Par Mena (Mena) le lundi 24 juillet 2006 - 07h38: |
La victoire n’appartient jamais aux lâches ni aux criminels (info # 012307/6) [Analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency
Rentrant tout juste d’un séjour de plusieurs semaines à l’étranger, je ne peux m’empêcher de penser que j’arrive en territoire occupé. Occupé mentalement par une pensée unique fondamentalement anti-américaine, anti-israélienne et « pro-palestinienne ». Occupé médiatiquement par des journalistes qui ne semblent plus, à de très rares exceptions près, capables de cacher leurs préférences idéologiques et leurs préjugés.
On parle à longueur de journée, dans les media, de la souffrance des Libanais : je peux la concevoir, et je ne doute pas que la population libanaise souffre, mais j’aimerais vivement entendre parler, aussi, et dans les mêmes proportions, de la population israélienne, qui n’abrite sur son sol aucune organisation terroriste. J’aimerais qu’on parle du soutien des Libanais chiites au Hezbollah qui se conduit comme un Etat dans l’Etat et qui prend les populations civiles en otage. J’aimerais qu’on parle des efforts extrêmes faits par l’armée israélienne pour éviter de blesser des civils, de la façon dont le Hezbollah utilise des boucliers humains, des raisons pour lesquelles Israël coupe le Hezbollah de toute ligne d’approvisionnement venue de l’extérieur, par voie terrestre, aérienne ou maritime. J’aimerais aussi qu’au lieu de se contenter d’interroger les Libanais de France qui ont de la famille au Liban, on s’intéresse aussi aux membres de la communauté juive française qui ont de la famille en Israël. Pour avoir une image équilibrée de la situation, je dois me tourner vers la presse ou les radios juives, ou les média américains, comme on écoutait Radio Londres il y a soixante ans. Depuis mon retour, je n’ai pas encore repris contact avec mes amis juifs français, mais je ne doute pas de leur sentiment de solitude et d’incompréhension, et je dois dire, d’emblée, que je partage ces sentiments, comme je partage ceux de la population israélienne en ces temps d’épreuve où il lui faut faire, une fois de plus, preuve d’opiniâtreté et de courage.
L’une des expressions que je ne peux littéralement plus supporter est « communauté internationale ». Je ne sais pas ce que c’est que la « communauté internationale ». Si c’est l’ONU, celle-ci me fait penser à une assemblée de lâches et de cyniques, où quelques rares hommes, représentant de rares pays équilibrés, défendent leurs valeurs. Heureusement que George Bush a nommé aux Nations Unies un homme de la trempe de John Bolton. Sinon, ces derniers jours, c’eût été encore le pays agressé qui aurait fait l’objet d’une condamnation quasi unanime. La « communauté internationale » ne me paraît pas davantage correspondre au G8 qui vient de se réunir à Saint-Pétersbourg et où seul George Bush a affirmé clairement le droit d’Israël à se défendre contre une organisation terroriste. Je ne supporte plus, non plus, des expressions telles que « cycle de la violence », comme si la violence était une chose en soi, sans cause ni effet, et comme s’il n’y avait pas de différence entre l’action d’un pays démocratique pour se défendre et les exactions de groupes terroristes pour détruire et tuer.
La guerre, il faut être lucide, ne fait vraisemblablement que commencer. Israël est confronté à des organisations, le Hamas et le Hezbollah, qui n’existent que pour imposer leur vision de l’islam, pour réaliser les objectifs de leurs patrons de Téhéran et de Damas, en détruisant, tuant, assassinant et en faisant régner la terreur. De telles organisations n’ont pas de légitimité en termes civilisationnels. Elles n’appartiennent pas à la sphère de la civilisation, mais à celle de la pire barbarie exterminationniste. Ecraser le Hamas, aussi fortement que possible et avec aussi peu de restes que possible, serait une action de salubrité pour la population israélienne, mais aussi pour les populations arabes de Cisjordanie et de Gaza, qui doivent pouvoir se voir proposer un avenir meilleur que le chaos, la haine antisémite et la violence. Et il devrait être temps de dire que l’élection démocratique de criminels ne change pas leur nature de criminels, et montre simplement le degré de pathologie mentale auquel les électeurs qui choisissent de tels représentants se trouvent réduits.
Il en est de même pour le Hezbollah. La population israélienne ne peut vivre sous la menace de missiles tirés par des hommes possédés par le pire fanatisme, et la population libanaise devra, tôt ou tard, se délivrer de la terreur et du climat poisseux que font régner les sbires du cheikh Nasrallah et que disséminent les ondes de la chaîne nazislamiste al Manar.
