Par Primo (Primo) le dimanche 14 mars 2004 - 07h24: |
PRIMO EUROPE
L'ACTUALITE EN PERSPECTIVE
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WWW.PRIMO-EUROPE.ORG
GRAND RENDEZ VOUS DE PRIMO EUROPE
LES JEUDIS DE PRIMO
CONFERENCE EXCEPTIONNELLE
STEPHANE JUFFA
REDACTEUR EN CHEF DE LA METULA NEWS AGENCY,
ANALYSTE STRATEGIQUE
LE JEUDI 18 MARS 2004 A 20 HEURES 30
AU TEMPLE DE PENTEMONT
STEPHANE JUFFA ABORDERA LES PROBLEMES LIES A LA REPRESENTATION MEDIATIQUE DU CONFLIT PROCHE ORIENTAL DANS LES MEDIAS FRANCOPHONES. IL FERA LE POINT DES ENQUETES DE L'AFFAIRE A-DURA
ET DE UN ŒIL SUR LA PLANETE.
IL COMMENTERA LA SITUATION A LA VEILLE DU REPLI UNILATERAL DE GAZA ET ENVISAGERA LES CONDITIONS DE L'APRES REPLI.
LE CONFERENCIER REPONDRA PAR LA SUITE AUX QUESTIONS DU PUBLIC
TEMPLE DE PENTEMONT
106, RUE DE GRENELLE 75007 PARIS METRO : RUE DU BAC
PARTICIPATION AUX FRAIS : 12 EUROS
IL N'Y A PAS DE RESERVATION
Par Mena (Mena) le dimanche 14 mars 2004 - 07h12: |
Une bouffée d’air pur (info # 011203/4) [analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency
Pour supporter le climat mental délétère de la France d’aujourd’hui, il me faut régulièrement aller respirer un peu d’air pur sous d’autres cieux. Comme chaque année depuis plus de vingt ans, j’ai passé le mois de février 2004 aux Etats-Unis. Puis-je le dire ? Cette année, plus encore que les années précédentes, le contraste avec mon pays m’a semblé confondant.
D’abord, quoi qu’en disent les journalistes des services de désinformation télévisée appelés TF1, France2 ou Arte, aux USA, le dynamisme économique est omniprésent. Ceux qui travaillent, quelque soit le domaine de leur activité, semblent amoureux du travail bien fait, heureux de vivre dans une société sûre d’elle-même et de ses valeurs. Ensuite, et je le dis avec un peu de tristesse en pensant à ce que fut la France, tout est propre, tout est en bon état. Passer de l’aéroport de Roissy à n’importe quel aéroport américain, c’est passer d’un aéroport du tiers-monde à un aéroport du monde développé.
Le moment délicat pour les Français se situe lorsqu’il faut montrer son passeport aux officiers de l’immigration. L’amabilité est minimale. Je ne m’en offusque pas. J’ai honte d’être du même pays que Jacques Chirac et Dominique de Villepin. J’ai même un bref instant la sensation d’avoir tatoué sur mon front une mention infamante : pétainiste, collabo peut-être. Plus que jamais j’ai la volonté de me doter, bientôt, d’un autre passeport, américain ou israélien. Un passeport dont je n’aurai pas à rougir.
Passé ce moment délicat, tout est plus facile, tout est moins détraqué. J’allume la radio dans ma voiture et je me branche sur les débats. Il y est question des activités douteuses de Teresa Heinz, l’épouse de John Kerry, héritière d’une fortune immense et contributrice de moult causes gauchistes et islamistes de la terre (l’information ne circulera pas en Europe, vous pouvez en être certains). Il y est également beaucoup question du dernier film de Mel Gibson concernant la passion du Christ et on s’y demande si le film peut susciter de l’antisémitisme. La réponse qui prédomine est que le film ne suscitera de l’antisémitisme que chez ceux qui ont déjà une propension nette à l’antisémitisme, autrement dit, auprès de certains musulmans, certains Européens, de Français (en France, au même moment, on dénonce le film, en reprochant à Mel Gibson d’être un chrétien conservateur. Quelle horreur n’est-ce pas ?). Il y est question aussi de l’imposture que constituent le Tribunal pénal international et la dénonciation par celui-ci du mur de protection construit par Israël. L’Europe et la France en particulier, en prennent pour leur grade. Parole d’un auditeur typique : “Depuis quand la France se préoccupe-t-elle du risque pour des juifs de se faire assassiner ? Durant la seconde guerre mondiale, c’est la police française qui a arrêté les juifs en France avant qu’ils ne soient envoyés dans les camps d’extermination, non ?”
