Par Colette (Colette) le samedi 03 avril 2004 - 21h30: |
Induire en erreur ou le vrai sens de Pessah:
Quelqu'un a trouvé intelligent de nous donner les explications d'un certain Pascal Pistacio pour nous expliquer za'ama le sens de Pessah en hébreu. Je cite donc le commentaire : "Pâques vient du mot hébreu pessah : passage. La Pâque juive commémore le passage de la mer Rouge du peuple juif quittant l'Egypte."
Qui dit mieux?
Par Maxiton (Maxiton) le samedi 03 avril 2004 - 21h27: |
Ya breitou, Ya bey
Je ne voulais pas entrer dans la litanie de tout ce dont nous
avons souffert.Ici ou là.
j'ai cité le livre d'Abitbol car il donne une vision globale de ce qui
s'est passé en AFN.
Mais si Davideden voulait ouvrir une rubrique type Haemek
Habekh - la vallée des larmes- ce serait super pour rafraîchir
les mémoires.
Ceci dit, peut-être est-il temps d' essayer de rassembler toutes
les bonnes volontés.
Avec Slim, Toufik , et maintenant Amir, profitons de ces
hirondelles.
Notre force sur Adra c'est que tout le monde peut venir dire ce
qu'il pense.
il n'en est pas de même sur les sites disons plus intégristes et
supportant entre autre le terrorisme
ce que j'y ai lu est désespérant car le modérateur ne modère que
les opinions modérées, et refuse les intervenants non casher lé
Ben Laden
Au boulot Maurice !
Par Albert (Albert) le samedi 03 avril 2004 - 21h45: |
REFLEXION...
'..La beautè ne se mange pas en salade mais une bonne touffe de salade peut se manger en toute beautè....!
Mon kif..
Par Albert (Albert) le samedi 03 avril 2004 - 21h05: |
Mon cher Maxiton,
Mais nous avons dans le site ADRA notre ami DAVIDEDEN qui peut nous tenir pendant des heures et des heures, des mois ...même des anneès sur des anecdotes qu'il a endurè à TUNIS.
Pa besoin de grands témoignages ya yajijiIIIIII.
A lui seul il reprèsente une encyclopédie de la souffrance juive en TUNISIE. Une véritable saga.
Demandez le lui.
Il est disponible.
Moi j 'ai des régles.
Par Maxiton (Maxiton) le samedi 03 avril 2004 - 16h52: |
Message: 13
Date: Sat, 03 Apr 2004 09:47:20 +0200
From: Moise Rahmani
Subject: La societe marocaine se radicalise
Nous recevons cette information avec le commentaire qui suit :
2 avril 2004 / 18 h 01
La société marocaine se radicalise :
45 % de Marocains voient Ben Laden d'un œil favorable
Par Le Journal Hebdomadaire (Maroc)
Le Pew Research Center a publié les résultats d'une étude
réalisée dans neuf pays auprès d'environ 8 000 personnes afin
d'évaluer l'état de l'opinion publique une année après
l'occupation de l'Irak. (...
) L'étude sur le Maroc fait ressortir deux résultats alarmants :
une nette tendance en constante progression d'intolérance
religieuse et un soutien très large aux kamikazes suicidaires,
précise Abdeslam Maqhraoui dans l'hebdomadaire
marocain « Le Journal ».
"(...) En premier lieu, 45 % de Marocains voient Ben Laden d'un
œil favorable. En deuxième lieu, 60 % des Marocains estiment
justifiées les attaques-suicides contre des cibles américaines et
occidentales en Irak .
En troisième lieu, (...) 73 % des Marocains ont une opinion
défavorable des chrétiens et seulement 2 % ont une opinion
quelque peu positive. 92 % des Marocains affichent des attitudes
négatives concernant les juifs et seulement 1% se montrent
positifs viv-à-vis de cette communauté. "
ET VOICI LE COMMENTAIRE
Comme d’habitude, quand les médias parlent des « marocains »
il s’agit des citadins (10 à 20% amazighophones) qui ont été
interviewés et JAMAIS les campagnards (à 80 à 90%
amazighophones).
Il y a donc la une vue tronquée de la réalité ! Il faut le dire tout
haut : ce sont les arabisés qui sont concernés par ce phénomène
et personne d’autre
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Par Lalla (Lalla) le samedi 03 avril 2004 - 14h57: |
il faut aussi lire de B-H L ,le livre:Qui a tue Dany Pearl- d'une force et d'une justesse incomparable.
