Archive jusqu'au 03/septembre/2006

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2006: Commentaires de Septembre 2006: Archive jusqu'au 03/septembre/2006
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le dimanche 03 septembre 2006 - 00h20:

Pour ceux qui avaient manqué cet article.

----------------------------------------------------

Cette Shoah qui ne passe pas

Françoise Giroud, Le Monde, 12 juin 2002

Même si ce vieux brigand d'Arafat débloque en déclarant qu'il n'y a jamais eu de temple juif à Jérusalem, la cause palestinienne est excellente. Un Etat palestinien doit enfin pouvoir naître et se développer dans le respect et la paix, on ne dira jamais le contraire.

Avec une réserve cependant : assassiner tous les jours des civils, des femmes, des enfants par paquets au moyen d'hommes-suicide éduqués dans cette perspective ne stimule pas la sympathie, même si cela semble ne déranger personne parmi ceux, nombreux, qui ne connaissent de cet horrible conflit qu'un responsable : Israël.

Mon propos n'est pas de chercher à exonérer les Israéliens d'un long aveuglement, d'une longue arrogance envers leurs voisins de palier, mais d'essayer de comprendre comment ils sont devenus aux yeux de Français, en particulier d'intellectuels qui ont la réputation de réfléchir avant d'écrire, des cibles exclusives pour la réprobation sinon pour la haine (dans Le Monde du 4 juin, Danièle Sallenave, Edgar Morin et Sami Naïr).

Je crois que l'ensemble des peuples chrétiens n'a jamais avalé la Shoah. Que sa révélation, relativement tardive, son ampleur, sa méticulosité hallucinantes et avant tout le caractère d'anéantissement systématique et gratuit d'un peuple entier ont causé un choc beaucoup plus profond qu'on ne le croît. Non par sympathie particulière pour les victimes mais parce que "la solution finale" a obligé le plus étourdi à découvrir que l'homme était peut-être intrinsèquement mauvais, et Dieu intrinsèquement distrait.

L'humanité a connu d'autres exterminations, certes, mais non comparables. On a exterminé des ennemis, des adversaires, des guerriers, les occupants d'un territoire à conquérir. Les Français, pour ne parler que d'eux, ont exterminé les protestants, torturé les Algériens ; les Américains ont massacré les Indiens ; les Soviétiques ont massacré tous azimuts ; la liste n'est pas limitative. Mais jamais l'homme n'avait exterminé méthodiquement d'autres hommes sans raison, par caprice en quelque sorte - et par millions.

Je crois que cette révélation du mal vivant au coeur d'hommes européens élevés depuis plusieurs générations dans la foi chrétienne et se dévergondant sans entrave a été intolérable, insupportable, suffocante. C'est à mes yeux la raison pour laquelle ceux qu'on appelle les négationnistes nient contre toute évidence la réalité de la Shoah. En bonne logique, dans la mesure où ils se déclarent ouvertement ennemis déclarés des juifs, ils auraient dû se féliciter d'en voir disparaître autant d'un seul coup et mettre cet acte d'hygiène à l'actif du national-socialisme. Mais ceux qui nient ne supportent pas mieux que d'autres que cela ait été.

Et bien que les années passent, chacun porte avec ennui, avec irritation parfois, sa petite part de culpabilité dans la plus remarquable extermination de l'histoire parce qu'elle était sans objet. Parce que ce n'est pas le ixième malheur des juifs qu'elle a révélé mais ce dont l'homme contemporain policé, cultivé, éduqué, est capable, donc nous-mêmes. "Chaque fois qu'on a tué un juif pendant la guerre, a pu dire un moraliste, c'est Jésus que nous avons tué, le premier d'entre eux".

Or que se passe-t-il aujourd'hui ? L'occasion de transformer la figure du juif martyr en juif bourreau. D'évacuer cette culpabilité récurrente qui excède pour libérer le petit fond d'antisémitisme que tout le monde trouve dans son berceau. Avec une rapidité remarquable, dès la première pierre de la seconde Intifada, un retournement s'est produit, saisissant, qui serait inexplicable sans le tableau de fond sur lequel il s'inscrit.

