Par Soleil (Soleil) le samedi 06 mars 2004 - 05h27: |
Archive reports that Jewish relatives of John Kerry
perished in Holocaust
JASON KEYSER, Associated Press Writer Thursday,
March 4, 2004
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(03-04) 10:55 PST JERUSALEM (AP) --
Democratic presidential candidate John Kerry, who
discovered only last year the extent of his Jewish roots,
lost two relatives in the Nazi genocide of World War II,
officials at Israel's Holocaust archive said Thursday.
A brother of Kerry's grandmother died in the
Theresienstadt ghetto, and a sister vanished in the
Treblinka death camp, archivists at Jerusalem's Yad
Vashem Holocaust memorial and museum told The
Associated Press.
Word of Kerry's Jewish ancestry first surfaced last year
when an Austrian genealogist hired by The Boston
Globe found that the Massachusetts senator's paternal
grandfather, Frederick A. Kerry, was born under the
name Fritz Kohn in 1873 in a village in what is now the
Czech Republic.
In the early 1900s, the elder Kerry changed his name
and emigrated to the United States, presumably under
circumstances similar to many of the region's Jews,
who migrated to seek better lives and escape anti-
Semitism.
The news astonished Kerry, a Catholic. He already
knew that his paternal grandmother, Ida Loewe, was
born Jewish and converted to Catholicism.
On Sunday, the Austrian genealogist, Felix Gundacker,
posted on his institute's Web site that a sister and
brother of Ida Loewe were among the 6 million Jews
who perished in the Holocaust. Gundacker named the
two as Jenny and Otto Loewe.
Kerry campaign officials confirmed that the two were a
brother and sister of his grandmother.
On Thursday, researchers at Yad Vashem in Jerusalem
said they located the two names among nearly 3 million
entries in its database of Holocaust victims.
Jenny Loewe was born in 1872 and her brother Otto in
1875, according to the data. Both were taken from their
home in Vienna to the Theresienstadt ghetto in
Czechoslovakia on Aug. 14, 1942. The ghetto held
Jews before they were transported to death camps.
Otto perished there. The last record of Jenny is of her
being moved on Sept. 26 of that year to the Treblinka
death camp, where she vanished.
The Treblinka camp, built in 1942, was an
extermination facility, not a labor camp. The Nazis
brought 800,000 Jews there with the intention of killing
them. Almost all of them perished within hours of their
arrival, gassed in chambers filled with exhaust from
diesel engines.
Some Jews won reprieve by working in the camp, but
only a few dozen people survived Treblinka after a
daring revolt. Kerry's relative Jenny Loewe is presumed
to have died there.
The camp was shut down and dismantled in 1944
before Russian troops overran the area.
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On the Web:
Felix Gundacker's Institute for Historical Family
Research
www.ihff.at/indexstarte.htm
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 06 mars 2004 - 07h42: |
A l'occasion des fêtes de Pourim, il me semble que certains de nos harissiens méritent d'être cités pour leurs apports dans l'activité quotidienne dans notre site, a la bonne la volonté qui y mettent, au maintien de la morale et du bien etre de nous tous , et a la preservation du charme tunisien. Certes tous ne seront pas d'accord avec moi pour une raison ou une autre, mais je sens le devoir de féliciter ces êtres qui animent sans arret notre site. Ces deux personnes sont Albert Simeoni pour le charme et la vivacité tunisiens, et Pierre Berdah pour son flègme et son humour tunisien sans negliger l'amour de la liberte et de la precision. En plus il mérite un bravo de nous tous pour avoir dévoiler leur visage à l'aide de photos. Hag Pourim Sameah à tous les Harissiens.
Par Colette (Colette) le vendredi 05 mars 2004 - 23h20: |
A la suite du texte repris par Mounia: et s'il fallait comprendre autrement ce commandement? pourquoi ce serait pas les hommes qui porteraient le voile? C'est-ce pas a eux que l'obligation est imposée?
‘Et quand vous leur demanderez quelque chose, [faites-le) derrière un écran.
Par Mena (Mena) le vendredi 05 mars 2004 - 19h12: |
Des limites de la lecture psychanalytique du conflit israélo-arabe. 2ème et dernière partie (info # 010403/4) [analyse]
Par Raphaël Lellouche © Metula News Agency
Mais cette critique du formalisme faite, il reste que sur de très larges aspects, la description milnérienne de la situation européenne est absolument incontestable, et que son livre fourmille d’aperçus intéressants. Lorsqu’il décrit (§. 49 et sq) l’« idéal de Paix » européen, son fondement herméneutique, et son hypocrisie cynique, il n’y a rien à ajouter. Il est exact.