On peut, hélas, compter sur le gouvernement français pour tenter de sauver le Hamas et le Hezbollah : la visite de Villepin à Beyrouth vise à victimiser le Liban et à accuser Israël, où, d’un point de vue chiraco-villepinien, on ne trouve pas vraiment de victimes. Mais on peut également compter sur Israël et le gouvernement américain pour l’en empêcher, et j’aurais tendance à penser que les vents de saison ne sont guère favorables à la France. La vieille « politique arabe », conçue au temps du gaullisme péremptoire, n’est plus : les gouvernements de l’Egypte, de la Jordanie, de l’Irak, de l’Arabie Saoudite, de Dubaï et de plusieurs autres pays arabes ont fait savoir clairement qu’ils prenaient leurs distances avec le comportement du Hamas et du Hezbollah. Leur langage a été plus clair, cette fois, que celui du Quai d’Orsay, qui prend le risque d’être plus « arabe » que les Arabes comme certains monarchistes autrefois étaient plus royalistes que le roi.
L’écrasement souhaitable du Hamas et du Hezbollah permettra un répit, mais ne mettra pas fin à la guerre. Derrière le Hamas et le Hezbollah, il y a la Syrie et derrière la Syrie, il y a l’Iran. Tant que le régime des Assad restera en place, rien ne sera réglé : certains des chefs du Hamas, d’ailleurs, sont à Damas. Idem pour le régime des mollahs à Téhéran. Tout incite à penser, du reste, que la guerre du Hamas et du Hezbollah contre Israël est une guerre menée par l’Iran par supplétifs interposés. Le régime islamique iranien est en guerre contre Israël et le monde civilisé depuis plusieurs années, sans doute depuis sa naissance en 1979. Certains aveugles volontaires nieront encore les liens entre Al-Qaïda et le terrorisme financé par l’Iran, sous prétexte de la démarcation entre sunnisme et chiisme. Les meilleurs connaisseurs du dossier (tels Michael Ledeen) savent qu’entre terroristes, on peut trouver des terrains d’entente et passer des alliances très concrètes.
La chute des talibans en Afghanistan, puis l’installation d’un régime modéré à Kaboul, a été une mauvaise nouvelle pour Téhéran. La chute de Saddam Hussein aussi, quoi qu’en disent de piètres analystes, et l’Iran n’est pas pour rien, très loin de là, dans le maintien de la violence terroriste en Irak.
L’Iran a réussi, essentiellement grâce aux Européens, à enliser le monde occidental dans les sables de la négociation sans fin dans le domaine du nucléaire. Il en a déduit que l’Occident est faible. Il est également venu à la conclusion qu’Israël, après le retrait de Gaza et des actes de violence restés sans réponse, l’est aussi. En décidant d’attaquer Israël, il pensait se doter d’un avantage décisif et n’attirer que des réactions embarrassées du reste du monde. Il pensait aussi détourner l’attention du dossier nucléaire au moment où on commençait à parler de « sanctions contre Téhéran ». La fermeté sans faille de la réaction d’Israël, le soutien des Etats-Unis à cette fermeté, l’accord tacite des régimes arabes avec Israël et les Etats-Unis ont montré que l’Iran faisait fausse route.
A Washington, on compare la situation à une partie d’échecs. L’Iran a poussé vers l’avant ses cavaliers, Hezbollah et Hamas, pour tenter la déstabilisation. Comme prévu, les pions européens se sont couchés, Chirac en tête. Israël et les Etats-Unis résistent. A Jérusalem et à Washington, on subodore que la paix mettra Téhéran « échec et mat ». Dans une conversation récente, Norman Podhoretz, analyste de la Quatrième Guerre mondiale et fin connaisseur de la doctrine Bush, m’a assuré, au cours d’un entretien à paraître dans Israël magazine, que George Bush ne quitterait pas la Maison Blanche avant que le dossier iranien ne soit classé de manière claire et nette. Je ne doute pas un seul instant qu’il sache de quoi il parle. Je le cite ici comme une façon de dire aux soldats et au peuple israélien que si, en Europe, on a, selon toute apparence, davantage de sympathie pour le régime des mollahs et ses tentations totalitaires et génocidaires que pour le courageux combat d’Israël pour sa survie et la paix, il n’en va pas de même en Amérique, en très haut lieu.
