Par Douda (Douda) le mercredi 14 avril 2004 - 10h50:

Le Ftileur : Exacte Mr. Maxiton !

Nous avions posé la question à Mr. Braham, afin de savoir s’il se référait à des faits différents, de ceux qui firent suite à l’attaque du :

“ 1er octobre, l’aviation israélienne - 8 mirages volant à basse altitude- bombardait le quartier général de l’OLP à Hammam Lif, à 35 km au sud de Tunis et à 2,400 km de ses bases, manquant de peu le chef de l’organisation Yasser Arafat et faisant 73 morts et de nombreux blessés “.

(Charles Rousseau, « Chronique des faits internationaux », R.G.D.I.P., 1986 p 457)

Il faut ajouter qu’il s’agit de l’acte isolé et inqualifiable d’un individu, et non pas d’un pogrome.

Wnessou El Douda

Par Meyer (Meyer) le mercredi 14 avril 2004 - 11h19:

Pour les amateurs de photographies anciennes et rares

http://www.eretzyisroel.org/~dhershkowitz/

Par Maxiton (Maxiton) le mercredi 14 avril 2004 - 09h40:

Braham , l'attentat ce n'était pas plutôt en 1985 ?

http://www.nouvellescles.com/dossier/Djerba/

En 1985, à la suite du bombardement par l’armée israëlienne du
siège de l’OLP à Tunis, en représailles contre des actes
terroristes palestiniens, la synagogue de la Ghriba fut, pour la
première fois, directement victime du conflit.

Le jour de la fête de la Thora, le dernier jour de Sokhot, cent
cinquante personnes étaient en prière à la Ghriba,
lorsqu’emporté par la colère, l’un des policiers chargé de la
sécurité, tira sur la foule, visant Pérez Trabelsi, le président de la
communauté juive.

Trois personnes dont un enfant trouvèrent la mort dans cet
attentat, qui fit aussi plusieurs blessés et accéléra l’exode.

http://www.nouvellescles.com/dossier/Djerba/

Par Albert (Albert) le mercredi 14 avril 2004 - 08h19:

Agence Sharon/ Breitouna TRIC TRAC...

Information.

Les prières du 40 ième jour du vénèrè CHEIKH YACINE se diront chez Mr QUASSAM au 33 Rue de la Roquette à Paris.

Se munir seulement de ceinture normale.

Prèsence non indispensable pour ceux qui veulent exploser de joie.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 14 avril 2004 - 07h19:

Slim, ca valait le coup de t'inciter, car ainsi tu a pu sortir un excellent proverbe qui m'a beaucoup plu. Barakalah Oufik. Quant a Hajklouf je vais demander a mes amis de Tunisie qu'il le mettent dans une ecole et lui enseignent beaucoup de sagesse, Car malgre tout il est un Tunisien comme nous, Esmah.

Par Mena (Mena) le mercredi 14 avril 2004 - 03h16:

Hapoël Jerusalem championne d’Europe ! (info # 011404/4) [scoop sportif]

Par Ilan Tsadik © Metula News Agency



Metula, 1h 00, mercredi 14 avril



Pour la première fois, ce mardi soir, une équipe de basket autre que le célèbre Maccabi Tel Aviv a remporté une coupe d’Europe. Le match vient de se terminer, à Charleroi, devant une salle comblée de 6'000 spectateurs, dont au moins 2'500 Israéliens qui ont fait le voyage de Belgique pour soutenir leur équipe. Et les Jérusalémites se sont offert le luxe de battre en finale le plus prestigieux club de basket d’Europe, le Real Madrid, dont le nom figure huit fois sur la coupe d’Europe des champions.



L’ULEB, ça n’est pas le sigle de l’une des nombreuses associations belges dont personne, hors de Bruxelles, n’a jamais saisi la signification ; c’est l’Union des Ligues Européennes de Basket-ball, dont la finale a été remportée par Hapoël sur le score sans appel de 83 à 72. C’est le pendant de l’UEFA au foot. Noire semaine pour le toujours grand Real, soit dit en passant, qui s’est également fait éliminer de la Champions’ League de football par Monaco. Mais ce soir, Jérusalem a dominé son adversaire de la tête et des épaules, faisant match nul à l’issue du premier quart-temps et remportant tous les autres.