Je ne résiste pas ici à une digression dont Milner me fournit l’occasion, et j’entame donc ce sujet puisque il faudra y revenir. Commentant la signification de La guerre du Péloponèse de Thucydide, Milner insiste à juste titre sur ce qui s’y révèle (et se fixe) du « temps de l’histoire », comme type de récit distingué de celui de l’épopée : «L’histoire s’occupe d’un temps qui est en continuité avec le temps présent. Cette continuité peut être assurée par la proximité chronologique, comme chez Thucydide; elle peut être aussi assurée par une distance, qui autorise la restitution des continuités véritables » (Ibid. p. 28). Cette remarque met le doigt sur la différence narratologique fondamentale des deux types de récits, le récit historique et le récit épique, qui ne revient pas à la seule différence entre le discours de réalité (classiquement, chez Thucydide, l’exclusion du « merveilleux » et de la « fatalité » tragique) et la fiction, mais surtout à une différence dans le rapport temporel entre le présent de l’énonciation narrative et le « passé » du récit narré. Le récit historique est lié continûment au présent de l’énonciation (Thucydide a assisté aux événements, et son récit s’appuie sur sa propre mémoire de la guerre inter Grecs), de telle sorte qu’il emporte sur ce présent des implications pratiques (politiques). Et en ce sens — cela donne des leçons — l’historien Thucydide est quelque peu « journaliste », en rapport quasi-direct avec l’ « événement ». Tandis que l’épique est au contraire marqué par un décrochement, un éloignement du «passé séparé », par rapport à un présent non pratique. Le poète épique chante un monde dont aucune mémoire vivante n’a été le témoin direct, un monde clos sur lui-même d’il était une fois, disparu, dont un infranchissable gap empêchera toujours la « restitution des continuités véritables ».
Or c’est pourtant bien l’épopée et non l’histoire qui articule les catégories fondamentales du droit et de la légitimité politique. À cette différence s’articule la complexité des « mémoires », entre épos et expérience. Ce n’est pas la présence journalistique à l’événement, mais la distance par rapport à l’origine, transmise, qui compte ici le plus. On situe généralement l’épopée par rapport au roman (Georg Lukàcs), mais plus rarement par rapport à l’histoire. À la suite de Mikhaïl Bakhtine [3], on a pu développer, de manière très aiguë, la théorie du récit épique en s’appuyant sur les développements de la linguistique de l’énonciation. La séparation énonciatrice expliquant notamment que le temps spécifique du verbe dans l’épopée, l’aoriste, marque une disjonction du présent réel avec un procès aspectuellement borné, achevé, et « sans lien » avec le présent. Nous verrons une autre fois l’enjeu de cette différence épopée-histoire lorsque sera justement abordé le rôle du récit épique dans l’histoire politico-culturelle, c’est-à-dire la fonction de l’épopée européenne, comme fondatrice — et donc disjointe, hors de portée de l’action présente — de la légitimité impériale de l’Europe (et son « retour » chez Sloterdijk), et donc de sa mémoire identitaire. Il ne s’agit plus de l’épopée en tant que récit « légendaire » c’est-à-dire comme fictionnalisation de l’histoire, mais de sa fonction en tant que « mythe fondateur », c’est-à-dire récit de légitimation politico-historique des peuples et des dynasties.
Ma critique du formalisme de Milner m’incite à souhaiter plus de sobriété théorique et qu’on redescende de cette ivresse structurale. Le sens de la politique proche orientale de l’Europe, entretenant la tension, attisant le “palestinisme” dans l’opinion publique internationale, soufflant sur les braises tout en prétendant faire le contraire, est plus prosaïque. C’est celui d’une tentative — en participant soi-même à la création de cette situation — de suggérer que le Proche-Orient est en proie à l’anarchie, du fait d’une impuissance et d’une délégitimisation telle d’un État d’Israël entièrement happé par « le cycle tragique de la violence » (selon l’expression consacrée), que ce vide appelle inéluctablement, comme seule solution, la protection par la « communauté internationale » (autre artefact qui signifie : les grandes puissances, dont la Nouvelle Europe) se substituant à l’Etat d’Israël défaillant. C’est la fonction de cette doctrine du « cycle de violence ».
La relation euro-israélienne s’inscrit moins, comme le pense Milner, dans un contexte de parachèvement structural de l’œuvre de Hitler, ni dans celui du complexe de castration, que dans celui d’une reprise élargie des traditions néo-coloniales de « protectorat » de la nouvelle puissance européenne, vis-à-vis du Proche-Orient, dans la ligne de la diplomatie syrianiste française, c’est-à-dire du projet de la « Grande Syrie » des accords Sykes-Picot (mai 1916), accords secrets, comme sans doute bien des tractations aujourd’hui entre l’Europe, Arafat et la Ligue arabe. Car après fermeture de sa « parenthèse d’absence », le noyau dur de l’Europe reprend en fait le fil, certes un peu effiloché, de sa vieille politique de puissance, c’est-à-dire, comme on disait à la belle époque de l’empire colonial français, de « grande puissance musulmane » ( !). Mais en rivalité commune, cette fois, contre les Etats-Unis. (D’où la rage franco-européenne que Blair se soit allié à Bush pour reconquérir Bassorah en Irak !). D’après ces accords, la « Grande Syrie » francophone (Syrie-Liban) était dévolue à ce qu’on appelait la « France levantine », tandis que la Palestine était censée être internationalisée. C’est actuellement une configuration approchante concernant au moins Jérusalem que l’on vise. Il y a de grandes continuités de pensée et d’ambition au Quai d’Orsay. Aujourd’hui, introduisant un pied dans la porte du conflit israélo-arabe, jouant sa partie dans le nouveau jeu « multilatéral » international, l’Europe soutient discrètement mais massivement la guerre palestinienne pour se rapprocher de l’objectif des ambitions françaises d’avant-guerre. Il s’agit d’assurer à la superpuissance européenne ses zones d’« influence » dans le Proche-Orient arabe : Liban, Syrie, Palestine, hier l’Irak. Et c’est à cela qu’Israël, allié des Etats-Unis, fait évidemment obstacle (et non pas, Milner, à l’«impossible » du rapport sexuel !).
