Par Lina (Lina) le mardi 27 juin 2006 - 18h53: |
mr Lapid fait dans l'humour!!!
je viens de lire tes commentaires sportifs juste une question " Lina s'empetre de plus en plus dans son Haik ! " ça veut dire quoi haik
merci de me répondre
serieusement tu m'as fait rire , ce qui est rare sur harissa
Par Lza (Lza) le mardi 27 juin 2006 - 18h19: |
Les autorités israéliennes ont déposé une plainte officielle à l'ONU, dénonçant l'enlèvement du soldat. La communauté internationale se mobilise.
Le ministre de la Défense Amir PERETZ s'est entretenu par téléphone avec le chef des Renseignements égyptiens Omar SOLEIMAN lui demandant son aide pour obtenir des informations sur Guilad SHALIT, d'ailleurs de nationalité française par son père. L'ambassadeur de France en Israël, Gérard ARAUD, a rendu visite à la famille. «Les autorités françaises se mobilisent pour obtenir la libération de votre fils. La France est en contact avec toutes les sources possibles et appropriées» a-t-il déclaré.
Parallèlement, de nombreux appels se font entendre à travers le monde, demandant aux Palestiniens de mettre un terme au rapt et de rendre le soldat à sa famille. L'ambassadeur britannique à Tel Aviv, Simon McDONALD, qualifie cette affaire de «test» pour Abou MAZEN : «J'espère qu'il prendra ses responsabilités pour régler la crise car il sait que c'est son autorité qui est en jeu». Le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter STEINMEIER a téléphoné au président palestinien lui demandant «d'entreprendre tout ce qui est humainement possible» pour permettre la libération du soldat. La secrétaire d'Etat américaine Condoleezza RICE a, quant à elle, demandé à Israël de ne pas lancer d'offensive militaire contre la bande de Gaza.
Par Felix (Felix) le mardi 27 juin 2006 - 18h18: |
le tire du journal "le monde " en premiere page :Israel pret à une operation militaire pour recuperer un soldat enlevé a Gaza"en dit long sur la deontologie de ce journal
d'abord il ne s'agit pas d'un soldat mais du soldat(le journal suggere par le choix de l'article une disproportion)
ensuite il n'a pas ete enlevé à Gaza mais en Israel sur un poste frontiere.
La desinformation continue....
Par Lza (Lza) le mardi 27 juin 2006 - 17h53: |
Guilad SHALIT, toujours détenu par les terroristes.
Les négociations entre Israël et l'AP au sujet du soldat capturé n'ont pas abouti jusqu'à présent. OLMERT menace.
Les trois organisations terroristes palestiniennes à l'origine de l'enlèvement du caporal Guilad SHALIT, âgé de 19 ans, ont exigé la libération des «femmes et des mineurs» détenus dans les prisons israéliennes, comme monnaie d'échange contre des informations sur le soldat. Cependant, la libération de prisonniers palestiniens n'est absolument pas à l'ordre du jour coté israélien. « Il n'y aura ni négociation ni marchandage. La libération de Guilad est une obligation de base, conforme aux règles de droit élémentaire de la communauté internationale», a déclaré OLMERT.
Tsahal a imposé un blocus total autour de Gaza, craignant que les ravisseurs ne tentent de s'enfuir avec le détenu. OLMERT menace également de couper l'eau, l'électricité et les vivres aux Palestiniens si le soldat n'est pas relâché sous 48 heures. Dans une déclaration adressée à Khaled MECHAAL, chef du Hamas à Damas, le premier ministre prévient: « Nous exercerons des représailles et toucherons chaque organisation et chaque terroriste où qu'ils soient. Nous avons le pouvoir de les atteindre, même lorsqu'ils se croient en sécurité.»
Par Albert (Albert) le mardi 27 juin 2006 - 14h10: |
Emy,
Votre appel pathétique a étè entendu.
Je vous conseille cette adresse.
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Vous pouvez vous y inscrire.
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Par Bekhor (Bekhor) le mardi 27 juin 2006 - 14h15: |
EMY
Le meilleur professeur de danse du ventre dite "BELLY DANCE", c'est notre BREITOU NATIONAL.
Il t'apprendra par le site Harissa et a distance, meme a danser avec un grand plateau de couscous sur la tete et avec une marmite de AKOUD sur les epaules.
Je salue au passage mes amis pour faire un coucou du Burkina Faso en Afrique ou je suis pour encore un bout de temps.
Par Email (Email) le mardi 27 juin 2006 - 07h44: |
Bonjour
Je vous écris de l’Italie (Florence) et je vous demande un grand plaisir.
Je vécu a Beirut et j’ai appris la danse du ventre
Maintenant je voudrais suivre un cours privé pour ne pas l’oublier.