Mon voyage s’achève à Los Angeles, la ville que j’aime le plus sur la surface de la terre. Sur Hollywood Boulevard, les commerces de vêtements et de chaussures sont désormais majoritairement tenus par des Arabes. Je m’entretiens avec eux : sont-ils musulmans ? Oui, me répondent-ils pour la plupart. Mais ils s’empressent d’ajouter : Nous sommes avant tout Américains. Nous ne sommes pas ici pour créer des problèmes. Nous respectons l’Amérique et nous respectons les juifs. Je veux bien les croire : Ici, je sais qu’ils ont conscience d’être minoritaires et qu’ils savent très bien que s’ils agissaient autrement, la sanction viendrait très vite... Je ne suis pas à Paris, où des musulmans peuvent siffler impunément la Marseillaise au Stade de France. En descendant Fairfax Avenue, puis Pico Boulevard, je vois des synagogues, des étoiles de David, des banderoles annonçant un carnaval de Purim. Je ne peux m’empêcher de penser qu’en France des synagogues aussi ostentatoires, des étoiles de David qui ne se cachent pas, seraient aussitôt les objets d’actes de violence et de profanation. Je ne peux m’empêcher non plus de penser, qu’en France, évoquer Purim sur une banderole serait ressenti comme une provocation et qu’un carnaval juif dans une rue de Paris se terminerait par des agressions antisémites et peut-être, une nouvelle fois, par les cris terribles de "A mort les juifs !".
Je m’ouvre de tout cela à un ami juif lors d’un déjeuner au Farmers’s Market. "Comment peux-tu encore vivre en France", me demande-t-il ? "Tout en France ne peut qu’aller de pire en pire. Le déclin va s’accentuer, et avec lui tout ce qu’il inclut de nauséabond. La France n’est plus une démocratie, elle n’est plus le pays de la liberté de parole et de la liberté de l’information qu’elle a été. Elle n’est plus un pays de respect de l’autre. C’est un pays du tiers-monde". Je ne le contredis pas, car je sais que dans une large mesure, je ne peux pas lui donner tort. Dans quelques jours, de retour en France, je dois donner une conférence sur le thème : “Quel avenir pour les juifs de France ?”. La réponse qui s’impose à moi est qu’il vaut mieux quitter la France, le plus vite possible. Vers Israël ou vers les Etats-Unis. Démographiquement, économiquement, culturellement, la France n’a pas de futur. Elle n’a surtout pas de futur pour sa population juive qui, bientôt, ne pourra survivre qu’en vivant cachée, soumise à la peur quotidienne. Cela me peine de le dire, mais je le dis parce que je pense que c’est vrai. Elle n’a pas de futur non plus pour des gens comme moi, qui sont imprégnés des valeurs essentielles de l’Occident judéo-chrétien et qui ne peuvent qu’être condamnés à l’opprobre par une société dominée d’une part par l’islamo-gauchisme et par le chauvinisme racialiste d’extrême droite de l’autre. J’en suis persuadé au fond de moi, intimement. Il n’est pas facile de partir quand on a ses racines quelque part. Il vaut mieux partir quelquefois, cependant, que de perdre la vie et le goût de vivre...