Ces ambitions ne peuvent être comprises qu’à l’intérieur de l’horizon de prévisions stratégiques sur lesquelles table l’Europe pour le XXIè siècle, qui est le siècle de sa réédification. Libérée de l’hypothèque que représentait la menace de l’Est, l’horizon européen se dégage pour un nouveau type de « présence » globale à l’échéance du siècle qui commence. Or ces perspectives sont entravées par la politique américaine, qu’elle perçoit comme une hybris « agressive », une volonté de dominer seule le monde. Tout empire étant éphémère, elle mise, dans l’espace du siècle, sur un déclin, voire sur l’« effacement » de la puissance américaine. A écouter les géopoliticiens européens, celle-ci, après l’effondrement de l’URSS, aurait amorcé un tournant « incompréhensible » par rapport à sa tradition d’isolationnisme — ou d’intervention en consensus avec les Européens — en partant à la « conquête militaire » du monde, et cela sans disposer des moyens gigantesques, en ressources démographiques, administratives et financières, qu’il faudrait pour soutenir un tel projet de domination globale unilatérale. Mais ils se rassurent, ce ne serait là que « démonstration de force » théâtrales et rodomontades à la Rambo (cf. Todd). L’Amérique, devenue « insensée », aurait simplement perdu la conscience de ses limites, car le monde est bien trop vaste et trop complexe pour l’hégémonie d’un seul État, fut-il de loin le plus puissant militairement. La force militaire n’est pas tout quand on n’a derrière soi ni suffisamment d’amis et d’alliés, ni de ressources économiques, lesquelles se réduisent. L’économie américaine étant très vulnérable, car elle dépend d’un gigantesque crédit spéculatif et artificiel, et sa part relative dans l’économie mondiale diminue.
L’expérience historique douloureuse de tous les empires européens jusqu’ici ayant été de se heurter à l’impossibilité de soutenir l’effort de leur administration coloniale au-delà de certaines limites d’espace et de temps, ils voient d’un très mauvais œil l’Amérique s’engager seule là où, collectivement, ils n’ont pas réussi, et ont été obligés de battre en retraite sous le mot d’ordre américain d’autodétermination des peuples (décolonisation) ! Aussi l’Europe prévoit-t-elle, à terme, l’échec de l’ « empire américain » au XXIè siècle. Elle commence par « signifier ses limites » à la puissance américaine. Mais au-delà, elle se prépare pour l’échéance de son échec. Tel est son calcul. Toute sa propre stratégie est de se préparer à prendre la relève d’une supériorité de l’Amérique qui n’est que temporaire, qui se repliera, épuisée par un effort au-dessus de ses moyens.
Une fois placé dans cet horizon stratégique, le jeu européen au Proche-Orient est clair. Il est programmé à l’échéance du siècle à venir, et axé sur l’alliance arabe dans la zone de la Grande Syrie. Il faut d’abord à l’Europe symétriser le conflit israélo-palestinien puis le livrer à des instances « internationales » (multilatérales) capables de redistribuer les cartes par rapport à la donne du statut quo de 1948 et 1967, resté inébranlé malgré plusieurs guerres anti-israéliennes. Symétriser puis intervenir en « tiers ». Par cette volonté d’internationalisation d’un conflit qu’elle entretient et finance, l’Europe cherche à créer les conditions dans lesquelles elle pourra se présenter le moment venu comme le « protecteur » et le médiateur indispensable afin d’imposer une prétendue « paix juste et durable », et cela au titre d’acte diplomatique inaugural majeur de la Nouvelle Europe, faisant ainsi son entrée solennelle comme superpuissance impériale pacificatrice du Moyen-Orient.
Cette ligne est une constante du Quai d’Orsay, de Védrine à Villepin. L’Union Européenne appliquerait par là sa doctrine de la « subsidiarité », c’est-à-dire d’intervention en fonction de suppléance propre à une entité supranationale, par rapport à une situation de vide politique, que le prétexte de la carence du petit État juif (soit à faire la paix soit à imposer l’ordre) semblerait rendre nécessaire aux yeux d’une opinion mondiale « excédée ». Elle entend ainsi limiter drastiquement la souveraineté d’Israël (jusqu’à l’internationalisation de Jérusalem ? jusqu’à l’Etat binational ? jusqu’à un nouveau protectorat euro-arabe ? ), en commençant par le dépouiller de sa force de dissuasion nucléaire (Pascal Boniface). C’est la question des buts de guerre qui nous sont cachés. En tout état de cause, les derniers développements de la position de la diplomatie française par rapport aux tentatives de la Ligue Arabe d’imposer un désarmement nucléaire d’Israël, doivent être suivis avec attention. Dominique de Villepin et les ministres européens ont encore parlé récemment du « projet de création d’une zone exempte d’armes de destruction massive au Moyen-Orient », ceci étant valable pour «100% des pays », reprenant ainsi à leur compte les intentions de la Ligue Arabe [4].