Enfin ! On a le droit de dire du mal des juifs ! "Antisémite, moi ? Vous m'insultez, mais cet enfant palestinien qui meurt sous nos yeux à la télévision, qui l'a tué ? Qui ?" Surtout, ne pas discuter, l'émotion ne se discute pas, ni le désir naturel de se ranger du côté du plus faible. Moi non plus je n'aime pas qu'on tue les enfants palestiniens, moi aussi je suis scandalisée qu'Israël refuse une commission d'enquête sur Jénine, moi aussi je supporte mal de voir des soldats israéliens relever la chemise de leurs prisonniers pour s'assurer qu'ils ne portent pas une ceinture d'explosifs ou les marquer de chiffres sur leur avant-bras.

Mais ce concours macabre qu'Israéliens et Palestiniens semblent faire sur le nombre de morts enterrés chaque jour, les Palestiniens sont en train de le gagner, ils tuent davantage, ils tuent énormément de civils israéliens, 400 depuis le début de la seconde Intifada dans les rues, les autobus, les cafés, les lieux où la jeunesse danse, preuve que la stratégie antiterroriste d'Ariel Sharon est une impasse. A la guerre, on pardonne aux généraux de faire des victoires avec des morts, pas des défaites.

Mais à Paris, les personnes de bon goût ne comptent que les morts palestiniens. Quand on arrive aux autres, on ne sait plus compter. D'ailleurs, ce sont des goujats... Les fils d'un peuple supplicié devraient savoir se tenir à table, je veux dire à la guerre, et prendre les coups sans les rendre, c'est à peu près ce qu'ici et là on entend et on lit. Prendre les coups sans les rendre paraît néanmoins une conduite sur laquelle on ne doit plus pouvoir compter de la part des juifs, en aucune circonstance. En revanche, au lieu de montrer aujourd'hui - vainement - leur force, on voudrait les adjurer de montrer leur intelligence, et leur si longue sagesse. "Choisis la vie", dit le message de Moïse.

* ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 13.06.02

Françoise Giroud était Secrétaire d'Etat, écrivain, journaliste.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le samedi 02 septembre 2006 - 21h18:

Trés bon article.

------------------------------------------------


Israël, l’Etat de trop ? Nicolas de Pape

30/08/2006
Libre opinion parue dans La Libre Belgique du 25.08.2005

Texte repris du site d’Atlantis Institute.


Lorsque Golda Meir, Premier ministre d’Israël entre 1969 et 1974, rassemblait son cabinet restreint autour d’une tasse de café, elle avait coutume de balayer les réticences par un: « De toute façon, on ne nous aime pas. Alors un peu plus ou un peu moins… ».

Cela ne date pas d’hier et démontre que la méfiance – voire la haine – envers l’Etat hébreu n’est pas récente. Ces sentiments ne sont pas davantage la conséquence d’un hypothétique "retour de balancier" qui viendrait compenser des décennies de favoritisme. Car, tel le Royaume franc de Jérusalem qui dura cent ans à peine, Israël est vécu par le monde arabo-musulman, mais aussi par une partie de l’intelligentsia européenne, comme temporaire. Aucun citoyen du Machrek (partie orientale du monde arabe) ne parierait sur la disparition prochaine de l’Etat hébreu, mais celui-ci est vu comme un minuscule furoncle en terre d’islam, voire une cellule cancéreuse, à extirper coûte que coûte. Le fatalisme arabe, toutefois, et le Coran aidant, s’il faut d’aventure patienter trois siècles, peu importe: "On finira par les avoir!". Pour revenir à Golda Meir, ne lui attribue-t-on pas la phrase suivante: « La Paix viendra quand les Arabes aimeront leurs enfants plus qu’ils nous haïssent » ?

On passera rapidement sur le soutien indéfectible de l’allié américain, fruit, d’abord, du sionisme protestant qui attend le retour de tous les juifs en Terre Sainte avant que Jésus ne revienne les... convertir de force ; ensuite d’un fort lobby pro-israélien (terme à préférer – de grâce! – à "lobby juif" qui supposerait – chose absurde – que tous les juifs américains pensent de la même façon, alors que nombre de contempteurs américains d’Israël – Susan Sontag, Noam Chomsky, Norman Finkelstein – sont juifs) ; fruit enfin, du pragmatisme US qui sait, contrairement à l’Europe, faire la part des choses entre un chiot qui lui mord la main (le monde arabe) et un chaton qui réclame ses caresses (Israël), tous deux pourtant largement subventionnés par le Grand Satan. Car, on l’oublie souvent, mais l’aide US à l’Egypte, la Jordanie et... aux Palestiniens (via les agences onusiennes) dépasse celle qui est versée à Israël. Reconnaissons-le: le soutien américain aux citoyens d’Israël n’est pas négligeable, mais il n’enlève rien à leur isolement psychologique – moins de 6 millions face à 1,3 milliard de musulmans –, eux qui voudraient tant se faire accepter par l’Orient et vaincre la méfiance européenne.

