Par Sarel (Sarel) le dimanche 06 août 2006 - 09h20: |
Avec tout ce que nous lisons au sujet de la France et ses rapports avec Israel 'figurez vous si cette {puissance }avait une armee
operationnelle !
L'Europe non plus n'a encore pas cet outil !
Et la Russie qui vient de se demanteler !
Tous ceux la sont des faits actuels qui se sont groupes en ""temps voulu ""
C'etait une petite virgule
Bien a vous tous sarel
Par A_Soued (A_Soued) le dimanche 06 août 2006 - 08h48: |
VAINCRE LE HEZBOLLAH, C'EST UNE QUESTION DE VALEURS
Editorial paru dans The Times - Londres 1er août 2006
Traduit par Albert Soued, www.chez.com/conf.htm pour www.nuitdorient.com
L'Occident doit garder en mémoire le sens du conflit au Moyen Orient. L'ampleur des moyens modernes de diffusion donne au citoyen une quantité formidable d'information.
Mais cela ne veut pas dire que nous sommes toujours bien informés. Les nouvelles brûlantes cachent souvent la perspective. Et ceci est particulièrement vrai des événements actuels au Moyen Orient. Ainsi pour des raisons compréhensibles, l'opinion occidentale est dans la situation dangereuse de mal interpréter la tragédie de Qana (Liban). La réaction à la vue d'images d'enfants tués et du chagrin de leurs parents ne peut être qu'émotionnelle, et le plus tôt que cette guerre se termine, c'est le mieux. Mais ce n'est pas aussi simple. Car ce conflit va au-delà d'une simple querelle de frontière.
Il n’y aura jamais de paix dans la région aussi longtemps que le Hezbollah, soutenu par ses régimes parrains, l’Iran et la Syrie, sera autorisé à menacer militairement Israël. Un cessez-le-feu qui permettrait au Hezbollah de clamer sa victoire sur le terrain renforcerait énormément ses combattants, de même que ceux du Hamas, enlevant l’autorité du gouvernement libanais et de Mahmoud Abbas, le président de l’Autorité Palestinienne, tout en causant du tort aux régimes pro-occidentaux tels que l’Arabie Saoudite, la Jordanie et l’Egypte. Vaincre le Hezbollah, au contraire, renforcerait les leaders arabes qui sont en faveur d’une solution israélo-palestinienne de deux Etats, et freinerait l’influence régionale de Téhéran et de Damas.
Il y a des raisons plus profondes pour lesquelles l'impact émotionnel de ces derniers jours doit être replacé dans son juste contexte. La critique que la riposte israélienne contre le Hezbollah était disproportionnée est trop facile et peu réfléchie, surtout si on met les deux parties sur le même plan moral, ce qui serait injuste. Nous ne sommes pas dans une compétition entre des partenaires équivalents, comme le croit l'opinion occidentale. Une partie est la seule démocratie de la région, qui a toujours fait face à une menace existentielle et qui voudrait, si possible, vivre en paix avec ses voisins. L'autre partie est une organisation terroriste, dont l'objectif est d'empêcher cet avenir de paix.
L'annonce d'Ehoud Olmert ne prévoyant pas de cessez-le-feu à court terme a déçu nombre d'Occidentaux…La déclaration du premier ministre israélien n'empêche pas forcément un changement nécessaire de sa stratégie militaire, alors qu'elle montre au public israélien qu'il ne cède en rien. Il s'agit surtout ici de tactique et il ne faut pas perdre de vue l'ensemble de la bataille et ses objectifs.
Le Hezbollah n’est pas un mouvement d’émancipation. Il représente un courant virulent de l’islam extrémiste, caractérisé par la misogynie, l’homophobie, l’intolérance absolue à toute différence, même au sein de sa propre religion, et par un système de croyances ancrées dans un passé lointain. Que le Hezbollah ait eu l’intention de déclencher une réponse si féroce de la part d’Israël n’est pas sûr. Mais ce qui est clair, par contre, c’est qu’il a planifié cette guerre depuis un certain temps, étant donné son arsenal et ses fortifications.
Les nouvelles du front sont toujours tristes et nos moyens actuels de communication apportent dans nos foyers les horreurs de tout conflit armé. Mais ceci ne doit pas nous faire oublier que derrière ce spectacle désolant, il y a un conflit de valeurs et d'idéologies. Il peut nous paraître rassurant que ces menaces soient géographiquement lointaines et que notre confort n'en est pas touché. Mais les conséquences de ce conflit s'étendent bien au-delà du Moyen Orient et nous devons déjà faire face.
A QUESTION OF VALUES
The Times- August 01, 2006
The West must remember what the Middle East conflict is about
The speed and reach of modern communications give society today more information than any before. This does not mean, though, that we are necessarily always well informed. Perspective is often clouded by the impact of the latest development. This is especially true of recent events in the Middle East. For understandable reasons, Western opinion is in grave danger of misinterpreting the tragedy of Qana.