Avant de rentrer en France, je ne pouvais faire autrement que de rendre visite à mon vieil ami David Horowitz sur les hauteurs de Malibu ; il vient de publier un livre en tous points remarquable sur lequel je reviendrai. L’Europe est pourrie jusqu’à la moelle me déclare-t-il. Il n’y a rien à en attendre. Strictement rien, sinon le pire. La place des juifs et des Européens qui ont encore des idéaux est en Israël ou aux Etats-Unis. Le combat pour les valeurs auxquelles nous croyons ne fait que commencer, mais il faut savoir renoncer aux batailles perdues d’avance. L’Europe en général, et la France en particulier, constituent une bataille perdue d’avance.
De retour en France, je m’apprête à mener un combat. L’un de mes ultimes combats en mon pauvre pays. Je publie un livre qui dit la vérité sur l’islam [1]. Ou plus exactement : Tout ce qu’ils ne faut pas dire en France sur l’islam. Je publie ce livre, parce que j’en ai plus qu’assez des mensonges officiels et des débats ridicules concernant la loi sur le voile. Un de mes amis français, Michel Gurfinkiel, m’a dit que c’était un livre magnifique. Cela me suffit. Si je redonne le courage de parler clair et fort à quelques milliers d’hommes et de femmes, lassés de l’imposture ambiante, si je leur donne l’argumentation nécessaire pour se battre, je n’aurai pas écrit ce livre pour rien.
Pour que tout soit clair, j’ai inscrit le conflit israélo-arabe, et bien sûr, la défense sans concessions d’Israël, au coeur de mon livre. Lorsque je m’en irai, car je le sais, je vais devoir partir, je pourrai me regarder en face dans un miroir.
Note :
[1]
Qui a peur de l’islam !
La démocratie est-elle soluble dans l’islam ?
Aux Editions Michalon – 35 rue Berger – 75001 Paris – Tél. : 01 42 33 50 50 – Fax : 01 42 33 50 55 – sophie.mairot@michalon.fr
Essai de 140 pages au prix de 12 €. ISBN 2-84186-227-5
L’auteur :
Guy Millière est philosophe, économiste, professeur d’histoire des idées et des cultures à Paris VIII. Traducteur. Rédacteur à la Metula News Agency, témoin des idées des Néo-Conservateurs nord-américains. Il a déjà publié plusieurs livres, dont Ce que veut Bush aux Editions La Martinière.
Par Claudia (Claudia) le dimanche 14 mars 2004 - 06h59: |
RELIGION
Soixante-dix intellectuels prennent la plume pour appeler les musulmans de France à une «critique radicale» de leur vision du monde
Le livre qui passe l’islam de France au crible de la République
Cette somme d’informations et recherches sur la communauté musulmane française, le Coran et les contextes historiques dans lesquels l’islam s’est développé, le discours et les méthodes actuelles des islamistes, devrait rapidement s’imposer comme un ouvrage de référence. C’est également un livre de combat, qui offre tous les outils intellectuels pour la réaffirmation des valeurs républicaines mises à mal par les intégristes musulmans, et leurs thuriféraires, plus ou moins conscients.
Les trois concepteurs de L’Islam en France, Yves- Charles Zarka, directeur de recherche au CNRS, la philosophe Cynthia Fleury, également chercheuse au CNRS, et l’écrivain Sylvie Taussig ont sollicité quelque soixante-dix intellectuels - démographes, sociologues, philologues, anthropologues, historiens, islamologues, philosophes des religions... Par leurs contributions, ces auteurs éclairent les différentes faces de la rencontre, souvent conflictuelle, entre l’islam et l’Occident.
Dans la partie introductive à cet ouvrage, qui a valeur de conclusion, Yves- Charles Zarka appelle les musulmans à «une critique radicale de l’islam».«Elle avait également paru exorbitante, jadis, pour le judaïsme et le christianisme qui y ont pourtant été soumis.» Mais Yves- Charles Zarka insiste : «L’islam ne peut devenir républicain qu’à la double condition qu’il intègre l’esprit critique jusque dans le champ du sacré et qu’il rejette les structures sociales inégalitaires auxquelles il est pourtant lié.»