C’est sous la houlette de l’un des plus jeunes coachs du basket de Terre sainte, Sharon Drucker, que les joueurs de la capitale se sont imposés et ils lui doivent d’ailleurs une fière chandelle. De toute évidence, Drucker avait parfaitement préparé ses hommes à cet événement, le plus important sans doute dans l’histoire de l’équipe de la ville de la paix. Tout au long de la rencontre, il a du composer avec les fautes personnelles précipitées de ses deux vedettes, l’Américain Willie Solomon et Doron Sheffer. Solomon est l’un des meilleurs joueurs évoluant en Europe et les Ibères s’étaient surtout préparés à le marquer à la culotte. Mais Willie était nerveux et accumulait les sanctions dès la première période de jeu, si bien que dans l’optique de la fin de rencontre, Drucker lui fit réchauffer le banc durant presque tout le second quart et durant une grande partie du troisième. Cela décontenança l’entraîneur argentin du Real, surtout qu’en seconde période, le cinq d’Hapoël s’alignait sans Solomon ni Sheffer.



On pensait que la faiblesse relative des remplaçants israéliens ferait pencher la balance du côté madrilène mais il n’en fut rien. Très disciplinés, évoluant avec énormément d’intelligence et de sens du sacrifice au profit de l’équipe, ce sont les autres joueurs qui prirent l’ascendant sur leurs adversaires. C’est d’ailleurs le remplaçant attitré Kenny Mc Carty qui fut élu MVP (meilleur joueur du match) avec un palmarès personnel de 22 points, Sheffer et Solomon en inscrivant 15 chacun, cependant que toute l’équipe fonctionnait à merveille. Tonji Awojobi, le Rasta d’Hapoël (12), Moshe Mizrahi (8), Ido Kozikaro (7) et Erez Katz (4) donnaient même l’impression d’un match relativement facile. Katz se montrant un meneur de jeu excellent lorsque Sheffer piaffait sur la touche et Kozikaro, qui rendait fou le bulldozer espagnol Kambala (19), dans une confrontation très physique sous les paniers.



Au Real, l’Américain Bennett, auteur de 22 points permettait à l’équipe de ne pas sombrer à l’issue d’un parcours individuel sans faute.



La victoire de Jérusalem est lourde de symboles, car Hapoël représente la face d’Israël que l’on préfère souvent ignorer dans la plupart des commentaires européens. Hapoël Yerushalaym, littéralement "l’Ouvrier de Jérusalem", qui conserve fièrement la couleur rouge de sa tradition socialiste et toujours, sur le cœur des joueurs, la représentation du marteau et de la faucille. Et, parmi la foule, également toute habillée de rouge, les Belges furent certes étonnés de trouver un grand nombre de très jolies femmes qui arboraient de grands drapeaux et des Tee-shirts à l’effigie du Che Guevara, le patron des tifosi de la capitale de l’Etat hébreu.


Liesse rouge à Charleroi



Y avait-il aussi de meilleure réponse sportive à l’épisode du match de foot en salle, en Flandres, il y a quelques mois, durant lequel des nostalgiques de Léon Degrelle avaient beuglé leur envie de renvoyer des sportifs israéliens à Auschwitz et à Dachau. Là, devant un autre public belge, acquis à Hapoël dès les premières minutes de la rencontre, dans une ambiance cordiale, l’un des clubs les plus attachants du sport israélien a accroché le drapeau blanc à l’étoile de David, très pacifiquement, sur le toit de l’Europe. Dire que deux autres équipes du même pays, Maccabi et Hapoël Tel Aviv, restent en lice pour les finales des deux autres coupes européennes, démontre que la saison 2003-2004 est une cuvée faste pour le basket israélien.



Pendant que du côté des intégristes islamiques palestiniens on confectionne des nouveaux modèles de ceintures explosives pour kamikazes, contenant du sang contaminé par le virus du Sida, je trouve que la continuation de notre progression sportive et notre diversité expriment le mieux, surtout par le succès d’un club bigarré de Jérusalem, le choix déterminé de notre peuple pour la vie. Et c’est très bien, que lors d’occasions comme celles-ci, notre choix et notre vivacité soient visibles de tous. A Jérusalem, c’est la liesse populaire qui prédomine durant ces petites heures du matin et les concerts de klaxons. Plus tard, on s’attend à un accueil chaud chaud des champions, de l’aéroport et jusqu’au bâtiment de la municipalité.