The human response to images of dead children and the grief of the bereaved is an emotional one: the sooner this stops, the better. If only it were that simple. This conflict is about much more than a spat across the Israel-Lebanon border.
There will never be peace in the region as long as Hezbollah, backed by its sponsoring regimes in Iran and Syria, is allowed to threaten Israel militarily. A ceasefire that left Hezbollah claiming victory on the battlefield would hugely strengthen its fighters as well as those of Hamas, draining authority from the Lebanese Government and Mahmoud Abbas, the President of the Palestinian Authority, while unsettling further Western-friendly regimes in Saudi Arabia, Jordan and Egypt. Defeating Hezbollah, though, would strengthen the arm of those Arab leaders who see the benefit of an Israeli-Palestinian two-state solution while also curbing the regional influence of Tehran and Damascus.
There are wider reasons why the emotional impact of the past 48 hours must be placed in the right framework. The criticism that Israeli attacks aimed at Hezbollah are disproportionate is lazy and facile in several ways, especially in implying a moral relativism between the two sides that does not exist. This is not the contest between misguided equals that many in the West seem to see. One is the region’s lone democracy, which for much of its existence has faced a very real existential threat and would like, if possible, to live in peace with its neighbours. The other is a terrorist organisation, bent on preventing such a future.
The announcement by Ehud Olmert that he could not foresee a ceasefire in the short term may disappoint many, not least those who viewed Israel’s 48-hour suspension of air strikes as a quick step to peace. Mr Olmert’s assessment does not preclude a necessary change in military strategy while allowing him to demonstrate to a defiant Israeli public that he has not gone soft. This is, though, essentially a development concerning tactics. What should not be lost is the scope of the overall battle.
Hezbollah is not an emancipation movement. It represents a virulent stream of extremist Islam, characterised by misogyny, homophobia, utter intolerance of difference even within its own religion and a belief system rooted many several centuries past. Whether Hezbollah intended to spark such a ferocious response from Israel is uncertain. That it has been planning this war for some time, though, is clear from its arsenal and fortifications.
News from a war zone will always be grisly, and 21st-century communications bring into the living room the human horrors of armed conflict. But these should not deflect from the clash of values and competing ideologies behind the pictures. It may reassure many in the West that such a threat seems comfortably far away. But the consequences of the current conflict stretch far beyond the region, and they have to be faced.
Par Mena (Mena) le dimanche 06 août 2006 - 08h19: |
L’Amérique, Israël et Turquoise II ? (info # 010508/6) [Analyse]
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Alors que l’on attend pour dimanche matin la décision du cabinet israélien relative au choix de poursuivre ou pas l’offensive militaire en cours jusqu’au fleuve Litani, sur toute sa longueur, les contacts diplomatiques vont bon train à Washington. Aux avant-postes de ces pourparlers, les ambassadeurs de France et des Etats-Unis auprès des Nations Unies. Le sujet : l’envoi de forces d’intervention au Liban afin de mettre un terme à la crise. Les éléments de la discussion : le mandat de ces troupes, leur composition, le rôle de la France et la séquence d’intervention souhaitable, à savoir s’il faut envoyer le corps expéditionnaire international avant la cessation des hostilités et l’établissement d’un consensus politique ou après.
Tandis que le canon ne cesse de tonner tout autour de nous, et que les roquettes pleuvent sur le nord d’Israël, avec une telle densité que l’une d’entre elles a coupé la fibre optique qui reliait la Ména à ses lecteurs, ces discussions, vues d’ici, revêtent un aspect lointain. Ce samedi matin, Tsahal occupe une bande de six à dix kilomètres au nord de sa frontière et ses soldats sont très affairés à nettoyer cette zone des dizaines de miliciens intégristes qui s’y cachent encore. D’autres militaires fourbissent leurs armes pour se tenir prêts à exécuter l’éventuelle décision politique d’étendre la zone de sécurité existante.
Ce qui plaide en faveur de la poursuite du déploiement terrestre, c’est la constatation que 80 % des roquettes du Hezbollah sont tirées du sud du Litani et que plus l’on repoussera les Fous de Dieu vers leur hôpitaux psychiatriques situés dans la banlieue sud de Beyrouth et plus cela contribuera à réduire la quantité de projectiles qui s’abattent sur la Galilée. Hier, vendredi, il en est tombé environ 220, et ils ont encore tué des civils que Tsahal a le devoir de protéger.
Mais ce qui divise aussi bien les ministres que les membres de l’état-major, c’est l’observation, connue à l’avance, que la nouvelle progression prévue ne mettra pas un terme hermétique à la pluie de Katiouchas qui arrose Israël. Alors on craint, à Jérusalem, de se laisser à nouveau prendre dans l’aspirateur libanais. On craint qu’après le Litani, il faille, en fonction des mêmes impératifs militaires, avancer sur le fleuve Awali, puis sur Beyrouth, sans savoir si on ne s’embarque pas pour un voyage sanglant dont la trajectoire passe par Damas et même Téhéran.