Par Pinacolada (Pinacolada) le samedi 03 avril 2004 - 14h37: |
La musique judéo-maghrébine, vestiges d'une autre époque
Pendant des siècles, juifs et musulmans ont vécu côte à côte en Andalousie dans une même ambiance culturelle, partageant le même goût pour les arts et les belles- lettres qui y prospéraient alors. Ce fut l'âge d'or de l'Andalousie musulmane. La symbiose culturelle des deux communautés s'opérait par les membres de l'élite qui rivalisaient dans tous les domaines: lettres, philosophie, médecine, mathématiques. Bien des chefs-d'oeuvre de la culture juive ont d'abord été écrits en langue arabe comme ce fut le cas pour l'oeuvre de Maimonide connu chez les Arabes sous le nom d'Abou Imran Ibn Maïmoun. Les langues étaient voisines et les juifs passaient de l'une à l'autre sans difficulté. Un poète juif, Ibnou Sahl, a écrit un recueil entier de mouwachahat, preuve du remarquable degré d'intégration des deux communautés.
Après la "Reconquista", exilés de même façon, juifs et musulmans vécurent ensemble leur exil dans les pays du Maghreb où ils apportèrent bien des éléments de cette brillante civilisation. Le malheur qui les frappait a conduit les deux communautés au même chant de regret : "Assafi ala...diar elandalous" (Grand est mon regret de notre passé au pays d'Andalousie). Ils avaient participé pendant des siècles à la même histoire dans une même entité nationale. Ils retrouvèrent une ambiance comparable dans les pays d'accueil et assimilèrent vite cette culture arabo-berbère très voisine de la leur.
Ils allaient de nouveau vivre côte à côte, se confondant presque : même costume, à quelques détails près, moeurs et coutumes très voisines, sinon identiques, mémoire et patrimoine culturel communs qu'ils eurent le même souci de préserver de l'oubli en les faisant pénétrer soit à la synagogue soit à la mosquée. Ainsi les pioutèmes ne sont rien d'autre que des mélodies andalouses empruntées par des rabbins séfarades qui ont composé des textes expliquant chacun un verset de la Torah. On les chante dans les cérémonies religieuses tout comme les psaumes de David. Andalouses aussi, et reprenant parfois les mêmes mélodies, sont les Samaâ-s ou chants arabes en l'honneur du Prophète. (Les poètes juifs écrivant en langue hébraïque prenaient souvent leurs modèles dans la poésie arabe dont ils adoptaient le mode de penser; aussi le chant juif était-il très proche du chant arabe et de la pensée musulmane. Les deux communautés écoutaient avec le même engouement les noubas qu'elles avaient emportées en quittant l'Andalousie. Elles appréciaient de même les oeuvres de leur culture nouvelle en arabe dialectal, langue parlée couramment dans les deux communautés et qui a produit le melhoun, si riche et si varié.
Elles chantaient et appréciaient tout autant une œuvre de Sidi Kaddour Elalami (pour les Marocains) ou un hawzi de Ben Msayeb, de Bensahla, ou de Ben Triki (pour les Algériens) ; quant aux juifs de Tunisie, ils étaient encore plus envoûtés que les musulmans par un chant aroubi ou par un air vif et rythmé de rbaïbiya.
Cette poésie populaire est passée en Algérie, colportée par les meddah-s chanteurs conteurs des souks, suivis des chanteurs chaâbi. Le répertoire algérien sera, dès le début du siècle, adopté par les chanteurs et chanteuses de Casablanca qui y voyaient une modernisation de leur répertoire traditionnel. Ce genre, dit algérien, devient le répertoire des artistes d'origine juive et obtient un grand succès auprès du public de même origine. Parmi les artistes qui pratiquaient ce genre de préférence à tout autre et qui se firent connaître dans les deux pays pour leur interprétation remarquable, nous pouvons citer Salim Hilali, Zahra El-Fassiya, Ibrahim Souiri, Elmaalma Nejma, Raymonde l'bidaouiya et enfin Samy El-Maghribi qui composa dans ce genre certaines œuvres qui ont marqué son époque: Omri ma nensak ya mamma - Qoftanek Mahloul Elmlayen, Elli habouh ya ouilou. En Algérie, des maîtres ont collaboré à cette nouvelle vague. Il s'agit de Bachtarzi Mahieddine, Liaho Soror, Bouchara, Elledjam et Berhoum (Abraham Robach), suivis de Saoud l'Oranais, Lili Elabassi et le cheïkh Zouzou. Une mention spéciale doit être faite pour le cheïkh Raymond, grand maître du malouf constantinois. Cette génération-là, encore connue de nos jours et suivie par celle de Blond-Blond, René Perez, Lili Boniche qui mêlèrent des chansons de variétés au répertoire de la musique classique judéo-arabe, a suscité de nombreuses vocations auprès des jeunes générations.
