Par Citron (Citron) le jeudi 11 mars 2004 - 19h07: |
salut slim
pour ton invité ( memem si je suis nul en cuisine)je te conseille de bien insister sur la kamia ( torchi, olives vertes, noires,harissa,des ptit bricks........tu as une panoplie sur ce site:section bouffe) et puis un tajin (minina par exemple) le tous arrosé de bonne boukha bien frappée.
aprés tu peux choisir de faire iin sbanyoura (l'oiel de l'espagnol) a tunis ils lappel aussi le boulis m'kattef( viande bien épicé en forme de baton et a lintérieur y a des oeufs dur et tu coupe en tranches et tu serv ca avec une sauce). c trés bon ( du moins lorseque ma mére le prépare)
et puis si tu peut te débrouiller pour du bon makroud pour la soirée. et bichfé
vous habiter encore Ny ?je devais aller a new york pour la fin mars 2004 mais jai reporté mon voyage aux USA pour l'été 2004 probablement vers fin juin,
le 20 mars , si l eternel le permet , je serai a toronto et puis montreal.(jy reste jusqu'en été)
si tu fais un saut vers le nord , je serai ravie de vous rencontrez( montréal - newyork:6 heures maximun en voiture).
je vous dis a bientot
citron
celtia.1@laposte.net
Par Email (Email) le jeudi 11 mars 2004 - 19h20: |
Mes amis,
Voici l'adresse du site du théâtre du chêne Noir, géré par MOnsieur GELAS, le théâtre qui va "accueillir" CE SOIR 11 mars 2003 le provocateur converti dieudoNNé : http://www.theatreduchenenoir.asso.fr/sommaire.htm
Monsieur GELAS laissera ce soir dieudoné invectiver les Juifs, au nom de la "liberté d'expression des ARTISTES", il se rend ainsi complice des incitations à la haîne raciale du drôle d'agitateur.
Ceux qui insultent sont ceux qui souffrent, or ce malin qui a lassé son public joue sa dernière carte et tente celle de la victimisation, carte noire de la médiatisation provocatrice, en ce noir théâtre de MOnsieur GELAS du théâtre du chêne noir.
Lorque dieudoné est sorti de son rôle, qu'il se mêle d'importer les conflits résultant d'ambitions islamistes, qu'il défie les règles de démocratie que notre actuel gouvernement est en difficulté de faire respecter, Monsieur GELAS qui lui, lit la presse et ne peut ignorer les conséquences de de cette importation, persiste dans l'attitude provocatrice qui l'a fait connaître, il n'entend pas les témoignages d'enfants tabassés en région parisienne, il n'est pas sensible aux bombes et incendies qui ont frappé les écoles, ou lieux de culte.
Que vient faire dans l'art le drapeau israëlien dont il se vante en France de se torcher ? J'espère qu'à moyen terme un boycote massif viendra le faire réfléchir sur ses choix manipulateurs.
DES QUESTIONS SANS POSSIBLE REPONSE de vive voix car aujourd'hui, 11 mars 2003, L'Homme du Site n'est pas disponible, trop occupé, il ne répond pas au téléphone.
Je vous propose de lui écrire dans sa rubrique "contactez-nous" quelques mots qui se transformeront peut-être en maux, hypothètique malaise de vivre sa marginale conception de marketing.
Colette MOULY désolée.
http://www.theatreduchenenoir.asso.fr/sommaire.htm
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 11 mars 2004 - 19h13: |
Bien entendu Maurice !!! c est exactement ce que j ai envoye !!! une blague de pourim !!! mais certains ont plonge !!! trop drole !!! Bravo connec 'sion
Par Primo (Primo) le jeudi 11 mars 2004 - 19h04: |
Primo-Europe [http://www.primo-europe.org/index.php] , l’association des Amis de la Ména communique :
Pour l’inauguration de notre cycle de conférence régulier Les Jeudis de Primo ainsi que pour marquer d’une pierre blanche le premier anniversaire de notre association Primo-Europe, nous avons le plaisir de vous convier à la conférence exceptionnelle que donnera monsieur
Stéphane Juffa
rédacteur en chef de la Metula News Agency et analyste stratégique
le jeudi 18 mars 2004 à 20 heures 30 au Temple de Pentemont, 106, rue de Grenelle, à Paris
Stéphane Juffa abordera les problèmes liés à la représentation médiatique du conflit proche oriental dans les médias francophones
et fera le point des enquêtes de l’Affaire A-Dura et de Un œil sur la planète.