Certains reprochent à Bush de ne pas encore en avoir fait davantage, je sais. La position d’Israël n’est pas facile et vaut à l’Etat hébreu, aujourd’hui, dans les médias français et européens, un traitement indigne, insupportable, et qui pourrait rappeler des temps plus saumâtres. Bush a vraisemblablement autant d’ennemis qu’Israël, et il en a dans son propre pays, dans les médias et les cercles politiques où on rêve, à l’européenne, de retour au cynisme ou de défaite préventive et veule. Il fait face, autant qu’il le peut, et tous les hommes attachés aux valeurs de la civilisation doivent lui en savoir gré. Il dit ce qui doit l’être sans mentir, cela le distinguant de la plupart de ses interlocuteurs européens. Il permet à Israël de disposer de temps pour nettoyer les caches d’armes terroristes, et, éventuellement, frapper Damas.
Et du temps, Israël en a besoin, avant que l’ONU ne revienne stériliser la situation, confisquer à Tsahal les résultats de son action, accorder un nouveau sursis aux criminels afin qu’ils puissent préparer d’autres crimes. Dans la difficulté, Israël n’est pas seul et sortira renforcé de l'épreuve. La victoire n’appartenant jamais aux lâches ni aux criminels.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 24 juillet 2006 - 06h59: |
Ce n’est pas la première fois que je m’adresse dans mes commentaires aux arabes de Palestine. La dernière fois c’était pendant la deuxième Intifada et après avoir suivi la première Intifada. Quand les accords d’Oslo entre le Fatah et Israël étaient à la mode, pas toute la population d’Israël était d’accord avec ces accords et pas toute la population était contre. Moi non plus, je n’étais pas d’accord, connaissant les tractations que certains juifs américains avaient fait pour convaincre Arafat de reconnaître l’Etat d’Israël, afin que les Etats-Unis le reconnaissent.
Malgré cela les Israéliens étaient assez tolérants. Nous avons eu des arguments entre juifs et entre Israéliens. En finale le bons sens l’avait emporté pour ces accords, car tous voulaient donner une chance à la paix. Dans la conscience de chaque Israélien et de chaque juif du monde les accords étaient acceptés, quoiqu’ils comportaient des clauses ambiguës et certains avaient des doutes. L’argument qui l’emportait était qu’il fallait donner la chance à la paix de faire des racines. Les arabes de Palestine aussi avaient passé certainement ce processus d’arguments est ont débattu le pour et le contre.
Moi-même comme beaucoup de juifs des pays arabes avons espéré retrouver l’amitié que nous avons connue avec les arabes pendant des siècles. Après tout l’Europe actuelle avait bien absorbé des millions d’arabes de plusieurs pays. Je voyais très naturellement la fin de ces guerres entre juifs et arabes pour ce petit terrain qui s’appelle la Palestine pour l’un et Israël pour l’autre. Je ne comprenais pas pourquoi les arabes se trouvaient offensés que les juifs, après tant de souffrances avaient fini par avoir un état.
Je trouvais cette intransigeance arabe ridicule et même mesquine. Je ne retrouvais pas la générosité arabe que j’avais connue dans mon jeune âge et dans les histoires que papa me racontait. En Tunisie d’alors les arabes étaient très aimables et généreux envers leurs voisins juifs. Les relations entre ces deux communautés dans certaines régions étaient excellentes, dans d’autres amicales, mais pas haineuses comme ont le voit au Moyen Orient.
Je trouve que chaque mort d’un côté ou de l’autre est un mal que l’on sème dans les coeurs. Ce mal multipliera le cycle de la violence pendant des années.
Les leaders arabes ont causé 50 années de souffrances aux Palestiniens. Ils prêchent la paix à l’ouest et instiguent la violence dans le monde arabe. Ils jouent avec la vie des Palestiniens et des Juifs.
Pourquoi toujours ce revers? Pourquoi toujours les menaces de la violence?
Les Israéliens qui avaient signé à Oslo étaient des hommes honnêtes et ils avaient cru humainement bien faire. Les leaders palestiniens les avaient déçus. Comment voulez-vous que d’autres leaders fassent confiance à un état palestinien s’il se conduit de la sorte ?
