Par Soleil (Soleil) le lundi 28 août 2006 - 07h54:

Vers la libération des soldats israéliens ?
Hassan Nassrallah a affirmé dimanche soir que des
négociations étaient en cours pour un échange de
prisonniers entre Israël et la milice chiite.
 
Dans une intervention télévisée, le leader du
Hezbollah a déclaré que son mouvement n'aurait
pas kidnappé les deux soldats israéliens le 12
juillet dernier,  si il avait pu prévoir les
conséquences de cet acte. Il a ajouté qu'il n'y
aurait pas de second tour dans l'affrontement
armé avec Israël, qui ne servirait que les
intérêts israéliens.
Nassrallah a indiqué que l'Italie était un
élément essentiel des tractations pour la
libération des soldats israéliens, information
d'ailleurs démentie par le ministère des Affaires
étrangères italien. Des diplomates allemands et
français seraient également mêlés aux
négociations, alors qu'à Jérusalem on nie tout
contact avec le Hezbollah.
  
Des négociations sur un échange de prisonniers
entre l'Autorité palestinienne et Israël pour
obtenir la libération du caporal Gilad Shalit,
seraient également en cours. A l'occasion de
l'anniversaire de ce dernier,  qui aura 20 ans
aujourd'hui, ses parents et amis organisent une
cérémonie à Kerem Shalom, où Gilad Shalit a été
kidnappé, le 25 juin dernier.

La ministre des Affaires étrangères Tsipi Livni a
déclaré lors du dernier conseil des ministres que
tant que nos soldats n'étaient pas libérés, «
Israël y verrait une violation de la résolution
du Conseil de sécurité de l'ONU».
 

Par Mena (Mena) le lundi 28 août 2006 - 00h57:

Ne comptez pas sur la France, sinon pour vous trahir ! (info # 012708/6) [Analyse]

Par Guy Millière © Metula News Agency

Globalement, ce qui se dit et ce qui s’écrit de façon courante, en ce pays de France où je suis né, au mieux me laisse désabusé, au pire, me fait horreur et provoque en moi une répulsion profonde. Ceux qui ont observé, impuissants, la montée de tous les courants malsains des années 1930 en Europe ont dû ressentir ce genre de sensations avant moi. Les propos, les raisonnements, les analyses actuelles – ou ce qui en tient lieu – paraissent resurgir desdites années 1930.

Il n’y a pas d’antisémitisme et de racisme en France aujourd’hui, c’est bien connu : il y a juste une dénonciation des « crimes sionistes », avec des mots de plus en plus agressifs et de plus en plus haineux, au point que, c’est l’existence même d’Israël qui semble être devenue un crime. Il n’y a pas de falsification de l’histoire : juste l’adoption graduelle d’une clé islamiste de l’histoire qui, au train où vont les choses, pourrait devenir LA version française de l’histoire. Il n’y a pas un remplacement brutal de l’information par la propagande : il y a une instillation graduelle de doses de plus en plus importantes de propagande à l’intérieur des réseaux de l’information et, dès lors que cette information contient des bribes d’éléments justes et avérés, les falsifications les plus immondes deviennent indissociables du reste et sont difficiles à dénoncer.

Dans Le Figaro, journal « de droite », on a pu trouver une diatribe de George Soros, l’un des sponsors du gauchisme aux Etats-Unis, et disséminateur de haine envers le pays où il a fait fortune. Et Soros y parle du terrorisme financé par l’Iran comme d’un « détail » qui ne devrait pas rendre Ahmadinejad infréquentable. Toujours dans Le Figaro, Alfred Grosser, homme modéré, déplore qu’en raison de son passé – un détail là encore, sans doute, comme dirait le borgne de Saint-Cloud –, l’Allemagne n’ose pas se ranger clairement du côté des seuls « humiliés » de la région : les Palestiniens.