Que reste-t-il de cette culture judéo-arabe, aujourd'hui que les juifs du Maghreb se trouvent dispersés dans le monde ?
En France, la communauté séfarade vivote à côté de l'émigration musulmane. En Israël, juifs maghrébins et juifs orientaux, bien que majoritaires, sont pourtant traités en minorité marginale. "Cette culture a marqué de toute son empreinte l'âme des juifs maghrébins. Elle résonne encore dans le cœur, dans l'âme déracinée des émigrés en Israël, elle retentit dans leur musique, dans leurs chants, dans leur folklore et leurs rites. Il y a le mal du pays". Ainsi s'exprime Haïm Zafrani, écrivain juif marocain vivant en Israël.
Par Maxiton (Maxiton) le samedi 03 avril 2004 - 14h29: |
Amir,
je vous ai pris en otage pour une mise en boîte.
Le problèmes des juifs de Tunisie est très bien évoqué par
Michel Abitbol dans son livre magistral :
Le Passé d'une Discorde, Juifs et Arabes depuis le VIIème siècle
Nous n'allons pas remonter au déluge.
La réalité actuelle est que les juifs tunisiens présents sur le sol
tunisien depuis au moins 25 siècles ont été chassés avec plus ou
moins de douceur du pays qu'ils ont contribué à construire.
Pourquoi ?
Vous trouverez la réponse ici au fur et à mesure de vos lectures
et participations
Zaretek brakha
Par Benseniour (Benseniour) le samedi 03 avril 2004 - 14h14: |
Amir a écrit et il a 100000000000000 fois raison
je vais partie des juifs qui ont quitté la tunisie en 1962 et je dois dire que c t pour suivre le mouvement
des arabes en bien sur en + grrd nbre encore ont également quitté o si en suivant le mouvement (un autre)
Ni les uns ni les autres ne l'ont fait par conviction profonde mais nous sommes devenus tous français et la plupart du temps de bons français
avec quoiquon veuille un avenir commun et sommes avtuellemnt ensemble normalement dans des entreprises, des syndicats, des associations de parents d'eleves, de quartier, des clubs sportifs,
des centres de desintoxication, des anpe, des assedic, dans les trous de la sécu, dans les metros qui sautent , dans les tgv en retard etc etc etc
ki mieux que nous peut peut aider à la paix
et qui plus que nous crient les uns contre les autres et mettent de l'huile sur le feu qui n'a pas vraiment besoin de nous
putain! la planéte va sauter!
Par Maurice (Maurice) le samedi 03 avril 2004 - 08h12: |
LE POUVOIR DES BOBO NOUVEAUX GAUCHISTES
Aujourd'hui, les nouveaux conservateurs sont à gauche. Le PS et ses alliés,
en reprochant au gouvernement des réformes qu'il n'a pourtant pas osé
engager – à commencer par la remise en cause des 35 heures et l'allégement
des charges de l'État – se revendique comme le parti du statu quo, des
avantages acquis et des dépenses publiques reconduites. Cette France de
l'immobilisme, gonflée par sa victoire, fera barrage dès ce printemps aux
initiatives visant à moderniser le pays et à combler le déficit public.
Par Maxiton (Maxiton) le samedi 03 avril 2004 - 12h00: |
Da TOUTA ( Halk El Web Mocking Station )
Amir a ecrit
bonjour à tous
je suis Tunisien, et je vis en France.
J'ai vécu une grande partie en Tunisie.
J'ai découvert, le calvaire qu'a eu mes fréres juifs lors de leur
départ de Tunisie,………je dis des fréres de sang car les juifs
sont en Tunisie depuis 3000 ans et je sais que suite à la
conquete Arabe plusieurs juifs et chrétiens se sont convertis "Par
force" ou "par conviction" à l'islam……..
:
Nous serions trés interessés de connaître les exemples précis et
preuves, que vous pourriez produire, concernant de tels actes
…… qui pourraient selon vous concerner la Tunisie, que vous
citez dans votre théorie, alors s’il vous plait exposez les donc
sur ADRA !
