Par Lapid (Lapid) le vendredi 25 août 2006 - 09h21: |
Derrière les images - Lysiane Gagnon (journaliste canadienne), La Presse Montréal - 24 août 2006 -(Publie dans Desinfos.com)
Il est clair que le Hezbollah a gagné la guerre de la propagande - mais par des moyens plus que douteux. Pour se rendre dans les endroits bombardes, pour entrer dans les écoles et les mosquées ou sont regroupes les réfugiés des régions chiites, les journalistes doivent avoir l’autorisation du Hezbollah, dont les patrouilles ont tout fait de dépister les reporters étrangers.
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Derrière les images
Par Pauline (Pauline) le vendredi 25 août 2006 - 09h14: |
Deux tiers des Israéliens souhaitent la démission d'Ehud Olmert
JERUSALEM (Reuters) - Près des deux tiers des Israéliens sont favorables à la démission du Premier ministre Ehud Olmert, selon un sondage publié vendredi par le quotidien à grand tirage Yediot Ahronot, qui qualifie ce résultat de "séisme" politique.
Son départ est ainsi souhaité par 63% des personnes interrogées tandis que 74% se prononcent pour celui de son ministre de la Défense, Amir Peretz. Une majorité (54%) réclame par ailleurs la démission du général Dan Halutz, chef d'état-major de l'armée israélienne.
Olmert, qui, à la différence de la plupart de ses prédécesseurs, n'a pas de passé militaire, traverse une grave crise de confiance depuis la guerre contre le Hezbollah libanais, que beaucoup parmi ses concitoyens considèrent comme un échec.
Les partisans de sa démission n'avaient encore jamais atteint la majorité. Dans une précédente étude, publiée le 16 août par le Yediot Ahronot, 41% des sondés se disaient favorables à son départ et 57% se prononçaient pour celui de Peretz.
Par Lapid (Lapid) le vendredi 25 août 2006 - 09h12: |
Cette génération et la gueule du chien - David Shapira - vendredi 25 août 2006 - Arouz 7 -
Tant de lignes ont été écrites sur cette guerre qui n'a pas de nom et qu'on désigne maladroitement par "la seconde guerre du Liban".
Tant de questions restes posées: comment Tsahal et les forces de sécurité ont laissé s'installer durant six ans un arsenal de guerre menaçant le centre du pays?
Pourquoi les soldats ont dû patienter plus d'une dizaine de jours avant de recevoir enfin l'ordre d'attaquer?
Pourquoi n'étaient-ils pas équipés des meilleurs arsenaux pour leur permettre de se défendre de jour comme de nuit?
Pourquoi ont-ils reçu des directives contradictoires qui les ont exposés inutilement au danger?}.........
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Cette génération et la gueule du chien
Par Lapid (Lapid) le vendredi 25 août 2006 - 08h56: |
Nucléaire iranien : la dernière ligne droite? - Editorial de la semaine du 26/08/2006
Par Guy Senbel pour Guysen Israël News - Vendredi 25 août 2006 -
Cette semaine, l’Iran nous a offert un festival dédié à l’hypnose collective et à la manipulation des médias et des esprits.
Ce grand spectacle donné à grand renfort de ‘’publicité’’ a été ‘’piloté’’ par le maître en la matière : Mahmoud Armadinejad.
En cette période estivale propice à la détente, nous aurions pu en rire si les conséquences ne risquaient pas d’être très douloureuses.
L’enrichissement de l’uranium va continuer de plus belle en Iran et au vu des réactions internationales, il est permis de penser que plus rien n’arrêtera le mégalomane de Téhéran.
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Nucléaire iranien : la dernière ligne droite?
Par Claudia (Claudia) le vendredi 25 août 2006 - 08h44: |
Journaliste arabe américain, auteur du livre "les Mythes du Moyen-Orient", Joseph Farah a-t-il raison quand il diagnostique avec une sympathie non feinte pour Israël, sa maladie terminale ?
Il l'attribue à une direction politique israélienne indigne de sa mission, de ses responsabilités, de l'histoire du pays.