Il s’en explique, en compagnie de Cynthia Fleury, au Figaro.
Propos recueillis par Thierry Portes [10 mars 2004]
LE FIGARO. - Comment en êtes-vous venus à vous lancer dans pareille entreprise ?
Yves- Charles ZARKA. - Suite au 21 avril, dans La France et ses démons, le premier hors série de la revue Cités, nous avions présenté une radioscopie des passions françaises. La question de l’islam, qui pose un problème spécifique à la France, s’est ensuite imposée comme un thème de réflexions pour un nouvel hors-série de Cités. Ce volume est le fruit de onze mois de travail.
Vous parlez «d’opposition de valeurs» entre l’islam et l’Occident, et vous revendiquez avoir conçu un ouvrage «engagé»...
Y.-C. Z. - Nous défendons effectivement les valeurs de la démocratie, des valeurs qui ne sont pas ethniques ou nationalistes, mais universelles.
Cynthia FLEURY. - Nous avons voulu investir tous les terrains, notamment les plus difficiles, et cela sans complexe.
Pour quelles raisons la France, plus que laGrande-Bretagne, l’Allemagne ou tout autre pays
occidental, se retrouve-t-elle, selon vous, au coeur de l’offensive islamiste ?
Y.-C. Z. - D’abord parce que le poids de la communauté d’origine musulmane est bien plus
important en France que dans n’importe quel autre pays occidental. Ensuite, l’origine de cette communauté assez homogène, issue essentiellement du Maghreb, la rend, plus que d’autres - plus que les Turcs d’Allemagne ou les Pakistanais de Grande-Bretagne, par exemple, - perméable aux thèses des islamistes arabes. Enfin, dernière spécificité française, la partie douloureuse de l’histoire de la colonisation et de la décolonisation du Maghreb, notamment celle de la guerre d’Algérie, crée un contexte de culpabilité, ce qui favorise le discours de victimisation derrière lequel avancent souvent les islamistes.
Selon vous, la France est au centre d’une stratégie de conquête...
Y.-C. Z. - D’emblée il nous est apparu que la France ne comprenait pas ce qu’elle était en train de vivre. Comme si la réalité lui était incompréhensible. Pourtant l’islam, dès son origine, est une religion de conquête. Et cet esprit n’a pas disparu. Il prend aujourd’hui la forme de l’islamisme.
C. F. - Toute conquête faite en France ou en Europe est un moyen de renforcer l’islamisme dans le monde. On peut même parler de ré islamisation des États musulmans grâce aux conquêtes politiques, sociales et intellectuelles réalisées par les intégristes en France et en Europe.
Vous n’êtes pas tendre avec le CFCM, le Conseil français du culte musulman, récemment créé...
Y.-C. Z. - En institutionnalisant la représentation des musulmans, l’objectif était de transformer «l’islam en France» en «islam de France». Il s’agissait de couper les liens, notamment financiers, avec les pays d’origine, et d’imposer les règles républicaines à la représentation officielle de l’islam français. Ce discours s’est révélé de la pure fiction. Le CFCM est une instance qui n’est pas démocratique et qui ne représente pas la communauté musulmane. Préalablement à toute création d’une institution de ce type, ses futurs membres auraient dû s’engager dans une critique radicale de certains dogmes de l’islam, dans le rejet des structures musulmanes inégalitaires et archaïques, telles celles qui fondent la domination
masculine.
Que faire maintenant ?
C. F. - Il faut entendre ce qu’il est convenu d’appeler la majorité silencieuse de l’islam en
France. Aujourd’hui, c’est l’islam radical que l’on écoute. Il y a eu défaillance de la République, et les intégristes ont investi le champ social. Au travers de différentes associations, par leurs actions caritatives, par leurs aides aux personnes en difficulté, ils ont favorisé, dans de nombreux quartiers, le retour de la répudiation, réintroduit la terreur, et réaffirmé l’autorité et la domination masculine.