Et on touche là aux confins de l’équation au sein de laquelle Olmert et Bush voient les priorités de façon identique. Le président américain désirerait ardemment que Tsahal ne se concentre pas uniquement sur les affidés de Béchar Al-Assad mais règle également son compte à leur patron. Quant au 1er ministre de l’Etat hébreu, s’il partage le constat que l’un des deux bastions principaux des maux qui accablent son pays se situe effectivement en Syrie, il refuse que notre petit Etat interprète sans cesse la partition du méchant gendarme de l’Occident. Combattre le régime alaouite de Damas, certes, mais en tant qu’allié de Washington et de Londres, à leurs côtés mais pas à leur place…
Et c’est sur ce point que butte l’entente parfaite entre la Maison Blanche et la Knesset. Sur les bords du Potomac, on adorerait qu’Israël flanque la raclée, qu’il mérite largement, à l’oculiste damascène. L’Amérique, haïssant son régime, qui pourvoit à plus de 70 % de la fourniture de la main d’œuvre et des moyens terroristes qui coûtent au nouvel Irak soixante morts par jour, identifie la Syrie comme sa cible principale. Jérusalem partage évidemment ce sentiment, constatant, de plus, que c’est Damas qui arme et dirige le Hezbollah, de même que le Hamas et les autres organisations terroristes palestiniennes.
Reste qu’au goût d’Israël, la politique de George W. Bush est confuse au Proche-Orient, que ses paroles sont très éloignées de ses actes, que ces derniers participent, le plus souvent, d’improvisations stratégiques que Jérusalem n’a pas les moyens d’affronter et qu’enfin, l’Administration washingtonienne est un véritable nid de serpents et d’intrigues, qu’Israël n’a ni la vocation ni la capacité de démêler. Entre le président qui hurle au téléphone à Olmert "rentrez-leur dedans, je suis derrière vous à 100 % !", le bureau du vice-président, qui affirme à qui veut bien l’entendre, que les intérêts des USA et d’Israël sont en tous points identiques et Condoleezza Rice, qui est à la veille d’introduire au Proche-Orient un contingent armé du plus grand adversaire occidental de la doctrine bushienne, Jérusalem n’a pas envie de faire le tri.
Au gouvernement et à l’état-major de Tsahal, on partage l’envie symétrique de fesser le fils de p. de Damas, mais, à moins qu’il commette un faux pas militaire qui ne nous laisserait pas le choix, on préfère s’accommoder de sa présence. Ce, aussi longtemps que les donneurs de conseils de la capitale US, de Londres et même de Berlin, n’auront pas pris eux-mêmes l’initiative de renverser le régime népotique, obsolète, dictatorial et, pour tout dire, néfaste des Al-Assad et qu’ils s’impliquent à fond à lui constituer une alternative décente et crédible.
Car, à Jérusalem, on considère la question syrienne comme une fable de La Fontaine : l’Amérique est un éléphant, Israël un chien de l’ordre de grandeur de Taz, la Syrie une araignée de taille moyenne, quelque peu venimeuse et les organisations terroristes qu’elle arme et dont elle abrite les chefs, des moucherons et des moustiques. Lors, si Taz mange l’araignée ou si Jumbo l’écrase, qui donc arrêtera la multiplication des insectes ? La morale de cette histoire, c’est qu’il est préférable de subir une mygale dont on connaît l’emplacement de la toile et la manière de s’en débarrasser que d’avoir affaire à une épizootie d’insectes qui oblige les boxers à courir dans tous les sens.
Lorsque je parlais plus haut des improvisations américaines, c’est, entre autres, à cette allégorie que je pensais. Que Washington propose une solution bien construite de remplacement des Al-Assad et nous nous chargerons de l’envoyer, avec son régime de barbouzes, au paradis des alaouites, mais avant cela, sans cela, que nos amis américains s’enferrent tout seuls. Cela fait des années que l’opposition syrienne démocratique fait la cour à la Maison Blanche et l’Administration n’a toujours pas entrepris de la fédérer, de la transformer en une instance cohérente qui, le cas échéant, serait capable d’assumer la vacance du pouvoir à Damas, et de mener un pays, aussi vaste et aux composantes aussi complexes, sur le chemin de la démocratie.
Faute d’un plan solide et minutieux, le renversement de l’araignée ne conduirait pas seulement à une chienlit identique à celle qui sévit en Mésopotamie, ce serait encore bien pire que cela. Pour qui connaît quelque peu l’histoire contemporaine de la Syrie et ses composants ethniques et religieux, aussi naturellement agités que traditionnellement ambitieux, avant d’avoir construit une solution de rechange à la dynastie assadienne, il faudrait voir à les stipendier pour le travail de gendarmerie qu’elle réalise.
