Par Deutéronome (Deutéronome) le samedi 12 août 2006 - 10h49: |
Citation :"Nous devons tous soutenir cette offensive et changer les termes de cette resolution munichoise"
Par Mena (Mena) le samedi 12 août 2006 - 03h27: |
Les masques sont tombés (info # 011208/6) [Analyse]
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Synthèse des analyses, avec Jean Tsadik et Michaël Béhé à Beyrouth.
Durant toute la journée écoulée, nous avons échangé, de façon presque incessante, nos informations et appréciations de la situation entre Metula et Beyrouth. De plus, nous avons bénéficié des points de vue de Laurent Murawiec à Washington et de Sébastien Castellion. Il nous fallait tout d’abord comprendre la situation alambiquée qui prévaut, tant sur le plan diplomatique que militaire, avant d’en faire part à nos lecteurs. Il fallait être sûrs de notre analyse, absolument sûrs, avant d’en faire état. Les choses étaient compliquées par le fait que le plus clair des tractations politiques se déroulait loin des observateurs et que ces discussions étaient gardées étanches par ceux qui y participaient. Nous sommes désormais en mesure de recomposer les éléments de la conjoncture de manière précise, dans le cadre d’une lecture stratégique, et de vous la faire partager.
Il y a deux jours de cela, lorsque le cabinet restreint israélien donnait son feu vert au déploiement de Tsahal sur le Litani et même au-delà, le Département d’Etat américain était intervenu, en plein conseil des ministres "politico-sécuritaire", par un appel téléphonique de sa Secrétaire Condoleezza Rice. Le but de cette intervention avait consisté à réclamer et à obtenir l’accord du 1er ministre Olmert pour concéder un délai supplémentaire aux négociateurs US et français dans l’enceinte de l’ONU à Manhattan. Il s’agissait de trouver un compromis acceptable, à la fois par les membres du Conseil de Sécurité, les gouvernements israélien et libanais, mais également par le Hezbollah et ses commanditaires syriens et libanais, débouchant sur une résolution.
En Israël, Ehoud Olmert était immédiatement soumis à une pression croissante de la part de son opinion publique, d’une partie de ses ministres et surtout, de l’état-major de son armée. Israël exige du président du conseil de refouler le Hezbollah, au moins au-delà de toutes les positions depuis lesquelles il lance ses roquettes contre ses agglomérations. Des villes et des villages qui ont subi des dommages considérables depuis le début de l’agression intégriste. Tout le pays insiste pour que les plus de cent morts de cette guerre ne soient pas tombés pour rien. Pour que les 300'000 personnes déplacées n’aient pas quitté leurs domiciles et subi d’immenses préjudices pour que ce conflit se termine en queue de poisson.
Les politiques de l’Etat hébreu rappellent en toute occasion que la solution doit être axée sur la base de la résolution contraignante 1559 du Conseil de Sécurité, qui appelle Beyrouth à désarmer le Hezbollah sans qu’aucune condition ne soit imposée à Jérusalem et que l’armée libanaise supplante les terroristes chiites sur la frontière internationale.
La proposition de résolution initiale, concoctée par Paris et Washington était déjà acceptée du bout des lèvres en Israël, et l’Etat hébreu faisait confiance au président Bush qui, devant les réticences de Beyrouth et de la Ligue Arabe, avait réaffirmé publiquement que les termes de cette proposition n’étaient pas discutables. Ce qui contentait également les Israéliens consistait en la provision onusienne sine qua none requérant la relaxe immédiate de leurs deux soldats kidnappés par le Hezbollah.
Au Liban, le gouvernement Siniora, soumis aux menaces de ses propres ministres du Hezb, se faisant les porte-parole de Hassan Nasrallah et de Béchar Al-Assad, jouait à fond la carte de la victimisation. Le cabinet Siniora rejettait ainsi le plan original "non discutable" et suggérait des termes, rangés en sept chapitres, afin de parvenir à une cessation des hostilités.
