Par Emma (Emma) le mercredi 18 février 2004 - 18h43: |
Un bourg tchèque s'enorgueillit d'avoir eu pour habitant le grand-père Juif de John Kerry
On lui connaissait des origines françaises, mais John Kerry, le probable candidat démocrate à l'élection présidentielle américaine de novembre, a aussi eu un grand-père austro-tchèque juif.
Dans le bourg tchèque de Horni Benesov (nord-est), où vivent 2.400 âmes, cette révélation a suscité un intérêt sans précédent pour l'actualité politique aux Etats-Unis. Il faut dire que l'aïeul de M. Kerry fut un enfant du cru.
Josef Klech, le maire de cette localité de montagne, est aujourd'hui prêt à faire de John Kerry un citoyen d'honneur de sa commune s'il décroche l'investiture démocrate. "Nous croisons les doigts pour lui", dit-il.
"Nous allons certainement l'inviter", poursuit le maire. "Mais bien sûr, c'est à lui de décider s'il veut connaître le lieu où ont vécu ses ancêtres."
Ce pan méconnu des origines de John Kerry s'est fait jour l'an dernier, à la grande surprise du candidat démocrate lui-même. Un généalogiste travaillant pour le "Boston Globe" a découvert que le grand-père paternel du sénateur du Massachusetts, Frederick A. Kerry, était né en 1873 à Horni Benesov sous l'identité de Fritz Kohn.
Les archives tchèques font apparaître que ce dernier changea de nom en 1902, devenant Frederick Kerry, avant d'émigrer pour les Etats-Unis trois ans plus tard et de se convertir au catholicisme.
Frederick Kerry a d'abord vécu à Chicago avant de s'installer à Boston, où sa femme Ida donna naissance à Richard, le père de John Kerry, en 1915. Criblé de dettes, il se suicida d'une balle dans la tête à l'hôtel Copley Plaza de Boston en 1921.
A l'époque où la famille Kohn y vivait, Horni Benesov était encore Bennisch, ville minière de l'empire austro-hongrois. L'exode des Allemands des Sudètes, expulsés après la Seconde Guerre mondiale de ce qui était alors la Tchécoslovaquie, a presque entièrement détruit la mémoire de cette localité. Seul un livre de photographies datant de 1937 a pu être sauvé. Sur l'un des clichés, on peut voir la maison du grand-père de John Kerry. AP
Par Slim (Slim) le mercredi 18 février 2004 - 14h45: |
Au fait ya tarfiste l'aaziz, Les bey, Bech Hamba, Pacha, Khasnadar, Saheb Ettabaa, et autres "Turcs" n'etaient pas pour la plupart issus du peuple Turc. Bien qu'ils aient adoptes les traditions Turcs et qu'ils se consideraient comme les representant des Turcs dans le bassin mediterraneen, la majorite d'entres-eux etaient ou bien de decendence Slave Bosniaque (D'ou vient le nom de famille Bochnak) ou bien des Circassiens du Caucase.
Par Douda (Douda) le mercredi 18 février 2004 - 02h14: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Tarfiste : Baittou : L’Histoire n’oublie pas ! Relaté par Citron,
Le nom du supplicié était : Bathou Sfez qui fût, suite à une beuverie où des insultes furent échangées, condamné à mort pour outrage à la religion, et décapité à La Marsa, ce malgré l’intervention courageuse de La Beya, et de l’Ambassadeur de France, qui réclamèrent au Bey la clémence, mais la révolte de la population grondait et le Bey prenant peur, offrit lâchement le pauvre Sfez, en holocauste à une populace exacerbée par la disette, la fin et la colère, contre les élites turques qui tenaient le pays sous la botte, car in ne faut pas oublier que les beys, kasnadar, et autres janissaires, n’étaient pas des Tunes, mais des Turcs.
Cette exécution servit aux Français de prétexte pour débarquer, et instaurer le protectorat.
Wnessou El Douda
Par Davideden (Davideden) le mercredi 18 février 2004 - 01h45: |
Tout les murs ne naissent pas egaux....aux yeux de la court internationale.