Après la création du parti Kadima par Ariel Sharon fin 2005 , Ehud Olmert s'était rendu aux USA début 2006 pour une campagne de levée de fonds électoraux. Devant un parterre composé des représentants les plus influents de la communauté juive américaine, il avait tenu des propos qui nous avait alertés :
"Nous sommes fatigués de la guerre, nous sommes fatigués de vaincre, nous sommes fatigués de battre nos ennemis".
Avec le désastre de la dernière campagne au Liban, car c'est le constat que Joseph Farah fait avec beaucoup d'Israéliens et de commentateurs étrangers, Olmert nous confirme qu'il est en effet bien fatiqué et qu'il est largement temps pour son équipe d'incapables de passer la main.
De plus, il règne dans le pays un climat extrêment délétère, avec une corruption qui se dévoile au sommet de l'Etat.
Si on tente une courte liste des profiteurs, des corrompus, des abuseurs de pouvoir, nous sommes effarés de relever :
Ehud Olmert et l'affaire d'un appartement vendu dans des conditions trop avantageuses ;
Haïm Ramon, ministre travailliste de la justice, conduit à démissionner pour harcèlement sexuel ;
Dan Halutz, chef d'Etat Major de Tsahal, dépourvu d'imagination militaire, agioteur à la bourse le jour du déclenchement du conflit ;
Moshe Katsav, président de l'Etat, mis en cause dans une affaire de moeurs.
Comme je ne voudrais pas donner du grain à moudre aux ennemis d'Israël - de celui dont se repaissent les spectateurs des films d'Amos Gitaï - j'arrêterai là cette litanie honteuse. Mais il temps que les Israéliens exigent des comptes, et fassent tomber - symboliquement - les têtes des incapables, des lâches, des corrompus.
On nous dira qu'en ces temps troublés "entre deux", l'affaire est délicate.
Elle le deviendrait davantage si l'on n'amputait pas ce gouvernement indigne, comme un membre gangréné.
Simon Pilczer
La maladie terminale d'Israël
Par Joseph Farah,
WorldNetDaily.com
Adaptation française de Simon Pilczer, volontaire de l'IHC
Nous connaissons tous de braves soldats qui ont combattu courageusement dans de nombreux conflits pour ne succomber qu'à des maladies longues et débilitantes des années plus tard.
De même, l'histoire nous conte des nations qui n'ont jamais perdu une bataille au combat pour ne mourir que parce qu'elles ont perdu leur détermination, leur volonté de survivre.
Je crois que c'est ce qui arrive en Israël aujourd'hui. Je crois que l'Etat juif est en maladie terminale.
Israël peut bien avoir gagné trois guerres majeures en 60 ans d'histoire, mais il aura de la chance s'il survit à une nouvelle décennie de faillite morale de sa direction politique.
Ce n'est pas seulement l'ancien Premier Ministre Ariel Sharon qui est comateux. Il semble que tout le gouvernement israélien actuel soit en état de mort cérébrale.
Comment pourrait-on autrement expliquer l'accord d'Israël aux termes du cessez-le-feu avec le Liban qui équivaut à une reddition inconditionnelle ?
Je connais peu d'autres commentateurs qui aient expliqué le développement de ces termes sévères, mais c'est la réalité de ce que le gouvernement d'Ehud Olmert a fait. Cela constitue , selon moi, l'une des plus grosses bourdes stratégiques dans l'histoire du pays.
Passons en revue ce que Israël a fait :
Il a lancé une guerre contre les terroristes du Hezbollah dirigés par l'Iran après qu'ils aient kidnappé deux soldats israéliens, tué huit autres, et envoyé des roquettes sur les villes du Nord d'Israël. Dès le début, Israël a exigé le retour de ses soldats et le désarmement des terroristes du Hezbollah.
Qu'est-ce que Israël a obtenu en échange de l'accord de cessez-le-feu ? Les soldats kidnappés ne sont pas revenus, et les terroristes du Hezbollah demeurent en armes.
Sur ma vie, je ne comprends pas pourquoi les citoyens israéliens ne se massent pas dans les rues de Jérusalem pour exiger la démission immédiate d'Olmert et de son cabinet. L'armée israélienne est revenue du Liban avec la queue entre les jambes.