Il commentera la situation à la veille du repli unilatéral de Gaza et envisagera les conditions de l’après repli.
Le conférencier répondra par la suite aux questions du public
Métro : rue du bac
Contact presse : Liliane Messika, téléphone 06 80 91 88 98
Par Edmond (Edmond) le jeudi 11 mars 2004 - 19h02: |
La France antisémite? Chirac prétend que non.
Lisez un peu ce qui suit et faites lui part de ce que vous en pensez.
Monsieur le Président de la République
Palais de l'Elysée
55, rue du faubourg Saint-Honoré
75008 Paris
http://www.elysee.fr/ecrire/mail.htm
Monsieur Jean-Pierre RAFFARIN
Premier ministre
Hôtel de Matignon
57, rue de Varenne
75700 Paris
http://www.premier-ministre.gouv.fr/fr/p.cfm?ref=6959
Monsieur Nicolas Sarkozy
Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité Intérieure et des Libertés Locales
Place Beauvau
75800 – Paris
01.49.27.49.27
http://www.interieur.gouv.fr/contact
Monsieur Dominique de Villepin,
Ministre des Affaires étrangères
37, Quai d'Orsay
75351 Paris
Tél. (33) (1) 43 17 53 53
http://www.diplomatie.gouv.fr/courrier/default.asp?lang=fr
Dominique de Villepin, ne donne pas d’adresse email, il est trop occupé et prétend avoir déjà répondu à toute les questions.« Nous recevons un grand nombre de courriers chaque jour, tous sont lus avec attention. Néanmoins, nous ne pouvons pas apporter une réponse à toutes les questions posées. Certaines n'entrent pas dans notre domaine de compétences. D'autre part, bon nombre de réponses se trouvent déjà en ligne, donc plus rapidement accessibles sur France Diplomatie. Afin de vous aider nous vous invitons, avant de nous envoyer un courrier, à consulter les FAQ ( Foire Aux Questions). Bien évidemment si vous ne trouvez pas de réponse satisfaisante, vous pourrez toujours nous écrire.
Vous trouverez ci-dessous différentes thématiques qui vous aideront dans votre recherche. »
Un cri d'alarme contre les incidents antisémites qui se multiplient dans les collèges.
Enfants juifs en danger Hélène Ahrweiler,ancien recteur de l'Académie de Paris, Etienne-Emile Baulieu,président de l'Académie des sciences, Georges Charpak,prix Nobel, Claude Cohen-Tannoudji, prix Nobel, Jean Dausset, prix Nobel, et François Jacob, prix Nobel Dans une classe de sixième d'un «grand» lycée parisien, un élève a été, pendant des mois, insulté, humilié, et brutalisé par deux garçons de son âge, des «camarades», au motif qu'il était juif. La terreur le rendait muet. Son calvaire est, trop longtemps, resté ignoré. Ni ses professeurs, ni le directeur de son établissement, n'ont su le protéger de la haine de ses agresseurs, faute de comprendre ou de reconnaître la nature de son agression.
Dans un collège du XXe arrondissement de Paris, un élève juif, physiquement menacé au nom «de tous les enfants palestiniens tués par sa famille», a dû quitter précipitamment son établissement, sur demande de la responsable de celui-ci, qui ne s'estimait plus en mesure d'assurer sa sécurité.
Dans un collège du nord de Paris, une jeune fille a été jetée à terre et rouée de coups par une vingtaine d'élèves, aux cris de «sale juive».
Faut-il rapporter d'autres agressions dans des collèges de banlieue, dont le nombre suffit à ôter tout caractère anecdotique ?
La portée historique et morale de ces événements récents, qui sont, hélas, symboliques, ne doit pas être atténuée : depuis l'époque de Vichy, nous ne pensions pas qu'en France des enfants juifs puissent être harcelés, de fait interdits d'école et en danger dans l'espace public.
Ni le conflit israélo-palestinien, ni les blocages de l'intégration sociale des jeunes issus de l'immigration, ni la confusion intellectuelle ambiante ne peuvent expliquer cette terrible régression.
Par une vigilance alertée, constante, infaillible, regardons l'antisémitisme bien en face quand il se manifeste. Par une action intransigeante, sanctionnons fermement ses auteurs, et non leurs victimes, qu'il est de notre devoir de protéger.
Gravement inquiets, nous nous adressons solennellement aux enseignants, aux chefs d'établissement, aux surveillants des écoles, collèges et lycées de France : ne laissons pas l'antisémitisme gangrener l'école républicaine.