Yemen rejects Riyadh building of a wall on its borders
Yemen-Saudi Arabia, Politics, 2/2/2004
News reports in Sanaa said that Yemen notified Saudi Arabia its objection to build a separation wall along its borders in a way violates the border demarcation agreement between the two countries.
The rejection came after the Saudi authorities started to build the wall in an area on which Yemen says that it is considered by the border demarcation agreement as an empty zone.
The two Yemenis and Saudis border committees in charge of implementing their bilateral border treaty had met more than one time in Sanaa and Riyadh in order to draw the final arrangements, on laying border markers and establishing land border crossings.
The two committees witnessed several differences on defining the crossing, their number and where it will be established and that was postponed to later meetings.
The two countries chose the German "Hansa Luftbild" company to put the border markers, according to items and appendixes of the border treaty signed in Jeddah in June 2000. The two sides postponed the company's work because of the continued differences on the position of some of these markers.
Worthy mentioning that the Yemeni- Saudi agreement on demarking joint borders between the two states, which is of 1350 KM length had ended an old conflict between the two states that lasted for decades. Observers fear that the new Saudi measures might lead to a military confrontation between the two states.
Par Meyer (Meyer) le mercredi 18 février 2004 - 03h50: |
J'ai rate mes insertions de photos.
Allez voir la suite du reportage au
http://harissa.com/boukhabar/read.php?f=14&i=195&t=195
Par Meyer (Meyer) le mercredi 18 février 2004 - 02h46: |
C:\Mes Documents\NIKON\Katsav-170204\Img0018 Dscn0679comp
Par Claudia (Claudia) le mercredi 18 février 2004 - 01h20: |
Katsav et l'amitié franco-israélienne fêtés lors d'une soirée du CRIF
PARIS (AFP) - Moshé Katzav a été la star d'une grande soirée organisée mardi soir par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) pour fêter sa visite d'Etat, la première en seize ans d'un président israélien dans l'Hexagone, et célébrer l'amitié franco-israélienne.
Devant la salle comble du Palais du Congrès, où plus de 4.000 personnes se sont bousculées et où flottaient des drapeaux israéliens, Moshé Katzav, ovationné, a complimenté cette "communauté juive exemplaire" qu'est celle de la France et annoncé qu'il allait "apprendre le français".
Saluant "le combat" de Jacques Chirac contre l'antisémitisme, il a souligné que "là où il y a de l'antisémitisme, c'est la démocratie qui est en danger".
Face à un public conquis, il a aussi fustigé les Palestiniens, qui ont "augmenté le terrorisme" alors qu'Israël a accepté la feuille de route, et les pays arabes, qui n'ont "jamais été capables de construire une ville, un village pour les réfugiés arabes".
Il a aussi affirmé que si "Itzhak Rabin avait su que Yasser Arafat continuerait le terrorisme, il n'aurait jamais signé les accords d'Oslo".
Moshé Katzav, fait quelques heures plus tôt Docteur Honoris Causa à la Sorbonne, en a aussi profité pour souhaiter un bon anniversaire à son fils Ariel, présent dans l'assistance et auquel il n'avait "pas encore eu le temps" de parler, après "24 heures intenses" d'une visite d'Etat où il s'est dit accueilli avec "amitié" et "chaleur".
De nombreux élus étaient présents à cette soirée, dont le vice-président de l'Assemblée nationale Eric Raoult, ainsi que de nombreux artistes (Hélène Séguara, Enrico Macias, CharlElie Couture, Rika Zaraï, Nourith, Gérard Darmon, Elie Chouraqui, Alexandre Arcady...)
Certains ont chanté, Shirel, cible d'insultes antisémites lors d'un concert gratuit le 31 janvier à Mâcon, interprétant la Marseillaise, et Francis Lalanne, l'Hatikva.