Connaissez –vous un maître de cette danse à Tunis ?
Merci d’avantage
Emy
Par Breitou (Breitou) le lundi 26 juin 2006 - 22h09: |
Madame AXELLE,
Connaissez vous les paroles de cette chandon de Pierre Delanoe, je crois
'...Le jour où la pluie viendra..!!
La voici remanier par la magie de Breitou.
Par Albert (Albert) le lundi 26 juin 2006 - 21h38: |
'...Le BUT ne s'improvise pas, il se CONSTRUIT..!'
Albert filo.
Par Mena (Mena) le lundi 26 juin 2006 - 21h54: |
Un tremblement de terre et ses répliques (info # 012606/6) [analyse]
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Avec le concours prépondérant, sur place à Gaza et avec les forces israéliennes, de Sami El Soudi et Ilan Tsadik
Mortelle surprise
Les huit hommes des Comités de la Résistance Populaire et du Hamas qui ont attaqué trois cibles de l’armée israélienne à proximité du kibboutz de Kerem Shalom, dimanche à l’aube, ont imposé une surprise totale à leurs adversaires. L’enquête interne en cours au sein de Tsahal définira l’état d’alerte exact dans lequel se trouvaient ses soldats au moment de l’attaque. Il se pourrait bien, en effet, que l’équipage du tank Merkava, dans lequel deux hommes ont trouvé la mort, un troisième a été sérieusement blessé et un quatrième enlevé par les assaillants, était assoupi. Impossible d’expliquer autrement qu’ils aient laissé les commandos palestiniens s’approcher aussi près de leur blindé pour lui administrer un dommage de cette importance. Il importe, pour comprendre cette analyse, de savoir que le seul talon d’Achille dans la cuirasse de ce monstre de 81 tonnes (en pleine charge) se trouve être la jointure existant entre la tourelle et la plateforme du char. Pour générer des dégâts de cette importance, il faut impérativement tirer un missile ou une grenade antichar dans cette portion du véhicule. Une aire ne dépassant pas cinq centimètres. Une précision qui ne peut être atteinte avec un RPG [1] que lorsque l’on se trouve à bout portant du tank, à environ quinze mètres, et qu’on dispose du temps nécessaire afin d’effectuer la visée. De plus, les miliciens se trouvaient face à l’engin, car la partie sensible du joint tourelle-plateforme se trouve protégée en sa partie arrière par une succession de chaînes munies d’un poids à leur extrémité. Les projectiles, lorsqu’ils atteignent ces lourds chaînons d’acier, explosent avant d’avoir touché le blindage.
Cette constatation est sans appel, toute les autres parties de ce char, que nous connaissons sur le bout du doigt, sont absolument imperméables à l’effet des missiles. Ceci démontre, une fois encore, l’importance de l’effet de surprise et la quasi impossibilité qui prévaut à se défendre lorsqu’on est pris au dépourvu, ce, quel que soit le degré de protection et l’armement dont on dispose.
L’un des soldats stationnés dans le périmètre de la zone où s’est déroulée l’attaque, a d’ailleurs expliqué à Ilan Tsadik sa stupéfaction en une seule phrase : "nous ne nous attendions absolument pas à une attaque de ce genre de leur part !". Une phrase qui veut tout dire. Les militaires israéliens, qui scrutaient attentivement les activités diurnes de l’autre côté de la frontière, étaient à mille lieues de se douter que les miliciens d’en face avaient creusé, à leur nez et à leur barbe, une galerie de près d’un kilomètre de long, enfouie si profondément dans le sol que les sismographes n’avaient rien détecté, et qui resurgissait en territoire israélien, derrière la première ligne de combattants. Ainsi, pendant que ces derniers pointaient leurs armes en direction du territoire de Gaza, leurs agresseurs se sont approchés d’eux dans leur dos.
"Une manœuvre à l’israélienne" a concédé l’un des officiers en chef de ce front, ajoutant que "lorsqu’on garde une position et que l’on ne croit pas à la possibilité de se faire attaquer, mieux vaut ne pas la garder". Ilan ajoute qu’il ne s’agissait pas non plus d’une mission suicide, puisque, leur coup accompli, le commando a repassé la frontière, le plus simplement du monde, en faisant sauter la fine barrière de barbelés avec une petite charge d’explosifs. De plus, ils ont eu tout le loisir d’emmener avec eux un prisonnier, ce qui place toute la région à quelques millimètres de la ré-invasion de Gaza par Tsahal. Ils avaient même prévu que nous leur donnerions la chasse, puisqu’ils avaient préalablement piégé l’itinéraire de leur fuite et deux de nos hommes ont ainsi été blessés lors de la poursuite.