Nous les appelons :
à se concerter et s'organiser pour dénoncer collectivement et punir publiquement les actes et propos antisémites dont ils seraient les témoins ou les juges, afin que chacun, dans les établissements scolaires et au dehors, mesure leur détermination dans ce combat pour l'égalité civique, dont nous ne doutons pas ;
à ne rien céder dans les enseignements, à quiconque et sous aucun motif, de la mémoire de la Shoah, qui est aussi la mémoire nationale ; mais au contraire à transmettre avec une vigueur redoublée sa douloureuse leçon marquée d'horreur et d'inhumanité à notre jeunesse qui, plus que jamais, doit la connaître pour la faire sienne à son tour; à faire respecter chaque élève, quelles que soient ses origines, sa nationalité, sa religion ou ses opinions, au sein de la République française.
Par Maurice (Maurice) le jeudi 11 mars 2004 - 18h51: |
cher Hajkoufette c'est une blague de pourim
Par Nonette (Nonette) le jeudi 11 mars 2004 - 18h47: |
le miracle de Pourim-la conversion de B.Gates-j'y
ai betement cru:mysticisme béat certainement!en plus j'ai envoyé l'information à tous mes amis et horreur!au webmaster d'Harissa!!!qui me prenant pour une débile ne passe pas mes messages.
H.Musicant,je ne vous remercie pas!
..
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 11 mars 2004 - 17h35: |
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 09 mars 2004 - 19h02:
A S S O C I A T I O N D E S I N F O R M A T I C I E N S J U I F S D E F R A N C E
Association loi 1901
EDITORIAL DU PRESIDENT : SCOOP CONNEC'SION - BILL GATES CEO DE MICROSOFT SE CONVERTIT AU JUDAÏSME !!!
Desolee pour tout ceux qui sont tombes dans le piege jusqu a meme en impliquer des membres de leurs familles !!! MBD !!! ... mais voila la reponse qui est parue 2 jours apres l annonce pour le moins """ pourimesque """
Chers lecteurs,
J'espère vous avoir distrait avec ma blague de Pourim.
Helas pour nous, Bill Gates ne s'est pas (encore ?) converti au
Judaisme.
Cela ne l'empechera pas de donner de la tsedaka...
Cordial Shalom
Bernard MUSICANT
CONNEC'SION - Informaticiens Juifs de France
Par Pinacolada (Pinacolada) le jeudi 11 mars 2004 - 16h17: |
Cappuccino à Ramallah: Journal de guerre
Est-il raisonnable de se faire un Cappuccino quand la bruyante machine à café se trouve sur le plan de travail près de la fenêtre, et qu’elle peut être atteinte à tout moment par des tirs de chars? Question surréaliste ou prudence nécessaire?
Nous sommes en Palestine, de novembre 2001 à septembre 2002: les incursions de l’armée israélienne dans la ville de Ramallah se succèdent sans cesse. Le quartier de la Mouqata’a, siège de l’Autorité palestinienne, est régulièrement isolé, les infrastructures détruites… les couvre-feux consécutifs accablent la vie quotidienne des Palestiniens. C’est à ce moment que Souad Amiry, architecte momentanément désœuvrée faute de pouvoir sortir de chez elle, écrit, au début des mails, destinés à ses amis, puis son journal. Un Journal de guerre singulier, à la fois dur, drôle, tendre, accusateur, critique, autocritique. Elle y met sa vie et ses états d’âme, son quotidien dans le quartier de al-Irsal, à Ramallah, les longues périodes où elle ne peut pas sortir, assiégée, les moments où elle s’ennuie en attendant son mari Salim, bloqué à Jérusalem lors de l’isolement des territoires occupés.
Et apparaît Oum Salim, sa vieille belle-mère, coquette et maniaque, qui vit dans le quartier de la Mouqata’a encerclée par les chars israéliens, qui subit les bombardements destinés à son voisin Yasser Arafat et que Souad Amiry doit aller chercher et amener chez elle, en profitant de la levée du couvre-feu…
Comme dans tout journal intime, on pénètre le rapport de l’auteur aux événements, ses réflexions, le constat froid ou ému du drame qui se joue en Palestine, les rapports humains, les souvenirs, la joie et la colère. Mais ici, surtout, on se délecte de l’humour de l’auteur qui nous parle de l’absurde du quotidien, pour nous fait entrer dans l’absurdité de la guerre. Car la seule arme de Souad Amiry est l'ironie, chaque phrase dessine un acte de résistance poétique où les petits gestes, pourtant si dérisoires en temps de guerre, deviennent essentiels pour préserver à chacun sa propre part d’humanité.