Comment pouvez-vous demander à des soldats de tuer ou de mourir pour un objectif simple qui est abandonné plus tard sans explication ni raison ?
Olmert ne comprend-il pas ce que sa reddition signifie ? Elle signifie qu'il a donné aide et aisance aux ennemis d'Israël. Il a conféré au Hezbollah sa plus grande victoire depuis que le Premier Ministre Ehud Barak a ordonné le retrait unilatéral du Liban, conférant la partie Sud du pays à l'armée du mandataire de l'Iran, en le mettant en position de proclamer qu'il avait vaincu l'Etat juif.
Il a aussi prouvé aux autres ennemis terroristes d'Israël - ceux du Hamas et de l'Autorité palestinienne - que les attaques de roquettes, les assassinats et les kidnappings sont des tactiques gagnantes contre l'Etat juif. Préparez-vous à en voir encore davantage sous les auspices du " cessez-le-feu ".
Il a montré devant le monde entier que Israël a perdu l'espèce de résolution qu'il avait dans les campagnes militaires antérieures. Quand les choses vont mal, les Juifs d'aujourd'hui sollicitent manifestement la paix.
Le Hezbollah a vaincu. C'est le résultat final inimaginable après ce conflit. Les terroristes ont vaincu - non pas sur le champ de bataille, pensez-donc. Mais ils ont vaincu avant même que la guerre ne commence parce que les dirigeants de Jérusalem, pusillanimes, lâchement et moralement inadaptés, n'auraient jamais permis qu'Israël soit victorieux.
Avec la victoire du Hezbollah, l'Iran et la Syrie se sont aussi enhardis. Voilà de mauvaises nouvelles non seulement pour Israël, mais pour le monde entier.
Si vous pensez que j'exagère, posez-vous cette question fondamentale : Est-ce que Israël est plus en sécurité après avoir arrêté son conflit au Liban, ou est-il moins en sûreté ?
Vous connaissez la réponse. Chacun connait la réponse.
Israël peut bien avoir l'une des plus grandes machines de guerre dans le monde. Il peut disposer d'un équipement de renseignements qui fait rougir d'envie des superpuissances. Il peut même avoir le Droit de son côté.
Mais Israël est dirigé par des hommes indignes de son histoire, indignes de ses sacrifices, indignes de ses victoires durement gagnées dans le passé, et indignes des promesses souveraines de Dieu de bénir l'Etat juif pour toujours.
Il est clair que l'ennemi qui serait jamais capable de détruire Israël est l'espèce de pourriture morale dont nous sommes les témoins aujourd'hui à Jérusalem. Israël ne dispose que d'un coup pour survivre à sa maladie terminale - retrancher le cancer que constitue le gouvernement Olmert.
Par Sarel (Sarel) le vendredi 25 août 2006 - 08h14: |
Cher Emile merci de nouveau pour votre reponse .Il est important de savoir ce qu'on fait dans cette region .
Car si un peuple vit seulement que pour survivre depourvu de base spirituelle ou philosophique il ne tiendra pas longtemps.
Vous parlez de religion avec grand repect et une certaine crainte .Je vous comprends .
Sachez que je suis croyant mais pas religieux .
Aucun ne peut remplir les 613 MITSVOT mais il en fait quand meme quelques uns .
si il s'est detache completement c'est autre chose et ne peut etre attache a cette terre que materielement tout en y habitant.
Par contre on peut etre au bout du monde et y etre relie moralement
C'etait une parenthese !!
Chabbat chalom sarel
Par Primo (Primo) le vendredi 25 août 2006 - 06h17: |
Les élucubrations madrilènes de Lionel Jospin
Déclinaison de la "disproportion": la "sur-réaction". C’est celle qu’aura choisi l’ancien Premier ministre, Lionel Jospin, pour décrire l’engagement militaire auquel a été contraint Israël entre le 12 juillet et le 14 août 2006.