Et pendant que nous y sommes dites nous donc si vous l’osez :
Qui a cassé le vase de Soisson ?
Que faisait la main de ma sœur dans la culotte du Zouave ?
Êtes-vous halouà oulà merguez
Boukha B…..A ou Boukha K….A ?
Faut-il dire " Rue du Voile " ou " Rue du Voilé "
Khnifssou Da Touta
Par Suggest1 (Suggest1) le samedi 03 avril 2004 - 09h26: |
Sous le haut patronage de Jean Tibéri,
Maire du V Eme arrondissement
Entretiens judéo-chrétiens "Jules Isaac"
A LA RENCONTRE DES JUSTES D'AUJOURD'HUI
6 mai 2004 - 9 h 15 à 18 heures
Mairie du V eme arrondissement - Paris
Renseignements- Tél 01 42 17 11 40 - Fax 01 42 17 11 45 -
Par Maurice (Maurice) le samedi 03 avril 2004 - 08h37: |
L'Observatoire européen s'alarme sur l'antisémitisme
Un rapport publié hier dénonce la multiplication des actes antisémites dans certains pays de l'Union.
jeudi 01 avril 2004
L 'antisémitisme est un «problème auquel il faut faire face» en Europe, selon un rapport très attendu de l'Observatoire de l'UE pour les phénomènes racistes et antisémites, rendu public mercredi au Parlement européen à Strasbourg. Selon l'Observatoire, basé à Vienne, les manifestations d'antisémitisme sont devenues «plus fréquentes» dans certains pays, comme l'Allemagne, la France et le Royaume-Uni. Cette situation crée «une grande détresse chez de nombreux membres de la communauté juive», ajoute ce rapport de 400 pages, dont 50 de témoignages de membres de la communauté juive. Le Congrès juif européen (CJE) a regretté que le rapport soit «en demi-teinte», en «minimisant» la responsabilité des jeunes musulmans dans les incidents et attaques observés en Europe.
Le rapport estime en effet qu'il est «problématique» de porter une appréciation générale sur les auteurs des actes antisémites à l'échelle européenne. Il se borne à reconnaître que, dans au moins sept pays (Belgique, Danemark, France, Allemagne, Pays-Bas, Suède, et Royaume-Uni), «une proportion variable» des victimes d'actes antisémites désigne comme agresseurs des «jeunes musulmans», des «personnes d'Afrique du Nord», ou des «immigrés». L'autre groupe d'auteurs d'actes antisémites repéré par l'Observatoire, plus traditionnel, comprend des «activistes d'extrême droite et des jeunes hommes blancs influencés par les idées extrémistes, notamment des groupes de skinheads».
L'Observatoire avait refusé de publier, fin 2003, un avant-projet de rapport, qui concluait à la fréquente complicité de groupes musulmans et propalestiniens dans des incidents antisémites en Europe, en estimant qu'il ne réunissait pas des critères scientifiques. D'une manière générale, le rapport de l'Observatoire, publié hier, décèle «clairement une augmentation notable du nombre d'incidents antisémites» dans plusieurs Etats membres, des insultes et graffitis jusqu'à l'attentat à la bombe. D'après AFP
LA DOUDA dira que ce n'est pas vrai puis que nous ne l'avons pas personnellement subi
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 03 avril 2004 - 05h01: |
Voici le projet de la resolution introduit le 29 mars 2004 par le senateur Rick Santorum (republicain de mon Etat la Pennsylvanie) au sujet des refugies juifs et chretiens des pays arabes.
Expressing the sense of the Senate regarding the creation of refugee populations in the Middle East, North Africa, and the Persian Gulf region as a result of human rights violations. (Introduced in Senate)
SRES 325 IS
108th CONGRESS
2d Session
S . RES . 325
Expressing the sense of the Senate regarding the creation of refugee populations in the Middle East, North Africa, and the Persian Gulf region as a result of human rights violations.
IN THE SENATE OF THE UNITED STATES
March 29, 2004
Mr. SANTORUM introduced the following resolution; which was referred to the Committee on Foreign Relations
--------------------------------------------------------------------------------
RESOLUTION
Expressing the sense of the Senate regarding the creation of refugee populations in the Middle East, North Africa, and the Persian Gulf region as a result of human rights violations.