Ces conditions étaient inacceptables pour Jérusalem, principalement en cela qu’elles tendaient à pérenniser la présence armée des Fous de Dieu, et à exiger un retrait immédiat de Tsahal des territoires qu’elle occupe au Liban. Le cabinet Siniora demandait également un degré de parallélisme entre la libération des deux militaires otages des islamistes et celle de terroristes libanais, coupables de crimes de guerre particulièrement ignobles, détenus en Israël après être passés en jugement, ainsi qu’un abandon par Tsahal du territoire syrien dit des Fermes de Chabaa, qu’elle occupe et qu’il revendique. Ces exigences étaient destinées à sauver la face de Nasrallah, en démontrant que le Liban n’avait pas subi de gros dommages pour rien et que les actions islamistes, contre les civils de l’autre côté de la frontière, avaient permis d’obtenir certains avantages.
Mais deux points dans les attendus de Beyrouth étaient radicalement inacceptables à Jérusalem : l’interdiction que Siniora voulait obtenir de la part des forces internationales de faire usage de leurs armes contre les terroristes autrement qu’en état de légitime défense – donc pas aux fins de les désarmer – ainsi que le refus libanais d’un embargo surveillé sur de nouveaux approvisionnements en armes et en munitions en provenance de Damas pour le Hezbollah. Clairement, le gouvernement libanais entendait réarmer les supplétifs intégristes et empêcher que le contingent international ne les déloge des positions qu’ils occupent au Sud, stocks de Katiouchas compris. Il s’agissait, en quelque sorte, de faire passer une résolution anti-1559.
Le seul point intéressant pour Israël dans ce cocktail mortel résidait en l’acceptation par Beyrouth d’envoyer 15'000 de ses soldats au Sud, ce qu’il s’était toujours refusé à faire deux ans durant et qui constituait l’essentiel de l’attente de Jérusalem avant le déclenchement du présent conflit.
Après avoir accepté de donner à Condi le temps d’obtenir à l’ONU des conditions de cessez le feu en rapport avec la 1559 et la restitution de ses soldats-otages, le gouvernement de Jérusalem décida de ne pas intervenir directement dans les tractations et d’attendre patiemment de pouvoir consulter une proposition de résolution au Conseil de Sécurité "légèrement modifiée" relativement au texte original franco-américain. Pour ne pas gêner les partenaires américains, Olmert alla jusqu’à interdire à sa ministre des Affaires Etrangères, Tsipi Livni, de se rendre à New York vendredi matin.
Mais en fin de journée de ce même vendredi, les négociations prenaient une tournure irrecevable pour Israël : la proposition en gestation faisait la part trop belle aux postulats libanais. Il y était question que la force internationale soit soumise aux provisions des règles no. 6 d’ouverture du feu (légitime défense) en lieu et place des numéro 7, seules aptes à faire respecter les termes de la résolution 1559 par les intégristes. De plus, le Conseil de Sécurité, intéressé par un cessez-le-feu à tout prix, semblait-il, était à deux doigts de renoncer à imposer l’embargo sur les fournitures aux islamistes.
C’en était trop ! Les militaires firent savoir à Ehoud Olmert que si une telle résolution – lourdement amendée au profit de Beyrouth – était adoptée, la position des terroristes à la frontière serait encore meilleure que ce qu’elle était il y a 32 jours, au début des combats. Les miliciens-terroristes de Nasrallah seraient désormais protégés par la présence d’une UNIFIL renforcée, qui empêcherait Israël de réagir aux tirs des séides de Téhéran, sans toutefois que leur capacité à tirer leurs Katiouchas soit en aucune manière entravée.
Par Nao (Nao) le samedi 12 août 2006 - 00h53: |
Richard vous avez raison: je devrais dire musulmans plutot que arabes.
Mais Deuteronome comme vous perso je ne vois pas de difference entre les deux.