La mise en place du CFCM a permis la notabilisation de ces mêmes intégristes. Ces islamistes, qui avaient gagné une manche sur le terrain, dans les cités, en ont remporté une seconde en devenant, au niveau national, les interlocuteurs officiels de la République.
Vous dénoncez également les pressions islamistes sur les élus locaux...
Y.-C. Z. - Nous parlons de minorité oppressive et de minorité tyrannique. La minorité oppressive s’exerce sur les membres de la communauté, elle est déjà à l’oeuvre dans de nombreuses cités, dans des quartiers entiers où les islamistes font régner la terreur. Ne nous y trompons pas : l’objectif est de passer d’une minorité oppressive à une minorité tyrannique, c’est-à-dire au stade où celle-ci peut dicter sa loi au plus grand nombre, à la nation tout entière.
C. F. - Parmi les nouvelles alliances conclues par les intégristes, celle entre Tariq Ramadan et les alter mondialistes relève de cette stratégie. Par cette alliance, les islamistes cherchent à se constituer en minorité tyrannique.
Comment l’islam peut-il se réformer et accepter de vivre dans le monde moderne ?
Y.-C. Z. - L’islam ne se réformera pas de l’intérieur. En terre d’islam, toute approche
interprétative du Coran est passible de la peine de mort. Il existe bien des réformateurs de l’islam, mais ils sont tous exilés en Occident. Or pour êtreentendu et accepté des musulmans, le travail de réforme ne peut être conduit que par des musulmans.
Il faut des hommes et des femmes qui aient le courage de mettre leur vie en jeu pour le savoir et la vérité, comme c’était le cas à l’époque de la Renaissance.
C. F. - Quelques dogmes islamiques doivent tomber : celui du Coran incréé, celui de la sacralité de la langue, celui de l’inimitabilité du Coran, celui qui interdit toute véritable interprétation du texte. Et en attendant, l’école, l’Université et la recherche française ne doivent pas céder aux sirènes d’un quelconque révisionnisme islamiste.
Même les intellectuels musulmans qui ont participé à votre ouvrage ne s’engagent pas dans une critique radicale de l’islam...
C. F. - Jusqu’où aller trop loin dans la critique quand on est un musulman effectuant des recherches sur l’islam ? Il n’y a rien de plus difficile que de couper les ponts avec sa communauté.
Y.-C. Z. - Quel est l’intellectuel musulman prêt à prendre la posture de l’hérétique absolu ? A nous, en Occident, d’encourager les recherches et les vocations. Le CNRS pourrait fort utilement créer une équipe pour un travail sur l’historiographie du Coran.
L’Islam en France, hors-série de la revue Cités, publié aux PUF, 733 pages, 25 €, disponible en kiosques et en librairies.
Par Email (Email) le dimanche 14 mars 2004 - 06h53: |
Adressé ce jour au rédacteur en chef de Europe1:
Jean-Pierre Elkabbach recevait Ruth Yaron, porte-parole de Tsahal, au lendemain des attentats de Madrid. Sa première question fut: "Vous sentez-vous une part de responsabilité dans ce qui est arrivé?"
Le fait de poser une telle question prouve la perte totale de repères de "l'intelligentsia" journalistique. Atteint du même réflexe pavlovien que ses confrères, consistant à désigner Israël à la survenue de chaque évènement tragique sur cette planète, JPE prouve qu'il vaut mieux, pour faire carrière dans ce milieu, continuer à hurler avec les loups plutôt que de se dégager de la meute d'analphabètes qui peuple un PAF en totale déliquescence intellectuelle.
Quant au cyclone qui a dévasté Madagascar, nous vous en laissons deviner le responsable.
La Belmontoise-AIR (Agence Indépendante de Réinformation)
Par Admin (Admin) le dimanche 14 mars 2004 - 05h48: |
A PROPOS DU POEME POSTE PAR COLETTE
Ceux et celles qui ont vu dans le poeme poste par Colette une apologie de l'islamikazisme ne savent pas que Colette est une contributrice bien connue d'Harissa. Je n'ai aucun doute qu'elle a fait cela uniquement par souci d'information, pour bien montrer le delire de ceux qui souhaitent notre mort.
