Par Citron (Citron) le jeudi 14 septembre 2006 - 20h43: |
Remy Attig
vous pouvez aussi contacter ces numeros
+ 216 71 83 15 03
+ 216 71 83 17 70
+ 216 71 83 37 62
c est le comite de gestion du culte israelite a tunis
adresse: 15 rue Cap vert, Tunis (derriere la grande syna)
bon voyage
Par Citron (Citron) le jeudi 14 septembre 2006 - 20h38: |
Remy Attig
vous pouvez contacter le comite du culte israelite au + 216 71 73 58 71
bon voyage
Par Richard_S (Richard_S) le jeudi 14 septembre 2006 - 20h38: |
Mr Jean Daniel,
J'ai lu votre article et je ne peux m'empecher d'etre derange par certains de vos propos.
Vous pensez comme beaucoup de primitifs de gauche qu'il suffirait de regler le probleme Israelo-Palestinien pour que disparaissent tous ces problemes avec l'Islam radical.
Vraiment votre naivete fait peine a voir.
Surtout pour quelqu'un qui se pretend grand journaliste.
Car si votre raisonnement etait juste, comment expliqueriez vous tous les conflits generes par l'Islam radical comme le conflit Indo-Pakistanais a propos du Cachemire, le conflit entre les Tchetchenes et la Russie avec tous ses massacres d'enfants, les attentats commis en Thailande par les Musulmans contre les non-Musulmans, le conflit du Darfour ou les Musulmans sont en train d'exterminer les non-Musulmans, la guerre civile dans certaines provinces en Indonesie, les guerres civiles en Algerie et en Irak et j'en passe.
TOUS CES CONFLITS N'ONT RIEN A VOIR AVEC LE CONFLIT ISRAELO-PALESTINIEN ET SONT BIEN LES SIGNES EFFRAYANTS D'UN ISLAM RADICAL, TOTALITAIRE ET HEGEMONISTE EN GUERRE CONTRE VOUS ET MOI.
Richard
Par Emma (Emma) le jeudi 14 septembre 2006 - 20h24: |
Jewish World Review Sept. 1, 2006 / 8 Elul, 5766
Mettre en place les conditions du désastre
Par Caroline B. Glick
http://jewishworldreview.com/0806/glick090106.php3
Adaptation française de Simon Pilczer, volontaire de l'IHC
Aucun pays au monde ne laisse des étrangers lui dicter sa politique sur des questions fondamentales de sécurité nationale.
Israël ne doit pas être le premier à le faire
Mardi 29 août, le directeur du Shin Bet Youval Diskin a averti des menaces croissantes pour la sécurité d'Israël émanant de la bande de Gaza et du Nord de la Samarie à la suite de la récente guerre. Si les mesures adaptées ne sont pas prises pour arrêter les transferts massifs d'armements sophistiqués à Gaza a-t-il prévenu, en seulement quelques années, ces zones se transformeront en un second Liban Sud en quelques années.
Au Liban même, le Hezbollah crée l'illusion d'une coopération avec l'armée libanaise au Sud, pour nous endormir tous alors qu'il reconstruit tranquillement ses forces dans l'attente d'un ordre de l'Iran pour reprendre la guerre contre Israël. Sans aucun doute, les affirmations la semaine passée du chef du Hezbollah Hassan Nasrallah déclarant qu'il n'a pas l'intention d'ouvrir un second round, et qu'il ne se doutait pas que Israël répondrait aussi massivement à l'enlèvement d'Ehud Goldwasser et de Eldad Regev le 12 juillet, étaient-elles destinées à jeter la confusion en Israël et à calmer les Libanais. Au moins en ce qui concerne Israël, son but fut atteint. Le Premier Ministre Ehud Olmert et les medias israéliens se sont jetés sur les déclarations de Nasrallah comme " preuve " de la victoire d'Israël dans cette guerre.
Dans le même temps, la république des ayatollahs progresse régulièrement vers l'acquisition de capacités nucléaires. Les réactions internationales conciliatrices sur l'annonce faite par le président iranien Mahmoud Ahmadinejad jeudi 31 août concernant le rejet de la demande du Conseil de Sécurité de mettre fin aux activités d'enrichissement de l'Uranium par l'Iran, ont de fait précédé la déclaration insolente d'Ahmadinejad. Mercredi 30 août, le chef des affaires étrangères de l'Union Européenne, Javier Solana, cherchait fiévreusement à renouer des pourparlers avec l'Iran.