Comment, aussi, voudriez-vous qu’à Jérusalem, mais également dans toutes les autres capitales de la planète qui ont, ces jours-ci, le nez collé sur les événements qui se déroulent dans les environs de Metula, on prenne au sérieux une administration qui s’apprête à envoyer au Moyen-Orient des légionnaires français ? Une inconséquence qui donne la nausée à John Bolton, l’ambassadeur émérite de George Bush à Manhattan, cela se voit sur ses moustaches.
Et il ne s’agit pas uniquement de laisser se déployer les mercenaires dévoyés d’un pays dont l’élite oligarque ainsi que l’intelligentsia ont les Etats-Unis en parfaite horreur ; d’une Chiraquie, qui a soutenu Saddam Hussein à bout de bras, et qui persiste à nommer "résistants" l’engeance qui massacre des milliers de civils par mois et des dizaines de soldats de la coalition à Bagdad ; d’un pouvoir corrompu jusqu’à l’os – faut-il rappeler à Condi que l’ancien ambassadeur de Paris à l’ONU, Serge Boidevaix, touchait le plus clair de ses émoluments directement des mains de Saddam Hussein, et qu’il n’est, en aucune manière, inquiété par la justice de son pays pour cette conduite inénarrable ?
Il ne s’agit pas uniquement, pour les USA, d’accepter cette inconséquence, mais en plus, d’œuvrer, en favorisant l’adoption par le Conseil de Sécurité d’une résolution qui consacrera l’envoi de la Légion, en l’enrobant du titre indécent, en ce qui la concerne, de Force de paix mandatée par la communauté internationale.
George Bush serait-il tombé sur la tête ? En tous cas, l’adoption d’une telle résolution sonnerait le glas de la campagne contre le terrorisme et pour la démocratisation du Proche-Orient dont le président US nous rebat les oreilles depuis septembre 2001. Car, qui d’autre que le Hezbollah a-t-il besoin d’un cessez-le-feu pour éviter sa complète dislocation et l’anéantissement de son arsenal de mort ? Je ne vois que l’Iran et la Syrie !
Les dirigeants de quelque Etat sérieux s’imagineraient-ils qu’Israël convoiterait l’annexion de territoires libanais ? Ou que, comme le déclarait Jacques Chirac-Dagobert 1er, le roi élu des Français, l’Etat hébreu aurait l’intention de "détruire entièrement" le pays des cèdres ?
Foutaise !
Et quelles raisons se dissimuleraient derrière cet embryon de considération politique du locataire en fin de bail du palais de l’Elysée, si ce n’était la conception que la nation d’Israël prendrait du plaisir à maltraiter et à humilier ses voisins… alors qu’au contraire, tout étudiant en science politique, à la fin de son premier trimestre de cours, pourrait expliquer à Chirac que l’intérêt d’Israël, sur sa frontière nord, réside dans le fait d’y voir s’établir un pays démocratique, fort et prospère, contrôlant ce qui se passe sur son territoire, avec lequel il ne songe qu’à vivre en paix. Sont-ce les dictatures obscures, pauvres et bellicistes qui manquent dans l’environnement d’Israël, ou les systèmes avec lesquels il est loisible de concevoir des projets d’avenir ?
Si le Liban, à la faveur de cette guerre, parvient à se débarrasser de la présence intégriste, de l’influence armée de l’Iran, de la mainmise syrienne, c’aura été à la faveur de l’intervention de Tsahal, et du sacrifice de nos morts civils et militaires. Posez cette question à n’importe quel Libanais serein et de bonne foi, il vous le confirmera sans hésitation.
La France, cependant, entend s’approprier à moindres frais les bénéfices pour les Libanais de notre dévouement. A vouloir s’ériger en barrage contre ceux qui ne vous veulent aucun mal, on dissimule forcément des intentions inavouables. Et que personne n’essaie même de me raconter qu’Israël a détruit le Liban, si je survis aux Katiouchas ce n’est pas pour mourir de rire ! Tsahal a uniquement frappé les régions dans lesquelles les sicaires au service de la République Islamique d’Iran avaient instauré, par la force, un Etat dans l’Etat libanais, qui s’occupait uniquement à vider le concept de sa souveraineté de toute substance.
Et les dommages nécessaires – pour empêcher que soient acheminés les renforts et les munitions aux séides d’Ahmadinejad – aux infrastructures de transport libanaises ne constituent que le salaire minimum qu’auront à payer les Libanais pour donner un sens à leur indépendance. Chirac et Bouygues ne peuvent d’ailleurs que s’en frotter les mains, eux qui ont très largement bénéficié du premier projet de "reconstruction" qu’avait établi leur partenaire feu Rafic Hariri. Un Hariri, cumulant sans état d’âme les fonctions de 1er ministre et de PDG de Solidère, la plus grande entreprise de travaux publics libanaise ; fantoche au service absolu de l’occupant syrien, devenu martyr, symbole de liberté, lorsque ses patrons, irrités par ses velléités d’émancipation inattendues, décidèrent de se débarrasser de lui. Ces partenères, archétypes moraux de ceux qui se soucient du bien-être du peuple libanais, lui ont par ailleurs laissé une dette de 40 milliards de dollars, qu’en dix mille ans, il n’aura pas la capacité de combler… Une dette qui, faisons-leur confiance, va bientôt se remettre à enfler.