Dans ces conditions je trouve que les Beys Turcs étaient plus généreux.. Ils avaient laissé les quelques juifs construire un foyer qu’on appelait la Hara, dans Tunis. Hara veut dire quatre. Quelle est la différence entre quatre juifs à Tunis parmi 100.000 arabes ou 4 millions de juifs parmi 100,000,000 d’arabes aux Moyen Orient ? Les arabes ne voient pas que ces quatre millions de juifs, ou même cinq ont apporté du progrès dans leur entourage ? La situation des arabes qui vivent en Israël est nettement meilleure que celle de ceux qui vivent à Gaza ou dans la Cisjordanie.
La paix entre Israël et l’Egypte et entre Israël et la Jordanie a été respectée de part et d’autre.
Encore une fois les arabes sont tombés dans le piège, mais cette fois-ci le piège est iranien. Le Hamas et le Hezbolla n’avaient aucune excuse pour déclencher la riposte israélienne, il est plus qu’évident que la seule excuse était de servir les intérêts de l’Iran, qui se trouvaient dans une impasse avec les Européens et les Américains pour leur ambition nucléaire.
Les Palestiniens veulent un état en croyant à la destruction de l’autre. Tôt ou tard les Palestiniens et les Libanais se rendront compte que le Hezbolla et l’Iran les avaient entraînées dans une lutte qui ne servait pas leurs intérêts mais au contraire. Farouk et les autres leaders arabes les avaient déçus, puis c’était le tour de Abdel Nasser, puis plus d’une fois, c’était Arafat et pour une fois qu’ils avaient des élections libres, ils avaient choisi le Hamas dans les territoires et le Hezbolla au Liban. Ces organisations sont bien les marionnettes de l’Iran. Je me demande, depuis quand les arabes faisait confiance a l’Iran, depuis quand l’Iran est-il l’ami des arabes ? L’Iran voudrait contrôler tout le Moyen Orient et être le maître de la bourse du pétrole Les arabes remercieront un jour Israël et les Etats-Unis pour avoir freiné l’expansion de ses organisations terroristes, et de leurs patrons.
Le peuple palestinien serait aussi une marionnette du régime Hamas si celui-ci continuerait a suivre cette organisation. Jusqu'à présent la Syrie ne veut pas laisser les Libanais vivre librement. Le Hamas aurait pu construire Gaza pour commencer et démontrer au monde ce qu’ils savent faire d’une zone inerte et abandonnée. Ils auraient pu créer un paradis comme l’avait fait Israël du désert.
Si les Palestiniens veulent vraiment alléger la souffrance de leur peuple, pour l’amour du Ciel, qu’ils disent a leurs leaders de se concentrer a construire leur pays au lieu de rêver à la destruction d’Israël. Ils doivent une fois pour toutes comprendre qu’il ne pourront jamais obtenir quoi que ce soit avec la haine, les sacrifices des enfants et la violence. Leurs leaders enflamment les masses pour rien. Ils leur donnent de faux espoirs comme dans le passé. Vous croyez que le monde fera quelque chose pour les Palestiniens ? Ou vous croyez que leurs frères arabes feront quelque chose pour eux ? Hélas ils se trompent! Les Israéliens qui sont près d’eux sont plus proches voisins et amis et auraient pu venir a leur aide, s’ils abandonnaient cet esprit de violence et de vengeance. .
Les Palestiniens peuvent trouver des interlocuteurs honnêtes et sérieux chez les Israéliens, c’est un peuple qui aime la justice. Il y aura parmi les Israéliens et les juifs des oreilles ouvertes. L’ère du fanatisme national, religieux doit appartenir au passé. Il y a des dizaines de conflits dans le monde et le monde continue à vivre, y compris le monde arabe.
Les juifs du monde entier ont du coeur, et ils pourraient aider les voisins d’Israël si ceux-là étaient paisibles et honnêtes. Ils ne faux pas oublier que le peuple juif a été lui-même déraciné et exilé pendant des siècles de sa terre que les Palestiniens réclament.
N’oubliez pas aussi que le peuple juif est compétent, généreux et bienfaisant, il aime la justice mais pas la violence. Israël dans la paix est une force motrice qui peut faire bénéficier toute la région. Nous, les juifs des pays arabes, nous ne nous sommes jamais révoltés quand nous étions sous la domination arabe, car nous aimions et nous respections la terre où nous sommes nés et nous aimons vivre en paix. Nous avons laissée nos terres où nous sommes nés, propre, sans qu’une seule goutte de sang n’y était versée. Ces terres avaient été nos demeures pendant des milliers d’années Les arabes ne doivent pas oublier que nous étions aussi des réfugiés, mais nous nous sommes entraidés pour que nos âmes et celles de notre peuple n’en souffrent pas.