Encore faut-il ne pas accuser les services de renseignements de l’armée de n’avoir pas averti le commandement. Le risque de cette attaque imminente, avec tous ses composants, avait été décrit en détails aux responsables du front. De fait, comme le précise Sami El Soudi depuis Rafah, à quelques centaines de mètres de l’endroit où se trouve Tsadik, c’était le stratège et chef des Comités de la Résistance Populaire, Jamal Abou Samhadana, qui avait préparé cette opération complexe. Sur la base de l’imminence de sa réalisation, un commando israélien avait éliminé Samhadana voici quelques semaines, imaginant sans doute que, privés de leur chef, les miliciens seraient dans l’incapacité de mener à bien cette opération. Leurs conclusions étaient hâtives et le 1er lieutenant Khanan Barak [2] ainsi que le sergent Pavel Slutsker ont payé cette mauvaise lecture des informations de leur vie. Quant au caporal Gilad Shalit, il fait en ce moment la très inconfortable expérience de la captivité entre les mains de l’aile armée de l’organisation de la résistance islamique.
Un point de sémantique encore : Ehoud Olmert a tort lorsqu’il parle d’une attaque terroriste. Les membres du commando avaient le champ libre pour s’infiltrer dans les maisons du kibboutz et faire un carnage parmi les civils, mais ils ont choisi de surprendre les militaires. Il ne s’agit pas non plus d’un crime de guerre ni d’un crime contre l’humanité, il ne faut décidément pas tout mélanger. Les mots ont un sens qui permet aux gens, lorsque utilisés à bon escient, de saisir une situation ; et leur emploi correct n’est pas affaire de sympathie ou de révulsion. Des individus armés n’appartenant pas à une armée régulière s’attaquant à d’autres hommes armés sont des miliciens. Quant à l’AFP, qui persiste à les appeler des "activistes", elle sombre cette fois-ci corps et âme dans le ridicule sémiologique dont on ne sort que difficilement… [3]
Riposte complexe
Israël a fait savoir aux membres du gouvernement Hamas qu’elle les tenait un à un personnellement responsables du sort du caporal Shalit. Tsahal a fermé tous les points de passage entre Israël et Gaza, et les observateurs internationaux délégués au poste frontière de Rafah, entre Gaza et l’Egypte, ont refusé de gagner leur poste de travail. Rafah est donc également fermé, ce qui isole hermétiquement la bande de Gaza.
Le président palestinien Mahamoud Abbas, qui ne se sentait pas directement concerné par ces mesures de cloisonnement, s’est également vu signifier une interdiction de quitter Gaza. Ehoud Olmert lui a fait savoir qu’Israël le considérait également responsable de "ce grave incident avec tout ce que cela implique". Quand à la ministre des Affaires Etrangères, Tsipi Livni, elle a informé Abbas qu’elle attendait de sa part qu’il reste à Gaza afin d’aider à solutionner la crise.
Au demeurant, les composants de la situation semblent assez simples : Israël agit sur trois axes afin de récupérer son soldat kidnappé : a) diplomatique, en demandant à toutes les tierces parties de bonne composition de faire pression sur les Palestiniens. La France est intervenue à ce titre, Gilad Shalit disposant de la double nationalité franco-israélienne ; b) le renseignement : tous ses agents à Gaza – et ils sont fort nombreux – s’activent à trouver l’endroit où est détenu le caporal et c) en massant des forces considérables le long de la frontière, qui se préparent avec détermination à réinvestir la bande lors d’une campagne déroulante.
Et le message est reçu 5 sur 5 par le gouvernement du Hamas, qui en est presque à implorer les Israéliens – sur la radio de l’armée Gaaleï Tsahal et en hébreu ! – à renoncer à l’escalade et à lui donner le temps de résoudre l’affaire sans plus d’effusions de sang. Très clairement, Ismaïl Hanya, sait qu’il joue sa tête et celle de ses collègues. Il fait ainsi appeler les ravisseurs, par ses porte-parole officiels, à bien traiter Gilad Shalit et à ne lui faire aucun mal.
Le gouvernement du Hamas déclare par ailleurs ne pas savoir où est détenu le soldat israélien, et Sami El Soudi, sur place à Gaza depuis dimanche midi pour la Ména, nous invite vivement à le croire. Serait-ce une contradiction ? D’une part, le Hamas co-revendique l’opération de dimanche, et de l’autre, il prétend ne pas savoir où il détient le prisonnier ?
