monde, dans le questionnement sur l’antisémitisme a vraisemblablement perdu son âme.
Et au lieu de rappeler que la Carte Routière (Road Map), qu’ils appellent Feuille de Route pour une raison qui ne nous échappe pas, "ce plan de paix international, étant restée lettre morte", les gens du Monde pourraient aussi bien, à notre avis, donner la raison de cette mortitude. Pour une fois, ils feraient de l’information. Ils pourraient dire ainsi, que la condition préalable, écrite et sine qua none de ce plan passe par le démantèlement des organisations terroristes palestiniennes par l’Autorité Palestinienne. Ils pourraient dire aussi que son chef, leur ami Yasser Arafat, refuse de désarmer ces organisations car il refuse de se priver de l’arme du terrorisme qu’il a lui-même instrumentalisée.
Sinon, tous les amphigouris, très lâches et très irresponsables, des articles du Monde à propos du Moyen Orient, pourraient se résumer à l’insulte suicidaire qu’a osée la station Radio Classique lors de son flash de 12 heures 30 hier, décrétant que le type d’acte, tel l’attentat de Jérusalem, était en fait la seule arme des désespérés. Au moins, les énergumènes de cette station ne font-ils pas, eux, en plus d’afficher leur déculture, injure à la langue français et à l’intelligence de leurs auditeurs.
Par Davideden (Davideden) le samedi 31 janvier 2004 - 02h19: |
Citron,
Donc maintenant qu'ils sont partis les Tunisiens vivent en harmonie avec "leur Juifs"?
Et si ces Juifs venaient a reclamer leurs maisons, leur biens et demander a creer un independant Juif en Tunisie? Si ces Juifs tuer des innocents dans les bus circulant dans vos rues?
Aujourd'hui sur "La Presse", la Pravda Tunisienne, on peut lire cela. Ma question est la suivante: Si Al Qods-ouest est occupee ou se trouve la ville de Jerusalem?
http://www.lapresse.tn/monde/unpolicier.html
"AL QODS OCCUPEE (Reuters) – Un kamikaze palestinien a détruit un autobus bondé près de la résidence officielle du Premier ministre israélien Ariel Sharon hier à Al Qods-Ouest, faisant dix morts et des dizaines de blessés."
Par Citron (Citron) le samedi 31 janvier 2004 - 00h25: |
me eden
oui,Par tous les Tunisiens je veux dire Juifs et Arabes, berbére,noirs, tunisiens d'origine europpéenees, tous les tunisiens.
"Si oui sont ils ensemble? "oui on est ensemble et on vibre ensemble lors de beaucoup d'événement (positifs ou négatifs), on est ensemble de coeur et de sentiments,
la joie , le bonheur, tous les sentiments ne sont pas tributaire de la distance géographique
qu,ils soient dans un café a halfaouin, ou dans une tour a NY,a belleville, ou a telaviv, je pense que tous ces tunisiens vibrent(chacun a sa facon et a un degré différent) pour notre équipe de Tunisie.
beaucoup de tunisiens en tunisie , surtout a sousse vibrent lorseque david Jemmali fait des exploits a bordeaux,
et lorseque ce dernier été contacté par l'équipe nationale tun on disait jemmali le soussien le fils du trocadéro,bon finalement il a refusé car je pense qu'il vise léquipe national FR qui certe est plus prestigieuse (sur le plan du foot)
tant que le foot rapproche tous les tunisiens, faisant sa promotion.
de meme sil fait rapprocher la tunisie et israel (je parle de la visite de mr Avraham Grant's ).....vive le foooooooot
vous dites"il n'y a plus de Juif (ou presque)." avez vous réinventé la roue en disant cela? personne ne nie ce fait, meme pas les statistiques officielles. je ne voie pas porquoi vous le répeéter sans cesse ?
cordialement, amicalement footbalistiquement, votre citron....rond
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 30 janvier 2004 - 23h22: |
Breitou je te fais savoir que j'ai visite ton theatre et j'ai surtout aime l'actrice principale Sahron c'est a cause d'elle que je t'avais donne ma recommandation pour que tu sois accepte dans le club des grands-peres.
Bien venu au club! tu viens d'etre accepte avec une majorite absolu des membres du comite dont le president vient d'atteindre ses 95 annees. Je te souhaite a toi aussi que tu atteignes ce bel age.
Par Pinacolada (Pinacolada) le vendredi 30 janvier 2004 - 20h58: |
The Jerusalem Post
Jan. 30, 2004
Grant's Tunisia visit causes tension
By OFER RONEN-ABELS
National team coach Avraham Grant's surprise visit to the African Nations Cup tournament in Tunisia earlier this week has led to a public rift with his employers, the Israel Football Association. IFA officials were surprised and angered by photos of Grant draped in the Tunisian flag and surrounded by local fans that were published exclusively by Yediot Ahronot on Wednesday.