Difficile de concilier mentalement la croisade que mène George Bush contre la dotation de l’Iran en armes nucléaires avec l’accord qu’il pourrait donner à la France de conduire la force internationale d’intervention. Douste-Blazy, l’exécuteur des ordres de Chirac au Quai d’Orsay, n’a-t-il pas proclamé, la semaine dernière, que Téhéran constituait un pouvoir stabilisateur dans la région ? Personne ne lui a donc expliqué, depuis sa visite hystérique au Mémorial de Yad Vashem, que l’Angleterre n’avait jamais subi l’occupation de l’armée nazie ? Et que l’homme a déjà marché sur la lune ?
France ou pas France, il n’est pas nécessaire d’être analyste stratégique à la Ména pour saisir que, si force internationale d’intervention il devait y avoir, si on ne veut pas qu’elle ne serve qu’à préparer la prochaine guerre, son mandat doit être calqué sur la résolution 1559 du Conseil de sécurité de l’ONU. En d’autres termes, si la communauté internationale s’en mêle sur le terrain, elle doit permettre au gouvernement libanais de prendre l’entier contrôle de son pays. Cela inclut, obligatoirement, outre le fait d’aider l’armée de Beyrouth à se déployer à la frontière, la tâche de désarmer toutes les milices qui minent l’autorité légitime du Liban sur son sol. Cela implique le désarmement total du Hezbollah et la destruction de son stock de missiles ainsi que l’établissement d’un contrôle efficace, tout le long de la frontière syrienne – seul Etat limitrophe du Liban avec Israël – , visant à empêcher la contrebande d’armes et de terroristes en direction du Liban. Une discipline dans laquelle Damas excelle, comme elle en fait la démonstration quotidienne sur sa frontière iraquienne.
Or, Paris l’a déjà fait savoir, pas question pour ses hommes d’exécuter toutes les provisions de la résolution onusienne 1559. Pas question, par exemple, de désarmer le Hezbollah, ce qui fait craindre que le carnet de route des légionnaires mandés par Chirac ne soit, dans les faits, que la copie-collée des conditions présentées par les intégristes pour obtenir un cessez-le-feu.
Et il y a grand danger à voir se réaliser ce plan Turquoise II. Il recèle en effet le péril d’un affrontement armé entre des soldats portant l’uniforme français et des militaires de Tsahal. De la science-fiction ? Une hypothèse extrême ?
Non.
La force d’intervention internationale, d’après ce qui à filtré des discussions la concernant, se bornerait à remplacer l’armée israélienne dans la région qu’elle occupe au Liban-Sud. Mais cette occupation, dans ses limites géographiques actuelles, n’empêche nullement les intégristes de déverser leurs roquettes sur le nord d’Israël, pas plus qu’elle n’oblitère leur capacité à tirer des projectiles de 100 kg jusqu’à 50 kilomètres au nord de Tel-Aviv. Et c’est encore sans compter avec l’hypothèse qui permettrait aux Iraniens de faire lancer des missiles balistiques de 250 km de rayon d’action, qui pourraient, en théorie du moins, toucher les installations nucléaires d’Israël…
Connaissant quelque peu le Hezbollah et ses sponsors pour les fréquenter depuis un certain nombre d’années, je puis vous assurer que ses leaders n’hésiteront pas à se servir des Français comme de boucliers humains aux qualités nettement supérieures à celles présentées par les civils libanais, derrière lesquels ils se cachent d’habitude.
Et que fera Israël ? S’il s’agit de tirs de roquettes épars, elle se contentera d’élever des protestations par voie diplomatique. Mais s’il devait à nouveau pleuvoir des projectiles par centaines, il faudra bien, et cela relèvera alors d’un souci d’ordre stratégique objectif, frapper les agresseurs : au-dessus et vraisemblablement aussi, dans les zones contrôlées par la force internationale. Pas besoin d’être grand druide pour entrevoir alors les risques d’une telle conjoncture… Cela fait depuis la seconde guerre mondiale que des Français en uniforme n’ont pas fait usage de leurs armes contre des Juifs. Et l’intelligence voudrait – car il faudrait être dément pour souhaiter semblable confrontation ou ne pas prendre les précautions pour qu’elle ne puisse pas se produire ! – que toutes les mesures soient prises, y compris le renoncement du déploiement de légionnaires tricolores à proximité d’Israël, pour désamorcer cette menace avant qu’il ne soit trop tard.
