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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2004: Commentaires d'Avril 2004: Archive jusqu'au 07/avril/2004-2
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le mercredi 07 avril 2004 - 12h11:

Cher Citron
le klam entre nous petrit de la meme histoire
est intelligence apres tout tu ne sais pas si tu n'es pas un youdi converti à l'Islam et moi un Idumeen ex habitant Arabe non encore Islamisé de Petra converti par les rois juifs asmoneens au
judaisme seule religion a cette epoque .Sais tu que le roi Herode a eté nommé par les romains gouverneur de Judée et les deux freres des rois juifs se faisant la guerre de succession Herode a pris le trone en s'etant marié avec Salomé fille des rois juifs comme le roi de france se mariait avec la fille du roi d'Autriche et les enfants rentraient dans la dynastie et les peuples suivaient SI les juifs et les arabes se penetraient d'histoire et mettaient leurs religions au vestiaire ils verraient effectivement qu'ils ont plus de partage commun entre eux qu'avec toute les tribus du monde qu'ils rentrent dans une pseudo oumma qui n'est qu'un mythe comme
l'ere messianique est une tres belle utopie mais lajem chtena il y a tant à faire pour faire evoluer les peuples qui sans progres et sans developpement des morales sur soi de nos cultures religieuses d'Ismael et d'Isac de moussa et de yeshoua et Mohamed.Reflechis en homme d'honneur.Moi qui t'ecris j'avais 19 ans pendant la periode d'independance de la Tunisie faisant les greves etudiantes et les manifestations de liberation Toute ma famille etait engagé je ne faitpas de details j'aurai tant à dire et toi etant surement plus tu n'es plus au courant de tout cela . En 1959 apres des etudes en France je revenais comme medecin à l'Hopital de Tunis soignant les malades algeriens que mes amis medecins Algeriens ramenaient les combattants de la frontiere et me confier sans aucune ombre de separation morale mais dans une collectivité il y a toujours plus moujahidines que l'autre et un medecin algeriens leur a dit vous confier vos malades à un juif mes amis arabes se sont revoltés mais le mal etait fait ; j'abandonnais tout rejoignant la France ou grace à la laicité j'ai pu faire ma place Je ne mors pas la main qui m'a accueilli c'est cela la morale Juive ma soeur et son mari qui ont accuelli a tunis les combattants algeriens dont l'ecrivain Kateb Yacine eux aussi sont partis et vous voulez que le combat des Orientaux Juifs en Israel ne soit pas soutenus .Pour Que les palestiniens soient respecté il faut que le Nationalisme juif guerre de Liberation soit accepté comme deux justices semblables par les plus nombreux que sont les arabes la morale n'est pas DIVISIBLE c'est pour cela que la paix est acte de civilisation par les deux peuples autrement il y aura deux barbares

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le mercredi 07 avril 2004 - 09h36:

L’islam, la barbarie, et les bien pensants
Par Jean-Claude Baboulin 7 avril 2004 / 00:20


Il me semble qu’il est nécessaire, une fois l’émotion passée, d’essayer de
réfléchir à ce qui s’est passé à Falloujah. A force de lire dans les
journaux et de voir à la télévision le cortège quasi quotidien des crimes
abjects commis au nom de l’islam, de l’anti-américanisme et de l’
anti-sionisme, on finirait presque par s’habituer.
Et pourtant, il faut bien sans cesse remettre le couvert de l’analyse et du
commentaire, si l’on ne veut pas que les victimes meurent une seconde fois
de l’oubli. Nous les vivants, nous leur devons bien cela. Nous les vivants,
qui ne sommes pour les criminels que des morts en sursis.


Le politiquement correct devrait m’interdire d’attribuer à l’islam en tant
que tel un crime barbare comme celui de Falloujah. Et certes, j’entends bien
qu’on ne peut sans doute pas établir un lien direct de cause à effet entre
le texte du Coran et le comportement de la foule sunnite dans cette petite
ville du Nord-ouest de Bagdad. Certes, j’entends bien que des horreurs pas
davantage belles à voir que celle-là ont été commises au nom d’autres
religions, dans un passé lointain ou proche (cf. les crimes des Serbes
orthodoxes en Bosnie, par exemple). Certes, enfin, j’entends bien qu’il
serait injuste de faire porter à tous les musulmans du monde la
responsabilité de ce qui s’est passé là-bas.

Mais tout de même, je ferai deux remarques. La première, c’est que l’on n’a
pas beaucoup entendu les autorités islamiques et les élites musulmanes se
prononcer sur ce massacre barbare. Ni pour dénoncer, ni pour analyser ce qu’
il peut signifier au regard de la façon dont les valeurs de cette religion
sont aujourd’hui comprises et vécues par un certain nombre (un nombre
certain…) de ses adeptes. Si l’adage est vrai, « Qui ne dit mot consent »,
alors on est bien obligé d’en tirer la conclusion que règne aujourd’hui,
majoritairement, dans cette religion, pour le moins un climat de
complaisance et de complicité à l’égard de l’intolérable. C’est-à-dire à l’
égard de ce qui ne peut pas être toléré dans l’espace du monde civilisé.