Par Slim (Slim) le mercredi 14 avril 2004 - 02h30:

Mr. Hajklouf:

Je n'ai qu'une seule remarque a faire, tiree de l'Arabe Classique "La Yughayiru Allahu Ma Bi Qaoumin Hatta Yughaiyirou Ma Bi Anfusihim" (D-ieu ne changera pas le destin d'un peuple, sans que celui-ci ne change ses manieres). Commence par observer le monde autour de toi, ouvre tes yeux, visite d'autres peuples, melange toi avec des personnes d'autre religion, et garde un coeur et un esprit ouvert. Et comme l'expression Tunisienne nous le dit: "Dhif Ennbi, thletha Ayam", donc sois modere et moderne dans tes propos dans un site qui t'a ouvert ses portes du dialogue.

Par Douda (Douda) le mercredi 14 avril 2004 - 02h22:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur :

Mr. Braham, auriez vous l’amabilité de nous relater ( Pour notre information, et pour la mémoire ), tous les détails en votre possession concernant l’attentat de 1984 .

Merci d’avance,

Wnessou El Douda

Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 14 avril 2004 - 01h57:

Cacouboulou : Reserve aux anes.

Dire qu’il est l'ane qui tire la charrue, mais c’est une insulte pour les anes, il faudrait qu’il vienne chez nous a Matmata, pour constater que nos anes, sont traites comme des princes, car nous les aimons tellement pour leur intelligence, qu’il est interdit de les faire travailler, et encore moins de leur faire tirer des charrues.

Signe : Cacouboulou Premier

Par Braham (Braham) le mardi 13 avril 2004 - 23h24:

Situation des Juifs en Tunisie, suite, Djerba 1984

Je ne veux point discuter avec tous ces ‘négationnistes’, mais pour les autres lecteurs je raconterai encore une petite histoire dans ma famille, décidément !!!
Je me trouvais à Paris, en 1984, chez un cousin quand je vis sa fille entrer avec une petite fille dans ses bras. La petite était âgée d’environ un an. Toutes les deux venaient de rentrer de Djerba où elles étaient allées passer les fêtes chez des parents. La maman avait un pansement à la jambe et le bébé en avait un autour de sa petite menotte. J’appris qu’elles étaient parmi les victimes de l’attentat commis à la Ghriba, le soir de la Fête de Simhat-Thora. Attentat qui a coûté la vie à des innocents et a blessé plusieurs autres. Leur seul crime : c’étaient des Juifs en train de prier dans une synagogue.
Durant plus d’une semaine les parents, à Paris, n’avaient aucune nouvelle de leur fille ni de leur petite fille. On ne savait rien des blessés qui ont été hospitalisés à Djerba. Au téléphone, le mari sorti indemne et qui était resté chez sa famille là-bas, ne pouvait leur fournir aucun renseignement.
Ce n’est qu’après plus d’une semaine et une fois rétablies, qu’elles purent le rejoindre. Ils quittèrent tous, la Tunisie au plus vite.
La petite fille qui a perdu un des doigts de sa main est aujourd’hui étudiante à l’université et se rappellera cette soirée chaque fois qu’elle prend sa fourchette ou son stylo pour écrire des notes.

Par A_Soued (A_Soued) le mardi 13 avril 2004 - 21h13:

LES TROUBLES DE "PASSAGE"



Par Albert Soued, www.chez.com/soued - le 14 avril 2004



Comme l'Israélien de la rue, l'Irakien a besoin de paix et de sécurité. Après un an, le voyou et le voleur occupent aujourd'hui la rue irakienne, peu habitué à jouir de tant de liberté. Certains diront que c'est une évolution normale d'un pays qui se libère d'un joug de plus quarante ans. Mais le fait est là que l'Irakien de la rue a peur et qu'il n'y a pas assez d'ordre dans le pays. Les Irakiens comme les Américains sont en train de payer les lacunes de l'imprévoyance.