Whereas Jews and other ethnic groups have lived mostly as minorities in the Middle East, North Africa, and the Persian Gulf region for more than 2,500 years, more than 1,000 years before the advent of Islam;
Whereas the United States has long voiced its concern about the mistreatment of minorities and the violation of human rights in the Middle East and elsewhere;
Whereas the United States continues to play a pivotal role in seeking an end to conflict in the Middle East and to promoting a peace that will benefit all the people of the region;
Whereas a comprehensive peace in the region will require the resolution of all outstanding issues through bilateral and multilateral negotiations involving all concerned parties;
Whereas the discussion of refugees in the Middle East generally centers on Palestinian refugees, even though estimates indicate that, as a result of the 1948 war in which numerous Arab armies attacked the newly-founded State of Israel, more Jews (approximately 850,000) were displaced from Arab countries than were Palestinians (approximately 726,000);
Whereas the United States has demonstrated interest and concern about the mistreatment, violation of rights, forced expulsion, and expropriation of assets of minority populations in general, and in particular, former Jewish refugees displaced from Arab countries, as evidenced, inter alia, by the following actions:
(1) A Memorandum of Understanding signed by President Jimmy Carter and Israeli Foreign Minister Moshe Dayan on October 4, 1977, states that `[a] solution of the problem of Arab refugees and Jewish refugees will be discussed in accordance with rules which should be agreed'.
(2) After negotiating the Camp David Accords, the Framework for Peace in the Middle East, President Jimmy Carter stated in a press conference on October 27, 1977 that `Palestinians have rights ... obviously there are Jewish refugees ... they have the same rights as others do'.
(3) In an interview with Israeli television immediately after the issue of the rights of Jews displaced from Arab lands was discussed at Camp David II in July 2000, President Clinton stated clearly that `[t]here will have to be some sort of international fund set up for the refugees. There is, I think, some interest, interestingly enough, on both sides, in also having a fund which compensates the Israelis who were made refugees by the war, which occurred after the birth of the State of Israel. Israel is full of people, Jewish people, who lived in predominantly Arab countries who came to Israel because they were made refugees in their own land.'.
(4) In Senate Resolution 76, 85th Congress, agreed to January 29, 1957, the Senate--
(A) notes that individuals in Egypt who are tied by race, religion, or national origin with Israel, France, or the United Kingdom have been subjected to arrest, forced exile, confiscation of property, and other punishments although not charged with any crime; and
(B) requests the President to instruct the chief delegate to the United Nations to urge the prompt dispatch of a United Nations observer team to Egypt with a view to obtain a full factual report concerning this violation of rights.
(5) In House Concurrent Resolution 158, 85th Congress, Congress notes that the Government of Egypt had initiated a series of measures against the Jewish community, that many Jews were arrested as a result of such measures, that, beginning in November 1956, many Jews were expelled from Egypt, and that the Jews of Egypt faced sequestration of their goods and assets and denial or revocation of Egyptian citizenship, and resolves that the treatment of Jews in Egypt constituted `persecution on account of race, religious beliefs, or political opinions', further resolving that these issues should be raised by the United States either in the United Nations or by other appropriate means.
(6) Section 620 of H.R. 3100, 100th Congress, states that Congress finds that `with the notable exceptions of Morocco and Tunisia, those Jews remaining in Arab countries continue to suffer deprivations, degradations, and hardships, and continue to live in peril' and that Congress calls upon the governments of those Arab countries where Jews
still maintain a presence to guarantee their Jewish citizens full civil and human rights, including the right to lead full Jewish lives free of fear and to emigrate if they so choose;
Whereas, the seminal United Nations resolution on the Arab-Israeli conflict and other international initiatives refer generally to the plight of `refugees' and do not make any distinction between Palestinian and Jewish refugees, including the following:
(1) United Nations Security Council Resolution 242 of November 22, 1967, calls for a `just settlement of the refugee problem' without distinction between Palestinian and Jewish refugees. Justice Arthur Goldberg, the United States delegate to the United Nations at that time, has pointed out that `a notable omission in 242 is any reference to Palestinians, a Palestinian state on the West Bank or the PLO. The resolution addresses the objective of `achieving a just settlement of the refugee problem.' This language presumably refers both to Arab and Jewish refugees, for about an equal number of each abandoned their homes as a result of the several wars'.
(2) The Madrid Conference, which was first convened in October 1991 and was co-chaired by United States President George H.W. Bush and President of the U.S.S.R. Mikhail Gorbachev, included delegations from Spain, the European Community, the Netherlands, Egypt, Syria, and Lebanon, as well as a joint Jordanian-Palestinian delegation. In his opening remarks before the January 28, 1992, organizational meeting for multilateral negotiations on the Middle East in Moscow, United States Secretary of State James Baker made no distinction between Palestinian refugees and Jewish refugees in articulating the mission of the Refugee Working Group, stating that `[t]he refugee group will consider practical ways of improving the lot of people throughout the region who have been displaced from their homes'.