La seconde remarque est celle-ci. S’il n’est sans doute pas juste de dire
que l’islam c’est la barbarie (et personnellement, je ne pense pas que l’
islam soit la barbarie), on est tout de même fondé à constater qu’aujourd’
hui, l’une des trois grandes religions monothéistes, qui tient son existence
même d’être construite sur l’idée d’une Loi transcendante, n’est plus un
rempart contre la barbarie. Rien aujourd’hui dans la Parole islamique, dans
son enseignement, dans les repères moraux qu’elle est censée fournir à ses
adeptes, dans la responsabilité qu’elle confère à ceux qui la portent et la
représentent – rien ne fait obstacle à ce qu’en son sein la barbarie se
manifeste.

C’est sans doute là la pire des nouvelles que nous apporte l’observation de
ce qui n’est plus seulement du terrorisme politique, calculé et organisé,
mais de la pulsion de mort à l’état pur et massif. Car la foule de Falloujah
n’était pas constituée de militants islamistes menant une opération
terroriste. Pas même de militants baasistes obéissant aux ordres d’une
quelconque « armée de résistance ». Elle était constituée de ce qu’on
appelle des « gens ordinaires » - des pères de famille, des enfants, des
vieux, qui tous ensemble ont lâché le pire qui est en l’homme, sans qu’à
aucun moment ne vienne à leur conscience tel ou tel verset du Coran, tel ou
tel enseignement moral qu’ils ont bien dû recevoir, pour les arrêter.

C’est sans doute cela qui nous effraie dans le massacre de Falloujah,
davantage encore que dans les tours de New York qui s’effondrent, dans les
wagons éventrés de Madrid, et dans le vertige des islamikazes qui se font
sauter en Israël. La foule de Falloujah n’a même pas « l’excuse » d’une
vision du monde totalitaire ou d’un combat politique perverti, moins encore
d’une quelconque « désespérance ». Elle est pure barbarie, et la religion
dont elle se réclame a été incapable de faire obstacle à cette barbarie.

Et face à cela qu’entend-on ? Le silence assourdissant de nos belles âmes
occidentales « progressistes », qui ont pudiquement détourné les yeux du
spectacle de l’horreur pour ne pas avoir à s’interroger, éventuellement à
remettre en cause quelques unes de leurs bonnes grosses certitudes sur la
« juste lutte des peuples opprimés ». On remarquera d’ailleurs que le même
silence, le même détournement de regard, ont suivi cette image terrifiante
vue à la télé d’un enfant palestinien arrêté à un barrage, porteur d’une
ceinture d’explosifs. Nulle part il n’a été question de crime de guerre, d’
attentat à l’enfance, de manipulation sordide. Nulle part la question n’a
été posée de savoir ce qui peut bien se passer dans la tête d’une mère qui
envoie son gamin à la boucherie, pour le faire exploser au milieu d’autres
enfants.

Mais il est vrai que la réponse à cette question, comme à toutes les autres
du même genre, est connue d’avance. C’est de la faute aux Américains. C’est
de la faute à Israël. Les opprimés sont purs et innocents, et l’islam est la
voix de leur juste révolte. Les (fausses) victimes ont bien le droit d’être
barbares, puisque la civilisation est devenue, par l’un de ces renversements
dialectiques dont les belles âmes progressistes ont le secret, elle-même la
barbarie. C’est ce qu’on appelle la confusion des esprits, le relativisme
généralisé des valeurs.

En cette période de Pessah, moi qui ne suis pas Juif je supplie le peuple de
Moïse de se rappeler avec force et conviction que c’est pour aller au Sinaï
qu’il est sorti d’Egypte. Au Sinaï, où ce qui lui a été dit est précisément
que tout ne se vaut pas.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mimi01 (Mimi01) le mercredi 07 avril 2004 - 09h15:

Bonjour les Belges!
A vous:
Rappelez-vous il y a tout juste 2 ans vous avez tout fait pour Juger Ariel Sharon en lui adossant le crime de "Sabra et Chatilla"... alors que vous meme de vos "propres mains" vous etiez "Physiquement" au Rwanda...et pas pour aider les Rwandais! Lisez bien cet article...et arretez de donner des lecons au reste du monde car quand on se retourne et on regarde un peut votre histoire, les diamants de votre couronne ne sont pas tres propres...


<<<,<<<
<<<Le Figaro
Un entretien avec le responsable canadien des Casques bleus en 1993 qui a assisté au génocide
Roméo Dallaire : «Les Français savaient ce qui se tramait»
Le lieutenant-général canadien Roméo Dallaire n'avait aucune expérience de l'Afrique lorsqu'il a pris la tête, fin 1993, d'un détachement de Casques bleus des Nations unies censés maintenir la paix au Rwanda. Il a assisté impuissant au génocide et a tenté de mettre fin à ses jours après l'échec pathétique de sa mission. Le Figaro a interrogé l'auteur de J'ai serré la main du diable au Festival du film des droits de l'homme de Genève.
Propos recueillis par Thierry Oberlé
[06 avril 2004]