Intervenant, le 20 août 2006, dans le cadre du "Club de Madrid" qui regroupe d'anciens chefs d'Etat et de gouvernement oeuvrant au renforcement de la démocratie dans le monde, celui qui avait dû essuyer, en 2000, les jets de pierre des étudiants de l’université palestinienne de Bir Zeit pour avoir justement qualifié le Hezbollah d’organisation terroriste, ne semble pas pour autant avoir pris la mesure des enjeux réels auxquels est confronté l’Etat hébreu.
1948, 1967, 1973, 2000, et aujourd’hui 2006 avec la menace iranienne, ce sont bien là des dates qui marquent la lutte d’Israël pour sa survie. Israël ne peut, bien entendu, se permettre de perdre une seule guerre et se rendrait donc coupable de ne pas s’assurer une marge de manœuvre conséquente à chaque fois qu’il s’engage dans un conflit. Menace iranienne donc puisque, tout individu sensé en ce monde l’aura compris (même le président Chirac !), le Hezbollah n’est que le ballon d’essai d’un Iran fasciste qui a demandé à sa succursale libanaise de tester la capacité de réaction des "Juifs" dans l’optique d’une opération à visée éradicatrice de plus grande envergure.
Alors, penser que "Comme souvent face aux agressions, Israël a sur-réagi, comme si ce pays jouait à chaque fois son existence même", c’est tout simplement, M. Jospin, ne comprendre rien à rien à la problématique de la confrontation judéo-musulmane. En effet, cette guerre de religion qui ne dit pas son nom, n’est que l’acte I d’une longue pièce qui s’étalera sur des décennies, et dont l’acte II, dans l’imaginaire islamo-fasciste, se jouera davantage sur les rives de la Seine et du Danube que sur celles du Jourdain. Ce n’est pas "comme si ce pays jouait à chaque fois son existence même", Monsieur le Premier ministre, c’est comme si vous et moi étions tout aussi concernés par cette menace existentielle.
Y aura-t-il, un jour, un seul politique européen, capable d’appréhender cette menace avec toute la lucidité que l’on est en droit d’exiger d’un prétendant aux affaires ?
Ce jour-là, Jospin poursuivait :
"Sous nos yeux, une démocratie, Israël, indûment provoquée par une faction libanaise, le Hezbollah, a frappé en représailles (…) une des rares démocraties au Proche-Orient"… "Sans doute [le Liban est-il] une démocratie particulière, communautarisée, instable et dont la souveraineté est limitée de l'intérieur par le Hezbollah et de l'extérieur par la Syrie, mais c'est pourtant une démocratie".
Finement analysé, mais totalement hors sujet. En quoi le fait que votre agresseur soit hébergé par une démocratie ou une dictature change quoi que ce soit à la menace qui pèse sur vous ? Et c’est surtout occulter les déclarations répétées jusqu’à plus soif par les dirigeants israéliens : "Nous n’avons rien contre le Liban. C’est au Hezbollah que nous faisons la guerre". C’est au Hezbollah seul qu’incombe la responsabilité de la tragédie civile libanaise. C’est lui qui a décidé d’agresser Israël en se servant de la population comme d’un bouclier humain. C’est lui qui avait, dès 2000, décidé de harceler la Galilée alors que Tsahal s’était entièrement retiré du sud Liban et qu’Israël n’entretenait plus de contentieux frontalier avec le pays du cèdre.
A ce propos, Lionel Jospin tombe apparemment dans le piège du Hezbollah qui avait pris pour prétexte l’occupation des "Fermes de Chebaa" pour justifier ses attaques.
Selon M. Jospin, "l'Etat hébreu fixe à ses interlocuteurs possibles des obligations qu'ils ne peuvent satisfaire en l'état: pour l'Autorité palestinienne, empêcher toute violence sur des territoires précarisés (sans recevoir de perspective politique en retour), pour l'Etat libanais, démilitariser le Hezbollah (sans que soit réglé le problème de la frontière entre le Liban et Israël)".