De son côté, l'ONU se conduit non pas comme un policier international, mais comme l'avocat de la défense de l'Iran. Pendant sa visite en Israël Mercredi 31 août, le Secrétaire Général de l'ONU Kofi Annan apparaissait comme un dirigeant arabe, avec ses condamnations odieuses et sans limites d'Israël pour chacune des actions d'autodéfense entreprises à Gaza et au Liban Sud d'un côté, et de l'autre, avec sa tolérance apparemment infinie pour les menaces iraniennes de génocide nucléaire contre Israël.
Pendant sa conférence de presse avec Olmert, Annan a laissé entendre que de son point de vue, le problème des menaces de l'Iran d'annihiler Israël n'est pas qu'elles soient illégales ou moralement inexcusables. Mais plutôt que les menaces iraniennes sont mauvaises uniquement parce que Israël est membre de l'ONU. Ignorant de façon surréaliste à la fois les efforts de l'Iran pour acquérir des armes nucléaires, et sa direction de la dernière guerre au Liban et à Gaza, Annan a déclaré bizarrement : " On ne peut pas effacer Israël avec des déclarations ".
Aujourd'hui, à l'insu du public israélien, le gouvernement Olmert - Livni - Peretz conduit Israël vers une évolution qui, si elle n'est pas vite abandonnée, rendra notre droit à l'autodéfense - et par extension notre indépendance - conditionnelle. La prolifération des menaces à la sécurité est exacerbée, grâce à la facilitation par le gouvernement d'une enchère diplomatique de l'ONU et de l'UE destinée à affaiblir le droit d'Israël à se défendre lui-même contre le Hezbollah, les Palestiniens et l'Iran.
Le danger actuel prend son origine dans le texte de la résolution 1701 du Conseil de Sécurité qui pose les recommandations pour le cessez-le-feu au Liban. Cette décision a constitué une victoire diplomatique sans précédent pour le Hezbollah, en plaçant cette milice jihadiste, illégale, état dans l'état, sur un pied d'égalité avec Israël.
De plus la résolution 1701 pose les termes du renforcement des forces de la FINUL, d'une façon qui permet au Hezbollah de renforcer ses unités et de maintenir sa présence au Sud Liban, tout en empêchant Israël d'exercer son droit à l'autodéfense contre la menace croissante.
A côté des stipulations sur le rôle de la FINUL, la 1701 interdit à Israël sa liberté d'action de trois manières supplémentaires. D'abord, la résolution a désigné l'avocat d'Ahmadinejad, Kofi Annan, comme arbitre de la conformité des parties à la 1701. Annan a révélé comment il usera de cette autorité il y a deux semaines [en fait le 18 août, ndt] quand il a condamné le raid du commando israélien à Baalbek, tout en commençant ses appels à Israël de lever son embargo aérien et maritime du Liban, de façon à permettre au Hezbollah de se réarmer non seulement par terre, mais aussi par air et par mer.
Ensuite, bien que Olmert et Livni se fassent bruyamment les champions des forces européennes déployées au Liban comme si c'était une importante réalisation diplomatique israélienne, le fait est que la décision de donner le pouvoir à l'UE pour dominer la FINUL est un désastre pour Israël. Alors qu'ils protestent de leur " amour " pour Israël, les Européens ne font pas mystère du fait que leur décision de diriger la FINUL est motivée par leur intention d'empêcher Israël de se défendre lui-même.
Le ministre communiste des affaires étrangères italien, Massimo d'Alema, a dit cela très clairement dans son entretien vendredi dernier dans " Haaretz ". Il y a expliqué que le but de l'UE au Liban est de " prouver à Israël qu'il peut mieux assurer sa sécurité par une politique de paix que par la guerre ".
D'Alema a alors insulté les USA en ajoutant : " la politique américaine, que Israël a aussi soutenue, a créé une situation impossible. Leur opinion était qu'il est possible de contrôler le monde par la puissance d'un pouvoir libéral hégémonique. Cette philosophie a créé de sérieux dommages, et désormais les USA cherchent une sortie logique ".
Ainsi en déployant des troupes de la FINUL, l'UE nous montrera que la seule manière d'affronter des ennemis qui veulent nous détruire est la conciliation, et encore plus de conciliation.
Les Européens et Annan ne cachent pas non plus le fait qu'ils prévoient d'utiliser leur déploiement au Liban comme tremplin pour atteindre une plus grande influence sur Israël dans ses échanges avec les Palestiniens. Dans cette veine, d'Alema a déclaré : " Je crois que si tout va bien au Liban, un processus positif similaire pourrait aussi commencer dans la bande Gaza : la libération de l'otage israélien, le caporal Gilad Shalit, un gouvernement palestinien d'unité qui réponde aux critères posés par la communauté internationale, et la présence d'une force de l'ONU pour soutenir le gouvernement palestinien ".