LE FIGARO. – Pourquoi le génocide a-t-il pu avoir lieu ?
Lt-général Roméo DALLAIRE. – Nous n'avions pas de preuves substantielles qu'un génocide se préparait mais des spéculations qui nous faisaient penser qu'on allait vers de grands massacres. Les grandes puissances ne voulaient pas intervenir. Les États-Unis gardaient le souvenir de la débâcle somalienne : ils ne voulaient rien savoir de l'Afrique. ll y avait des tueries de parfois plus de 10 000 personnes depuis trois ans. Au début du génocide, les extrémistes ont décapité les autorités modérées tutsies et hutues puis avec les jours et les barrages montés par les miliciens, la population et les gens de l'armée, les Tutsis ont été les principales cibles. Le terme de génocide m'était étranger. Il était pour moi synonyme d'holocauste. Ce n'est qu'après trois semaines qu'il s'est imposé. On ne pouvait plus parler de nettoyage ethnique comme en ex-Yougoslavie. Mais mes appels n'étaient pas entendus. N'étant pas un ancien d'Afrique je n'étais pas crédible. Je m'accusais de ne pas être capable de convaincre. On vivait avec les autres priorités. Je n'ai pas pu convaincre.


Vous vous êtes senti coupable ?
Durant la Première Guerre mondiale, des officiers se sont suicidés après avoir perdu 90% de leurs troupes dans de vains assauts devant les tranchées. Ils ne pouvaient pas survivre avec cette culpabilité. Mon traumatisme tient autant à l'échec qu'à une effroyable succession d'événements. Il y avait les appels téléphoniques des victimes, et nous ne pouvions pas aider les gens alors qu'on entendait les coups de feu...


Y a-t-il eu une complicité entre des militaires français et des auteurs du génocide ?
Les Français encadraient les unités de l'armée rwandaise comme la garde présidentielle et étaient présents dans les quartiers généraux. Ils avaient connaissance de ce qui se passait dans les structures militaires. Ils étaient tout à fait informés qu'il se tramait quelque chose qui pouvait conduire à de grands massacres.

Il y avait, d'une part, une guerre civile entre une organisation rebelle et une armée du pays entraînée par les Français et les Belges. De l'autre, des possibilités de débordement qui ont ouvert le chemin du génocide.


La majorité de l'armée se battait sur le terrain mais des unités comme la garde présidentielle avec des Français à l'intérieur sont entrées en action après l'attentat contre l'avion du président rwandais. Je ne sais pas quand les étrangers sont partis. Dans les jours qui ont suivi, on a vu quelques Blancs en uniforme rwandais mais je ne peux pas assurer qu'il s'agissait de militaires français car ils portaient l'uniforme rwandais. Plus tard, beaucoup d'officiers qui entraînaient ces gens se sont retrouvés dans «Turquoise».


Les Français ont-ils fait preuve de complaisance envers les génocidaires pendant l'opération «Turquoise» ?
Les extrémistes qui ont pris le pouvoir après l'attentat du 6 avril étaient joignables à Goma via les officiers français. Lorsque l'armée rwandaise battait en retraite, nous avons d'ailleurs rencontré certains d'entre d'eux dans le camp français. D'après les rapports, ils ne désarmaient pas toujours les miliciens interahamwe et ils n'arrêtaient pas nécessairement les exactions qui se déroulaient ici ou là. Pour moi, la France a protégé les auteurs du génocide.


Les Français étaient derrière le génocide ou près du génocide ?
L'avance des forces du Front patriotique rwandais (FPR) de Paul Kagamé a été empêchée spécifiquement pour permettre aux forces rwandaises de s'esquiver, de partir et de se regrouper à Goma. Les armes étaient réunies dans des endroits proches des camps hutus. On a permis aux génocidaires de passer à travers les lignes françaises pour aller se réfugier au Zaïre. Voilà ce que je sais. Pour le reste demandez aux officiers français.


Vous êtes très critique à l'égard de Bernard Kouchner...
C'est une personne de grand courage et d'humanisme exceptionnel mais il est difficile de déterminer quels sont ses objectifs sur le terrain. Il a été utile dans sa première mission de sensibilisation mais il est revenu d'abord avec le mandat de Mitterrand. Il a utilisé les enfants des orphelinats à des fins politiques pour préparer l'opinion française à l'opération «Turquoise». Et il est revenu en qualité de député européen pour envisager en plein génocide d'envoyer une centaine d'observateurs des droits de l'homme derrière les lignes du FPR seulement. On a besoin de policiers pour stabiliser la situation car il y avait un manque de sécurité et du banditisme, pas d'observateurs.


Avez-vous récupéré la boîte noire de l'avion du président rwandais après l'attentat du 5 avril.
La boîte noire a été livrée à mon bureau mais j'ignore qui l'a remise. Elle était orange et j'ignore d'ailleurs si c'était la bonne. Nous étions, si mes souvenirs sont bons, en mai. Je l'ai transmise à New York. Je ne sais pas ce qu'elle est devenue.

Vous allez retourner au Rwanda ?
Je vais y retourner pour y vivre un an ou deux et faire mon deuil. Mon âme est là. La réalité n'est pas en Europe ou au Canada elle est là-bas avec la terre, le vent, les souffrances, les joies. La vraie vérité c'est ce que j'ai vécu.