NOTES (valables pour les deux parties de l’article):
[1] Cf. Jean-Claude Milner, Les penchants criminels de l’Europe démocratique, ed. Verdier. Le livre a paru fin novembre 2003.
[2] Jacques-Alain Miller, Lettre à l’opinion éclairée, ed. Seuil, 2002, p. 157-162-163. Sur l’anorexie, justement, la chasteté stérile et l’antijudaïsme de Simone Weil comme volonté de ne pas avoir de postérité pour ne pas « continuer le monde » (Weil est l’anti-Arendt) et ainsi ne pas transmettre sa « tare » juive, voir les remarques de Milner.
[3] Cf. les analyses classiques de Mikhaïl Bakhtine, « Récit épique et roman » dans Esthétique et théorie du roman, p. 441, Gallimard-NRF, 1978, et plus récemment, René Rivara, La langue du récit, ed. L’Harmattan, 2000.
[4] Cf. Michel Darmon, La politique française vise à démanteler la citadelle d’Israël, in revue d’information France-Israël, n°324, oct-dec. 2003.
Par Mena (Mena) le vendredi 05 mars 2004 - 19h11: |
Communications :
- Les actes décrits dans le Témoignage d’un Autodafé proposé avant-hier par Jean-Albert Hazout se sont déroulés le 2 mars 2004 et non 2003 comme publié par erreur.
- Réservez votre soirée du 18 mars. C’est à cette date que les Amis de la Ména, en collaboration avec d’autres associations, organisent leur Premier Jeudi de Primo. A l’occasion de cet événement, Primo-Europe a invité notre rédacteur en chef Stéphane Juffa à s’exprimer publiquement lors d’une conférence exceptionnelle à Paris. Le programme de cette soirée sera publié ces jours prochains sur les sites de Primo, de la Ména, ainsi que sur les supports des co-organisateurs de l’événement.
- Alerte virus ! Certains partis désireux d’atteindre à la bonne diffusion des articles de notre agence ainsi que de saboter les ordinateurs de ses lecteurs ont entrepris ces jours d’envoyer par le Net de faux emails de la Metula News Agency. Les récipiendaires sont invités par ces canailles à ouvrir des pièces jointes ainsi qu’à activer des liens qui figurent sur leurs emails. Ces opérations ont pour conséquence d’infecter les équipements de leurs victimes.
La direction de la Ména informe ses abonnés que ses messages d’information ne contiennent jamais de pièces jointes et qu’il y a lieu d’éliminer immédiatement et sans les ouvrir ces faux messages. De plus, devant la prolifération de ces actes de malveillance ainsi que de virus de toutes sortes sur le Net, nous vous invitons vivement à utiliser des programmes antivirus performants et à les mettre quotidiennement à jour ! La plupart des programmes antivirus reconnaissent d’ailleurs les faux emails des saboteurs et avertissent les utilisateurs de la présence des virus.
La direction de la Ména informe également ses abonnés que l’agence est équipée d’antivirus très performants et que le risque d’être contaminé par un message original de notre agence est virtuellement inexistant. Une attention minimale de nos lecteurs impliquant le suivi des indications ci-dessus leur permettra de continuer à prendre connaissance du contenu de nos articles et analyses sans encombres et sans risques pour leur matériel.
Par Francois (Francois) le vendredi 05 mars 2004 - 19h02: |
En tant que Juive ou Juif, j'affirme
- être opposé aux opinions de Messieurs Roni Brauman, Eyal Sivan, Michel Warshavski, Théo Klein, Edgar Morin, Dominique Vidal et de leurs compagnons,
- qu'ils ne sont pas représentatifs des Juifs de France comme d'Israël,
- que leurs opinions sont totalement marginales tant en France qu'en Israël.
- que leur description d'Israël comme Etat malfaisant voire criminel n'a aucun rapport avec la réalité
- que les politiques qu'ils préconisent n'apporteraient pas la paix mais mettraient gravement en péril la sécurité d'Israël
- que ma signature ne vise pas à stigmatiser ces personnes mais à rétablir une vérité tronquée
http://www.petitiononline.com/usurpati/petition.html
Par Mounia (Mounia) le vendredi 05 mars 2004 - 18h15: |
Débat sur les droits de la femme en Arabie Saoudite
De hauts responsables et hommes d’affaires saoudiens ont participé au forum économique de Djedda, entre le 17 et le 19 janvier 2004, ainsi que les dirigeants de différents pays, comme le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, le Premier ministre libanais Rafiq Al-Hariri, l’ancien président des Etats-Unis Bill Clinton et l’ancien Premier ministre de Malaisie Mahathir Mohamad.