La question posee par cette polemique est la suivante : Doit-on se tenir au courant de la haine qui nous entoure ou non ?
Savez vous que des ecoles Juives aux USA demandent a leurs eleves adolescents d'etudier Mein Kampf d'Adolphe Hitler ?
Avez vous lu dans la Debka de ce jour ce que le precheur de la mosquee El Aksa a declare dans son discours du vendredi ? Que les Juifs sont les “fils de singes et cochons,” et "meurtriers de prophetes". Il a meme condamne les Juifs a l'extinction totale et ce, au travers du reseau de speakers couvrant la vieille ville de Jerusalem.
Pensez vous que nous devons ecouter les messages audio envoyes par Ben Laden ou bien nous boucher les oreilles ?
Alors quoi ? Faudrait-il ne pas parler de choses pareilles ? Souhaitez vous simplement ne voir ici que des commentaires et informations qui vous reconfortent ? La realite autour de nous n'est malheureusement pas belle et ce forum en est la reflection.
Et d'une facon generale, je veux m'adresser a tous les censeurs qui se jettent sur tout commentaire qui ne leur plait pas en hurlant qu'ils ne supporteraient pas qu'on dise ceci ou cela, je voudrais dire que ADRA n'est pas la pour servir des beignets au miel bien doux, mais pour que nous partageions idees et informations.
Et je rappelle a tous et a toutes que, quelle que soit la teneur des messages, de ne jamais INSULTER LES INTERVENANTS, mais de repondre a la substance des messages.
Jaco
Par Axelle (Axelle) le dimanche 14 mars 2004 - 02h20: |
Pour Colette ...
Qui que vous soyez, je pense que vous auriez dû avoir un peu plus de retenue étant donné l'actualité violente dont nous avons eu les échos il y a quelques jours.
Nous savons tous de quoi sont capable ces monstres. Nous le rappeler dans " ce poème " est une offense à la poésie en elle-même !
Et, simplement relater par écrit leurs propos, c'est leur donner un peu plus de justification.
Je pense, personnellement, que les ignorer serait une libération pour l'esprit, sans pour autant, oublier leurs actes, bien entendu !
Même s'il vous a été demandé ( et je ne pense pas que ce soit sous la contrainte ) de publier ce texte, il aurait été plus sage de votre part, de ne pas le faire.
En ce qui me concerne, je veux oublier " ces vers " qui auraient dû trouver leur place dans des sites fait pour cela !
Harissa est un site d'échanges d'idées, de discussions etc ... mais, certainement pas fait pour l'apologie du crime.
J'ose espérer, que malgré la grande tolérance de nos harissiens et harissiennes, de telles propos ne figureront plus sur ce site. ( sans vouloir, en aucun cas, me substituer à notre webmaster )
car, je n'aime pas lire ce genre de texte dans un contexte aussi dramatique et par respect pour toutes les personnes victimes d'attentats.
Je ne suis vraiment pas contente ....
Axelle.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 14 mars 2004 - 01h06: |
Si l on veut faire passer un message quelqu il soit on le commente . On ne laisse pas passer ce genre d horreur sans un mot , de commentaires c est tendancieux et desagreable , je suis d accord avec Bekhor cette monstruosite n a pas sa place sur Adra . Quand aux menaces , mais oui bien sur on a tous un revolver pointe sur la tempe !!! c est bien connu !!! arretes vos delires et vos eluccubrations , ils ne sont pas de mise .
Par Albert (Albert) le dimanche 14 mars 2004 - 00h39: |
Voilà un début de démenti de la part de notre EMILE.
On ne peut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tuer.
Je crois que le début de l'article, son introduction, méritait plus d'attention et pas autant d'empressement à lui jeter la première pierre.