C'est une façon de demander pardon ?
Ma culpabilité n'a rien à voir avec ma démarche. Je vais y aller pour être avec les gens tués. Je veux pouvoir m'asseoir et revivre, m'immerger dans cette atmosphère exceptionnelle. Le Rwanda est avec moi pour l'éternité.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 07 avril 2004 - 10h25:

Gog et Magog, vers l’irréparable, 1ère partie (info # 010604/4) [analyse]

Par Jean Tsadik © Metula News Agency



Le mot "islamophobie" est un néologisme inventé par des personnes engagées afin d’étendre le syndrome Al-Dura de victimisation à tous les musulmans. Exploitant l’inculture des masses, sa diffusion est destinée à asseoir le statut des islamistes dans une pseudo position de victimes. En d’autres termes, de brouiller la chronologie des initiatives belliqueuses prises respectivement par les islamistes et par les régimes laïques, de façon à laisser croire aux opinions publiques des régimes laïcs que ce sont quelques uns de leurs dirigeants, précisément Bush, Blair et Sharon, qui ont poussé l’occident à agresser l’islam. Dans la dynamique du même stratagème, ceux qui s’occupent d’en alimenter la résonance, prétendent que l’islam, dans son entièreté, est pacifiste et faible de nature mais qu’il est contraint à se défendre contre la déferlante des va-t’en-guerre judéo-croisés. Partant de cette hyperbole, les populations laïques sont invitées à comprendre que, ne disposant pas de forces conventionnelles à opposer aux meilleures armées du monde, l’islam serait obligé, pour défendre ses valeurs, d’avoir recours à l’arme des opprimés, à savoir le terrorisme de masse et son cortège d’assassinats collectifs.



J’admettrais pour ma part que l’on parle, en théorie du moins, d’arabophobie ou de phobie des musulmans, qui sont des formes de racisme ou de xénophobie, voire encore d’islamistophobie, mais le néologisme d’islamophobie me semble ne transporter que les éléments qui sont le moins en rapport avec la situation qui accapare désormais l’attention du monde. Encore faut-il dire que l’arabophobie et la phobie des musulmans exprimées, en pays laïcs, sont devenus des phénomènes marginalisés jusqu’à en perdre toute signification dans l’analyse de l’équation stratégique actuelle.



Il existe bien des ringards qui n’aiment pas spécialement les arabo-musulmans mais la traduction en actes violents de leurs sentiments d’antipathie est depuis longtemps atypique et l’on ne fait plus état, que de loin en loin, de ratonnades ou d’agressions contre les lieux de culte de cette communauté. Non seulement ces actes sont-ils alors immédiatement condamnés, quel que soit le pays laïc dans lequel ils se produisent, par tous les composants politiques, religieux et sociaux, encore, me semble-t-il, les opinions publiques ont-elles la sagesse et la connaissance suffisante afin de distinguer entre les islamistes et les arabo-musulmans issus de l’immigration et qui vivent parmi elles. Il est à ce propos éloquent de constater que, suite aux assassinats collectifs islamistes en Espagne, aux Etats-Unis et en Israël, les populations de ces pays ne s’en s’ont pas pris aux minorités arabo-musulmanes qui évoluent parmi elles, à part à de rarissimes occasions. Cette distinction est d’autant plus remarquable, que les terroristes ayant perpétré ces crimes trouvent systématiquement refuge auprès de membres des communautés musulmanes existant dans ces Etats. Il faut bien entendu se féliciter de cette sagesse populaire, issue de l’éducation, qui sait éviter les amalgames et laisser aux seules forces de l’ordre le soin de séparer le bon grain – massivement plus nombreux - de l’ivraie. Reste, en passant, à remarquer que l’importation en Europe du différend israélo-palestinien, si souvent et à juste titre condamnée, n’est pas le fait de deux communautés mais d’une seule. On discernera, en effet, que si la communauté israélite européenne, dans sa majorité, défend en principe les arguments israéliens, elle le fait avec des mots et ne s’en prend jamais physiquement aux personnes et aux biens de la communauté arabo-musulmane.



C’est vraisemblablement pour essayer de brouiller également cet état de déséquilibre, que des personnages comme Mouloud Aounit en France, on monté en épingles l’existence d’un risque islamophobe, citant pour ce faire des organismes qui n’ont absolument rien exprimé contre l’islam et notamment, avec force imputations diffamatoires, la Metula News Agency. Il suffit pour confirmer l’inanité et la non existence du danger décrit par les rapports du MRAP, et repris affablement par des dizaines de médias nationaux francophones, que ni avant, ni après la parution de ces soi-disant cris d’alarmes, aucun arabo-musulman vivant en Europe n’a eu à subir l’agression d’un juif. Au temps de la consistance de l’islamophobie.



Quel intérêt y aurait-il d’ailleurs, à part pour des théologiens occidentaux prosélytes – ça fait longtemps que je n’en ai rencontrés - à détester l’islam ? Quel intérêt y aurait-il à détester les arabes ou les musulmans, à part pour une poignée de racistes anachroniques et irréductibles eux-mêmes détestés de tous ? Le seul argument qui perdure, une fois débroussaillé le fatras dans lequel on a voulu nous tenir, c’est l’évaluation du danger représenté par une certaine interprétation des écrits et de la tradition musulmane ainsi que l’évaluation stratégique du risque que ceux qui font cette interprétation font courir au monde laïc. A ce titre, même la question théologique de savoir si cette dangerosité est inscrite dans le Coran et dans les textes d’interprétation de la foi musulmane est de moindre importance. La nécessité hégémonique et celle de convertir les infidèles, par la force au besoin, existent également dans le nouveau testament mais elles ne font plus courir aucun risque au monde, depuis que les pouvoirs de l’Etat et ceux de l’Eglise ont été séparés et que la foi chrétienne a été re-spiritualisée. Ce qui compte, c’est uniquement de savoir qui sont ceux qui font une lecture mondialo-hégémoniste violente des enseignements théologiques musulmans, de voir s’ils représentent une menace tangible pour les populations du monde laïc et au besoin, de les combattre. C’est dans cette logique qu’on pourrait envisager, à la limite, l’emploi du vocable islamistophobie, icelle représentant la répulsion envers les musulmans mondialo-hégémonistes violents.