Ici, l'UE joint ouvertement des forces avec des politiciens israéliens de la gauche radicale, conduits par le chef du Meretz et député à la Knesset Yossi Beilin, qui au cours des deux dernières années a fait tranquillement avancer l'idée d'internationaliser le conflit. Après qu'aussi bien des négociations, et l'abandon unilatéral de territoires par Israël, aient conduit tous les deux à la guerre, l'idée est que les Palestiniens accepteront Israël après que l'ONU aura dépouillé l'Etat juif de sa capacité à se défendre lui-même.
Si ce qui précède ne suffit à nous convaincre que les forces de la FINUL, dont l'arrivée est si impatiemment attendue par Olmert - Livni - Peretz, n'est pas une bonne chose pour Israël, il existe aussi l'élément islamique de la force proposée. Aussi bien Annan que les Européens insistent pour qu'une force se montant à 7.000 soldats de pays musulmans soit incluse dans la FINUL. Ces soldats viendront du Bengladesh, d'Indonésie, de Malaisie et de Turquie. Tous ces pays sont habituellement classés comme " pays musulmans modérés ". Cette assertion nécessite une vérification.
Un membre de la coalition du gouvernement du Bengladesh est membre du parti jihadiste " Jamaat-e-Islami ". Ses étudiants activistes ont récemment envoyé des menaces de mort à deux intellectuels éminents, pour avoir enseigné à la jeunesse du pays les valeurs de la laïcité, de la démocratie et de la science.
De plus en novembre 2003, le journaliste Salah Uddin Shoaib Choudhury a été arrêté alors qu'il s'apprêtait à embarquer pour un vol vers Bangkok, pour une escale vers Tel Aviv. Choudhary, qui était attendu à une conférence en Israël pour la promotion de la paix dans les médias, a été accusé de sédition et d'espionnage pour Israël. Pendant ses 17 mois d'incarcération, il fut torturé à plusieurs reprises. Le Bengladesh prévoit d'envoyer 2.000 soldats au Liban.
Puis il y a l'Indonésie, le plus grand état musulman. Comme punition pour l'attentat à la bombe à Bali en 2002, qui tua 202 personnes, le pouvoir judiciaire indonésien, pas particulièrement indépendant du pouvoir politique, condamna le chef de la Jemaah Islamiyah Abu Bakr Bashir, à 30 mois de prison, dont les cinq derniers ont été commués en juin.
En mai, Ahmadinejad a été reçu par des foules hurlantes pendant sa visite à Jakarta. Dans un entretien avec le Wall Street Journal, le ministre de la défense indonésien, Juwono Sudarsono a déclaré qu'il pense que la meilleure manière de sécuriser le Liban Sud est que les forces du Hezbollah soient " absorbées " dans l'armée libanaise.
Alors que la guerre au Liban faisait rage, le gouvernement malaisien a appelé toutes les nations du monde à rompre leurs relations diplomatiques avec Israël. Cette semaine, les officiels malaisiens de haut rang ont dit qu'il n'y avait pas de justification à l'opposition occidentale au programme nucléaire de l'Iran.
Parmi tous les pays musulmans qui s'apprêtent à contribuer aux forces de la FINUL, la Turquie est le seul qui ait des relations diplomatiques avec Israël. En conséquence, à ce jour, ses forces sont les seules que le gouvernement Olmert - Livni - Peretz accepte de voir déployées au Liban. A la mi-août, pendant une visite avec le ministre turc des affaires étrangères, Abdullah Gul, Olmert a déclaré : " La Turquie joue un rôle important au Moyen-Orient, et continuera de la faire ". Il ajouta : " Israël a confiance en la Turquie ".
Alors que avant la formation du gouvernement islamiste de l'AKP en 2002, il était logique que des Premiers Ministres israéliens disent des choses pareilles, aujourd'hui de telles déclarations sont injustifiées. Au cours des quatre dernières années, la Turquie s'est transformée d'allié inconditionnel des USA et d'Israël en l'un des Etats le plus ouvertement anti-américain et antisémite dans le monde. Et donc, la Turquie est allée fort loin dans le réchauffement de ses relations avec le monde arabe et l'Iran.
Pendant la guerre, les services de renseignement de Tsahal ont découvert que l'Iran expédiait des bateaux d'armes au Hezbollah via la Turquie. Après la victoire électorale du Hamas en janvier, le Premier Ministre turc Recyp Erdogan a été le premier dirigeant politique international à recevoir des chefs terroristes du Hamas en visite officielle. Pendant la récente guerre, Erdogan a annoncé le soutien de la Turquie au Hezbollah, déclarant que : " Personne ne doit s'attendre à ce que nous soyons neutres et impartiaux ".