Pour la petite histoire, il me faut rappeler que la dernière fois qu’une force française avait fait le coup de feu sur la plaine du Merjin, qui s’étend au pied de notre maison, ce fut, en 1943, pour décimer une armée de soldats britanniques et néo-zélandais qui venait prendre possession du Liban sous régime vichyste. En une seule journée d’affrontements, les forces régulières françaises anéantirent quelques 2'500 soldats alliés, qui ne s’attendaient certes pas à un pareil accueil ! Ce fut par ailleurs le seul "succès" à 100 % français lors du dernier conflit mondial…
D’autre part, Chirac a vraiment la mémoire courte, lui qui refuse de considérer la dichotomie pourtant incontournable du conflit global faisant rage entre les Etats occidentaux démocratiques et laïques et les armées servant la terreur hégémoniste islamiste. Il m’appartient alors d’informer le président français du fait que le commandant en chef du Hezbollah dans le Liban-Sud, celui qui affronte les forces de Tsahal, n’est autre que Imad Mouraouiya. Mouraouiya est cet islamiste d’origine palestinienne qui a imaginé, conçu et réalisé l’attaque contre l’immeuble le Drakkar à Beyrouth, une agression qui a occasionné la mort de 52 parachutistes français.
Je préfère ne pas imaginer le sentiment des familles de ces serviteurs de la France, lorsqu’elles apprendront que leur gouvernement se dépense sans compter pour se voir décerner une mission qui seule peut sauver la peau de l’assassin du Drakkar. Est-on en présence, à nouveau, de l’insondable spécificité française ou, plus prosaïquement, d’un manque absolu d’honneur et de respect de la part du pouvoir chiraquien pour ses propres morts ? Je ne répondrai pas à cette question en lieu et place du lecteur. Ce que je peux affirmer, cependant, c’est que je doute que beaucoup d’habitants de l’Hexagone aient été informés par leurs media généralistes de l’identité de Mouraouiya, de son passé et du rôle qu’il remplit dans la guerre actuelle.
D’un point de vue stratégique, Turquoise II est une mauvaise solution. Je ne parviens pas à trouver la moindre raison sensée qui justifierait que l’on mette un terme à l’offensive israélienne, jusqu’à ce qu’elle ait débarrassé la communauté internationale, à commencer par Israël et le Liban, de la présence iranienne par procuration dans cette partie du globe.
D’autre part, je suis persuadé que le monde ne connaît bien qu’une seule situation entre deux Etats voisins : la guerre ou la paix. Qu’est-ce donc que cette relation du troisième type que l’on veut imposer ici sous l’appellation de solution de non agression durable ? Une nouveauté ? L’a-t-on expérimentée ailleurs ? Combien d’heures, de jours a-t-elle tenu ?
Le temps est venu de cesser de faire n’importe quoi. Il est nécessaire de laisser Tsahal terminer la mission sacrée – en termes d’intérêt stratégique occidental – qu’il a entreprise, et, ensuite, la tâche des pays amis et responsables consistera à accompagner les gouvernements de Beyrouth et de Jérusalem à la table de négociation, et à ne pas les lâcher d’une semelle avant qu’il n’aient conclu un accord de paix exhaustif et applicable. C’est à ce prix et sans rabais envisageable, que les populations des deux pays pourront dormir tranquilles. C’est aussi ici l’endroit de rappeler à nos lecteurs que les deux Etats n’entretiennent aucun différend majeur, que le conflit actuel ne les oppose pas et qu’un traité de paix existe déjà entre eux. Un bon traité, qu’il suffirait de dépoussiérer et d’appliquer, moyennant le déplacement de quelques virgules [lire le traité].
Cela vaudrait infiniment mieux que de disposer sur le terrain une force accusée, au Tribunal des Armées de Paris, du crime de génocide pour de son dernier déploiement au nom de l’ONU. Le monde a été témoin, au Rwanda, de l’efficacité des Zones Humanitaires Sûres lorsque établies sous l’égide des légionnaires français. Et de l’impartialité saisissante avec laquelle Paris les gérait.
Aujourd’hui, la France est un pays arabisant, entretenant des relations au moins inamicales avec l’un des belligérants, soumis, de plus, au Liban, aux innombrables combines liant la famille Hariri au président Jacques Chirac. Un pays dirigé par un président qui affirme qu’Israël veut anéantir le Liban, que le Hezbollah n’est pas une organisation terroriste, que le fait d’appeler à l’éradication d’Israël procède d’un rôle stabilisateur, que les terroristes qui mettent Bagdad à feu et à sang sont des résistants, et que ceux qui se font sauter dans les autobus de Jérusalem sont des activistes.
Il y a plus que danger de voir le ramassis de voyous et de criminels à la solde de ce gouvernement, qu’on appelle Légion Etrangère, se déployer à la frontière israélienne : il y a inutilité stratégique ! Que ceux qui, comme moi, n’ont aucune hâte de savoir quel char du Merkava ou du Leclerc possède les meilleures qualités lors d’un affrontement direct, lisent correctement les lignes qui précèdent. Que le président Bush ne solde pas sa vision d’un Moyen-Orient différent et démocratique. Quels que soient ses faiblesses et ses mérites, elle constitue l’unique espoir de cette région et de ses habitants. Qu’Ehoud Olmert étudie un peu mieux qu’il ne l’a fait jusqu’à présent les annales du post-gaullisme et du chiraquisme avant de l’installer, armé, à notre porte.