Or, il n’existe pas plus de "problème de frontière entre le Liban et Israël" que de fayots dans la choucroute. Ce territoire de 25 km2 a été conquis à la Syrie en 1967 et sera restitué à cette dernière si, un jour, un traité de paix israélo-syrien voit le jour. C’est d’ailleurs la position de l’ONU. Tout le reste n’est que littérature et écran de fumée. Quant aux obligations qu’Israël fixe à ses interlocuteurs, l’Etat juif a déjà prouvé qu’il pouvait avancer sans qu’elles ne soient satisfaites. Le désengagement unilatéral de Gaza faisait partie de la prise de responsabilités d’un Ariel Sharon cherchant à faire avancer une situation bloquée. On voit aujourd’hui ce qu’Israël a reçu en retour de cet acte de bonne volonté : une pluie de Kassams sur les communes voisines de Gaza.
"Israël accroît le nombre de ses adversaires dans la région et, au lieu d'isoler ses ennemis, les sert politiquement", nous révèle l’ancien Premier ministre, précisant que "l'engrenage de la violence n'offre pas de solution durable et nourrit dans le monde arabe et ailleurs les forces extrémistes".
Tout le monde aura reconnu l’incomparable pensée védrinienne, conseilleuse-pas-payeuse, dont Jospin a pu s’imbiber pendant les quelques années de collaboration entre les deux hommes. Nous avons eu, maintes fois à Primo, l’occasion de dire tout le bien que nous pensons de ce raisonnement inepte, tortueux et quelque part munichois.
Il faut dire que ces déclarations ont été exprimées à Madrid, dans le pays où Ben Laden dicte la loi électorale…
Jean-Paul de Belmont © Primo-Europe, 24 août 2006
Par Lapid (Lapid) le vendredi 25 août 2006 - 06h06: |
Ca s'est passe dans C dans l'air de France 5 : Qui pleure sur le Liban ? - 24 Aout 2006
"Nous sommes, ces jours-ci, dans la situation la plus sensible et la plus explosive qui soit", a déclaré, mercredi 23 août, la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, lors d'une conférence de presse, à Paris, où elle a exhorté la communauté internationale à mener "une action extrêmement rapide".
Pour en savoir plus et voir l'enregistrement video de l'emission, cliquer sur le lien suivant :
Ca s'est passe dans C dans l'air -
Qui pleure sur le Liban ? - 24 AOUT 2006
Nao a eu l'amabilite de nous signaler cette emission en l'accompagnant de ce commentaire :
"Cela m’a semble assez objectif et les participants etaient bien..".
A votre tour de juger !
Par Lapid (Lapid) le vendredi 25 août 2006 - 05h46: |
Un procédé qui date de l'époque du Temple pour éloigner les pigeons - David Shapira - vendredi 25 août 2006 -
"Les nombreux pigeons qui fréquentent le Mur des lamentations, et se construisent des nids entre les pierres, sont devenus dernièrement une véritable plaie pour ceux qui fréquentent cet endroit de prières."
Pour en savoir plus, cliquer sur le lien suivant :
Un procédé qui date de l'époque du Temple pour éloigner les pigeons
Par Lapid (Lapid) le vendredi 25 août 2006 - 05h37: |
'La Syrie sert d'arsenal à l'Iran'' - Claire Dana Picard - jeudi 24 août 2006 -
"Lorsque Israël a entamé les combats contre le Hezbollah, après l’enlèvement de deux soldats, Ehoud Goldwasser et Eldad Reguev et les tirs de Katiouchas dans le Nord, il ne faisait de doute pour personne que la guerre était en fait dirigée contre l’Iran et la Syrie.
C’et pourquoi les révélations faites ce jeudi par le directeur des Services de renseignements militaires, le général Amos Yadlin, n’ont nullement surpris. Prenant la parole devant les membres de la commission parlementaire des Affaires étrangères et de la Défense, le général Yadlin a indiqué notamment que l’Iran était impliqué profondément dans les activités du Hezbollah dont il assurait la ‘’formation militaire’’, finançait ses activités et lui fournissait des armes. En outre, a-t-il précisé, l’Iran utilise la Syrie pour faire transiter sur son territoire des armes destinées au Hezbollah."
Pour en savoir plus, cliquer sur le lien suivant :
La Syrie sert d'arsenal à l'Iran