Car l’état d’esprit des Européens est moins tranché. Mais, au final, le "shitty little country" (petit Etat de merde, phrase attribuée à l’ambassadeur de France à Londres, Daniel Bernard, qui a démenti davantage l’intitulé que l’intention) dérange tout autant. Enfant de l’Holocauste – crime allemand, approuvé par la France de Vichy, le pape, l’Italie et l’Espagne fascistes, sous le regard "amusé" des Oustachis yougoslaves, de la Russie des pogroms, de la Hongrie pronazie et de la Pologne, largement acquise à l’antisémitisme –, Israël, avec ses 6 millions d’habitants juifs, nous rappelle, à nous Européens, quasi en permanence, les crimes ou les complicités de nos aïeux et notre propre culpabilité. Le "crime" d’Israël est bien celui-là : raviver sans cesse notre propre turpitude. Imaginez un Etat dirigé par et pour les juifs, "complice" de l’Afrique du Sud et de la Turquie (pour des raisons stratégiques évidentes), empathique envers les seuls Africains juifs (opération Moïse de rapatriement des Falashas), soi-disant génocidaire ("Nous sommes les juifs des juifs", disait souvent Yasser Arafat) et même adepte d’un apartheid envers sa minorité arabe qui, tellement discriminée, n’a pourtant jamais quitté le pays ! De quoi Israël n’a-t-il pas été accusé ? Seul pays à subir des boycotts universitaires, voire économiques, contrairement à la Russie et à la Chine, occupants pourtant bien plus meurtriers en Tchétchénie ou au Tibet?

Dans "Cette Shoah qui ne passe pas"(Le Monde du 13 juin 2002), Françoise Giroud avait, dès 2002, résumé, mieux que quiconque, la quadrature :

« Je crois que l’ensemble des peuples chrétiens n’a jamais avalé la Shoah. Que sa révélation, relativement tardive, son ampleur, sa méticulosité hallucinantes et avant tout le caractère d’anéantissement systématique et gratuit d’un peuple entier, ont causé un choc beaucoup plus profond qu’on ne le croit [...] Avec une rapidité remarquable, dès la première pierre de la seconde Intifada, un retournement s’est produit, saisissant, qui serait inexplicable sans le tableau de fond sur lequel il s’inscrit. Enfin ! On a le droit de dire du mal des juifs ! A Paris, les personnes de bon goût ne comptent que les morts palestiniens. Quand on arrive aux autres, on ne sait plus compter. D’ailleurs, ce sont des goujats... Les fils d’un peuple supplicié devraient savoir se tenir à table - je veux dire à la guerre -, et prendre les coups sans les rendre, c’est à peu près ce qu’ici et là, on entend et on lit. »

Visionnaire, cette tribune s’applique parfaitement à la guerre du Liban. Celui qui met fin à l’agression du Hezbollah – Israël – se retrouve l’agresseur en quelques jours. Depuis 2000, Israël s’est retiré du sud-Liban ; depuis six mois, de Gaza. De ces deux territoires libérés, on ne cesse de le canarder. Quelle légitimité a le Parti de Dieu face à Israël ? Proche de zéro. Que ferait la Belgique, dont Anvers et Hasselt seraient canardées par une telle milice depuis le sud des Pays-Bas ? Le bilan des victimes israéliennes, relativement modeste, s’explique par un déplacement massif d’Israéliens vers le sud (on n’en parle que très peu) et aussi, il est vrai, par l’imprécision des missiles du Hezbollah. Là encore, on semble reprocher aux Israéliens leur suprématie technologique ! Imaginons ce que M. Nasrallah pourrait faire avec le même arsenal ! S’excuserait-il pour un Cana israélien ? Lancerait-il des tracts appelant la population israélienne à fuir ? Hésiterait-il un seul instant à régler la "question juive" d’une simple poussée sur le bouton nucléaire désormais en sa possession?