Dans Libération, le militarisme israélien, toujours prêt à s’affirmer cyniquement par « tous les moyens possibles », est dénoncé avec véhémence par un certain Kenneth Brown, qui est loin d’être le pire détracteur de l’Etat hébreu. Ayant renoncé à la lecture du quotidien L’Humanité depuis longtemps, même pour servir de litière à mes chats, j’achève cette très succincte revue de presse par Le Monde. Il y figurait voici peu une véritable infection signée Etienne Balibar et Jean-Marc Lévy-Leblond. On publiait des textes de ce genre dans le Stürmer sous le Troisième Reich. Von Schirach, nazi bon teint, les refusait pour éduquer les Jeunesses hitlériennes. Soixante-dix ans après, Chirac ne trouve rien à dire quand on publie ce qui ressemble à un appel au pogrom dans un grand journal du soir.

Je sais, le même journal publiait un texte tout aussi nauséeux, quelques semaines plus tôt, et il était signé par quatre intellectuels de gauche, deux étant prix Nobel de littérature, Jose Saramago et Harold Pinter. Je sais, on peut désormais traiter librement les soldats israéliens de nazis, dire que Gaza est un camp de concentration, que la barrière de sécurité est un mur d’apartheid, que les Israéliens se conduisent vis-à-vis des Arabes comme les nazis se conduisaient vis-à-vis des Juifs. Et ce sont parfois des auteurs juifs qui le disent ou l’écrivent. Je sais, le fait qu’Ahmadinejad ait organisé une exposition de dessins antisémites et négationnistes à Téhéran ne va rien changer aux louanges qu’on peut adresser, en France à un gouvernement qui remplit un « rôle stabilisateur » dans la région.

Je sais, l’administration Bush a été longtemps « tenue », dit la rumeur, par des néo-conservateurs « comploteurs », des nouveaux « sages de Sion » ; vous savez, des gens dont les noms ont souvent des consonances étranges, qui se terminent en « stein », en « wicz », en « etz » : pas très aryen tout çà…

Sans que cela ne me console, c’est de toute l’Europe que monte une odeur de moisissure, et ceux qui font monter l’odeur de moisissure ont à nouveau bonne conscience, très bonne conscience. Ils vous diront qu’ils sont « de gauche » et du côté des « damnés de la terre ». Au temps du nazisme, les nazis aussi étaient de gauche, on l’a oublié, et ils s’indignaient qu’on puisse confondre leur socialisme très national avec le « bolchevisme ». Les nazis étaient aussi du côté des travailleurs : Nationalsozialistische Deutsche Arbeiter partei, soit le Parti National-socialiste des Travailleurs Allemands. A l’époque, les nazis dénonçaient des « conspirations juives », et on sait comment cela a fini. Aujourd’hui, on dénonce à nouveau des « conspirations juives » du même ordre, et je n’accepte pas d’imaginer un seul instant que ceux qui les dénoncent ne sachent pas comment tout cela pourrait finir.

Je pourrais me faire une raison et me dire que la France est prise dans un déclin qui va s’accentuant, qu’elle sera toujours davantage musulmane et islamique, que ses dirigeants, en se conduisant comme ils le font, considèrent déjà que ce qui prend les allures de « politique islamiste de la France » relève de la politique intérieure française. Je pourrais me dire que l’Europe s’approche du crépuscule et que, dans l’affaissement sénile qui la saisit, elle perd toute lucidité et toute dignité, et renoue avec les plus épouvantables de ses vieux démons. Je pourrais tourner le dos à ce pays et à ce continent et me dire que, si leurs habitants veulent finir dans un cloaque sans se défendre, si c’est vraiment un choix collectif, eh bien, qu’il en soit ainsi.

Ce qui m’importe encore, dans ces conditions, c’est que la liberté survive. Et, dans un combat plus vaste pour la liberté, qu’Israël survive. Et à cette fin, je dirai à mes amis israéliens, ne comptez pas sur la France sinon pour vous trahir, ne comptez pas davantage sur l’Europe. Attendez-vous plutôt, de ce côté-là du monde, aux effets qui accompagnent la trahison : des pièges, des mensonges, des actes de lâcheté ou d’hypocrisie, n’attendez rien d’autre. Dites-vous plutôt que, quand les intellectuels qui modèlent l’opinion d’une région du monde font ce qui se fait en France et en Europe, on peut être certain que les hommes politiques de ladite région suivront leurs opinions.