«Ecrire mon journal était pour moi une sorte de thérapie» a expliqué Souad Amiry. Comme tant de Palestiniens, l’architecte/romancière a été prisonnière de son propre domicile, témoin muette, par écrans d’Al Jeezira interposés, des destructions, tueries et autres actes inadmissibles pour une communauté internationale qui pourtant continue de rester bien silencieuse…
Au départ, ce journal n’était pas destiné à la publication. Il a été ensuite publié en anglais, sous le titre Sharon and My Mother-in-Law (Sharon et ma belle-mère), puis traduit en hébreu et enfin en italien, chez l’éditeur Feltrinelli, pour devenir en France, où il vient de sortir, Cappuccino à Ramallah: Journal de guerre aux Editions Stock.
La conteuse s’évertue à survivre à la terrible Oum Salim, 93 ans. Ce personnage de fiction universel, belle-mère insouciante de ce qui se joue à l’extérieur, au moment où sa belle fille Souad vient la sauver de son isolement et des dangers du quartier de la Mouqata’a, après avoir contourné les dangers des check points, s’inquiète de son apparence: «Je prends la robe violette?» demande t-elle. «Tu penses que le jaune va avec le violet? Mais je ne trouve pas mon chemisier jaune…» insiste-t-elle. Chez Souad, ça ne va pas mieux: la moindre assiette est sujet à controverse, l’heure du petit déjeuner doit être respectée…
Aux supplices imposés par Sharon à tout un peuple, s’ajoute donc le supplice familial tragi-comique infligé à l’auteure, qui avait manifestement déjà subi sa belle mère à d’autres moments critiques. «Peut-être qu'un jour je vous pardonnerai de nous avoir imposé un couvre-feu de quarante jours. Mais je ne vous pardonnerai jamais de m'avoir obligée à subir ma belle-mère pendant ce qui m'a semblé alors quarante ans». Voilà ce qu’avait répondu un jour Souad Amiry à un auditoire israélien qui lui demandait à quoi ressemblait la vie d’un Palestinien pendant la guerre du Golfe.
Au delà des mille bizarreries de la belle-mère, le quotidien de la vie du quartier «bourgeois» d’al-Irsal, sous la plume de l’architecte, résonne de tous les bruits et de toute l’animation des ruelles populaires de Naples. Et l’Histoire, au fil des lignes, nous apparaît encore plus implacable parce qu’elle est tissée dans le réseau de la description frivole du quotidien.
L’exode de 1948, la confiscation des maisons et des terres palestiniennes, la vie quotidienne des bourgeois en exil dont celle de la famille de Souad Amiry (car elle a l’audace de parler depuis sa classe sociale des choses qu’elle connaît, de ses privilèges aussi), les violences gratuites, les destructions, les pillages, et, face à tout cela, la ténacité et l’esprit de désobéissance civile des Palestiniens. «Sortez vos casseroles et vos poêles et commencez à taper dessus» crie un voisin de Souad, exaspéré par les tirs incessants qui retentissent dans la nuit de Ramallah. «Je me rends compte que je ne rêve pas. Tout excitée, je rentre chez moi, cours à la cuisine et sors ma plus grande poêle en Téflon avant de me précipiter dans la rue. (…) Mon Dieu! Pourquoi les Palestiniens choisissent-ils de faire de la désobéissance civile en pleine nuit? Ce doit être l’effet décalant des longues siestes que nous avons faites durant ces treize derniers jours. Je sors dans la rue retrouver tous ces gens qui tapent sur leurs casseroles et je m’aperçois que j’ai oublié de prendre une cuiller. Je ne suis sans doute pas faite pour ce genre de résistance pacifique à l’occupation. Je dois admettre que cela me plaît bien. Je tape, je crie, je ris pendant qu’un voisin grimpe sur son toit et cogne sur le réservoir d’eau, qu’un autre frappe un poteau électrique en métal, un troisième une poubelle. On dirait un asile de fous. Peu importe, si Sharon et ses troupes ne reçoivent pas le message, au moins ce sera un excellent exutoire collectif».
Une analyse quotidienne des événements qui est loin d’être consensuelle. Car Souad Amiry outre les réquisitoires accablants pour les dirigeants israéliens et quelques individus méprisants tels que M. Bush, «le président du monde», livre ici et là quelques moqueries en parlant de la «transparence de l’Autorité palestinienne».