Le grand rabbin de France Joseph Sitruk, sur un ton léger, a suscité les rires lorsqu'il a comparé Israël et la Dordogne (même superficie) et des applaudissements nourris lorsqu'il a vu dans le peuple juif, "non seulement celui qui a le plus grand passé mais aussi celui qui a le plus grand avenir".
Plus sérieux, le président du CRIF Roger Cukierman a affirmé l'attachement des "Français juifs" à Israël, refuge "essentiel" contre l'antisémitisme, et appelé la France à une "politique équilibrée" au Proche-Orient.
Le CRIF affiche habituellement un soutien indéfectible à l'Etat d'Israël, même si la politique du gouvernement d'Ariel Sharon divise la communauté juive française, qui, avec ses quelque 600.000 membres, est la deuxième au monde après les Etats-Unis, hors des frontières d'Israël.
Au premier rang de la salle, près de Moshé Katzav et de son épouse, de Jean Kahn, président du consistoire central israélite (l'instance religieuse de la communauté juive) et de David de Rothschild, président du Fonds social juif unifié (FSJU), le gouvernement français était représenté par Hamlaoui Mekachera, Nicole Guedj et Tokia Saïfi.
Le CRIF avait voulu une soirée de fête loin des tensions dont souffrent depuis plusieurs années les relations franco-israéliennes, liées aux divergences de vue sur le conflit israélo-palestinien et à une recrudescence d'actes antisémites en France.
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 18 février 2004 - 00h49: |
La beauté du monde
Ô ma mère,
De combien de mots d’amour, de combien de tendresse, de combien d’affection suis-je, sommes-nous tous, tes fils et moi, en retard ?
De combien de mots de réconfort, de nuits sans sommeil te sommes-nous redevables ?
De combien de larmes de rage, de déceptions, d’angoisses sommes-nous responsables ?
J’aimerais, pour un instant, un instant seulement, pour un an, pour toujours, être ta propre mère pour ressentir ce que tu ressens pour nous, pour te comprendre, pour te rassurer, pour pleurer et rire avec toi. Pour t’aimer comme tu nous a aimés, comme tu nous aimes et comme tu nous a toujours aimés.
J’aimerais boire tes larmes et les faire disparaître à jamais de ta mémoire. Te couvrir d’or et de lumières pour que tu ne manques jamais de rien, t’inventer une histoire de reine que tu serais Ô notre reine à nous, Ô notre mère compatissante et vraie.
Mère courageuse et authentique défendant à tort ou à raison son nid avec ses dents avec ses ongles, en dépit du bon sens parfois, à son propre détriment.
-Couvre-toi maman, je ne veux pas que tu aies froid !
-Mange s’il-te-plaît, tu n’as rien mangé.
-Prend le temps de vivre, de rire puisque tu aimes vivre !
Puisque tu aimes rire !
Jamais tu n’as eu envie de tout casser, de tout abandonner et de partir ; partir n’importe où n’importe comment pour t’éloigner de cette marmaille insupportable et bruyante que nous étions parfois.
Fuir pour vivre un peu ta vie, La Vie.
Mais ta vie c’était nous !
Femme d’un seul homme, veuve à 40 ans jamais tu n’as eu envie d’un autre homme.
Sept enfants, nous étions sept enfants pas faciles, indépendants, entêtés.
Comment as-tu fait ?
Tu travaillais le jour, tu travaillais la nuit. À la mort du père, tu as tout repris en main, comme une grande fille débrouillarde et intelligente que tu étais.
Tu voulais tout ce qu’il y avait de mieux pour nous, que nous ne manquions jamais de rien et nous ne manquions jamais de rien.
Ô ma mère jolie et fraîche et propre.
Ta maison, comme toi, fleurait bon le printemps et la joie de vivre.
Tes placards, que tu montrais fièrement comme on montre des tableaux de maître, étaient toujours impeccablement rangés. Ta cuisine, si délicieuse, si pleine de toi, comme si tu mettais un peu de ton âme dans chaque miche de pain, dans chaque plat de soupe, dans chaque mets que tu préparais pour nous avec amour.