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 06 août 2006 - 08h18: |
Des breves que vous n'entendrez/ne lirez pas sur les media francophones.
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Le Senat americain demande a l'UE de reconnaitre que le Hezbollah est une organisation terroriste
(On remarquera que le courrier emane de senateurs democrates alors que George Bush est republicain).
Senate: E.U. should call Hezbollah terrorists
U.S. senators sent a letter urging the European Union to recognize Hezbollah as a terrorist organization. Sens. Bill Nelson (D-Fla.) and Gordon Smith (D-Or.) drafted the letter to Javier Solana, secretary-general of the Council of the European Union, which garnered 88 signatures.
“Placing Hezbollah on the E.U.’s List for the Application of Specific Measures to Combat Terrorism will not only have important symbolic value at such a difficult time, it will also further cut off funding sources and assets that are used to support Hezbollah’s ongoing terrorist acts,” the letter states.
The Senate letter is similar to a U.S. House of Representatives letter last month that collected more than 200 signatures.
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Des indicateurs economiques israeliens positifs malgre la guerre.
Economic assessors bullish on Israel
Major U.S. economic health assessors give Israel high marks despite the war with Hezbollah.
Among other statements compiled by Israeli economic officials, Standard & Poor’s affirmed Israel’s long-term foreign and local currency credit ratings on July 25 at “A-“ and “A+” respectively, and its short-term foreign and local currency ratings at “A-1.”
“The ratings reflect the improved resilience of Israel’s public finances and economy to geopolitical shocks, after a three-year period of fiscal consolidation and strong economic growth,” S & P stated.
JP Morgan said in a July 25 report that Israel’s economy will be able to withstand the impact of the current security situation because of “exceptionally positive” fundamentals. The report “argues that the macroeconomic improvements in the country over the last few years have put the economy in a favorable position to weather this conflict and the concurrent rise in regional tension.”
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Un groupe d'organisations juives americaines de premier plan se mobilise pour aider le tourisme en Israel.
Virtual Tourism project opened
An American Jewish umbrella group officially launched a program to boost tourism to Israel.
Prospective tourists now can make reservations for Israeli hotels online and use them until June 30, 2007, as part of a “virtual tourism” project conceived by the Conference of Presidents of Major American Jewish Organizations. The program allows travelers to choose between hotels, guesthouses and bed and breakfasts in eastern, western or central Galilee.
The initiative aims to raise $1 million for Israel’s tourism industry, which has been hurt by the war with Hezbollah. Reservations can be made online at www.hofesh-latzafon.co.il or by calling 1-800-738-0548.
Also involved are Israel’s Tourism Ministry, the Galilee Development Authority, the Israel Hotel Association and the Israeli Prime Minister’s Office.
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Des centaines de terroristes kamikazes en provenance d'Asie du Sud-Est envoyes pour perpetrer des attaques sur des interets juifs partout dans le monde.
Report: Asian suicide bombers on loose
Hundreds of suicide bombers have been sent from Southeast Asia to attack Jewish interests around the world, the Australian newspaper reported.
The Asian Muslim Youth Movement, based in Jakarta, gave details of the mission to the paper. Terrorism experts in the area warn that the group is dangerous and should be taken seriously. The group claims it will use existing terrorist networks to operate in Israel itself
http://www.jta.org/
Par Lapid (Lapid) le dimanche 06 août 2006 - 07h09: |
Les innocents civils… du Hezbollah ne portent pas l’uniforme, mais ils tuent, M. Macina 30/07/2006
A en croire les dépêches et les commentaires larmoyants des journalistes du monde entier, la population libanaise serait composée uniquement d’enfants et de femmes.
Pour s’en convaincre, il n’est que d’écouter attentivement les annonces des morts, suite aux "lâches" bombardements israéliens des "populations civiles". Il y est immanquablement précisé, « dont x enfants, de x ans… ».......
Pour en savoir plus, cliquer sur les liens suivants :
Les innocents civils… du Hezbollah ne portent pas l’uniforme, mais ils tuent
Massacre à Cana, les négociations Liban - Israel reportées
Association France-Israel : DE L’EXPLOITATION DE LA TRAGÉDIE DE CANA 31-7-2006
A lire aussi (en Anglais) en cliquant sur le lien suivant :
Who is this man? 31-07-2006
Par Lapid (Lapid) le samedi 05 août 2006 - 23h57: |
A Deuteronome,
"Nous autres juifs, sommes partagés aussi entre les croyants ou les sionistes et proches d'Israël et un nombre inconnu mais réel de juifs assimilés ou "bons citoyens français" choqués par les actes de guerre israëliens, cela pourrait aussi nuire à leurs bonnes relations avec les non-juifs.... "
Je crois que vous avez mal interprete ce qu'a dit mon ami de France.