On peut même s’attendre quelquefois à ce que certains personnages sans scrupules en rajoutent : ainsi les gesticulations incessantes des dirigeants français depuis le début de la guerre, leur « indignation » sélective devant le « désastre humanitaire » vécu par les Libanais – mais pas par les Israéliens ! –, leur façon d’ameuter la « communauté internationale », leur tribut aux efforts de désinformation d’Al Manar, ont contribué au résultat vers lequel on s’achemine : un Liban livré tout entier au joug du Hezbollah, donc de la Syrie, donc de l’Iran. Nul ne peut dire si le Hezbollah se fondra dans l’armée libanaise, mais c’est une possibilité : dire, comme Chirac vient de le faire, que le « désarmement » sera une affaire « purement libanaise » transforme cette éventualité en quasi-certitude. Si, comme le demande la France, figurent dans la nouvelle FINUL des contingents de pays qui ne reconnaissent pas l’existence de l’Etat d’Israël, on peut aisément imaginer la suite. Elle se profile déjà, en fait, dans la demande par Chirac d’une « levée immédiate » de l’embargo « injustifié » d’Israël sur le Liban : il faut bien que le Hezbollah puisse se ressourcer !

Pour qu’Israël survive, il faudra ne compter ni sur la France ni sur l’Europe, sinon pour s’attendre à recevoir des mauvais coups. Dans les circonstances présentes, il faudra, une fois encore, qu’Israël compte surtout sur lui-même. Force est de dire que Peretz, Olmert et Dan Halutz ont atteint leur seuil d’incompétence et que, s’ils se préoccupaient vraiment du bien du pays, ils auraient déjà dû démissionner. Force est de dire qu’ils doivent être remplacés au plus vite. Je comprends que le peuple d’Israël ait voulu croire en la paix, au désengagement unilatéral, au divorce d’avec des gens avec qui il est impossible de s’entendre. La vérité est là, aussi terrible soit-elle : il n’est pas possible de s’entendre, de passer contrat, de signer des traités avec des totalitaires fanatiques. La seule chose que l’on puisse faire, lorsqu’on a des totalitaires fanatiques pour voisins, est de se défendre avant qu’ils ne vous tuent. Toute concession faite à ce genre d’individus ne fait qu’accroître leur appétit génocidaire.

Israël dispose actuellement d’un répit, d’un simple répit. Et Israël doit se doter de dirigeants qui comprennent cette situation et agissent en conséquence. Les capacités opérationnelles du Hezbollah sont détériorées, mais il va prendre les rênes du Liban. L’occasion de l’écraser, aujourd’hui, a été manquée et il sera plus difficile encore de l’écraser demain. Non seulement parce qu’il va terroriser le Liban, mais parce que la nouvelle FINUL va lui fournir des renforts inespérés en boucliers humains. Des complices involontaires, qui ne viennent pas pour désarmer le Hezbollah et empêcher qu’il ne se réarme, mais dont on ne pourra toucher un cheveu sans susciter l’indignation de la « communauté internationale ».

Le régime syrien, qui aurait pu être détruit dans la foulée de la destruction du Hezbollah est toujours bien en place, et même renforcé. Israël ne peut plus frapper la Syrie sans apparaître désormais comme vecteur d’une « agression injustifiée » : la fenêtre d’opportunité s’est refermée. Il est devenu plus difficile aussi de frapper ou de déstabiliser l’Iran. Je crains d’avoir à dire que la prochaine guerre sera plus dure que celle qui vient de s’achever, et que cette fois, Israël ne pourra se permettre aucune erreur : ni hésitations ni tergiversations, ni amateurisme. Je crains d’avoir à dire que, plus tôt cette guerre viendra, mieux ce sera. On ne doit se faire aucune illusion vis-à-vis des totalitaires fanatiques de la région, car ils ont un but clair, précis et génocidaire : la destruction d’Israël. Ils utiliseront tout le temps et les moyens qu’on leur laissera pour se préparer à une nouvelle « solution finale ».