The main reason behind the outrage is the fact that Grant called IFA spokesperson Shaul Aizenberg on Tuesday night saying that he might be on his way to Tunisia. It appears, however, that Grant was already in Tunisia when he made that phone call – especially since the photos that appeared in the Hebrew daily were taken in broad daylight and published on Wednesday morning.
Speaking Wednesday night, IFA chairman Itche Menachem confirmed he knew nothing of Grant's visit and did not try to hide his indignation when he said, "I intend to investigate this issue. Grant was not traveling on behalf of the IFA, as it was completely private. But at the same time if I learn that he planned this visit and kept that away from us – I will be extremely cross."
On Thursday it became known that Grant received an invitation from Tunisia's Sporting Ambassador, Shukri Al-Wa'ar, who is one of the African country's footballing greats, and who assisted in obtaining the entry visa.
Tunisia is not considered an enemy country by Israel although there are no diplomatic ties between the two.
However, as a public figure, Grant could be considered a security risk and he didn't inform any Israeli official of his planned trip.
Grant is set for a showdown with the IFA chairman when they meet in Dublin next week as part of the talks to determine the fixture list for Israel's World Cup 2006 qualifying campaign.
Par Nao (Nao) le vendredi 30 janvier 2004 - 19h14: |
Un article de Haaretz (!) tres critique sur le recent echange de prisonniers.
License to kidnap
By Yoel Marcus
Here, people are being blown up; and in Beirut, they're celebrating. This "successful deal" in which three bodies and one Israeli citizen have been exchanged for hundreds of Palestinian prisoners is not only no excuse for a party; it's a national scandal.
Our eyes see Nasrallah mocking us at a live press conference, tormenting the parents of the dead soldiers, and the hidden red-head in every one of us wishes that a bolt of lightning would come down from the heavens then and there, and smash him right between the eyes.
Our ears hear the unbelievable - that Mustafa Dirani, who held, tortured and finally sold Ron Arad, is not only being set free unconditionally, but is suing Israel for NIS 6 million in compensation for being tortured under interrogation. The only thing left in this farce is to ask him how he wants the money - in travelers' checks, euros or dollars?
While we watch our every word lest the transaction go awry at the last minute, Nasrallah calls Israel the enemy and pledges to go on kidnapping. Israel has even given him a bonus, in the form of a mine map for South Lebanon. That will make it easier to approach the border to pick up a few more hostages; and while he's at it, he can move his missiles into place for the day he decides to surprise us with a barrage that reaches as far as Hadera. Nasrallah should send the government of Israel a bouquet of flowers.
From deal to deal, from swap to swap, Nasrallah has ballooned into a dangerous military threat to Israel. It's hard not to agree with General Lahad, who bitterly told an Army Radio interviewer: "Nasrallah knows how to handle Israel. I was Israel's friend and got a knife in the back."
If he meant that Israel is susceptible to pressure, he wasn't far from the truth. Israel's Achilles' heel is exposed for all to see, especially when it comes to negotiating with terrorist organizations, and even more so when parents are around to put on the squeeze. After the Jibril swap, in which Israel released 1,150 terrorists, among them mass murderers, Yitzhak Rabin confessed that he couldn't withstand the parents' pressure. According to a report in one of the newspapers, Sharon wept as he told the parents of one of the three soldiers abducted at Har Dov that the Israel Defense Forces knew right after the kidnapping that they were no longer alive.
Israel's policy until 1983 was not to bargain with terrorists, not to allow itself to be blackmailed, and not to pay ransom to free hostages. The Sabena, El-Al and Air France hijackings ended without casualties and without Israel paying any kind of ransom. The case of the TWA plane that was hijacked and diverted to Damascus ended with two Syrian pilots being exchanged for two Israelis being held in Syria.
The principle of prisoners for prisoners and bodies for bodies went out the window when Yitzhak Shamir came to power. In 1983, he freed 4,550 Lebanese terrorists being held at Ansar in exchange for six soldiers. What began as an outgrowth of the IDF myth that casualties are never left on the battlefield became a macabre Turkish bazaar with bereaved parents and the media metamorphosing into steamrollers, flattening the government of Israel into submission.
One can only stand in awe of Batya Arad, Ron Arad's late mother, for putting a clause in her will that no live terrorists be exchanged for her son's body. One brave and virtuous woman amid the whining and self-pity that accompanies Israel's attempts to bring home its dead.