Pour la première fois, des femmes d’affaires saoudiennes participaient au forum en compagnie des hommes. Certaines d’entre elles ne portaient pas le voile (hidjab). Or, dans les précédents forums, les femmes n’étaient autorisées qu’en circuit fermé télévisé. Les rapports de médias sur la conférence comportent des photographies de participantes non voilées, ce qui a soulevé la colère de l’establishment religieux saoudien. (1)
Au cours de la conférence, la femme d’affaires saoudienne Lubna Al-Alian, qui a prononcé un discours sur « la perception saoudienne de la croissance » devant tous les participants, a eu un effet marquant. Elle a notamment dit : « Sans véritable changement, il sera impossible d’accomplir de véritables progrès. Si nous voulons des progrès en Arabie Saoudite, il n’y a pas de substitut à la réforme. » (2)
Commentant le discours d’Al-Alian, Nahed Taher, économiste de la banque Al-Ahli en Arabie Saoudite, a confié à l’AFP : « En tant que Saoudienne, je pense que nous avons accompli un acte historique, grâce à vous, Lubna (…) Nous, femmes, avons été reléguées à nos foyers pour cause de discrimination, mais aujourd’hui, il existe une volonté politique de nous accepter dans la vie quotidienne (…) Le changement constitutionnel est nécessaire au renforcement du rôle de la femme [dans la société], un rôle complémentaire à celui de l’homme. » (3)
Voici quelques réactions à l’événement :
Condamnation par le mufti saoudien de la présence de femmes au forum
Le cheikh Abd El-Aziz El-Cheikh, mufti d’Arabie Saoudite, a condamné la mixité du forum et la publication de photos des femmes d’affaires saoudiennes non voilées dans la presse. Dans un communiqué officiel, il a déclaré : « Ces derniers jours, nous avons suivi les événements du forum économique, lesquels appellent notre condamnation (…) »
La présence d’hommes et de femmes dans un même lieu est clairement interdite. Allah a dit des femmes du Prophète, les femmes les plus pures et les plus pudiques de ces deux mondes : ‘Et quand vous leur demanderez quelque chose, [faites-le) derrière un écran. Ce sera [un gage de] pureté pour vos cœurs et les leurs.’ [le Coran 33 : 53]. Allah a demandé à ce que les propos tenus entre les femmes du Prophète et ses compagnons se fassent avec un écran interposé. [Cette injonction] découle clairement de l’interdiction de mêler [les sexes], de l’obligation pour la femme de porter le voile et de l’interdiction de montrer son visage (…)
J’enjoins ceux présents au forum à craindre Allah, Son courroux et le châtiment qu’Il destine à ceux qui transgressent Son commandement, dévient du chemin de la droiture et permettent que s’ouvrent les portes du mal (…) Je condamne clairement une telle attitude, interdite par l’islam, et [vous] mets en garde contre ses conséquences catastrophiques. Ma douleur est accentuée par le fait qu’un comportement aussi pervers puisse exister en Arabie Saoudite, pays dont les dirigeants s’efforcent d’appliquer [les commandements] de la charia (…) » (4)
Un journaliste saoudien : un « progrès significatif »
Les journalistes arabes ont qualifié la participation de femmes au forum de Djedda de succès important pour les femmes d’Arabie Saoudite. Nasser Al-Sarami écrit dans son article, paru dans le quotidien saoudien Al-Riyad :
« (…) La présentation de Lubna Al-Alian est un pas important pour la croissance nationale dans tous les secteurs (…)
Il ne fait aucun doute que les Saoudiennes sont intelligentes, dotées de qualités, d’une volonté et d’une assurance inébranlables. Elles sont [aussi] assurément moins corrompues que les hommes, contrairement à l’image que certains essaient de donner. Si vous ajoutez à cela leur diplomatie naturelle bien connue, alors vous vous trouvez face à des personnalités hors du commun. Pourquoi donc les femmes ne jouent-t-elles pas un plus grand rôle [dans la société] ?
Lubna Al-Alian souligne que le pays doit pourvoir un terrain fertile en encourageant les investissements, en mettant fin au processus bureaucratique exténuant, en facilitant les entrées et les sorties du pays et en réexaminant [l’attribution] des visas. Ces réclamations et cette perception mûre sont le fait de la fille de feu Suleiman Al-Alian ; c’est la première fois qu’une femme d’affaires saoudienne s’adresse à un public [d’hommes] directement, et non par le biais du circuit fermé télévisé. Il s’agit là d’un progrès significatif, au vu des problèmes économiques et sociaux [de l’Arabie Saoudite]. Avec ce type de personnes, le changement ne manquera pas d’arriver. » (5)
Un journaliste koweïtien : le rôle caché des Saoudiennes commence à être mieux connu
Ahmed Al-Jarallah, directeur du quotidien koweïtien Al-Siyassa, écrit dans un éditorial : « Le rôle caché des femmes saoudiennes commence à être mieux connu, et les gens commencent à comprendre que les femmes jouent un rôle égal à celui des hommes saoudiens, dans l’économie, les banques, les universités, la médecine et les hôpitaux. Ce rôle a été révélé au cours de toutes les sessions du forum de Djedda, qui s’est ouvert il y a deux jours et a été qualifié de précédent historique (…)
Il ne fait aucun doute que l’émir Abdallah ibn Abd El-Aziz, prince héritier d’Arabie Saoudite, qui a conduit la grande réforme de son royaume, a suivi le déroulement du forum de Djedda et a été fier de Lubna bint Suleiman Al-Alian, Dr Haifa Himl Al-Layl, Dr Salwa Hazza, Dr Thuraya Al-Aridh et Dr Nahed Taher, qui ont toutes participé aux activités du forum. Deux d’entre elles se sont tenues debout sur le podium lors de la conférence de presse, à laquelle ont participé un grand nombre de journalistes saoudiens, arabes et étrangers. Ainsi est apparue la femme saoudienne, enfin révélée [au monde].