Israël doit savoir, en ce contexte, que si les régimes sunnites ne portent pas Israël dans leur cœur, ils préféreraient une victoire israélienne au triomphe du chiisme apocalyptique iranien. Israël pourra donc compter, une seconde fois, sur l’accord tacite des régimes arabes. Le premier accord tacite a été gaspillé, il faudra absolument que le second ne le soit pas à son tour.

Restent les Etats-Unis. J’ai dit dans ces pages, dans un article précédent, que Bush n’était pas resté pleinement fidèle à la doctrine Bush. Norman Podhoretz, ancien directeur de Commentary et pour qui j’ai le plus grand respect, pense que c’est là une appréciation trop hâtive, et il a sans doute raison. Bush a résisté trente cinq jours aux manœuvres et aux tentatives de nuisance de la France, aux pressions européennes, russes et chinoises. Les dirigeants israéliens de l’équipe Olmert ne l’ont pas vraiment aidé, et c’est le moins que l’on puisse en dire.

Au sein même des Etats-Unis, Bush fait face à des démocrates aussi irresponsables qu’au temps du Vietnam, à des media bien davantage pluralistes qu’en France (ce n’est pas difficile), et tentés eux-mêmes par « l’antisionisme ». Les élections de novembre sont cruciales et elles approchent rapidement. Imaginez le cauchemar de voir arriver au pouvoir des gens qui pensent comme Jimmy Carter, le président qui a donné au monde la République Islamique d’Iran, et qui pourraient influer sur la politique étrangère américaine aux prises avec une puissance totalitaire plus perverse que l’Union Soviétique ne l’a jamais été.

La trêve doit permettre à Israël de se doter à nouveau de vrais dirigeants, de repenser politique et stratégie, avant de faire ce qui doit l’être. Passée l’échéance de novembre, Bush aura davantage de liberté pour faire, lui aussi, ce qui doit être fait et ce sera d’autant plus facile qu’Israël aura commencé à agir. Israël peut compter sur Bush, et c’est une chance immense, c’est même, peut-être, une chance vitale en ces temps d’intense danger. En ces temps d’affaissement de l’Europe et de gesticulations françaises incontrôlées. La chance en question ne doit pas être gaspillée.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 28 août 2006 - 00h52:

Mes chers harissiens, il n’y a rien qui m’attriste plus que de voir un certain désaccord entre frères et soeurs harissiens. Le seul qui a le droit de reprocher quoi que ce soit aux harissiens et ne le fait pas, c’est bien le Webmaster. Je sais que chacun de vous pense au bien-être de notre peuple. Certains sont doués et versés dans tout ce qui est électronique et d’autres quoiqu’intelligents et même sages de nature ou par l’âge hésitent de toucher aux ordinateurs non pas par bêtise ou par peur mais parce qu’ils ont des principes contre toute chose qui vient de la science ou de la physique.

Par exemple je suis moi-même un homme des dialogues et des rencontres humaines mais j’ai horreur d’approcher les institution bancaires, gouvernementales ou privées qui opèrent à l’aide de questionnaires robotiques, comme : « Veuillez dire oui ou non aux questions suivantes etc., etc. »

Vous voyez pourquoi je n’aime pas parler aux robots téléphoniques, je perds mon temps et je n’ai jamais obtenu satisfaction. Alors j’écris des lettres aux directeurs, ils me répondent et parfois ils me téléphonent. Vous voyez ce que je vois, c’est que dans les commentaires les mêmes choses se passent. Certains aiment dialoguer et commenter en direct, d’autres à l’aide d’articles qui expriment ce qu’ils sentent.

Que Dieu protège son âme, Simon Baruch disait :

« Si vous n’aimez pas ce que j’affiche, cliquez la flèche vers la direction que vous souhaitez et vous sautez ainsi l’article que j’ai affiché », car notre webmaster avait en son temps trouvé la formule, avec les flèches.

Je vous dis de même : ne vous inquiétez pas si ce que j’affiche ne vous plaît pas. Cliquez sur la flèche appropriée.