Comme as-tu fait pour rester si jeune, si pleine de vie malgré tes petits et grands malheurs ?
Comme la vie est lente et difficile parfois.
Et moi ton fils, ton frère, ton petit mari, ta force et ta faiblesse t’ai-je bien secondé ?
Tu comptais tellement sur moi.
Tu voulais que je sois ta revanche sur le monde, la victoire du bon droit et de la justice sur l’injustice et sur l’ingratitude. La consécration divine de ta droiture infinie.
Le temps se charge de tout remettre à sa place et je sens et je sais que ton « D » , e mien aussi, le même peut-être, revendicateur et bon te rendra justice.
Je t’aime toi la fille serviable et généreuse, l’épouse fidèle et responsable, je t’aime toi la mère exemplaire, la sœur altruiste et raisonnable.
Je t’aime d’avoir toujours cru en nous, quoi qu’il arrive, je t’aime pour ton courage indomptable, pour ta force de caractère, pour ton énergie, pour ton amour, pour ta lucidité, ta sagesse, ton intelligence innée, ta beauté intérieure
Plus belle que toutes les beautés du monde. Je t’aime d’avoir gardé ta dignité et ton optimisme en toutes circonstances, ta sympathie et ton rire merveilleux. Je t’aime d’avoir su comme le soleil te partager et rester entière.
La vie est là insouciante presque joyeuse, offrant ses plaisirs éphémères à nos appétits gourmands.
« Qu’as-tu fait toi que voilà pleurant sans cesse.
Qu’as-tu fait toi que voilà de ta jeunesse ? »
T’ai-je dit ce matin combien je t’aimais et combien tu comptais pour moi ?
T’ai-je répété encore et encore et encore
Que tu es la beauté du monde
Que tu es l’âme du monde
Que tu es la Femme bien aimée
Que tu es notre mère, ma mère ?
Bob Abitbol
boboreint@aol.com
Par Citron (Citron) le mercredi 18 février 2004 - 00h43: |
hajkloufette
vous dites
"Echauffourés à Paris, aprés la victoire de la Tunisie "
je pense que cette "infomation" manque de crédibilité et je pourrai a la limite la califier de fantaisiste vue que jai cherché partout dans les journaux francais , sur internet,....rien..pas d'altéracation entre les supporters TUN et la police FR........veuillez m'indiquer vos sources.
(meme le liberation.fr qui na jamais caché sont hostilité a la tunisie na rien relevé!???!)
merci de m'éclairer
Par Albert (Albert) le mardi 17 février 2004 - 22h10: |
D'ailleurs, mes souvenirs d'enfant me rappellent une vieille chanson que me chantait ma grand-mére et qui commençait....
'..§§§§...BATTOU MCHE GHODBAN....OU CHEDEOU EL ORBAN...§§§§...BATTOU MCHE GHODBANNN...§§§§...ETC....'
Par Citron (Citron) le mardi 17 février 2004 - 20h26: |
Le destin tragique du Juif Baittou : L’Histoire n’oublie pas !
C’est l’histoire banale d’un Tunisien qui a insulté l’Islam au milieu du siècle dernier. Une insulte, comme on en commet partout tous les jours, mais qui lui a valu une condamnation à mort. Parce qu’il ne s’agit pas d’un Tunisien tout court, mais d’un Tunisien qui, sans le vouloir, appartenait à la communauté juive. De ce fait divers, Hatem Karoui tire un livre dans lequel il nous raconte une période de la Tunisie où toutes les communautés vivaient en paix et avaient, comme dans toutes les communautés, leurs différends.
Un plaidoyer pour la paix ? Un rappel historique que Juifs et Musulmans ont vécu ensemble en paix ? Une simple histoire d’un ordinaire sujet du Bey ? Le destin tragique du Juif Baittou, roman de Hatem Karoui, édité récemment, est peut-être tout cela à la fois. Il raconte l’histoire d’un Tunisien, appartenant à la communauté juive, condamné à mort pour avoir insulté la religion musulmane. Avec Baittou, l’auteur, délicieusement, nous plonge dans la Tunisie des années 50 du XIXème siècle où différentes communautés maltaises, siciliennes, juives et musulmanes vivaient en toute quiétude, mais où aussi on réglait certains comptes politiques en utilisant la justice et le glaive.