A partir de cela, il apparaît que la participation d'armées musulmanes au sein de la force de la FINUL - même elles ne proviennent que de la Turquie - peut facilement conduire à une situation où Tsahal se retrouvera elle-même combattant les forces de l'ONU. A l'inverse, comme l'ONU et l'UE le prévoient, le gouvernement Olmert - Livni - Peretz - intimidé par la " communauté internationale ", peut simplement concéder le droit d'Israël à l'autodéfense en dépit des menaces croissantes du Hezbollah, des Palestiniens et de l'Iran.
Comme l'Amérique, et de façon troublante l'administration Bush, démontre des signes d'effondrement politique, comme le gouvernement Olmert - Livni - Peretz. Par un geste presque inexplicable, le département d'Etat a accordé un visa à l'ancien président iranien Muhammed Khatami. De façon obscène, l'ancien dirigeant et porte-parole du régime des ayatollahs islamistes, imbus de la supériorité de leur religion, a été invité à discourir à la Cathédrale Nationale de Washington, DC.
Au début de la guerre du Liban, le gouvernement la troïoka Olmert - Livni - Peretz a posé les objectifs corrects pour obtenir le cessez-le-feu. Mais pendant la guerre, il a fait en sorte que toute mesure possible soit prise pour assurer qu'aucun de ces objectifs ne soit atteint.
Aujourd'hui, la troïka espère qu'à travers la FINUL, Israël concoctera une coalition contre le Hezbollah, alors qu'il facilite la formation d'une coalition qui protègera le Hezbollah contre Israël. Ils ont échoué à reconnaître que pour assurer ses intérêts de sécurité nationale, Israël n'a pas besoin de négocier, il doit agir. La seule raison pour laquelle l'UE et l'ONU se sentent à l'aise pour mettre de l'ordre autour d'Israël est que le gouvernement Olmert - Livni - Peretz leur obéit.
Les choses ne doivent pas aller dans ce sens. Aucun pays au monde ne laisse des étrangers lui dicter sa politique sur des questions fondamentales de sécurité nationale.
Israël ne doit pas être le premier à le faire.
Par Felix (Felix) le jeudi 14 septembre 2006 - 18h24: |
Le probleme avec les Jean Daniel et les Elkabbach c qu'ils accordent aux ennemis d'Israel la meme faculte de raisonnement rationnel et de ce fait arrivent a la conclusion que la paix depend du bon vouloir d'Israel(genre je me retire je leve les check points etc..).Comment des personnes specialistes peuvent elles propager de telles contre verités?
Par Shalom (Shalom) le jeudi 14 septembre 2006 - 16h48: |
Voila une autre Jean Daniel Israélienne : Amira Haas
Courrier International
« Un régime spoliateur et oppresseur insatiable » : C’est ainsi que la journaliste Israélienne Amira Hass qualifie l’Etat d’Israël dans le quotidien Ha’aretz.
Elle lance un appel à ses compatriotes pour qu’ils ouvrent les yeux sur ce qui se passe dans les territoires Palestiniens et dénonce leur silence et leur collaboration avec le system.
Nouvel Obs., Libération ou Ha’aretz. « Faard ahmoum »
Par Braham (Braham) le jeudi 14 septembre 2006 - 15h57: |
Un peu d'humour.
Le miel dans la Pomme vous débarrassera de tous les "pépins": (Pnina, que ton fils ne se sente pas visé)
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 14 septembre 2006 - 15h30: |
Quand Amnesty sort de son amnesie: a ce rythme effrene, vont nous sortir un rapport sur les Kassams de Sderot en 2010 !
Take it easy ...
www.jta.org
Amnesty: Hezbollah committed war crimes
Amnesty International said Hezbollah´s rocket attacks on Israel were war crimes.
The London-based human rights group on Thursday issued a 15-page report detailing the damage caused by some 4,000 rockets fired into Israel by the Lebanese militia during the recent war.
"The scale of Hezbollah´s attacks on Israeli cities, towns and villages, the indiscriminate nature of the weapons use and statements from the leadership confirming their intent to target civilians make it all too clear that Hezbollah violated the laws of war," wrote Amnesty´s secretary-general, Irene Khan.
The group noted that rocket salvoes during the 34-day war killed dozens of Israelis and caused as many as a million residents of northern Israel to flee their homes. Infrastructure damage from the rockets as been valued at $1.8 billion.
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 14 septembre 2006 - 15h20: |
C'est vrai, en y reflechissant bien, que Jean Daniel a un je-ne-sais-quoi de simiesque ...
Et ne dit-on pas d'ailleurs: "Ce n'est pas au vieux singe, etc, etc ..."
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 14 septembre 2006 - 15h15: |