On le comprend aisément, après avoir remis la mosquée au milieu du village, les termes d’arabophobie et d’islamophobie employés, entre autres, par Aounit et par Vidal et celui d’islamistophobie ne sont absolument pas de la même nature. Les premiers renferment un parti pris raciste alors que l’autre, peut exprimer l’aversion de ceux qui s’opposent à la conquête violente du monde par les islamistes. Encore que ce qui nous intéresse à la Ména, par-delà le bavardage, c’est d’abord l’évaluation du risque stratégique et, loin ensuite, l’analyse du travail de propagande de ceux qui s’escriment à camoufler l’existence de ce risque en transformant les agresseurs en victimes.



A suivre…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shira (Shira) le mardi 06 avril 2004 - 21h46:

Le 23e Rallye international de Tunisie a démarré hier.
Après avoir débarqué au port de La Goulette, en provenance de Nice (France), la caravane du rallye a défilé, lundi après-midi, dans les artères principales de la capitale, dans une ambiance animée et agréable.

Quelque 230 engins entre motos (107), autos (106) et camions (10) ont sillonné l’avenue Habib-Bourguiba, entre deux haies de badauds et surtout de fans des sports mécaniques, offrant à l’assistance un spectacle peu coutumier.

Des bolides puissants, dont le bruit des moteurs assourdissait la place, ont arpenté l’avenue, vrombissant et rugissant, suscitant la curiosité des passants. Ce sont des voitures de compétition du rallye 4x4, dont plusieurs sont déjà modifiées pour augmenter leur puissance. Arriver en première position à Tozeur où finira la course est l’objectif fondamental des écuries en lice.

Ainsi, le parcours, qui se compose de sept étapes échelonnées sur sept jours, s’étalera sur un tracé de plus de deux mille quatre cents kilomètres. Il fera le tour du Sud-Est tunisien où les motards et les automobilistes de vingt-sept nationalités ne manqueront pas de goûter au suspense.

Egalement, des paysages pittoresques du désert tunisien, les inoubliables dunes d’El Borma, les oueds de Ras El Oued, ainsi que les montagnes de Remada et El Borma, vont, certainement, ravir les concurrents mais aussi les soixante-dix journalistes étrangers qui les accompagneront.

Et aujourd’hui, place à la course… La première étape sera disputée entre El Kantara et Nekrif (Remada).

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le mardi 06 avril 2004 - 18h09:

6 avril 2004 / 11 h 37

Caroline Fourest : À l'Institut du Monde arabe, à Paris, j'ai retrouvé l'atmosphère qui régnait à Durban
Par Nicole Leibowitz Co-auteur, avec Fiametta Venner, de "Tirs croisés, la laïcité à l'épreuve des intégrismes juif, chrétien et musulman", Caroline Fourest raconte comment, invitée à débattre de leur ouvrage à l'IMA, elle a été agressée par le public et par le responsable du débat lui-même qui lui ont reproché de ne pas défendre les Frères musulmans et d'avoir écrit qu'Israël est une démocratie.

COMME JE LE REPETE SOUVENT NOUS NOUS TROUVONS DANS UNE IDEOLOGIE QUI SE SERT DE L ISLAM QUI N Y EST POUR RIEN (ENTENDRE LES IMMAMS INSTRUITS OU LES FILS DE L ISLAM COMME MEDDEB ET BENCHECK )QUI LUTTENT CONTRE CE POPULISME REVOLUTIONNAIRE PARTANT DES RICHES PETROLIERS SAOUDIEN QUI MANIPULENT DES JEUNES EN DIFFICULTE SOCIALE POUR EXPORTER LEUR POPULATION EN DIFFICULTE COMME DIT LE PROVERBE "VENTRE AFFAME N A PAS D OREILLES"
mais malheureusement pour eux leurs difficultes ne vont qu augmenter car lA rente petroliere va baisser et ces Etats n'auront pas construit de releve economique la guerre n 'etant pas une solution pour les peuples

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Citron (Citron) le mardi 06 avril 2004 - 17h42:

monsieur Emile

“l'impact du conflit sur la vie des juifs en tunisie en france et meme ailleurs (ce matin une école juive a été brûle a Montréal)”.

je ne veut absolument pas donner d'excuse a ces actes criminels, mais il faut reconnaitre que des actes de violences contres les communauté juvies de parts le monde sont directement liés a la politique du pire mené par la coalition de droite et de la droite (religieuse)israélienne.
si on est un peu objectif , on reconnaitra que les juifs de france était plus alaise chez eux que ces derniers mois ou le grand rabbin est allé jusqu'a demander a nos coreligionnaire de s'abstenir de porter la kippa et la remplacer par une casquette( par exemple).