Enfin Richard je suis aussi d'accord avec vous: je ne sais pas ce qui ressort de cet accord de cessation des hostilites mais ca n'est rien de bon pour nous. C'est en fait renoncer a aneantir le Hezbollah qui va se glorifer d'avoir gagne et va continuer a se surarmer. C'est aussi un aveu d'echec pour Israel. C'est trop dur alors on laisse tomber?? ils sont plus forts que on ne le pensait?
Quand on commence une guerre, on la finit sinon ca va etre le retour de baton comme pour l'Irak apres la guerre du Golfe..
Avoir fait tout ca pour ca, c'est comme la montagne qui accouche d'une souris.
Je trouve que de la part d'Israel c'est de la folie inconsciente...
Shabbat Shalom a tous
Par Deutéronome (Deutéronome) le vendredi 11 août 2006 - 21h59: |
Et les arabes ne sont pas des musulmans non plus !?
C'est à y perdre son latin .
Mais franchement je ne vois pas bien où se situe la différence !?
Pour moi la frontière est vraiment très mince aussi mince que du papier à cigarettes voir plus fine !
Quelqu'un est-il en mesure de me citer un seul pays musulman démocratique ?
Non ! parce qu'il en n'éxiste aucun !
Par Richard_S (Richard_S) le vendredi 11 août 2006 - 21h02: |
Enfin une bonne decision par l'equipe Olmert-Peretz d'autoriser l'offensive terrestre pour Israel.
Je soutiens le rejet de cette pseudo-resolution francaise qui fait en sorte que hezbollah apparaitra comme le vainqueur si la guerre s'arrete maintenant.
Le monde arabe, aide par la France veut sortir victorieux de cette epreuve mais, si ca se passe ainsi, Israel sera considerablement affaibli.
Nous devons tous soutenir cette offensive et changer les termes de cette resolution munichoise.
Richard
PS : Nao, vous dites "Tous les arabes ne sont pas terroristes mais tous les terroristes sont arabes"
Or ceci est faux, car les Pakistanais ne sont pas des Arabes et les Iraniens ne sont pas des Arabes.
Vous devriez changer en : "Tous les Musulmans ne sont pas terroristes. mais tous les terroristes sont Musulmans".
Par Emma (Emma) le vendredi 11 août 2006 - 19h20: |
Israël, debout face aux fanatismes totalitaires, par Armand Abécassis
Commençons par le commencement. L'État d'Israël a le droit d'exister comme tous les États qui l'ont reconnu en 1948. Il a donc le devoir d'exister et de se perpétuer. Les pays qui ne le reconnaissent pas ont tort et sont dangereux pour la paix du monde et du Proche-Orient. Ceux qui, d'autre part, menacent son existence sont condamnables et doivent être condamnés par les nations.
Celles-ci ne peuvent se limiter hypocritement à les réprouver en proclamant leur désaccord, mais doivent encore leur signifier qu'elles se sont engagées à protéger Israël en 1948 et qu'elles seraient prêtes à le défendre, même militairement si un État s'aventurait à le rayer de la carte du Proche-Orient. Or il faut bien s'apercevoir que la guerre entre États, devenant dangereuse pour la planète et donc impossible, prend aujourd'hui la forme du terrorisme imprévisible, invisible et surtout insaisissable. Il peut être direct ou indirect quand des États arment des terroristes qui s'acharnent sur la nation qu'ils ne peuvent rencontrer face à face.
Quand deux États s'opposaient militairement, on parlait d'état de guerre, de négociation, d'arrêt des batailles, de traités de paix et même parfois de réconciliations. Les choses étaient claires et les règles établies finissaient par régir leurs relations. Mais toutes ces notions s'écroulent devant le terrorisme et les terroristes qui ne peuvent laisser place à la notion de sens. Comment leur faire admettre ces notions de trêve et de règles alors qu'ils n'en respectent aucune ? Le terroriste est celui qui est payé, manipulé ou enflammé par son délire divin et qui agresse et tue des êtres désarmés, dans la rue, dans un restaurant, dans un autobus, dans un avion ou dans une tour, parfois même dans un lieu de prière.