Racontant ses aventures à la première personne, elle n’oublie pas non plus sa propre peur, la peur envahissante lorsqu’on est une cible possible pour les soldats ou les colons israéliens. Elle nous raconte aussi la vie d’une architecte et ce n’est pas là le moindre mérite de ce journal. Se rendant à Naplouse avec ses collègues de l’association RIWAQ, en mai 2002, pour prendre la mesure des destructions dans la vieille ville où soixante-seize personnes avaient été tuées, dont une famille entière, elle nous fait partager ce qu’elle appelle sa «lâcheté». Elle veut rentrer à Ramallah, retrouver sa petite chienne Noura. «La destruction de la vieille ville de Naplouse m’a ébranlée autant que les deux événements les plus douloureux de ma vie: le décès de mon père et la vaine recherche de la maison de ma famille à Jaffa».
Car pour Souad Amiry il y a pire que l’occupation réelle, «l’occupation de l’âme», la peur de devenir inhumain sous l’occupation, la guerre archéologique… car le patrimoine architectural palestinien, déjà gravement atteint, est en train de disparaître. Tant de maisons traditionnelles passées après 1948 aux nouveaux et illégitimes propriétaires israéliens… dont celle de sa famille, à Jaffa. «De toute façon, nous sommes interdits de fouilles. Les Israéliens ne sont intéressés que par une seule strate archéologique, la leur. Tout comme nos fondamentalistes, qui ne sont intéressés que par une seule couche. La pureté est dangereuse. Moi, je suis fière de tout: des Grecs, des Romains, des Juifs. Israël a fait beaucoup d'efforts pour nous prouver ce que nous savons déjà: que les Juifs étaient déjà là. Et je suis triste de la disparition des Juifs des pays arabes», avait-elle dit dans une interview récente au quotidien Libération. Elle voudrait que les cultures puissent coexister, pour un lieu multiculturel où Juifs et Arabes vivraient ensemble, même si cela lui semble irréaliste.
Maison des maisons communes, cette terre face à la mer est donc devenu un lieu de funérailles des traces, d’abrogation de la mémoire, submergée par la vengeance des victimes dévoyée contre d’autres victimes. Les murs ensevelis par l’histoire ne devraient donc pas être remis au jour, tandis que les murs des villages d’aujourd’hui devraient être détruits. Ce négationnisme de la maison, du domicile, semble nous dire Souad Amiry, n’est-il l’âme honteuse de la guerre que «Sharon» mène au quotidien de chaque Palestinien?
Ce livre plein de douleur, d’autodérision et de tendresse, qui couvre dix mois d'occupation israélienne, a le courage de nous conduire à l'intérieur du conflit en nous faisant aussi rire. Souad Amiry l’a dédié à «Leila Shahid et aux Femmes en noir, qui oeuvrent sans relâche pour la paix». Cappuccino a Ramallah est un bel exemple de cet ouvrage féminin contre la guerre.
Antonia Naim
*Souad Amiry est une architecte palestinienne, fondatrice et directrice du Centre Riwaq de Protection de l'Architecture de Ramallah. Universitaire et spécialiste de l'architecture de la Palestine rurale (elle a écrit plusieurs ouvrages), elle vit aujourd'hui à Ramallah.
*Souad Amiry, Cappuccino à Ramallah: Journal de guerre, Editions Stock(14 janvier 2004), traduit de l’anglais par Pascal Loubet.
http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/2234056683/qid=1079013653/sr=2-1/ref=sr_2_3_1/402-8066914-4518503
Par Maurice (Maurice) le jeudi 11 mars 2004 - 14h49: |
Le dirigeant de Batasuna, parti radical basque interdit pour ses liens avec l'ETA, Arnaldo Otegi, a déclaré qu'il se "refusait à envisager" que les attentats de Madrid soient l'oeuvre de l'organisation séparatiste basque et les a attribués à la "résistance arabe".
Par Maurice (Maurice) le jeudi 11 mars 2004 - 14h39: |
Si ETA est bien à l'origine de ces explosions, il s'agit alors d'un changement de stratégie par rapport à celle menée ces dernières années. Les derniers attentats du groupe visaient en effet des politiques ou des hommes en uniformes, gendarmes ou policiers. Toutefois, l'attentat le plus meurtrier jamais commis par ETA a été perpétré contre des civils dans un supermarché de Barcelone le 19 juin 1987, provoquant 21 morts. Le modus operandi étant cependant encore inconnu, tout comme la nature de l'explosif employé, la possibilité que ces attentats ont été perpétrés par un autre groupe - comme Al Qaida, par exemple, en mesure de rétorsion contre un très fidèle allié des Etats-Unis - ne peut pour l'heure être écartée.