D'abord rassurez vous, mon ami de France est en fait franco-israelien, religieux et sioniste. Des la semaine prochaine, il sera avec sa femme en Israel afin de rejoindre sa nombreuse famille, ses deux fils ( dont l'un est mobilise depuis deux semaines) et ses trois petits-enfants nes en Israel. D'autre part, mon ami a fait, lui aussi, son service militaire en Israel des l'age de 18 ans .
Ceci dit, voila comment il fallait comprendre sa phrase :
D'une part, il y a les juifs religieux et sionistes, des juifs traditionalistes ou simplement des juifs non religieux qui sont tres proches d'Israel. Une grande partie, qui avait prevu de passer leurs vacances en Israel, le prouve encore aujourd'hui en n'annulant pas leur voyage( a ma connaisance, seulement 15% d'annulations en cette periode difficile de Guerre !). Vous pourrez le constater par vous-meme car ils sont venus, pour la plupart, avec toute leur famille et ils sont facilement reconnaissables a Netanya, Cesaree, Tel Aviv , Jerusalem ou d'autres parties du Pays. Nombreux sont ceux qui envisagent de s'installer en Israel a court ou moyen terme car ils ont compris qu'ils n'ont aucun avenir en France qui fait de plus en plus partie de l'Eurabia. Le Soutien et la Solidarite de la communaute juive de France envers Israel est bien reelle. Elle se fait sentir a tous les niveaux.
Mais d'autre part, il y a aussi ces juifs assimiles qui se sentent "plus francais que juif", ce qui est leur droit. Bien entendu, ils se considerent comme assimiles pour differentes raisons. Surtout pour certains, il est commode de s'assimiler et ainsi d'essayer de s'integrer parmi les non juifs. Et bien sur, "en moutons de Panurge", ils prennent des positions identiques a celles de la plupart des goys, donc il est de bon ton pour eux de se montrer choques par les actes de guerre israelien. Mais je pense que la plupart d'entre eux, comprendront un jour ou l'autre que ce n'est pas en se considerant assimiles, qu'ils pourront eviter d'etre designes comme juifs ( l'histoire recente nous l'a malheureusement demontre) donc , selon "la logique" de nos ennemis, consideres comme israeliens !
Je pense qu'il ne faudra pas, pour autant, les rejeter car je suis persuade que chacun d'entre eux gardera jusqu'a la fin ce fil, si mince soit-il, qui les relie a la destinee du peuple juif donc d'Israel.
Mon cher Deuteronome, j'espere que mon analyse saura vous convaincre et dissiper ce malentendu ! Quant a mon ami, n'en doutez pas c'est un vrai sioniste qui, des qu'il en aura l'opportunite ( et vous savez, autant que moi, que ce n'est pas toujours facile de trouver du travail en Israel surtout quand on a 54 ans !) , sera heureux de rejoindre, avec sa femme, ses enfants et ses petits-enfants dans son pays Israel.
Par Deutéronome (Deutéronome) le samedi 05 août 2006 - 22h40: |
hajkloufette
c'est au message de lapid que j'ai répondu mais j'ai oublié de le mettre
Par Deutéronome (Deutéronome) le samedi 05 août 2006 - 22h38: |
et tu crois qu'Israel aura la paix avec ce monde là. Parce que c'est plutôt pour nous qu'il faut s'inquiéter vu notre petit nombre.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le samedi 05 août 2006 - 21h40: |
Non Deuteronome , je ne pense pas que ce soit contradictoire !!! enfin pas exactement ... rendre nos soldats sans conditions c est la premiere phase ... pour qu il n y ait pas d accord avec le hizbollah qui retient encore nos soldats ( du moins on l espere ) qu ensuite il y ait une discussion sur des liberations de prisonniers ... ne rend pas pour cela l info contradictoire ... ce qu il faut c est separer les choses ... tout en sachant que de toute maniere cela se fera ... Mais Deuteronome ... pour le moment le gouvernement Libanais rejette en bloc cet accord ... quand au hizbollah .... on en est encore loin ... il y aura encore des changements dans les termes et il faudra etre tres vigilent ...
Par Deutéronome (Deutéronome) le samedi 05 août 2006 - 20h49: |
Extrait d'une information donnée par, Hajkloufette :
........"Concernant nos soldats kidnappes . il semble que l accor demande de les rendre sans conditions ... mais que l accord aussi precise qu Israel devra aussi discuter de rendre des prisoniers ... " .............
cela prouve bien à quel point une information peut-être contradictoire et du coup peut être interprétée comme une désinformation des médias occidentaux. à méditer
d'abord l'accord dit de rendre les soldats sans condition et l'information suivante précise que Israel devra aussi discuter de rendre des prisoniers ...
il y a là deux informations contradictoires !!!!