Mais se plaindre de quelqu’un ou repousser des êtres comme Lapid, Victor ou Henri ou autre, cela veut bien dire, empêcher quelqu’un de s’exprimer à sa manière. C’est une offense contre l’âme et l’esprit humain.

Par Viviane (Viviane) le dimanche 27 août 2006 - 23h48:

C'est un peu facile de "casser du sucre" sur Lapid. Imaginons un instant qu'il cesse de nous rapporter ces tracductions d'articles que l'on ne saurait où dénicher, qu'il ne nous fasse plus découvrir ces sites que l'on ne saurait où chercher, souvent par manque de temps et qu'il nous offre sur un plateau ? Qu'enfin, cesse ce travail de recherche pour notre bénéfice...
Certains harissiens, raleurs par principe, seraient malheureux si on leur enlève cette mine d'informations. Parce que, sans ce lynchage répété (ahoud ami daoud), que voulez-vous qu'ils expriment, eux, sur notre site en dehors de superbes banalités et enfin, la belle aubaine... "casser du sucre" sur Lapid.
Une phrase me revient à l'esprit : "si on me parle de culture, je sors mon révolver".

Par Sarel (Sarel) le dimanche 27 août 2006 - 23h01:

Sans vouloir froisser quiconque j'aurai conseille que ce site de COMmENTAIRES serve aux debats traites d'une facon personnelle .
Cela nous permettrait de discuter entre nous et que chacun ecrit ce qui l'interresse .
Comme cela on pourrait mieux se connaitre .
Chacun va garder ses positions et les expliquera a d'autres .
bien a tous
sarel

Par Emma (Emma) le dimanche 27 août 2006 - 21h34:

Mon peuple


6000 mille ans que ça dure, 6000 ans que c’est dur

6 millions de mes frères, sans aucune sépulture

Tous des fils d’Abraham Ils n’ont rêvés que d’Ur

Rien n’y fait ni le temps, ni les hommes, ni le mur.



Première excuse Jésus, fils du Dieu des chrétiens

Jugé, crucifié, par le grand Sanhedrin

Premier mensonge romain, c’est le juif l’assassin

Ils ont à jamais scellé, notre destin



Richard cœur de lion, croisé de l’inquisition

Renie ta religion, ou bien, c’est la question

Tu ne seras ni médecin, ni propriétaire terrien,

Tu seras commerçant, C’est leurs dix commandements



Nous avons voyagés dans des wagons plombés

Les plus âgés mourraient, ils étaient libérés

Les nourrissons pleuraient, dans des bras égarés

Pour nettoyer le monde, ils nous ont tous gazés



A quoi sert ta mémoire si t’as pas d’avenir

A quoi sert l’affrontement si tu veux en finir

A quoi servent tes efforts si tu veux tout détruire

Même si nous avons tort, arrêtons de subir



A quoi servent tous nos morts, il faut croire en l’avenir

L’île du diable pour Dreyfus, c’est moi qui accuse,

Pétain le con voyeur, c’est le juif qu’on accuse

Lois d’exceptions, collaboration, De gaulle t’excuse

6 millions, j’ai la rage, quel carnage, plus d’excuse



Nuit de cristal, solution finale, le total et plus rien

Ghetto à Varsovie, gais tristes, quai des artistes /dans les trains,

Entassés, asphyxiés, mieux valait être un chien

Eichmann, le malsain, ceint les âmes, femmes et saints.