Eric Glover courrier international
TOUTES LES FOLIES SONT ELLES AUTORISEES ?????
Par Maurice (Maurice) le jeudi 11 mars 2004 - 11h30: |
JE VOUDRAIS REPONDRE à Pierre
merci de ta franchise et de ta question
La donne Europeenne est de toujours lier la creation d'Israel à l'histoire nazi C'est là l'erreur .Israel est issue d'une guerre de liberation Nationale les juifs etaient presents certes avec des arabes dans ce territoire avant la shoa c'est pourquoi les juifs d'Europe les ont rejoint et ont pu les aider à se liberer avec tellement de difficultes avec les arabes et surtout avec la colonisation Anglaise qui etait elle les vrais colons que les judeens de Palestine ont chassé .Ceux que l'occident oublie dans son raisonnement c'est que les juifs d'Orient de l'Atlantique à l'Inde etaient soumis dans un Etat multicephale qui etaient l'Empire Ottoman ou ils avaient une autonomie cultuelle mais une soumission politique
La colonisation par l'Occident des pays Europeens ont fractionné cette Empire en Nations colonisés qui ont crée des Etats nations à leur independance en eliminant leurs minorités non musulmanes et non arabes comme les kurdes les coptes les assyrochaldeens les maronites et les juifs ect Chcune de ces entites veulent leur independance comme les juifs dans leur terre d'origine avant leur dispersion dans la succession des Empires Orientaux .I ls sont les peuples d'origine present avant les envahisseurs arabes turcs ect(voir Chypre actuellement avec les grecs ,peuple d'origine)Les nationalismes du 20° siecles ont entrainé la guerre de liberation des peuples envahis .C'est pourquoi la guerre de liberation des juifs est logique puisque les arabes qui etaient transjordaniens ont refusé le partage de l'ONU de 1948 et par 5 guerres Donc ils faut soutenir la recherche entre Israel ,les arabes dit palestiniens
et avec la ligue Arabe de la Paix en tenant compte de la migration vers Israel des 3 millions de juifs arabophones Donc soutenir Israel est un acte de droit de l'Homme soutenir les arabes qui font la guerre à Israel par femmes
et enfants interposés est un acte de barbarie contre le peuple Israelien car laguerre des femmeset des enfants martyrs est la nouvelle Guerre moderne en empechant la solution des vrais problemes pour salir les differents gouvernants Israeliens en les salissant dans leur combat Donc ne pas comprendre ce piege tendu aux Gouvernents Israeliens successifs de Gauche comme de droite c'est donc faire de l'antisemitisme en faisant de l'Antisionisme sans connaitre les vrais enjeux creer par la theorie Islamique Salafiste c'est rentrer dans leurs Jeux
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 11 mars 2004 - 11h16: |
Cacouboulou
Madame Hajkloufette, on a beau habiter a Matmata, nous aussi on a des lettres ! Votre Rabelais il etait pour la “tete bien pleine”, quand a nous les Tunes question tete, on est plutot pour Montaigne l’adepte de la “tete bien faite”, mais question bouffe on est quand meme plutot Rablaisien, et comme en plus on est aussi delicats de l’anus, alors on bouffe beaucoup d’harissa, histoire de nous calmer le Mkoh !
Mais alors je vous dis pas le passage en douane......... Le matin suivant.........
Allez, on vous aime comme vous etes, mais si vous changez un peu on vous aimera aussi, on vous embrasse, la paix est avec vous et notre invitation tient toujours, Marh Haba comme on dit chez nous,
Signe : Cacouboulou Premier
Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 11 mars 2004 - 11h32: |
YA SI SLIM, TI OUINEK ?
INCHALLAH LEBESS.
Pour ton invité, si c’est au milieu de la fête oublie l’OMSSOKI, cela se sert uniquement le premier soir de PESSAH.
Je te conseille de faire en guise d’entrée une MININA accompagnée d’une MERMOUMA ou une SLATA MECHOUIYA.
Pour le plat principal je te conseille une langue de bœuf piquée d’ail avec une sauce aux câpres légèrement tomatée et rôti au four, accompagnée d’un RIZ KLAYA.
Bon appétit et bonne fête.
Victor