Quant aux Israeliens et aux juifs, ne croyez pas a tout ce que la presse mondiale ou meme la presse israelienne vous presentent. Faites confiance a Tzahal, il sait conduire sa mission avec professionalisme et humanisme. Attendez la fin, vous serez agreablement surpris des resultats.
Par Lapid (Lapid) le lundi 24 juillet 2006 - 04h15: |
Ici Haifa. Paris ment ! Paris desinforme !
Radio Paris ment! Radio Paris c'est l'Iran !
par Leon Rozenbaum
Oh Oui, Monsieur Leon Rozenbaum, je comprends tellement votre coup de gueule!
De Haifa, je suis regulierement les nombreux reportages journaux televises de TF1, de France 2, France 3, de ITele, de LCI, de CNN, de SKY News, des radios francaises.
Je lis regulierement les sites des journaux comme Le Monde, Liberation, Le Figaro, Le Point, L'Humanite et tant d'autres.
J'ai suivi les reactions de certains hommes politiques, entre autres, du depute de l'UMP des Yvelines Jacques Myard Jacques Myard
et de Roland Dumas Roland Dumas,
des declarations plus qu'ambigues de Jacques CHIRAC, Villepin, Douste-Blazy et de tant d'autres etc...
Je sais aussi qu'il reste encore de nombreux amis d'Israel parmi les deputes et les hommes politiques francais; je citerais, entre autres,
Jerome Riviere Jerome Riviere,
Nicolas Sarkozi (interview de Nicolas Sarkozy, sur TF1 dimanche 16 juillet 2006), JT de 20h) ,
Claude Goasguen, Rudy Salles (ces deux derniers sont actuellement en Israel) et de tant d'autres.
Peu nombreux sont les hommes politiques de gauche ayant fait une declaration favorable a Israel dans ce conflit.
Je ne voudrais surtout pas oublier Bernard-Henri-Levy Bloc-Notes BHL venu nous apporter son soutien sur le terrain en Israel.
Pour terminer , une anecdote revelatrice : avant un projet d'interview, on m'a au prealable recommande surtout de ne pas parler de la desinformation en France (en particulier de certains journalistes), ni de critiquer la Politique de la France dans le conflit actuel. Vous imaginez ma reaction !
Unissons-nous pour mener ce combat, meme si certains le considerent comme "Donquichotesque", contre cette desinformation dirigee par des "pseudo-journalistes moutons de Panurge" et des politiciens aux positions si "disproportionnees" et si peu equilibrees.
Par Sibylle (Sibylle) le lundi 24 juillet 2006 - 02h25: |
Je suis très admiratif du courage de hajkloufette et des israéliens, je n’ai jamais compris l obscurantisme, je n ai jamais compris ceux qui tuent au nom de Dieu, je n’ai jamais compris que l on puisse donner une quelconque légitimité politique à ceux qui perpétuent des atrocités sur leurs propres enfants en les envoyant se faire exploser, je suis toujours perplexe lorsque j entend les hommes politiques, seraient ils victimes de la propagande médiatique, ou tout simplement victimes de leur propre faiblesse, la peur de dire les choses, la peur de s’avouer la réalité géopolitique que nous vivons, pour moi notre monde est coupé en deux , et un fossé important se creuse et si nos valeurs démocratiques sociales et humaines nous placent sur un terrain ou le dialogue se veut notre emblème, parce qu’ en France et en Europe on adore dialoguer, discuter , débattre, qui dira le plus de mots, qui passera le plus à la télé, qui trouvera assis derrière son bureau le plus de solutions, alors que de l’autre coté de nos frontières, des fous éduquent d’autres fous à la haine de leur prochain, faire des attentas, égorger, tuer est leur seul dialogue.
Alors comment expliquer à la fille de hajkloufette qui est dans mon cœur ma seconde fille, qu elle ne peut pas sortir de la maison, qui ne comprenait pas pourquoi elle ne pouvait pas aller à la piscine par une chaleur insupportable, qui ne comprenait pas pourquoi tout était fermé, que ni elle ni les petits enfants avec qui elle joue sont obligés de rester enfermés, qu Israël est en guerre.
Et au petit ou la petite libanaise idem que leur dire, qu’il récolte les conséquences de la faiblesse de leurs dirigeants, allez expliquer aux enfants que leur pays est tel cet homme qui sait laissé mordre et à qui on doit enlever une jambe parce qu il y a un prix à payer encore plus cher lorsqu il est le résultat direct de la passivité de leur gouvernement celui qui est sensé être le garant de leurs libertés.