(3) The Roadmap to a Permanent Two-State Solution to the Israeli-Palestinian Conflict, in referring to an `agreed, just, fair, and realistic solution to the refugee issue,' uses language that is equally applicable to all persons displaced as a result of the conflict in the Middle East;
Whereas Egypt, Jordan, and the Palestinians have affirmed that a comprehensive solution to the Middle East conflict will require a just solution to the plight of all `refugees' as evidenced by the following:
(1) The 1978 Camp David Accords, the Framework for Peace in the Middle East, includes a commitment by Egypt and Israel to `work with each other and with other interested parties to establish agreed procedures for a prompt, just and permanent resolution of the implementation of the refugee problem.' The Treaty of Peace between Israel and Egypt, signed at Washington, D.C. March 26, 1979, in addition to general references to United Nations Security Council Resolution 242 as the basis for comprehensive peace in the region, provides in Article 8 that the `Parties agree to establish a claims commission for the mutual settlement of all financial claims,' including those of former Christian and Jewish refugees displaced from Egypt.
(2) Article 8 of the Treaty of Peace Between the State of Israel and the Hashemite Kingdom of Jordan, done at Arava/Araba Crossing Point October 26, 1994, entitled `Refugees and Displaced Persons' recognizes `the massive human problems caused to both Parties by the conflict in the Middle East.' The reference to massive human problems in a broad manner suggests that the plight of all refugees of `the conflict in the Middle East' includes Jewish refugees from Arab countries;
Whereas the United States is encouraged by recent statements by Libyan leader Muammar Qadhafi that he is ready to compensate Libyan Jews whose properties were confiscated and that he is prepared to allow Libyans to travel to Israel;
Whereas the Law of Administration for the State of Iraq for the Transitional Period, signed at Baghdad March 8, 2004, is a landmark document that enshrines the `right to freedom of thought, conscience, and religious belief and practice' that had long been denied to Iraqis and states that `the Transitional Government shall take steps to end the vestiges of the oppressive acts arising from,' among other things, `forced displacement, deprivation of citizenship, [and] expropriation of financial assets and property'; and
Whereas, while progress is being made, continued emphasis needs to be placed on the rights and redress for Jewish refugees: Now, therefore, be it
Resolved,
SECTION 1. SENSE OF THE SENATE ON HUMAN RIGHTS AND REFUGEES.
It is the sense of the Senate that--
(1) the United States deplores the past and continuing violation of the human rights and religious freedoms of minority populations in Arab countries;
(2) with respect to Jews and Christians displaced from Arab countries, for any comprehensive Middle East peace agreement to be credible, durable, and enduring, constitute an end to conflict in the Middle East, and provide for finality of all claims, the agreement must address and resolve all outstanding issues, including the legitimate rights of all peoples displaced from Arab countries; and
(3) the United States will work to ensure that the provisions of both the Law of Administration for the State of Iraq for the Transitional Period, signed at Baghdad March 8, 2004, and the permanent constitution to be presented to the people of Iraq for approval in a general referendum no later than October 15, 2005--
(A) are universally applied to all groups forced to leave Iraq; and
(B) will rectify the historical injustices and discriminatory measures perpetrated by previous Iraqi regimes.
SEC. 2. UNITED STATES POLICY ON MIDDLE EAST REFUGEES.
The Senate urges the President to--
(1) instruct the United States Representative to the United Nations and all United States representatives in bilateral and multilateral fora that, when the United States considers or addresses resolutions that allude to the issue of Middle East refugees, the United States delegation should ensure that--
(A) the relevant text refers to the fact that multiple refugee populations have been caused by the Arab-Israeli conflict; and
(B) any explicit reference to the required resolution of the Palestinian refugee issue is matched by a similar explicit reference to the resolution of the issue of Jewish refugees from Arab countries; and
(2) make clear that the United States Government supports the position that, as an integral part of any comprehensive peace, the issue of refugees and the mass violations of human rights of minorities in Arab countries must be resolved in a manner that includes--
(A) redress for the legitimate rights of all refugees displaced from Arab countries; and
(B) recognition of the fact that Jewish and Christian property, schools, and community property was lost as a result of the Arab-Israeli conflict.