Les États ne peuvent rien contre lui, surtout dans le cas où ils sont visés par terroriste interposé. C'est ce qui se produit avec Israël : les guerres menées contre lui par les pays arabes qui l'entourent et qui ont voulu le «jeter à la mer» ayant conduit à leur défaite, le terrorisme a pris leur relais sous Arafat. Les réactions de défense des Israéliens, légitimes, justes, intelligentes, ne peuvent éviter les stratégies perverses des terroristes cachés au milieu de civils innocents et derrière des enfants et lavant les cerveaux d'hommes et de femmes assurés de gagner par leur sacrifice le paradis. Des bavures plus que regrettables se produisent qui traumatisent les Israéliens eux-mêmes. Mais qui doit-on incriminer en ces cas désolants ?
Venons-en à présent à cette autre forme de terrorisme représentée par le Hezbollah. L'armée israélienne a quitté le Liban il y a six ans. Depuis ce temps se sont installés au sud du pays, des terroristes qui occupent cette région qu'ils administrent comme ils le désirent en y imposant leur genre de vie, leurs diktats, leur terreur et leurs agissements. Ils sont armés par des pays étrangers et soutenus financièrement et politiquement par eux. Cet État ne gêne en rien le gouvernement libanais. Bien plus, il s'y fait représenter par deux ministres ! Mieux ! il ne cesse de tirer des missiles en direction d'Israël et va jusqu'à enlever des soldats israéliens, refuser de les rendre et même négocier leur échange. Israël a-t-il le droit de se défendre ? Sa réaction est-elle juste ? Comment le nier ? Il est seul à considérer ce terrorisme du Hezbollah comme grave non seulement pour sa sécurité, mais aussi pour le Proche-Orient et surtout pour l'équilibre mondial. Le Hezbollah sert directement les intérêts d'un pays qui cherche à se doter de l'arme atomique et qui est dirigé par «un fou de Dieu».
Qu'on nous entende bien : ce n'est pas une guerre classique que mène Israël, c'est un combat contre le terrorisme et contre les terroristes. Ce combat est juste et montre la voie à tous ceux qui sont victimes du terrorisme et de tout ce qui se cache derrière lui comme l'exemple du Hezbollah. Faut-il encore qu'Israël produise les raisons légitimes de son combat, de son droit à l'autodéfense, à la réduction de la violence qu'il subit, fût-ce par les armes ? Israël n'est pas pacifiste ! Le judaïsme ne proclame pas le pacifisme parce que, d'une part, à l'origine, il y a la guerre et non la paix et que le mal précède le bien. C'est précisément ce qui rend nécessaire l'usage de la violence quand il a pour but de neutraliser le mal.
Il reste la question de la conduite de cette violence, de ses règles et de ses limites pour le peuple qui n'a pas vocation au martyre. L'individu peut prendre sur lui de mourir plutôt que de lever la main sur son agresseur. Il a encore le droit et la possibilité de s'exposer au martyre pour rester fidèle à sa vocation spirituelle, à son amour et à son désir de paix. On ne peut réclamer cela à un peuple. Un juif peut en témoigner et prendre sur lui de mourir au lieu de prendre une arme, mais le peuple d'Israël en tant que peuple n'a pas vocation au martyre, n'a pas le droit de tendre l'autre joue à celui qui le gifle ! Le problème pour lui, son devoir et sa vigilance l'obligent à apprendre à canaliser la violence à laquelle on le pousse et dans laquelle on le piège, surtout quand elle concerne la sécurité mondiale également.