Il y va de l'intégritè de chacun de nous.
Colette est une fidèle HARISSIENNE bien sous tous rapports, et à mon humble avis elle n'a fait que transmettre sans plus, une info en poème afin de nous éveiller de ce qui se passe ailleurs dans d'autres 'poubelles' que l'on connait. Une pratique du photo/copiè. Comme il s en passe ici assez couramment.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 14 mars 2004 - 00h25: |
On a demandé à Colette d'afficher un poème qui est déplacé, mais heureusement que nous avons des harissiens réfléchis qui ne s'empressent pas de jeter des pierres sur ceux qui semble peut-être avoir fait une erreur. Ou sont l'indulgence tune et l'indulgence juive? Colette est une tune et une harissienne de longue date, et avant de la critiquer elle et le webmaster, j'essaye d'abord de savoir si c'est vraiment elle qui l'avait écrit et affiché ? Et comme elle l'avait dit dans son message:
"Bonjour, on m'avait demandé de poster ce poème – aujourd'hui, plus que jamais, il est d'actualité "
Vous ne croyez pas qu'il serait nécessaire d'abord, avant de critiquer, de s'assurer que Colette l'avait fait de bon gré et non pas sous une menace? Critiquer c'est facile, mais réparer ça laisse des cicatrices. Je me réserve de critiquer impulsivement Colette avant de savoir d'abord si elle n'est pas en danger.
Par Albert (Albert) le dimanche 14 mars 2004 - 00h04: |
Bekhor,
Sans être assez 'jugeant' sur la 'poubelle' écrite ici, penses tu que COLETTE a voulu nous informer ou au contraire nous 'crochetter'..?
L'a t'elle fais avec arrière-pensèe..? Ou au contraire naivement..?
Mr Djachem nous éclaire succintement et tant soit peut sur sa réflèxion.
Réflèchissons et attendons de voir les opinions des autres abonès avant de juger.
Par Albert (Albert) le samedi 13 mars 2004 - 23h56: |
Justement Mr Djachelem,
Nous sommes un peu déroutès par ce poéme insérè dans ce forum car il peut être soit 'informationnel 'soit tandencieux.
Alors, on ne sait plus comment réagir. Et celà à causer un trouble parmi certains et certaines intervenants qui ont jugè que cet écrit ne devait pas avoir sa place ici.
Monsieur ELIE55, nous dévoile, si j'ai bien compris que cette 'dame 'serait "colette" alias Moussaouia. Que veut dire par là Mr ELIE55...?
Personnellement je me perds en conjecture.
Nous aimerions que cette dame, vienne nous dire ici et quelque soit sa véritable identitèe, parce que nous faisons pas dans la distinction, qu'elle était son intention, afin de soulever le voile qui nous brouille la vue.
Merci.
Par Bekhor (Bekhor) le samedi 13 mars 2004 - 23h48: |
COLETTE qui que vous êtes je pensait que vous vouliez nous montrer ce que la bêtise humaine pourrait engendrer.
En réfléchissant bien je pense que des poèmes de dépotoirs de ce genres ne doivent pas êtres publiés sue HARISSA.
Messieurs les modérateurs soyez plus vigilants à l’avenir.
Par Djlachem (Djlachem) le samedi 13 mars 2004 - 20h05: |
Etes-vous sûrs que Colette adhère à ce qui est contenu dans ce "poème"?
Je pense qu'elle a voulu simplement nous montrer ce qui pouvait germer dans la tête de ces barbares.
Par Albert (Albert) le samedi 13 mars 2004 - 21h45: |
Dans ma boutique, cohabitent des articles sacrès mais pas bénis et des objets de luxure eux aussi pas bénis. Le tout exposè à quelques centimètres les uns des autres, dans mes vitrines.
Et je vous assure qu'il y régne parmi ce beau monde du silence, une entente comme pas possible. L'essentiel, c'est ce respect qu'ils ont les uns envers les autres et celà quelque soit leur fonction et position 'sociale'.
A méditer.