Dans l’affaire palestinienne, la critique radicale d’Israël – pas un seul éditorialiste ou expert belge n’est favorable à Israël – peut certes passer pour le soutien du faible (le peuple palestinien en quête désespérée du droit à l’autodétermination), face au fort (l’Etat hébreu surarmé et bénéficiant des fameuses infrastructures et superstructures seules garantes d’un Etat digne de ce nom). Mais, alors que la guerre met aux prises une milice islamo-fasciste et un allié de l’Europe, la posture anti-israélienne démontre définitivement le deux poids, deux mesures de notre élite intellectuelle. Israël a toujours tort, quelles que soient les circonstances. Qu’il se retire de Gaza, c’est dans l’impréparation; qu’il se maintienne au sud-Liban pour prévenir les tirs de roquettes, ou qu’il s’en retire, il est sur le banc des accusés. On ne prête qu’aux riches, certes. Mais, à cette aune, les Israéliens sont particulièrement gâtés.

Après "Les Juifs en Palestine!", voici "Les juifs hors de Palestine!"

Après le peuple juif : peuple de trop, voici Israël : l’Etat de trop.

Nicolas de Pape *

* Fellow à l’Atlantis Institute

© Atlantis Institute

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 02 septembre 2006 - 18h30:

Girelle, Merci pour votre très intelligente opinion qui reflète la compassion et le bon sens de l’être humain. Je ne reproche rien à personne car nous les juifs avons vécu des situations très différentes que n’importe quel peuple et depuis des milliers d’années. Si nous avons survécu jusqu'à ce jour, c’est grâce à notre esprit non violent. Hélas les temps on changé et certains peuples ne reconnaissent pas les qualités et la contribution que les juifs ont apportées dans tous les pays d’accueil.

Certes, la France a joué un rôle très positif et même prépondérant envers notre peuple, et je pense que nous étions dignes de ces gestes et de ces rôles. Aussi les Français ont joué des rôles non seulement positifs, mais certains aussi négatifs et avaient laissé un goût amer chez certaines personnes de notre peuple. Je concours avec vous sur tout ce que vous avez écrit, et je suis convaincu que la plupart des gens pensent comme vous et moi. Personnellement je suis très reconnaissant à la France et au peuple français pour tout la culture que nous avons reçue, l’accueil et l’esprit de liberté qui avaient ouvert des horizons et avaient contribué à notre développement.

La France en principe a donné au monde des grands génies et des êtres humains dans le bons sens des mots. Je n’ai rien contre que les peuples accueillent d’autres peuples en péril ou donne refuge à d’autres qui en auraient besoin.

Hélas il faudrait aussi tenir compte de certaines personnes qui veulent forcer les autres en croyant que leur chemin ou leur croyance sont les meilleures, au point de nuire à celui qui ne veut pas s’aligner à leur pensée. Oui, il faut être vigilant, sans toutefois priver les innocents de leur droit nécessaire et humain à leur survie.

Je suis aussi très gêné de certains termes employés que ce soit sur notre site ou ailleurs. Nous pouvons tous faire des critiques raisonnables sans vexer d’autres.
La critique ne doit pas perdre de vue que tôt ou tard la race humaine n’aura pas d’autre issue que de s’amalgamer et ce n’est qu’ainsi que l’être humain naîtra.

Mais nous sommes encore loin de cette évolution, quoique ses signes commencent à se voir et cela me rassure qu’il ne faut pas perdre l’espoir qui est notre devise.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le samedi 02 septembre 2006 - 13h20:

Emile,

Nous sommes, en France, face à un immense problème.

La France aux frontières si difficiles à controler apparaît comme un eldorado à de très nombreuses populations.

Or, nous n'avons plus la possibilité d'offrir du travail à tous ces migrants; Notre système social explose et l'intégration est de plus en plus difficile à réaliser car il semble bien que, malgré les efforts faits pour le logement des familles, la scolarité des enfants et les charges de santé publique,
l'attitude des secondes ou troisièmes générations dise que nous n'avons pas réussi.