Telles sont ses qualités, dévoilées au forum de Djedda : la culture, le bon sens, la compréhension et l’argent. La femme saoudienne a prouvé qu’elle était à l’opposé de la description qu’en font ceux qui oppriment [les femmes en disant] qu’elles ne sont bonnes qu’à porter des enfants et préparer à manger (…)
Le prince héritier [saoudien], l’émir Abdallah, a probablement été heureux et fier face aux brillants esprits de ces femmes saoudiennes (…), universitaires et femmes d’affaires, qui ont manifesté fierté et assurance en évoquant le rôle de la femme saoudienne, sa capacité de production, ses facultés mentales et économiques. Aujourd’hui, nous attendons un autre forum [à Médine], entièrement consacré au débat sur la situation de la femme, et nous espérons qu’il sera du même niveau [que le forum de Djedda]. » (6)
Un quotidien édité en arabe à Londres : Un geste audacieux sans précédent
Dans un éditorial du quotidien londonien Al-Qods Al-Arabi, intitulé « La révolution féminine en Arabie Saoudite », on peut lire : « L’Arabie Saoudite connaît actuellement les douleurs de la naissance à tous les niveaux : politique, social et économique. Le ‘royaume du silence’, comme le qualifient de nombreux journalistes, doit actuellement relever le plus grand défi de son histoire, en optant pour l’ouverture, en quittant la coquille du ‘conservatisme’, en abandonnant le ‘pacte’ politico-religieux conclu avec les oulémas conservateurs à la base du régime.
Le phénomène sans précédent du forum économique de Djedda (…) est considéré comme une révolution, et indique qu’une nouvelle étape a été franchie, qui nous sort des 15 siècles précédents.
L’audace de Lubna Al-Alian, directrice générale de l’établissement financier Alian, apparue non voilée au forum économique de Djedda et intervenue sur le podium devant hommes et femmes confondus, est un événement historique qui la place au même niveau que Huda Sharawi, pionnière de la modernité en Egypte au début du siècle précédent.
Si Mme (7) Al-Alian avait osé agir ainsi l’année dernière, elle aurait reçu les coups de fouet de la police religieuse [saoudienne]. Si le forum économique de Djedda avait, il y a deux ans, abrité hommes et femmes, il aurait été incendié, et les femmes y participant auraient été accusées de licence et d’avoir enfreint les [principes] religieux ; elles auraient peut-être été lapidées.
Il est clair qu’une telle réunion, avec la participation de femmes ‘provoquant’ l’establishment religieux traditionnel, ne serait pas arrivée sans les encouragements de la famille gouvernante ou d’une partie de cette famille, et si [la famille au pouvoir] n’avait pas pris la décision de se démarquer de l’establishment religieux traditionnel, pour faire plaisir aux libéraux qui réclament la réforme et sous l’effet des pressions américaines (…)
(…) La condamnation de mufti [saoudien] était modérée et faible, et ne correspond pas au ton traditionnellement adopté par son institution. Peut-être cette condamnation a-t-elle été dictée d’en haut par les autorités, afin d’absorber la colère et l’amertume des oulémas (…)
Il est toutefois vrai que la permission accordée aux femmes de participer aux forums - ce qui représente une étape libérale et réformatrice - demeure hautement marginale. La véritable réforme est politique, et étend la participation [des sujets à la vie du] régime ; elle consiste à réformer le système judiciaire, à promouvoir l’égalité, à agir avec justice, à cesser de gaspiller les fonds publics et à restituer ce qui a été pillé par la corruption, les commissions et les dons de terres. » (7)
L’ancien directeur d’Al-Sharq Al-Awsat : les femmes saoudiennes ont régressé et non progressé.
Abd El-Rahman Al-Rachid, ancien directeur du quotidien Al-Sharq Al-Awsat, édité en arabe à Londres, a minimisé l’importance de la participation des femmes non voilées au forum de Djedda, dans un article intitulé ‘La conférence manquante’ : ‘Je suis surpris de voir des gens s’enthousiasmer de la participation de 10 saoudiennes à la conférence d’affaires de Djedda - leur participation n’ayant été que d’ordre décoratif – ainsi que de l’attention qu’elle a suscitée dans et en dehors de nos frontières. A mon avis, [cette participation] ne représente rien de plus qu’un quart de pas en avant.
Pour bien saisir la petitesse de ce pas, il convient de regarder l’image dans son ensemble. Comparez ce quart d’étape aux mille pas en arrière [de l’Arabie Saoudite] la même semaine.
Le Dr Ali Al-Afis, directeur de l’Institut général d’études technologiques, s’est empressé d’écarter l’idée de la création d’un institut d’études technologiques pour femmes. Ainsi, le danger de se retrouver officiellement démuni du droit d’acquérir la moitié des connaissances qui existent aujourd’hui – c’est-à-dire d’études technologiques - menace plus de trois millions de femmes.