La petite de hajkloufette a dit à mon mari cet après midi, tu viens demain en vacance en israel avec mimi ( ma fille ) pour jouer, il lui a répondu on viendra pour Pessah, alors de tout cœur je dis amen.
Par Djlachem (Djlachem) le lundi 24 juillet 2006 - 00h36: |
Lapid et Hajkloufette,
Je sais que ce n'est pas grand-chose à côté de votre angoisse, mais sachez que nous pensons à vous sans cesse.
A chaque seconde...
Par Nonette (Nonette) le lundi 24 juillet 2006 - 00h27: |
A Lapid et à vous tous chers amis d'Israel
toutes nos pensées sont vers vous.Israel vaincra la haine,la partialité,la méchanceté grace à Tsahal et au courage sans faille de ses habitants..je ne peux m'empécher de pleurer quand je pense à ces très jeunes hommes devenus des adultes qui se battent contre un ennemi haineux et cruel alors qu'en France au mème age,garçons et filles vivent comme doivent vivre les adolescents....
Par Breitou (Breitou) le dimanche 23 juillet 2006 - 23h11: |
23.07.2006
Radio Paris ment! Radio Paris c'est l'Iran !
par Léon Rozenbaum
Cette fois la mesure est comble. Jamais depuis l’occupation de la France par les nazis l’esprit « collabo » n’a autant dominé les medias et la classe dirigeante française.Une agression inqualifiable a été menée il y a onze jours, depuis le sol libanais, contre la souveraineté de l’Etat d’Israël par l’assassinat en territoire israélien de plusieurs soldats et le rapt de deux autres. Depuis cette date, plus de de 1500 roquettes et obus de mortier ont arrosé le territoire israélien, ont provoqué la mort de dizaines de civils innocents, la blessure de centaines d’autres et confinent dans les abris un million d’Israéliens innocents, après avoir détruit des dizaines de maisons et de véhicules.
L’armée de défense d’Israël a pris les mesures indispensables pour tenter de faire cesser cette agression dont l’Etat libanais est internationalement responsable. Il s’avère en effet qu’une organisation terroriste, Le Hezbollah a gangréné l’Etat libanais, s’est constituée en bande armée disposant d’une considérable puissance de feu qui, il s’avère aujourd’hui, menacait en fait depuis longtemps la sécurité et la vie d’un nombre très important de citoyens d’Israël, jusqu’au centre du pays.
L’armée de l’air israélienne a donc lancé des opérations d’une extrême précision pour attaquer les centres nerveux de l’organisation terroriste, ses arsenaux, ses centres d’entrainement en prenant un soin particulier à causer un minimum d’atteintes à la population civile malgré l’ignominie des terroristes qui systématiquement se servent de cette population comme bouclier humain. Bien plus, puisque les terroristes sont ravitaillés par la Syrie et l’Iran, et même après le déclenchement de l’agression, en munitions, en bombes et en roquettes fraiches, Israël a pris les mesures nécessaires pour faire cesser ces appovisionnements meurtriers en bloquant au maximum les accès terrestres, maritimes et aériens du Liban, et pour détruire certaines installations stratégiques, tous contrôlés par les terroristes.
Devant la continuation des attaques contre son territoire, Israël mène en outre des opérations terrestres limitées au Sud du Liban pour tenter de faire cesser enfin ces agressions.
Or, face à ces évidences maintenant connues de tous, la quasi totalité de la presse française, aux ordres de la direction politique chiraqienne, falsifie sciemment l’information délivrée aux Français, présente le Liban comme la victime et Israël comme l’agresseur, ne tient aucun compte des souffrances de la population israélienne, fait l’impasse sur l’idéologie exterminatrice du Hezbollah et de sa parenté avec celle des nazis et appelle à un cessez-le feu bêlant qui laisserait la situation intolérable d’une menace permanente sur la vie des Israéliens sans changement, voire institutionnalisée. La riposte si mesurée d’Israël est qualifiée avec impudence de « disproportionnée », le sort de Français d’Israël, comme celui des autres Israéliens est jugé sans intérêt, les seuls secours envisagés sont ceux destinés aux Libanais en détresse, comme si Israël n’avait pas ses pauvres, ses vieux et ses personnes déplacées du fait de l’agression.