En attendant sa condamnation puis son exécution, Baittou revient sur son passé, et c’est ce passé qui nous est servi sur près de 200 pages. Non pas celui de Baittou uniquement, mais de tout son entourage, composé de différentes communautés et d’une kyrielle de cultures.
Ce que nous découvrons (ou redécouvrons) dans cette lecture est une vie des plus ordinaires entre des personnes ordinaires que la religion n’est pas arrivée à séparer. Quoi de plus normal, en effet, qu’un Musulman collabore et coopère avec un Israélite, tous deux sujets du Bey ?
Hatem Karoui relate donc cette vie et ce quotidien des Tunisiens avec tous les odeurs et parfums de l’époque. Plongeon parmi les Musulmans et les Juifs, mais aussi dans la Grana, dans la Hara, au Djellaz ou encore à Malta Sghira. Plongeon parmi le Bey, le khaznadar, le caïd, le cadi et les différentes dynasties tunisoises musulmanes et juives. Plongeon dans les belles demeures ou aussi dans les oukalas et la misère qui y sévissait. Plongeon avec les karakouz, les bach krarsi, le rabbin, l’imam etc. Plongeon également dans les lois de l’époque, le fikh, la sharia, les condamnations à mort (pendaison ou décapitation), flagellations par le fouet etc.
En fin de compte, et comme l’indique l’auteur lui-même sur la couverture de son livre, il s’agit d’un roman historique où se mêlent, agréablement, politique, religion, faits divers, amour, séduction, commerce, affaires sociales, entre les communautés d’un même peuple. La religion n’a jamais été synonyme de citoyenneté à cette époque. L’amalgame n’avait alors aucune place possible.
Au milieu des conflits communautaires et religieux qui marquent le début du XXIème siècle —et celui d’avant— une pareille rétrospective n’est pas de trop pour rappeler aux extrémistes de tous bords qu’une vie paisible est possible, dès lors qu’on le veut. Un hymne à la tolérance, au respect du droit à la différence de l’autre, en somme, à travers une injustice subie par un cocher juif tunisien qui a été déterminante pour la mise en œuvre d’une batterie de réformes fondamentales dans la Tunisie en 1857 et les années d’après. Une injustice que l’humain a peut-être oubliée, mais que l’histoire a rattrapée avec l’ouvrage de Hatem Karoui.
Le Destin tragique du Juif Baittou de Hatem Karoui, 200 pages, édité à compte d’auteur – 12 dinars.
Nizar Bahloul
redaction@realites.com.tn 12-02-2004
http://www.realites.com.tn/index1.php?mag=1&cat=/7CULTURE/1Edition&art=8598&a=detail1
Par Citron (Citron) le mardi 17 février 2004 - 20h47: |
salut tous le monde
la tunisie championne d'afrique de football
je vous remercie de votre soutien a cette belle équipe et de vos messages de félicitations.
merci a tous.
ce que jai aimé dans cette coupe d'afrique- a par le fait que la Tunisie l'a remporté dignement-
--la cérémonie grandiose d'ouverture
--le rapprochement entre les peuples que prone cette édition en effet on a regardé dans quel ambiance c déroulé le match congo démocraique-rwanda deux pays en guerre, c formidable le foot, de meme je suis content l'invitation par fédération tunisienne de foot du sélectionneur de l'équipe national israélienne qui a suivi tous les matchs dans la tribune des invités d'honneur de la tunisie.
-- la féte aprés les matchs
le point noir de cette édition c t le comportement honteux et hooliganiste de certain spéctateurs algériens qui on été remis a leur place par la police .
vive le foot!!!!!
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 17 février 2004 - 19h05: |
Par Anonyme (Anonyme) le mardi 17 février 2004 - 18h31: |