Dans une telle situation, que représente la présence de 10 femmes à la conférence, 10 femmes dont les activités et l’impact ont été oubliés avec le départ des participants et l’arrivée des femmes de ménage, et dont il ne reste qu’une photo souvenir ? (…)
La vérité est qu’une femme respectable et accomplie, comme Lubna Al-Alian, n’aurait pas atteint son niveau sans sa volonté et celle de sa famille (…)
L’ouverture d’instituts technologiques pour femmes aurait été une réussite mineure dans un pays qui a déjà fait le grand pas [de permettre] aux femmes d’étudier – il y a plus de trois siècles. La décision de refuser [la création d’instituts technologiques pour femmes] aura des effets indésirables sur la situation du pays d’ici un siècle, aux niveaux économique et social.
Quant à la présence de ces 10 femmes à la conférence, elle était purement décorative, même si elle leur a octroyé un certain degré de confiance en elles. Mais que représente cette confiance pour ces participantes, qui ont déjà plus d’assurance et d’argent que la plupart des participants hommes ? Et à quoi sert-il de faire confiance [aux femmes] si c’est pour leur nier [le droit d’intégrer] les instituts et de trouver du travail ? Que vaut l’apparition de 10 femmes quand trois millions de jeunes filles n’ont pas le droit de faire des études dignes de ce nom ? » (8)
[1] Les photos des participantes non voilées ont été publiées, notamment dans le quotidien saoudien Okaz, le 27 janvier 2004, et dans le quotidien Al-Qods Al-Arabi, édité en arabe à Londres, le 21 janvier 2004.
[2] Al-Qods Al-Arabi (Londres), le 18 janvier 2004.
[3] IslamOnline.net, le 18 janvier 2004 ; Al-Qods Al-Arabi (Londres), le 18 janvier 2004.
[4] Al-Jazirah (Arabie Saoudite), le 21 janvier 2004.
[5] Al-Riyad (Arabie Saoudite), le 19 janvier 2004.
[6] Al-Siyassa (Koweït), le 19 janvier 2004.
[7] Al-Qods Al-Arabi (Londres), le 21 janvier 2004.
[8] Al-Sharq Al-Awsat (Londres), le 26 janvier 2004.
Memri.org
Par Emma (Emma) le vendredi 05 mars 2004 - 18h12: |
L'armée israélienne a réalisé une simulation des obsèques d'Arafat
JERUSALEM (AP) - L'armée israélienne a réalisé une simulation des événements qui pourraient suivre le décès de Yasser Arafat. Tsahal a envisagé le lieu de ses obsèques, l'itinéraire du cortège funèbre, ainsi que de possibles émeutes ou une tentative de prise du pouvoir par le Hamas, rapporte vendredi le quotidien israélien "Haaretz".
Des sources militaires ont précisé au journal que l'exercice n'était pas lié à de nouvelles informations sur la santé du président de l'Autorité palestinienne, âgé de 75 ans, victime d'une mauvaise grippe intestinale l'été dernier, dont il s'est remis. L'armée n'a pas voulu commenter ces informations.
Par ailleurs, un groupe islamiste, le petit Parti de libération, a fait savoir cette semaine qu'il était opposé à une inhumation d'Arafat dans le complexe de la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem, troisième lieu saint de l'Islam. Dans un tract, le mouvement qualifie Arafat d'"infidèle" pour avoir épousé une chrétienne. Le Parti de libération, qui compte quelque centaines de partisans en Cisjordanie et à Jérusalem, est soupçonné d'être à l'origine d'un accrochage lors de la visite du ministre égyptien des Affaires étrangères Ahmed Maher à l'Esplanade des mosquées l'an dernier.
Des membres du cercle rapproché de Yasser Arafat ont confié que lors de la maladie du dirigeant palestinien l'an dernier ils avaient discuté entre eux du possible lieu de sépulture d'Arafat. Mais lui-même n'a jamais révélé quel était son choix. Selon la presse israélienne, il souhaite être enterré dans une crype à la mosquée d'Al-Aqsa. AP
Par Email (Email) le vendredi 05 mars 2004 - 08h56: |
Par Claudia (Claudia) le vendredi 05 mars 2004 - 07h12: |
SERGE KLARSFELD et l'Association
Les Fils et Filles des Déportés Juifs de France
F.F.D.J.F. - Militants de la Mémoire -32, RUE LA BOETIE - 75008 PARIS -
Président: Me Serge Klarsfeld - Tél: 01 45 61 18 78 / Fax: 01 45 63 95 58 / E-mail: f.f.d.j.f@noos.fr
RAPPELLENT LE SOUVENIR DU CONVOI 69
QUI A QUITTE LE CAMP DE DRANCY LE 07 MARS 1944
POUR LE CAMP D'EXTERMINATION D'AUSCHWITZ-BIRKENAU,
AVEC 1496 DEPORTES DONT 177 ENFANTS.
LE DIMANCHE 7 MARS 2004,
DEVANT LE MONUMENT DE DRANCY, SERONT LUS,
A MIDI, LES NOMS DE TOUS LES DEPORTES DU CONVOI N° 69
(114 av. Jean Jaurès- DRANCY- bus 151 du métro Porte de Pantin
. Descendre à " Place du 19 mars 1962 ")
VENEZ NOMBREUX HONORER LA MEMOIRE
DE NOS DEPORTES MEME S'ILS N'ETAIENT
PAS MEMBRES DE VOTRE FAMILLE.