Hezbollah, it is worth bearing in mind, is a by-product of the Lebanon War. By ripping the ethnic fabric in Lebanon, Israel woke up the Shi'ites and strengthened the Shi'ite Amal movement from which Hezbollah was born. The turning point was the "understanding" reached in the wake of Operation Grapes of Wrath that created a lethal asymmetry: Israel would not fire at their villages if they didn't shell our settlements in the north. It was this agreement that turned our soldiers in South Lebanon into sitting ducks.
Hezbollah took credit for our withdrawal from Lebanon. Now, in cahoots with the manufacturer of suicide-bombers, Islamic Jihad, it has become the protector of the Palestinians and the liberator of its prisoners - and hence, our biggest strategic threat on the northern border.
In entering into the current transaction, Israel has not only turned Nasrallah into a glorious victor. It has granted him a license to kidnap - and the motivation to kill those who fall into his clutches. Israel will pay generously, no matter what.
This will not go down in history as Israel's finest hour.
Par Mounia (Mounia) le vendredi 30 janvier 2004 - 17h57: |
Coupons pétroliers de Saddam : la liste des 270 bénéficiaires
Le rapport suivant de MEMRI-Bagdad comprend la traduction de l’article paru dans le quotidien irakien Al-Mada, (1), lequel a obtenu des listes de 270 sociétés, organisations et individus ayant reçu des coupons de brut par le régime de Saddam Hussein. Les bénéficiaires résident dans 50 pays : 16 pays arabes, 17 pays européens, 9 pays asiatiques, des pays de l’Afrique sub-saharienne et d’Amérique latine. Seule une partie de ces 270 bénéficiaires a été identifiée et incluse à la liste suivante.
Contexte
Nous tenons à souligner les points suivants :
MEMRI n’est pas responsable des informations divulguées concernant les personnes mentionnées et les quantités de pétrole attribuées.
Tous les noms mentionnés sont retranscrits de l’arabe ; certains ont été retranscrits phonétiquement, et sont peut-être mal orthographiés.
Les démentis de certaines des personnes mentionnées figurent dans les notes de bas de page (dans la version intégrale en anglais sur http://www.memri.org/bin/latestnews.cgi?ID=IA16004)
L’accord de coupons pétroliers par le régime de Saddam a essentiellement servi deux buts:
A. Accorder des dessous de table à des individus et organisations en échange de leur soutien au régime.
B. Ces coupons pétroliers ont probablement permis de payer des biens et des services faisant l’objet de sanctions du Conseil de Sécurité de l’ONU, biens qui n’auraient pu être financés par le programme « Pétrole contre denrées alimentaires ». Ces biens incluaient sans doute armes, voitures de luxe distribuées en cadeaux par Saddam en Irak et en dehors d’Irak, objets de luxe destinés aux responsables de haut rang du parti Baath et du gouvernement.
Les bénéficiaires ont vendu les coupons à des négociants de pétrole, lesquels ont ensuite récupéré le pétrole, en échange des coupons, du terminal pétrolier de Kirkuk-Banias (Syrie), pipeline qui fonctionnait en dépit des sanctions du Conseil de Sécurité. Le pipeline transportait 200 000 barils de pétrole irakien par jour, ce dont la Syrie a largement profité.
L’article d’Al-Mada
Voici quelques extraits de l’article :
« (…) Certains noms n’ont rien à voir avec les sociétés pétrolières, la distribution, le stockage ou le commerce de pétrole. Ces institutions ne sont pas censées porter un quelconque intérêt au pétrole ou aux sociétés pétrolières, comme par exemple l’Eglise orthodoxe russe ou le Parti communiste russe.
Pour ce qui est des individus, la situation est plus surprenante encore : on peut comprendre que la journaliste Hamida Naanaa, qui a défendu le précédent régime, essaie de promouvoir ses efforts journalistique indépendants au moyen d’un contrat pétrolier, mais il est curieux de trouver le nom de Khaled, fils de feu Gamal Abd El-Nasser sur ces listes, ou celui de Toudjan Al-Faisal, ancien membre du Parlement jordanien, ou encore celui de l’actuelle présidente d’Indonésie, du fils du ministre syrien de la Défense, et du fils du président libanais. »
Exploitation par Saddam des sanctions des Nations unies
« Depuis l’adoption par le régime déchu du ‘mémorandum d’arrangement’, aussi connu sous le nom ‘Pétrole contre denrées alimentaires’, ce dernier est devenu un méprisable moyen politique et commercial de financer des acquisitions clandestines d’armes, d’onéreux matériaux destinés à l’édification des palais et des mosquées, et divers autres accessoires de luxe. Ce régime a fait des contrats de ventes de pétrole la plus grande opération de corruption de l’histoire, s’appropriant les âmes et les plumes et dilapidant les ressources nationales.