depuis 20 ans il n ya pas eu d'acte d'une aussi grande gravité a montréal, une école juive a été incendié hier provoquant l'émotion de toutes les communautés.
je ne te parle meme pas des communautés vivant dans un pays arabe ou l'opinion est ouvertement anti-israélienne.
aller prier, aller étudier , aller au boucher sous protection policiére est vraiment fatiguant.

je ne dis pas que c 100% la faute a la politique isr mais il ne faut pas essayer de négliger ce point , que je pense essentiel.
juste regarder,et comparer les années de la paix(espoir de paix)comment des juifs en kippa se baladait a tunis et a sousse...ceux qui ont visité leurs cartiers , écoles rues et impasses on été surpris par les acceuils chalereux des gens du quartier... et maintenent qui peut s'aventurer en kippa dans la médina de tunis?




"Pour ce qui concerne l’embryon d’Oslo... Sinon qui aurait pu l’écraser dans l’oeuf? Dans ce temps-là, la droite n’était même pas au pouvoir?
mais l'extréme droite a durement réagie en assasinant mr RABIN

" Mr. Citron voudra-t-il nous dire qu’un Mr. Arafat ou un Mr. Rantisi sont des gens de salon
tunisien?"
je ne vous apprend rien que les premier contact entre les médiateurs US et les arafat se sont déroulé a tunis et que des visites de responsables israélien on lieu a tunis.qd a rantissi il ne sera jamais présent a tunis puisquil représente les barbus, chose intolérable a tunis

Combien de fois j’ai averti, même sur ce site, qu’Arafat faisait une grave erreur de ne pas s’entendre avec Barak? c vrai qu arafat a raté une chance mais de grace ne me parlez plus de Barak, ce "fin stratége" a gaspillé la carte sud liban , une carte que israel aurait pu jouer ultérieurement ne serait que pour un échange de prisonier


. Oui depuis Oslo les
Palestiniens avaient vécu huit ans en paix avec les Israéliens, et le peuple florissait. Il
n’y avait ni frontière exuser ma remarque mais les chek point ont toujours existé et les fermeture de gaza et de la cisjordanie se faisait a chaque fete juive ni mur de séparation, les Palestiniens pouvaient circuler librement en Israël et travailler où ils voulaient, sans que personne ne les dérange, comme nous en Tunisie dans le temps. On allait chez les Arabes et les Arabes venaient chez nous et on travaillait ensemble. Qu’y a-t-il de mauvais dans cela? Mais cela ne suffisait pas à Mr. Arafat. il écoutait la voix des personnes de la ligue arabe qui croient lui donner des meilleurs conseils.et en fin de compte il ne pourra meme pas compter sur ces conseiller qui l'on laché plus d'une fois.

enfin pour reprendre Mr Maurice, les israéliens et les palestiniens n'ont pas d'autres choix que de faire la paix, mais a quel prix ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le mardi 06 avril 2004 - 16h38:

A propos d'André Baroukh,

André Baroukh, qui a fait de la prison avec Habib Bourguiba, qui
a nourri Habib Bourguiba de ses propres deniers, a quand
même vu tous ses biens nationalisés.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le mercredi 07 avril 2004 - 10h13:

Le monde arabe se passionne pour la Passion du Christ de Gibson
Par Miral Fahmi

DOUBAI (Reuters) - La Passion du Christ, le film très controversé de l'Australien Mel Gibson, fait un véritable "tabac" dans le monde arabe, bien qu'il bouscule certains tabous de l'islam.


Ce succès est dû avant tout au fait qu'il ait été plutôt mal reçu dans les communautés juives du monde, perçues comme des relais d'Israël, lui-même vu comme oppresseur des Palestiniens.


L'islam bannit les représentations de Dieu et des prophètes, dont Jésus, mais l'hostilité des Juifs envers le film a poussé les gouvernements arabes, prompts à la censure, à fermer les yeux et le laisser projeter sans coupure.


Le long métrage de Gibson, généreux en hémoglobine, remplit les salles obscures des pays arabes depuis qu'il est arrivé la semaine dernière dans une région où Juif égale occupant.


"C'est manifestement un revers pour les lobbies juifs qui affirmaient que le film était mauvais", constate Alfred Moutoua, un universitaire et cinéaste arabe basé à Doubaï.


"Tout ce que les Juifs taxent de mauvais devient attrayant dans cette région et se vend comme des petits pains", ajoute-t-il.


Le critique cinématographique égyptien Mahmoud Darouiche lui fait écho en affirmant: "Les censeurs pensent que le film est antisémite et c'est pourquoi ils le traitent différemment."


Les importantes minorités chrétiennes maronite du Liban et copte d'Egypte ont largement contribué à la notoriété régionale du film, mais celui-ci déplace aussi les foules musulmanes.


Et les dignitaires islamiques restent remarquablement complaisants par rapport à une oeuvre qui viole le principe de la non-représentation des figures bibliques, dont Jésus, et constitue en principe un blasphème.


CASSETTES SOUS LE MANTEAU EN ARABIE


Les émirats du Koweït et de Bahreïn sont les seuls pays moyen-orientaux à avoir interdit le film. Mais l'ayatollah Mohamed Bakr al Mohri, la plus haute figure chiite du Koweït, s'est prononcé pour la levée de l'interdiction.