CEUX QUI LE DESIRENT POURRONT
PRENDRE LA PAROLE POUR RAPPELER
LE SOUVENIR DE LEURS PROCHES
QUI ONT ETE DEPORTES PAR CE CONVOI.
Par Email (Email) le vendredi 05 mars 2004 - 03h14: |
Question :Sur la liste des produits autorisés de l' ACIP, les tablettes de chocolat de marques de grandes surfaces (Carrefour ...) ont disparu. Est-ce volontaire (ce n'est plus cachere) ou simplement un oubli ?
Réponse du Rav Wolff
La législation du chocolat a changé en Europe et certaines sortes de végécao (mélange de matière grasse végétale, beurre de cacao,caca o)sont appelées chocolat; alors qu'autrefois uniquement le mélange beurre de cacao, poudre de cacao et sucre gardait l'appellation chocolat : la graisse végétale étant transportée ou hydrogénée à chaud il y a un risque de contamination avec des produits non cachers (saindoux : graisse de porc).
Les conches des chocolatiers étant communes au chocolat noir et au chocolat au lait; il existe un risque de traces de lait et donc de contamination croisée entre les produits ainsi qu'une controverse hala'hique quand à l'utilisation des ustensiles.
Conclusion : On ne peut pas interdire de manière formelle le chocolat du commerce mais on ne peux l'introduire dans une liste de produits cachers. Néanmoins il existe en France deux usines Lindt (France) et Cemoi (dipi cantalou) qui ont des conches séparés pour leur chocolat noir et continuent de travailler de manière traditionnelle : leur chocolat noir est donc permis.
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 05 mars 2004 - 03h12: |
Un nouveau comique juif tunisien sidney fait grand bruit en ce moment ,ou il fait salle comble au cafe oscar 155 rue montmartre 75002 paris .
Le premier stand up a la lenny bruce ou il ecorche tous les travers de notre societe avec un humour neuf et une intelligence d'esprit qui n'est pas sans rappeler un certain patrick timsit. ce jeune bellevillois a débuté au theatre trévise le dimanche soir en scene ouverte et joue actuellement son one man show en show case a l'oscar avant de se tester au petit palais des glaces en septembre prochains.
J'invite tous les membres d'harissa a se rendre pour voir son spectacle un tres grand moment de rire .
Si harissa pouvez en parlez sur son site qui est une reference dans la communautée ce serait tres sympas .
Voir sur le site webguichet.com la plus grande billeteries internet de spectacle critiques et coordonnées.
Sidney un talent en devenir.
Johan Bensimon
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 05 mars 2004 - 03h07: |
Le " KEREN MAALE ADOUMIM-UNE LEÇON DE VIE "
et
LA SYNAGOGUE DE LA PLACE DES VOSGES
Vous convient le
Dimanche 14 MARS A 21 H
14 PLACE DES VOSGES 75004 PARIS
à une grande soirée d'information
avec la participation exceptionnelle de
BENNY KASHRIEL
Maire de Maalé Adoumim
ARNO KLARSFELD
FREDERIC ENCEL
Professeur de géopolitique
CLEMENT WEILL RAYNAL
Journaliste, Ecrivain
" MAALE ADOUMIM, UN JOYAU A LA LISIERE
DE JERUSALEM "
Réservation obligatoire:
madoumim@hotmail.com
NOMBRE DE PLACES LIMITEES
PAF : 15 Euros/ Tarif étudiant : 10 Euros
Un reçu cerfa pourra être délivré sur demande
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 04 mars 2004 - 21h11: |
4 breves de l'Ambassade dIsrael a Paris :
Visionnez les derniers évènements commerciaux franco-israéliens en vidéo
Les derniers évènements commerciaux franco-israéliens sont disponibles en vidéo. Sont notamment consultables les discours des Ministres des Affaires étrangères français et israélien, prononcés lors du dernier Gala de la Chambre de Commerce France-Israël.
Pour consulter les vidéo : cliquer ici
http://ns2491.ovh.net/~videoscc/franco-israel/
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Concert "Guitare Méditerranéenne" à Avignon
En préambule à la 4ème édition du Festival de culture israélienne, un concert exceptionnel sera donné le jeudi 11 mars 2004 à Avignon.
"La Guitare Méditerranéenne" - programme de Liat Cohen (guitare), Ricardo Moyano (guitare) et Mété Aslan (Oud).
20h45 au Cinéma Vox - Place de l'Horloge à Avignon.
Pour tout renseignement et réservation :
06 80 16 07 92
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Madonna donnera un concert en Israël cet été
Dans le cadre de sa tournée mondiale, Madonna donnera un concert en Israël cet été. Ce concert aura lieu aux Colonnes de Salomon, près d'Eilat.
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Basket : le "Final Four" de l'Euroligue à Tel-Aviv
Les 4 meilleures équipes européennes disputeront le "Final Four" à Tel-Aviv du 29 avril au 1er mai prochain. 16 équipes sont encore en compétition, dont les Israéliens du Maccabi.
Le Maccabi Tel-Aviv a déjà remporté 4 fois le titre suprême européen, en 1977, 1981, 1988 et 2001.
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Bonne fete de Pourim a tous les Harissiens :
Don't worry, be happy !