Depuis, les bruits n’ont cessé de courir sur les coupons attribués par Saddam à certains dignitaires arabes ou étrangers, coupons leur accordant des quantités de brut en échange de leur soutien au régime en temps d’isolement international ; cette politique avait aussi pour but de financer la compagne pour lever les sanctions économiques et réhabiliter l’image de l’Irak.
Le régime a toutefois terni l’éthique de cette campagne internationale visant à lever ces injustes sanctions, campagne qui en fait ne portait pas atteinte au régime lui-même mais bien à la population nécessiteuse et à la classe moyenne. A chaque fois que cette campagne internationale se rapprochait de ses buts, le régime – par son attitude et son insolence – la repoussait de nouveau dans un tunnel obscur, faisant parallèlement du pays une table richement dressée pour tous, en attente d’un courant de gros mangeurs et de serviteurs obéissants.
L’une des caractéristiques du régime fasciste de notre pays était son manque de décence et sa façon de toujours se servir d’autrui pour nourrir son sentiment de supériorité. C’est ainsi qu’il a corrompu jusqu’à ceux dont les intentions et les objectifs étaient nobles, ceux qui défendaient le peuple irakien et essayaient de lever l’embargo. Le régime ne connaissait que la politique du ‘porte-monnaie’, et s’est ainsi entouré de gens malléables prêts à venir mendigoter, alimentant son sentiment de supériorité.
(…) Certains responsables baasistes n’hésitaient pas – en raison de leurs valeurs rurales – à se vanter et à agir en supérieurs ; on entendait parler du nombre toujours croissant de visiteurs en Irak ces dernières années, et l’on comprenait que ces visiteurs, qui venaient nous défendre, venaient aussi toucher leur dû. Nous pouvons confirmer cette information parce que les bassistes eux-mêmes, dans un moment de ‘vantardise rurale’, ont propagé la rumeur de visiteurs arabes et étrangers. Ils ont mentionné certains des noms de la liste ci-dessous, dont celui de George Galloway, membre du parti travailliste [britannique].
Le cas de M. Galloway est véritablement accablant. Cet homme, qui défendait les bonnes causes arabes, est devenu un perdant en se rapprochant du régime irakien. Galloway, qui a été exclu du parti pour cette raison et qui s’est défendu avec force, allant jusqu’à attaquer la politique de Tony Blair et de Bush, ne pourra pas – à mon sens – démentir le contenu des documents irakiens qui l’accusent sur preuves.
En plus des listes mentionnées plus haut, Al-Mada a obtenu les six requêtes du directeur exécutif et du directeur exécutif associé de la société de commerce pétrolier, adressées au ministre du Pétrole pour qu’il ‘approuve les accords sur le brut’. Toutes mentionnaient le nom de M. Galloway, pas en tant que partie de l’accord, mais en temps que bénéficiaire, vu que M. Galloway se cache derrière une société qui ne porte ni son nom ni sa nationalité.
La manière dont ces accords ont été conclus met en lumière la politique des coupons et des faveurs du président de la République [Saddam]. Les listes incluent des noms d’individus comme ‘Samir’, dont personne ne sait s’il s’agit d’un individu ou d’une société. »
La liste
Voici une liste partiale des individus et organisations que MEMRI a pu identifier, pour la France uniquement. La liste intégrale peut être consultée sur : http://www.memri.org/bin/latestnews.cgi?ID=IA16004
France : L’Association pour l’amitié franco-arabe a reçu 15,1 millions de barils. L’ancien ministre français de l’Intérieur Charles Pasqua a reçu 12 millions de barils. (4) L’homme d’affaires Patrick Maugein, lié à la compagnie Trafigura (très active dans le pétrole) et connu pour être un ami proche de Jacques Chirac, a touché 25 millions de barils. Michel Grimard, co-fondateur du club franco-irakien pour l’exportation en octobre 1991 (1ère mission politico-commerciale pour l’exportation malgré l’embargo), et de l’AFICE (Association franco-irakienne de coopération économique) en 1994, a reçu 17.1 millions de barils. Bernard Mérimée (il semble s’agir de Jean-Bernard Mérimée, ancien ambassadeur de France en Italie et représentant de la France aux Nations-unies) a reçu trois millions de barils. ADDAX, société de négoce pétrolier siégeant à Genève et active en Côte d’Ivoire, a reçu 3/8 millions de barils.