Au-delà de l’aspect déroutant et douteux de cette ambiguïté, il faut y voir une lutte de pouvoir, ainsi que les traces d’une confrontation idéologique majeure au sein même de l’organisation islamique. Un danger de schisme et même de confrontation interne. Hanya n’a pas voulu ni décidé de la participation du Hamas à l’opération contre Kerem Shalom, il s’est fait déborder par des membres de ses factions armées répondant aux ordres de l’autre direction du mouvement, celle oeuvrant sous l’aile des Al-Assad depuis Damas. Le plus grand problème de Hanya, actuellement, c’est précisément son concurrent réfugié en Syrie, Khaled Mashal et son élément principal à Gaza, en la personne d’Ahmad Jabari, le no.1 de la branche armée du Hamas. Or, tant Mashal que Jabari avaient eu vent de ce qu’Abbas et Hanya étaient sur le point de signer un document décisif, basé sur la charte des prisonniers, et qui reconnaissait le droit d’Israël à l’existence, sur les bases de la proposition saoudienne d’une paix définitive, signée avec toute la nation arabe, en échange du retour d’Israël aux frontières de 1967.
D’ailleurs, il n’est pas nécessaire, pour s’assurer de la véridicité de ce point, de faire cette fois appel aux analyses au diamant de notre camarade El Soudi. Le président de l’Autorité Palestinienne l’a annoncé en clair, accusant Mashal de saboter, en déclanchant l’opération de dimanche, la signature de l’accord que les factions palestiniennes étaient à la veille de signer. Abou Mazen parle également d’une "violation des engagements pris lors des discussions en vue de former une plateforme politico-stratégique entre le Hamas et le Fatah en vue de former un gouvernement d’union nationale".
Dures décisions…
On ne déclenche pas une guerre globale pour sauver un soldat. Même en Israël, où la nation entière s’identifie aux souffrances des familles des disparus et à celle de Gilad Shalit et de ses proches.
Le Hamas, version Hanya, a "exigé", par la voix du vice-1er ministre Nasser Shakher, de sa faction armée, "la libération immédiate" sans conditions et sans troc de Shalit. Mahmoud Abbas, voulant à tout prix éviter l’invasion israélienne et préserver son rêve d’unification des courants palestiniens, va, ce lundi soir, envoyer les forces gouvernementales à la recherche de la planque des ravisseurs, en prenant le risque de provoquer la confrontation armée tant discutée entre le Fatah et les hommes de Jabari.
En Israël, c’est aussi une affaire de temps. On transmet des ultimatums discrets aux Palestiniens pour la libération du caporal franco-israélien. Officiellement, il ne se déroule pas de négociations, mais Ilan et Sami, que j’ai envoyés des deux côtés de la frontière, savent parfaitement que c’est faux : dans le cas où Gilad serait restitué, rapidement et en bonne santé, Israël n’attaquera pas la bande de Gaza.
Dans le cas contraire, Ehoud Olmert serait contraint d’effectuer une démonstration de force et de démanteler les cellules terroristes. Encore devrait-il choisir entre un feu d’artifice évidé de tout objectif stratégique majeur et l’élimination des membres du gouvernement du Hamas, ensemble avec les noyaux terroristes et miliciens qui portent le même nom qu’eux.
La décision ne serait pas aisée. En éliminant Hanya, d’une manière ou d’une autre, Olmert ferait le jeu de Damas et de Téhéran… Certes, mais il se débarrasserait également d’un futur interlocuteur intransigeant et d’un front palestinien politiquement unifié, autour de thèmes fort éloignés des provisions de la Carte Routière. En gardant Hanya en vie et en place, avec l’option de le libérer, de même qu’Abbas et les habitants de Sdérot, de la plupart des irréguliers fanatiques armés de Gaza, Olmert prendrait le risque d’avoir à négotier la paix avec les représentants de toutes les composantes de la société palestinienne. L’unique manière d’atteindre une paix durable, cela aussi, il le saisit bien.
Ceci dit, nous sommes persuadés, à la Ména, que le désir premier du président du conseil israélien, de même que celui d’un nombre fort conséquent de personnalités oeuvrant dans le même sens, consiste à récupérer Gilad Shalit en bonne santé. Ensuite, la marge de manœuvre du remplaçant de Sharon serait considérablement plus large. De même, sa capacité à laisser se former des dynamiques intéressantes…
Notes :
[1] RPG, Ruchnoy Protivotankovy Granatomyot, grenade antichar de conception soviétique largement répandue dans le monde.
[2] Le 1er lieutenant Khanan Barak était fiancé à Orit Gino, une voisine de Métula et membre d’une famille très proche des animateurs de la Ména israélienne.
[3] La Ména conseille la lecture des comptes-rendus de Didier François dans Libération. François est un reporter rigoureux et expérimenté, qui s’emploie, le plus souvent, à respecter notre langue et qui a le mérite de demeurer à Gaza. Notez que les titres qui précèdent ses articles, souvent trompeurs quant à leur contenu, ne sont pas de son fait, comme c’est le cas dans la plupart des media.