D'après Fareed Zakaria spécialiste de Newsweek et d'autres experts, notamment ceux de la Rand Corporation, les Etats-Unis ont engagé en Irak le quart des effectifs nécessaires pour contrôler un aussi vaste territoire avec 25 millions d'habitants. Première erreur. Les soldats qui ont fait la guerre n'étaient pas préparés, ni même "briefés" pour faire des opérations de police. Deuxième erreur. L'armée et la police de Saddam Hussein ont été démembrées, car elles étaient considérées comme peu fiables. Or il faut plusieurs années pour reconstituer une armée et une police cohérentes et efficaces. Donc troisième erreur. (1)

La quatrième erreur est d'ordre tactique, c'est de ne pas avoir "acheté les tribus". Rappelons l'interview du premier ministre yéménite, Abdul-Kader Bajammal, affirmant que 90% des cellules d'al-Qaïda existant dans son pays ont été démantelées, essentiellement grâce aux pots-de-vin versés aux tribus qui les abritaient. "Personne ne livre personne gratuitement", a insisté Bajammal, saluant au passage la coopération américano-yéménite (Associated Press du 5/4/2004).

La cinquième erreur et non la moindre est d'ordre politique. L'ayatollah Sistani, un shiite modéré a été mis pratiquement à l'écart, quand il fallait s'appuyer sur lui pour obtenir la cohésion du groupe religieux majoritaire dans le pays. La coalition a préféré s'appuyer sur un groupe de shiites exilés, sous la houlette d'Ahmed Chalabi, peu crédible dans le peuple. Le vide de pouvoir effectif a tenté un aventurier shiite Moqtada al Sadr, affilié à l'Iran, qui cherche à s'imposer avec sa milice, au détriment des shiites modérés.

Il faut rappeler les liens de cet homme réputé pour être un voyou illettré, un fomenteur de troubles, avec l'intégrisme islamique.

À l'issue de la libération de l'Irak en avril 2003, le Hezbollah a ouvert des bureaux à Basra et à Safwan. Nasrallah, le chef de cette milice qui sévit au Sud du Liban, à la frontière avec Israël, est personnellement lié à la famille al Sadr. En 1976, il étudiait sous l'égide du père de Moqtada, Muhammad Baqr al-Sadr à Najaf. À son retour au Liban, Nasrallah a rejoint la milice Shi'ite Amal, menée à l'époque par l'oncle de Moqtada, Moussa al Sadr.
Les enlèvements actuels d'Occidentaux en Irak sont les méthodes préconisées par le Hezbollah, avec les conseils du spécialiste de la terreur I'mad Moughnyeh, qui semble opérer en Irak, en coopération avec al Qaeda.

Moqtada al Sadr reçoit ses directives de l'Ayatollah Henri, l'individu le plus extrémiste des cercles dirigeants en Iran. De plus, la tante de Moqtada est la première dame d'Iran, Mme. Muhammad Khatami. L'essentiel des milices "noires" (l'Armée du Mahdi) de Moqtada est constitué de Gardes Révolutionnaires Iraniennes….(source Caroline Glick dans le Jerusalem Post du 9/4/04).

Rappelons aussi que Moqtada a fait assassiner nombre de dignitaires shiites modérés dont Abdelhamid al-Khoï (en avril 2003) et peut-être même Mohammad Baqer al-Hakim (en août 2003).



Il est grand temps de se débarrasser de cet individu et de sa clique, car ils sont capables de mener le monde au bord de l'abîme…nucléaire.



(1) on apprend que l'armée américaine sera renforcée de deux brigades et que certains chefs de l'ex-armée irakienne seront rappelés.



Voir article de Michel Gurfinkiel sur l'Irak et la théorie des dominos.

Voir la naissance de la shia'h et ses corollaires- version courte – version complète (jointe également en lecture Acrobat pdf)

Voir aussi www.nuitdorient.com pour une information complète

Par Albert (Albert) le mardi 13 avril 2004 - 21h04:

N'oubliez pas la LAITUE pour que notre annèe soit verte.

Par Nonette (Nonette) le mardi 13 avril 2004 - 19h05:

Maxiton a raison ,inutile de discuter avec des gens qui ont des idées préconçues et des oeillères .je laisse à hajklouf la paternité de "palestinien=de la merde"ce langage ne fait pas partie de mon argumentation et puis ai-je parlé de Torah dans mon message?
calme et sérénité , Hajklouf!chalom et salam

Par Albert (Albert) le mardi 13 avril 2004 - 19h23:

HAJKLOUF.....Est un provocateur.
Son rôle est bien défini.
Il est l'âne qui tire la charrue.
Si vous le suivez dans ses délires, il persistera à nous envoyer encore mieux.
Ca fait tourner le moulin à vent.
Donc si vous avez mieux à faire, cliquez sur les flèches.