En Egypte, au Qatar, en Syrie, au Liban, en Jordanie et dans les Emirats arabes unis, le long métrage de Gibson bat tous les records de fréquentation, se félicitent les distributeurs.


Même en Arabie saoudite, bastion de l'islam puritain où il n'y a pas de cinémas, les cassettes pirates de la Passion du Christ circulent sous le manteau.


L'université cairote d'Al Azhar, la plus haute autorité morale du sunnisme, n'a pas dénoncé La Passion, alors qu'elle est habituellement prompte à bannir livres et films "mécréants".


"Nous ne sommes pas d'accord avec ce film, mais Al Azhar n'est pas un organisme de censure", assure Ali Samman, vice-recteur d'Al Azhar chargé du dialogue avec les autres religions monothéistes.


Le prêtre chrétien palestinien Iyad Toual explique de son côté que le rejet du film par les Juifs, notamment en Europe et aux Etats-Unis, a donné envie aux Palestiniens de le voir.


La Passion du Christ décrit les dernières heures de la vie de Jésus en présentant les Juifs comme ses bourreaux alors que le Concile Vatican II a renoncé à imputer sa crucifixion au peuple juif.


Pour beaucoup d'Arabes, le film est un compte rendu fidèle du supplice de Jésus sans aucun relent d'antisémitisme.


Des spectateurs d'une salle de cinéma jordanienne sont sortis en larmes et révoltés devant le sort fait au Christ.


Les pays arabes qui ont autorisé le film se justifient de l'entorse à l'islam qu'ils ont faite en faisant valoir le climat actuel au Proche-Orient.


"Le film est contraire à l'islam mais, dans un climat différent, on ne l'aurait pas projeté", confie l'analyste Moghazi Badraoui.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mercredi 07 avril 2004 - 00h10:

De retour d'un récent voyage au coeur de l'Europe : Vienne où en arpentant ses rues, le fantôme de Sissi croise ceux qui ont péri dans la période noire de son histoire : l'anschluss.

Etranges impressions ressenties au fil de mes déambulations. Comment cette ville a-t-elle pu engendrer le meilleur et le pire?

Là où a jailli l'une des découvertes les plus considérables, la Psychanalyse dont le pére fondateur révéla à l'humanité un continent jusque là inconnu : l'inconscient.

Là où la créativité artistique et intellectuelle fut sans pareille, un homme, alors piètre peintre, un vagabond des rues, recalé à l'examen d'entrée à l'Académie des Beaux Arts, rumina sa haine et bouleversa le sens de l'Histoire.

Il a suffit d'un échec personnel chez une personne au narcissisme pathologique pour que tout bascule dans les ténébres.

Il n'y aura plus de réunion du mercredi au 19 de la Berggasse, appartement de S. FREUD mais la svastika qui flottait.
Aujourd'hui, dans l'appartement-Musée, seule la salle d'attente et d'innombrables photos témoignent.

Au 6 de la même Berggase, Théodor HERZL élaborait l'Etat juif. Là, aucune plaque pour célébrer le père du sionisme mais l'enseigne trop vive d'une pizzeria.

Quelle injustice!!!

Que de blancs dans le cahier de l'histoire!

En effet, dans la ville où siège l'Opep, on ne va tout de même pas honorer le sionisme.

L'Autriche comptait 2OO OOO Juifs ( 1O% de la population ) avant l'horreur du nazisme. Les synagogues ont été détruites, une seule fut protégée parce qu'elle était cachée.

Au musée Juif de Vienne, on s'attarde bien peu sur la Shoah mais l'exposition temporaire "Kosher Nostra" se fait plus tapageuse.

Curieux tout cà, il y a des intérêts bien sélectifs.
Et pourtant, pourtant, FREUD, HERZL, ZWEIG, ROTH, MALHER, STRAUSS et tant d'autres ont façonné l'identité de cette ville par ce foisonnement intellectuel, artistique qui en faisait un carrefour d'idées dans un temps... Il n'y a pas si longtemps...

J'ai ressenti comme un goût amer, quelque chose de définitivement perdu planait sur cet empire défunt.

Les Hommes ont dit un jour : PLUS JAMAIS CA. Quels menteurs!!! La folie les reprend. Thanatos les submerge.
Ils n'ont décidémént rien compris, sans les Juifs, ils perdraient le pilier de l'Humanité...

Michka

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mardi 06 avril 2004 - 20h00:

BILLET DE L AGENCE SHARON/BREITOUNA TRIC TROC…


‘…….l'éternel libérer Israël du conflit sanglant qui ne fais que l'affaiblir.
HAG SAMEAH ; Citron.
On te fait grâce de HAG SAMEAH.

Israël s’écrit avec un I majuscule, Monsieur Citron, d’abord.

Que veux tu encore insinuer par cette phrase… ?

Que c’est Israël qui s’affaiblit par un conflit qu’on lui a imposé.

Si tu reprends depuis le début de l’histoire ce n’est pas à notre connaissance Israël qui engendre les conflits. Qui a refusé le partage… ? Qui a attaqué en premier en 1948…. ?
1967 c’était quoi… ? L’intifada c’est qui .. ? C’est Sharon qui n’a fait qu’aller là où il a le droit d’aller…. ? Chez lui…… ! Les kamikaze c’est qui aussi… ?