Peu importe que cette lâcheté ait pour origine les liens financiers personnels du Président français au Liban ou la peur de la classe politique et médiatique française d’un embrasement de ce qu’il est convenu désormais d'appeler « la rue arabe » en France même, dont nous savons qu’il peut être très destructeur. Rien ne permettra jamais de justifier cette soumission ignoble à la dhimmitude déjà acceptée des prétendues élites d’un pays qui en d’autres temps avait su tenir haut l’étendard de la liberté et de la vérité.
Il est encourageant de constater dans un sondage récent qu’une majorité de Français ne sont pas dupes et ont parfaitement compris la vraie distribution des rôles dans ce drame. Mais combien de temps le matraquage médiatique falsifié dont les médias français sont devenus spécialistes, laissera-t-il intacte la saine conscience d’une majorité de citoyens français ? Le rétablissement de la souveraineté du Peuple d’Israël après dix-neuf siècles d’un exil dont l’horreur a culminé entre 1939 et 1945, a exigé de ce peuple d’immenses sacrifices dont tous les citoyens actuels connaîssent le prix. L’image des terroristes nazislamistes du Hezbollah exécutant le salut nazi à deux pas de la frontière d’Israël prise par la MENA, une agence de presse francophone en Israël, installée très près de la frontière libanaise devrait évoquer quelques souvenirs à de nombreux Français et peut-être provoquer une véritable prise de conscience et un tournant dans l’attitude indigne de la majorité des médias de l’hexagone.
Léon ROZENBAUM
Avocat à Jérusalem
C'est tous les medias qui mentent comme des ivrognes de bas quartiers.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 23 juillet 2006 - 22h56: |
Merci pour tous vos messages de soutien mais en vous adressant a moi je sais que c est tout votre amour de ce pays que vous exprimez . Mon experience n est qu une parmi des centaines d autres et nous restons confiants , nous restons proches de nos soldats qui sont nos enfants , nous restons aussi amoureux de cette region qui est tellement belle et qui retrouvera sa magnificence j en suis persuadee . Je vis dans une des regions les plus belles du pays , c est un reel bonheur de decouvrir ces paysages , sa verdure , ces vergers incroyables , et cette population tellement extraordinaire ,,, le Nord du pays c est toute une mosaique de gens , de couleurs , d odeurs , de paysages , mais aussi je ne l oublie pas d idees et d esperance ... esperance aussi pour une vie meilleure , c est pour cette raison que nous ne pouvons pas laisser ces etres sans foi ni lois , ces etres qui ne respectent ni D ni le diable , qui sous des airs de saintete sement la haine le feu et la mort ... d abord dans leur propre peuple et ensuite a l aveuglette sur tout ce qui vit . Ne vous laissez pas berner ce n est pas la victoire d Allah qu ils desirent mais la victoire de leur haine incommensurable pour l homme , pour la vie , pour la beaute , pour la paix . Dans la paix , ils n ont plus d esxistence , dans la paix , ils n ont plus de financements , dans la paix ils sont morts ... leur existence n est possible que dans la destruction et la mort , dans la haine et la guerre , dans le feu et les armes ...
Nous vivons ici dans le Nord du pays des jours et des nuits difficiles , nos enfants subissent une enorme pression traumatisante , notre vie , nos projets , notre quotidien , tout a ete chamboule ... mais si il y a bien une chose dans laquelle nous croyons , c est en Tsahal , ces soldats qui sont nos enfants qui ont tellement d humanite et tellement de responsabilite ,,, qui hier encore etaient pour certains mes eleves , ces enfants que j ai vu grandir et qui reviennent toujours nous voir fiers de leur uniforme . C e sont ces soldats de Tsahal que nous devons soutenir de toutes nos forces , de toute notre ame ... sans qui le reve ne pourrait pas se poursuivre , sans qui notre propre existence et ne l oubliez jamais ... la votre aussi serait en danger ... c est a eux que je pense , c est a eux que j envoie toute mon affection et je suis persuadee toute la votre ...
Ekohim Shmor al Guiboreynou ve al yaldemou ve che lo neda od milkhamot
Que D protege nos heros et nos enfants !!! Amen !!!
Je remercie tout ceux qui mont exprime leur soutien par mail par telephonne ou par l intermediare d Adra . Que D vous benisse et que nous revenions a des jours meilleurs et meme a nos prises de tete ;););) ... Je vous embrasse
Par Kinor (Kinor) le dimanche 23 juillet 2006 - 22h42: |
Lapid
Votre récit est tout aussi bouleversant, mes pensées et mes prières vont aussi vers votre famille.