Il est vrai aussi qu'il y a une grande difficulté à « incorporer » une population qui amène une religion prosélyte qui, sûre de la supériorité de son message, tente de l'imposer chez nous.

C'est la réalité de la situation.

Cela étant dit, je suis pour ma part très gênée des termes quelque fois employés, car il y a une grande différence entre une analyse froide d'une situation « mise à plat » et une indignation persifleuse tournée tout autant contre la France que contre des pauvres bougres que le coeur fait regretter de ne pouvoir accueillir.

Parce que nous ne pouvons pas oublier, nous les juifs que nous avons été dans la position d'immigrés, et que pour certains d'entre nous, nous ne sommes dans ce pays que depuis 50 ou 60 ans.

Certes, la conduite des juifs est non seulement irréprochable, mais, j'en suis convaincue, a été un apport très interessant pour la France, et rien n'est comparable.

Pourtant nous ne pouvons pas nous souvenir qu' une fois l'an que nous avons été esclaves en Egypte.

Alors il est des discours, il est des langages que je préfère voir tenir par d'autres que par nous.

Surtout si ces discours, si ces langages apportent de « l'eau au moulin » de partis d'extrême droite ou d'extrême gauche dont l'arrivée au pouvoir serait gravissime pour les juifs...et pas seulement pour les juifs de France, compte tenu de la place de la France en Europe.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 02 septembre 2006 - 07h10:

Finzi, Michka est libre d'afficher son opinion comme bon lui semble. Mais il y a du vrai dans ce qu'elle dit. Ce que vous dites est aussi votre opinion et vos sentiments et la aussi il y a du vrai. Mais de dire que ce n'est pas digne de notre site ? La je ne pense pas que vous aviez raison. Qu'est ce que vous dites de Hamadinejad? Lui propage des saloperies. Ne vous inquiétez pas, le monde prendra son cour et les êtres finiront par se rallie l’un a l'autre, il n'est que question de temps et souffrance.

A voir qui convertira qui? C'est le jeu de la démocratie. Chacun apporte son opinion et son
influence.
Avec mes respects.
Emile

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 02 septembre 2006 - 06h52:

Sarel "Hazak Veematz et Shabbat Shalom."

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le samedi 02 septembre 2006 - 05h13:

Les photos de la guerre de la Ména (info # 010109/6) [Diaporama]

© Metula News Agency



Les photos sont de Jean Tsadik, Xavier Sokolowski et Stéphane Juffa

Moyens techniques de Even Sokol © Menapress





Pour débuter la présentation, appuyer ici http://www.menapress.com/galeries/01092006/

Pour passer à la photo suivante, cliquer sur la partie droite, réactive, de l’image en cours. Pour revenir à la photo précédente, cliquer sur sa partie gauche.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Finzi (Finzi) le vendredi 01 septembre 2006 - 21h31:

MICHKA,
Je doute fort que ces candidats à l'exil, ces boat people miséreux et désespérés aient l'accès à l'internet !
Que certaines escrocs décident d'ouvrir un site pour soutirer 600 euros à ces pauvres gens c'est une chose.
D'ailleurs ... Est-ce vraiment cela dont il s'agit ou bien d'un site de propagande qui cache mal son nom, visant à nous faire croire en l'existence de tels packs ?
Peu importe !
Ces milliers ou ces centaines de boat people ne sont PAS mes ennemis. Je refuse aussi de relayer le discours du FN en les désignant comme ennemis.

Ce genre de langage est indigne et il n'est ni pour moi, ni pour les Harissiens. On sait ce que ça a donné (ce que ça donne encore de nos jous) en France que cette stigmatisation systématique de différents peuples ou religions !

Je dis STOP ! Je ne parlerai pas la même langue que les racistes.

Sandra

P.S: Je m'interroge sur le but visé par votre "post" Michka ...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 01 septembre 2006 - 15h10:

Shabbat Shalom 010906

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 01 septembre 2006 - 13h55:

Lalla, merci pour ton petit mot.
Mon billet de Shabbat Shalom d'aujourd'hui est composé d'un détail pris sur une sculpture de sable et d'une branche de grenadier (bientot Rosh Hashanna) dont les fruits commencent à prendre du volume.
Je t'enverrai en mail personnel quelques autres photos du festival:

Sabbat Shalom 01 09 06