Par Nao (Nao) le vendredi 30 janvier 2004 - 17h17: |
Nos freres et soeurs qui sont partis..
Victims of Jerusalem bus bombing
The names of nine of those killed in the blast have been released:
Avraham (Albert) Balhasan, 28, Jerusalem
Avraham Balhasan immigrated to Israel from France three years ago and was studying at a yeshiva in Jerusalem.
After moving here, he met his wife, Esther, who had immigrated three years earlier. The couple lived in a rented apartment in the capital's Givat Mordechai neighborhood. They had no children. Four months ago, Balhasan's mother, Sylvia, also immigrated from France. On Thursday, their apartment was filled with friends and neighbors - many of them also recent immigrants from France - who had come to comfort the bereaved wife and mother.
The Jewish Agency will be flying other relatives still living in France to Israel for the funeral.
Yechezkel Goldberg, 41, Betar Ilit
Yechezkel Goldberg, who immigrated to Israel from Canada eight years ago, was taking the number 19 bus to his job as a social worker in downtown Jerusalem on Thursday. He worked primarily with troubled youth, both in Jerusalem and in his hometown of Betar Ilit.
Goldberg also wrote for many years for the Jewish Press, an English-language Orthodox weekly, primarily on educational matters and on the experiences of a religious, English-speaking immigrant in Israel. When news of the attack was broadcast Thursday morning, Goldberg's wife, who knew that he was supposed to be on the bus, began scanning the lists of the wounded. When his name failed to turn up, she went to the Institute of Forensic Medicine in Abu Kabir, where she identified his body. Goldberg was laid to rest last night in Jerusalem's Har Hamenuhot cemetery. He is survived by his wife and seven children, aged one to 16.
Chana Anya Bunder, 38, Jerusalem
Chana Anya Bunder was to celebrate her 38th birthday, which took place two days ago, with family and friends on Friday. Instead, Bunder's funeral will take place at Jerusalem's Givat Shaul cemetery.
Bunder took the bus every day from her home in Rehavia to the Public Works Department, where she worked for the past six and a half years. Her best friend, Nana Perpelochikov, arrived at the office as usual at 9 A.M. When she heard about the explosion, she called Bunder but could not get through. Knowing Bunder's usual punctuality, she began searching for her at the hospitals. "She loved life and people, and was proud to be a Jew," said Perpelochikov.
Bunder came to Israel 12 years ago from Moscow. She is survived by her two children, Shimon, 15, and Nehama, 14, and by her parents and a sister.
Natalia Gamril, 53, Jerusalem
Natalia Gamril was on her way to her job taking care of an elderly woman when the bomb ended her life. She came to Israel from St. Petersburg in 1993, with her only daughter Svetlana, who now works as a teacher. The mother and daughter lived together in Kiryat Yovel. Her only other relative is her twin sister, who was due to arrive late Thursday night on a flight from Russia for the funeral, which has not yet been scheduled.
Eli Tsfira, 48; Jerusalem
Baruch Hondiashvilli, 38, Jerusalem
Dana Itach, 24, Jerusalem
Octovian Floresco Viorel, 42, Jerusalem
Rose Bona, 39, Jerusalem
Anat Darom, 23, Jerusalem
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 30 janvier 2004 - 12h44: |
1210 jours d attente pour ca !!! 1210 nuits sans nouvelles parce qu une bande de degeneres a decide de nous faire subir une guerre psychologique a outrance !!! ce matin le pays entier a enterre , nos trois soldats , Benny , Ady , et Omar . Les familles juives et bedouines liees dans ce malheur , mais aussi cette sereinite d avoir ramene les fils a la maison .
Notre peine nous rendra plus forts et plus unis , leur joie les affaiblira et ils s eteindront dans les affres de leur terrorisme destructeur
Que nos fils reposent en Paix en terre d Israel et que D les accueille en son sein Amin !!!
Voici une image :
Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 30 janvier 2004 - 06h06: |
tunes celebres :
MYRA ALFASSA alias "the mother"
mere de l'ashram aurobindo de pondichery
compagne spirituelle de sri aurobindo ghosh,philosophe et maitre spirituel indien
fondatrice de la communaute spirituelle internationale d' auroville,pres de pondicherry,sud de l'inde.
Par Davideden (Davideden) le vendredi 30 janvier 2004 - 05h32: |
Citron,
Quand vous dites "on dirai que cela vous géne que les tunisiens , tous les tunisiens soient heureux ensemble". Par tous les Tunisiens voulez vous dire Juifs et Arabes?
Si oui sont ils ensemble? ou? pas en Tunisie il n'y a plus de Juif (ou presque).