Qu’Hachem vous protège tous
Fraternellement
Par Emma (Emma) le dimanche 23 juillet 2006 - 22h11: |
Ne l'appelez plus George!
Marie-Joëlle Parent
Le Journal de Montréal
MONTRÉAL -- «Si quelqu'un a un projet à la hauteur de Seinfeld, donnez-leur mon numéro de téléphone, je vous en prie!» Pas facile, pour l'acteur Jason Alexander, de trouver un rôle à la hauteur du George Costanza de la série culte, même huit ans plus tard.
«Les gens n'engagent pas Tom Hanks en pensant à Forrest Gump, moi, c'est automatique, ils pensent à George!»
Jason Alexandre, 47 ans, désireux de retourner au petit écran, attend toujours le projet qui éclipsera Seinfeld, populaire télésérie diffusée de 1990 à 1998 à NBC.
L'acteur étant de passage à Montréal pour animer le gala Just for Laughs, les journalistes ont pu découvrir, hier en conférence de presse, un homme humble, d'une bonhomie contagieuse.
Il a enchaîné les entrevues, ponctuées de grands éclats de rire, a été patient avec chacun, comme un bon père de famille.
Antithèse d'Hollywood
«La télévision, c'est la job idéale pour un acteur dont le rôle principal depuis les 14 dernières années est papa! C'est le format qui s'apparente le plus à un boulot de 9 à 5», confie-t-il.
Quand on dit «homme de famille», Jason Alexander en est le parfait exemple. Il profite de la conférence de presse pour parler à ses deux fils par l'entremise des entrevues télé.
Il vante sa vie de couple, qui dure toujours après 24 années de mariage, malgré les tourments d'Hollywood, où la plupart des couples se défont le temps de dire «je le veux».
«Ma femme est extraordinaire. C'est la première fille juive que j'ai rencontrée à 18 ans. J'en suis tombé amoureux aussitôt», raconte l'acteur, tout près du bonheur.
L'après-Seinfeld
À quand, donc, le grand retour à la télévision?
«J'aimerais que ça soit le plus vite possible. Pour être honnête, mon problème, c'est d'avoir choisi des projets qui n'ont pas été aimés après Seinfeld. Les standards des critiques sont à la hauteur de la série: impossible à atteindre», avoue Jason Alexander.
Et le fait d'être associé à Georges Costanza?
«Ça peut être un désavantage dans ma vie professionnelle, parce que la série est encore en ondes partout. On voit mon visage 42 heures par jour dans un rôle comique, c'est une surexposition qui peut effrayer les producteurs», avoue-t-il.
Mais s'il y a un avantage gratifiant à avoir participé à un projet comme Seinfeld, c'est d'avoir fait s'esclaffer des gens qui ne pensaient plus rire.
«Je reçois beaucoup de lettres de gens qui m'avouent que la série les a aidés à traverser des périodes très difficiles de leur vie», poursuit-il dans un élan d'humilité.
Succès impossible à accoter
Jason Alexander était pourtant sceptique au début de la série, en 1990.
«Je ne pensais pas que ça allait marcher. Ça reste un mystère et on est encore sous le choc, ça ne fonctionnerait probablement pas aujourd'hui», avoue-t-il.
La comédie est pourtant devenue l'un des plus grands succès télévisuels des États-Unis.
Et s'il n'enchaîne pas les succès depuis, il n'a pas arrêté de travailler pour autant. Comédien au théâtre, producteur, réalisateur de films, magicien, joueur de poker, fin connaisseur de Star Trek, il a aussi publié un livre pour enfant au printemps dernier, entièrement écrit par ses deux fils.
Un pacifiste impliqué
Jason Alexander, juif originaire du New Jersey, est impliqué depuis 2004 auprès de One Voice, organisme qui tente d'instaurer un processus de paix entre Israël et la Palestine.
Le conflit actuel entre l'État hébreu et le Liban doit bien l'interpeller. Il évite plutôt de prendre une position tranchée.
«C'est une tragédie, mais je suis optimiste devant la paix à venir, confie l'acteur. D'après mon expérience au Moyen-Orient, la vaste majorité des gens en Israël ont une pensée moderne et ils savent que la solution est dans la conciliation». Nous n'en saurons pas plus de ses convictions politiques.
En terminant, la journaliste a tout de même eu droit à la bénédiction de 'papa Costanza': «God bless you», a-t-il conclu.
Toda Jason!