Au lieu de venir étaler tes inepties, conseille donc aux palestos de parler d’une même voix MTA EL RJOULIYE….. ! Non…. ! Ces messieurs préfèrent dilapider les subsides que la communauté internationale leur jette. Fomenter des attentats…. ! Sous prétexte qu’ils luttent pour la libération de leur ‘pays’…Quand on n’est pas capable de présenter un interlocuteur valable, on n’est bon à rien. Sauf à manigancer.


Brabi, dis moi, tu joues le jeu de qui et pourquoi.. ?

Depuis que tu es là c’est par tes articles médisants, propagandistes qui ne font qu’affaiblir ta clique … ! Tu est payé par qui pour venir à chaque fois jeter tes cailloux dans notre marre nostrum..…. ?

Tu veux analyser un conflit qui te dépasse. Comme si tu étais aveugle et sourd à la vérité. HAL AîNIQ…Ou yezzi mél tkhernin….( commèrages)

Enfin, quand comprendras tu que ce n’est plus une révolution de libération mais plutôt une volonté de DESTRUCTION D’ ISRAEL….


De jeter non plus les juifs à la mer, mais de les trucider lentement et sûrement.

Nouvelle philosophie des HAMACHIENS.

Tu réagis comme qq un qui fait fi des déclarations des chefs terroristes.

Parle un peu comme Slim, de coexistence pacifique au lieu de nous turlupiner les oreilles avec Israël. LACHE LA UN PEU. YEINEK BICHE.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le mardi 06 avril 2004 - 15h48:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Bekhor.

Cher Monsieur Bekhor,

Nous pouvons vous certifier sur l’honneur, qu’à l’époque ou nous utilisions les lettres de crédit, et les produits soumis à licence d’importation, aucun dossier ne nous a été refusé, car ces dossiers étaient
convenablement ficelés conformément au droit en vigueur. Ceci est le résultat d’une expérience
personnelle, et non pas le produit d’un “ouïe dire”, de la part de tierces personnes.

Quand à la guéguerre des droits d’exclusivité que vous évoquez, cela est bien connu que tout le monde l’a pratiquée, car cela faisait partie des jeux sois disant interdits, (Poker Menteur), dans une communauté marchande, qui était en but à une sérieuse étroitesse de marché, de ce fait tous les coups bas étaient permis et aucun d’entre nous ne s’en est privé.

D’ailleurs c’est la même gueguerre qui prévaut actuellement dans le monde international des affaires, à des degrés bien plus intenses, que celle qui prévalait en Tunisie à l’époque que vous évoquiez, nous ne savons si vous même, étiez en Tunisie des années soixante, dans le commerce ou l’industrie, mais il faudrait être bien naïf pour s’imaginer qu’en matière de business il est des règles intangibles, vous
devez le savoir mieux que quiconque, vous dont le projet semble t il est de vendre votre livre.

Sachez Monsieur, que quand vous dites :

“Que de vos “amis?” vous accusent d’être une colombe, car vous vous considérez comme un fervent défenseur d’un nouveau dialogue entre juifs et arabes, que vous êtes un homme de paix et vous persistez et signez que ce sont deux nations condamnés à s’entendre tôt ou tard.”

Alors là Monsieur Bekhor, permettez nous de vous féliciter et de vous considérer aussi comme un Homme de Paix, Homme d’Honneur et de Probité, de ce fait soyez en assuré, que vous avez droit à tout notre soutient, et tout notre respect.

Sachez aussi que la seule persistance qui nous anime, n’est pas celle de la polémique politicarde, ni celle de la propagande discurcive, mais plutôt celle de la recherche d’une lumière, que l’on serait en droit de trouver, à travers les commentaires postés sur ADRA.

Bien à vous et de bonnes fêtes,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Benzarti (Benzarti) le mardi 06 avril 2004 - 11h41:

Bonne fete de Pessah!!!meme si je ne sais aps en quoi consite cette fete!:)
j'espère que pour Paques il y aura beaucoup de monde a Jerba nchallah,sincèrement.mais c 'est dommage que la tv tunisienne ne parle pas des fetes juives ou chrétiennes en tunisie,comme le fait la France pour les musulmans et les Juifs.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le mardi 06 avril 2004 - 10h50:

Jusqu'à quand cette sauvagerie???
Pourquoi tant d'intolérance???
Pourquoi cette folie???
Ne reste-t-il à ce point plus rien d'humain dans le monde musulman???
Sommes-nous revenus au temps où le dernier monothéisme s'imposait par la barbarie et la force de l'épée???
Quel vertige!!!!
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Le Pope Shenouda 3, patriarche de l'Eglise orthodoxe copte d'Egypte, a publiquement condamné le kidnapping de Chrétiennes et leurs conversions forcées à l'Islam. Il a exhorté la police à agir car nul ne sait '' où sont amenées ces jeunes femmes ''. (Guysen.Israël.News)

'' Les Chrétiens égyptiens sont forcés à se convertir à l'islam contre de l'argent, sous la menace, après un viol ou par la force. Au nombre d'environ dix millions, ils constituent une cible majeure pour les fondamentalistes musulmans voulant débarrasser le monde arabe de leur présence '', indique l'association chrétienne Jubilee Campaigns.