Camps libérés, cauchemar terminé, Prophète Ezéchiel

Faurisson négation, le cauchemar continu, Théodore Herzl

Nous a montré la voie, ne jamais partir sans dire je t’aime

Ces mots, ont martelés nos âmes, et libérés nos chaînes



Dix mille, hommes femmes enfants, par jour étaient gazés

L’enfer est de retour sur terre, la bête a terrassé

Les hommes, nous entendions leurs cris glacés

Mort ne leur suffisait pas, ils nous voulaient brûlés



A quoi sert ta mémoire si t’as pas d’avenir

A quoi sert l’affrontement si tu veux en finir

A quoi servent tes efforts si tu veux tout détruire

A quoi sert d’avoir tort, arrêtons d’nous salir



A quoi servent tous nos morts, il faut croire en l’avenir

Nos épées en charrues, Vos lances en faucilles

Ne renonçons jamais à nos rêves, notre idylle

Essayons de former qu’une seule et grande famille,

Le chemin est encore long, a nous de le raccourcir



On nous accuse du mal, des maux, de tous les temps

Mon peuple ma chaire mon sang semé aux quatre vents

Arrête tes attentats, ne tarde pas à jeûner, Taric Ramadan

Gaza, Djenine, ta Palestine, est née au bon moment



C’est la paix que je veux, et non pas la terre

Les colonies j’te les rends, y’en a marre de la guerre

Mon pays est assez grand, va et reconstruit ta terre

Si je t’oublie Jérusalem, devient mon sanctuaire.



1948, nous avons notre état

Les rescapés des listes, étaient prêts au combat

Ecoute bien mon histoire, car comme a Massada

Je donnerai ma vie, pour que «plus jamais ça »



A quoi sert ta mémoire si t’as pas d’avenir

A quoi sert l’affrontement si tu veux en finir

A quoi servent tes efforts si tu veux tout détruire

A quoi sert d’avoir tort, arrêtons d’nous salir



A quoi servent tous nos morts, il faut croire en l’avenir



C’est l’histoire de mon peuple, de ma race, de ma face

60 ans, que tous nos morts ont obscurcis l’espace

Que leurs âmes soient bénies, et qu’ils reposent en paix

Nous ne cesseront de penser a vous a tout jamais





A quoi sert ta mémoire si t’as pas d’avenir

A quoi sert l’affrontement si tu veux en finir

A quoi servent tes efforts si tu veux tout détruire

A quoi sert d’avoir tort, arrêtons d’nous salir



A quoi servent tous nos morts, il faut croire en l’avenir


CLIQUEZ SUR CE LIEN POUR ENTENDRE LA MUSIQUE

http://wat.tv/amos-du-moss/audio/10296

Par Victor (Victor) le dimanche 27 août 2006 - 21h14:

Cher Lapid,

J'ai bien noté que vous n'aviez rien à me répondre.

Cordial shalom

Par Lza (Lza) le dimanche 27 août 2006 - 20h39:

au secours !!!
Monsieur lapid !! avec tout le respect que nous vous devons !!
les copies du guysen c'est trop !!
on lit tous ces commentaires qui sont par ailleurs trés interessants !!
alors pourquoi trouver a chaque fois ici les copiés collés ?

Par Meyer (Meyer) le dimanche 27 août 2006 - 20h17:

Le réalisateur Ken Loach soutient l’appel palestinien au boycott d’Israël

Le réalisateur britannique Ken Loach a manifesté son soutien au boycott des institutions culturelles israéliennes, donnant ainsi un encouragement important aux personnalités palestiniennes qui sont à l’initiative de ce mouvement.

Ken Loach, qui a obtenu la Palme d’Or au Festival de Cannes en mai 2006 pour son 25ème film depuis 1967, « Le vent se lève » (The Wind that Shakes the Barley), a ajouté qu’il recommandait à d’autres personnes d’en faire autant.


British director Ken Loach backs Palestinian call for boycott on Israel

By Goel Pinto

British director Ken Loach has expressed support for a boycott on Israeli cultural institutions, giving the Palestinian figures behind the drive a significant boost.

Loach, who won the Palme d'Or at Cannes Film Festival three months ago for his film about the Irish war of independence, The Wind that Shakes the Barley, has announced his support for the appeal to boycott Israeli institutions and even said that he urges others to do the same.

27/08/2006

http://www.haaretz.com/hasen/spages/755249.html

Chacun peut ainsi décider, en toute connaissance de cause, d’aller ou ne pas aller voir son film sorti mercredi dernier dans les salles à Paris.

Par Braham (Braham) le dimanche 27 août 2006 - 18h45:

Sans commentaires