En premier lieu, Israël n'abrite sur son sol aucune organisation terroriste et n'alimente aucun groupe de «fous de Dieu» installé dans un pays étranger. Il n'enlève pas de soldats étrangers, ne menace personne, n'égorge personne, alors qu'il est agressé. Il fait partie de l'ONU, mais aux yeux de cette assemblée de «lâches», c'est lui qui devient agresseur et condamnable. Il n'a ni l'idée ni la volonté d'imposer le judaïsme à qui que ce soit et encore moins par la terreur et par la mort. Il n'élit pas des fous ou des criminels pour les diriger. Il sait, de manière certaine, que les terroristes installent leurs armes et leurs rampes de lancement des missiles sur les toits des maisons et cachent leurs postes de commandement au milieu des quartiers habités par des civils.
C'est pourquoi il demande à ces civils d'évacuer leurs quartiers avant de les bombarder. Quand ces civils n'obéissent pas, quel État a le droit et l'audace de dicter à Israël ce qu'il doit faire ? Israël n'éprouve aucune sympathie pour le régime des mollahs, des régimes totalitaires, fanatiques et génocidaires. Il garde sa fermeté, seul dans ce monde, et son courage dans son combat pour sa sécurité et pour la paix mondiale. Il ne recule pas devant le traitement indigne que lui font subir les médias et les politiciens européens. Il ne se laissera plus confisquer par quelque État que ce soit, ou par l'ONU, les résultats de son combat.
Il est le seul pays libre et démocratique du Proche-Orient, parce qu'il s'efforce d'allier sa propre histoire et sa propre mémoire à tout ce qu'il a appris de l'Occident. C'est aussi la culture et la civilisation occidentales qu'il défend, elles qui ont enrichi sa spiritualité sémite dans l'histoire.
* Philosophe, professeur d'université, exégète du judaïsme, auteur notamment de La Pensée juive (Le Livre de poche, 4 tomes) et de Puits de guerre, sources de paix : affrontements monothéistes (Seuil).
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 11 août 2006 - 18h37: |
Voila comment la desinformation se propage !!!
Voici une image :
Par Davideden (Davideden) le vendredi 11 août 2006 - 17h58: |
La principale difference entre un terroriste et un resistant est que le terroriste perd la guerre et le resistant la gagne.
L'autre difference moins bien importante est la technique de combat utilisee.
Cela dit les "terroristes" musulmans que j'espere resteront terroristes et non pas resistant ont le support tacite ou vocale de presque tout les musulmans.
L'idee d'un etat Juif cause des souffrances presque physiologique au monde musulman. L'echec des societes Arabes avec 22 pays independents dictatoriaux et invivables rend la population musulmane violente et extremiste surtant quand cet echec est contrate avec le progres des societes non-musulmanes.
Tout les terroristes ne sont pas musulmans mais la plupart le sont. Tout les musulmans ne sont pas terroristes mais la plupart soutiennent plus ou moins activement le "terrorisme".
ce terrorisme est l'expression de la frustration devant l'echec de la societe musulmane et lexistence d'un pays Juif qui dans la culture intolerante d'un Islam rate et sans succes devient viceralement insupportable au mouvement Islamo-fasciste a la tete du monde Arabo-Musulman.
Par Deutéronome (Deutéronome) le vendredi 11 août 2006 - 17h54: |
Citation :CAIR (Council for American Islamic Relations- une organisation soit disant destinee a favoriser les relations entre Americains et l'Islam et qui a ete grassement pourvu en donations par la gauchiste en herbe et milliardaire femme de John Kerry..)a aussi critique Bush d'avoir utilise le terme d'islamo-fascistes qui pourrait mener a un "amalgame"..
"Tous les arabes ne sont pas terroristes mais tous les terroristes sont arabes", Cherchez l'erreur!!!!!!!!!!!!
Par Braham (Braham) le vendredi 11 août 2006 - 17h42: |
Voila plus d'une heure sans SIRENE, alors Shabbat Shalom !!